阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, February 28, 2010

Alger Turquie foire




Bluexpo Le rendez-vous incontournable des Turcs
, Le navire-foire turc Ankara a jeté ses amarres, vendredi dernier, au port d’Alger pour faire découvrir aux professionnels algériens des secteurs de la construction et des machines tout le savoir-faire des sociétés turques.Regroupant 78 grandes sociétés turques, cette foire est organisée pour la seconde fois en Algérie, regroupant des professionnels de quatre pays de la rive sud la Méditerranée opérant dans différents secteurs, notamment l’équipement industriel, le bâtiment, la fabrication de composants industriels, l’équipement sanitaire et hôtelier ainsi que la décoration. En effet, après ses escales au port d’Alexandrie (Égypte) les 18 et 19 février, au port de Tripoli (Libye) les 22 et 23 février, au port d’Alger (Algérie) le 26 et 27février, Bluexpo se rendra au port de Casablanca (Maroc) du 1er au 2 mars prochain. En marge de son inauguration, l’ambassadeur de Turquie à Alger, Ahmet Neçati Bigali, a indiqué que cette foire «off shore» se veut «un moyen de renforcement des relations économiques entre l’Algérie et la Turquie et un carrefour de contacts entre les opérateurs des deux pays». Ce rendez-vous incontournable des professionnels du bâtiment et des machines se veut, selon M. Bigali, «dans la continuité du succès obtenu auprès des professionnels et du grand public lors de la précédente édition tenue en 2008 et ponctuée par un nombre de visiteurs assez appréciable de quelque 3 000 personnes». L’ambassadeur a, en outre, annoncé que la prochaine édition de cet évènement se tiendra en 2011 en présence de sociétés algériennes «qui feront le voyage avec leurs homologues turques à travers tous les pays qui seront visités par la foire Bluexpo». Interrogé sur d’autres questions en rapport avec le niveau des relations économique entre les deux pays, notamment, le niveau des investissements turcs en Algérie, M. Bigali a fait savoir qu’ils «ont atteint environ 300 millions de dollars répartis, particulièrement, entre le BTPH et l’agroalimentaire. Il s’agit d’un montant insuffisant vu l’excellence des relations bilatérales traditionnelles». Ces investissements, selon le même intervenant, devraient être renforcés par la mise en activité prochaine d’une usine de production de fer et d’acier pour un montant de 300 millions d’euros. Concernant l’effet des nouvelles dispositions introduites en matière d’investissement étranger, à savoir l’obligation d’associer un partenaire national majoritaire, M. Bigali a estimé que ces mesures ne constituent aucune contrainte pour les investisseurs turcs. Notons que cette foire flottante a été lancée par Mustapha Kamel Ataturk en 1926 avant d’être suspendue jusqu’en 2007. Raouf Aziri
28-02-2010Raouf Aziri

idir:pourquoi cette pluie? Youtube


Saturday, February 27, 2010

Idir -Avava inouva Youtube


Investissement en Méditerranée


Les recommandations des experts
Elles serviront pour la réunion des chefs d’Etat de l’UPM en juin· InfraMed avec 400 millions d’euros pour un 1er closing· Infrastructures urbaines, énergie, transport, les projets à financerLa deuxième édition de l’Initiative pour l’investissement en Méditerranée, qui s’est tenue à Rabat jeudi 25 février, tombe à pic avec l’une des visions que compte développer le groupe CDG. Celle-ci concerne le développement des investissements extérieurs, même si ce séminaire a abordé la question sous le volet du financement des investissements dans l’espace méditerranéen. Pour Anass Alami, DG du groupe CDG, l’objectif est d’identifier les modalités pour accélérer les investissements au Maghreb et au Machrek. L’ambition des promoteurs de cette initiative est de réunir des investisseurs publics et privés du nord, du sud mais aussi de l’est de la Méditerranée et des pays du Golfe au sein d’une même plateforme d’échanges informelle et indépendante. Le but ultime est d’établir un diagnostic partagé sur les opportunités et les obstacles à l’investissement et de formuler des propositions concrètes aux chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union pour la Méditerranée qui doivent se réunir en juin prochain. Déjà la CDG, la CDC, leur homologue italien et une banque privée avaient approuvé en mars dernier la mise en place du fonds InfraMed dont l’engagement collectif peut atteindre 400 millions d’euros pour un premier closing. Ce fonds a pour mission de financer en fonds propres des projets d’infrastructures urbaines, énergétiques et de transport dans les régions sud et est de la Méditerranée. Il sera ouvert à d’autres investisseurs de long terme dans la perspective d’arriver à 1 milliard d’euros. «Nos pays doivent répondre à une problématique de réallocation des ressources. Concernant les entreprises, celle-ci réside davantage dans l’accès aux financements que dans la disponibilité des fonds. De même, nos capacités d’épargne souffrent davantage d’un problème d’allocation efficiente des ressources vers des investissements à long terme que de mobilisation en valeur», a souligné le DG de la CDG.La rencontre a été également marquée par la présentation du rapport de mission de deux experts pour étudier l’opportunité de créer une banque euro-méditerranéenne. Ces experts sont Abderrahmane Hadj Nacer, ancien gouverneur de la Banque d’Algérie et Guillaume Alméras, expert financier. Ils avaient carte blanche pour explorer toutes les possibilités à travers l’ensemble des pays que compte la Méditerranée. C’est leur rapport qui a été présenté à l’occasion de ce séminaire et qui sera remis à Charles Millault, ancien président des Caisses françaises d’épargne, qui a été chargé par Nicolas Sarkozy de l’éclairer sur l’opportunité de créer ou non une banque dédiée à la Méditerranée, indique Jean-Louis Guigou, président de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen (IPEMED), coorganisateur du séminaire avec la Caisse des dépôts et consignations (CDC).Cinq pistes ont été présentées par Guillaume Alméras (voir encadré). Pour lui, chacune d’entre elles peut être envisagée de manière autonome. «Toutes se fondent néanmoins sur la conviction que les rapprochements euro-méditerranéens durables doivent désormais passer par des formules consortiales plus qu’institutionnelles». Selon lui, toutes ces pistes, ensemble, couvrent la gamme complète des financements des investissements, de la création des entreprises aux marchés des capitaux, de la prospection commerciale à l’implantation effective. «Il paraît donc souhaitable de les envisager de concert, à travers un programme de travail reposant sur 5 chantiers distincts mais conduits de manière coordonnée», conclut-il.
Cinq pistes
Lors de la rencontre qui s’est tenue jeudi 25 février à Rabat, cinq pistes sur les opportunités d’investissement en Méditerranée ont été présentées.La première porte sur le soutien aux premières étapes de la création et du développement d’entreprises. Cela est également valable dans la perspective d’essaimage. La deuxième piste concerne le développement, par connexions, des marchés de capitaux. L’objectif est de définir des axes communs. Troisième piste, le renforcement des dispositions de garantie des exportations et d’implantation. Il s’agit d’augmenter les moyens disponibles pour exporter dans les pays du Sud via la constitution d’un fonds de garantie commun. La quatrième piste vise à protéger les investissements des aléas monétaires. L’idée est de donner la possibilité de couvrir et d’emprunter en euros dans de meilleures conditions. Dernière piste, la définition de nouvelles coordinations euro-méditerranéennes. M. C.

Skikda centre de formation professionnelle handicapés moteurs




Un centre de formation professionnelle pour les handicapés moteurs


Un centre de formation professionnelle à vocation régionale, pour les handicapés moteurs, sera réceptionné "en septembre prochain" à Filfila (Est de Skikda). Selon le directeur de la formation professionnelle. Cette infrastructure d'une capacité théorique de 400 places pédagogiques, qui a nécessité la mise en place d'une enveloppe de 150 millions de DA, en réalisation sur une superficie de 1,5 hectare, sera "le premier établissement du genre dans d'Est du pays et le 4e à l'échelle nationale", a ajouté Noureddine Kouzah. Le centre qui pourrait accueillir, dans une seconde étape, jusqu'à 1.000 stagiaires aux besoins spécifiques, sera doté d'un internat de 200 places, de 12 ateliers, de 4 classes, d'un terrain de sport, en plus d'un foyer et d'un restaurant, a précisé le même responsable. La conception architecturale du centre et l'agencement de ses structures ont été étudiées pour aider les handicapés dans tous leurs déplacements, a encore ajouté M. Kouzah, notant que le choix du site d'implantation de cette infrastructure, "ouvert sur le paysage et la mer", a été pensé pour développer chez les handicapés moteurs l'ambition d'accéder à un projet de formation adapté à leurs besoins. Le centre accueillera des stagiaires dès l'âge de 16 ans, issus des wilayas de Constantine, de Skikda, d'Annaba, de Guelma, de Khenchela, d'El Tarf, de Souk Ahras, d'Oum El Bouaghi et de Tébessa. Ils se verront dispenser une formation dans des spécialités "étudiées", telles que la broderie, la couture, la poterie, l'électricité et l'informatique, a ajouté le directeur de la formation professionnelle.R.R

Ghardaïa fête nationale du tapis




Fête nationale du tapis du 21 au 27 mars


Ghardaïa se pare de ses plus beaux atours afin de recevoir, comme de coutume, la 44e édition de la fête nationale du tapis laquelle se tiendra du 21 au 27 mars prochain. Selon les organisateurs de la manifestation, plusieurs exposants de différentes wilayas du pays ont confirmé leur participation à cet évènement visant à mettre en valeur la richesse de l'art traditionnel national dans toute sa diversité. La fête du tapis permettra aux visiteurs de l'exposition-vente prévue à cette occasion de découvrir les différents travaux artisanaux des wilayas participantes, notamment dans les domaines de la tapisserie, de la céramique, de la sculpture sur bois, de l'habit traditionnel et de la bijouterie, selon les organisateurs. Ces derniers ambitionnent aussi de valoriser l'art traditionnel et le savoir-faire des tapissières et artisanes de Ghardaïa, de promouvoir le métier à tisser de la région et d'animer des activités culturelles, touristiques, artisanales et commerciales. L'événement constituera un espace pour les petites entreprises montées par de jeune filles pour exprimer leur savoir faire dans l'art traditionnel et écouler leurs produits, en cette période qui coïncidera avec les vacances scolaires où un flux touristique est enregistré dans la région, estiment-ils Des activités à caractère culturel et sportif, notamment des tournois nationaux sportifs, sont aussi prévus durant cette période. Le coup d'envoi de la manifestation sera marqué par le traditionnel défilé de chars garnis de produits de l'artisanat local, rythmé au chant folklorique des différentes troupes de la région. En prévision de cette fête du tapis, des opérations d'embellissement de la ville de Ghardaïa et du site d'exposition ont été entreprises. R.R.

