阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, May 12, 2010

Algerie festival International de la Bande dessinée d’Alger : Concours international



Le commissariat du FIBDA est très heureux d’annoncer la tenue de la troisième édition du Festival international de la bande dessinée d’Alger du 13 au 17 octobre 2010.
Durant cette manifestation dédiée à la promotion du IXe art dans notre pays, qui verra expositions, rencontres, débats mais aussi concerts et workshop organisés à Riadh el Feth, des professionnels, dessinateurs et scénaristes de toutes les nationalités concourront avec des œuvres originales et inédites pour d’importants prix sous forme de trophées et en numéraire qui seront remis par un jury international de haute volée. Ce concours sera ouvert, le 15 avril 2010, à tous les bédéistes, nationaux et étrangers sur la présentation d’une œuvre de bande dessinée originale, inédite ou éditée entre 2009 et 2010. Six prix consacreront les lauréats selon la décision d’un jury international. Le style et les sujets sont libres. La clôture des inscriptions est fixée au 31 août 2010. Toutes les modalités et conditions afférentes au concours sont disponibles sur site du FIBDA : Hyperlink « http://www.bdalger.net » www.bdalger.net.
Pour toute information supplémentaire s’adresser au secrétariat du FIBDA Tel/ Fax : 021 37 34 79 Mail : Hyperlink « mailto:contact@bdalger.net » contact@bdalger.net Contact presse : rachidalik@gmail.com

Thèmes de deux expositions au Palais du bey à Constantine



Thèmes de deux expositions au Palais du bey à Constantine L’âge d’or des sciences arabes et les Koutama
Montées en complète symbiose avec l’empreinte arabo-musulmane de l’architecture du Palais Hadj Ahmed-Bey, en cours de restauration, ces deux expositions indépendantes, caractérisées par un double décor, en l’occurrence les arcades du palais et des vitrines renfermant jalousement objets d’art et pièces archéologiques, occuperont huit salles du rez-de-chaussée, traversant les galeries de l’édifice jusqu’au jardin des orangers, dans une aura d’époque parfumée de jasmin. Cette manifestation a été créée par le Musée d’art moderne algérien dans le cadre de la manifestation culturelle internationale «Alger, capitale 2007 de la culture arabe», selon M. Abdelaziz Badjadja, chef du projet de restauration du Palais du bey, qui a souligné que cette exposition monumentale, agrémentée de 19 écrans plasma, donnera également lieu à une diffusion continue d’images vidéo. Ce support permettant d’illustrer personnages historiques et objets d’époque, sera accompagné d’agréables sonorités acoustiques dans une atmosphère feutrée de jeux de lumières, a ajouté M. Badjadja. Occasion de revisiter l’histoire au cours de la célébrationà l’occasion du mois du patrimoine, cette station de l’évolution de la chronique arabo-musulmane soulignera, a-t-on noté, l’œuvre des Koutama, une branche des tribus berbères du Nord, dans la naissance de la dynastie des fatimides. «Une dynastie qui s’est étendue jusqu’en Egypte sous la houlette de Djaouhar Sikilli (le Sicilien), à la tête de 100 000 combattants formés majoritairement de Berbères Koutama, fondant par la suite Le Caire en l’an 358 de l’Hégire, et réalisant El-Azhar», haut lieu du culte musulman en 361, a rappelé ce responsable. Ponctuée d’illustrations colorées de différents types de calligraphie arabe, de modèles d’instruments performants, tels que des objets de laboratoire, des astrolabes, des engins de levage, des dispositifs hydrauliques et autres, l’expo «l’âge d’or des sciences arabes» démontre, «preuves à l’appui», la consistance de la civilisation arabo-musulmane, a, également, indiqué cet architecte-restaurateur. L’exposition représente divers registres du savoir, depuis l’exploitation des héritages anciens, à l’exemple de connaissances babyloniennes, indiennes et surtout grecques, affûtées au fil du temps, jusqu’aux autres sciences de base, telles que la géométrie, le calcul et la théorie des nombres qui ont donné naissance à de nouvelles disciplines comme l’algèbre, la trigonométrie ou encore l’analyse combinatoire. Des mathématiques à la chimie, en passant par la mécanique, la chirurgie, jusqu’aux sciences du temps «ilm al miqât», de l’astronomie, à la médecine, aux sciences physiques, ce sont, selon M. Badjadja, des «pages entières constellées des noms et de parcours escarpés d’illustres maîtres musulmans qui ont porté haut le flambeau de la connaissance avant même le VIIIe siècle». A une époque où l’humanité baignait dans un féodalisme sauvage et un obscurantisme aveugle, des foyers intellectuels appuyés par les premiers califes musulmans, d’abord à l’époque omeyyade, puis au cours de la première partie de la dynastie abbasside, ajoutés au développement de l’industrie du papier ont été, selon M. Badjadja, «autant de facteurs déterminants dans l’expansion de l’âge d’or des sciences arabes» que traite un des volets de l’exposition. Celle-ci sera ouverte au grand public entre le 14 mai et le 27 novembre au public. Agence

