阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, September 28, 2008

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Terre Climat réchauffement





Le réchauffement climatique risque d'entraîner une élévation massive du niveau des mers et de diminuer sérieusement les ressources en eau

26/09/2008 à 18:26 par René Tregouët
Selon de récentes études scientifiques convergentes, les changements climatiques menacent sérieusement les ressources en eau de la planète et risquent également d’entraîner une hausse bien plus importante que prévue du niveau des mers. Un rapport du Programme des Nations unies pour l’environnement publié le 2 septembre révèle que tous les glaciers auront fondu d’ici à la fin du siècle, ce qui devrait mettre en danger l’approvisionnement en eau de centaines de millions de personnes. Ce rapport confirme que la moyenne annuelle des taux de fonte des glaciers a doublé après le tournant du millénaire, avec des pertes record en 2006 au niveau d’un réseau de sites de référence.
Entre 1996 et 2005, les glaciers ont, selon ce rapport de l’ONU, perdu en moyenne l’équivalent en masse d’un mètre d’épaisseur d’eau, ce qui représente le double de la fonte observée durant la période 1986-1995, et plus de quatre fois la masse perdue entre 1976 et 1985. Les rares périodes de gains de masse se trouvent dans les Alpes à la fin des années 1970, au début des années 1980 dans les zones côtières de la Scandinavie et dans les années 1990 en Nouvelle-Zélande. Le programme des Nations Unies pour l’environnement rappelle aussi que l’augmentation moyenne mondiale de la température de l’air est d’environ 0,75°C depuis la fin du 19ème siècle."Les glaciers de l’Himalaya, région où la subsistance de 1,3 milliard de personnes est en jeu, reculent plus rapidement que partout ailleurs dans le monde", affirme Mats Eriksson, responsable du programme pour la gestion de l’eau au Centre international du développement intégré des montagnes. Bien que les hautes altitudes, l’éloignement et la coopération difficile entre les pays de cette région compliquent les études pour comprendre le phénomène, M. Eriksson estime qu’il est évident que "la région est particulièrement affectée par les changements climatiques". "Le recul des glaciers est énorme, jusqu’à 70 mètres par an", précise-t-il.Xu Jianchu, qui dirige le Centre pour les études de l’écosystème montagnard en Chine, assure lui aussi que le changement climatique ravage l’Himalaya, soulignant par exemple que les températures sur le plateau tibétain ont augmenté de 0,3 degré par décennie, "le double, note-t-il, de la moyenne mondiale".Il est difficile de quantifier les répercussions sur les disponibilités en eau, mais l’impact est réel dans la région où glaciers et neige contribuent à 50 % de l’eau qui coule des montagnes et alimente neuf des plus grandes rivières d’Asie. L’Himalaya, connu pour "être le toit du monde", s’étend à travers la Chine, l’Inde, le Népal, le Pakistan, la Birmanie, le Bhoutan et l’Afgas. La chaîne montagneuse constitue une source importante d’eau pour l’une des régions les plus peuplées de la planète, soit 1,3 milliard de personnes recensées dans le bassin de l’Himalaya. "La neige et la glace fondent, fournissant une source très importante d’eau fraîche pour l’irrigation, l’énergie et l’eau à consommer en aval", explique M. Xu.Les glaciers ont d’énormes capacités de conservation de l’eau. Si les niveaux d’eau augmentent à mesure que la glace fond, à long terme, la disparition des glaciers va réduire l’eau disponible en aval. "La subsistance (des populations) sera durement affectée" par ce phénomène, souligne M. Eriksson. Parallèlement à la fonte des glaces, les scientifiques notent que les précipitations dans nombre de régions de l’Himalaya apportent plus de pluie en période de mousson et