阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, August 21, 2008

Youtube video leader en France

Le figaro .fr

YouTube, leader de la vidéo en ligne en France
21/08/2008 Mise à jour : 20:59
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Au mois de mai, YouTube, filiale de Google, monte sur la première marche du podium devant Dailymotion.

Selon l'étude parue jeudi de comScore, société américaine d'information à propos d'internet, YouTube est le premier site de vidéo en France pour le nombre de vidéos vues et le nombre de spectateurs.
Avec 12,8 millions de Français qui ont regardé ses vidéos au mois de mai, YouTube s'adjuge la moitié d'un marché évalué à 25,2 millions d'internautes. L'autre moitié appartient à Dailymotion qui compte 10,34 millions d' internautes.
En revanche, en termes de vidéos vues et non plus de spectateurs, il ne s'adjuge que 27,9 % du marché hexagonal, avec 650 millions de vidéos vues sur son site au mois de mai. Dailymotion, le site de partage français, détient 15,5 % de parts de marché. Les autres acteurs du marché atteignent des scores ridicules. En effet TF1, Microsoft et Yahoo ont respectivement 1,5%, 0,8% et 0,5 % de part de marché.
Le marché de la vidéo en France se partage véritablement entre les deux acteurs. Si la performance de YouTube parait honorable, elle fait pâle figure en comparaison des 45% au Royaume-Uni, 38% en Allemagne et 34% aux Etats-Unis. Dans ces pays, YouTube est le leader incontesté : en Allemagne, Vivendi, le dauphin ne totalise que 2,1% de part de marché.

JO Google


Mr Barack Obama danse Youtube


Algerie Tramway Sidi Bel Abbés



Algerie - Tramway de Sidi Bel Abbès
Un délai de cinq mois a été fixé par l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), maître d’ouvrage, au groupement hispano-portugais « Ensitrans » pour ficeler l’étude technique de faisabilité du tramway de Sidi Bel Abbès, selon des sources concordantes.
L’étude en question, qui sera lancée en septembre prochain, devrait permettre d’identifier le tracé et d’arrêter le coût du projet, avait déclaré M. Salhi, directeur central au ministère des Transports, en marge de la récente visite effectuée par le ministre du secteur, Amar Tou.
Selon lui, l’étude de faisabilité portera, dans sa phase préliminaire, sur la collecte, le traitement et l’analyse des données de base relatives aux déplacements, aux points d’arrêt et à la prévision du nombre des usagers potentiels du futur tramway.
Une autre étude détaillée sera effectuée avant de passer à la réalisation du tramway.
Synthèse de l'article - Equipe Algerie-Monde.com
D'après El watan. Par M. Abdelkrim. Le 21 août 2008.

Video Birmanie Ouragan



Birmanie : après l’ouragan14.06.2008de Alexandre Dereims - ARTE GEIE / Première Nouvelle - France 2008 Vidéo 21'

New York éolien solaire gratte-ciel





A New York, éolien et solaire au sommet des gratte-ciel
(src : nyc.gov)
Le maire de New York Michael Bloomberg a lancé un appel à projets pour développer les énergies renouvelables dans la ville.
Lors du Sommet américain pour une Energie Propre, le maire de New York a annoncé le lancement de la première étape d'un programme d'économie d'énergie et de développement des énergies renouvelables, baptisé PlaNYC.
Pour Michael Bloomberg, le premier défi est de "conserver notre usage de l'énergie à son niveau actuel, même si notre population augmente." Ainsi la consommation énergétique des services de la municipalité devra-t-elle être réduite de 30% d'ici 2017, ce qui permettra de retirer 220 MW de la demande. Plusieurs villes américaines travaillent actuellement à la mise au point de standards d'efficacité énergétique pour les bâtiments, a-t-il ajouté.
Le plan envisage la généralisation des panneaux solaires sur les toits de la ville, ainsi que l'installation d'éoliennes sur les gratte-ciels et sur les ponts. "Nous avons estimé que [le solaire] pourrait répondre à près de 20% des besoins de la ville en électricité" a-t-il avancé. Et l'installation de parcs éoliens en mer pourrait répondre à 10% des besoins d'ici 2018.
Le courant des rivières Hudson et East River sera également exploité pour produire de l'énergie, de même que la géothermie.
Le maire a rappelé que cinq ans auparavant, 50 millions de personnes avaient été plongées dans le noir à cause de la vétusté du réseau. Il a prévenu que les efforts d'investissement nécessaire pour éviter un nouveau black-out seraient considérables. Ainsi, d'après les chiffres du Département Americain à l'Energie, adapter le réseau du pays à la présence de 20 % d'énergie éolienne nécessiterait 60 milliards de dollars d'investissement d'ici 2030.