L'expérience algérienne dialogue social



L'expérience algérienne en matière de dialogue social au menu33e session du conseil général de l'Organisation syndicale de l'Unité africaine.
Environ 400 participants représentants 85 organisations syndicales, dont 60 syndicats du continent, prennent part à cette rencontre syndicale continentale qui s'est ouverte en présence de Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat, représentant personnel du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. Des représentants du BIT, ainsi que le directeur régional Afrique et le directeur des activités des travailleurs et la directrice du BIT-Algérie, participent aussi aux travaux de cette session du conseil général de l'OUSA. Lors de son intervention, le secrétaire général de la Centrale syndicale, Abdelmadjid Sidi-Saïd a affirmé que le dialogue social est une forme qualitativement supérieure «des relations établies entre les différents partenaires sociaux.»M. Sidi-Saïd a affirmé que le dialogue social en Algérie est une forme qualitativement supérieure des relations établies entre les différents partenaires. Il a rappelé que la signature en octobre 2006 d'un Pacte national économique et social «a revêtu une portée considérable pour le monde du travail.» M. Sidi-Saïd qui a souligné que le Pacte est l'aboutissement d'une décennie de consultations et de négociations sous forme bilatérale ou tripartite, a estimé que les rencontres tripartites «ont été d'authentiques moments d'apprentissages collectifs, grâce au rapprochement des points de vue de chacun des partenaires et le partage de l'information sur les aspects économiques, sociaux et financiers.»Sidi-Saïd a cité les résultats obtenus grâce au pacte et la création de conditions favorables à l'adaptation de la législation du travail aux mutations économiques et sociales, l'adaptation du système de rémunération en vigueur dans la Fonction publique, conformément aux dispositions du nouveau statut général et la réalisation d"«une première», celle de conclure, le 1er mai 2010, les conventions de branches de la quasi-totalité des secteurs d'activité. Pour sa part, le directeur des activités des travailleurs au niveau du BIT (ACTRAN), M. Dan Kunya a exprimé sa satisfaction quant aux résultats obtenus en Algérie grâce au dialogue social. Le responsable du Groupe des travailleurs au niveau du BIT, M. Leroy Troman, a souligné, pour sa part, que «l'approche du dialogue social est un chemin plein d'embûches». Estimant que le dialogue social est une «tâche ardue», il a expliqué que «les résistances au changement» sont l'une des difficultés pour instaurer ce dialogue. Le directeur régional du BIT pour l'Afrique, M. Dan Charles a affirmé de son côté, que «le dialogue social implique une volonté politique forte du gouvernement». C'est ainsi qu'il a relevé que «le Pacte national économique et social initié en Algérie est un véritable précurseur dans le cadre du Pacte mondial pour l'emploi.» Nouara N.-K.

