阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, August 23, 2008

JO 2008 Beijing




pour mes parents denise jean bernard souvenir pour ne jamais oublier 1 mai 1959 une vie d'amour.

Commission Européenne





La Commission européenne lance un projet pilote en ligne pour faciliter l'accès aux articles scientifiques sur les travaux de recherche financés par l'UE
Un accès rapide et fiable aux résultats de la recherche, notamment grâce à l'internet, peut stimuler l'innovation, favoriser les découvertes scientifiques et soutenir le développement d'une économie forte fondée sur la connaissance.
La Commission européenne souhaite que les résultats de la recherche qu'elle finance à hauteur de plus de 50 milliards d'euros, dans le cadre du 7e programme-cadre de recherche de l'UE (7e PC) qui couvre la période 2007-2013, soient diffusés aussi largement et efficacement que possible pour être exploités au mieux et avoir des retombées importantes dans le monde de la recherche et au-delà.
La Commission lance aujourd'hui un projet pilote qui permettra d'accéder librement sur l'internet, après un embargo de 6 à 12 mois, aux résultats de la recherche financée par l'Union européenne, publiés initialement dans des revues dont les articles sont soumis à une évaluation par des pairs.
Le projet pilote couvrira environ 20 % du budget du 7e programme-cadre dans des domaines comme la santé, l'énergie, l'environnement, les sciences sociales et les technologies de l'information et des communications.
Un article repris du site de la commission européenne ->http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do ?reference=IP/08/1262&format=HTML&aged=0&language=FR&guiLanguage=en]
« Un accès facile et gratuit aux connaissances les plus récentes dans des domaines stratégiques est essentiel à la compétitivité de la recherche de l'Union européenne. Ce projet pilote de libre accès constitue une étape importante dans la réalisation de la “cinquième liberté”, c'est-à-dire la libre circulation du savoir entre les États membres, les chercheurs, les entreprises et le grand public », a déclaré Janez Potočnik, membre de la Commission chargé de la science et de la recherche. « En outre, il s'agit, pour le public, d'un juste retour de la recherche financée par des fonds communautaires ».
« L'évolution rapide des technologies numériques offre aux chercheurs des possibilités - sans précédent - de partager rapidement et efficacement des informations. Notre nouveau projet pilote va exploiter ce potentiel : il permettra aux chercheurs, aux entreprises et aux décideurs politiques d'accéder aux résultats de la recherche les plus récents et les aidera ainsi à faire face à des défis mondiaux comme le changement climatique », a déclaré Viviane Reding, membre de la Commission chargée de la société de l'information et des médias. « Je me réjouis tout particulièrement que les éditeurs de publications scientifiques aient adopté progressivement de nouveaux modes de diffusion et qu'ils collaborent avec les chercheurs au projet de libre accès. Dans ce domaine, ils ont apporté à la Commission une contribution appréciable, qui a aidé à la préparation du projet pilote. Cette coopération permettra une coexistence mutuellement bénéfique de nature à maximiser les effets positifs d'un libre accès aux résultats de la recherche publique, tout en laissant une place aux entreprises privées de publication ».
Le projet pilote de libre accès de la Commission, qui durera tout au long du 7e PC, vise à donner à tous accès aux résultats de la recherche financée par l'Union européenne. Les bénéficiaires de subventions seront tenus de déposer dans une bibliothèque en ligne leurs articles scientifiques ou manuscrits définitifs évalués par des pairs et résultant de projets menés dans le cadre du 7e PC. Ils devront s'efforcer d'assurer un libre accès à ces articles, dans un délai de six ou douze mois - fixé en fonction du domaine de recherche - après leur publication. Cet embargo doit permettre aux éditeurs de publications scientifiques de rentabiliser leur investissement.
Le libre accès aux publications scientifiques, qui étaient auparavant accessibles sur abonnement, peut contribuer à accroître l'impact des 50 milliards d'euros que l'Union européenne investit dans la recherche et le développement et à éviter la répétition de travaux de recherche, synonyme de perte de temps et de gaspillage de ressources précieuses. En bénéficiant d'un accès à un plus grand nombre de publications, les chercheurs peuvent s'appuyer sur les connaissances ainsi disponibles pour approfondir leur travail. Les entrepreneurs et les petites et moyennes entreprises peuvent également profiter d'un meilleur accès aux derniers progrès de la recherche pour accélérer la commercialisation et l'innovation.
Contexte
Le projet pilote de libre accès lancé aujourd'hui était prévu dans la communication de la Commission européenne de février 2007 sur « l'information scientifique à l'ère numérique : accès, diffusion et préservation » (IP/07/190). À la suite de cette communication, le Conseil des ministres de la recherche de l'Union européenne qui a eu lieu en novembre 2007 a invité la Commission à expérimenter le libre accès dans le cadre du 7e PC.
Depuis 2006, la Commission a organisé de vastes consultations avec les parties prenantes sur les mesures relatives au libre accès, qui comprennent notamment une conférence de haut niveau des parties concernées. Cette conférence a eu lieu en février 2007 et environ 500 personnes y ont participé.
De nombreux organismes de financement nationaux, tels que le Wellcome Trust au Royaume-Uni ou les National Institutes of Health aux États-Unis, disposent déjà de règles relatives au libre accès. En décembre 2007, le Conseil scientifique du Conseil européen de la recherche a arrêté ses propres lignes directrices relatives au libre accès.
Pour plus de précisions, consulter le document MEMO/08/548
Le texte intégral de la décision est disponible à l'adresse suivante :
*- http://ec.europa.eu/research/press/2008/pdf/decision_grant_agreement.pdf
http://ec.europa.eu/research/press/2008/pdf/annex_1_new_clauses.pdf
De plus amples informations sur le projet pilote de libre accès seront disponibles à partir du 1er septembre 2008 à l'adresse suivante :
http://ec.europa.eu/research/science-society/open_access
Activités connexes :
http://ec.europa.eu/research/science-society/scientific_information
http://ec.europa.eu/information_society/activities/digital_libraries/index_en.htm
http://erc.europa.eu/pdf/ScC_Guidelines_Open_Access_revised_Dec07_FINAL.pdf
A Brest
voir sur GouvActu territorial AdmiNet
GouvActu territorial AdmiNet l’actu publique, gouvernementale, parlementaire et territoriale française http://gouvactu.adminet.fr/