Chine énergie Biomase




La Chine exploite activement l'énergie dérivée de la biomasse
http://www.bjinformation.com/alaune/txt/2008-08/19/content_144173.htmwww.bjinformation.comEn raison du cours élevé du baril sur le marché international, la bioénergie, un bon substitut au pétrole, attire davantage de regards. La hausse des prix du pétrole offre une nouvelle opportunité de développement pour l'industrie de l'énergie de la biomasse.2008-08-19 10:28:46.0郝宝禄La Chine exploite activement l'énergie dérivée de la biomassebiocarburant, biomasseLa Chine exploite activement l'énergie dérivée de la biomasseLa Chine exploite activement l'énergie dérivée de la biomasse6411028À LA UNE/enpproperty-->
En raison du cours élevé du baril sur le marché international, la bioénergie, un bon substitut au pétrole, attire davantage de regards. La hausse des prix du pétrole offre une nouvelle opportunité de développement pour l'industrie de l'énergie de la biomasse. L'industrie chinoise concernée prend actuellement la forme.
Un bon départ
Lors de la récente conférence de l'Académie chinoise des sciences et de l'Académie chinoise d'ingénierie, Huang Qili, membre de l'Académie chinoise d'ingénierie, a présenté le rapport Recherche sur la stratégie de développement des énergies renouvelables en Chine, dans lequel il a indiqué que la Chine devrait développer activement et de façon pérenne le combustible liquide dérivé de la biomasse et les produits industriels d'origine biologique pour remplacer le pétrole.
Une entreprise de production du biocarburant, dans la province du Jilin.
Dans le Plan à long et moyen terme pour le développement des énergies renouvelables, publié en septembre 2007, la Chine a formulé un objectif précis : la consommation annuelle de l'éthanol-carburant biologique (de source non céréalière) et du biodiesel devrait atteindre respectivement 2 millions de tonnes et 200 000 tonnes en 2010. Tandis qu'en 2020, ces deux chiffres devraient grimper à 10 millions de tonnes et 2 millions de tonnes, pour se substituer à 10 millions de tonnes de pétrole raffiné par an. Quant à l'exploitation du biocarburant, la Chine suit le principe de « ne jamais employer les céréales réservées à la consommation des habitants ni les terres cultivées pour la production céréalière ». Des restrictions strictes sont imposées pour la production du biocarburant à base de maïs et d'autres céréales et plantes oléagineuses.
Shi Yuanchun, académicien de l'Académie chinoise des sciences et de l'Académie chinoise d'ingénierie et professeur à l'Université agricole de Chine, a indiqué que le principe du gouvernement chinois de développer le biocarburant non céréalier assure l'approvisionnement céréalier et oriente également l'exploitation du biocarburant. Non seulement il s'adapte aux conditions spécifiques du pays, mais aussi suit la tendance du développement dans le monde. La Chine entame ainsi un bon départ quant au remplacement du pétrole par le biocarburant.

Mondialisation ;Le dessous des cartes



Mondialisation : le dessous des cartes
Propos recueillis par Frédéric Pons avec Elise Deloraine, le 21-08-2008

