阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, August 14, 2010

Intempéries en Chine youtube BFM TV


Le Gansu (en chinois : 甘肃, pinyin : Gānsù) est une province du nord-ouest de la Chine.

Longue province étroite, coincée entre le plateau de Mongolie au nord et les contreforts du plateau Tibétain au sud, épousant le tracé principal de l'ancienne route de la soie, le Gansu est habité par environ 26 millions d'habitants (en 2004), dont une minorité importante de Hui. La capitale en est Lanzhou, située dans le sud-est de la province.

Algerie une entente stratégique



Initialement, la politique de reconstruction nationale initiée par le chef de l'Etat repose sur un "souffle" de pesanteurs devant aboutir à la grande puissance économique du pays. Aussi, ose-t-on avec beaucoup d'ambition par la seule force de cet exemple, à insister sur le fait que ce chemin choisi depuis 99 , constitue le seul modèle pour sortir le pays de tous ses retards et dont le "prototype" du développement est le programme présidentiel.
Ce dernier, dans son ensemble, a souscrit aux exigences des citoyens. En effet, pour la première fois dans l'histoire moderne de l'Algérie, l'Etat a pris ses responsabilités en tant qu'autorité de développement au service de tous.
Un très important saut en avant et qui étend ses "fruits" avec l'intention grande de reconnaître à chaque fois qu'il est possible, les revendications légitimes des populations.
Plus positive encore est l'assurance que procure le programme quinquennal 2010/14, donnant ainsi aux Algériens la conviction qu'il y aura une nette victoire sur le sous-développement, mais où, dans le même temps, on relève une étonnante volonté de prendre au sérieux une entente stratégique qui finira par faire émerger la société où régnera en permanence la cohésion et la stabilité génératrice de facteurs de progrès.
C'est là, la prédominance et l'omniprésence de cette fameuse tendance politique qui pèse de tout son poids sur l'action gouvernementale et créant cet espèce de sentiment quasi populaire qui se reconnaît dans l'élaboration de cette politique courageuse, dynamique, capable de faire l'unanimité et à laquelle déjà les Algériens souscrivent.

Pakistan l'ONU craint les épidémies Youtube BFM TV



Le choléra est une toxi-infection entérique épidémique contagieuse due à la bactérie Vibrio cholerae, ou bacille virgule, découverte par Pacini en 1854 et redécouverte par Koch en 1883. Elle est caractérisée par des diarrhées brutales et très abondantes. La forme majeure classique est fatale dans plus de la moitié des cas, en l’absence de traitement (de quelques heures à trois jours).

La contamination est orale, d’origine fécale, par l’eau de boisson ou des aliments souillés.

Le choléra a été la première maladie pestilentielle à faire l’objet, dès le XIXe siècle, d’une surveillance internationale.

En France, on compte quelques cas de choléra chaque année ; dans la plupart des cas, la maladie a été contractée à l'étranger, on a dénombré cinq cas de choléra autochtone entre 1970 et 1996

Le réchauffement Climatique Youtube

Asperatus, le mystère des nuages brutaux dailymotion


Asperatus, le mystère des nuages « brutaux »Le mystère des nuages asperatus est intriguant... Se formant brutalement et disparaissant de même, ils présentent un aspect peu commun - à tel point que les scientifiques de la RMS (Royal Meteorological Society) estiment que ce nuage devrait être classé dans sa propre catégorie.

Catastrophes naturelles en série : le dérèglement climatique en cause?



L’actualité a été marquée ces dernières semaines par une série de catastrophes naturelles aux conséquences désastreuses pour les populations touchées. Rien qu’au Pakistan, ce sont 15 millions de personnes qui sont sinistrées. L’ampleur des inondations est sans précédent depuis 80 ans. Pour l’Onu, cette catastrophe, pour ce qui est des pertes matérielles, est plus grave que le tsunami de décembre 2004.

Le Pakistan, mais aussi l’Inde et la Chine. En Chine, les pluies diluviennes ont provoqué des coulées de boues meurtrières dans le Gansu, dans le nord-ouest du pays. Et là encore l’ampleur du phénomène est inédite et les conséquences terribles. Depuis le début de l’année, des centaines de personnes ont péri à cause des inondations dans le centre et le sud de la Chine.

Dans le même temps, la Russie connaît sa vague de chaleur la plus forte depuis 1000 ans, selon le responsable des services météo russes. S’il est trop tôt pour déterminer les causes de cette canicule exceptionnelle, les conséquences elles sont bien visibles. Les immenses feux de forêts ont parcouru des dizaines de milliers d’hectares. A Moscou, le président Medvedev n’a pas hésité à faire un rapprochement entre les températures anormalement élevées et le changement climatique.

Mais pour les experts, le rapport de causalité n’est pas si évident car l’analyse demande du recul.

