阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, October 25, 2010

Société Générale Algérie s’implante à Médéa



L’inauguration officielle de l’agence Société Générale de Médéa a eu lieu hier après-midi, en présence de Gérald Lacaze, président du directoire de la Société Générale Algérie.

Dans une déclaration, ce dernier dira que la wilaya de Médéa est importante sur tous les plans (démographie, commerce, artisanat et agriculture) ce qui justifie cette inauguration. «Pour le moment, notre cible est le client particulier. Nous attendons d’autres agréments afin que nous puissions travailler avec les professionnels et les entreprises et assurer aussi les prestations liées au commerce extérieur. Ces dernières (opérations extérieures) sont assurées, pour le moment, dans notre agence de Blida», annoncera-t-il.

M. Lacaze rappellera à l’occasion que Société Générale Algérie compte 63 agences. Cette banque vient aussi d’avoir de nouvelles implantations à Chlef, Batna et Skikda. Celle de Chéraga (Alger), la deuxième dans cette localité, sera destinée uniquement aux professionnels. Société Générale Algérie prévoit aussi de s’implanter à Ghardaïa, Ouargla et Hassi Messaoud. En somme, cette banque française compte 1300 collaborateurs et 260 000 clients.

Mohamed Abdelli

Jumelage entre Villeurbanne et El Eulma



«Un face à face gagnant-gagnant»
Le jumelage entre Villeurbanne, grande ville de la ceinture lyonnaise, et El Eulma, jadis village, devenu grande commune de la périphérie de Sétif, sera le premier jumelage en tant que tel jamais opéré entre une commune algérienne et une commune française.

C’est ce qu’il en est ressorti d’une récente table-ronde.
Samia Belaziz, adjointe au maire de Villeurbanne, déléguée à la coopération internationale, est la maîtresse d’œuvre du futur jumelage. Il s’appuie notamment sur la coopération décentralisée qui s’est déjà beaucoup développée entre le Grand Lyon (Lyon et commune limitrophes) et Sétif. Le chargé de mission de cette relation, Hafid El Maghnouji, devait en dresser un tableau édifiant, indiquant qu’un autre partenariat s’instruisait entre Lyon et Alger. Outre l’agence d’urbanisme, les transports publics ou encore le tramway, parmi les fruits les plus beaux de cette mission, il signale le projet d’un pôle de compétitivité qui s’installerait à Sétif, et travaillerait en liaison avec l’ensemble des bassins d’un réseau méditerranéen jumelés avec Lyon.

Linda Belaïdi, qui préside aux destinées de Maghreb business networking (Club Medax), replace le contexte de l’action entre opérateurs français (ou franco-algériens) et algériens. «Il faut s’ancrer dans une démarche collective», et ne pas s’engager dans des affaires à sens unique. «L’Algérie a des besoins énormes et consent des investissements énormes, mais il faut être présent.» Parlant de «culture d’haleine», la femme d’affaires estime qu’il faut «être face-à-face», dans des propositions qui «apportent des vrais emplois en Algérie, et par l’investissement des bénéfices en Algérie». C’est du gagnant-gagnant qui peut largement être porté par des Franco-Algériens conscients des besoins de leur pays d’origine. Tout le contraire de ce que les économistes appellent le «one shot». C’est ce que Jihad Belamri constate. Responsable de l’association Créacteur, qui appuie les projets des jeunes dans les cités, il est patron d’une société qui a une filiale en Algérie. «L’Algérie, il faut y aller avec une forte envie de rester, et de nouer des partenariats. A partir de zéro, on a pu créer à Alger Be Maghreb qui existe aujourd’hui encore. On a pris des parts de marché en luttant pied à pied contre les Chinois.»


Radia Mousli a aussi une forte envie du pays. Elle a tenté l’essai en travaillant pendant trois ans chez Cevital à Béjaïa. «J’ai été surprise par la qualité du niveau de compétences techniques, même s’il reste à valoriser la question management et gestion.» Pour aller en Algérie, reconnaît-elle maintenant qu’elle est revenue dans la région lyonnaise, «l’argent ne doit pas être la motivation principale. En revanche, il y a des opportunités à saisir dans les projets ambitieux sur lesquels on travaille».
Un expatrié français a créé une société avec un Algérien, et il travaille depuis quelques mois à El Eulma dans le domaine de l’assainissement. «Maintenant, je pense, je vis, je mange, je dors à El Eulma», clame-t-il avec émotion. Milouka Hadj-Mimoune, présidente du centre social de Saint-Jean, lance un vrai cri du cœur : «La coopération et la réussite d’entreprises en Algérie doivent être un appel pour nos jeunes qui sont plein de compétences, mais souffrent ici du chômage.