ARTE
À l’heure où le monde s’interroge, entre autres sur la stratégie russe, il faut lire – et écouter – les analyses de Jean- Christophe Victor sur la complexité géopolitique du XXIe siècle.Fondateur du Laboratoire d’études politiques et cartographiques en 1989, longtemps en poste aux Affaires étrangères, le géographe Jean-Christophe Victor a travaillé au sein de la cellule de prospective du Quai d’Orsay. Appelé par Jérôme Clément et André Harris sur la chaîne Arte en 1991,Jean-Christophe Victor a ensuite conçu l’émission le Dessous des cartes, la meilleure pédagogie des relations internationales jamais faite à la télévision. Avec Virginie Raisson et Franck Tétart, il a aussi publié l’Atlas du dessous des cartes et l’Atlas d’un monde qui change. Pour Valeurs actuelles, il décrypte les menaces contemporaines.
Que vous a apporté votre expérience aux Affaires étrangères ? J’y ai appris qu’observer et décider sont deux choses distinctes. L’analyste et le journaliste observent sans prendre de décisions. Au Quai d’Orsay, on fait des recommandations. On comprend que la géographie est déterminante dans les décisions.
La fin de la guerre froide a-t-elle changé notre perception de la géographie ? Cet événement a redonné de la fluidité à l’analyse géographique, alors qu’on était figé dans la seule relation stratégique Est-Ouest. En Europe de l’Est et en Asie centrale,on s’est remis à tracer des frontières, ce qui n’avait plus été fait depuis 1945. Les guerres dans les Balkans ont redonné à la géographie un rôle qu’elle n’avait plus.
La géographie politique aurait-elle été “suspecte” ? En un sens, oui. Elle avait été préemptée par le national-socialisme qui avait conçu cette matière comme un espace de pouvoir, un espace vital (Lebensraum). Le terme de “géopolitique”était lié au nationalsocialisme. On en est sorti, à peu près au moment de la chute du mur de Berlin. Ce retour aux fondamentaux historiques et géographiques est-il une surprise ? Pas pour les géographes.Mais pour les décideurs politiques, oui.
Où situez-vous les principales zones de tension ? Le Proche et le Moyen-Orient restent le point nodal classique. Le problème israélo-palestinien, posé en 1917 et en 1948, n’a pas été résolu, à la fois à cause d’Israël et parce que cela arrange les États arabes de conserver ce point de fixation. Près de 66 % des réserves mondiales de pétrole sont dans cette région. À cela s’ajoute la dimension religieuse du problème, instrumentalisée politiquement.
Par qui ? Par le terrorisme, qui s’appuie sur l’islamisme, qui s’appuie sur l’islam. Cela crée une confusion politique très grande car on confond aire de civilisation et choc politique, deux choses différentes.
Et les points sensibles nouveaux ? Je pense au changement climatique observé depuis dix-vingt ans, ces un à deux degrés de hausse des températures. Cela va s’accentuer en 2020-2030. Les décisions sur le climat sont importantes parce qu’elles préemptent une partie de l’avenir. Les autres dossiers délicats sont l’économie et le problème de la représentation belligène de l’autre, notamment notre façon de considérer le monde musulman et vice versa.
L’eau n’est-elle pas un dossier stratégique majeur ? Oui, mais plus pour des raisons de qualité que de quantité. L’eau n’est pas, en soi, un objet de conflit. La quantité existe si on sait la partager et la gérer, ce qui n’est pas le cas. Lorsque la Turquie et l’Irak sont en guerre, les Turcs n’empoisonnent pas le Tigre et l’Euphrate.
L’eau est-elle un facteur de guerre entre Israël et la Syrie ? C’est important et chacun suspecte l’autre.Mais il s’agit moins d’une vraie confrontation que d’un problème d’accès, de représentations, de clarté dans les accords. Ce problème de partage n’existe pas sur le Mékong, ni sur l’Amazone, parce que des accords transfrontaliers ont été signés. Ce n’est pas encore le cas pour le Tigre ou le Jourdain. Les problèmes apparaîtront vers 2018 ou 2028.
Pourquoi ces dates ? À cause des pénuries d’eau et des conflits d’usage qui obligeront à faire des choix. Pour quoi faudra-t-il utiliser l’eau douce ? Pour les besoins de l’agriculture et de l’industrie, pour les villes, pour le tou- risme qui rapporte tant de devises ? Si vous voulez faire fortune, investissez dans des usines de dessalement.
Le réchauffement de la planète aggrave-til ce phénomène ? Il ne va pas aider,mais l’augmentation de la pression démographique, l’extension des villes, du tourisme, de l’agriculture sont plus directement en cause. On a besoin de plus d’eau qu’il y a vingt ans et ce sera encore plus vrai dans dix ans.
Ce qui provoquera d’importants mouvements de population ? Cela a déjà commencé.Au Népal, les gens migrent parce que les glaciers fondent dans les lacs, ce qui noie les vallées. Le phénomène est le même au Bangladesh, aux Maldives, aux Tuamotou, en Allemagne où de plus en plus de champs sont noyés. Ce n’est pas le cas aux Pays-Bas, grâce aux digues construites aux XVIIIe et XXe siècles. Ces mouvements de “réfugiés climatiques”vont s’accroître.
Surtout en Asie et dans le Pacifique… Non, pas seulement.Venise, Rio de Janeiro, Marseille,Manhattan sont concernés. Sauf que là,avec des moyens financiers, on pourra retarder les échéances.
