PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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La neige est tombée dans plusieurs wilayas du nord de l’Algérie mais la situation devrait s’améliorer dès demain selon l’ONM.dimanche 10 janvier 2010. L’hiver s’est installé dans toutes les régions d’Algérie. Le temps clément a laissé place à la pluie, au vent et même à la neige sur les hauteurs de plus de 600 m, dans le Centre et à l’Ouest. Les températures ne dépasseront pas 6° durant la nuit dans la capitale, 4° à Oran, -2° à Constantine et -4° à Médéa, Sétif et Tiaret. Le sud du pays ne sera pas épargné par la vague de froid, puisque le thermomètre affichera -2° à Hassi R’mel et Laghouat, 2° à Béchar et Ghardaïa, 4° à Biskra et 6°à Hassi Messaoud et In Salah. Aujourd’hui, la vague de froid persistera au centre et dans l’est du pays, où des nuages denses couvriront le ciel dans la matinée, accompagnés d’averses. Le climat connaîtra toutefois une amélioration à partir de cet après-midi au Centre et dans l’Est de l’Algérie, alors que le ciel sera couvert en fin de journée à l’Ouest. Le trafic routier était très difficile sur certains axes routiers. Il a fonctionné au ralenti. Les citoyens ont évité les longs déplacements, sauf en cas de nécessité. Beaucoup d’Algériens ont passé le week-end cloîtrés chez eux, préférant regarder les programmes des chaînes satellitaires et consommer une bonne chorba chaude. Ceux qui se sont hasardés à sortir ont pris avec eux bonnet, écharpe et manteau pour être au chaud. Dans la wilaya de Blida, les monts de Chréa et toute la chaîne de l’Atlas blidéen, jusque vers le mont de Tamesguida, dans la wilaya de Médéa, étaient couverts d’un épais manteau blanc. Ce beau tableau hivernal offert par Dame Nature a fait des heureux. Les enfants notamment s’en sont donnés à cœur joie. Confection de bonhomme de neige ou autres jeux, dont les batailles de boules de neige. Une virée à Chréa permet de respirer, de changer d’air et de quitter les nuisances de la capitale pour prendre un grand bol d’air frais. Les massifs montagneux du Djurdjura (Kabylie), du Zaccar, de l’Ouarsenis et du Dahra (wilaya de Aïn Defla) et Chlef étaient également couverts hier matin d’une épaisse couche de neige. Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après El Watan
Obama tente de lever les préventions sur la réforme de la santé WASHINGTON - Barack Obama a une nouvelle fois fait campagne samedi en faveur de la réforme du système de santé, actuellement en discussion entre le Sénat et la Chambre des représentants.
Profitant de son intervention hebdomadaire à la radio, le président américain a assuré que ses compatriotes ressentiraient très vite les bienfaits de cette réforme. Le projet est entré dans sa dernière phase parlementaire avec les négociations entre les deux chambres, qui ont adopté chacune leur version, pour tenter de parvenir à un texte commun. Une telle synthèse devra alors être votée par les deux institutions avant d'être soumise au chef de la Maison blanche pour ratification. "Nous sommes sur le point d'adopter une réforme de l'assurance-maladie qui donnera enfin aux Américains la certitude qu'ils peuvent disposer de soins abordables et de qualité, qu'ils perdent leur emploi, qu'ils changent d'emploi, qu'ils déménagent ou qu'ils tombent malade", a dit Barack Obama. Evoquant le ressentiment éprouvé par de nombreux Américains à l'encontre des assureurs privés, il a ajouté: "Les pires pratiques du secteur de l'assurance seront à jamais interdites". Tout en reconnaissant qu'il faudra des années pour mettre en oeuvre l'ensemble de la réforme, le président américain a ajouté: "Ce que doit savoir chaque Américain, c'est que dès que j'aurai ratifié la réforme, des dizaines de protections et d'allocations prendront effet cette année". La Chambre, dont la version a été approuvée le 7 novembre, et le Sénat, qui a voté la sienne le 24 décembre, doivent notamment aplanir leurs divergences sur le volet fiscal du projet, les dispositions relatives à l'avortement et l'option publique. Cette couverture maladie qui concurrencerait le secteur privé a été retenue par les représentants, mais pas par les sénateurs. Farouchement hostile au projet, le camp républicain a menacé de déployer tout l'éventail des procédures parlementaires pour freiner la réforme. La majorité démocrate espère quant à elle parvenir à un compromis avant le discours sur l'état de l'Union, que le président doit prononcer fin janvier ou début février.