Air Arabia France-Maghreb




Compagnies low cost

Air Arabia veut bousculer le marché France-Maghreb


Le marché du transport aérien entre la France et les trois pays du Maghreb central suscite l'intérêt de plus en plus de compagnies aériennes. C'est le cas notamment d’Air Arabia, qui avec ses 110.000 passagers transportés entre Casablanca et trois villes françaises en neuf mois d'existence, entend bousculer l'horizon des transporteurs aériens exploitant les lignes très prisées entre la France et le Maghreb. Dans ce sens, le P-DG de la compagnie Adel Ali, a indiqué récemment au cours d'une conférence de presse à Paris que l'objectif "est d'augmenter nos fréquences et que les vols hebdomadaires deviennent des dessertes quotidiennes". Sa filiale marocaine, issue d'un partenariat avec Regional airlines (première compagnie privée au Maroc) et la banque d'affaires bahreïnie Ithmar Bank, propose actuellement treize vols hebdomadaires entre Casablanca et Paris, Lyon et Marseille avec des airbus A320. Fin mars, elle en comptera 16 avec le lancement de Montpellier et espère atteindre 20 à 25 vols à la fin de l'année. M. Ali, qui est "prêt à saisir toutes les opportunités" pour gagner de nouvelles parts de marché, envisage en outre de développer des liaisons avec Marrakech et assure qu'il sera là si le ciel tunisien venait à s'ouvrir également. Cette montée en puissance d'Air Arabia chamboule la donne sur le segment France-Maghreb concurrentiel mais à fort potentiel de croissance. Le trafic passagers y a doublé entre 1999 et 2008, pour atteindre environ 11 millions de passagers dont 4,5 pour le Maroc, 3,75 pour la Tunisie et 2,5 pour l'Algérie, selon des statistiques de l'Enac (Ecole nationale de l'aviation civile). Liens historiques, ces pays, francophones, attirent à la fois une clientèle communautaire, des voyageurs d'affaires et des touristes. Une compagnie traditionnelle comme Royal Air Maroc a ainsi enregistré l'année dernière 1,94 million de passagers entre la France et le Maroc avec 16 vols quotidiens. "Sur chaque destination, nous sommes désormais au minimum quatre exploitants", résume Lionel Guérin, PDG de la compagnie transavia.com, filiale à bas coûts d'Air France-KLM qui dessert le Maroc et la Tunisie."Pour l'instant, ils ne sont pas directement en concurrence avec nous. Ils ne se sont pas mis sur les mêmes lignes. Ceci dit, je regarde leur développement avec un oeil attentif. C'est un acteur de plus, donc de la concurrence en plus", dit-il. Ce transporteur est jugé d'autant plus "sérieux" que sa flotte (21 airbus A320) est neuve et amenée à augmenter fortement (44 autres appareils en commandes dont 6 livrés cette année et 8 en 2011). "Nous verrons bien comment les cartes seront redistribuées. Nous sommes une grosse compagnie, très présente des deux côtés des lignes et nous avons toutes les armes pour résister à la venue d'un nouveau concurrent", estime pourtant Fabrice Bacchetta, directeur général France d'easyJet, principal concurrent. L'an passé, easyJet a transporté environ 100.000 personnes entre Paris et Marrakech. Et selon le dirigeant, l'arrivée d'Air Arabia n'a rien changé à sa stratégie sur le Maroc. "Si d'autres pays du Maghreb rejoignent le ciel ouvert européen, eh bien on s'y intéressera", assure-t-il. Troisième compagnie française en termes de passagers transportés (1,7 million), Aigle Azur a dû, elle, se résoudre à réduire drastiquement son activité sur le Maroc face à cette concurrence agressive passant de deux vols quotidiens il y a un an et demi à deux vols hebdomadaires aujourd'hui. Le transporteur, spécialiste de l'Algérie, s'est repositionné sur le Mali et le Portugal. Il réalise toutefois encore la moitié de son chiffre d'affaires avec le Maghreb (environ 150 millions d'euros). "Nous sommes une compagnie privée, familiale. (...) Le low cost, ce n'est pas notre métier", résume Meziane Idjerouidène, le directeur général.R.E.

Friday, February 26, 2010

Coopération euromed



Coopération Maroc-UE
Tanger-Med, une nouvelle passerelle
Le complexe portuaire Tanger-Med constitue une nouvelle passerelle pour la coopération entre le Maroc et l'Union européenne, ont affirmé jeudi des membres du groupe d'amitié France-Maroc à l'Assemblée nationale française.
Cette grande infrastructure, qui aura des retombées bénéfiques sur l'investissement et le co-développement dans les deux rives de la Méditerranée, constitue également un jalon supplémentaire dans l'édification de l'Union pour la Méditerranéenne (UPM), ont estimé les parlementaires français lors d'une visite à Tanger-Med.Ce port est appelé à devenir «l'une des pièces maîtresses» de l'UPM où le Maroc occupe une place de choix, a noté Claude Goasguen, de la Commission des lois, se félicitant de la coopération maroco-française pour la construction de ce complexe et de la participation de plusieurs entreprises françaises à ce grand projet.Les installations du port se développent à un rythme élevé suivant un sens de précision et d'orientation remarquable, a-t-il souligné, relevant que Tanger Med s'érigera rapidement en tant «qu'emplacement capital sur le plan économique aussi bien pour la Méditerranée, l'Europe et l'Afrique».Pour sa part, Jean-Marc Roubaud, de la Commission des affaires étrangères, a mis en exergue la qualité des services offerts par ce complexe portuaire, que se soit au niveau de la sécurité ou des prestations en matière de transit, de transbordement et de contrôle.Les membres du groupe d'amitié France-Maroc, à leur tête le président Jean Roatta, ont également effectué une visite à la Médina de Tanger, et devront rencontrer dans la journée des élus locaux de la ville du Détroit.



Par MAP

Thursday, February 25, 2010

BEI développement pour la Méditerranée




Vers la création d'une banque de développement pour la Méditerranée



Le vice-président de la Banque européenne d'investissement (BEI), Philippe de Fontaine Vive, a annoncé à Bruxelles que cette institution financière prépare actuellement un rapport préliminaire sur la création d'une "Banque de développement pour la Méditerranée". Soulignant que ce projet devrait faciliter le partenariat et l'investissement dans la région, il a indiqué que sur demande de la présidence de l'Union pour la Méditerranée (Upm), un comité spécialisé devrait examiner cette question au sein de la BEI le 8 mars. Il a exprimé sa conviction que la création de cette banque exigera la mise à disposition de nouvelles ressources financières et de moyens de contributions provenant de fonds tant publics que privés, soulignant les difficultés qui peuvent être rencontrées pour réunir de nouvelles ressources en raison de la crise économique mondiale. M. de Fontaine Vive, qui est également directeur de la FEMIP (Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et du partenariat) de la BEI, a, néanmoins, souligné que le volume d'activité entre neuf pays partenaires dans le Processus de Barcelone a dépassé les 6,1 milliard d'euros en 2009, précisant que 80% des projets financés s'inscrivent dans les priorités de l'Upm. Parmi les projets financés figurent ceux liés à la prévention de la pollution dans la mer méditerranée, à l'énergie solaire, à la création de routes et au développement des PME. Notons que de son côté la Tunisie a récemment recommandé la conversion de la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP) en une banque euro-méditerranéenne de développement. Ce projet présenté le 22 janvier de la même année, a été adopté à l'unanimité par l'assemblée générale du conseil parlementaire euro-méditerranéen. Il s'agit d'une nouvelle institution conçue pour renforcer les institutions déjà présentes, notamment la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), la Banque européenne d'investissement (BEI), à travers la Facilité euro-méditerranéenne d'investissement et de partenariat (FEMIP) et la Banque de développement du conseil de l'Europe (CEB).Toujours dans le même contexte, Le groupe technique euroméditerranéen constitué de la Jordanie (Rive sud de la Méditerranée), l'Italie et le parlement européen (Rive nord), et ayant pour mission d'identifier les étapes techniques et de coordonner les efforts des deux parties pour la création de cette institution, a tenu vendredi, une réunion à la chambre des députés, à Tunis portant sur le même sujet. S'agissant du rôle de cette banque dans la promotion de l'investissement et du partenariat entre les deux rives de la méditerranée, les participants ont indiqué qu'elle aura à faciliter les procédures de financement des projets de développement des PME dans les pays sud-méditerranéens. De ce fait, Un plan d'actions a été établi à cette occasion et sera soumis à la commission économique et à l'assemblée générale du conseil parlementaire euro-méditerranéen qui se tiendront en mars 2010 en Jordanie.Isma B.

