阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, August 19, 2010

Cevital rêve d'un complexe sidérurgique à Jijel




Quelque 5.000 emplois directs seront crées par ce futur complexe sidérurgique. Cevital n'attend que le feu Vert du CNI pour commencer les travaux de réalisation.

Le groupe industriel Cevital cherche à construire un grand complexe sidérurgique dans la zone de Bellara. Pas moins de 5.000 emplois directs seront créés grâce à ce projet, a annoncé jeudi Issaad Rebrab.

Lors d'une séance de présentation du projet, organisée jeudi en présence des autorités de la wilaya de Jijel, le promoteur a notamment rappelé que ce projet industriel "non polluant" créera 3.500 emplois dans sa phase de chantier et 50.000 autres emplois indirects. Le complexe utilisera, par ailleurs, le procédé de "réduction directe" de gaz naturel, sans hauts fourneaux ou autres dispositifs classiques.

Prévu sur le site de Bellara sur une superficie de 300 hectares, ce complexe qui tournera avec 10 millions de tonnes de produits sidérurgiques à l'import et à l'export fonctionnera selon une technologique de pointe, "loin de toute forme pollution ou rejets solides, liquides ou gazeux", explique le patron de Cevital.

Le dossier de ce projet, déposé au niveau de l'Agence nationale de développement de l'investissement (ANDI), il y a deux ans, attend le feu vert du Comité national des investissements (CNI), a-t-on précisé. Financé par le groupe lui-même, sans l'apport de financement étranger, ce projet coûtera 3,2 milliards de dollars US. Il sera réalisé en 3 modules pour une durée globale de quarante quatre (44) mois et fera appel à d'importantes consommations d'énergie électrique, gazière et hydraulique.

El Watan

Algerie un développement local plus homogène



Le changement qui est en train de s'opérer aux niveau national et local devra frapper à toutes les portes. C'est le sens à retenir de la synthèse des directives émises par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à l'issue de la réunion restreinte qu'il a présidée et consacrée au secteur de l'Intérieur et des collectivités locales. Il serait logique que le renouveau, à l'heure actuelle où l'on parle de stabilité pour une véritable intégration nationale, confiante, tolérante et consciente de réexaminer certaines questions autour desquelles devrait se fixer la "moralisation" des comportements et son accompagnement par une communication et un dialogue grand public sur les sujets susceptibles de "gonfler" le fonctionnement de la machine administrative, en rapport avec le développement local. La réhabilitation de l'action publique de proximité en direction des populations est une priorité sur laquelle le chef de l'Etat insiste beaucoup. Un tâche de grande stratégie politique qui devrait permettre aux autorités territoriales de gagner et de jouir de plus de crédit au sein des citoyens et d'engranger des victoires dans la mise en œuvre de ce développement local intégré et surtout d'entrer dans une ère nouvelle, celle de la mise en pratique d'une stratégie globale de service public. Questions pratiques, audace, en effet, d'une administration locale qui sera dominée par le principe de recourir systématiquement par l'objectivité à se livrer sans complaisance à des analyses de cohérence locale. La nature de ce développement local et le temps imparti à son exécution permettent de recourir à des mesures de croissance économique et la "formation brute" d'une capacité d'amélioration à tous les niveaux. La logique, l'efficience et la dynamique de ce fonctionnement de la gouvernance locale est à considérer dans un cadre de lutte contre le laxisme afin de relever le caractère prioritaire des solutions en direction des populations.
Aussi, la mission des collectivités locales traitée comme sujet de préoccupation par le chef de l'Etat, constitue autant d'arguments et d'éléments qui confirment le sérieux avec lequel est menée la concrétisation de la décentralisation. Celle-ci, en se donnant les moyens d'un suivi constant permet de réévaluer et de redimensionner certaines doléances des populations et de les adapter aux réalités sociales et d'équilibre régional, tenant compte bien sûr des priorités et des besoins élémentaires de la société. Il est donc beaucoup plus de laisser aux collectivités locales la possibilité élargie pour développer une politique au lien fort avec la promotion de la stratégie choisie à ancrer au niveau local, un appui significatif continue à l'appropriation des actions de développement par les populations locales.
Dans cette optique, l'accent est mis sur plusieurs éventuelles interventions et de nouvelles dispositions pour le renforcement des communes dans leur position d'interlocuteur privilégié des populations notamment par la refonte de leur autonomie financière, soit une nette croissance de leurs ressources fiscales et parafiscales. L'appui à la concertation permanente avec la société civile et l'écoute précieuse des préoccupations sociales des populations sont définis comme l'un des principes de rapprochement avec les administrés. A l'évidence, ce critère de participation incitera la population à régler elle-même ses propres affaires, une conviction largement développée par le discours officiel et devant aboutir à une symbiose entre l'administration et les administrés. Un prélude visant l'amélioration du cadre de vie, la relance économique et l'augmentation des capacités et des opportunités d'offres d'emplois et de confort.
Les directives émises à ce sujet par le chef de l'Etat à travers cette mission, vise à valoriser les investissements dans les ressources humaines et les infrastructures sur la base des PCD et des PSD. Une mise en œuvre qui satisfait à la fois, la volonté de faire des communes par le biais de leurs élus locaux le point d'ancrage des actions et des activités de développement et d'application du programme présidentiel, mais aussi l'instauration d'une politique participative combinée. Un objectif transversal à l'ensemble des intervenants au niveau local pour soutenir et réaliser la mise en place de "filets" d'amélioration durables dans tous les domaines de la vie du citoyen. Cet autre élément permet de favoriser un véritable transfert de la justice sociale. Il reste favorable à toute évolution de la société dans le sillage du programme politique et à sa référence, dans la mesure où il permet le maintien d'avantages exorbitants au profit des citoyens et l'extension des prises en charge de leurs problèmes et la manifestation d'un équilibre régional. Dans toute cette démarche, l'essentiel est de stimuler les capacités inventives locales pour démontrer leur caractère innovant de la protection et des transferts sociaux et pour un développement local endogène évoluant dans un sens expansif et s'appuyant sur une accumulation d'actes et d'actions illimités planifiés et d'amélioration qui ne contredisent pas la recherche de réflexion et de développement. Mais ce que veulent traduire les orientations du président Abdelaziz Bouteflika, c'est la place à accorder à la "supériorité" des collectivité locales sur le développement en général orienté par l'Etat. Ainsi, elles doivent utiliser toutes les "armes" en leur possession et la réforme de leurs actes afin de prouver qu'elles ont des effets positifs quant à défendre les intérêts des populations, par le recours aux valeurs de la bonne gouvernance et aux directives économiques et sociales émises par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.