Culminant à plus de 1500 mètres au beau milieu de l’Ouarsenis, la commune de Sidi Slimane incarne on ne peut mieux le renouveau rural dans lequel s’est lancé le pays ces dernières années et respire à présent la quiétude et la paix mais aussi la dynamique d’une nouvelle ère. Faisant partie des 22 communes de la wilaya de Tissemsilt, Sidi Slimane n’est assurément pas Sidi Slimane des années 90. Car ici comme dans toutes les contrées de l’Ouarsenis, on croit dur comme fer que l’histoire s’écrit désormais autrement que par la terreur, la douleur et l’isolement.A l’image de toutes les autres agglomérations de la région, réputées pour être pauvres en ressources naturelles et montagneuses à hauteur de 60% de la superficie totale de la wilaya, les affres du terrorisme ont causé d’énormes dégâts et poussé les populations à l’exil vers des cieux plus « cléments ». « Il fallait voir notre village pour croire. Il n’y avait que les fantômes ! », résume aâmi Mouloud qui se souvient avec un pincement au cœur de cette terrible épreuve. Conséquence directe de la décennie noire, les Sidi Slimane, Beni-Chaib, Lardjem, Melaab et autres Layoune, Bordj Bounaâma et Ouled Bessem vivront pendant de longues et interminables années dans un dramatique enclavement qui a eu des répercussions néfastes sur le développement local. « C’étaient des moments douloureux », commente encore le vieil homme qui ne cache pas aujourd’hui sa fierté de voir son village revivre. « Vous voyez, on a même construit une piscine », fait-il remarquer avec subtilité. Une remarque qui n’est pas innocente et par laquelle, il veut attester que l’on commence réellement ici à reprendre goût à la vie et à entrevoir l’avenir sous de meilleurs auspices. Preuve en est, ces réalisations qui fleurissent sur les flancs de l’Ouarsenis et ces chantiers de tous genre qui sont lancés en grande pompe. Et naturellement, l’espoir renaît de plus belle pour une population qui aspire à se réconcilier avec son environnement naturel qui a été, d’ailleurs, toujours le sien. « C’est la terre de nos ancêtres et nous n’avons pas d’autres attaches », estime Mouloud, un père de trois enfants, qui est revenu « chez lui » après un exil de quelques années à Boumerdès qu’il dit « forcé ». « Qui pouvait rester ici à cette époque ? En plus de l’insécurité, il n’y avait aucun moyen pour survivre », tient-il à se justifier. Aujourd’hui, il fait partie des travailleurs du chantier de la réalisation d’une retenue collinaire, sis en contrebas de l’Ouarsenis, à Tamalahet plus précisément, distante du chef-lieu de Tissemsilt d’une quarantaine de kilomètres. « Avec une capacité de 1 million de m3, ce petit barrage sera d’une grande utilité pour les populations environnantes, aussi bien pour l’alimentation en eau potable que pour l’irrigation agricole », observe un élu local en marge de la visite du ministre des Ressources en eaux qui a fait une halte dans ce chantier à l’occasion de sa visite qui l’a menée dans plusieurs communes de la wilaya.Le retour des populations et surtout leur stabilisation. C’est justement l’un des premiers objectifs que s’est assigné l’Etat quand il a décidé, une fois la paix et la sécurité retrouvées, de prendre le taureau par les cornes à travers les différentes politiques et autres programmes de développement dont a bénéficié la wilaya de Tissemsilt, notamment la stratégie nationale du développement rural qui a fait tâche d’huile et qui commence à apporter ses fruits. Etant le principal artisan de cette stratégie, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural est très apprécié ici, dans l’Ouarsenis, et le moins que l’on puisse dire est qu’il a la côte. « Il était convaincu de ce qu’il entreprenait et sa vision des choses a séduit plus d’un. Je me rappelle que lors de ses nombreuses visites, il insistait beaucoup sur cette question de la nécessité d’inciter les populations à revenir chez eux et d’y rester car, selon lui, et il avait parfaitement raison, faire revenir les gens en ne leur proposant rien comme boulot ou de revenus était inutile », nous affirme un quinquagénaire qui s’est reconverti en garde communal pour défendre, dit-il, son honneur. C’est ainsi que l’une des premières actions entreprises par l’Etat dans l’optique d’encourager les citoyens à s’installer dans l’Ouarsenis était la construction des logements ruraux. « Depuis 2005, l’on a réalisé 12.000 unités dont 50% sont achevés et habités », nous confie le wali de Tissemsilt qui soutient que le développement économique et social commence à faire son chemin. 12.000 logements ruraux pour stabiliser les populationsDès lors que la question du logement est réglée, les citoyens auront besoin des conditions idéales pour une vie décente. On pense notamment à l’emploi, à l’eau, aux voies d’accès (pistes et routes) et à d’autres commodités nécessaires. « On fait une sorte de recensement des besoins des populations rurales et là où on passe, on demande aux gens d’exprimer leurs besoins afin d’avoir une vision bien claire », explique le conservateur des forêts de la wilaya de Tissemsilt qui assure qu’il existe une dynamique réelle dans le monde rural de l’Ouarsenis. Et quoi de mieux que les projets de proximité de développement rural intégrés (PPDRI) pour redonner à cette région goût à la vie et relancer la dynamique locale. A ce propos, l’on apprend auprès de la conservation des forêts de Tissemsilt qui pilote ces opérations que pour l’année 2009, quelque 32 PPDRI ont été formulés dont 17 ont été lancés déjà alors qu’au