Selection villes JO 2012 wikipedia


JO 2012 Londres wikipedia



Lors de la 117e session du Comité International Olympique[6], réunie à Singapour, le Baseball et le Softball ont été exclus de la liste des sports olympiques, réduisant à 26 le nombre de disciplines pour les Jeux de Londres 2012. La liste des sports olympiques d'été n'est plus immuable et sera remise en question après chaque Jeux Olympiques, seuls les quotas de compétitions (301) et le nombre d'athlètes (10.500) resteront fixes.
Lors de cette même session, le CIO a également rejeté l'entrée de cinq nouveaux sports aux jeux d'été[7] : le Golf, le Roller et le Rugby à 7 ont été éliminés d'entrée, tandis que le Squash et le Karaté ont obtenus 51% des votes, ce qui les rendait éligibles, mais n'ont pas réuni la majorité requise des deux tiers.
Le nombre de sports olympiques, correspondant au nombre de fédérations internationales, est donc fixé à 26 pour ces jeux de Londres :

Chine tourisme sécurité profite à tous consultant




Chine: le renforcement de la sécurité en ville profite à tous

2008-08-21 18:29:52

BEIJING, 21 août (Xinhua) -- Le département du tourisme de Beijing a tenu à rassurer jeudi les touristes étrangers sur le fait que le renforcement de sécurité dans les parcs de la ville ne les visait pas mais avait pour but de fournir un environnement sûr pour que chacun puisse profiter des Jeux olympiques.
Les parcs et d'autres sites touristiques de Beijing ont pris des mesures de sécurité plus draconiennes, dont des contrôles de sécurité sur certains touristes, a dit Wang Pengxun, haut responsable du Centre administratif municipal des Parcs de Beijing, en conférence de presse.
"Les contrôles de sécurité n'ont pas empêché les gens de visiter les sites mais ont ralenti leur voyage, car nous n'avons procédé à l'examen que des sacs à main grands ou suspects", a-t-il indiqué.
Presque 2,3 millions de personnes se sont rendues dans 11 parcs administrés par le gouvernement municipal, dont le Palais d'été et le Temple du ciel, dès l'ouverture des JO, a-t-il précisé.
Xiong Yumei, directrice adjointe de l'Administration du Tourisme de Beijing, a dit qu'environ 4,8 millions de touristes, dont mille VIPs venus de plus de vingt pays, avaient visité 164 sites à Beijing du 8 au 20 août.
Beijing a également proposé des programmes de voyage pour les athlètes et leurs entraîneurs, variant de tours à la mi-journée à des tours de plusieurs jours dans la capitale chinoise, par le biais de services fournis par China Travel Service dans le Village olympique.