Bande de Gaza : produire biologique


Jon Elmer - Al Jazeera
Info-Palestine.net
proche orient. net

La perversité et la cruauté de l’occupant israélien ont été jusqu’à modéliser le régime alimentaire imposé à chaque tranche de la population de Gaza, avec l’objectif de situer ce régime juste à la limite de la famine, écrit Jon Elmer. En Février 2006, après la victoire électorale du mouvement Hamas, Dov Weisglass, un haut conseiller d’Ehud Olmert alors premier ministre israélien, a décrit en substance ce que serait la politique israélienne envers Gaza.

« C’est comme une rencontre avec une diététicien », a dit Weisglass. « Nous voulons que les Palestiniens perdent du poids, mais sans aller jusqu’à mourir de faim. »

Tout habitant de Gaza aurait pu tout de suite faire remarquer que le blocus sur la circulation des marchandises - et des personnes - dans et hors de Gaza était bien antérieur à l’élection du Hamas.

Et alors que les années passaient, la date exacte du début de l’état de siège a été souvent, pour des raisons de commodité politique, manipulée de façon à coïncider avec la victoire du mouvement Hamas dans la bande de Gaza en Juin 2007.

« Pas de crise humanitaire »

Selon des documents officiels qui ont fait surface lors d’un procès devant la Haute Cour d’Israël, « la limitation du transfert des marchandises est un pilier central dans les moyens à la disposition de l’Etat d’Israël dans le conflit armé qui l’oppose au Hamas ».

Un document clé, titré « La consommation alimentaire dans la bande de Gaza - Lignes rouges », fournit méticuleusement les détails de l’apport calorique minimum nécessaire, fondé sur l’âge et le sexe, pour maintenir les habitants de Gaza en état végétatif juste au-dessus de la malnutrition, et précise le nombre de grammes et de calories correspondant à chaque type d’aliment autorisé dans la bande de Gaza.

L’existence du document appelé « Lignes rouges » est connu depuis plusieurs années, mais son existence n’a été confirmé que dans le cadre des procédures judiciaires récentes en Israël.

La politique de blocus est supervisée par une unité du ministère de la défense israélien, le « Coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires » (COGAT).

Le slogan politique - qui a été répété durant plusieurs réunions du COGAT auxquels assistaient des journalistes israéliens - dit : « ni prospérité, ni développement, ni crise humanitaire. »

Bien que le blocus sur les denrées alimentaires de base et les besoins essentielles en infrastructures ait été conçu par Israël pour encourager les Palestiniens à renverser leur gouvernement élu, de nombreux signes prouvent l’effet inverse.

« Si quelque chose permet au Hamas de se consolider en tant que parti au pouvoir et dans l’exercice d’un gouvernement de plus en plus efficaces, c’est le siège », a déclaré Yezid Sayigh dans un récent rapport d’un voyage d’étude de l’université de Brandeis [Massachusetts].

« La ferme biologique »

En plus du commerce bien connu des tunnels en exploitation sous la frontière entre Gaza et l’Egypte, le Hamas a pris des mesures concrètes pour atténuer les effets du siège et développer son administration dans la bande côtière.

Le ministre de l’Agriculture du Hamas, Muhammad al-Agha, a publié un plan décennal visant à contourner le blocus en augmentant la production agricole locale et en développant l’autosuffisance alimentaire dans la bande de Gaza.

Intitulé « Plan pour 2020 », le document a été examiné par 150 universitaires et chercheurs, selon le ministère de l’agriculture, et il cherche à répondre par des initiatives locales aux défis imposés par le blocus d’Israël.

Par exemple, l’interdiction imposée par Israël sur les engrais, a poussé le Hamas à explorer la possibilité d’exploiter après traitement, des eaux usées qui sont souvent non traitées et déversées dans la mer au large de Gaza depuis l’arrêt des installations de retraitement qui sont à court de pièces de rechange et d’équipements divers.

« Quand Israël a commencé à bloquer nos besoins en agriculture, nous avons évolué vers l’agriculture biologique pour répondre à nos besoins. »

« Ce que nous avons fait, c’est [la mise en œuvre de projets modèles] pour la transformation des déchets agricoles ou domestiques en engrais organiques que nous utilisons ensuite dans l’agriculture », a déclaré al-Agha, qui est aussi professeur en sciences environnementales à l’Université Islamique de Gaza.

Jusqu’à présent, quelque 1000 dunums de terres ont été fertilisées de cette manière dans le cadre du projet pilote, toujours selon le ministère.

« Ce que nous avons tenté, c’est de faire évoluer peu à peu la culture pratiquée par notre peuple vers l’agriculture biologique, les aliments biologiques et la production biologique », a ajouté al-Agha.

Le plan, tel que récemment décrit par The Economist est de « transformer Gaza en une grande ferme biologique ».

Zone tampon

Les années précédentes, la bande de Gaza était axée sur des cultures d’exportation rentables, ce qui a rendu le secteur agricole vulnérable. Comme le note le plan stratégique, l’agriculture d’exportation consomme de grande quantités d’eau douce et d’autres intrants, et a pour effet de contaminer les ressources en eau avec les engrais chimiques et les pesticides.

Selon un récent rapport des Nations Unis, la relance du secteur agricole dans la bande de Gaza est cruciale afin de « rétablir pour la population locale l’ancien accès à des aliments frais - dont les fruits et les légumes, les oeufs, la viande et le poisson frais - que les organismes humanitaires n’ont pas l’habitude de fournir dans le cadre de leur assistance. »

Mais la base agricole sur laquelle agit le Hamas est désespérément limitée par une « zone tampon » imposée par Israël à l’intérieur de la frontière clôturée de Gaza.

Un tiers des terres cultivables de Gaza est inaccessible aux agriculteurs et aux éleveurs, d’après les données des Nations Unies.

Dans certaines régions, cette zone d’exclusion est de deux kilomètres de profondeur. Elle n’est nulle part à moins de 500 mètres de la frontière et elle est partout imposée par des tirs à balles réelles.

Un rapport de l’Office des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHOA) note que la zone tampon « renferme des cultures pluviales comme le blé, l’orge, les haricots et divers légumes, ainsi que des cultures d’olives, d’amandes et d’agrumes. La plupart de la production animale dans la bande de Gaza est concentrée dans cette zone, qui contient également des infrastructures importantes comme des puits et des routes ».

« Digérer les agressions israéliennes »

Alors que le gouvernement de Salam Fayyad en Cisjordanie, soutenu par mes États-Unis et par Israël, vise à appliquer au mieux les demandes de l’Ouest afin de maintenir le flux d’aide étrangère, le Hamas dans Gaza, à bien des égards a poursuivi son chemin.

Un rapport récent fait sur le terrain par Nathan Brown, de la Fondation Carnegie pour la Paix, a déclaré sans ambages : « Il y a [un] acteur politique qui pousse les Palestiniens à se préoccuper moins de s’attirer les faveurs des étrangers et à plutôt prendre les choses en mains propres - c’est le Hamas ».