l’Union pour la Méditerranée



L’UPM REVOIT SON APPROCHEL’économie pour esquiver la
Selon un responsable chargé du dossier, la principale difficulté est l’absence de coopération entre les pays.
Le projet de l’Union pour la Méditerranée (UPM) fait ses premiers pas. «Le secrétariat général sera installé en mars, au plus tard en avril prochain», a déclaré un responsable proche du dossier. Ce dernier avoue que le projet a connu un gel avec l’agression israélienne dans la bande de Ghaza. «Les statuts sont en cours de finalisation pour l’institutionnalisation de l’UPM», a-t-il affirmé en précisant que cette institution ne s’occupera pas des problèmes politiques. Afin d’éviter un effritement des pays membres, l’UPM esquive les dossiers qui fâchent tels que la question de la Palestine, du Sahara occidental et de Chypre. Mais cette approche ne facilitera pas vraiment la tâche. «La principale difficulté, ce sont les différentes politiques», reconnaît ce responsable en précisant que certains pays ne sont pas habitués à travailler ensemble.Conscient de la difficulté de cette mission, le responsable admet que c’est un pari à prendre. Revenant sur la composition du secrétariat, notre interlocuteur a regretté l’absence des pays du Maghreb. «On aurait souhaité que le siège soit installé au Maghreb et que le secrétaire soit issu d’un pays du Maghreb, mais il sera le grand absent», confiera-t-il. La raison? Toujours selon ce responsable, les pays du Maghreb n’ont pas présenté de candidat. Contrairement à ces pays, la Palestine est beaucoup impliquée dans les négociations et elle a un secrétariat adjoint. «C’est une aventure, une innovation», se réjouit notre interlocuteur pour démontrer que malgré les problèmes politiques, les choses avancent sur le terrain.Ce responsable souhaite que les pays du Maghreb se manifestent lors du renouvellement desmembres, qui interviendra dans trois ans. Il considère que l’Algérie est un partenaire majeur dans ce projet. «Il faut qu’elle soit très présente au niveau du secrétariat», insiste-t-il tout en invitant indirectement l’Algérie à s’impliquer. A noter que le secrétariat est composé de six pays, à savoir l’Italie, la Grèce, la Palestine, Israël et la Turquie. Le prochain sommet de l’UPM se tiendra, selon lui, le 7 juin prochain à Barcelone qui regroupera les chefs d’Etat de 43 pays. Soutenant à fond le projet du président français, Nicolas Sarkozy, ce responsable a mis l’accent sur l’importance de ce projet. «L’Europe n’est rien sans le Sud. Elle ne peut envisager son avenir sans revoir ses relations avec les pays du Sud», a-t-il expliqué. D’ailleurs, il a fait savoir que l’Allemagne suit avec un grand intérêt ce projet. «L’Allemagne est l’un des pays européens les plus impliqués dans ce projet», a-t-il fait remarquer. Interrogé sur l’arrière-pensée de ce projet avec l’introduction d’Israël, notre interlocuteur réfute la thèse de la normalisation des relations. Or, cet argument est loin de tenir la route. En élargissant les contours de l’UPM jusqu’au Proche-Orient, le but est d’imposer Israël. Revenant sur les projets en perspective prévus par l’UPM, notre interlocuteur assure qu’ils sont nombreux. Il s’agit de six grands projets relatifs à l’eau, la dépollution, l’énergie, le développement économique, l’enseignement et le transport. L’UPM dispose-t-elle des moyens financiers? Notre interlocuteur ne nie pas que la disponibilité des ressources pose problème. Selon lui, il est beaucoup attendu des partenaires privés. Faisant référence à la crise financière mondiale, il estime qu’elle aura sans doute des conséquences sur les projets de l’UPM. «Nous ne sommes pas inquiets pour le financement», a-t-il enfin, assuré.
Nadia BENAKLI

Algérie audiovisuel COPEAM



Audiovisuel : L’Algérie est un partenaire essentiel de la COPEAM Le président de la Conférence permanente de l'audiovisuel méditerranéen (COPEAM), M. Emmanuel Hoog, a qualifié jeudi dernier l'Algérie de "partenaire essentiel" de son organisation. "L'Algérie est un partenaire essentiel de la COPEAM. Je suis un président représentant un pays du nord de la Méditerranée. J'ai succédé à l'Algérien Hamraoui Habib Chawki qui a présidé notre organisation durant six années", a indiqué à l'APS, M. Hoog, en marge de la conférence de presse, tenue à Paris, pour présenter le programme de la 17e réunion annuelle de la Conférence, prévue en avril prochain dans la capitale française. "C'est sur la base du travail accompli durant la présidence algérienne que j'avance et que j'accélère pour conduire notre 17e conférence annuelle au cours de laquelle d'importants projets seront présentés aux participants" a encore souligné le président de la COPEAM, ajoutant qu'il attend "beaucoup de l'Algérie". L'Algérie est fortement impliquée dans plusieurs projets parmi les dix retenus par les membres de la COPEAM lors de leur réunion au Caire, le 19 avril dernier. Ainsi, la Télévision algérienne a déjà adhéré au projet de création d'une chaîne méditerranéenne et au portail "Mémoires audiovisuelles de la Méditerranée" (Med Mem), alors que le ministère de la Culture, par le biais de l'Institut supérieur des métiers des arts de spectacle et de l'audiovisuel (ISMAS) fait partie du comité de pilotage de l'université audiovisuelle de la méditerranéen (UAM) qui accueillera ses premiers étudiants dès l'automne 2011. La 17e conférence annuelle de la COPEAM se tiendra du 8 au 11 avril prochain à Paris. Elle sera placée sous le thème "Le pari audiovisuel de la Méditerranée

Algerie PME/PMI compétitivité



PME II : Consolider la compétitivité des entreprises

Enclenché en mai 2009 pour une durée de 34 mois, le programme d’appui aux PME/PMI et à la maîtrise des technologies d’information et de communication dans sa seconde édition vise à contribuer à l’amélioration de la compétitivité des petites et moyennes entreprises appelées à s’inscrire dans le sillage des nouvelles orientations économiques visant à qualifier le produit national à la norme CE et par la même occasion, conforter la position de l’Algérie dans le cadre des accords internationaux. Il s’agit, d’autre part, de consolider les résultats des programmes précédents de modernisation et de mise à niveau dont PME I achevé en décembre 2007 et d’accompagner l’Algérie dans le processus de mise en œuvre de l’accord d’association avec l’UE. L’atelier de visibilité sur le programme PME II organisé, hier, à l’hôtel « El Djazaïr » par le ministère de la PME et de l’artisanat et de l’Union européenne a permis de cerner les contours et objectifs de ce programme dont le montant alloué soit 44 millions d’euros ( 40 millions accordés par l’UE et 4 millions à la charge de la partie algérienne) est destiné au financement d’activités de conseil, de formation et d’études dans les domaines de la mise à niveau des PME, de la qualité et du développement institutionnel. La représentante de la délégation européenne en Algérie, Mme Agnès Guillaud a expliqué, dans ce sens que, depuis 2002 l’engagement de l’UE dans le cadre de la coopération avec notre pays s’est traduit par un appui financier de plus de 640 millions d’euros soit environ 64 milliards de dinars. L’intervenante citera les programmes en appui de la PME, de la facilitation du commerce, du management de l’économie ou encore ceux intervenus dans les domaines de la réforme judiciaire, des transports, des ressources en eau, de l’éducation, du développement rural. Mme Guillaud ajoutera que l’année 2010 devra enregistrer le lancement d’autres programmes inscrits sous le chapitre de la diversification de l’économie dans les secteurs du tourisme, de l’agriculture, de l’enseignement supérieur, la santé et l’emploi. La représentante de l’UE a, par ailleurs salué les efforts consentis par le gouvernement algérien en direction des PME notamment en matière de mise à niveau ainsi que la démarché visant la diversification de l’économie algérienne par le développement des capacités d’exportation hors hydrocarbures. Et c’est « en appui aux priorités du gouvernement algérien que s’inscrit la coopération de l’Union européenne et en particulier le programme PME II » a-t-elle affirmé. A ce propos, l’intervenante a déclaré que l’UE « est déterminée à accompagner les institutions et le secteur privé algériens dans leur quête de progrès ». Une coopération qui a-t-elle ajouté devrait contribuer à la création de la zone de libre échange Euro-méd. dont l’Algérie « est appelée à jouer un rôle majeur ». PME II qui est un programme ciblé sur la base d’une approche filière et des activités pilotes réunissant trois ministères (PME et artisanat, MIPI, Postes et télécommunications) a-t-elle précisé, vise directement le domaine de la qualité (entreprises/ institutions) et accorde un intérêt particulier à la maîtrise des nouvelles technologies de l’information et de la communication en droite ligne de la stratégie algérienne (E- Algérie 2013). Le directeur général de la PME et de l’artisanat, a relevé, pour sa part, que l’objectif du programme PME II mis en place conjointement par l’Algérie et l’UE vise à améliorer la compétitivité des PME algériennes â même de leur permettre de se positionner sur le marché intérieur mais aussi de conquérir des parts sur les marchés extérieurs dans le cadre des possibilités offertes par les accords internationaux et par l’ouverture du marché. Il est également censé « consolider les résultats d’un premier programme ayant touché 450 PME industrielles privées sur 2 150 et dont l’impact sur le fondement du management s’est avéré probant à hauteur de 63% a affirmé M. Ammouri BRAHITI qui indiquera que 60% des actions de mise à niveau dans le cadre de ce programme ont été menées par des consultants nationaux. Toutefois, PME II présente des innovations à savoir une collaboration avec trois bénéficiaires qui sont les ministères de la PME et de l’artisanat, le MIPI et celui des Postes et télécommunications, l’adoption d’une approche « filières-expériences pilotes » prévoyant un soutien technique pour un maximum de 200 PME dans des filières pilotes (agroalimentaire, mécanique et matériaux de construction), l’introduction d’activités spécifiques dans le domaine de la qualité au profit de la PME mais aussi institutionnel avec appui aux institutions telles l’IANOR, ALGERAC, et l’ONML de même qu’il consacre un chapitre à la maîtrise des NTIC dans les PME. PME II a indiqué le représentant du ministère de la PME et de l’artisanat vise le développement des filières à forte valeur ajoutée dans le cadre de la consolidation de la compétitivité des PME et, par conséquent de la diversification de l’économie. M. BRAHITI a, d’autre part, mis en avant les efforts de l’Etat algérien en matière de soutien à la mise à niveau de la PME pour citer la stratégie 2010-2014 qui vise la mise à niveau de 20 000 entreprises et dont un budget de 2,8 milliards d’euros soit 283 milliards de dinars a été consacré. Aussi, a-t-il souligné que la PME constitue 99% du tissu des entreprises en Algérie soit 56% de la population active. D’autre part, il a indiqué que 25 000 PME sont crées en moyenne chaque année alors qu’elles sont entre 3 500 à 4 000 à cesser leurs activités chaque année. M. BRAHITI a également rappelé que le conseil interministériel du 20 juin 2009 a définitivement consacré une démarche consensuelle de mise à niveau des entreprises algériennes. Aussi, il fait part de la création d’un centre technique de développement de la sous-traitance et de la révision de la loi sur les PME devenue nécessaire pour la classification et des PME.Akila DEMMAD