USA Obama Biden comme colistier consultant




Etats-Unis : Obama choisit Biden comme colistier

2008-08-23 16:47:42


(Photo: Xinhua/Reuters)
WASHINGTON, 23 août (Xinhua) -- Le candidat démocrate à la présidentielle américaine, Barack Obama, a choisi le sénateur Joseph Biden comme colistier, a rapporté samedi un média local.
Quelques heures avant l' annonce officielle de la campagne de M. Obama, les médias américains, dont Associated Press et CNN, ont cité des sources démocrates indiquant que le sénateur âgé de 65 ans de l'Etat du Delaware sera le colistier de M. Obama pour les élections de novembre.
Les spéculations ne cessent de croître sur la candidature de Biden à la vice-présidence après que les deux autres candidats potentiels, le sénateur Evan Bayh de l'Indiana et le gouverneur de Virginie Tim Kaine, ont reçu des appels d'Obama leur indiquant qu'ils ne seraient pas colistiers.
Biden, actuellement président du Comité des relations étrangères du Sénat, est considéré comme celui qui pourrait compenser le manque d'expérience d'Obama dans les affaires étrangères et de la défense. Mais son âge et son immersion pendant longtemps au Capitole, vont à l'encontre des messages évoqués par la campagne d'Obama pour le changement.
La campagne d'Obama a noté auparavant que le sénateur illinois ferait sa première apparition publique avec le candidat à la vice-présidence au cours d'un rassemblement samedi.
La paire sera officiellement nommée lors de la convention nationale du parti démocrate qui se déroulera du 25 au 28 août à Denver, au Colorado.

Hu Jintao Jeux Paralympiques consultant




Hu Jintao encourage les athlètes chinois aux Jeux paralympiques

2008-08-21 10:02:09

BEIJING, 21 août (Xinhua) -- Le président chinois Hu Jintao a rendu visite aux athlètes chinois aux Jeux paralympiques mercredi, les encourageant à s'efforcer de devenir plus forts et à se battre pour le meilleur résultat.
(Photo: Xinhua)
A 16 jours de la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques de Beijing, Hu, accompagné du vice-président Xi Jinping, s'est rendu mercredi matin au centre d'entraînement des athlètes paralympiques dans la banlieue nord-est de la capitale.
Plus de 300 athlètes chinois participant aux Jeux du 6 au 17 septembre s'entraînent dans ce premier centre de niveau national pour les athlètes handicapés du pays.
(Photo: Xinhua)
La délégation chinoise sera la plus grande de l'histoire de ces Jeux, avec 547 membres inscrits dans l'ensemble des 20 disciplines programmées.
Hu a assisté aux entraînements des sportifs concourant en athlétisme, football, natation et basketball sur fauteuil roulant.
Il a encouragé Li Duan, qui avait perdu la vue il y a douze ans lors d'un accident et qui faisait du saut en longueur, guidé par son entraîneur. Li a gagné deux médailles d'or lors des Jeux paralympiques d'Athènes de 2004.
(Photo: Xinhua)
"J'ai entendu que vous étiez joueur de basketball avant l'accident, cela ne doit pas être facile pour vous", a indiqué Hu en serrant la main à Li.
"Un soldat blessé reste un soldat. Un militaire peut tomber mais sa volonté est inébranlable", a répondu avec enthousiasme Li. Il a promis de faire de son mieux lors des Jeux de Beijing.
Hu a serré la main à d'autres athlètes, tout en leur souhaitant bonne chance lors des compétitions.
Il a également assisté aux entraînements des joueurs de football qui souffrent de paralysie cérébrale. Ces derniers constituent le premier groupe chinois du genre aux Jeux paralympiques.
(Photo: Xinhua)
Il a espéré que ces athlètes se battraient non seulement lors des prochaines compétitions, mais aussi dans leur vie quotidienne.
Au stade de natation, Hu s'est dit convaincu que les athlètes feraient preuve de leurs compétences et feraient honneur à la patrie. Les nageurs chinois se sont bien comportés lors des compétitions précédentes.
Après avoir quitté le centre d'entraînement, Hu a visité un foyer pour personnes handicapées pour se renseigner sur les services fournis aux handicapés ordinaires de la capitale chinoise. Dans une salle pour personnes handicapées il a discuté avec les résidents qui participaient à diverses activités culturelles ou faisaient des exercices de convalescence.
(Photo: Xinhua)
"Le pays adoptera davantage de mesures pour améliorer les conditions de vie de toutes les personnes handicapées, afin qu'elles jouissent d'une vie heureuse au sein de leur patrie", a promis Hu.