L’actualité a en revanche fourni un nouvel exemple du réchauffement climatique il y a quelques jours avec cet immense bloc de glace qui s’est détaché d’un glacier polaire dans le nord du Groenland. Et là, le lien de cause à effet avec le réchauffement de la planète ne fait guère de doute.

Groenland un immense bloc de glacier à la dérive réchauffement climatique


Un immense bloc de glacier à la dérive
Un immense bloc de glace s’est détaché d’un glacier polaire dans le nord du Groenland, à un millier de km au sud du Pôle Nord, entre le Groenland et le Canada. Sa superficie, 260 km carrés, est impressionnante, de même que son épaisseur : environ 200 m. Un événement de cette ampleur ne s‘était pas produit depuis 1962, soit près de 50 ans.

“Les courants chauds circulent autour de ce fjord et ils érodent le glacier de Petermann à une vitesse incroyable, 25 fois supérieure à la fonte normale de la surface, explique Alun Hubbard, chercheur à
l’Université du Pays de Galles. On connaît depuis quelques années le rôle joué par le réchauffement des océans dans l’accélération de la disparition des glaciers.”

Cela dit, “Rien ne permet d’affirmer que la fonte de ce glacier est due au réchauffement climatique”, assure un chercheur de l’Université de Delaware (Etats-Unis), Andreas Muenchow, à l’origine de cette
découverte. “Mais rien ne permet d’affirmer le contraire non plus”, poursuit-il. Alors que 2010 s’annonce déjà comme pouvant être l’année la plus chaude de l’histoire de la planète terre…

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l’Algérie dans 20 ans


Ce que sera l’Algérie dans 20 ans

TISSU INDUSTRIEL ET GRANDS PROJETS D’AVENIR

Il reste à l’Algérie une quinzaine d’années pour devenir un pays dit émergent. C’est une période très courte, alors que les défis économiques, sociaux, industriels et culturels sont colossaux. Dans 15 ans, l’Algérie ne sera plus un pays exportateur de pétrole et sa population sera de l’ordre de 50 millions d’habitants, dont 35 à 38 vivront sur une bande côtière d’à peine 150 km de profondeur à partir de la mer. Certes, les gouvernants algériens ont pris les décisions opportunes en injectant environ 600 milliards de dinars dans la réhabilitation des structures économiques et sociales, le développement de l’économie de l’immatériel (dont les Ntic ne sont qu’une des composantes). Même si l’Ecole algérienne se débat et continuera à se débattre dans de grandes difficultés (le ministre en charge du secteur ne doit pas se poser en victime d’un mauvais procès instruit contre lui; il a hérité en 1993 d’une situation passablement calamiteuse), la création de lycées préparatoires aux grandes écoles, l’instauration d’un numerus clausus a minima à l’entrée de l’Université, le partenariat que les grandes Ecoles algériennes seront nécessairement conduites à nouer avec les plus prestigieuses universités du monde; tout cela autorise à garder un espoir raisonnable dans les chances de redressement du système éducatif algérien. Tous les pays comparables sont engagés aujourd’hui dans une compétition mondiale pour la suprématie technologique. La compétition en est de plus en plus âpre. Les entreprises multinationales évoluent avec une rapidité qui n’a pas de précédent dans l’histoire, cependant que la demande de matières premières explose littéralement. Il est évidemment anormal qu’entre 1999 et 2010, il n’ait pas été proposé l’ombre d’une stratégie industrielle au pays, situation qui apparaît rétrospectivement d’autant plus choquante qu’un état des lieux exhaustif des forces et faiblesses de l’industrie algérienne avait été dressé en 1998. L’opinion publique attend du ministre actuel de l’Industrie et de l’Investissement, grand commis de l’Etat, qu’il s’exprime sur ce sujet, au moment où l’Afrique du Sud et la Turquie et bientôt le Maroc et la Tunisie ne se contentent plus de fabriquer des produits conçus par d’autres mais cherchent à innover dans les domaines de haute technologie et se lancent dans des productions à haute valeur ajoutée. Comment rattraper 12 années de retard venues s’ajouter à 20 ans d’impérities économiques et industrielles voulues par les successeurs de Houari Boumediène qui ont précipité ce pays dans un ravin.