Un conflit est-il inévitable entre les États- Unis et la Chine ? Non, parce que leur interdépendance est forte. Ces deux pays n’ont pas besoin d’un conflit militaire pour s’affronter. La Chine détient de plus en plus de bons du Trésor américain. Si elle veut peser sur les États-Unis, elle convertit 50 % de ce stock en euros. C’est un formidable levier.
Les pandémies et épizooties sont-elles de nouveaux facteurs de risques ? Oui, à cause des déplacements qui favorisent la circulation des virus. C’est ce qui s’est passé avec le sida. C’est un miroir de la mondialisation. Qui accroîtrait donc les risques géopolitiques ? La mondialisation produit de la richesse mais elle crée aussi de l’inégalité et de fortes tensions sur les identités. Nos économies mondialisées sont dans des flux, transnationales. Nos identités sont au contraire dans des lieux. Plus il y a de flux, moins il y a de lieux.D’où les tensions.
L’urbanisation massive de certains pays peut-elle être enrayée ? Non. Dans ces mégalopoles, il ne s’agit plus d’enrayer mais de gérer les problèmes d’eau, de prix du foncier, le déséquilibre des richesses, la sécurité et la santé publique. Le problème est dans l’occupation du territoire : on l’observe en Chine, où 150 à 170 millions de paysans migrent vers les zones côtières, ce qui va bouleverser la géographie du pays.
Jusqu’où peut aller l’élargissement de l’Europe sans menacer son identité ? Un chapitre de notre livre m’amuse beaucoup. Nous avons pris cinq paramètres : la géographie, l’histoire, la religion, l’économie et la sécurité. L’un nous amène à conclure qu’il faut que la Turquie rejoigne l’Union européenne. Deux pages plus loin, ces mêmes cinq paramètres nous démontrent que la Turquie ne doit surtout pas entrer dans l’Union. Vous vous défaussez ? Non. C’est une façon de dire que je ne sais pas. Je n’arrête pas de changer d’avis. Aujourd’hui, je suis contre.Mais pas à cause de la géographie.
Sur quels arguments ? Essentiellement pour une question politique. Il est clair que la Turquie dans l’Union arrange les États- Unis.Pour moi, cette adhésion marquera un affaiblissement du projet européen et un renforcement de l’Otan.Des pressions politiques britanniques et américaines ont été exercées sur l’Europe pour que la Turquie adhère dans le cadre d’un projet politique.
Mais la question des frontières ? Sur ce point, je suis plus sévère qu’il y a dix ans. Dans les Balkans, les Kosovars et les Albanais veulent leur indépendance pour entrer dans l’Union afin de régler leurs problèmes parce qu’ils pensent qu’une fois membres, la superstructure européenne résoudra leurs problèmes.Je leur dis non.Un des effets pervers de cette politique d’élargissement est de faire croire que chaque peuple a droit à un État.Mais l’Union européenne n’a pas pour vocation de donner un État à chaque peuple qui en fait la demande.
C’est pourtant ce qui a été fait dans les Balkans… C’est vrai et le processus de fragmentation se poursuit. Mais l’Union n’a pas pour mandat de fragmenter l’Europe. La Yougoslavie unie ne me dérangeait pas et les Balkans désunis ont montré ce que cette division pouvait signifier d’horrible. Dans cinquante ans peut-être, les ex-Yougoslaves se remettront ensemble.
L’État-nation a-t-il encore un sens en Europe ? L’Europe est un modèle géopolitique volontaire, novateur. Personne n’est obligé de la rejoindre et cela fonctionne : en cinquante ans,nous n’avons pas eu de guerre, nous avons mis en place un modèle économique moins pire qu’ailleurs et nos libertés individuelles sont protégées. Il faut poursuivre l’approfondissement de l’Union pour gérer les problèmes qui dépassent le cadre de l’État, comme l’environnement, les flux financiers, les épizooties, le terrorisme, mais il faut aussi permettre à l’État d’exister vraiment.
L’Europe peut-elle encore s’étendre à l’est ? Depuis 1992, nous sommes dans un malentendu géographique. Le projet de l’Union fait croire qu’il faut des États avec des statuts identiques. On confond la géographie de l’énergie, celle des peuples, celle des superstructures politiques. Il faut plutôt des coopérations renforcées pour tel ou tel type de mission. Je ne suis pas sûr que l’Ukraine, la Biélorussie, la Moldavie aient besoin d’entrer dans l’Union.
La formule du partenariat est elle mieux adaptée aux réalités géographiques ? Oui. En 1992, l’Europe s’est agrandie pour des raisons historiques. On ne pouvait pas dire non aux pays d’Europe de l’Est. Après l’échec de la Constitution, il aurait fallu un référendum, avant que les dix nouveaux États de l’Est ne rejoignent l’Union. Il y a eu rupture. On a élargi plutôt qu’approfondi. Je suis favorable à une longue pause dans l’élargissement et à des coopérations renforcées qui conviennent à certaines missions.
Et l’Union pour la Méditerranée ? Le projet me paraît une très bonne idée parce qu’il part du constat de ce qui ne va pas au Maghreb et il propose des solutions intermédiaires. Ce projet a une légitimité par la géoéconomie, du fait du mauvais état des pays d’Afrique du Nord.
Ce prisme économique fort ne déséquilibre- t-il pas d’emblée la relation ? Pas forcément. Les Algériens ne commercent pas avec la Tunisie ou le Maroc mais avec l’Union européenne. Il n’y a donc pas de déséquilibre. En revanche, il s’agit d’un calcul doublement prudent, à cause des problèmes migratoires que pose le Sud et du vieillissement démographique qui est le nôtre.
Et aussi sur http://www.arte-tv.com/.
Le Dessous des cartes 2, Atlas d’un monde qui change, Arte Éditions et Tallandier, 208 pages, 29 euros.