moins en période sèche. "Les régions plus sèches deviennent encore plus sèches alors que les régions les plus humides deviennent encore plus humides", résume Rakhshan Roohi, chercheuse à l’Institut de recherches en ressources en eau du Pakistan.Selon M. Eriksson, les effets des changements climatiques ont été particulièrement ressentis dans la partie ouest plus sèche de l’Himalaya. Outre les conditions climatiques incertaines pour les récoltes, qui ont provoqué la migration de personnes à la recherche de moyens de subsistance alternatifs, les agriculteurs sont confrontés à un nombre croissant de désastres naturels tels que des crues soudaines et le débordement des lacs. "J’imagine qu’auparavant, la région souffrait d’une crue soudaine par saison et les gens arrivaient peut-être à s’y adapter. Mais si on a trois, quatre ou cinq crues soudaines, c’est probablement trop. La question est de savoir combien (de crues) la population est capable de tolérer sans perdre ses bases de subsistance", conclut M. Eriksson.Une autre étude publiée en août 2008 montre que deux des plus grands glaciers du Groenland sont en passe de se désintégrer. Un morceau de 29 kilomètres carrés du glacier de Petermann dans le nord du Groenland s’est détaché entre le 11 et 24 juillet, ce qui correspond à la moitié de la superficie de Manhattan, a précisé Jason Box, professeur-associé au centre de recherche polaire de l’Université d’Ohio (nord) dans un communiqué. Les précédentes pertes importantes de glaces flottantes subies par le glacier Petermann, à savoir 86 kilomètres carrés, se sont produites entre 2000 et 2001.Mais ce qui inquiète encore davantage Jason Box et son équipe dans les dernières images satellitaires est une énorme brèche partant du bord du glacier Petermann et qui pourrait signaler la brisure prochaine d’une partie beaucoup plus importante. Si la cassure se produit jusqu’au rift en amont du glacier, une portion allant jusqu’à 160 kilomètres carrés pourrait alors se détacher, ce qui représenterait un tiers de la masse du glacier, ont expliqué ces scientifiques. Le glacier a une surface de flottaison de 16 kilomètres de large sur 80,4 kilomètres de long, couvrant 1.295 kilomètres carrés. Ces scientifiques ont aussi indiqué que l’immense glacier Jakobshavn poursuivait sa contraction et que sa bordure n’avait jamais été aussi loin à l’intérieur des terres en 150 ans d’observation.Selon eux, ce glacier ne s’est pas contracté aussi loin depuis au moins 4.000 à 6.000 ans. Le bras nord du Jakobshavn s’est détaché au cours des dernières semaines et le glacier a perdu dix kilomètres carrés depuis la fin de la dernière saison de fonte. Au moins un dixième des icebergs du Groenland proviennent du Jakobshavn, ce qui en fait le glacier le plus productif de cette région. Le glacier a perdu 94 kilomètres carrés entre 2001 et 2005, un phénomène qui a fait prendre conscience de l’ampleur de l’impact du réchauffement climatique sur les glaciers dans le monde, ont relevé ces glaciologues.Une arche de glace de 60 mètres de hauteur et de plusieurs milliers de tonnes s’était subitement détachée le 8 juillet du gigantesque glacier argentin Perito Moreno, un phénomène unique en plein hiver austral. Les scientifiques ont lié cet événement surprenant aux effets du réchauffement du climat. Outre les images fournies par les satellites de la Nasa, l’agence spatiale américaine, les scientifiques de l’Université d’Ohio ont aussi utilisé des données provenant de caméras d’observation des effets du réchauffement climatique au Groenland.En antarctique, la situation n’est pas moins alarmante, comme le montre une étude publiée le 13 janvier 2008 dans la revue ’’Nature Geoscience’’. Selon cette étude, la fonte des glaces s’est accélérée de 75 % en dix ans le long des côtes du continent antarctique pour