Ce jumelage, on l’attendait et je pense que ça ira jusqu’au bout. On a besoin de cette énergie.» Vaste question sociale qu’une deuxième table ronde, sur les aspects «culture et citoyenneté» ne pouvait résoudre, tant le temps était limité. Le débat est en tous les cas ouvert pour ceux qui veulent s’imprégner de la réalité algérienne. Le jumelage promis entre Villeurbanne et El Eulma, loin du folklore habituel de ce type d’échanges, pourrait être un vecteur attractif. Coorganisateur de la rencontre, le Cercle des Algériens en Rhône-Alpes (CARA), qui n’en est pas à son coup d’essai, remettra le couvert d’une façon où d’une autre, particulièrement en 2011 pour célébrer son dixième anniversaire.


Walid Mebarek

La nouvelle carte routière de l’Algérie



La nouvelle carte routière de l’Algérie sera disponible gratuitement pour les autorimobilistes à travers le pays à partir du mois de novembre.
lundi 25 octobre 2010.
C’est ce qu’ont indiqué les éditeurs du projet. L’achèvement de l’autoroute Est-Ouest en Algérie, le lancement de nouvelles rocades, de voies express et de nouvelle bretelles ou encore l’apparition de nouveaux quartiers ont provoqué une refonte du plan de circulation. Ceci implique donc une redéfinition du nouveau réseau routier pour faciliter les déplacements. C’est désormais chose faite. La carte routière de l’Algérie a été actualisée pour intégrer toutes les nouvelles infrastructures routières et autoroutières ainsi que les destinations touristiques.

Ce projet, qui va être éditée vers la fin de ce mois, retracera, selon ses initiateurs, les différents itinéraires routiers ainsi que toutes les autres infrastructures touristiques à travers l’Algérie. Mme Djazia Cheikh Chouikh, chargée de ce projet, a expliqué que « toutes les modifications ont été prises en compte dans cette nouvelle carte ». L’objectif de cette mise à jour, a-t-elle souligné, consiste à « familiariser le citoyen avec les cartes géographiques et les plans vu que l’Algérien n’a pas la culture des cartes lors de ses déplacement, mais aussi de favoriser le tourisme local ». Emplacement des hôtels, restaurants, stations-service, aires de repos, sites touristiques, plages, ports de plaisance, ainsi que tous les numéros de téléphone utiles… sont autant d’informations pratiques que tous les usagers de la route pourront consulter dans cette nouvelle carte routière.

Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com
D’après le Soir d’Algérie

compagnies allemandes spécialisées dans les eaux attendues prochainement à Alger



Emboitant le pas aux compagnies américaines
Des compagnies allemandes spécialisées dans les eaux attendues prochainement à Alger



Une délégation composée de représentants des compagnies allemandes spécialisées dans le secteur des eaux, l’hydraulique et l’assainissement, est attendue fin novembre prochain en Algérie. Elles comptent étudier avec les autorités concernées les opportunités d’investissement disponibles dans notre pays. Il y a lieu de souligner que la dernière visite d’une délégation de ce genre remonte à quelques années. En fait, il semble que les allemands sont encouragés par la performance de la société allemande, Gelssenwasser, qui a bénéficié d’un contrat portant sur la gestion du réseau des eaux et d’assainissement dans les wilayas d’El Tarf et d’Annaba.

La visite de la délégation allemande s’inscrit dans le cadre de la stratégie du renforcement des compagnies allemandes dans les 5 années à venir, avec un budget estimé à 780 milliards de dinars, soit l’équivalent de 10.81 milliards de dollars. A relever aussi que les compagnies allemandes comptent rafler 350 contrats dans le secteur des eaux et 48 dans l’assainissement, ainsi que la réalisation de 35 barrages et des stations de dessalement d’eau de mer.