Algerie un nouveau fleuron pour l'industrie nationale Cevital



Cevital inaugure le complexe de fabrication d'équipements électrodomestiques de Sétif
Un nouveau fleuron pour l'industrie nationale



Le complexe de fabrication d'équipements électrodomestiques "Samha", filiale du groupe Cevital de Sétif, a été inauguré, hier, au cours d'une cérémonie présidée par M. Issad Rebrab, P-DG du groupe Cevital, accompagné de l'ambassadeur de la République de Corée du Sud en Algérie, Choi Sung Hun, du vice-président de Samsung chargé de l'Afrique et du Moyen-Orient, et des autorités locales de la wilaya de Sétif. Situés dans la zone industrielle de Sétif, le complexe occupe une surface totale de 9,5 hectares, dont 4,5 couverts. Il faut noter que la réalisation de ce complexe n'a duré que 13 mois, et cela en mobilisant les moyens du groupe Cevital. L'alliance entre le groupe Cevital, le premier groupe industriel privé algérien, et la firme sud-coréenne Samsung, un autre géant mondial de l'industrie électronique, est le résultat d'un partenariat paraphé au mois de mai 2006. Ce pôle électronique est considéré comme le plus important de la zone Europe et Afrique, le cinquième au niveau mondial de par sa dimension. Il est spécialisé dans la fabrication d'équipements électrodomestiques de la marque Samsung. Pour le réaliser, le groupe Cevital a investi 100 millions de dollars, tandis que le groupe Samsung y a contribué avec sa technologie et son réseau commercial présent sur les quatre continents,. Il constitue l'une des plus grandes réalisations industrielles privées au niveau national. Ses volumes et la qualité des ses productions permettent à l'Algérie de passer du stade d'importateur à celui d'exportateur. Les capacités de production installées placent le complexe de Sétif parmi les cinq plus grands complexes industriels mis en place par Samsung dans le monde. Le complexe, doté de la plus haute technologie en la matière, produira annuellement 1,5 million d'appareils électroniques (téléviseurs LCD de dernière génération, climatiseurs, machines à laver, réfrigérateurs). Lorsque le complexe fonctionnera à trois équipes, les productions quotidiennes seront de 1 200 réfrigérateurs, de 1 200 machines à laver, de 1 800 climatiseurs et 4 200 téléviseurs de types CRT &LCD. Il emploie à présent 1 000 travailleurs. Cet effectif atteindra plus tard le nombre de 3 000. Ce qui fait dire à M. Issad Rebrab, devant un parterre d'opérateurs économiques de la région, de représentants de ministères et de personnalités dans une allocution, qui a mis en relief tout l'impact économique et social de ce complexe, qu'aujourd'hui un beau fleuron de l'industrie algérienne vient enrichir le patrimoine national. Cette réalisation a plusieurs caractéristiques très particulières. "C'est avant tout un complexe industriel de dernière technologie que nous avons réalisé en collaboration avec notre partenaire qui est le leader mondial, Samsung électronique. Le complexe a de l'importance, il n'est pas simplement destiné pour couvrir les besoins du marché national, mais aussi dégager un excédent à l'exportation comme nous l'avons déjà fait dans d'autres secteurs d'activité tels que l'agroindustriel ", a-t-il indiqué. Selon M. Rebrab, il y a aujourd'hui des produits agroindustriels du groupe qui se retrouvent sur les marchés mondiaux et sur des marchés de pays développés, notamment en Europe. Il rappelle que ce projet a été