Wednesday, February 24, 2010

Annaba PME et l'ANSEJ




Convention de "partenariat stratégique'' entre les PME et l'ANSEJ

La promotion de l'emploi des jeunes est l'une des priorités du gouvernement qui s'appuie sur de nombreux mécanismes d'aides à l'insertion professionnelle et de promotion de l'entrepreunariat, notamment l’Agence nationale de soutien à l'emploi des jeunes (ANSEJ). C'est dans ce contexte justement qu'une ''convention de partenariat stratégique'' sera signée '' prochainement'' entre le ministère de la PME et de l'artisanat et l'ANSEJ, a indiqué lundi à Annaba un directeur central de ce ministère. S'exprimant lors d'un atelier national de formation, Amouri Brahiti Amouri a précisé que cet accord qui sera paraphé par la direction générale de la promotion de la PME et l'ANSEJ vise à ''dynamiser le processus de création de PME viables et fiables''. Les autres dispositifs de soutien de l'Etat à l'emploi, en l'occurrence la Caisse nationale d'assurance chômage (CNAC) et l'Agence nationale de gestion des microcrédits (ANGEM) '' seront également intégrés dans cette démarche", a-t-il ajouté. L'objectif de l'atelier national de formation, organisé lundi, à Annaba, en collaboration avec l'Agence espagnole de coopération internationale et de développement (AECID) et la fondation privée relevant du Centre d'Initiative et de Recherche Européen en Méditerranée (CIREM), vise à faire connaître l'utilisation et le fonctionnement des pépinières d'entreprises et des centres de facilitation chargés de fournir et de développer des prestations en direction des porteurs de projets, a expliqué M. Brahiti. S'inscrivant dans une dynamique de développement local, ces structures d'accueil représentées par 17 pépinières d'entreprises et 33 centres de facilitation à l'échelle du pays, sont destines à ''améliorer l'environnement immédiat des PME durant leur création et leur développement'', ont insisté les intervenants lors de cette rencontre qui fait suite à des réunions similaires tenues à Oran et Tipaza. Les contraintes liées à l'environnement, à la promotion et au développement de la PME, en rapport avec la perspective de création de quelque 200.000 PME au titre du programme présidentiel, ont constitué la toile de fond des travaux de cet atelier national de formation de deux jours, et ce compte tenu de la nécessité de réunir les facteurs favorisant l'émergence d'un climat propice à la création des PME et à leur croissance, a-t-on noté.
R.R.

Le handicap en Europe



En Europe, 50 millions de personnes sont atteints d'un handicap. C'est pour cela que l'Union européenne pourrait joindre la Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées. Mais avant cela, elle doit attendre que les États membres la ratifient. Lundi, les députés européens ont redemandé à ce que cela soit fait dans les plus brefs délais.
Pour la première fois, l'Union européenne (UE) pourrait rejoindre un traité international sur les droits de l'homme en sa qualité d'organisation internationale. Cela est notamment dû à la personnalité juridique qui lui est conférée par le Traité de Lisbonne. Néanmoins, tous les Etats membres doivent d'abord ratifier la Convention avant que l'UE ne le fasse… Ce qui est loin d'être le cas. Pour l'heure, seuls 13 pays l'ont fait - parmi lesquels la France et la Belgique. La Finlandaise Heidi Hautala (Verts), présidente de la sous-commission des droits de l'homme, déplore les réticences de certains Etats et s'inquiète du fait que des millions d'Européens dussent attendre des années avant de bénéficier de la Convention. En avril 2009, le Parlement européen avait appelé les Etats membres à ratifier la Convention le plus vite possible. Le handicap vu à travers le prisme des droits de l'homme La Convention des Nations unies sur les droits des personnes handicapées est entrée en vigueur le 3 mai 2008. Un protocole facultatif permet aux citoyens de faire appel à une commission spéciale composée d'experts indépendants une fois qu'ils ont épuisé toutes les voies de recours dans leur pays. La Convention pose le handicap comme un enjeu majeur au regard des droits de l'homme et reconnaît des droits spécifiques en termes de transport, d'éducation, d'emploi, d'accès aux technologies de l'information ou encore de santé. Elle reflète les éléments majeurs de la stratégie européenne sur le handicap, qui combine antidiscrimination, égalité des chances et mesures d'insertion.
Partager

Algerie Métro



Algérie : «Unité Police Métro» prête pour le service

Tuesday, February 23, 2010

Le président Barack Obama plan de santé



Barack Obama présente un plan de santé plus modeste Donnant l’impression de reprendre la main face à ses adversaires républicains dans la bataille de la réforme de la santé, le président Barack Obama a présenté, lundi 22 février, le plan qu’il proposera de discuter aux élus des deux partis jeudi. Ce débat sera télévisé et diffusé à une échelle nationale et l’opposition, qui récuse les propositions démocrates, est appelée à y présenter ses "solutions alternatives".Le plan de la Maison Blanche se rapproche de la version modérée et moins coûteuse de la loi adoptée par le Sénat le 20 novembre 2009 lorsque les démocrates y bénéficiaient, avec l’appui des deux sénateurs indépendants, de la majorité qualifiée de 60 voix sur 100 – elle a été perdue depuis. Ainsi ce plan n’inclut-il pas de caisse d’assurance-maladie publique, adoptée par la Chambre mais archétype de la mesure "socialiste" vilipendée par l’opposition et le lobby des assureurs.
DES INNOVATIONS
M. Obama revient à la charge avec un projet qui se veut plus modeste et innovant. Il inclut des mesures qui, aux dires de son équipe, permettront à 31 millions d’Américains de bénéficier d’une protection médicale (sur les 50 millions qui en sont actuellement dénués).Comme envisagé précédemment, les assureurs ne pourraient plus refuser de couvrir un malade jugé trop "à risques". Les visant directement, ce plan leur interdirait les hausses "injustifiées" des polices d’assurance. Au cours de la décennie écoulée, celles-ci ont augmenté cinq fois plus que le coût de la vie. Récemment, l’assureur californien Anthem Blue Cross a majoré ses primes de 39 %… Une agence fédérale pourrait interdire aux assureurs ce type de mesure.
Autre idée: les petites et moyennes entreprises (PME) bénéficieront de crédits d’impôts pour assurer leurs salariés. Les sociétés qui ne participeraient pas au financement d’une assurance pour leurs salariés se verraient imposer une redevance de 2 000 dollars (1 460 euros) par salarié non couvert, que l’Etat assurerait alors à sa charge.
Parmi les propositions nouvelles, figurent aussi la promotion des médicaments génériques et l’interdiction pour les laboratoires de manœuvrer pour empêcher leur mise sur le marché. Enfin, des crédits d’impôts seraient alloués aux ménages les plus faibles.
Au total, la réforme coûterait 950 milliards de dollars (697 milliards d’euros) étalés sur dix ans. Elle serait entièrement financée, permettant même de rogner les dépenses de santé de 100 milliards de dollars sur la décennie. L’imposition des bénéfices des professionnels de la santé (dont les compagnies d’assurances) rapporterait à elle seule 110 milliards de dollars.
La stratégie mise en place par M. Obama vise à mettre le Parti républicain – surnommé par lui le parti du "non systématique" –, en porte à faux avec l’opinion publique. Des sondages récents montrent en effet que celle-ci soutient une réforme de la santé et qu’elle reproche à l’opposition son attitude d’obstruction.
"UN MAXIMUM DE FLEXIBILITÉ"
Officiellement, les républicains vilipendent une réforme qui "augmentera les impôts, tuera l’emploi", et exigent de "tout reprendre de zéro". Leur chef à la Chambre, John Boehner (Ohio), a traité le plan Obama de "mainmise massive de l’Etat sur la santé" des citoyens. Il a dénoncé le "sommet" de jeudi comme "une publicité commerciale" démocrate. Pourtant, les républicains y seront présents quitte à faire un esclandre à la première occasion. Ils ne peuvent apparaître comme refusant toute amélioration de la situation des Américains.
Le président, en les conviant à ce débat télévisé, entend exposer la vacuité de leurs propositions. Et ensuite? En soirée, lundi, cinq sénateurs républicains ont enfreint la discipline de parti et voté une loi d’aide à l’emploi… Soit M. Obama parvient à élargir la faille en jouant sur la crainte des républicains modérés de voir leur parti marginalisé par son "non systématique". Soit il n’y parvient pas et, misant sur un regain de soutien de l’opinion, il cherche à passer en force. Une option procédurale, dite "de réconciliation", permettrait en effet à la majorité démocrate de contourner l’obstruction au Sénat et de faire adopter une loi à la majorité simple de 51 sénateurs.
Si les républicains optent pour le rejet en bloc du plan, M. Obama usera-t-il de l’arme de la "réconciliation"? Lundi soir, un porte-parole, Dan Pfeiffer, a indiqué que la Maison Blanche se réservait "le maximum de flexibilité au cas où l’opposition décidait [de] barrer la voie à une réforme de la santé". Autant dire qu’elle n’exclut pas le passage en force.
Sylvain Cypel