Beijing Chine rue Qianmen






Beijing : réouverture de la rue Qianmen à la veille des JO

2008-08-07 16:49:08


(Photo: Xinhua)
BEIJING, 7 août (Xinhua) -- Les autorités pékinoises ont réouvert jeudi la rue Qianmen, l'une des plus anciennes rue commerçante à Beijing, un jour avant l'ouverture des Jeux olympiques de 2008.
Après une rénovation d'envergure qui a duré plus d'un an, la rue Qianmen, située au coeur de la ville, a réouvert aux touristes, de même que des magasins célèbres, qui ont vu le jour à Qianmen au siècle dernier, notamment le restaurant Quanjude, spécialisé dans le canard laqué, et le salon de thé Zhangyiyuan.
Tout comme la Grande Muraille et la Place Tian'anmen, la rue Qianmen est l'un des endroits touristiques incontournables qui figure dans tous les guides du tourisme.

(Photo: Xinhua)
Ce quartier sera le symbole du patrimoine historique et culturel de Beijing pour les visiteurs venus des quatre coins du monde, conformément à l'esprit olympique qui encourage les échanges culturels et la compréhension mutuelle, a indiqué Wang Chengguo, porte-parole de l'arrondissement de Dongcheng de Beijing, où se situe la rue.
La rue Qianmen se trouve sur l'axe central historique de Beijing, au sud de la Place Tian'anmen et de la Cité interdite. La rue a pris forme il y a environ 570 ans, avant de prospérer pendant les années 1920 et 1930 avec son éventail de restaurants, de théâtres, de magasins de soie et de salons de thé.
La rue avait été fermée pour rénovation en mai 2007.

Beijing Le palais du Prince Gong





BEIJING, 11 août (Xinhua) -- Le Palais du prince Gong, la résidence la plus grande et la mieux préservée de Beijing, sera ouverte au public le 20 août après des travaux de rénovation qui ont duré deux ans et demi.
La résidence est divisée en une zone d'habitation et un jardin. La zone nouvellement ouverte au public la semaine prochaine est la partie d'habitation d'une superficie de 32 000 métres carrés.
Le jardin couvrant une superficie de 28 000 m² avait été ouvert au public en 1988.

Cette grande demeure, située au bord du Lac Houhai au nord de la Cité Interdite, a été construite en 1776 pour servir de résidence à Heshen, un ministre favori de l'empereur Qianlong (1711-1799). Plus tard elle fut utilisée par plusieurs princes.
"La maison est présentée d'après l'état où elle se trouvait à la fin du dix-neuvième siècle, son âge d'or", a expliqué Sun Xuguang, vice-directeur de l'administration de la maison. "Nous avons utilisé des techniques et des matériaux traditionnels pour la réparer", a-t-il dit.
Selon lui, pour reproduire les carreaux incrustés du plancher du salon, il a fallut six mois en utilisant les techniques d'il y a 200 ans.