Priorité à la recherche et à l’innovation
Seul un effort massif dans la recherche et l’innovation, à l’instar de ce qu’entreprennent sans désemparer les Etats émergents que l’Algérie a vocation à rejoindre (pour peu que nos concitoyens le veuillent vraiment et pas seulement le gouvernement), permettra à l’Algérie d’accélérer sa croissance et de garantir la pérennité de son modèle social, aujourd’hui financé exclusivement par la fiscalité pétrolière. Seule une culture de l’excellence, des scientifiques de grande valeur dans l’ensemble des domaines (y compris dans les sciences sociales et humaines afin que les Algériens comprennent enfin le monde dans lequel ils vivent et ses évolutions prévisibles), des ingénieurs réputés, un tissu d’entreprises utilisant de hautes technologies et un système éducatif en pointe (à l’école, au collège et au lycée) habiliteront notre pays à rompre véritablement avec la logique rentière dans laquelle l’Algérie s’est embourbée, depuis le début des années 1980, sans pouvoir jamais annuler ou seulement réduire son retard. Mais point de nouvelle politique industrielle sans recherche fondamentale. Le défi qui est posé à nos gouvernants (Cf. les mises en garde régulières depuis un an du Pr Chitour dans ces colonnes) est de créer des emplois hautement qualifiés, afin que des entreprises comme Snvi, Sonatrach, Sonelgaz, Cosider, Air Algérie, etc. ne soient pas happées par la mondialisation galopante (personne ne peut, a priori, exclure une OPA étrangère inamicale sur telle ou telle de nos grandes entreprises) ou leur rentabilité à ce point affectée, que l’Etat lui-même reconsidèrerait son rôle d’actionnaire unique. L’ensemble des pouvoirs publics ne doivent pas être obnubilés par le nombre de PME/PMI à créer d’ici 2014, ou obsédés par le niveau de participation du capital local à la réalisation des marchés publics, surtout si l’objectif de l’efficacité est perdu de vue. Il faudra surtout se préoccuper de la mise à niveau de toutes les entreprises algériennes sans exception (y compris celles qui ont noué des partenariats avec des entreprises étrangères), dès lors que, adhésion prochaine de l’Algérie à l’OMC ou pas, l’ouverture de notre économie est déjà une réalité depuis au moins 15 ans. Aucune évaluation objective n’a encore été entreprise de la mise à niveau de nos entreprises. Qu’entend-on par mise à niveau? La capacité de nos entreprises à satisfaire en biens et services une demande globale interne qui se porte prioritairement sur les produits étrangers? La capacité de nos entrepreneurs à exporter? Le montant des exportations hors hydrocarbures qui devait atteindre deux (2) milliards de dollars en 2000, sera de moins de 700 millions de dollars en 2010, alors qu’il aurait dû dépasser les 10 milliards de dollars au regard de tous les ajustements, restructurations, mises à niveau, privatisations, cessions partielles d’actifs, privatisations engagés depuis 1995. Certes, les gouvernements successifs depuis 1999 n’endossent pas toute la responsabilité de cette situation, mais le moment est largement venu de mobiliser tout le pays (y compris la migration très hautement qualifiée qui a exprimé mille fois sa disponibilité à servir son pays) pour faire face aux défis de demain. En 2015, il sera trop tard. Chaque Algérien doit en avoir conscience, car aucun magicien ne sera au rendez-vous de ce moment-là pour sauver l’Algérie.

Quelle politique industrielle?
Si l’Algérie avait des traditions industrielles ancrées, l’Etat n’aurait pas à décider à la place des industriels des produits à développer, des alliances à nouer ou des marchés à conquérir. Il aurait seulement la responsabilité de créer un environnement propice au développement de grands projets industriels. Et sa stratégie se fût limitée à énoncer un nombre déterminé de programmes, d’une taille significative (dans une perspective de rentabilité) et de se prononcer sur les technologies à adopter. Il n’en est malheureusement rien et sur les secteurs prioritaires comme l’énergie, la santé, les TIC, les transports non polluants et sécurisés, l’Algérie dispose d’atouts mineurs. Quelques questions viennent à l’esprit; elles n’épuisent pas cependant le spectre des incertitudes liées au devenir économique du pays.
1. Faut-il créer une Agence spécialement dédiée au développement industriel et confiée à des experts algériens à la compétence avérée (il en existe au minimum un millier sur l’ensemble du territoire national et quelques milliers à l’étranger) disposant de tous les moyens pour élaborer et suivre une stratégie industrielle véritable, en rupture avec le bricolage qui a prévalu jusqu’ici?
2. L’Algérie peut-elle d’ores et déjà orienter le tissu industriel national vers les secteurs à haute intensité technologique, sachant que ce sont eux qui créeront les emplois de demain (les dispositifs Ansej, Anjem et Cnac s’avèreront très vite inadaptés et sont déjà budgétivores).
3. L’Etat algérien peut-il se donner les moyens de lancer de grands projets d’avenir ainsi que des programmes dont l’horizon dépasserait la capacité nationale de projection de nos finances publiques?
4. Si le partenariat euro-méditerranéen a une raison d’être, c’est bien dans le développement des programmes pour répondre aux défis de l’environnement et des changements climatiques (pile à combustibles, énergie solaire, voiture propre). D’autres pistes peuvent également être explorées comme le perfectionnement de moteurs de recherche multimédias sur Internet, la téléphonie mobile, les terminaux multimédias, les équipements d’imagerie de nouvelle génération pour identifier et traiter des maladies dont l’étiologie reste encore mystérieuse.
En résumé, toutes les institutions de recherche algériennes et les grandes entreprises doivent nouer des partenariats stratégiques avec les pôles industriels et de recherche non seulement de pays européens mais aussi du Maroc, de la Tunisie, de l’Egypte et de la Turquie. Il revient à l’Etat algérien de faire du territoire national, un espace d’attraction pour les investissements étrangers stratégiques, par-delà la nécessité des ajustements dont la LFC pour 2010 sera le siège. Il n’y a plus une seconde à perdre.

alimebroukine@yahoo.com

Ali MEBROUKINE

Métro d’Alger : le bout du tunnel


La première ligne du métro d'Alger a été achevée et sera opérationnelle après la résolution de "certains aspects" de sécurité liés à son exploitation, a assuré hier le ministre des Transports, M. Amar Tou.