Islande Commission européenne



Islande : la Commission va recommander l'ouverture des négociations d'adhésion
[Fenêtre sur l'Europe]

La Commission européenne devrait recommander, le 24 février, l'ouverture des négociations d'adhésion avec l'Islande. En référence à l'affaire de la banque Icesave, elle devrait notamment souligner que les questions bilatérales ne peuvent pas freiner le processus d'adhésion

L'Algérie rejoint la région Méditerranée




Une nouvelle organisation régionale pour Ericsson effective à partir du 1er avril

L'Algérie rejoint la région Méditerranée




Le Groupe Ericsson, qui comptait 23 Market Units pour mener ses activités dans les différents pays où l'entreprise est implantée, a réorganisé le management des différentes filiales à travers 10 régions, grâce auquel il rejoint la région Méditerranée. Ce changement a pour but d'augmenter les ventes, d'accroître l'efficacité et de simplifier les méthodes de travail. La Market Unit Afrique du Nord, composée actuellement de l' Egypte, Djibouti, Erythrée, Ethiopie, Soudan, Somalie, Algérie, Tunisie, Maroc, Sahara Occidental, Mauritanie et Libye, sera réorganisée. Ainsi, 'Algérie, Tunisie, Maroc, Sahara Occidental, Mauritanie et Libye rejoindront la Région Méditerranée qui sera ainsi composée de 27 pays. Pour leur part, l'Egypte, Djibouti, Erythrée, Ethiopie, Soudan et Somalie rejoindront la Région Moyen-Orient qui sera ainsi composée de 22 pays. Dans ce cadre, Hans Vestberg, P-DG d'Ericsson, a indiqué qu'"en réduisant le nombre de Market Units et en créant des Régions, nous comptons encore plus nous focaliser sur les besoins de nos clients tout en permettant des stratégies régionales plus homogènes. Nous sécurisons ainsi les meilleures compétences tout en établissant une culture où le client passe en premier. Nos nouvelles régions seront des atouts clés pour accroître notre flexibilité, notre rapidité et notre innovation." La nouvelle organisation régionale sera effective à compter du 1er avril. Anders Lindblad a été nommé directeur de la Région Moyen-Orient et Nunzio Mirtillo directeur de la Région Méditerranée. Ces nominations seront effectives à partir du 1er avril 2010. Cette réorganisation régionale n'affectera pas la comptabilité externe. Ericsson est leader mondial sur le marché des technologies de télécommunication et des services aux opérateurs. Numéro un sur le marché des technologies mobiles 2G, 3G et 4G, Ericsson accompagne les opérateurs dans la gestion de réseaux utilisés par plus d'un milliard d'abonnés tout en figurant également au premier plan dans le domaine des services gérés. Ericsson propose un portefeuille d'infrastructures mobiles et fixes, de services télécoms, de logiciels et de solutions haut débit et multimédias à destination des opérateurs, des grandes entreprises et des médias. Les joint-ventures associant Sony Ericsson et ST-Ericsson offrent aux consommateurs individuels une gamme particulièrement sophistiquée d'équipements mobiles. Présent dans plus de 175 pays, Ericsson fournit à ses clients des solutions technologiques innovantes et durables qui répondent à son ambition d'être l'acteur numéro un d'un monde 'tout communicant' ". Avec plus de 75 000 collaborateurs, Ericsson a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires consolidé de 32,2 milliards de dollars US (209 milliards de couronnes suédoises). Fondée en 1876, la société Ericsson a son siège social à Stockholm. Le titre Ericsson est coté à Stockholm et au Nasdaq (New York). Le marché Nord Africain inclut 11 pays du Maroc à l’Ouest, à l'Egypte à l'Est jusqu'à la Somalie au Sud. Ericsson a des bureaux dans 7 de ces onze pays . La pénétration de Ericsson en Afrique du Nord est de 35% dans les opérateurs mobiles , et 18% dans les lignes fixes. Les bureaux d'Ericsson Algérie ont été inaugurés en 1974. Il a été choisi une étroite coopération avec Algérie Telecom (fixe), Algérie Telecom mobile (Mobilis), Wataniya (Nedjma) et de la filiale de Orascom, Djezzy. Ericsson est aussi le fournisseur d'autres organes gouvernementaux depuis plusieurs années et est très active dans le marché d entreprises. La bonne connaissance du marché combinée à notre ambition de servir le marché des télécommunications algérien du meilleur moyen ont construit une confiance entre Ericsson et nos partenaires en Algérie. Cette ambition a été confirmée par la création d'Ericsson Algérie S.A.R.L.
Dalila T.

Constantine




Un centre multidisciplinaire de prise en charge des myopathes




La réalisation d'un centre pluridisciplinaire de rééducation fonctionnelle, spécialisé dans la prise en charge des myopathes et des patients atteints de maladies neuromusculaires, est nécessaire, selon des médecins spécialistes réunis samedi à Constantine. Selon le Pr Abderrahim Mezaham, neurologue au centre hospitalo-universitaire (CHU) de Constantine, les fiches techniques de ce projet qui regroupera notamment des neurologues, des rééducateurs fonctionnels, des orthopédistes, des pneumo-phtisiologues, des cardiologues, des psychologues et des nutritionnistes sont "déjà prêtes" et n'attendent plus que le feu vert des autorités compétentes pour la concrétisation du projet sur le terrain. Intervenant à l'ouverture du séminaire de clôture du projet du Fonds d'Initiatives collectives de rencontres (FICR), organisé au palais de la culture Malek-Haddad à l'initiative de l'Association locale "Défi et Espoir" contre les myopathies (ADEM), le Pr Abdelmadjid Hamri, médecin-chef de service de neurologie au CHU de Constantine, a précisé que ce centre, qui n'exige pas d'équipements sophistiqués ou coûteux, est "nécessaire pour prendre en charge les malades". Il permettra, une fois réalisé, a-t-il ajouté, de "renforcer les efforts de prise en charge déployés par les professionnels locaux qui ont déjà acquis une certaine expérience dans le diagnostic précoce de cette pathologie". Le Pr Hamri a affirmé que les spécialistes en maladies neuromusculaires du CHU de Constantine effectuent depuis 7 ans des diagnostics et des dépistages anténataux et génétiques afin de mieux prendre en charge ces myopathies qui constituent un ensemble d'affections d'origine le plus souvent génétique, liées à une dégénérescence primitive ou secondaire du tissu musculaire. En Algérie, la prévalence de maladies neuromusculaire est de 50.000 malades neuromusculaires dont 5.000 myopathes environ, d'où la nécessité de créer une structure fonctionnelle à même de réduire les souffrances des concernés et de les aider à surmonter leur handicap au moyen d'une assistance psychologique et un traitement thérapeutique adéquats, spécialisés et pluridisciplinaires, a précisé le Pr Mezaham. Dans sa communication, le Dr Amina Sifi, médecin neurologue, a affirmé que la "dystrophie musculaire de Duchenne de Boulogne" est la forme de myopathie la plus répandue en Algérie. Elle est surtout fréquente chez l'enfant de sexe masculin. Il s'agit d'une maladie génétique de "transmission récessive, liée au sexe, dans laquelle l'enfant atteint présente, en général, peu de signes avant l'âge de trois ans, mais marche tard, tombe souvent, se réveille difficilement et présente, au fil des années, un déficit moteur progressif qui finit par limiter d'abord l'utilisation des membres supérieurs avant de dégénérer de manière plus grave encore nécessitant une prise en charge précoce, permanente, personnalisée et l'utilisation d'aides techniques restaurant la fonction motrice et préservant la communication", a assuré le Dr Sifi. De son côté, M. Ahmed Boucheloukh, président de l'association organisatrice, a indiqué que l'objectif de cette dernière est "de créer une synergie entre les différentes associations du territoire national afin d'unifier la méthodologie de travail pour lutter efficacement contre la maladie et améliorer la prise en charge des patients". Le président de l'ADEM a fait savoir qu'un projet a été initié en partenariat avec l'association française "Handicap International" présente en Algérie depuis neuf ans pour la création d'un réseau algérien d'associations autour de cette question.
R.R.