Beijing qualité de l'environnement amélioration consultant




Beijing rapporte une amélioration de la qualité de l'environnement

2008-08-23 13:48:12

BEIJING, 23 août (Xinhua) -- Les deux principaux indicateurs de pollution SO2 et COD, ont chuté au premier semestre de cette année à Beijing, marquant un nouveau progrès des efforts de réduction des émissions par Beijing, ont indiqué les autorités chargées de l'environnement samedi à Beijing.
Les émissions du dioxyde de soufre à Beijing au premier semestre cette année ont baissé de 12,94% par rapport à la même période de l'année dernière, a annoncé le ministère de la Protection environnementale.
La demande chimique en oxygène COD, mesurant le degré de la pollution d'eau, a chuté de 3,82%, a-t-il ajouté.
La capitale chinoise avait projeté de faire baisser les deux indicateurs de 10% et de 4% respectivement par rapport à l'année dernière.
Le bureau environnemental de Beijing a attribué ce résultat aux efforts assidus de la ville pour la restructuration industrielle et l'application des technologies de protection environnementale.
Selon le gouvernement municipal de Beijing, la ville a investi plus de 140 milliards de yuans (20,5 milliards de dollars) depuis 1998 pour améliorer la qualité de l'air.
La qualité de l'air de Beijing du mois courant jusqu'à aujourd'hui est la meilleure par rapport aux autres étés des dix dernières années, et respecte les normes olympiques, a indiqué mardi le bureau environnemental de Beijing.

