Friday, May 22, 2009
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Union pour la Méditerranée 2010 Bacelone
Réunion des représentants en 2010 à Barcelone
Par : Abdallah Darkaoui
La réunion des représentants de la société civile des 43 pays formant partie de l'Union Pour la Méditerranée (UPM), aura lieu durant le printemps 2010 à Barcelone, a annoncé jeudi dans la capitale catalane, le conseiller de S.M. le Roi et président de la Fondation euro-méditerranéenne Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures, André Azoulay.
Cette réunion qu'abritera la ville de Barcelone, siège du secrétariat général de l'Union Pour la Méditerranée, sera la plus importante réunion des sociétés civiles des pays euro-méditerranéens organisée jusqu'à présent, a indiqué M. Azoulay dans un point de presse en présence d'un grand nombre de représentants des médias espagnols et internationaux, peu avant la tenue d'un déjeuner-débat de la Fondation Tanja sur "les perceptions du Maroc depuis la Catalogne".L'organisation de cette réunion sera assurée par le gouvernement espagnol, le gouvernement autonome de Catalogne (Généralité), la mairie de Barcelone et l'Institut européen de la Méditerranée (IEmed), a expliqué le conseiller du Souverain.Les réunions antérieures des sociétés civiles euro-méditerranéennes ont eu lieu en 1995 coïncidant avec le lancement du processus de Barcelone, et en 2005 à l'occasion du dixième anniversaire du processus de Barcelone.M. Azoulay a également souligné que la création, il y a dix mois, de l'UPM constitue une seconde opportunité pour relancer le processus euroméditerranéen de Barcelone. Le processus de Barcelone n'a pas échoué, a insisté le Conseiller du Souverain soulignant la nécessité de tirer profit des opportunités qu'offre l'UPM pour créer un espace euroméditerranéen aussi bien au niveau politique, institutionnel qu'économique et social.Le processus de Barcelone "nous a beaucoup enrichi dans les domaines de la coopération technique et le développement social et économique. Il restait l'espace politique et institutionnel dans lesquels l'UPM est appelée à s'investir davantage ainsi que dans le domaine de la société civile, a-t-il insisté.Il a, également, affirmé que l'UPM ne doit pas être appréhendée comme un projet immédiat. Ce projet ambitieux doit être abordé dans sa dimension historique pour donner tous ces fruits, a-t-il encore souligné.Avec la création de l'UPM, l'Histoire nous donne un rendez-vous, a indiqué M. Azoulay, affirmant que le Maroc a de tout temps exprimé son appui au processus de Barcelone. Le Maroc, l'Espagne et la Catalogne ont été les pionniers engagés depuis toujours dans le processus euroméditerranéen, a affirmé le Conseiller de S.M. le Roi. Le Maroc, l'Espagne et la région de la Catalogne sont des acteurs majeurs dans le succès de l'UPM, surtout que l'Espagne assumera en 2010 la présidence tournante de l'Union Européenne, a-t-il encore dit.L'ancien président du gouvernement autonome de Catalogne, Jordi Pujol, a formé, pour sa part, l'espoir que le gouvernement espagnol profite de sa présidence tournante de l'UE pour donner une impulsion à l'UPM.Revenant sur l'historique du processus de Barcelone, M. Pujol a regretté que ce processus, lancé en 1995, ait souffert d'un certain manque de leadership, affirmant que le Maroc et la Catalogne ont toujours soutenu le processus euroméditerranéen en dépit des lacunes enregistrées dans certains domaines.Le déjeuner-débat organisé par la Fondation Tanja, qui œuvre pour la consolidation de l'entente et la convivialité entre l'Espagne et le Maroc, plus particulièrement entre le Royaume et la Catalogne, a été marqué par la présence notamment du Conseiller du Souverain et de l'ambassadeur du Maroc en Espagne, M. Omar Azziman, tous deux membres du comité d'honneur de la Fondation Tanja, ainsi que celle du président du parlement catalan, Ernest Benach et d'autres personnalités catalanes et espagnoles.La Fondation Tanja avait annoncé en mars dernier la tenue d'une série de rencontres de haut niveau tout au long de l'année 2009 pour consolider l'entente et la convivialité entre l'Espagne et le Maroc.L'objectif de ces rencontres de haut niveau est de montrer aux Catalans, en particulier, et aux Espagnols, en général, une autre image du Maroc, loin des stéréotypes, un Maroc engagé sur la voie de la modernité où existe une société ouverte et engagée et où les femmes sont libres et émancipées, souligne-t-on du côté de la Fondation.
Par MAP
Après la voiture, voici le vélo Google Street View Youtube
Après la voiture, voici le vélo Google Street View
La polémique entourant l'opération européenne de Google Street View ne risque pas de cesser rapidement, car après la voiture, voici que Google utilise le vélo Google Trike pour prendre des photos. L'équipe de cartographie de Google veut pousser encore plus loin l'expérience et demande au public britannique de choisir trois endroits inaccessibles en voiture pour aller explorer l'endroit avec son véhicule équipé pour capturer des images à 360 degrés. Voici un vidéo qui présente le Google Trike de passage à Rome.Pendant ce temps, c'est en Allemagne que Google semble encore avoir des problèmes avec les autorités. Le gouvernement a demandé à Google de s'assurer de respecter les lois allemandes avant la mise en ligne des images. Le hic, c'est que la loi allemande interdit toute publication de photo d'un citoyen et de ses biens sans sa permission. Autant dire qu'on ne verra pas grand-chose de l'Allemagne sur Google Street View. De son côté, Google veut plutôt utiliser l'approche du retrait sur demande et laisser les citoyens allemands signifier eux-mêmes leur volonté de ne pas voir leur bien, comprendre ici résidence ou voiture, être présenté en ligne.