Khaled Hroub, un expert de premier plan sur le mouvement Hamas à l’Université de Cambridge, considère que le blocus est le dernier exemple de la capacité du Hamas à « absorber » les agressions israéliennes et à en émerger encore plus fort à bien des égards.

« Ce que nous voyons maintenant dans le blocus de Gaza est une autre manifestation du même phénomène que nous avons constaté tout au long de l’histoire du Hamas durant ces 20 dernières années », a déclaré Hroub, qui est l’auteur de « Hamas : Pensée politique et pratique ».

« Nous avons vu [le Hamas] manœuvrer pour contourner les nombreux défis israéliens et en sortir à chaque fois plus discipliné et plus solide. »

En effet, des nombreuses conséquences du blocus israélien, rares sont celles qui correspondent à l’intention israélienne d’origine.



9 août 2010 - Al Jazeera - Vous pouvez consulter cet article à :
http://english.aljazeera.net/focus/...

'Union européenne au sujet des Roms


Par Marie Simon,
Ce que dit l'Union européenne au sujet des Roms
Pressé par Bucarest de lancer un programme d'intégration des Roms, Bruxelles demande à Paris de "respecter les règles" européennes. Mais à l'échelle de l'Europe, la législation reste floue.

Les Roms, des citoyens européens...

La France "doit respecter les règles" concernant la protection des citoyens européens. Ce mercredi 18 août, la Commission européenne a rappelé le gouvernement français à l'ordre alors que Paris démantèle des camps et a commencé à expulser 700 Roms en situation irrégulière vers la Roumanie et la Bulgarie. Le Quai d'Orsay se défend: les mesures françaises sont "pleinement conformes aux règles européennes". De quelles "règles" parle-t-on exactement?

A vrai dire, aucune législation spécifique n'existe sur les Roms en Europe: leurs droits et devoirs sont régis par les textes européens sur la citoyenneté européenne, octroyée à tout résident d'un Etat-membre de l'Union européenne. Ce qui inclut les quelque 10 à 12 millions de Roms qui y vivent, selon les chiffres du Conseil de l'Europe.
Lors du point presse de la Commission européenne (à voir ici en vidéo), ce mercredi, le porte-parole Matthew Newman a évoqué un texte en particulier: la directive 2004/38/EC, qui établit le droit pour les citoyens de l'Union européenne et pour les membres de leur famille de circuler et de résider librement à l'intérieur des frontières des Etats-membres. En l'occurrence, la Roumanie et la Bulgarie ne font pas encore partie de l'espace Schengen (entrée prévue en 2011), mais elles sont bien des Etats-membres de l'Union européenne, et ce depuis janvier 2007.

C'est ce même texte, transposé en 2004 dans le droit français, que brandit Bernard Valero, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères français, pour renvoyer Bruxelles dans les cordes: "Les mesures décidées par les autorités françaises en vue de démanteler ces camps sont pleinement conformes aux règles européennes et ne portent en rien atteinte à la liberté de circulation des citoyens de l'UE. (...) Elles visent à lutter contre le dévoiement de cette liberté, dont l'exercice est régi par la directive 2004/38/CE qui prévoit expressément des restrictions au droit de libre circulation pour des raisons d'ordre public, de sécurité publique et de santé publique."
... soumis à des restrictions particulières
De quelles restrictions s'agit-il? Celles qui s'appliquent à tous les citoyens européens. Auxquelles s'ajoutent un cas particulier: d'après les textes européens, "pendant une période transitoire de sept années maximum après l'adhésion" d'un nouveau pays, ses ressortissants "peuvent rencontrer des restrictions temporaires pour travailler dans un autre pays". Les Roms que la France expulse sont de nationalité roumaine ou bulgare, donc concernés par ce régime transitoire.

Concrètement, Roumains et Bulgares peuvent entrer en France sans formalité particulière et y rester trois mois sans avoir à justifier d'une activité. Seuls documents nécessaires: un passeport ou une carte d'identité en cours de validité. Au-delà des trois mois de séjour, ils doivent avoir un emploi, suivre des études ou justifier de ressources suffisantes, et avoir une assurance-maladie. Pour exercer une activité professionnelle, ils doivent détenir un titre de séjour et une autorisation de travail. Le type d'emplois qu'ils peuvent occuper est limité à 150 métiers connaissant des difficultés de recrutement.

S'ils n'ont pas les documents requis, ils risquent d'être expulsés, via une "obligation de quitter le territoire français", qui leur donne un mois pour partir à compter de sa notification, ou un arrêté préfectoral de reconduite à la frontière. Ils peuvent aussi être expulsés avant trois mois en cas de trouble à l'ordre public ou "charge déraisonnable pour le système d'assistance sociale". Et bénéficier de "l'aide au retour humanitaire", d'un montant de 300 euros par adulte et 100 euros par enfant.

Pour la Commission européenne, tant que les expulsions sont décidées "au cas par cas" et de façon "proportionnée", "nous ne pouvons pas aller plus loin..."
Que fait l'Union européenne pour l'intégration des Roms?
L'Europe ne s'est-elle pas déjà emparée de ce sujet sensible? Pas vraiment, ou en tout cas pas efficacement, si l'on en croit le président roumain Traian Basescu qui en appelle ce jeudi à Bruxelles pour le lancement d'un véritable "programme d'intégration au niveau européen des citoyens d'ethnie rom". Une demande déjà formulée par la Roumanie depuis 2008...

Il y a deux ans, dans un communiqué de presse, le Conseil de l'Union invitait la Commission européenne et les Etats-membres de l'UE "à identifier des actions concrètes pour 2009 et 2010". La Commission européenne était priée de "remettre un rapport sur les progrès réalisés avant la fin du premier semestre 2010". Quant aux Etats-membres, "échanger leurs bonnes pratiques" était recommandé par Bruxelles... Le Conseil de l'Union se félicitait aussi de "l'organisation le 16 septembre 2008 du premier Sommet Européen relatif aux Roms".

A l'issue de ce sommet, la Plate-forme européenne pour l'insertion des Roms voyait le jour. Dans les conclusions de sa troisième réunion, en juin dernier, elle dressait une liste des thèmes à clarifier tout en admettant qu'elle n'aura "sans doute pas la capacité de tous les traiter". Parmi ceux-ci, la question essentielle des "migrations des Roms", population historiquement non-sédentaire, et de leurs "retours forcés", était reléguée au chapitre "autres sujets".
Fin 2008, 10 principes de base communs pour l'inclusion des Roms étaient également édictés (lire l'encadré). Ces "déclarations donnent un cadre général aux institutions européennes, aux pays membres et candidats afin d'orienter leurs politiques en la matière. Mais elles ne sont pas contraignantes sur le plan légal", précise Waltraud Heller, porte-parole de l'Agence des droits fondamentaux de l'Union européenne. "En revanche, si un Etat-membre utilise des Fonds structurels pour mettre en place une politique qui va à l'encontre de ces principes, n'importe qui peut alerter la Commission européenne et cela ne sera pas sans conséquence. Le poids politique de ces principes n'est donc pas négligeable".