Invest in Med


Egalité femmes-hommes



Egalité femmes-hommes : Un campagne pour combler l'écart des rémunérations
[Fenêtre sur l'Europe]
La Commission européenne va lancer à compter du 5 mars, pour la deuxième année consécutive, une campagne d'information sur l'écart de rémunération entre les femmes et les hommes.
À travail égal, en Europe, le salaire des femmes est en moyenne inférieur de 17,6 % (données Eurostat pour 2007) à celui des hommes. Plus de huit (8) citoyens européens sur dix (10) estiment que des mesures doivent être prises de toute urgence pour combler cet écart de rémunération1C’est dans ce contexte que la Commission européenne lancera, pour la deuxième année consécutive, sa campagne d’information sur l’écart de rémunération entre les femmes et les hommes, qui débutera le 5 mars 2010 à Bruxelles par un événement d’une demi-journée. La campagne a pour objectif de sensibiliser le public au problème ainsi qu’aux solutions possibles. La manifestation de lancement se composera d’un séminaire pour les médias et d’une rencontre avec la presse, lors de laquelle Viviane Reding, la nouvelle commissaire à la justice, aux droits fondamentaux et à la citoyenneté, annoncera de nouvelles mesures en vue de combler cet écart de rémunération.La nouvelle enquête Eurobaromètre sur l’égalité des sexes dans l’UE en 2009, qui porte sur les 27 États membres de l’UE, sera publiée le même jour. Pour plus d'informations : http://ec.europa.eu/equalpay

Monday, February 22, 2010

Europeana



Europeana, une librairie numérique qui s'invite au Parlement européen
[Fenêtre sur l'Europe]
L'avènement de l'internet et la construction européenne ont contribué aux prémisses d'une Europe sans frontières géographiques, culturelles ou linguistiques. L'accès aux trésors artistiques et culturels des pays voisins n'est cependant pas toujours aisé. Europeana, la librairie numérique lancée par l'Union européenne, tente d'y remédier. Les députés européens votent cet après-midi un rapport traitant de son rôle, de la qualité de ses contenus et de son mode de gestion.
Le portail "Europeana", lancé en novembre 2008, rassemble des millions d'images, de textes, de films ou de bande-son numérisés. Ces œuvres proviennent de musées, de librairies, d'archives et de collections multimédia à travers toute l'Europe. La France a largement participé à cet effort : elle est à l'origine de près de la moitié du contenu aujourd'hui disponible! Ce lundi après-midi, la commission parlementaire de la culture et de l'éducation votera un rapport visant à améliorer les contenus d'Europeana tout en respectant la propriété intellectuelle. Par ailleurs, ils invitent la Commission européenne et les États membres à promouvoir l'homogénéité de la société des savoirs et à ce que les citoyens européens aient un accès libre à leur patrimoine culturel et historique. Les États membres doivent donc investir dans la technologie numérique en faveur de la culture, souligne l'Allemande Helga Trüpel (groupe des Verts), rapporteur du projet de rapport. En outre, elle précise que la protection des copyrights est primordiale. Consultée, la commission parlementaire de l'industrie, de la recherche et de l'énergie a par ailleurs appelé de ses vœux des améliorations esthétiques et techniques, notamment pour faciliter l'accès aux publics en situation de handicap. Europeana ne peut cependant envisager de faire concurrence à Google, dont le mode de fonctionnement est bien différent. Selon Helga Trüpel, Europeana ne pourra pas être un véritable concurrent de Google Books puisque ce dernier est viable du fait de la publicité générée que son site alors qu'Europeana a été réalisée uniquement grâce aux financements publics.

l'Union pour la Méditerranée 3è Forum de Fès



Le 3è Forum de Fès sur l'Union pour la Méditerranée en juin prochain La 3-ème édition du Forum de Fès sur l'Union pour la Méditerranée (UPM) aura lieu du 2 au 4 juin prochain, sous le signe "L'UPM face aux enjeux et défis de l'éducation et la culture". apprend-on lundi auprès des organisateurs.
Initié par le Centre marocain interdisciplinaire des études stratégiques et internationales (CMIESI), en partenariat avec la ville de Fès, ainsi qu'avec plusieurs organismes marocains et étrangers, cet évènement fait suite aux deux premières éditions ayant réuni des centaines de personnalités de renommée internationale, comprenant des hommes politiques, de grands décideurs, des universitaires, des représentants de la société civile et des hommes de culture des pays du pourtour méditerranéen.

Cette troisième édition se veut une tribune ouverte pour débattre des moyens susceptibles d'assurer un développement durable et soutenu de l'espace méditerranéen dans le cadre de l'UPM, a affirmé à la MAP, le président du CMIESI, M. Abdelhaq Azzouzi.
A propos du choix du thème "L'UPM face aux enjeux et défis de l'éducation et la culture", M. Azzouzi a indiqué que l'éducation, prise au sens le plus large, constitue l'un des leviers les plus importants et les plus durables pour une meilleure compréhension de l'autre et pour l'établissement d'un cadre relationnel international pacifique aux plan régional et universel.
Il a tenu à préciser, dans ce cadre, que les problèmes, les défis et les contradictions que connaît le champ culturel et éducationnel tant dans les pays de la rive nord que ceux de la rive sud montrent la nécessité de s'atteler à une réflexion profonde quant à leur traitement et leur solution.
Et d'ajouter que les pays de la rive sud connaissent avec une plus grande acuité des difficultés liées à l'analphabétisme, à l'inégalité des chances face au savoir, à la non adéquation des programmes, à l'érosion généralisée du niveau des formations et à la fracture numérique.
Les participants à ce forum débattront, notamment des questions relatives à la bonne gouvernance, à la transparence de l'action publique, à l'implication des intellectuels et de la société civile dans la détermination et la conduite des politiques éducationnelles et culturelles, ainsi qu'à l'aide internationale en matière d'éducation, de transfert des technologies et de la politique des brevets.
Parmi les axes de cette édition figurent, notamment, "Les enjeux de la culture et l'éducation dans le processus de construction de l'UPM", "La question culturelle, pierre d'achoppement ou atout de la construction euro-méditerranéenne?", "La culture dans le processus euro-méditerranéen, quel legs ? pour quel bilan?", ainsi que " L'éducation dans les pays arabes aujourd'hui : quel état des lieux?".
Fondé en mars 2007, le CMIESI est un carrefour de réflexion, d'étude, de recherche et d'expertise pluridisciplinaire, traitant de problématiques stratégiques, diplomatiques et internationales complexes, mais également de la situation sociale, économique et politique d'un pays ou d'aires géopolitiques.

Facebook Zero



Afin d'aller conquérir de nouveaux utilisateurs mobiles dans des pays où les réseaux de troisième génération ne sont pas encore généralisés, Facebook travaille à la mise au point de « Facebook Zero », une nouvelle version de son interface particulièrement légère où ne seront affichées ni les images, ni les vidéos.Présenté à l'occasion du Mobile World Congress (MWC) de Barcelone, Facebook Zero devrait être disponible dans les semaines à venir, à l'adresse zero.facebook.com qui, depuis la France, renvoie pour l'instant vers la version mobile standard, en affichant le message suivant : « votre opérateur ne prend pas zero.facebook.com en charge ».Déclinaison ultralight du service, Facebook Zero viendra compléter un dispositif spécialement conçu pour les pays émergents, à qui le réseau social aux 400 millions de membres propose déjà Facebook Lite, une version Web simplifiée pensée pour les connexions bas débit.Aujourd'hui, 100 millions d'internautes se connecteraient tous les mois à l'une des versions mobiles de Facebook.