(Photo: Xinhua)
Environ 9 800 m² de l'édifice existant ont aussi été rénovés et les artisans ont reconstruit 2 200 m² d'après les archives historiques et les ont remis dans leur état originel a-t-il poursuivi.
Le projet de rénovation a coûté environ 200 millions de yuans (29,1 millions de dollars).
A part l'architecture, le musée de la maison expose également une collection de peintures et de documents sur les princes sous la dynastie des Qing (1644-1911), des meubles antiques, des objets reflétant la mode vestimentaire d'origine impériale, des porcelaines et d'autres ustensiles de la vie quotidienne.
La plupart des meubles et trésors de la maison ont été saisis ou vendus lors du siècle dernier. Environ 2 000 "reliques culturelles" venant de la maison étaient conservées dans des musées étrangers. "Nous tentons de racheter certaines d'elles ou de les copier.", a dit Sun.

Chine sécurité




Chine: le renforcement de la sécurité en ville profite à tous

2008-08-21 18:29:52

BEIJING, 21 août (Xinhua) -- Le département du tourisme de Beijing a tenu à rassurer jeudi les touristes étrangers sur le fait que le renforcement de sécurité dans les parcs de la ville ne les visait pas mais avait pour but de fournir un environnement sûr pour que chacun puisse profiter des Jeux olympiques.
Les parcs et d'autres sites touristiques de Beijing ont pris des mesures de sécurité plus draconiennes, dont des contrôles de sécurité sur certains touristes, a dit Wang Pengxun, haut responsable du Centre administratif municipal des Parcs de Beijing, en conférence de presse.
"Les contrôles de sécurité n'ont pas empêché les gens de visiter les sites mais ont ralenti leur voyage, car nous n'avons procédé à l'examen que des sacs à main grands ou suspects", a-t-il indiqué.
Presque 2,3 millions de personnes se sont rendues dans 11 parcs administrés par le gouvernement municipal, dont le Palais d'été et le Temple du ciel, dès l'ouverture des JO, a-t-il précisé.
Xiong Yumei, directrice adjointe de l'Administration du Tourisme de Beijing, a dit qu'environ 4,8 millions de touristes, dont mille VIPs venus de plus de vingt pays, avaient visité 164 sites à Beijing du 8 au 20 août.
Beijing a également proposé des programmes de voyage pour les athlètes et leurs entraîneurs, variant de tours à la mi-journée à des tours de plusieurs jours dans la capitale chinoise, par le biais de services fournis par China Travel Service dans le Village olympique.