La première ligne du métro d'Alger a été achevée et sera opérationnelle après la résolution de "certains aspects" de sécurité liés à son exploitation, a assuré hier le ministre des Transports, M. Amar Tou.

"Le métro d'Alger a été achevé. Il reste cependant quelques aspects de sécurité à résoudre avant sa mise en exploitation", a déclaré M. Tou à la presse à l'issue d'une visite d'inspection sur le chantier de l'extension Haï El Badr-El Harrach de ce projet.
Le ministre a, à cet effet, reconnu que "certains aspects" de sécurité liés à l'exploitation de la première ligne du métro d'Alger étaient "complètement dépassés et nécessitent une révision".
D'une longueur initiale de 9,5 km, le projet du métro d'Alger devra desservir, sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre. La réalisation de ce projet avait été décidée, rappelle-t-on, dans les débuts des années 80 mais sa mise en œuvre avait été suspendue voire totalement mise à l'arrêt par la suite faute de ressources financières, avant d'être relancée à la faveur des programmes d'investissements publics engagés par les pouvoirs publics dans le cadre du Plan de Soutien à la Relance Economique 2000-2005 et du Plan Complémentaire de Soutien à la Croissance 2005-2009.
Ce projet aurait coûté 90 milliards de dinars sans inclure les travaux d'extension dont une bonne partie a été déjà engagée.

L'extension Haï El Badr : El Harrach livrable avant fin 2011
Les travaux de réalisation de l'extension du métro d'Alger entre Haï El Badr et El Harrach, sur une longueur de 4 km, devraient être achevés avant fin 2011, ont assuré hier des responsables de ce projet.
D'un coût de 21 milliards de dinars, cette extension est composée d'un tunnel de plus de 3.700 mètres de longueur, dont un linéaire de 65 mètres passe sous l'oued d'El Harrach, et d'un viaduc aérien qui relie le bout du tunnel de Haï El Badr avec celui de Bachdjarrach sur une longueur de 280 m, selon des explications fournies au ministre des Transports, M. Amar Tou, qui visitait le chantier de cette infrastructure.
S'agissant du tunnel, une centaine de mètres restent à creuser dont 50 m sous la gare ferroviaire d'El Harrach et 65 m sous l'oued, ont affirmé les responsables du consortium composé de la société algérienne Cosider et de l'Allemande Dywidag, en charge de la réalisation du projet. Le rythme de travail a été relativement revu à la baisse à l'approche de la rive de l'oued afin d'éviter des glissements de terrain en raison de la nature "très difficile du sol", a, cependant, expliqué un ingénieur du consortium.
Quant à la partie viaduc, les travaux avancent à un "rythme appréciable" après la pose de la quasi-totalité des poutres de soutien de l'ouvrage dont l'achèvement est prévu pour la fin octobre 2010.
Les travaux de réalisation de l'extension Haï El Badr-El Harrach ont été entamés depuis 17 mois, alors que 1.700 employés dont 35 ingénieurs opèrent dans ce chantier.
Une station de quatre étages équipée d'ascenseurs pour les handicapés ainsi que des guichets de distribution de tickets et de différents commerces est prévue à Bachdjarrah.
La livraison totale de l'infrastructure est attendue pour décembre 2011 après achèvement des travaux d'équipement et de signalisation, a expliqué un responsable de l'Entreprise du métro d'Alger (EMA).
Outre Haï El Badr-El Harrach, plusieurs autres extensions sont programmées pour le métro d'Alger en vue d'atteindre un réseau de 40 km allant de Dar El Beida à Draria à l'horizon 2020, a affirmé M. Tou devant la presse à l'issue de la visite d'inspection.
Il s'agit, en particulier, de Haï El Badr-Ain Nâadja et la Grande Poste-Place des Martyrs dans une première phase avant de desservir d'autres destinations comme Bab Ezzouar, Baraki, Chevalley, Cheraga, Ouled Fayet et Draria.
La réalisation de la ligne Haï El Badr-Ain Nâadja a été également confiée au groupement Cosider-Dywidag, celle de la Grande Poste-Place des Martyrs est en d'appel d'offres, alors que les autres extensions sont en cours d'études.
La longueur initiale du projet du métro d'Alger était de 9,5 km desservant, sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M'hamed et Alger-Centre.
Sa réalisation avait été décidée dans les débuts des années 80, mais sa mise en œuvre avait été suspendue voire totalement mise à l'arrêt par la suite faute de ressources financières, avant d'être relancée à la faveur des programmes d'investissements publics engagés par les pouvoirs publics dans le cadre du Plan de Soutien à la Relance Economique 2000-2005 et du Plan Complémentaire de Soutien à la Croissance 2005-2009.
Ce projet aurait coûté 90 milliards de dinars sans inclure les travaux d'extension dont une bonne partie a été déjà engagée et qui devraient porter à 139 milliards de dinars le coût total du projet, rappelle-t-on.
APS

