阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, March 21, 2010

Un apprentissage nouveau pour une société nouvelle



Un apprentissage nouveau pour une société nouvelle
[Fenêtre sur l'Europe]
Lorsque Manuel Castells écrivit son ouvrage sur la galaxie Internet en 2001, nous pouvions déjà pressentir que la connaissance et l’apprentissage deviendraient des atouts majeurs pour les sociétés et seraient incontournables dans l’économie de demain.
Nous savions aussi que des technologies numériques déstabilisatrices allaient engendrer une transformation sociétale, mais nous n’imaginions pas à l’époque à quel point elles allaient révolutionner la façon dont nous traitons l’information, partageons les connaissances et apprenons. Nous considérions toujours l’apprentissage comme un processus mental individuel d’assimilation d’informations. En 2010, nous savons maintenant clairement que la technologie améliore l’apprentissage, lequel évolue vers un processus de partage entre des communautés cherchant à diffuser l’information et à susciter de nouvelles connaissances, un aspect complètement à l’opposé des préoccupations de l’ère pré-numérique. Nous savions qu’Internet donnerait naissance à une nouvelle société, une société dans laquelle la participation se substituerait à la représentation. Mais nous ne savions pas à quel point les nouvelles technologies telles que la réalité augmentée et la virtualité réelle allaient faciliter l’accès aux informations et leur traitement, grâce notamment à l’utilisation d’outils comme de simples lunettes qui déposent un voile virtuel sur notre environnement physique, ou offrent même une virtualité totale. Les laboratoires s’attelaient déjà à créer les premiers hologrammes, mais il fallut attendre plusieurs années avant de voir naître les tout premiers prototypes, lesquels nous montrèrent que les technologies permettraient de réduire non seulement le manque d’information et de communication, mais aussi ce que nous pourrions appeler l’absence de présence. La présence virtuelle en trois dimensions complétera la présence physique, et ira même jusqu’à l’étendre. Les technologies continueront à influencer les processus d’apprentissage et les schémas de communication. La relation entre apprentissage et technologie a connu différentes phases, débutant avec le remplacement des anciennes méthodes par un apprentissage sur ordinateur. Puis sont apparus les environnements d’apprentissage à utilisateurs multiples, et l’on se dirige à l’heure actuelle vers une transformation des processus d’apprentissage afin de permettre à la fois aux individus et aux communautés d’apprendre sur demande. Les traditionnels établissements scolaires et universitaires deviendront des pôles au cœur de réseaux d’institutions reliées entre elles et fournissant des services d’apprentissage personnalisés à des étudiants à temps plein ou à temps partiel. Ils feront ainsi le lien entre la vie professionnelle et les études, et combleront de cette manière le fossé entre entreprises et institutions scientifiques. De nombreux contenus seront gratuitement accessibles à travers des ressources libres. Compte tenu du fait que l’apprentissage tend à s’étaler tout au long de la vie, de tels progrès ne peuvent être accueillis qu’avec enthousiasme, indépendamment de la nature du processus d’apprentissage (formel ou informel) qui en est le bénéficiaire.

Le président américain Barack Obama jour historique pour la santé




AFP
Etats-Unis: la réforme historique de la santé adoptée au Congrès
Par Emmanuel PARISSE