atteindre 192 milliards de m3 en 2006. Eric Rignot du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et l’ensemble des chercheurs ont utilisé des mesures prises par satellites couvrant 85 % de la côte du continent antarctique. D’après les scientifiques, cette fonte des glaces a atteint 132 milliards de m3 sur l’ouest du continent et 60 milliards de m3 dans la péninsule antarctique.Le continent antarctique est le plus vaste domaine polaire de la planète, situé dans l’hémisphère Sud : grand comme une fois et demie les Etats-Unis, il porte suffisamment de glace pour élever le niveau des océans de près de 60 mètres en cas de fonte totale. Alors que si la totalité de la calotte glaciaire du Groenland fond, par comparaison, le niveau des mers du globe montera de sept mètres.Le réchauffement du Pôle Nord est, pour sa part, deux fois plus rapide que celui de l’ensemble de la planète. Les glaces de la région arctique ont fondu à un rythme sans précédent l’an dernier, et le phénomène devrait s’amplifier du fait de la diminution de la réflexion des rayons du soleil sur la neige et la glace (albédo). Grâce aux observations réalisées avec ce satellite, la Nasa a constaté que "l’Arctique a perdu environ 10 % de sa couche de glace permanente tous les dix ans depuis 1980.Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, il est possible de faire le tour du pôle Nord en bateau. De nouvelles images satellite ont démontré que la fonte des glaces a permis l’ouverture des légendaires passages du Nord-Ouest et du Nord-Est. La couche de glace couvre désormais trois millions de kilomètres carrés dans cette région, soit environ un million de moins que les minima enregistrés en 2005 et 2006, selon l’agence. "Au cours des dix dernières années, il y a eu une réduction de la couche de glace d’environ 100.000 km2 par an en moyenne, une baisse d’un million de km2 en seulement un an est donc extrême", souligne Leif Toudal Pedersen, du Centre spatial danois. Selon certaines prévisions, la calotte glaciaire arctique, sensible aux bouleversements climatiques, pourrait disparaître totalement d’ici 2040.Ce réchauffement de l’océan Arctique a eu récemment des conséquences spectaculaires. En septembre, des chercheurs américains et canadiens ont annoncé que la plus importante plate-forme glaciaire de la région arctique, vieille de plus de 3.000 ans, s’était rompue entre 2000 et 2002, une conséquence selon eux du réchauffement climatique à long terme. "Des petits changements concernant la glace pourraient avoir de grandes conséquences sur le cycle de l’eau et finalement sur le climat", selon la Nasa.Les experts internationaux sur le climat (Giec) ont, dans leur dernier rapport officiel remis en 2007, renoncé à extrapoler la hausse maximale du niveau des océans à la fin du siècle, du fait des incertitudes pesant sur la rapidité de la fonte des glaces du Groenland et de l’Antarctique. L’élévation minimale a été fixée à 18 centimètres jusqu’à la fin du siècle par le Giec, qui a renoncé à fixer une limite maximum, auparavant fixée à 59 centimètres. Selon une étude de novembre du Climate Institute australien, le niveau des mers pourrait monter en cent ans de 1,40 mètre. Quand on sait que 630 millions d’habitants habitent dans les zones côtières, on mesure mieux l’ampleur du désastre que constituerait une telle élévation du niveau des mers.Toutes ces récentes études nous montrent de manière convergente que si nous voulons éviter de graves tensions en matière d’accès à l’eau potable ainsi qu’une élévation catastrophique du niveau des mers d’ici un siècle, nous devons absolument réduire de moitié nos émissions de gaz à effet de serre d’ici 2050 et de 80 à 90 % d’ici 2100. Ce défi est immense mais l’humanité n’a pas le choix si elle veut transmettre une Terre vivable aux générations futures.