réalisé dans un délai assez court de 13 mois, "c'est la prouesse de mes collaborateurs que je félicite". Il mettra également en exergue le mode opératoire de Samsung, "il y a des normes non seulement qualitatives, nous les connaissons déjà dans nos différents complexes industriels et nos laboratoires, pas un seul produit ne sort de l'usine pour être commercialisé au nom du groupe Cevital, sans qu'il ne soit contrôlé". En dehors du management, de la technologie et de la méthode de travail, "nous avons beaucoup appris avec notre partenaire Samsung", dira M. Rebrab, ajoutant qu'aujourd'hui son groupe réalise des projets de taille mondiale, "parce que ce n'est que de cette manière que nous pourrions réduire les coûts qui nous permettent de nous placer non seulement sur le marché national, mais aussi sur le marché international". Il indiquera que l'autre caractéristique de ce complexe, c'est l'ouverture de 1 100 postes de travail. "Nous allons passer, à partir de l'année prochaine, à 3 000 collaborateurs. C'est un projet qui va fonctionner 24h/24, comme nous le faisons depuis l'existence de Cevital au niveau de nos différentes unités". Et d'ajouter qu'"avec cette dernière technologie, cela nous permettra de nous placer en premier exportateur hors hydrocarbures en Algérie ". Il citera, dans ce contexte, l'exemple du complexe MFG pour la production de verre plat qui couvre 100 % des besoins du marchés national avec 30% de sa production, les 70 % restants sont destinés à l'exportation dont la majeure partie vers l'Europe (Allemagne, Russie, Espagne) et vers la Tunisie. "Pourquoi je vous dis tout cela ? C'est simplement pour vous dire que lorsque l'on prend les choses avec sérieux, avec étude de marché, en choisissant la dernière technologie, en investissant au niveau des hommes et des femmes, en faisant des projets de taille mondiale, non seulement ont peut fabriquer des produits de qualité, mais nous n'avons aucun problème pour être compétitif sur le marché international", a-t-il indiqué. M. Rebrab dira que les jeunes algériens sont bien formés, comme ils sont bien encadrés et bien respectés, ils n'ont absolument rien à envier aux ingénieurs des pays développés. Il ajoute dans le même sens, en disant que l'Algérie a aussi changé. "L'Algérie peut, dans très peu de temps, et les jeunes algériens sont capables de le faire , être parmi les pays les plus évolués. La moyenne d'âge de nos collaborateurs dans nos complexes est de mois de 36 ans. Je dirai aux jeunes algériens, vous êtes la fierté de l'Algérie et son 'espoir". Le P-DG de Cevital dira que durant la période 2008/2009, 6 000 emplois directs ont été créés par son groupe. Et d'ajouter que "c'est dans ces conditions que nos banquiers nous font confiance. Le groupe a connu durant, ces dix dernières années, une croissance moyenne de 50 % par an ". Il affirme que cette croissance sera maintenue durant les prochaines années, "en réinvestissant la quasi-totalité de nos revenus, évidemment après avoir versé 59 % de la création de la valeur ajouté au budget de l'Etat. Il ne reste pratiquement qu'un pour cent (1%) à distribuer aux actionnaires et les 40 % sont réinvestis". Lui succédant à la tribune, le vice-président de Samsung chargé du Moyen-Orient et de l'Afrique, a, dans son intervention, relevé le privilège de Samsung de travailler dans la région de Sétif avec le lancement de la production de l'usine de Samha. "C'est, aujourd'hui, l'une