Métro Alger l'explosion démographique pour la ville d'Alger

Tramway Casablanca



Un géant turc du BTP bien installé


· Yapi Merkezi construira une partie des 30 km du réseau

· Montant du marché, 467 millions de DH

· Il rafle à Dubaï le plus gros contrat de l’histoire ferroviaire

Yapi Merkezi, bâtisseur de ponts et de têtes! Ce conglomérat turc a finalement remporté la première manche. Il a été sélectionné par le Conseil de la ville de Casablanca pour réaliser la plateforme et la pose de la voie ferrée du tramway: une tranche des 30 km de réseau pour un montant 467 millions de DH. L’adjudicataire se contentera pour l’instant du premier tronçon, reliant Sidi Moumen à Hay Mohammadi. Il reste deux autres «morceaux» et dont l’appel d’offres sera lancé incessamment (Voir L’Economiste du 2 juillet 2010).
Face à Yapi Merkezi, géant turc du BTP, il y avait le Français Alstom, des Espagnols, des portugais et des marocains représentés par la SGTM, bâtisseuse du futur siège de Maroc Telecom à Hay Riad à Rabat.
Le succès du groupe turc donne des ailes aux diplomates-VRP: «c’est un pas encourageant pour nos échanges ayant atteint jusqu’à ce jours 1,3 milliard de dollars», commente Ümit Sezer, conseiller commercial de l’ambassade de Turquie à Rabat. La balance des échanges est largement en faveur de notre voisin méditerranéen. La 17e puissance économique mondiale. Ankara tire donc un meilleur profit de l’accorde de libre échange signé avec le Maroc en 2004 et entré en vigueur deux ans après. Des opérateurs BTP turcs ont déjà travaillé sur l’autoroute Marrakech et Agadir, l’extension d’une partie du réseau haute tension de l’ONE, la modernisation de la raffinerie de La Samir à Mohammedia…
Qui est vraiment Yapi Merkezi, holding créé en 1965 à Istanbul par deux académiciens? L’un architecte et professeur à l’université de Sinan, l’autre ingénieur en génie civil et enseignant à l’université technique d’Istanbul.
C’est le jeune ingénieur Gokalp Kahraman qui a ficelé l’offre technique du tramway de Casablanca, déposée le 1er juin dernier. «Notre démarche est simple: un marché livré clés en main. Quelque soit la taille du projet, Yapi Merkezi sera votre unique interlocuteur. Un bureau d’étude interne, composé de 20 ingénieurs et techniciens, gère l’exécution des projets. Plus un département recherche et développement en génie parasismique et béton de très haute résistance», explique Kahraman, formé à Lyon. Le R&D, griffe universitaire de ses fondateurs.
Ce haut cadre expatrié chez nos voisins de l’Est est chef de projets dans ce groupe ayant réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 750 millions de dollars, soit près de 6,4 milliards de DH. Il supervise d’ailleurs un chantier en cours de finition: le centre de maintenance des trains express régionaux d’Alger installé à Caroubier. Il faut remonter à 1984, date à laquelle Yapi Merkezi décroche son premier marché en Algérie: un petit chantier visant la restauration d’un ancien palais Ottoman.
A part l’Algérie, le holding turc s’est imposé en 2005 à Dubaï. Il rafle, en s’alliant aux Japonais Mitsubishi, Obayashi et Kajima, le plus grand appel d’offres de système ferroviaire dans l’histoire! Il s’agit du métro de Dubaï lancé par le maire de la ville, Qassim Sultan. Le projet s’étale sur environ 70 km et se compose de 2 lignes. Suite à de profondes modifications, le montant total du contrat passe de 3,5 à 10 milliards de dollars. Les travaux seront terminés en 2010. Au soudan, Yapi Merkezi construit plutôt deux ponts, de 800 m et 1 km, sur le Nil bleu. Inauguration prévue pour juillet 2020.
Le holding turc compte environ 2.000 salariés, en Turquie principalement. Il a aussi plusieurs filiales Merkezi Préfabrication, Yapikonut spécialisé en promotion immobilière, Subor (eau potable), Insaat (construction) puis Irmak (enseignement maternel, primaire et lycée). Là aussi la touche universitaire ressurgit.
Comme quoi l’alliance du savoir et des affaires peut s’avérer redoutable.