Au-delà de ces diverses déclarations, quels moyens concrets ont été mis en oeuvre? La Commission évoque une enveloppe de 17,5 milliards d'euros sur 2007-2013 utilisée par douze Etats-membres pour promouvoir inclusion des Roms. Ces douze Etats-membres font partie du réseau EURoma, dont la mission est de répartir efficacement ces Fonds structurels européens. La Roumanie et la Bulgarie font partie de ce cercle restreint, naturellement. L'Italie, la Suède et l'Espagne aussi. Pas la France.

Algérie-Viêtnam




Algérie-Viêtnam : M. Messahel transmet un message du Président Bouteflika à M. Nguyen Minh Triet
A l’occasion du 2e Forum Vietnam-Afrique à Hanoi : Ressources humaines : la coopération algéro-viêtnamienne présentée à l’honneur
M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, a été reçu, hir à Hanoi, par le Président de la République socialiste du Viêtnam, M. Nguyen Minh Triet, auquel il a transmis un message oral du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
Ce message, indique-t-on de source proche de la délégation algérienne, porte sur les relations économiques entre les deux pays qui ont connu une dynamique nouvelle depuis la visite officielle effectuée en Algérie, au mois d'avril dernier, par le président Triet à l'invitation du Président Bouteflika. Le Président Triet a évoqué avec émotion cette visite, en rappelant qu'elle a laissé dans sa mémoire un souvenir impérissable. Il a également souligné le leadership de l'Algérie et du Président Bouteflika en Afrique dans la consolidation de la paix, la sécurité, la stabilité et dans la promotion du développement économique et social au profit de ses peuples. Au cours de cette même audience, M. Messahel a pris la parole au nom des délégations de l'Union africaine et des pays africains qui ont pris part aux travaux du 2e forum Afrique-Viêtnam. Dans son intervention, le ministre délégué a rappelé les relations historiques d'amitié et de solidarité qui unissent l'Afrique et le Viêtnam et qui ont été forgées durant les guerres de libération nationale.
Ce socle, a-t-il souligné, peut aujourd'hui servir de fondement pour promouvoir un partenariat économique solide et mutuellement bénéfique entre les pays du continent africain et le Viêtnam afin de valoriser les potentialités de leur économies en exploitant toutes les opportunités d'échanges économiques et d'investissement qu'elles offrent.
M. Messahel a également mis en relief l'expertise développée par le Viêtnam et qui, a-t-il dit, peut aider à consolider le processus de relance de développement économique initié par les pays africains particulièrement à travers le NEPAD qui a défini les priorités pour asseoir les fondements du développement économique des pays du continent sur des bases durables. M. Cherif Chikhi, ambassadeur d'Algérie au Viêtnam, a assisté à l'audience.

A l’occasion du 2e Forum Vietnam-Afrique à Hanoi
Ressources humaines : la coopération algéro-viêtnamienne présentée à l’honneur
La coopération algéro-viêtnamienne dans le domaine des ressources humaines a été présentée hier par l'ambassadeur d'Algérie au Viêtnam, M. Cherif Chikhi, à l'occasion du 2ème forum Viêtnam-Afrique qui se tient à Hanoi (Viêtnam).
M. Chikhi a expliqué l'intérêt exceptionnel qu'accorde l'Algérie au capital humain en évoquant la part substantielle qui lui est réservée dans l'important programme d'investissement public pour la période 2010-2014, développant, à cet effet, ses objectifs essentiels.
Il a également indiqué que la coopération algéro-viêtamienne, qui est sous-tendue par des liens d'amitié indéfectibles, car forgés dans le contexte difficile des guerres d'indépendance, a inclus, à ses débuts, le domaine des ressources humaines.
L'ambassadeur a rappelé, à cet égard, la présence en Algérie, dans les années 1980, d'un grand nombre de médecins viêtnamiens, en observant que certains, parmi eux, sont aujourd'hui membres de l'Association d'amitié Viêtnam-Algérie.
Il a relevé qu'actuellement la coopération algéro-viêtnamienne, intégrant les ressources humaines, se développe dans les secteurs de l'énergie et des travaux publics.
Le diplomate a souligné l'importance accordée à ces deux grands secteurs en Algérie avant de présenter la coopération entre Sonatrach et Petrovietnam (société viêtnamienne du pétrole).
M. Chikhi a rappelé la visite du Président vietnamien, M. Nguyen Minh Triet, en Algérie à l'invitation du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, les résultats auxquels elle a abouti et la réaffirmation, à cette occasion, de la volonté commune des deux pays d'œuvrer au renfoncement de la coopération bilatérale. L'ambassadeur a conclu que la mondialisation, qui génère de nombreux défis, "impose une mobilisation accrue des compétences" et un partage d'expériences "qui sera infiniment utile chaque fois qu'il concerne des domaines économiques dans lesquels l'un ou l'autre des deux pays a déjà prouvé ou prouvera à l'avenir une efficacité et un succès reconnus".

Algérien aide humanitaire pour Gaza



Départ vers l'Egypte d'un navire algérien d'aide humanitaire pour Gaza
(AFP) – Il y a 10 heures

ALGER — Un bateau algérien chargé d'aide humanitaire au profit des Palestiniens de Gaza a quitté le port d'Alger dans la nuit de mercredi à jeudi à destination du port égyptien d'El Arich, a annoncé la radio nationale algérienne.

A l'initiative de l'association des oulémas algériens, d'hommes d'affaires et d'associations de la société civile, le navire a largué les amarres chargé de 60 conteneurs contenant des produits alimentaires de base, d'articles scolaires, de matériel médical dont une clinique pluridisciplinaire, des appareils d'hémodialyse et des scanners, avait indiqué auparavant l'agence APS.

En mai, 32 ressortissants algériens avaient été arrêtés par Israël après l'assaut contre une flottille internationale d'aide humanitaire pour Gaza dont un navire algérien.

Ils avaient été libérés quelque jours plus tard.

Copyright © 2010 AFP

DESERTIFICATION youtube


La désertification est un phénomène naturel ou non qui a pour origine des variations climatiques et/ou les conséquences d'activités humaines. Ce mot décrit une aridification locale, reflétant la dégradation des terres menant à des conditions biotiques de type désertique. La théorie de l'avancée du désert de Lamprey (1975), qui était liée à l'observation de variations de couvert végétal dues à la variabilité climatique, a depuis évolué vers une approche d'un phénomène plus diffus.