des principales entreprises dans le domaine de l'électronique dans le monde, ayant acquis une réputation pour la fabrication de produits de haute qualité. Le complexe de Samha saura répondre aux besoins du marché algérien à travers ses produits de classe mondiale, en utilisant les plus récents savoir-faire des technologies de Samsung ". Pour le responsable de Samsung, il est important de souligner que le groupe apportera son expérience dans le domaine de la production dans la région et contribuera au bien-être général de la population. "A travers un niveau élevé de l'investissement, cette usine est destinée à la production à grande échelle, en utilisant les plus récents équipements, nous espérons que le complexe deviendra bientôt, un pôle régional pour l'approvisionnement". Intervenant, pour sa part, M. Choi Sung Hin, ambassadeur de la République de Corée du Sud en Algérie, a tout d'abord fait part de sa satisfaction d'être invité à la cérémonie d'inauguration du complexe et a estimé que "l'ouverture de ce nouveau pôle industriel apporte une expertise. Tout d'abord, elle intervient seulement quelques jours après la célébration du 65e anniversaire des massacres du 8 mai 45 précisément dans la ville de Sétif, connue pour ses martyrs qui se sont sacrifiés pour la grande cause de l'indépendance de l'Algérie ". L'ambassadeur sud-coréen estime que ce projet de Samha, à Sétif, sera considéré comme l'exemple de la coopération industrielle entre les entreprises privées des deux pays, "dans la mesure où ces usines ont été réalisées sur la base d'une coopération très efficace entre Cevital et Samsung". Le géant sud-coréen Samsung considère que l'Algérie constitue "un vecteur de développement pour la marque Samsung, qui s'est engagé à ce que, non seulement le produit soit disponible, mais aussi à un prix accessible pour toutes les bourses. Aussi, être présent ici, permet de béchmarker la marque par rapport aux concurrents de taille mondiale tels que Panasonic, Sony, Sharp, LG etc. qui sont aussi présents sur le marché algérien". L'usine en question, pour rappel, ne fait pas de montage, mais de la production avec un fort taux d'intégration, soit la réalisation dans la capitale des Hauts-Plateaux d'un produit mondial entier de haute technologie, une démarche qui fait désormais partie de la vocation de Cevital à gravir l'échelle des leaders mondiaux. En découvrant le complexe, les participants à cette cérémonie ont été unanimes pour reconnaître l'importance d'un tel investissement réalisé par Cevital avec le numéro un mondial dans le domaine de l'électronique et de l'électroménager, dans un esprit "gagnant-gagnant", mais aussi d'acquisition de technologie, surtout que les produits au niveau du complexe de Samha sont identiques et de même qualité que tous ceux qui sont produits par les autres usines de Samsung à travers le monde. Autant d'éléments qui permettent au complexe Samha de couvrir les besoins du marché national pour ce qui est des produits fabriqués, mais aussi de dégager un excédent à l'exportation, d'autant que le partenaire sud-coréen est tout à fait disponible pour ouvrir son réseau commercial international à Samha. Le complexe constitue aussi, une source de financement au budget de l'Etat. Il est prévu à cet effet, une contribution financière prévisionnelle (droits de douanes, TVA, TAB, IBS etc) de l'ordre de 2 millions de dinars.De notre envoyé spécial à Sétif : Ahmed Saber