Faiçal FAQUIHI

Partenariat Euromed Processus de Barcelone


Le partenariat Euromed, dit aussi Processus de Barcelone, a été créé en 1995 à Barcelone, à l'initiative de l'Union européenne (UE) et de dix autres États riverains de la mer Méditerranée (Algérie, Autorité palestinienne, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Syrie, Tunisie et Turquie). L'Albanie et la Mauritanie sont membres de l'Euromed depuis 2007. EUROMED rassemble, désormais, les 27 États membres de l'UE et douze États du sud de la Méditerranée. La Libye avait un statut d'observateur jusqu'en 1999 ; depuis 2004, la normalisation des rapports avec l'UE prépare son intégration à moyen terme.

Le processus de Barcelone a été lancé en novembre 1995 et a donné naissance à une alliance reposant sur les principes de l'appropriation commune, du dialogue et de la coopération. La déclaration de Barcelone, faite à l'issue du sommet constitutif, énonce les principaux objectifs de ce partenariat : construire ensemble un espace de paix, de sécurité et de prospérité partagée. Pour y parvenir, elle prévoit des actions dans les domaines politique, économique, financier, culturel et social. Euromed est fondé sur les rapports de paix entre ces États qui ont des intérêts communs ainsi qu'un long passé d'échanges mutuels. Au niveau économique, le processus vise à l'instauration d'un marché de libre-échange en 2010. Cet objectif a été réaffirmé lors du sommet de Barcelone de 2005. En 2005, l'immigration et la lutte contre le terrorisme sont devenus les domaines prioritaires du partenariat.

Le processus de Barcelone est une politique régionale et multilatérale de partenariat associant les États des deux rives de la Méditerranée. La politique européenne de voisinage (PEV), instaurée en 2004, vise à compléter et renforcer le processus de Barcelone au moyen de plans d'action bilatéraux convenus avec tous les pays partenaires (dans ou hors Euromed).

L'UE a soutenu le processus de Barcelone à hauteur de 16 milliards d'euros entre 1995 et 2007. Les dix partenaires de l'UE bénéficient, à travers le programme MEDA, de fonds de la Banque européenne d'investissement, pour un montant d'environ 2 milliards d'euros par an.

Le président de la République française a émis l’idée, le 6 mai 2007, de créer une Union pour la Méditerranée. Après des négociations difficiles avec les autres États membres de l’UE, l’initiative baptisée "Processus de Barcelone – Union pour la Méditerranée" a été lancée par l’UE, à Paris, le 13 juillet 2008. Elle vise à donner un nouveau souffle au partenariat, en le dotant d'une gouvernance plus équilibrée et en renforçant sa visibilité.

Programme de 600 logements à haute performance énergétique : L’APRUE lance un appel aux experts



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES Samedi 14 août 2010.

L’Agence de promotion et de rationalisation de l’utilisation de l’énergie, APRUE vient de lancer, dans le cadre de ses programmes d’efficacité énergétique, un appel en direction des experts nationaux pour la mise en œuvre de son projet de réaliser avec les opérateurs publics les 600 logements dits « à haute efficacité énergétique ». L’agence avait, en effet, retenu des actions en direction du secteur du bâti. Dans le cadre de ce programme dit Eco-Bât, l’APRUE devra favoriser les opérateurs du secteur de l’habitat et assister ainis 11 OPGI, répartis sur le territoire national, pour réaliser 600 logements à haute performance énergétique. L’appel de APRUE, lancé ces jours-ci, s’adresse aux experts indépendants thermiciens en bâtiment. Les experts qui seront sélectionnés auront pour mission « d’assister l’APRUE dans l’exécution des tâches de contrôle de la conformité de projets de logements aux exigences de performance énergétique ». Selon les responsables de l’APRUE, ces experts auront à « vérifier et approuver les notes de calcul thermique et la proposition d’options d’amélioration, la conformité des cahiers des charges et l’assistance au contrôle de des travaux de corps d’états secondaires ». Ces actions s’effectuent en coordination avec les maîtres d’ouvrages (OPGI) et les maîtres d’œuvres des projets de logements. Il convient de rappeler que l’APRUE est tenue de par les missions que lui ont confiées les pouvoirs publics de promouvoir une économie d’énergie et une rationalisation de son utilisation tout en favorisant, comme alternative, les énergies renouvelables tel le solaire, le photovoltaïque, l’éolien où plusieurs projets sont engagés. Le secteur résidentiel est considéré comme « le plus gros consommateur en matière d’électricité et de gaz » avec des proportions qui atteignent les 40-50% du bilan énergétique national. Les chiffres devront connaître une hausse, à mesure que le parc national de logements s’étoffe avec de nouvelles réalisations. De plus, le niveau d’équipement qui suppose une consommation énergétique supplémentaire, tel l’électroménager, la climatisation donne de la consistance à ce secteur, en tant que axe prioritaire du programme de rationalisation en matière d’énergie. Dans cette perspective, un texte a fixé les normes pour les constructeurs en matière de consommation, les incitant à l’utilisation de matériaux à rendement thermique. La loi sur la rationalisation de l’énergie a édicté des règlements thermiques dans les bâtiments neufs (qui concerne le public dans un premier temps) s’appliquant à la conception et à la construction et se rapportant à « la résistance thermique, à l’étanchéité des ouvertures de l’enveloppe extérieure du bâtiment, à la qualité des matériaux d’isolation … ». Le programme national d’efficacité énergétique qui fait appel aux énergies renouvelables fixe un objectif de 6% d’ici 2015 alors qu’il n’est actuellement que de 1% selon les chiffres de l’APRUE. Celle-ci compte ainsi démarrer la deuxième partie de son programme en la matière qui s’étale de la période de 2007 à 2011..