C'est un processus de dégradation des sols qui peut avoir lieu dans des zones arides, semi-arides et subhumides sèches, à l'exclusion des déserts (zones hyper-arides).

Ce phénomène représente une des catastrophes naturelles à long terme. La désertification est amplifiée par le réchauffement de la planète, et par l'extension des activités humaines telles que l'irrigation, l'industrialisation, le tourisme et le surpâturage (au Sahel notamment). Ses effets, qui résultent d'une dégradation lente des terres, sont souvent confondus avec ceux des sécheresses, avec lesquels il interagit.

La désertification constitue un problème d'environnement et un problème de développement. Elle affecte l'environnement local et le mode de vie des populations, mais ses effets ont des retentissements plus globaux : biodiversité, changements climatiques, ressources en eau. Étroitement liée à l'activité humaine, la dégradation des terres constitue à la fois une conséquence du mal-développement et une entrave majeure au développement durable des zones sèches.

La définition de la désertification, retenue au niveau international et énoncée initialement dans le chapitre 12 de l'Agenda 21, puis dans l'article 1 de la Convention des Nations Unies est la suivante : "le terme désertification désigne la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et sub-humides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines".

La désertification prend une ampleur croissante et jugée assez inquiétante pour que l'ONU au Sommet de la terre de Rio en juin 1992 (Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement Cnued) ait jugé utile de proposer une convention mondiale sur la lutte contre la désertification. Faute d'entente des élus sur son contenu, elle est devenue une déclaration d'intention.

Finance Islamique: Accélérateur de croissance pour l’économie




La finance islamique a démontré une résilience particulièrement forte à la crise financière. Grâce à une véritable traçabilité de ses transactions et du fait de son appartenance au compartiment des finances dites « éthiques « , elle a su jongler entre risque de spéculation et risque systémique en jouant la carte de la sécurité.

Sans qualifier la finance islamique de remède miracle aux maux de l’économie, l’enjeu de cette conférence sera de déterminer si celle-ci peut allier performance économique des entreprises françaises et rentabilité financière pour les investisseurs. Si elle peut stimuler l’entrepreneuriat et favoriser la création d’emplois. Si la finance islamique peut à la fois pallier les besoins de consommation des français et ouvrir de nouveaux marchés pour l’assurance ou la banque de détail. Il faut noter que la finance islamique a bien résisté à la crise financière mondiale. La finance islamique brasse des flux de 840 milliards de dollars avec une croissance annuelle d’environ 15 %.

Selon Anass Patel, président de l’Aidimm, le marché de la finance islamique mondiale pourrait atteindre les 1 000 milliards de dollars dès 2010 et beaucoup plus par la suite d’après les spécialistes. Plus de la moitié de ce marché est détenue par les banques commerciales. Le reste du marché est composé des boutiques de banques d’affaires pures comme les fonds de capital-investissement ou immobiliers, des fenêtres islamiques des banques conventionnelles internationales et des produits islamiques tels que le takaful (assurance), des sukuk (titres d’investissement).

Par ailleurs, les pays qui ont des parts de marché de finance islamique importantes sont pour la plupart des pays dont le système bancaire islamique est très développé, démontrant s’il en était besoin, que c’est le marché de détail qui permet à la banque islamique de mieux établir sa présence. Il faut dire que la finance islamique promeut l’investissement dans des actifs tangibles : les investissements doivent être adossés à des actifs réels. Au-delà de ce premier critère discriminant, les financiers musulmans ne dérogent pas à une règle d’or : le banquier n’est pas prêteur mais co-investisseur et donc partenaire du projet financé. Ses revenus correspondront à une quote-part des résultats issus du projet financé.

L’exigence d’un audit approfondi des potentiels projets à financer ainsi que l’accompagnement des entrepreneurs pendant les phases de recherche, de lancement et de vie de projet permettent d’éviter une dilapidation de capitaux reçus et une gestion qui s’est, jusqu’alors, révélée salutaire. Le très célèbre principe des 3P (Partage des Pertes et Profits) conduit de manière systématique le banquier (investisseur) à une vigilance accrue quant à la pertinence du projet financé.

La différence de comportement entre l’investisseur « islamique » et l’investisseur « classique » en matière de bourse pourrait être explicitée en deux points. Le premier est investisseur à moyen et long termes, l’autre est, le plus souvent, spéculateur de court terme, profitant des écarts de cours sur un titre. D’ailleurs certains savants musulmans ont pu émettre l’idée de cycle d’investissement concernant l’achat d’actions.

La durée de détention d’un titre de société intervenant dans le domaine agricole pourra par exemple correspondre au temps nécessaire pour semer, récolter et commercialiser. La décision de vente du titre sera alors justifiée par une véritable stratégie d’investissement mesurée par le retour sur investissement post-cycle de récolte. Dans leur ensemble, les principes majeurs de la finance islamique, sans se targuer d’être des antidotes absolus pour l’ensemble des maux, constituent un corpus de normes dont la vocation profondément éthique permet de fixer de solides garde-fous aux acteurs de la sphère financière. L’un des défis majeurs de la finance islamique, ou du moins de celui de ses partisans, sera celui de résoudre un paradoxe qui semble être un véritable casse-tête pour les hommes modernes que nous sommes : allier croissance vertigineuse à exemplarité morale.

Les analystes de S&P relèvent, par ailleurs, que le développement de la finance islamique devrait notamment être soutenu par des avancées dans les pays non musulmans, en particulier l’Europe de l’Ouest. Ils citent la France, l’Italie et Malte. Toutefois, ils soulignent que des interrogations demeurent quant à la véritable capacité d’implantation de la finance islamique dans cette zone. L’agence cite, à ce propos, les obstacles réglementaires, notamment en matière fiscale et les incertitudes concernant la demande pour les produits conformes aux principes de la Charia. « La visibilité manque quant à l’intérêt des musulmans pour l’offre de banque islamique et la capacité de ces produits à attirer des non -musulmans », note S&P dans l’étude.

source: Le maghreb

BéjaïaInvest Algérie 2010



BéjaïaInvest Algérie 2010: Le Salon International de l’Investissement et du Partenariat
BéjaïaInvest Algérie 2010 L’Algérie offre des opportunités très intéressantes. Elle est le centre d’intérêt de nombreux investisseurs.

En effet ses possibilités sont offertes par des élements notoires et déterminants en particulier :
- Ses ressources naturelles
- Sa population jeune et dynamique
- Un tissu économique en plein expansion.