Kyoto environnement 21/28 2008 consultant




TROISIEME SESSION DU GROUPE DE TRAVAIL SPECIAL DE L’ACTION CONCERTEE A LONG TERME AU TITRE DE LA CONVENTION ET SIXIEME SESSION DU GROUPE DE TRAVAIL SPECIAL DES NOUVEAUX ENGAGEMENTS POUR LES PARTIES VISEES A L’ANNEXE I AU TITRE DU PROTOCOLE DE KYOTO
21-27 AOÛT 2008
La troisième session du Groupe de travail spécial de l’action concertée à long terme au titre de la Convention sur les changements climatiques (AWG-LCA 3) et la première partie de la sixième session du Groupe de travail spécial des nouveaux engagements pour les parties visées à l’Annexe I au titre du Protocole de Kyoto (AWG-KP 6, Part I) se dérouleront du 21 au 27 août 2008 à Accra, Ghana. Ces réunions font partie des discussions en cours pour l’amélioration de la coopération internationale sur les changements climatiques, y compris pour la période au-delà de 2012, lorsque expirera la première “période d’engagement” du Protocole de Kyoto.
BREF HISTORIQUE DE LA CCCC ET DU PROTOCOLE DE KYOTO
La réponse politique internationale aux changements climatiques a commencé avec l’adoption de la CCCC en 1992. La CCCC établit un cadre d’action visant à stabiliser les concentrations atmosphériques des gaz à effet de serre pour éviter “une interférence anthropique dangereuse” avec le système climatique. La CCCC est entrée en vigueur le 21 mars 1994 et compte actuellement 192 parties. En décembre 1997, les délégués à la troisième Conférence des parties (CdP 3) à Kyoto, Japon, ont approuvé un Protocole à la CCCC qui engage les pays industrialisés et les pays en transition vers l’économie de marchés à réaliser des objectifs de réduction des émissions. Ces pays, connus dans le cadre de la CCCC comme étant les parties visées à l’Annexe I, ont accepté de réduire leurs émissions globales de six gaz à effet de serre d’une moyenne de 5.2% au-dessous des niveaux de 1990, entre 2008 et 2012 (première période d’engagement), les objectifs précis variant d’un pays à l’autre. Le Protocole de Kyoto est entré en vigueur le 16 février 2005 et compte maintenant 180 parties.
La première Conférence des parties siégeant en tant que Réunion des parties au Protocole de Kyoto (CdP/RdP 1) à Montréal, Canada en 2005, a établi le Groupe de travail spécial des nouveaux engagements pour les parties visées à l'Annexe I au titre du Protocole de Kyoto (AWG-KP). En outre, La CdP 11 a décidé d’examiner la coopération à long terme au titre de la CCCC “sans préjudice pour les négociations, engagements, processus, cadre ou mandat futurs au titre de la Convention,” à travers une série de quatre ateliers constituant un “Dialogue” sur le sujet, devant se poursuivre jusqu’à la CdP 13.
La CdP 13 et la CdP/RdP 3 ont eu lieu en décembre 2007 à Bali, Indonésie. Le point de focalisation de la conférence de Bali a porté sur les questions ayant trait à l’après 2012 et les négociateurs ont passé une bonne partie de leur temps à chercher à s’accorder sur un processus biennal ou “feuille de route de Bali,” pour finaliser le régime relatif à l’après 2012 d’ici la CdP 15 en décembre 2009. Cette feuille de route établit “des voies à suivre” au titre de la Convention et du Protocole de Kyoto. Dans le cadre de la Convention, les négociations sur le suivi du Dialogue de la Convention ont abouti à un accord sur le Plan d’action de Bali qui établit le AWG-LCA, en vue de lancer un processus global pour une action concertée à long terme, devant être achevée en 2009. Le Plan d’action de Bali détermine quatre éléments clés: l’atténuation, l’adaptation, le financement et la technologie. Le Plan contient également une liste non exhaustive de questions à examiner dans le cadre de chacun de ces domaines et appelle à l’examen de la possibilité de réaliser une “vision partagée de l’action concertée à long terme.”
La première session du AWG-LCA et la cinquième session du AWG-KP ont eu lieu du 31 mars au 4 avril 2008, à Bangkok, Thaïlande. La deuxième session du AWG-LCA et la cinquième session de reprise du AWG-KP ont eu lieu du 2 au 12 juin à Bonn, Allemagne. Pour de plus amples détails sur le processus, consultez http://www.iisd.ca/process/climate_atm-fcccintro.htm.
LES FAITS SAILLANTS DE LA PERIODE INTERSESSIONS
EDITION 2008 DU SOMMET DES DIRIGEANTS DU G8: Le sommet annuel des dirigeants des pays industrialisés du G8 s’est tenu du 7 au 9 juillet 2008, au Japon. Le Sommet a abouti à une déclaration sur le besoin d’une vision à long terme pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les dirigeants y ont pris l’engagement “d’examiner et d’adopter… l’objectif consistant à réaliser, au moins, une réduction de 50% des émissions globale, d’ici 2050.” La déclaration souligne que cet objectif devrait être partagé par toutes les parties à la CCCC et encourage, également, un régime climatique global ambitieux pour l’après 2012.
La déclaration reconnait que les mesures des économies développées différeront de celles des économies en développement, ajoutant que “chacun de nous [au sein du G8] réalisera des objectifs à moyen terme ambitieux dans l’ensemble des secteurs économiques en vue de réaliser des réductions d’émission absolues.”