Le président américain Barack Obama a remporté dimanche soir une victoire législative majeure avec l'adoption par la Chambre des représentants d'une réforme historique de l'assurance maladie, après des mois d'âpres négociations au Congrès.
"Nous avons prouvé que nous restons un peuple capable de grandes choses", s'est félicité M. Obama dans la nuit de dimanche à lundi, alors que les représentants venaient d'approuver par 219 voix contre 212 le texte adopté en décembre par le Sénat.
M. Obama devrait très rapidement promulguer la réforme au coeur de son programme électoral.
"Ce soir nous avons surmonté le poids de la politique, alors que tous les spécialistes nous affirmaient que ce n'était plus possible", a souligné le président, souriant mais sobre, qui s'exprimait en direct à la télévision.
Pendant les près de 10 heures de débat dimanche, les deux camps se sont affrontés une dernière fois. Les républicains ont réitéré leur opposition au plan jugé trop coûteux des démocrates. Ces derniers ont répliqué en assurant qu'un "statu quo" n'était pas envisageable.
"Nous avons devant nous un projet de loi pour changer une trajectoire qui n'est pas viable", a dit le chef de la majorité démocrate Steny Hoyer, en évoquant le coût élevé de la santé aux Etats-Unis.
La présidente de la Chambre, Nancy Pelosi, qui a été longuement ovationnée par son camp, a salué "l'engagement inébranlable" du président Obama pour la cause de la réforme.
Le républicain Mike Pence, numéro trois de l'opposition, a ironisé: "il n'y a qu'à Washington qu'on peut dire qu'on dépense 1.000 milliards tout en faisant économiser de l'argent aux contribuables".
La réforme, d'un coût de 940 milliards de dollars sur 10 ans, devrait réduire le déficit américain de 138 milliards de dollars, selon le bureau du Budget du Congrès (CBO). Le texte prévoit en effet une baisse des dépenses du programme d'assurance maladie des personnes âgées (Medicare).
Au total, le texte devrait permettre de garantir une couverture à 32 millions d'Américains qui en sont dépourvus. L'objectif est de couvrir 95% des Américains de moins de 65 ans. Le texte interdit aussi aux assureurs de refuser une couverture à des personnes malades préalablement.
Il fallait une majorité de 216 voix pour que le texte soit adopté.
Le vote était encore incertain dans l'après-midi de dimanche lorsque les chefs démocrates ont obtenu le ralliement du démocrate anti-avortement Bart Stupak et de ses partisans.
Ce précieux soutien est intervenu à la suite d'un compromis passé avec le président Obama qui s'est engagé à signer un décret pour réaffirmer l'interdiction des financements fédéraux pour l'avortement.
M. Stupak a été stigmatisé à droite en se faisant traiter de "tueur de bébé" par un élu républicain.
Les démocrates ont longtemps hésité à voter pour une réforme que les sondages disent impopulaire. Au total, 34 d'entre eux ont voté contre le projet de loi avec 178 républicains, dont pas un n'a voté pour la réforme.
Après le premier vote, les représentants ont approuvé une série de modifications au projet du Sénat. Ces "corrections" peuvent désormais être renvoyées au Sénat qui va tenter de les approuver dans la semaine. Le chef de la majorité démocrate du Sénat Harry Reid a promis que la chambre haute agirait "sans délai".
Rassemblés pendant le week-end aux pieds du Capitole, plusieurs centaines d'adversaires de la réforme ont scandé sans relâche "Kill the bill" (Tuez le projet de loi). "On s'en souviendra en novembre", ont-ils assuré, en faisant allusion aux prochaines élections législatives.

43 eme foire international Alger FIA


Inviter d'honneur Jordanie
du 2 juin au 7 juin 2010
Palais des exposition
Safex

École supérieure des Beaux-Arts, les Beaux-Arts d'Alger

Aujourd'hui École supérieure des Beaux-Arts, les Beaux-Arts d'Alger ont une histoire vieille de plus de 160 ans.
École de dessin en 1843, l'établissement prit un caractère officiel en 1848 lorsqu'il devint École municipale. C'est en 1881 que, bénéficiant de locaux plus vastes et plus spacieux, l'école inaugura son titre d'École nationale des Beaux-Arts d'Alger. En 1954, on chargea les architectes Léon Claro et Jacques Darbeda de construire l'école actuelle dans les jardins du Parc Gatliff (aujourd'hui Parc Zyriab). En 1962, à l'indépendance du pays, l' École nationale d'architecture et des Beaux-Arts eut pour mission la formation des élites algériennes en architecture et en arts plastiques. Cette dichotomie prit fin avec le transfert des architectes à l'EPAU (École polytechnique d'architecture et d'urbanisme) en 1970. L'École nationale des Beaux-Arts fut érigée en École supérieure des Beaux-Arts en 1985

Béchar opérations de développement menées Abadla




Plusieurs opérations de développement menées à Abadla



Située à 88 km au sud du chef lieu de wilaya de Béchar, la commune de Abadla bénéficiera de pas moins de 45 opérations de développement local, pour un coût global d'un milliard de DA. Selon le premier responsable de cette commune. Inscrites au titre du programme communal de développement 2009, ces opérations ont concerné le renforcement de l'alimentation en eau potable (AEP), le raccordement au réseau d'assainissement de plusieurs quartiers et la construction d'un mur de 600 mètres linéaires pour la protection du quartier Emir Abdelkader des inondations, a indiqué le président d'APC d'Abadla. Des travaux de rénovation de 50 km de routes urbains et de trottoirs à l'intérieur du tissu urbain de la ville ainsi que d'autres opérations d'aménagements urbains ont été également exécutés, a-t-il ajouté. Concernant le secteur de santé, Abadla a bénéficié au titre du programme sectoriel 2009 d'un projet de réalisation d'un hôpital de 120 lits. D'autres actions pour l'amélioration des prestations de services de ce secteur ont été menées à l'initiative de la commune, notamment la réhabilitation de salles de soins et de l'hôpital de 60 lits, selon le même responsable. Le secteur de l'éducation qui a été renforcé au cours de l'année scolaire (2009-2010) par l'ouverture d'un lycée de 800 places pédagogiques à Abadla , verra également le lancement des travaux de réalisation d'un CEM de 500 places. Dans le même cadre, la commune d'Abadla a initié au cours de cette même année une opération pour équiper en appareils de chauffage 82 écoles primaires, et réaliser trois nouvelles classes au niveau de l'école Abroud Ghazi, afin de renforcer les capacités d'accueil de cet établissement scolaire situé au chef-lieu de la commune.R.R.