Algerie AIE solaire



Le solaire pourrait produire 22% de l'électricité d'ici 2050



L'énergie solaire pourrait fournir environ 22% des besoins mondiaux en électricité d'ici 2050, à condition que les gouvernements lui apportent leurs soutiens dans les dix prochaines années, déclare l'Agence internationale de l'énergie (AIE). L'AIE prévoit que le coût de l'électricité fournie par des panneaux photovoltaïques (PV), qui captent la lumière du soleil, ne sera pas abaissé au niveau de celui des énergies traditionnelles avant 2020. La technologie de la concentration de l'énergie solaire (CSP), qui permet de faire fonctionner des centrales électriques dans les régions très ensoleillées, pourrait permettre d'atteindre cette parité d'ici 2020. L'AIE estime que la production d'énergie solaire sera de 37 TWh en 2010, en presque totalité provenant de panneaux photovoltaïques. Peu de centrales CSP ont été construites jusqu'ici. Le solaire à concentration thermodynamique est une technologie différente du photovoltaïque classique. Des miroirs concentrent l'énergie solaire vers un tube contenant un fluide qui chauffe. La chaleur obtenue permet de former de la vapeur d'eau qui entraîne une turbine couplée à un alternateur et de l´électricité est ainsi produite. Un énorme avantage avec le solaire à concentration thermodynamique est que la chaleur peut être stockée dans des sels fondus, et les centrales solaires peuvent ainsi produire de l'électricité la nuit. Les deux technologies peuvent produire 9.000 terawatt-heure d'électricité d'ici 2050, presque le quart de la demande mondiale. Cela permettrait de réduire de près de six milliards de tonnes les émissions de gaz carbonique. L'AIE estime que la production d'énergie solaire sera de 37 TWh en 2010, en presque totalité provenant de panneaux solaires photovoltaïques. Notons que le prototype du premier panneau solaire photovoltaïque ''made in Algeria'' sortira en juin prochain des laboratoires de l'Unité de développement de technologie du silicium (UDTS), en partenariat avec le Centre de développement des énergies renouvelables de Bouzaréah. La fabrication en Algérie des panneaux solaires photovoltaïques, après le lancement de ce prototype, devra permettre aux utilisateurs d'acquérir ces équipements à un prix entre 15 000 et 25 000 DA l'unité contre un prix à l'importation de 50 000 DA l'unité. Il convient de rappeler aussi que le groupe Sonelgaz a engagé un programme ambitieux dans le photovoltaique. Il s'agit d'un programme d'électrification des zones du Grand Sud algérien par des systèmes photovoltaïques, de près de 10 millions d'euros. Citons, entre autres, le projet de construction d'une usine de fabrication de modules photovoltaïques. La date de production de l'usine est prévue au plus tard pour le mois de septembre 2012. Notons, d'un autre côté, que le Centre de développement des énergies renouvelables (CDER) a réalisé un travail indispensable pour la promotion des énergies renouvelables, un projet qui occupe une place prépondérante dans le programme du gouvernement. Ainsi, une cartographie des énergies renouvelables a été établie . Un travail qui permettra à l'Algérie d'identifier les gisements, les quantifier, notamment pour ce qui est des énergies solaire et éolienne. Aussi, et selon les prévisions du ministre de l'Energie te des Mines, M. Chakib Khelil, les énergies renouvelables pourraient contribuer dans la production de l'énergie en Algérie à hauteur de 5 % en 2017 et de 35 % en 2040. Celui-ci a également indiqué la semaine dernière que le projet Desertec qui prévoit de fournir d'ici trois ans des " plans d'investissement réalisables" pour la création de ce réseau de centrales solaires, avec comme projection un investissement de 400 milliards d'euros est en cours d'examen au niveau du département de l'Energie te des Mines. S.G.

Développer les énergies renouvelables en Méditerranée



Développer les énergies renouvelables en Méditerranée
[Fenêtre sur l'Europe]
L'Espagne mise sur une plus grande intégration physique, avec interconnexions électriques entre le nord et le sud de la Méditerranée, pour transporter les éventuels excédents d'électricité, a indiqué le secrétaire d'État espagnol à l'Énergie, Pedro Marín.
Lors de la Conférence sur le Plan solaire méditerranéen, qui a lieu mardi et mercredi à Valence, M. Marín a affirmé que ce plan "peut et doit représenter" un pas en avant dans la politique de coopération en matière d'énergie, mais aussi dans de nombreux autres domaines. Le secrétaire d'État espagnol considère que le développement des énergies renouvelables dans la Méditerranée intensifiera l'activité économique, la création d'emplois et de revenus, et peut, à moyen terme, faire de cette région un endroit de référence à niveau mondial. Le Plan solaire méditerranéen peut également aider à lutter contre la " pauvreté énergétique" dans les zones rurales ou périurbaines n'ayant pas accès à l'énergie.