Maria Carey


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Stevie Wonder Paris Bercy Europe





Stevie Wonder de retour en France, à Bercy
Il y a 9 heures
PARIS (AFP) — Stevie Wonder, une des légendes de la musique noire américaine, sera en concert dimanche au Palais Omnisports de Paris-Bercy dans le cadre de sa première tournée en Europe depuis dix ans et une quinzaine d'années après son dernier passage en France.
Le multi-instrumentiste virtuose de 58 ans aux 70 millions de disques vendus ne s'est plus produit dans l'Hexagone depuis mai 1992, au Zénith de Paris, sans compter un concert privé donné à la Cité de la musique en mars 1995 pour la parution de l'album "Conversation peace".
Bien que cet album soit sorti il y a treize ans, il ne s'agit que de son avant-dernier: il a en effet attendu dix ans pour enregistrer le suivant, "A time to love", paru en 2005 et fraîchement accueilli par la critique.
Sa période la plus fertile artistiquement a pris fin au début des années 80, date après laquelle il a sorti des albums dispensables par rapport aux précédents.
Auparavant, il avait marqué par son talent créatif non seulement la soul et la musique noire américaine mais aussi la pop dans son ensemble avec une série de cinq disques dans les années 70: "Music of My Mind" (1972) et surtout la tétralogie "Talking Book" (1972, avec "You Are the Sunshine of My Life" et "Superstition"), "Innervisions" (1973), "Fulfillingness' First Finale" (1974) et le fameux double album "Songs in the Key of Life" (1976, avec "Sir Duke", "Pastime Paradise" ou "Isn't She Lovely", écrite pour sa fille Aisha, qui l'accompagne désormais sur scène).
Ces albums étaient marqués par l'utilisation alors novatrice du synthétiseur et par une greffe de plusieurs genres -funk, pop, jazz voire reggae- sur le socle soul de sa musique.
Stevie Wonder est né Steveland Judkins (il s'est ensuite fait appeler Steveland Morris, le nom du nouveau mari de sa mère) le 13 mai 1950, à Saginaw dans le Michigan. Il est encore nourrisson lorsqu'il devient aveugle (comme celui qui sera plus tard son idole, Ray Charles) à cause d'un excès d'oxygène dans sa couveuse.
Il maîtrise plusieurs instruments (claviers, harmonica, batterie...) dès son plus jeune âge et est recruté à 11 ans par le label Motown, pour lequel il sort son premier album en 1962 sous le nom de Little Stevie Wonder. A sa majorité en 1971, il renégocie son contrat et obtient un contrôle absolu sur sa musique.
Stevie Wonder, qui a célébré la mixité raciale dans "Ebony and Ivory" ("Ebène et ivoire") en duo avec Paul McCartney en 1982, est un artiste préoccupé par le sort des Noirs aux Etats-Unis. Sa chanson "Happy Birthday", dans l'album "Hotter Than July" (1980), était dédiée à Martin Luther King et il a obtenu que le troisième lundi de janvier soit férié à partir de 1986, en hommage à l'anniversaire du pasteur (le 15 janvier).
Après avoir soutenu le démocrate John Kerry en 2004, Stevie Wonder s'est rangé aux côtés de Barack Obama pour l'actuelle campagne présidentielle américaine. Il dit voir en lui un mélange de John Fitzgerald Kennedy et de Martin Luther King.

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Jean Bernard Patrick Dreams


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http://fr.youtube.com/watch?v=XOxQMwlLlfQ&feature=related