total, 27 sont validés et confirmés. Sur les 32 projets en question, l’on compte 17 PPDRI qui ont trait au thème fédérateur (3), en l’occurrence la protection et la valorisation des ressources naturelles comme le reboisement, les projets de proximité pour la lutte contre la désertification ou encore les ouvertures des pistes. A terme et une fois l’ensemble des PPDRI sont concrétisés sur le terrain, l’impact et l’incidence sur les populations seront considérables dans la mesure où ils concernent (les projets) plus de 660 ménages pour près de 3.700 personnes éparpillées sur 30 localités de l’Ouarsenis (16 communes). En termes d’emploi, l’on prévoit rien que pour 2009 la création de 946 postes d’emploi tandis que les investissements consentis par cette trentaine de PPDRI tournent autour de plus de 40 millions de centimes. Des PPDRI créatrices de richesses« En 2008 déjà, on a formulé 40 PPDRI dont 38 ont été validés », nous informe Haroun Abdelhamid, chef de service au niveau de la conservation des forêts de Tissemsilt qui souligne que les populations reviennent par grandes vagues dans leurs douars. Et pour l’année 2010, et dans la cadre des contrats de performances 2009 – 2014 du renouveau rural qui touche les 48 wilayas du pays, l’on table à Tissemsilt sur 31 PPDRI qui sont en cours de formulation dont plus de 60% concernent les projets de proximité pour la lutte contre la désertification. Au final, « le cahier de charges » du contrat de performance 2009 – 2014 de la wilaya de Tissemsilt fait état d’un engagement pour réaliser 193 PPDRI parmi lesquels 105 projets sont en relation avec la protection et la valorisation des ressources naturelles. Pour illustrer le renouveau rural qui se met en marche un peu partout dans le pays, un ambitieux programme de réalisation de 10.000 unités d’élevage a été lancé pour cette année de 2009 et naturellement, la wilaya de Tissemsilt n’est pas restée à travers en réalisant 555 unités dans l’apiculture dont une soixantaine sont des PPDRI (175 projets), l’élevage ovin (250 projets), l’élevage bovin (120), l’élevage caprin (10 projets) qui ont touché 19 communes et 63 localités. « Avec la contribution des centres de formation professionnels, nous avons lancé des cycles courts de formation au profit des bénéficiaires de ces projets, ce qui leur a permis d’apprendre les techniques essentielles pour la bonne marche de ces unités d’élevage », se félicite le conservateur des forêts de Tissemsilt. De nos envoyés spéciaux à TissemsiltSid Ahmed Merabet
Une économie qui éloigne la dépendance pétrolière Les conditions de la relance sont réunies au prix de deux décennies d’effort consenti dans la mise en œuvre du programme global du Président de la République. Les stratégies qui seront mises en œuvre durant ces cinq ans sous- tendent des objectifs clairement définis et en conformité avec les options nationales et en adéquation avec les aspirations citoyennes. L’Algérie investit et s’investit dans la résorption des retards subsistants. Dans cet élan, il faut dire toute la volonté des pouvoirs publics de venir à bout de la problématique du chômage, de poursuivre l’effort consenti dans le développement humain, et de mettre sérieusement le cap sur une économie productive et qui consacre l’indépendance vis-à-vis du pétrole et consolide la souveraineté nationale. L’action de l’Etat ces dernières années, a permis certes de combler des déficits au niveau des secteurs clés et de répondre à une demande sociale, mais les pouvoirs publics sont conscients de l’impératif qu’il y a de maintenir le cap pour relever les défis à venir et consolider les acquis enregistrés. Le Président de la République a, faut-il le rappeler, rassuré sur la continuité de l’investissement public dans la perspective d’améliorer substantiellement les conditions de vie de toutes les couches et dans toutes les régions du pays. C’est un investissement de 150 milliards de dollars qui sera injecté dans les rouages de l’économie nationale pour poursuivre la modernisation des infrastructures, mais aussi pour mettre en œuvre une politique industrielle, laquelle est entourée de toute l’attention du Président de la République. Le Chef de l’Etat, qui apprécie la place de la PME/PMI dans l’incontournable diversification de l’économie nationale, voire dans la substitution à l’économie de la rente met la barre très haute avec une volonté déterminée de créer 200 000 nouvelles entreprises durant ce quinquennat. lequel verra la mise en œuvre d’une stratégie industrielle. «L’Algérie entend désormais conjuguer ses efforts d’investissements publics au bénéfice du bien-être de la population, avec une implication substantielle des pouvoirs publics dans le domaine de la création de richesses et de biens localement, pour faire avancer la diversification indispensable de notre économie nationale.» a eu à souligner le Président de la République. L’Algérie a beaucoup de potentialités jusque-là disproportionnellement exploitées, voire inexploitées. Des secteurs comme l’agriculture, le tourisme et l’industrie, demeurent des atouts majeurs à même de permettre au pays de réaliser ses ambitions. Ce sont des cartes maîtresses à mettre à contribution pour construire une économie pérenne. C’est qu’à l’ombre de la politique menée par le Président de la République, le développement national, est incontestablement sur rails sous la conduite du Président et ouvre la voie de l’émergence, du progrès et de la prospérité.
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