Ouverture du Festival culturel international du malouf à Constantine


Hommage posthume au regretté Abdelkader Toumi
Le rideau s'est levé, samedi soir au théâtre régional de Constantine (TRC), sur la 4e édition du Festival culturel international du Malouf, en présence des autorités locales, d'un représentant du ministère de la culture et d’un public très nombreux.
La cérémonie d'ouverture a été marquée par des allocutions du wali, M. Noureddine Bedoui, qui a assuré que les activités culturelles, moyen de sauvegarde de notre patrimoine, constitueront "l'une des priorités de la wilaya", et de M. Abdelkader Bendaâmache, représentant du ministère, qui a souligné la place qui échoit désormais à la culture dans notre pays.
Cent-vingt festivals sont institués en Algérie, dont 7 pour la seule ville de Constantine, a notamment indiqué ce journaliste, musicien et homme de radio.
La soirée a ensuite donné lieu à un hommage posthume au regretté Abdelkader Toumi, grande figure du Malouf constantinois, récemment rappelé à Dieu et auquel est dédiée l'édition 2010 de la manifestation. Un hommage a également été rendu à d'autres icones de cette musique, à l'image de Hadj Mohamed-Tahar Fergani, Abdelkader Darsouni, Ahmed Serri, Hamdi Bennani et Dib Layachi. La partie musicale de la soirée aura permis au public, malgré l'heure tardive, de goûter avec enchantement au style andalou typiquement constantinois grâce à Salim Fergani qui a exécuté de façon magistrale une nouba, Ram el maya, avant de "bifurquer" vers un "zdjoul" rythmé par les battements de mains d'une assistance ravie.
L'orchestre féminin tunisien "Azifat", dirigée par la talentueuse violoniste Amina Serarfi, clôturera en apothéose la première "sahra" du festival en interprétant des morceaux connus de tous les pays du Maghreb, rendus célèbres par Ali Riahi, Saliha, Salim Lehlali et autre Hedi Jouini.
La formation féminine aura réussi à donner un vrai bain de jouvence à tous les morceaux interprétés, donnant par-là même le "la" à un festival qui promet beaucoup avec le passage attendu sur scène, en plus des artistes constantinois, des troupes de Hacène Laribi de Libye, de Abdelfattah Bennis du Maroc, la formation syrienne "El Andalous", et celle de la cantatrice espagnole de Séville Begona Olivida.

La maison de l’Algérie» ouvre ses portes à paris


Un grand Salon du mariage y est prévu
Les 13 et 14 novembre prochains sera organisé le grand Salon du mariage oriental qui permettra de rapprocher les cultures et sociétés civiles.

L’association Maison de l’Algérie, fraîchement créée en France par une dynamique équipe dirigée par Mme Naïma Iratni et Yves Jalabert pour encourager et soutenir toutes les initiatives visant à rapprocher l’Algérie et la France, s’apprête à signer sa première manifestation.
Ainsi et pour renforcer les liens culturels entre les sociétés civiles des deux pays, elle organise le grand Salon du mariage oriental les 13 et 14 novembre prochain. Cette manifestation se déclinera comme une entrée en matière à cette maison de l’Algérie qui sera ouverte à l’occasion.

Mme Naïma Iratni et ses collaborateurs, Patrick Le Berrigaut et Yassine Chérif Mostaghanemi ambitionnent de faire de Maison de l’Algérie, un espace d’échanges d’expériences entre les porteurs de projets des deux pays, et pourquoi pas, réaliser des programmes communs. La création de cette association traduit, d’après eux, cette relation «exceptionnelle, fondée sur des liens humains profonds enracinés dans les sociétés française et algérienne».

La Maison de l’Algérie est ainsi née d’une volonté de la société civile française et algérienne de fonder «ce foyer» afin de mobiliser les énergies et les ressources de part et d’autre, fédérer les acteurs et impulser une dynamique de projets et d’ambitions communs.
Cette association s’engage également à apporter son savoir-faire et son aide en termes de promotion à tous les projets économiques, sociaux, touristiques, culturels, artistiques, universitaires et technologiques des deux pays.

Ceux qui sont tentés de s’installer dans cette construction sociale, culturelle et humaine peuvent déjà faire un tour virtuel à www.maisondelalgerie.org, avant le grand Salon du 13 novembre prochain.

H. M.