Google Mobile change d'opérateur









Recherche
Le mobile change d'opérateur en fonction de ses besoins
Google a breveté l'idée d'un téléphone portable organisant des appels d'offre entre opérateurs, de sorte que l'utilisateur peut changer de réseau à sa guise. Un projet séduisant... à concrétiser.
Publié le 26 Septembre 2008

Le spécialiste de la monétisation des mots clefs réfléchit à l'élaboration d'un système permettant notamment de débarrasser les utilisateurs de téléphones mobiles de l'obligation de choisir un seul et même réseau. On voit ici que, si T-Mobile peut distribuer en exclusivité le smartphone HTC basé sur Android aux Etats-Unis, Google ne met pas pour autant tous ses œufs dans le même panier. Un brevet a même été déposé. Celui-ci décrit une application grâce à laquelle un mobile, un ordinateur portable ou tout autre périphérique sans fil pourrait inviter tous les réseaux disponibles à faire offre de leurs services. Les combinés fonctionnant selon ce principe enverront aux réseaux une description de leurs besoins : appel téléphonique, connexion à Internet, etc. Ils recevront en retour diverses propositions. En fonction des critères de celles-ci - coût à la minute, abonnement forfaitaire etc. - l'utilisateur choisira le réseau qui lui convient le mieux.
Choix manuel ou automatique
Ce choix sera effectué manuellement ou automatiquement par le périphérique. L'inscription sera alors conforme à des paramètres qui y auront été préenregistrés. Le brevet déposé par Google ne spécifie pas les technologies en jeu dans le projet. On peut donc rêver d'un dispositif s'adaptant indifféremment aux réseaux GSM, 3G, Wi-Fi etc. Plusieurs problèmes, en partie technologiques, restent cependant à régler avant qu'un tel dispositif ne voit le jour. Comme l'explique à L'Atelier Pierre Carbonne, consultant à l'Idate, il ne peut de toute façon pas s'agir d'une simple application logicielle. "La solution devra être implémentée au niveau du terminal même, pour qu'il soit capable de repérer les différentes bandes de fréquence présentes sur un même marché." Pour fonctionner à l'international, un téléphone devra par exemple fonctionner sur un très grand nombre de bandes. Ce qui n'existe pas encore. "Mais même dans un seul pays, il existe des différences non seulement entre opérateurs mais aussi entre technologies."
Problèmes technologiques et industriels
"D'autant plus qu'il va y avoir de plus en plus d'allocation de spectres." La multiplication des bandes est donc telle qu'un périphérique pourra difficilement y accéder de façon exhaustive. Autre difficulté : "le terminal devrait à tout moment scanner les différentes offres des opérateurs disponibles. Cette dépense d'énergie est telle que la durée de vie de la batterie risque d'en pâtir." Si les constructeurs venaient à bout de ces difficultés technologiques, le prix des périphériques devrait de toute façon s'en faire ressentir. Il faudrait enfin obtenir l'accord du plus grand nombre d'opérateurs possibles pour que ce système soit vraiment attrayant. Y ont-t-ils intérêt ? "Certains, notamment ceux qui ont de petites parts de marché ou une politique agressive, pourraient être tentés mais les grands acteurs du secteur auront peut être moins intérêt à le faire".