REUNION DES PRINCIPALES ECONOMIES: La quatrième “Réunion des principales économies sur la sécurité énergétique et les changements climatiques ” s’est tenue le 9 juillet 2008, en concomitance avec le Sommet du G8, à Hokkaido, Japon. La réunion a impliqué les dirigeants des pays du G8, de l’Australie, du Brésil, de la Chine, de l’Inde, de l’Indonésie, de la République de Corée, du Mexique, de l’Afrique du Sud et de l’UE. Les dirigeants ont adopté une déclaration affirmant l’engagement des principales économies à la fois du monde industrialisé et du monde en développement à lutter contrer les changements climatiques, en tenant compte de leurs “responsabilités communes mais différenciées et de leurs capacités respectives.” La déclaration souligne l’importance d’un objectif à long terme et d’objectifs à moyen terme, d’engagements et d’actions et du rôle des puits de carbone, de l’atténuation, de l’adaptation, de la technologie et des ressources financières. Elle annonce que “nos pays continueront à travailler ensemble de manière constructive pour favoriser la réussite de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques en 2009.” Il n’y a eu d’accord ni sur les objectifs de réduction des émissions à moyen terme ni sur ceux à long terme.
REUNIONS DE LA CCCC: Un certain nombre d’ateliers et autres manifestations de la CCCC ont eu lieu depuis les pourparlers de Bonn sur les changements climatiques en juin dernier. Du 25 au 27 juin 2008, s’est tenu à Tokyo, Japon, un atelier sur les thèmes méthodologiques touchant à la réduction des émissions dues au déboisement et à la dégradation des forêts dans les pays en développement (voir: http://www.iisd.ca/climate/wedfd/).
D’autres récentes manifestations de la CCCC à Bonn: une réunion sur l’Organe d’application du Comité du respect des dispositions (14-15 juin 2008); deux réunions du Comité exécutif du Mécanisme pour un développement propre (du 15 au 17 juin et du 30 juillet au 2 août); la onzième réunion de la Comité conjoint de surveillance de l’application (16-17 juin); et la deuxième réunion du Comité directeur du Fonds d’adaptation (16-19 juin).
LES NEGOCIATIONS D’ACCRA
Les pourparlers d’Accra sur les changements climatiques représentent une des séries de réunions en cours devant mener à Copenhague en décembre 2009 – date butoir fixée pour un accord sur le cadre relatif à l’après 2012. Cette partie retrace l’état actuel des discussions menées dans le cadre du AWG-KP et celui du AWG-LCA, y compris les principaux points de l’ordre du jour de chacun de ces organes.
AWG-LCA: L’AWG-LCA a pour mandat de lancer un processus global permettant l’application intégrale, efficace et continue de la Convention à travers une action concertée à long terme, dés à présent, d’ici à 2012 et au-delà. L’AWG-LCA est actuellement engagé dans un examen de fond de cinq domaines clés: une vision commune de l’action concertée à long terme, y compris un objectif global à long terme de réduction d’émissions, les mesures d’atténuation, les mesures d’adaptation, la mise au point et le transfert des technologies et, l’apport de ressources financières et d’investissements.
Vision commune: Ce sujet à fait l’objet de longues discussions à Bonn, en juin. Plusieurs parties ont apporté leur appui à l’idée d’un objectif programmatique global pour 2050, même si certaines, comme le G-77/Chine et le Groupe africain avaient ajouté que les pays industrialisés doivent agir comme chefs de file avec des objectifs à court terme ambitieux et contraignants (2020).
Mesures d’atténuation: A Bonn, les discussions sur les mesures d’atténuation se sont centrées sur le mesurage, la communication des données et la vérification des engagements ou des actions, des approches sectorielles et de la réduction des émissions dues au déboisement et à la dégradation des forêts dans les pays en développement (REDD). A Accra, un atelier se tiendra sur deux questions connectées: les approches et les incitations en rapport avec la REDD; et le rôle de la conservation, de la gestion durable des forêts, et l’amélioration des stocks de carbone forestiers dans les pays industrialisés. Cet atelier examinerait les forces motrices du déboisement et de la dégradation des forêts, ainsi que la manière de renforcer les capacités des pays en développement en matière de réduction des émissions.
Un second atelier consacré aux mesures d’atténuation portera sur les approches sectorielles et sur les actions particulières aux divers secteurs. A Bonn, certains pays, en particulier le Japon, ont fait part de leur appui aux approches sectorielles. D’autres, toutefois, comme la Chine et l’Inde, ont fait part de leurs réserves, en particulier, à l’égard de toute discussion sur des objectifs sectoriels qui ne seraient pas focalisés uniquement sur les parties visées à l’Annexe I.
L’AWG-LCA 3 est également susceptible d’établir un groupe de contact sur les mesures d’atténuation dans le cadre du transfert des technologies et d’apport de ressources financières. A Bonn, plusieurs parties ont proposé de nouveaux mécanismes de financement qui feront, probablement, l’objet de discussions à Accra.