L’ensemble est soutenu par une politique économique volontariste créant un environnement très favorable aux investissements publics soit :120 milliards de dollars sur la période 2009-2012.
Ce programme comporte également de très nombreuses incitations fiscales et sociales dont les investisseurs peuvent tirer profit sous diverses formes : octroi de terrains, d’exonération fiscales voire de financements …

Soutenu par divers organismes et notamment la Chambre de Commerce de Béjaia, Air Algerie, ONLY Lyon, CGPME, UB FRANCE…,ce premier salon de l’investissement placé sous le thème « investir à Béjaia » à comme ambition d’orienter les investisseurs et de leur faire découvrir les opprtunités économiques de cette région .

Cette mission économique a pour objectif d’informer au mieux et grâce aux divers interlocuteurs et décideurs, les investisseurs sur des points substantiels. Elle offre aux entreprises la possibilité de profiter du boom économique de l’Algérie

Dans le cadre de cette rencontre, les principaux acteurs économiques et institutionnels de la région seront présents pour encadrer et informer les participants . En amont, des réunions de travail et des conférences permettront d’optimiser la participation de chacun avec une étude au cas par cas, dans un souci de mettre en place des rendez-vous B to B les plus efficaces possibles .

Bejaia Invest , sera l’occasion d’avoir un interface avec les sociétés les plus importantes de la région , de découvrir leurs compétences, spécificités et d’exposer ses services et projets.

Béjaia capitale économique d’une région dotée d’un port et d’un Aeroport où se concentrent des entreprises internationalement reconnues, ainsi que des PME – PMI est très attractives pour un partenariat porteur et éthique .

L’Algérie et singulièrement le pôle économique de Béjaia, jouit d’un environnement propice au tourisme et une politique très volontariste a été mise en place par les autorités locales pour développer ce secteur.

Les entreprises françaises et autres sauront sans nul doute en tirer le plus grand profit et permettront ainsi le développement des relations commerciales équitables et pérennes avec cette belle région .

Béjaia Invest / Algérie

Algérie: Des oulémas de onze pays aux 5e « dourouss mohammadia » d’Oran



Des oulémas de onze pays arabe et d’Europe participeront à la 5e édition des causeries religieuses « dourouss mohammadia » qu’abritera le siège de la zaouïa « Belkaidia El Habria » d’Oran du 19 août au 2 septembre, a indiqué l’instance organisatrice de cette manifestation

Selon la même source, cette rencontre internationale, organisée chaque année à l’occasion du mois de Ramadhan, sera axée sur le thème de la science avec comme slogan le verset coranique « Parmi ses serviteurs, les savants craignent Dieu ».

Cette manifestation verra la participation de savants et faqihs d’Algérie, Tunisie, Maroc, Yémen, Jordanie, Syrie, Liban, Egypte, France, Turquie et d’Italie qui débattront de différents thèmes abordant entre autres la place de la science dans l’Islam et l’attention particulière dont elle jouit dans le Saint Coran.

13ème édition du magazine « Livre d’Or-Med Synergie




Fidèle à sa tradition, la maison d’édition Al Bouraq – Textun, fondée par Mourad Loussaïef, offre une 13ème édition du « Livre d’Or-Med Synergie » au contenu alléchant et au graphisme irréprochable
La nouveauté c’est le traitement de thèmes au niveau Méditerranéen et la présentation du role de plus en en plus déterminant de notre MAGHREB dans cet important espace.

Architecture, décoration, design, artisanat, football, tourisme, donc les rubriques habituelles sont certes au rendez-vous avec l’approche qui se veut écologique, orientée vers l’environnement et le développement durable ; des thèmes d’actualité sont aussi traités, à citer comme exemple :

- la participation du Maghreb aux salons de MESSE FRANKFURT et au Salon de SHANGHAI

- le FootBall Algérien » une longue et passionnante histoire »

- les entreprises Maghrébines primées par GTZ REME et l’économie d’énergie dans le batiment par DE’ART Architecture..

- la 3ème épisode du périple méditerranéen de FITAME et la découverte du Sahara algérien , » ce Sahara est une grande source d’inspiration, un monde riche et envoutant » disent ils !!

- Made-in-Algeria.com, Rayhanet, Tunisie.conso.com…figurent aussi dans notre nouvelle édition

Mourad Loussaïef insiste : « Je mets un point d’honneur à la valorisation de l’ARTISANAT et de l’ART MAGHREBIN ; Nos pays sont riches en production DE BIENS ET DE SERVICES, Nous disposons de centaines d’artistes et d’artisans dont la production est mal mise en valeur, voire pas du tout. En ce sens, cet ouvrage tente à chaque édition de corriger cette lacune ».

Le programme au titre de l’année 2011 sera aussi riche et dense comprenant un semainier Med Select avec une nouvelle présentation, un Livre d’Or-Med Synergie deux Spéciaux.., soit un pack complet avec une partie de la publication en langue ARABE, le tout pour répondre à vos attentes et RAMADHAN MABROUK.

Spanair va relier Valence à Alger


Air journal
Par François Duclos
La compagnie aérienne espagnole Spanair lancera en octobre une nouvelle route entre Valence et Alger, à raison de deux vols par semaine.

Spanair va lancer sa troisième route entre la capitale algérienne et l’Espagne avec l’ouverture le 31 octobre prochain d’une ligne depuis Valence. Les vols seront opérés le vendredi et le dimanche, avec départ de Valence à 23h00 et arrivée à Alger à minuit. Dans l’autre sens, les avions décolleront de l’aéroport Houari Boumediene à 0h35, pour se poser une heure plus tard à l’aéroport Manises.

La compagnie de Star Alliance offrira donc 14 vols hebdomadaires entre les deux pays, des liaisons réparties entre Alger (depuis Madrid et Barcelone) et Oran. Un communiqué de Spanair souligne que l’ouverture de ces nouvelles lignes répond à la demande croissante exprimée par les entreprises espagnoles de plus en plus présentes en Algérie, dues aux relations économiques toujours plus fortes entre les deux pays.

Fondée en 1986, Spanair opère une flotte de 36 avions, principalement des Airbus de la famille A320. Son réseau s’étend sur toute l’Espagne et ses îles ainsi que vers l’Europe, le pourtour méditerranéen et l’Afrique.

Algérie dépêche un beateau d'aides humanitaires au profit de la population de la bande de Ghaza



Un bateau chargé d'aides humanitaires au profit de la population de la bande de Ghaza a quitté dans la nuit du mercredi à jeudi le port d'Alger à destination du port égyptien d'El Arich.

Chargé de 60 conteneurs contenant des produits alimentaires de base, d'articles scolaires, de matériel médical dont une clinique pluridisciplinaire, des appareils d'hémodialyse et des scanners, ce navire tentera d'apporter ces aides précieuses à une population qui souffre le martyre sous le coup d'un embargo imposé depuis plusieurs années par l'occupation israélienne.

Cette opération a été initiée par l'association des Oulémas algériens et des personnalités nationales avec le concours de citoyens de différentes wilayas du pays, des hommes d'affaires et des associations de la société civile dans le cadre de la solidarité avec le peuple palestinien, ont affirmé les organisateurs.