Alger La Blanche



http://fr.youtube.com/watch?v=EoXF2l13TF4&feature=related

Hachemi Guerouabi


France Algerie 10 au 31 octobre 2008




France – Algérie : Trois semaines de débats entre Français et Algériens28/09/2008 - Lu 66 fois
Du 10 au 31 octobre, soit tout au long de trois semaines, une série de manifestations culturelles et scientifiques autour du thème «Français et Algériens : art, mémoires et histoire réunira à Paris des historiens algériens et français, des ethnologues, des sociologues, psychiatres, scientifiques et chercheurs de nombreux pays et enfin des écrivains, cinéastes et artistes qui viendront exposer leur production.
Cet événement ouvert au grand public, le premier d’une telle envergure, sera ponctué par de nombreuses expositions, un colloque international, des débats, des lectures d’ouvrages, l’ensemble du programme s’appuyant globalement sur l’histoire francoalgérienne et en particulier sur celle des harkis et de leurs descendants.
Entre autres nombreuses personnalités algériennes du monde littéraire, politique ou artistique qui prendront part à l’événement, l’historien Mohamed Harbi, les écrivains Yasmina Khadra, Bachir Hadjadj, Maïssa Bey, Yahia Belaskri, Magyd Cherfi, Ghaleb Benchikh, les professeurs de lettres Zineb Ali Benali, Malika Ouadi, le cinéaste Mehdi Laloui… et beaucoup d’autres personnalités qui, dans leur diversité et spécificité, viendront donner leur vision de l’histoire.
L’initiative émane de l’association «Harkis et droits de l’homme» qui s’est toujours distinguée par ses efforts pour «la mise en commun de différentes visions de l’histoire» et qui se bat «pour que la nation française reconnaisse officiellement sa responsabilité dans le drame des harkis, un drame qu’il serait injuste et dangereux de sortir de son contexte général de la colonisation».
«Harkis et droits de l’homme» a été, rappelonsle, une des premières associations, en tout cas la seule association de harkis, à réagir officiellement contre la loi de février 2005 sur «les bienfaits de la colonisation ». Cette association a reçu le parrainage et le soutien d’une quarantaine d’organismes privés et publics et de nombreuses personnalités, dont le journaliste Jean Daniel, le généticien Albert Jacquard, l’historien Jean Lacouture et la metteuse en scène Ariane Mnouchkine.
Trois rencontres-débats sont programmées. Le 10 octobre à 17h30 à la Fnac Ternes (Paris) : Gilles Manceron , Yasmina Khadra et Karima Berger se retrouveront autour du thème «Algérie, une histoire très actuelle».
Un autre thème, «Algérie, au fil des pages», sera débattu au Sénat le 18 octobre à 16h et permettra de suivre les échanges entre Yahia Belaskri, Karima Berger, Maïssa Bey, Eveline Caduc, Magyd Cherfi, Jacques Ferrandez, Bachir Hadjadj, Hadjila Kemoun, Benjamin Stora, Marc Testud et Behdja Traversac.
Le dernier débat, fixé au 28 octobre à 18h, sera consacré à «Mémoires et histoire» et mettra côte à côte Maïssa Bey, Bachir Hadjadj, Hadjila Kemoun et Fatima Besnaci-Lancou dans les locaux de la Fnac Digitale Odéon (Paris).
Toujours au plan de l’écriture de l’histoire et de sa transmission, une journée d’études consacrée aux enseignants est programmée à l’Hôtel de ville de Paris le 25 octobre.
Deux pièces de théâtre ont été retenues : la première, le 13 octobre au théâtre du Soleil, intitulée Madame Lafrance,d’après le livre de Maïssa Bey et toujours dans le même théâtre, mais le 20 octobre Enfant de harki, d’après un texte de Dalila Kerchouche.
Un colloque consacré aux «Nouvelles approches sur l’histoire des harkis dans la colonisation et ses suites» se tiendra les 21 et 22 octobre (sur deux jours) à l’Hôtel de ville de Paris et abordera d’abord le thème des «supplétifs durant la guerre d’Algérie et lors de l’indépendance», puis, au deuxième jour «la formation de la communauté harki en France après l’indépendance de l’Algérie».
Tout au long des rencontres, deux expositions seront données à voir : l’une, consacrée à «des portraits de harkis au Camp des invisibles» et l’autre consistera en une série de peintures évoquant «les chibanis harkis».
Au plan des manifestations cinématographiques des films divers, dont Le choix de mon pèrede Rabah Zanoun (au lucernaire le 11 octobre à 11h) ou Le silence du fleuve d’Agnès Denis et Mehdi Lalaoui, offriront aux spectateurs des visions multiples de notre histoire.
Un hommage particulier sera rendu au cours de cette manifestation à Germaine Tillon et Aimé Césaire.
K. B.-A.Source : Le soir d'Algérie