Mesures d’adaptation: Les discussions sur les mesures d’adaptation, à Accra, se focaliseront sur le transfert des technologies et le financement. A Bonn, les délégués ont soulevé un certain nombre de sujets, dont, les besoins des pays les moins avancés, les programmes d’action nationaux en matière d’adaptation, le Programme de travail de Nairobi et les préoccupations concernant le financement des mesures d’adaptation. Plusieurs propositions particulières ayant trait au financement ont été avancées par des pays comme le Mexique, la Suisse, la Norvège, la Chine et d’autres. L’AWG-LCA 3 est susceptible d’établir un groupe de contact sur une action renforcée dans les domaines de la mise au point et du transfert des technologies et du financement pour appuyer les mesures d’adaptation.
Les technologies et le financement: A Bonn, deux ateliers en session ont été tenus sur la mise au point et le transfert des technologies et sur le financement. A Accra, les délégués sont invités à se pencher sur “les dispositions institutionnelles permettant une coopération renforcée dans le domaine du transfert des technologies et de l’apport de ressources financières pour appuyer les mesures d’atténuation et d’adaptation” pour permettre un examen plus détaillé des idées et propositions avancées, y compris les thèmes techniques tels que la structure et la gouvernance des nouveaux fonds ou cadres institutionnels éventuels au titre de la Convention.
AWG-KP: L’AWG-KP entreprendra une analyse des moyens disponibles permettant d’atteindre les objectifs de réduction des émissions et la détermination des manières de renforcer leur efficacité et leur contribution au développement durable. Les quatre moyens déterminés par l’AWG-KP dans son programme de travail sont: des mécanismes souples; l’utilisation des terres, le changement d’affectation des terres et la foresterie (UTCATF); les approches sectorielles et les gaz à effet de serre, les secteurs et les catégories des sources. A Accra, l’AWG-KP est programmé d’achever son analyse, permettant aux parties de négocier les portées actuelles de la réduction des émissions, à la CdP/RdP à Pozna, Pologne, en décembre 2008.
Mécanismes souples: A Bonn, un atelier s’est tenu sur ce thème, plusieurs parties exprimant leur appui à l’idée de continuer les mécanismes après 2012. en particulier, les changements éventuels à apporter au Mécanisme pour un développement propre (MDP) ont été débattus, certaines divergences sur l’intégration d’activités telles que le piégeage et le stockage du carbone. Quelques parties ont encouragé l’adoption d’un champ d’application plus large pour les activités du MDP et des règles plus simples, tandis que d’autres ont souligné le besoin de s’assurer de l’intégrité environnementale.
UTCATF: Des divergences demeurent entre les parties, quant aux règles qui pourraient être appliquées à la seconde période d’engagement. Le Brésil, l’AOSIS et d’autres ont fait objection à l’idée d’introduire des changements dans l’architecture disponible, tandis que l’Australie et le Canada ont suggéré que des améliorations pourraient être apportées.
Approches sectorielles: les pays en développement ont indiqué que les approches sectorielles devraient être appliquées uniquement aux parties visées à l’Annexe I, et qu’elles devraient plutôt complémenter que remplacer les plafonnements nationaux des émissions. Les pays industrialisés ont, de manière générale, cherché à explorer, plus en détail, les approches sectorielles. Gaz à effet de serre, secteurs et catégories des sources: Les discussions autour de ce sujet se sont concentrées sur l’éventuelle intégration de nouveaux gaz au titre du cadre futur et également sur les émissions dues au transport aérien et maritime international. Les parties ont exprimée des vues fortement divergentes sur l’intégration des émissions du transport aérien et maritime au titre du Protocole, l’UE, la Norvège et d’autres plaidant pour la conduite davantage de discussions sur ce sujet, dans le cadre du processus de la CCCC, tandis que d’autres pays ont souligné que la question est également en cours d’examen dans les cadres de l’Organisation internationales de l’aviation civile et l’Organisation maritime internationale. D’autres thèmes méthodologiques, comme les méthodologies d’estimation des émissions anthropiques et le potentiel de réchauffement de la surface du globe des gaz à effet de serre, sont également susceptibles d’être traités.

consultant

wikipedia

L'appellation consultant, issue de l'anglais dans son sens actuel, est une notion très générique qui recouvre de nombreux métiers : consultant en productique, en informatique, en gestion financière, en gestion des ressources humaines, en management, ou en mercenariat) jusqu'aux domaines de la communication (consultant en football, en rugby pour des chaînes de télévision).

Le consultant stricto sensu se contente de formuler des conseils : il fournit à son client des recommandations issues de l'expérience (la sienne et/ou celle de son entité d'appartenance), appuyées par un diagnostic de la situation. En pratique, il reste présent dans l'entreprise pour accompagner la mise en œuvre de ces recommandations, soit en tant que superviseur, soit en tant qu'acteur.

En médecine, le terme désuet consultant est utilisé pour désigner celui qui consulte le praticien, et non le praticien lui-même.

JO Google denise jean bernard