Algérie Tassili Youtube


http://www.youtube.com/watch?v=2VVG0q5YslA
Le Tassili n'Ajjer est un massif montagneux situé au sud-est de l'Algérie, haut plateau aride constitué de grès, à plus de 1 000 mètres d'altitude et s'étendant au centre du Sahara sur 50 à 60 km d'est en ouest, et sur 800 km du nord au sud, soit une superficie de près de 120 000 km², soit le 5e de la France. Sur toute sa surface se dressent des formations rocheuses fortement érodées émergeant des dunes de sables, qui évoquent de loin les ruines de villes antiques. Ce paysage lunaire a été créé par l'érosion.
Pendant des millions d'années, le sol du Tassili n'Ajjer a été raviné par les eaux. Puis, quand la sécheresse s'installa, ce fut au tour du vent d'user et de polir sans cesse ces roches meubles. Une autre cause de l'érosion : les températures. La différence entre la nuit et le jour est parfois de cinquante degrés. Les pierres éclatent littéralement par l'effet de ces variations brutales jusqu'à devenir poussière de sable.
Le massif est habité par les Touaregs du groupe Kel Ajjer Sa ville principale est Djanet.
En 1982, il est classé patrimoine mondial de l'UNESCO et réserve de l'homme et de la biosphère en 1986. Des animaux en voie de disparition tels que le mouflon à manchettes et de nombreuses espèces de gazelles y ont trouvé refuge. Il est considéré, à ce jour, comme étant le plus grand musée à ciel ouvert du monde.
On peut voir dans ce parc national de nombreuses peintures rupestres (notamment dans l'Oued Djera et sur le plateau de Sefar) rappelant que le Sahara était autrefois une contrée verdoyante et fertile. Nombreux sont les dessins représentant des troupeaux de bovins menés par des bergers. Le Tassili N'Ajjer est composé de grès, couches superposées de vase et de sable solidifiés, issus des mers qui couvraient la totalité du plus grand désert du monde. Il y a plusieurs milliers d'années vivaient ici des hommes qui ont laissé la trace de leurs préoccupations quotidiennes ; on trouve en effet des scènes de chasse, de danse et de prière.

Métro alger Youtube


Algerie MED-IT 2010 PME


Les trophées MED-IT 2010 attribués à trois entreprises innovantes

Les trophées MED-IT 2010 des meilleurs PME utilisant les technologies de l'information et de la communication (TIC) ont été attribués hier à Alger à trois entreprises innovantes, suite à un concours organisé par le ministère de la Poste et des Technologies de l'information et de la communication en collaboration avec le ministère de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat. La cérémonie de remise des trophées, qui a vu la présence des ministres la Poste et des Technologies de l'information et de la communication, M. Hamid Bessalah, de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat, M. Mustapha Benbada, et du secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre chargé de la Communication, M. Azzedine Mihoubi, a été organisée en marge du salon international sur les technologies de l'information MED-IT 2010 qui se déroule au palais de la Culture du 10 au 12 mai. Le premier prix, d'un montant de 1.000.000 de dinars, a été décerné à l'entreprise "Media marketing", entreprise de fourniture de nouvelles technologies et de recherche des applications informatiques destinées aux médias. Le second prix, d'un montant de 600.000 dinars, a été attribué à l'entreprise "Techno Moderne Sarl" qui travaille dans la distribution de fourniture de bureaux, d'articles scolaires, d'équipements d'hôtellerie et de rayonnage. Le troisième prix, d'un montant de 300.000 dinars, à été remis à l'entreprise "Emploi partner" qui s'occupe de recrutement des travailleurs, et recrutement spécialisé dans les métiers de la relation clients, communication, marketing et ressources humaines. Les trois prix ont été remis aux lauréats après leur participation à un concours qui a regroupé 80 PME. Le ministre de la Poste et des Technologies de l'information et de la Communication, M. Hamid Bessalah, a souligné que "ce trophée est une occasion pour accélérer le processus d'appropriation des TIC dans les PME". "C'est un objectif que nous nous sommes fixés et que nous devons atteindre", a-t-il affirmé, ajoutant que ce trophée "a montré le grand intérêt manifesté à l'égard de l'utilisation des TIC par les PME". Pour sa part, le ministre de la Petite et Moyenne entreprise et de l'Artisanat, M. Mustapha Benbada, a estimé que ces distinctions représentaient un encouragement pour les PME pour leur intégration totale dans l'économie moderne de l'information. Il s'est dit "parfaitement convaincu" de l'apport des PME en tant que partie prenante à l'effort de relance économique, à travers les différents programmes initiés par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. Des programmes qui ont tous "consacré une part importante à la généralisation de l'usage des nouvelles technologies comme outils au service de la performance de l'entreprise", a relevé M. Benbada.