Horizons.
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Mr le Président barack Obama s’est prononcé pour la construction d’une mosquée



Barack Obama soutient la construction d’une mosquée près de Ground Zero Après des semaines de polémique, Barack Obama s’est prononcé pour la construction d’une mosquée tout près du site de Ground Zero.

Le service des domaines de la ville de New York a récemment autorisé sa construction.
Et le Président américain a voulu apaiser les tensions…

“Je comprends, dit-il l‘émotion suscitée par ce projet. Ground Zero est un sanctuaire mais je veux aussi être clair : en tant que citoyen et en tant que président, je crois que les musulmans doivent bénéficier du droit de pratiquer leur religion comme n’importe qui dans ce pays… Cela inclut le droit de construire un lieu de culte et un centre communautaire sur une propriété privée dans le bas de Manhattan, dans le respect des règlements et du droit local.”

Le projet soutenu par le maire de New York a soulevé les vives protestations d‘élus conservateurs et de nombreux New Yorkais. Ils y voient une insulte aux victimes des attentats du 11 septembre 2001…

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Algérie prendra part au 14ème congrès euro méditerranéen des assurances



L’Algérie devra prendre part au 14ème congrès euro-méditeranéen des assurances, qui aura lieu au cours de la dernière semaine du mois de septembre prochain. Plusieurs sociétés d’assurances algériennes participeront à ce congrès, qui sera organisé par l’Association des assurances des pays de la méditerranée et par l’Union Générale Arabe des Assurances.
Des représentants de plusieurs compagnies d’assurances et de différentes institutions des pays européens et arabes concernés par le partenariat euro-méditeranéen seront également présent à ce rendez vous.
Il est prévu que les participants à ce congrès discuteront un nombre de sujets importants, notamment, celui des mécanismes de la coopération et de la coordination entre les professionnels du secteur dans la région et sur l’exposition des différentes expériences de ces pays et la manière de développement du secteur des assurances.

Algerie tabler sur la sous-traitance


L'Algérie au prochain salon "Midest 2010" de Paris
L'Algérie prendra part, pour la troisième fois consécutive, au Salon international de la sous-traitance "Midest 2010", prévu à Paris du 2 au 5
novembre, a-t-on appris de bonne source. La Bourse de Sous-traitance de l'Ouest (BSTPO), structure organisatrice de cette participation nationale et son partenaire, Optimexport, le programme de renforcement des capacités exportatrices des PME algériennes, ont lancé une opération d'inscription des entreprises désirant prendre part à ce rendez-vous leader des salons dans le domaine de la sous-traitance à l'échelle mondiale. "Notre objectif est de renforcer davantage la participation nationale en augmentant le nombre de participants afin d'offrir aux visiteurs du salon un large éventail des créneaux investis par nos PME et susciter leur intérêt pour d'éventuels partenariats", ont expliqué les organisateurs. Lors de la précédente édition, l'Algérie a fortement marqué sa présence au "Midest" en triplant le nombre de ses participants passant de 8 à 30 entreprises et en quadruplant la surface de son pavillon passant de 50 à 200 m2. Un trophée d'honneur a été décerné au directeur de la BSTPO pour ses efforts à regrouper ces entreprises nationales ainsi qu'une dizaine d'hommes d'affaires du secteur. Le Midest est la plate-forme de référence de fournisseurs internationaux de sous-traitance industrielle. C'est un salon de création de partenariats et de veille technique, au service des fabricants, des équipementiers et des assembleurs, qui souhaitent rencontrer en face-à-face les fournisseurs de solutions en métallurgie, plasturgie, électronique et services à l'industrie. Face à la multiplicité des sources d'information dépersonnalisées, le salon Midest place les hommes et les femmes des entreprises au cœur des échanges pour travailler ensemble. Le salon draine 1 750 exposants en moyenne sur près de 50 000 m² d'exposition. le salon professionnel est l'occasion de rencontrer en face-à-face et sur quelques jours tous les acteurs de votre marché : prospects, clients, concurrents. Il faut savoir qu' une rencontre "Spécial Algérie", a été organisée pendant le "Midest 2009" de Paris. L'Algérie y était d'ailleurs présente avec 26 entreprises et organismes. Divers secteurs d'activités de la sous-traitance y étaient représentés, tels que la transformation des métaux à celui des plastiques/caoutchouc/composites, en passant par l'électronique/électricité, les microtechniques, les traitements de surfaces et finitions, les fixations industrielles et les services à l'industrie, etc. Il faut dire que le marché algérien de la sous-traitance est très attractif. Les bourses de sous-traitance et de partenariat STP implantées à travers le pays visent à faciliter les mises en relation entre les PME algériennes et des partenaires étrangers. La nouvelle orientation adoptée par les pouvoirs publics vise à encourager le transfert des technologies et du savoir-faire dans le cadre d'un partenariat gagnant-gagnant. Certaines entreprises algériennes ont déjà à leur actif des expériences réussies de partenariat avec plusieurs pays étrangers. Rappelons, dans ce contexte, que la première édition du salon algérien de la sous-traitance, qui s'est tenu au mois de mai dernier à Alger, a regroupé 53 entreprises algériennes et 43 étrangères. Evènement inédit en Algérie, le salon a mis en avant la sous-traitence pour accompagner le développement de ce secteur pourvoyeur d'opportunités. Ce rendez-vous d'affaires a regroupé un grand nombre d'entreprises aux activités diverses, allant de l'industrie mécanique au travail du bois en passant par les services à l'entreprise, mais relevant toutes du domaine de la sous-traitance.
K.B.