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Finance Fortis






Finance
Mobilisation en Belgique pour tenter de sauver Fortis
Les contacts se multipliaient samedi pour trouver une solution avant la fin du week-end


Les déboires de Fortis, première banque de Belgique, font trembler le pays et les contacts se multipliaient samedi pour trouver une solution avant la fin du week-end, mettant provisoirement au second plan la crise politique qui dure depuis plus d'un an.

Les négociations entre francophones et Flamands sur la réforme de l'Etat reprennent dans une semaine, mais toutes langues confondues, c'est le groupe de banque-assurance belgo-néerlandais qui faisait les gros titres samedi. Côté francophone, La Libre Belgique voit "Fortis dans les ténèbres boursières" tandis que Le Soir annonce une "Opération «sauver Fortis»". Pour le néerlandophone De Standaard, "ça passe ou ça casse pour Fortis". Plus d'un Belge sur deux est client ou salarié du bancassureur belgo-néerlandais, aussi les autorités bancaires et politiques belges se démènent-elles pour tenter d'empêcher qu'il ne soit la prochaine victime de la crise du crédit aux Etats-Unis. Car les rumeurs sur ses problèmes de solvabilité enflent, et de multiples démentis n'y font rien : l'action a encore plongé de plus de 20% vendredi, avant que Fortis n'annonce en soirée le départ de son deuxième patron en moins de trois mois. Le superviseur belge du secteur financier CBFA, qui chapeaute les marchés, les banques et les assurances, a indiqué samedi qu'il travaillait avec la Banque nationale belge (BNB) sur "des initiatives en vue de rétablir la confiance en Fortis". Une porte-parole a assuré à l'AFP qu'il était "un peu trop tôt" pour évoquer des scénarios, mais laissé entendre qu'une annonce pourrait intervenir avant la fin du week-end. "Nous sommes en contacts fréquents avec le Premier ministre et le ministre des Finances" et "on a des contacts avec tous les acteurs qui pourraient jouer un rôle dans ces initiatives", a-t-elle précisé. Le quotidien néerlandophone De Tijd évoque samedi une sorte d'union sacrée, affirmant que les responsables des grandes banques belges sont également associées à la recherche d'une solution avant la fin du week-end. Ni Dexia, ni KBC n'a voulu commenter. Au gouvernement, le ministre des Finances Didier Reynders a des "contacts permanents" sur l'affaire Fortis, y compris "avec certains de ses homologues" dont le néerlandais Wouter Bos, selon sa porte-parole. Car la situation est compliquée par le fait que Fortis soit un groupe transfrontalier. La rumeur d'une réunion de crise entre M. Reynders, M. Bos et le chef de file des ministres des Finances de la zone euro, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, n'a toutefois été confirmée dans aucun des trois pays. Pour Robert Utterwulghe, spécialiste du droit des sociétés interrogé samedi dans La Libre Belgique, "il faut un signal fort pour rendre une crédibilité à Fortis. Et ce signal fort doit arriver avant la fin du week-end, sans quoi les déposants vont paniquer". Vendredi déjà, Didier Reynders avait tenté de rassurer l'opinion en assurant qu'on "ne laissera en Belgique aucun client en difficulté". Des commentaires à double tranchant : la prise de position gouvernementale fait soupçonner que la situation de Fortis est plus grave que ce que le groupe affirme. "Dans les heures qui viennent, le premier groupe financier belge, selon que l'épargnant décide de retirer son argent de Fortis ou de l'y laisser, ce groupe qui a un lien direct ou indirect avec au moins un membre de chaque famille belge (...) passera ou non sous contrôle étranger", commentait samedi Le Soir.Au cours de clôture de vendredi, Fortis ne valait plus en Bourse que 13 milliards d'euros, un tiers de sa capitalisation de fin 2007. De quoi allécher des prédateurs, dont les noms circulent déjà : la française BNP Paribas, la néerlandaise ING, l'espagnole Santander, l'allemande Deutsche Bank ou encore la britannique HSBC. ----------------------------------------------------------------
Bradford & bingley nationalisée ?La banque britannique Bradford & Bingley (B&B), touchée par la crise immobilière, pourrait être nationalisée, ont rapporté des quotidiens britanniques samedi. Citant des sources anonymes, le Daily Telegraph et le Daily Mail écrivent tous deux que le gouvernement britannique étudie une nationalisation de la banque en difficulté, un peu plus d'un an après la faillite de sa consoeur Northern Rock qui avait fini par être nationalisée en début d'année.Un porte-parole de B&B a néanmoins assuré au Telegraph que l'établissement disposait "d'importantes réserves". "Tant que la spéculation continue, nous ne commentons pas les rumeurs de marché", a-t-il ajouté. La banque britannique a annoncé jeudi la suppression de 370 postes, principalement à son centre de traitement des prêts immobiliers près de Londres, afin d'économiser 15 millions de livres (18,9 millions d'euros). Le Sunday Telegraph avait affirmé dimanche que l'autorité britannique des services financiers (FSA) menait des négociations secrètes pour favoriser le rachat de B&B. Celle-ci avait annoncé le mois dernier des pertes nettes de 17,2 millions de livres (21,8 millions d'euros) au premier semestre 2008, les attribuant aux "turbulences dans les secteurs bancaire et immobilier". B&B a dû récemment recourir à un plan de recapitalisation - comme beaucoup de ses consoeurs dans le pays -, à hauteur de 400 millions de livres (498 millions d'euros), qu'elle a eu beaucoup de mal à boucler.

Social Hewelett-Packard





Social : Hewlett-Packard va supprimer 9.330 emplois en Europe
[Fenêtre sur l'Europe]
Hewlett-Packard va supprimer 9.330 emplois en Europe, dont 90% dans la société de services informatiques EDS qu'il vient d'acquérir.
Le constructeur informatique américain HP a annoncé, le 25 septembre, devant le comité d'entreprise européen à Londres, la suppression de 9.330 postes en Europe.Cette suppression s'inscrit dans le cadre d'un plan de suppression de 24.600 postes dans le monde. 90% des emplois supprimés en Europe toucheront les effectifs d'EDS, essentiellement en Grande-Bretagne, surtout dans les ressources humaines humaines, les services juridiques ou la finance.