Pour rappel, en mai, 32 ressortissants algériens avaient été arrêtés par Israël après l'assaut contre une flottille internationale d'aide humanitaire pour Gaza dont un navire algérien. Ils avaient été libérés quelque jours plus tard

Mr Le Président Bouteflika secteur des ressources en eau


Le Président Bouteflika préside une réunion d’évaluation consacrée au secteur des ressources en eau
L’Etat a fait du droit à l’eau une réalité pour les Algériennes et les Algériens. Les citoyens, de leur côté, doivent adhérer à une démarche solidaire et équitable de l’économie d’une ressource rare et fragile.

Dans le cadre des auditions annuelles qu'il dirige sur les activités des différents départements ministériels, M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, a présidé une réunion restreinte d'évaluation consacrée au secteur des ressources en eau.

Au cours de cette audition le ministre des Ressources en eau a présenté une situation d'ensemble du secteur de l'hydraulique comprenant un bilan des réalisations de l'année en cours ainsi qu'un exposé sur le lancement du programme quinquennal de développement 2010-2014.
Au cours de l'année 2010, le secteur a enregistré la réception et la mise en service de nombreuses réalisations et infrastructures, dont les plus importantes sont :

- la mise en service de sept nouveaux barrages pour une capacité additionnelle de plus d'un milliard de mètres cubes. Il s'agit des ouvrages de Koudiat Acerdoune (Bouira), Boussiaba (Jijel), Kissir (Jijel), Douéra (Alger), Bougous (El-Tarf), Saf-Saf (Tébessa) et Kerrada (Mostaganem) ;
- l'entrée en exploitation de deux grands transferts et de six adductions d'eau potable;
- la réception de deux usines de dessalement d'eau de mer d'une capacité de 300.000 m3/jour à Skikda et à Beni Saf (Aïn Temouchent), ainsi que de leurs aménagements en aval ;
- la mise en service de cinq stations d'épuration dans les villes d'Aïn-Turk (Oran), El-Eulma (Sétif), Annaba, Mila et Saida ;
- l'achèvement des travaux de protection des villes de Sidi Bel Abbès et Batna contre les inondations ;
- la réalisation et l'équipement de quatre grands périmètres d'irrigation sur une superficie additionnelle de 9.312 hectares.

La mise en service de ces différentes installations et infrastructures s'est traduite sur le terrain, par une nette amélioration des indicateurs du développement humain en matière de ressources en eau. Ainsi, le taux de raccordement aux réseaux d'alimentation en eau potable (AEP) est actuellement de 93%.
La dotation quotidienne en eau potable par habitant, est passée à 168 litres distribués quotidiennement dans plus de 70% des chefs-lieux de communes, en même temps que la distribution en continu (h/24) commence à devenir une réalité dans plusieurs grandes villes.
Concernant le volet assainissement, 86% des foyers sont aujourd'hui raccordés aux réseaux publics de collecte des eaux usées. Avec une capacité installée en stations d'épuration de 600 millions de m3/an, l'Algérie est actuellement en mesure de traiter 80% des rejets d'eaux usées.
Une attention particulière a été accordée par le président de la République à l'état d'avancement des grands projets, notamment :

- le grand projet d'alimentation en eau potable de Tamanrasset à partir de la nappe d'In-Salah qui doit être mis en service au premier trimestre 2011 ;
- le projet de transfert vers les hautes plaines sétifiennes avec la réalisation de trois barrages, dont les travaux avancent à un rythme soutenu ;
- le programme de dessalement d'eau de mer qui comprend la réalisation de 13 stations et de leurs aménagements en aval pour une production de 2,26 millions de m3/j, a été lancé et connaît un avancement effectif sur le terrain ;
- l'extension du système Béni Haroun par la réalisation de l'interconnexion des cinq barrages le composant, et dont les travaux viennent de débuter.

Les composantes du programme quinquennal 2010-2014 du secteur des ressources en eau ont également été passées en revue. Elles devront contribuer à la consolidation des résultats obtenus par le secteur et asseoir une réelle gestion intégrée de l'eau dans ces différents usages domestique, agricole et industriel.

Programme de développement 2010-2014 : 6 actions majeures
En matière de mobilisation des eaux superficielles, la réalisation de 19 nouveaux barrages. En 2010, quatre barrages ont été lancés pour travaux : Béni Slimane (Médéa), Z'hor (Skikda), Saklafa (Laghouat) et Soubella (M'sila) et quatre ont été lancés en appel d'offres au cours de la même année : Djdiouia (Relizane), Taht (Mascara), Souk Tléta (Tizi Ouzou) et Djerda (Souk Ahras) ;

> les travaux des barrages Kaf Eddir (Tipaza), Ourkiss (Oum El Bouaghi), Tabelout (Bejaia), Draâ Ediss (Sétif), Mehouane (Sétif) et Tagharist (Khenchela), avancent conformément aux délais impartis.
> Un programme national d'étude de diagnostic et de travaux de réhabilitation des réseaux d'alimentation en eau potable de 37 villes du pays ;
> La réalisation de 44 stations d'épuration et de 42 stations de lagunage, ainsi que l'achèvement de deux grands projets de protection contre les inondations à Bab El Oued et Ghardaïa ;
> Les travaux d'aménagement hydro-agricole sur une superficie globale de 40.281 hectares et la réhabilitation de périmètres d'irrigation existants sur une superficie de 19.800 hectares.
> La poursuite de la mise en œuvre des réserves stratégiques régionales des ressources hydriques par la combinaison des ressources superficielles, souterraines et non conventionnelles et la poursuite de l'option de l'interconnexion des grands barrages du pays, identifiés comme noyau régional stratégique (Gargar à l'ouest, Koudiat Acerdoune au centre, et Béni Haroun à l'est).
> En gestion décentralisée, il s'agit de divers projets d'alimentation en eau potable, d'assainissement, de protection contre les inondations, de construction de stations d'épuration, de forages et de retenues collinaires.