Le FNI finance le plan de développement de Saidal




Ses usines seront réhabilitées par une entreprise italienne:Le FNI finance le plan de développement de Saidal
Estimé comme étant le leader de l’industrie pharmaceutique en Algérie, le groupe Saidal, avec un chiffre d’affaires qui avoisine les 10 milliards de dinars et une main-d’œuvre de plus de 4 300 salariés, envisage de réhabiliter et mettre à niveau ses sites de production à travers le territoire national.

Ainsi, pour toute opération de développement, de modernisation et d’installation de groupe afin d’ accroître sa part sur le marché national du médicament, dominé ces derniers temps par les laboratoires étrangers via l’importation, Saidal s’est penché sur l’italien CTP Technologie Processo.

S’agissant du même contexte, il est à rappeler que le groupe Saidal a obtenu en 2009 un crédit de 16 milliards de dinars du Fonds national d’investissement (FNI) pour le financement de son plan de développement et d’investissement. Le Conseil des participations de l’Etat (CPE) a adopté le 17 juin 2009 une résolution approuvant le plan de développement d’un montant de 20 milliards de dinars (180 millions d’euros) du groupe public de médicaments.

Ce plan comprend notamment un accord du gouvernement pour un crédit d’investissement d’un montant de 1,81 milliards de dinars pour le financement de la création d’un centre de biotechnologies. Aussi, le groupe public de médicaments a bénéficié de l’accord du CPE pour un crédit d’investissement afin de créer un centre de recherche et d’un laboratoire de bioéquivalence pour 660 millions de dinars.

Le CPE a, d’autre part, donné son accord à Saidal, pour la poursuite de son opération de mise à niveau avec un crédit de financement de 7,05 milliards de dinars, ainsi qu’un crédit de 9 milliards de dinars pour la réalisation de nouvelles unités de production de médicaments. Ce crédit est octroyé pour une durée de financement de 20 ans assorti d’un taux d’intérêt de 4%, avec un différé de quatre ans pour lesquels les intérêts sont à la charge de l’Etat.

Par ailleurs, grâce à ces accords de crédit octroyés, le groupe pharmaceutique public Saidal a enregistré une forte croissance sur son chiffre d’affaires en 2009.

Le groupe a réussi à maintenir le cap de la progression, et cela est confirmé d’année en année en réalisant un bénéfice net de plus de 2,875 milliards de dinars en 2009, contre 1,32 milliards de dinars en 2008. En outre, il est à préciser également que Saidal a mis sur le marché, dernièrement, 43 nouveaux produits touchant des classes thérapeutiques dominantes. Cette gamme de produits est destinée essentiellement au traitement des maladies chroniques.

Les maladies pour lesquelles sont préconisés ces médicaments sont le diabète, l’hypertension artérielle, les maladies cardio-vasculaires et certaines pathologies psychiatriques. Le groupe Saidal produit une centaine de produits pharmaceutiques génériques destinés justement au traitement de ces maladies chroniques, ces trois dernières années.

Pour ce qui est du même sillage, Saidal s’est engagé en plus dans la fabrication du vaccin contre l’hépatite B, et ce à l’issue de la signature d’un protocole d’accord avec une entreprise cubaine.

Nassim I.