SMART Technologies Afrique




Favoriser l'école numérique en Afrique



SMART Technologies, inventeur et leader mondial du tableau numérique interactif (TNI), a signé une convention de partenariat avec le REPTA, le Réseau Education Pour Tous en Afrique. Initié en octobre 2008 autour d'un premier projet expérimental au Mali, ce partenariat vise à soutenir l'accès à l'éducation en Afrique par l'installation de tableaux numériques interactifs et la formation de la communauté enseignante locale à un usage pédagogique des nouvelles technologies. Aujourd'hui, 26 TNI SMART Board ont déjà été installés dans 5 pays sur lesquels le REPTA intervient : Bénin, Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal. Créé en France en 2004 par Gabriel Cohn-Bendit, les activités du REPTA se fondent sur la mise en relation des acteurs aussi différents que des entreprises, des collectivités territoriales, des associations, les pouvoirs publics et des institutions internationales, en travaillant en partenariat avec les pouvoirs publics, les associations, les communautés villageoises africaines, et en imaginant et réalisant des stratégies innovantes qui tiennent compte des réalités sociales, culturelles et économiques des pays concernés, dans un seul objectif : l'éducation pour tous en Afrique subsaharienne. SMART Technologies intervient dans le cadre du projet " Animation d'un réseau d'enseignants et d'éducateurs à l'usage des tableaux numériques interactifs pour les exclus des systèmes éducatifs en Afrique ", qui est un programme expérimental d'utilisation des Technologies de l'Information et de la Communication pour l'Education (TICE) sur plus de vingt-cinq sites en Afrique (Bénin, Burkina Faso, Mali, Niger et Sénégal). " Avec ce programme, nous nous adressons en premier lieu aux enfants et jeunes exclus des systèmes formels d'éducation (enfants des rues, enfants et jeunes des zones rurales n'ayant pas accès à l'école, jeunes enfants, jeunes non alphabétisés). Nous sommes convaincus que l'accès aux TICE est un élément clé pour favoriser l'éducation de ces populations défavorisées et le développement de leur communauté. A ce titre, nous sommes ravis d'avoir trouvé en SMART Technologies un partenaire de confiance pour nous accompagner dans ce projet de manière durable et oeuvrer à nos côtés pour l'éducation pour tous en Afrique ", explique Gabriel Cohn-Bendit, Fondateur du REPTA. Cette convention nouvellement signée avec le REPTA s'inscrit dans une démarche globale de SMART Technologies en faveur de l'éducation, à travers notre implication dans plusieurs projets de développement à travers le monde. A l'heure où la France commence à équiper massivement ses écoles de TNI, nous sommes fiers de contribuer à initier une démarche similaire en Afrique, en soutenant le REPTA dans les valeurs universelles d'accès à l'éducation pour tous qu'il défend, ajoute Patrick Lelorieux, vice-président et Directeur général de SMART Technologies pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique. SMART Technologies, premier acteur à avoir lancé le tableau numérique interactif en 1991 et aujourd'hui leader mondial sur ce segment de marché, fournit des solutions complètes intégrant à la fois du matériel, des logiciels et des services, afin d'améliorer le travail collaboratif et pédagogique. Depuis plus de 20 ans, SMART Technologies est guidé par l'innovation et la recherche de l'excellence, des valeurs qui lui ont permis de révolutionner le monde de l'éducation grâce à des solutions technologiques qui favorisent la réussite des élèves et soutiennent les méthodologies d'apprentissage des enseignants. SMART Technologies accompagne également les entreprises avec des solutions technologiques qui permettent d'améliorer la productivité des réunions et de favoriser le travail collaboratif. Le succès de SMART Technologies est issu d'un engagement fort au sein du monde de l'éducation et de l'entreprise, grâce à des produits, des ressources numériques et des services qui améliorent les méthodes d'apprentissage et de travail. Notons que Smart Technologies est présente en Algérie depuis 2005 à travers son représentant exclusif Business to Business. La compagnie veut créer un centre de formation certifié Smart Technologies au niveau du Cyber Parc de Sidi Abdellah de Zéralda. Il faut dire que la société BBC est une société de nouvelles technologies ayant pour but l'implantation sur le marché algérien de nouvelles solutions interactives technologiques hautement bénéfiques pour l'éducation, l'enseignement supérieur et professionnel, les entreprises et les institutions gouvernementales et militaires. Les produits Smart motivent les étudiants et améliorent leur apprentissage dans le monde entier. Ils augmentent également l'efficacité de la collaboration au sein de l'élite des organisations mondiales, dont l'université d'Oxford, la NASA, DaimlerChrysler et British Telecom. Les produits Smart aident les entreprises à maximiser l'efficacité de leurs formations, à rendre leurs réunions plus captivantes et à accroître la valeur de l'infrastructure existante. Les produits Smart sont distribués dans plus de 100 pays. Smart compte parmi ses clients la NASA, Texas Instruments, BMW, Toyota Motors, DaimlerChrysler, Boeing, Lucent Technologies, NTT, Novartis, Accenture, Procter & Gamble, British Telecom, Disney Imagineering, Harvard et Oxford. Dalila T.

Laghouat développement pour Kasr El Hirane



Divers projets de développement pour Kasr El Hirane



Le parc immobilier dans la commune de Kasr El Hirane dans la wilaya de Laghouat a été consolidé à la faveur d'une série de projets de développement lancés dans cette commune, avec 334 logements, dont 74 unités sociaux locatives (LSL), 120 unités rurales, et 50 autres au titre du fonds national de péréquation des œuvres sociales (FNPOS), en plus de l'inscription d'une tranche de 60 logements évolutifs, a-t-on signalé. Le secteur de la Jeunesse et des Sports s'est vu accorder un projet de réalisation d'une piscine semi-olympique, pour un coût de 200 millions DA, la création d'une école de natation, l'aménagement d'un stade communal, la réalisation de 10 aires de jeux et de 10 stades de proximité, en plus de 70 locaux à usage professionnel, dont 55 unités ont été réceptionnées. La commune de daira de Kasr El Hirane attend le lancement "prochainement" des travaux de construction d'un hôpital de 60 lits et d'un siège administratif de l'établissement public hospitalier de santé de proximité. La réalisation et l'équipement d'une salle de soins à la cité ''El-Wiam", l'aménagement, la restauration et l'équipement de l'établissement public de santé de proximité et son renforcement en personnel médical et paramédical, constituent d'autres opérations en faveur du secteur de la santé. S'agissant du désenclavement des villages et hameaux, la commune vient d'enregistrer le lancement, pour un coût de 166 millions DA, d'une route communale reliant Kasr El Hirane à Hassi Delaa, l'extension du chemin de wilaya CW-31 menant à la commune de Bennacer Benchohra, et le renforcement de la route communale Kasr El Hirane/El Assafia sur 14 km. Le secteur de l'éducation a réceptionné, en 2009, deux collèges, deux groupements scolaires de 20 salles de cours, et quatre cantines servant, ensemble, plus de 800 repas/jour. Une enveloppe de 28 millions DA a également été injectée au secteur pour la réhabilitation des écoles primaires, l'extension des salles, selon la même source qui signale la réception prochaine de salles d'extension et de deux cantines scolaires. A ces projets vient s'ajouter le choix d'un terrain devant accueillir le projet, retenu pour 2010 d'un lycée de 1.000 places, comptant 18 salles de cours, six laboratoires, un amphithéâtre et un demi-pensionnat assurant 300 repas/ jour. La collectivité de Kasr El-Hirane devra, par ailleurs, bénéficier d'un projet de château d'eau d'une capacité de 4.000 m3 devant permettre l'amélioration de l'approvisionnement en eau potable de ses habitants.R.R.

Biskra réseau routier,




Désenclavement et modernisation du réseau routier, deux axes prioritaires



En visite dans la wilaya de Biskra, le ministre des Tavaux publics, Amar Ghoul a indiqué samedi que celle-ci a bénéficié de l'inscription, au titre du programme quinquennal 2010-2014, d'un projet de réalisation d'une route nouvelle de 50 km qui reliera les localités de Besbès et de Bir Khadem (Biskra) à celle de D'zioua (Ouargla). Une étude technique en vue du dédoublement de la route faisant la jonction entre Biskra et Ain Lahdjel (M'sila) a également été inscrite et se trouve aujourd'hui en cours d'élaboration pour permettre de raccorder la wilaya à l'autoroute est-ouest, a-t-il ajouté. Pour le ministre le désenclavement et la modernisation du réseau routier sont "les deux axes prioritaires" sur lesquels devront s'articuler les interventions du secteur routier dans les Ziban. Au cours de sa visite, le ministre des Travaux publics a inauguré, à Sidi Khaled, un pont enjambant l'oued Djeddi, sur le chemin de wilaya n° 4. Selon les explications fournies in situ au ministre, cette réalisation "élimine un important point noir sur cet axe et assure la continuité du trafic routier, même en cas de crue de ce cours d'eau". M. Ghoul a rappelé à cette occasion que le programme quinquennal 2005-2009 a pris en charge, dans la wilaya de Biskra, quelque 1.100 km de routes nationales et communales, dont 300 km de routes nouvelles, en plus de l'engagement de plusieurs actions d'entretien, d'élargissement de voies et d'élimination de points noirs. Il a également indiqué que la wilaya a bénéficié de 13 projets de maisons cantonnières, dont huit ont été réceptionnées, ainsi que d'un parc de travaux publics et de 3.000 km de signalisation horizontale. Le ministre a également inspecté le projet de dédoublement sur 12 km de la route El Kantara-Loutaya, le chantier de construction d'un ouvrage d'art sur oued El Hay, la route nouvellement réalisée reliant Bir Naâm (Biskra) à M'doukal (Batna), ainsi que les travaux de renforcement du chemin de wilaya n° 4 dans la commune de Besbès. Le ministre a particulièrement insisté, au cours de sa visite, sur l'importance d'exécuter régulièrement des travaux d'entretien sur l'ensemble du réseau, de même qu'au niveau des ouvrages d'art pour éviter leur obstruction ou leur endommagement.R.R.

Oran forêt urbaine à Hai Sidi El-Houari



Oran : opération de reboisement pour la création d’une forêt urbaine à Hai Sidi El-Houari
Une opération de reboisement à la cité La Calere à Hai Sidi Houari (Oran) a été lancée samedi, pour la création d’une forêt urbaine s’étendant sur une superficie de 3 ha. Cette surface, dont la Conservation des forêts a entamé le reboisement en collaboration avec le secteur urbain de Sidi El Houari de l’APC d’Oran, à l’occasion de la célébration de la journée nationale de la ville, fêtée le 20 février de chaque année, sera le poumon de ce vieux quartier et des cités avoisinantes. Cette opération a permis de nettoyer le terrain approprié où plus de 400 tonnes de détritus et de débris ont été enlevés pour amorcer la plantation, a indiqué un responsable de la Conservation des forêts. La campagne de nettoyage a vu la participation de nombreuses associations locales dont la plupart activent dans le domaine de l’environnement et la mobilisation de tous les moyens requis dont 20 camions pour le transport des déchets. Agence