----------------------------

Les instructions du Chef de l’Etat
Intervenant à la fin de l'évaluation du secteur, le Président de la République a relevé les progrès indéniables enregistrés par le pays en matière de mobilisation de la ressource en eau en réponse aux besoins de la population dans ce domaine. Le Chef de l'Etat a appelé à la poursuite des efforts menés en la matière, rappelant que "l'eau est le socle de toute entreprise civilisatrice et de développement surtout dans un pays semi-aride comme le nôtre, soumis, de manière chronique, au stress hydrique et à l'aléa climatique". Le Président de la République a ajouté que "ces résultats probants en matière d'alimentation en eau potable et d'assainissement, sont autant de motifs d'encouragement pour la poursuite de la modernisation et l'extension des réseaux pour offrir à tous les citoyens le même service public de l'eau".
Après avoir mis l'accent sur l'importance du facteur des ressources humaines dans la mise en œuvre de cet ambitieux programme, le Chef de l'Etat a instruit le gouvernement en vue du renforcement des capacités d'encadrement et de maîtrise d'ouvrage, notamment dans les domaines de management des projets hydrauliques et d'exploitation d'ouvrages et d'infrastructures réalisés au prix d'un grand effort de la nation.
La politique de mobilisation et d'utilisation des ressources hydriques sera résolument orientée vers le développement et l'extension de l'agriculture irriguée, seule garant de la sécurité alimentaire du pays. Les réalisations des barrages et des grands transferts seront concentrées dans la région des Haut Plateaux qui constitue l'espace où doit s'opérer le développement agricole et le renouveau rural de l'Algérie.
Enfin, le Président de la République a affirmé que "le véritable défi du futur, est celui de l'économie de l'eau", soulignant que "si l'Etat a fait du droit à l'eau une réalité pour les Algériennes et les Algériens, les citoyens, de leur côté, doivent adhérer à une démarche solidaire et équitable de l'économie d'une ressource rare et fragile".

Agences de voyage Promouvoir la «destination Algérie»



Un nouveau décret pour les agences de voyage Promouvoir la «destination Algérie»
Les propriétaires d’Agences de tourisme et de voyage devront désormais se conformer à 27 obligations contenues dans le nouveau cahier des charges, annexé, au décret exécutif N° 10-186 du 14 juillet 2010, modifiant et complétant le décret exécutif du 1er mars 2000 fixant les conditions et les modalités de création et d’exploitation des Agences de tourisme et de voyages, publié dans le Journal officiel N° 44 du 21 juillet 2010.

Entre autres obligations, le titulaire de la licence d’exploitation d’une Agence de tourisme et de voyages est tenu de conclure systématiquement un «contrat de tourisme et de voyages» avec tout touriste traité.

Il doit répondre aux besoins de la clientèle, en matière de conception et d’organisation de tous types de produits touristiques spécif iques dits «à la carte». Envers les tiers, la formalisation d’une éventuelle sous-traitance avec une autre agence par un «contrat de partenariat » notarié exigé.

Le nouveau décret distingue deux catégories d’Agence de tourisme et de voyage : la catégorie A destinée aux Agences de tourisme et de voyages qui désirent activer principalement et/ou exclusivement dans le « tourisme national » et le « tourisme réceptif » et la catégorie B , destinée aux Agences de tourisme et de voyages qui désirent activer principalement et/ou exclusivement dans le tourisme émetteur de touristes au plan international.

Contrairement au décret précédent, la durée de la licence est fixée à trois années. La licence est renouvelable pour la même période, « incessible et intransmissible ». Trois mois avant l’issue de la durée de la licence, son titulaire peut introduire, auprès du ministre chargé du Tourisme, une demande de renouvellement.

Le texte précise que la création d’une Agence de tourisme et de voyages, en vue de son exploitation, est subordonnée à l’obtention préalable d’une licence d’exploitation délivrée par le ministre chargé du Tourisme, après avis motivé de la commission habilitée.

La demande d’une licence d’exploitation, qui doit être formulée par une personne âgée de plus de 21 ans, doit également comporter l’engagement, dûment signé du demandeur, à exercer l’activité conformément à la législation et à la réglementation en vigueur et à l’éthique de la profession.

Le demandeur s’engage également à se conformer aux conditions d’exercice f ixées pour la licence sollicitée.

Il doit attester qu’il a pris connaissance des prescriptions liées à l’exercice de l’activité d’agence de tourisme et de voyages, et, qu’en cas d’inexécution de ces prescriptions, il est passible des sanctions prévues par la législation et la réglementation en vigueur.

Par ailleurs dans le cadre de ses activités, l’Agence de tourisme et de voyages est tenue, d’utiliser les technologies de l’information et de la communication pour la promotion et la commercialisation de la «Destination Algérie» et d’éditer périodiquement des catalogues, brochures et autres supports, documentaires et numériques de vente des différents produits et circuits touristiques de la «Destination Algérie ».

Le décret indique : La licence peut faire l’objet d’un retrait et son renouvellement refusé pour, entre autre le manquement avéré aux obligations professionnelles de l’agence, la non-conclusion avec chaque client traité d’un contrat de tourisme et de voyages, tel que prévu par la législation en vigueur, le non-recours à des guides du tourisme, agréés par le ministre chargé du Tourisme, pour l’encadrement des groupes de touristes traités, la non-entrée en activité dans le délai de six (6) mois à compter de la date de délivrance de la licence d’exploitation,…

Les Agences de Tourisme et de voyages, dûment agréées à la date de la publication du décret, sont tenues de se conformer aux présentes dispositions dans un délai de six mois à compter de la date de publication du présent décret au Journal off iciel.

A l’issue de ce délai, et lorsque l’Agence de tourisme et de voyages ne se conforme pas aux présentes dispositions, il est procédé au retrait de la licence.

Kezoul L

Patrimoine culturel européen


Consultation sur la mise en ligne du patrimoine culturel européen

Le groupe de réflexion sur la numérisation («comité des sages») créé par la Commission européenne a lancé aujourd’hui une consultation sur les moyens d'encourager la mise en ligne du patrimoine culturel.


À l’heure où les secteurs européens de la création et de la culture traversent une période de transformation radicale, il est nécessaire de trouver des solutions innovantes pour qu’ils s’adaptent au progrès technologique et en tirent tout le profit possible.

La Commission a demandé au groupe de réflexion de déterminer les meilleurs moyens d’accélérer la numérisation, la mise à disposition en ligne et la conservation des œuvres culturelles dans toute l'Europe.

Les réponses à la consultation seront prises en compte dans les recommandations que le groupe formulera avant la fin de l'année. La consultation sera ouverte jusqu'au 30 septembre 2010.

Toutes les parties intéressées (particuliers, institutions culturelles, pouvoirs publics, entreprises privées, ONG, établissements universitaires) sont invitées à donner leur avis sur les principaux aspects de la numérisation, notamment les sources potentielles de financement pour la numérisation et pour le développement d’Europeana, la bibliothèque numérique européenne. Elles peuvent aussi faire part de leurs idées concernant les modèles d’exploitation acceptables pour les contenus dont la numérisation a bénéficié d’un financement public, les conditions des partenariats public-privé conclus pour réaliser des numérisations, le développement de la mise en ligne de documents protégés par le droit d’auteur, ou encore l’accès transfrontière aux ressources numérisées.

Pour plus d'i,nformations :

Le document de consultation est disponible à l’adresse suivante:

http://ec.europa.eu/yourvoice/ipm/forms/dispatch?form=comitedessages&lang=fr