Climat Conférence après Kyoto


Info Le point
Nouvelle conférence sur le climat pour définir l'après-Kyoto
Un millier de délégués représentant plus de 150 pays se réunissent à partir de ce jeudi au Ghana pour tenter d'accélérer les négociations sur un traité censé succéder au protocole de Kyoto et relancer la lutte contre le changement climatique. Un millier de délégués représentant plus de 150 pays se réunissent à partir de ce jeudi au Ghana pour tenter d'accélérer les négociations sur un traité censé succéder au protocole de Kyoto et relancer la lutte contre le changement climatique.
Il s'agit de la troisième conférence depuis que 190 pays sont convenus en décembre, à Bali, de définir d'ici la fin 2009 un traité censé prendre la relève du protocole de Kyoto, qui expire en 2012.
Ce texte, signé par tous les pays industrialisés à l'exception des Etats-Unis, prévoyait une réduction de 5% des émissions de gaz à effet de serre (GES) par rapport à leur niveau de 1990.
Les partisans du protocole s'étaient également entendus pour porter cet objectif entre 25% et 40% d'ici 2020, mais celui-ci n'a pas été adopté formellement.
"Bien que des progrès aient été réalisés, il ne fait aucun doute que nous devons avancer rapidement", a souligné Yvo de Boer, responsable à l'Onu de la Convention sur le changement climatique.
Pendant une semaine, les délégués réunis à Accra devront s'attacher à réduire les divergences de vues entre les pays industrialisés et les Etats en développement sur les objectifs de réduction des émissions de GES.
Ils devraient également réfléchir à de nouvelles initiatives, comme la lutte contre la déforestation. Selon des études des Nations unies, la destruction des forêts tropicales compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
De nombreux pays sont encore réticents à s'engager, en raison du ralentissement économique, de l'échec des négociations à l'Organisation mondiale du commerce et des incertitudes entourant l'identité du prochain président américain, bien que les candidats démocrate Barack Obama et républicain John McCain aient annoncé leur intention de fixer des objectifs élevés.
Les dirigeants de l'Union européenne ont décidé l'année dernière de réduire leurs émissions de 20% d'ici 2020 par rapport au niveau de 1990, et de porter ce taux à 30% si d'autres Etats faisaient de même, et que le Japon a fixé un objectif de réduction de 60 à 80% d'ici 2050 par rapport à 2005.
Mais les Etats-Unis n'ont pas établi de plan, et le président George Bush a estimé que les émissions de GES connaîtront leur pic en 2025.
SYSTÈME DE CRÉDIT COMPENSATOIRE
La Chine s'est seulement engagée à réduire sa consommation d'énergie par rapport à son Produit intérieur brut, ce qui freinerait mais ne réduirait pas les émissions de GES.
L'Inde entend se consacrer à son développement économique et à la lutte contre la pauvreté, alors que le Brésil poursuit un important programme de développement des biocarburants.
"Le processus politique a souffert d'un retard important et se trouve bien éloigné de là où il devrait en être", estime l'organisation de protection de la nature WWF.
Les discussions d'Accra sont donc une première occasion d'aplanir les tensions suscitées par les déclarations du Groupe des Huit, qui s'était entendu en juillet dernier sur un objectif de réduction de 50% des GES d'ici 2050, mais avait souligné ne pas pouvoir l'atteindre seul.
Les principales puissances industrielles émergentes, dont la Chine et l'Inde, avaient refusé de s'engager sur des objectifs à l'horizon 2050, expliquant que les puissances les plus anciennes, responsables des pollutions depuis la Révolution industrielle, devaient d'abord se fixer des objectifs plus contraignants.
Ce délai d'une quarantaine d'années est également jugé trop éloigné dans le temps pour être efficace par le Norvégien Harald Dovland, qui présidera la conférence d'Accra.
"Cela ne nous donne pas une base réelle pour un accord", a-t-il expliqué. Beaucoup de parties prenantes souhaitent que les objectifs soient d'abord fixés à l'horizon 2020, plus à même d'influencer les investissements en matière énergétique.
Pour convaincre leurs partenaires de s'engager sur des objectifs contraignants, les pays industrialisés pourraient proposer un système de crédit compensatoire aux pays en développement luttant contre la déforestation.
Dans une note adressée aux négociateurs présents à Accra, la Nouvelle-Zélande estime que 10 à 40 milliards de dollars annuels seraient nécessaires pour financer ces mesures incitatives.
Certaines organisations de défense de l'environnement redoutent en outre qu'un projet de ce type ne soit détourné par les pays les plus riches, qui pourraient acheter de vastes surfaces de forêts tropicales afin de faire diminuer leurs taux global d'émissions de gaz à effet de serre.
Version française Grégory Blachier