Abdelkrim Dali hommage



Maison de la culture Abdelkader-Alloula de Tlemcen Vibrant hommage à Abdelkrim Dali
Cet hommage à la hauteur de l’homme a drainé une foule impressionnante. En effet, des familles entières se sont déplacées pour s’enivrer en l’espace d’une soirée du répertoire de Abdelkrim Dali. Le coup d’envoi de la soirée a été donné par la formation "El kortobia", dirigée par cheikh Boukli. En outre, les chanteurs Toufik Benghabrit et Taleb Bendiab Abdelhamid, se sont surpassés durant cette soirée en interprétant avec brio quelques extraits du riche répertoire hérité de feu Abdelkrim Dali. Il est à noter que cette halte commémorative a permis à une fourchette d’historiens, de musiciens et de chanteurs interprètes de participer à une table ronde dont le thème principal était axé sur la vie et l’oeuvre du maître incontesté de la chanson hawzi. Abdelkrim Dali est né à Tlemcen dans une famille de mélomanes dont le père était un "halwadji" à la swiqa. Ses prédispositions pour la musique apparaissent assez tôt. C’est d’ailleurs, cheikh Omar Bakhchi qui s'intéressa à lui et lui apprit les bases de la musique andalouse. Dés l’âge de 14 ans, il jouait du Tar et chantait, en soliste, les Istikhbars dans les fêtes et les mariages. Son goût pour la musique s'est développé en se frottant à certains grands maîtres tels que : Abdessalam Bensari, frère de cheikh Larbi, le cheikh Bendali Yahia, cheikh Boudalfa, Mustapha Brixi et le maître El Yaho Bensaïd (Ibého). Il apprit, en outre, à jouer à la mandoline, au violon et au ney . Il s'est intégra l'orchestre le plus renommé de l'époque, en l’occurrence, celui du cheikh Larbi Ben Sari où il interprétait les chansons d'Oum Kaltoum et d'Abdelwahab popularisées par les films. Abdelkrim Dali en ira ainsi jusqu'à ce que le fils du cheikh Larbi, Redouane, le remplace auprès de son père. C’est lors d'une tournée, Mahieddine découvrira ce jeune chanteur dont la voix faisait merveille dans l'orchestre de la grande chanteuse cheikhs Tetma, et qu'il intégrera à la partie concert de sa tournée. Dés lors, il sera connu des mélomanes des autres grandes villes d'Algérie, participant à toutes les fêtes qu'animera Tetma. En 1930 i1 enregistre un istikhbar Moual avec Nari Haîchat Tentfa et un autre Iraq, avec Kif Amali Ouhilti. Puis en 1938, aux côtés de cheikha Tetma qu'il accompagnait au violon et au luth, il enregistra une vingtaine de disques chez Algeriaphone, lesquels font l'objet de deux albums présentés par le Club du Disque Arabe. En 1950, il enregistra ElKawi, Amersouli, El Hadjam etNergheb EI Mouid. Ces différentes séries d'enregistrements firent de lui une des plus grandes personnalités du genre hawzi et classique sur tout le territoire algérien. En 1938, Mahieddine l’engage pour une grande tournée à travers l'Algérie, suivie d’une deuxième tournée en France à la veille de la guerre de 39. Dès la création, en 1940, de Radio Alger, Boudali Safir, alors directeur artistique de la station, le fit venir de Tlemcen pour participer aux concerts de musique andalouse que donnait cet orchestre. En 1952, Abdelkrim Dali s'intégra définitivement à cet orchestre comme joueur de luth, et s'installa avec toute sa famille a Alger. A l’orée de l'indépendance, il se lança dans la composition de chants patriotiques et religieux. En outre, il participa à toutes les semaines culturelles en Europe ou dans le monde arabe pour représenter l'école tlemcénienne de musique arabe. En 1965, on lui attribua une chaire au Conservatoire d'Alger. En 1971, Abdelkrim Dali est engagé par l'institut national de musique en qualité de conseiller pour la musique andalouse. Abdelkrim Dali enregistra toutes les Noubas suivant la tradition de Tlemcen. Pendant ses dernières années, il participera aussi à tous les festivals de musique andalouse en Algérie ou dans d'autres capitales du monde arabe; ce sera sa consolation car il n'avait pu participer au Congrès de la musique arabe tenu au Caire en 1932 où El Hadj Larbi Bensari avait préféré faire participer son fils Redouane, ce qui avait provoqué leur rupture. Durant ces mêmes années il créera une chorale à la radio diffusion algérienne avec laquelle il enregistrera toutes les parties chorales de la musique andalouse. Ses innombrables activités ne l'ont pas empêché d'enseigner la musique à ses propres enfants qui venaient renforcer les orchestres qu'il constituait à l'occasion des galas ou mariages qu'il animait. Deux ans avant sa mort, il a fait le pèlerinage à La Mecque et à son retour il a composé un grand poème symphonique sur des modes andalous, intitulé Rihla hidjazia. Cette dernière couronnera sa longue carrière artistique. La radiodiffusion algérienne a enregistré ce long poème où l'on retrouve toute la science, la finesse et la foi profonde de cet artiste accompli. Il décédera 21 février 1978 à Alger suite à une crise cardiaque et fut enterré au cimetière de Sidi Yahia. Lamia S.

Sunday, February 21, 2010

Algérie-France Guemar Nanterre EEDCM



Algérie-France : Une délégation des associations EEDCM et Vacandi en visite à Guemar Une délégation de l'association humanitaire et de solidarité, l'Etoile européenne du dévouement civil et militaire (EEDCM), et de l'association ''Vacandi'', a effectué, vendredi après-mid;i une visite à Guemar, dans la wilaya d'El-Oued. La délégation a entamé sa tournée par la visite des installations, dont la bibliothèque de la zaouia Tidjania, fondée depuis plusieurs siècles. Ce voyage, mené en partenariat entre les deux associations, s'inscrit dans le cadre du partenariat entre les villes de Guemar et de Nanterre, a affirmé M. Emmanuel Traxel, porte-parole de l'EEDCM. ''Il existe une volonté de coopération entre les deux villes pour développer des relations de partenariat et de solidarité'', a ajouté l'intervenant qui est également l'époux de la présidente d'EEDCM, Ahn Dao Traxel, fille adoptive de l'ex: président français Jacques Chirac. La présidente de l'association ''Vacandi, activant dans les activités de loisirs et la pédagogie des handicapés mentaux, et partenaire de l'association ''Safia'' de prise en charge des handicapés mentaux à Guemar, a affirmé une disponibilité à apporter aide, à travers le projet de création d'un centre pour handicapés à Guemar, dans le cadre du protocole de partenariat-jumelage entre les villes de Guemar et de Nanterre, signé en janvier 2008. Il s'agit pour ''EEDCM'', ''Vacandi'' et la ville de Nanterre, à travers le projet de création de ce centre, a-t-elle ajouté, de répondre à une demande de l'association locale ''Safia'', présidée par le Dr. Rachida khellaf. Cette dernière a affirmé, de son côté, vouloir tirer avantage de l'expérience de ''EEDCM'' pour la gestion du futur centre de prise en charge des handicapés mentaux de Guemar. Une expérience qui, a-t-elle expliqué, devra être capitalisée, en perspective de l'ouverture du centre vers 2012. Par ailleurs, Des responsables d'associations locales, Rachida Khellaf pour ''Safia'' et Ali bey pour ''Tedj'', recevront, lors d'une cérémonie à Guemar, des distinctions pour leur dévouement dans leurs activités dans le domaine de la solidarité. La délégation hôte visitera, durant ce voyage de trois jours dans la wilaya d'El-Oued, plusieurs infrastructures, dont le centre culturel de Guemar, le centre médico-pédagogique d'El-Oued, et rencontrera des responsables locaux.APS

Euromed



Euromed : Les CES des deux rives de la Méditerranée demandent à être des partenaires "actifs" dans l'UPM

Les Conseils économiques et sociaux (CES) des deux rives de la Méditerranée ont demandé, jeudi à Bruxelles, à être des partenaires "actifs" dans le processus de l'Union pour la Méditerranée (UPM), et ont convenu d'un mode de coopération plus "concret". Les présidents de plusieurs CES des pays de l'Euromed en visite au CESE, dont le président du Conseil national économique et social (CNES) algérien, Mohamed Seghir Babès, ont, à cet effet, apporté leur contribution au débat. "Nous devons agir comme acteur qui va forcer le destin de l'histoire", a déclaré M. Babès, avant de souligner que la "tâche est grande" pour les CES qui sont les représentants de la société civile. Sur l'UPM, il dira : "Il y a comme une espèce de vide. Le processus a été plombé en raison d'intérêts". "Je considère qu'il faut que nous fassions, en tant que société civile le lien, et d'aller se battre pour faire la juste place pour la société civile dans cette Union". Par ailleurs la plupart, des représentants des pays du Sud, ont insisté sur l'importance de donner un caractère plus concret à l'UPM. Les représentants des CES du Sud dont le palestinien, le libanais et le jordanien ont, a cet égard, demandé de cibler les domaines de coopération et d'opter pour des projets concrets dont les pays de la région ont besoin. Ils ont ainsi sollicité une aide européenne pour le développement des PME, de la formation et du transfert technologique. M. Hanna Siniora, président du CES palestinien, a, dans ce sens, lancé un appel aux entreprises européennes pour aider par leur expérience et leur expertise le tissu PME palestinien. "Nous avons besoin de renouer le contact avec les entreprises européennes. Nous voulons devenir autonomes, nous avons les capacités et les moyens pour y parvenir", a-t-il soutenu. Partageant les priorités ainsi exprimées par les CES des pays du Sud-méditerranén, un des responsable du CES de l'UE, a évoqué la nécessité d'identifier des projets concrets. "Les CES doivent jouer un rôle concret au niveau national et international", selon ce dernier qui estime que les défis de la mondialisation et de l'environnement doivent inciter les deux parties à "trouver des modes de coopération plus développés".