Bryan adams


Leona Lewis Youtube


Mariah Carey Youtube


U2 Youtube


Bruce Springsteen Youtube


Phil Collins Youtube


Zucchero Paul Young Youtube


Paul Young Youtube


Gerry rafferty youtube


Les routes sources de chaleur





Les routes, des sources de chaleur prometteuses
(src : WPI)
Une équipe de scientifiques américains du Worcester Polytechnic Institute (WPI) cherche à capter la chaleur captée par l'asphalte des routes pour en faire une source d'énergie et d'eau chaude.
Rajib Mallick, professeur d'ingénierie civile et environnementale au WPI, dirige l'équipe de recherche. Il étudie la meilleure méthode d'optimiser le captage de la chaleur par l'asphalte.
"L'Asphalte a beaucoup d'avantages, en tant que capteur solaire." explique Rajib Mallick. "La surface reste chaude et pourrait continuer à produire de l'énergie après le coucher du soleil, à la différence du solaire traditionnel."
De plus, explique-t-il, la superficie des routes qui pourraient être adaptées pour générer de l'énergie est considérable. Les routes sont généralement refaites tous les 10 à 12 ans et pourraient être adaptée à cette occasion.
Extraire la chaleur de l'asphalte pourrait également refroidir le revêtement des routes et participerait ainsi à la réduction de l' "ilôt de chaleur" des zones urbaines. Tout en étant parfaitement invisible.
Mallick et son équipe ont mis au point des modèles informatiques et réalisé des tests à grande échelle. Les essais ont été effectués sur des plaques d'asphalte auxquelles ont été intégrées des thermocouples, afin de mesurer la pénétration de la chaleur, et des tubes en cuivre, pour évaluer dans quelle mesure la chaleur pourrait être transférée dans un circuit d'eau.
L'eau chaude produite par l'asphalte pourrait être utilisée "telle quelle" pour le chauffage des bâtiments ou dans des procédés industriels, ou pourrait être exploitée par un générateur thermoélectrique pour produire de l'électricité.
En laboratoire, les petites plaques ont été exposées à des lampes halogènes, simulant la lumière du soleil. Les plus grandes surfaces ont été soumises au soleil et au vent. Ces tests ont montré que l'asphalte absorbe une quantité considérable de chaleur et que les plus hautes températures sont relevées à quelques centimètres sous la surface. C'est là que l'échangeur de chaleur doit être placé pour capter un maximum de chaleur.
En expérimentant différentes compositions d'asphalte, les chercheurs ont constaté que l'ajout d'agrégats hautement conducteurs, à l'instar du quartzite, peut considérablement augmenter l'absorption de chaleur, de même que l'application d'une peinture spéciale qui réduit la réflexion.
Pour eux, la clé de la réussite du procédé repose sur le remplacement des tubes de cuivre utilisés pour les essais, par un échangeur de chaleur spécialement dédié à cet usage, plus performant.
"Nos premiers résultats offrent la preuve que ce concept pourrait fournir une source très importante d'énergie renouvelable pour notre pays, sans pollution. Et elle était là tout le temps, juste sous nos pieds."

Turquie vers le nucléaire





La Turquie avance vers le nucléaire civil
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55709.htm
Un appel d'offres concernant la construction et l'exploitation de la première centrale nucléaire de Turquie, qui doit être construite à Akkuyu, dans la province de Mersin (Sud-Est), sera lancé le 24 septembre prochain.
Le cahier des charges techniques, réalisé par le Conseil Turc à l'Energie Atomique (TAEK), qui devait être rendu public en février dernier et a finalement été rendu disponible à la fin du mois de juin.
A ce jour, huit entreprises ou consortiums ont acheté le document technique afin de participer à l'appel d'offres en septembre prochain :
le groupe turc Sabanci Holding, qui est en pourparlers pour une collaboration avec General Electric, Hitachi Nuclear Energy et la société espagnole d'électricité Iberdrola SA ;
la société chinoise China Nuclear Power Components ;
la société néerlandaise Unit Investment N.V. ;
le canadien AECL (Atomic Energy Of Canada Limited) ;
le japonais Itochu Corporation ;
le français Vinci Construction Grand Projets avec le Franco-belge Suez Tractebel ;
le russe Atostroyexport ;
le turco-sud coréen KEPCO.
Le contrat prévoit la construction et l'exploitation d'une centrale nucléaire d'une capacité comprise entre 3000 et 5000 mégawatts. La Société Nationale Turque de Distribution d'Electricité (TETAS) signera ainsi avec le meilleur offreur un contrat d'approvisionnement en énergie d'une durée de 15 ans.
Le ministre turc de l'énergie, Himli Güler, a par ailleurs annoncé en juin dernier que le site de Inceburun, dans la province de Sinop (Nord du pays, au bord de la mer Noire), a été retenu pour y construire la deuxième centrale nucléaire turque. L'appel d'offres concernant cette centrale devrait être publié avant la fin de l'année.
Un précédent projet de centrale nucléaire en Turquie avait été contraint à l'abandon, et le gouvernement avait retiré son appel d'offre. C'est la cinquième tentative d'Ankara dans ce domaine et de nombreux opposants au nucléaire, comme Greenpeace Turquie, continuent de faire pression sur les entreprises turques qui souhaiteraient s'investir dans le nucléaire.
Dans ce contexte, l'entreprise turque Zorlu Enerji, du groupe Zorlu, a annoncé récemment avoir renoncé à concourir en raison d'un cahier des charges environnemental insuffisant. Le groupe Zorlu, qui n'exploitait pour l'instant que des centrales à gaz, a par ailleurs annoncé de gros investissements pour les cinq années à venir dans l'hydraulique, l'éolien et la géothermique.
[src : BE Turquie numéro 9 (19/08/2008) - Ambassade de France en Turquie / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55709.htm]