Monday, September 27, 2010
Une agence méditerranéenne au Maroc?
La ville de Benslimane se porte candidate
· Objectif: promouvoir la formation, la recherche et les projets pilotes
Sur fond du conflit israélo-palestinien, comment concrétiser l’ambition d’intégration régionale telle que rêvée par l’UPM? Voilà une question qui taraude les conseiller de Nicolas Sarkozy. Le salut de l’Union pour la Méditerranée (UPM) passe certainement par des thématiques consensuelles, comme le développement durable. En tout cas, la délégation en visite au Maroc cible clairement ce thème d’actualité, plus précisément dans sa composante urbaine. Dernière des 6 priorités de l’Union, toutes en relation avec l’enjeu environnemental, le développement urbain durable trouve toute son importance dans le contexte marocain. Le potentiel d’urbanisation est grand et les projets de villes nouvelles se multiplient.
La délégation ayant fait le déplacement était composée de Gilles Pennequin, représentant de l’UPM (voir interview page 18), de Guy Fleuret, directeur de la Banque européenne d’investissement (BEI) et de personnalités du monde universitaire et entrepreneurial. Aussi, après avoir visité le site d’un futur projet immobilier HQE (Haute qualité environnementale) à Benslimane, la délégation s’est-elle rendue à Rabat pour s’entretenir avec les départements gouvernementaux concernés par la thématique, objet de la visite.
Projets pilotes
Au programme, trois ministres à rencontrer: Amina Benkhadra, ministre de l’Eau, des mines, de l’énergie et de l’environnement, Taoufik Hejira, ministre de l’Habitat et le ministre délégué chargé des Affaires économiques et générales, Nizar Baraka. Ce fut principalement l’occasion pour Gilles Pennequin de présenter les nouveaux enjeux portés par l’UPM, relatifs au développement de l’habitat durable méditerranéen. A l’ordre du jour: impulser la création d’une agence UPM pour l’habitat durable, un «réseau de réseaux» pour promouvoir l’enseignement, la recherche et porter des projets pilotes, éligibles aux financements internationaux.
La réaction de la partie marocaine est quelque peu mitigée. Elle tient à faire valoir la position de force matérialisée par l’avancée dans le domaine environnemental au sud de la Méditerranée. D’une part, un volontarisme réaffirmé, en insistant sur l’importance d’ores et déjà fondamentale qui entoure la question dans la stratégie gouvernementale.
«Avec ou sans l’agence UPM, nous mettons en œuvre des stratégies durables, nettement affirmées dans les orientations royales», ont insisté, coup sur coup, Amina Benkhadra et Nizar Baraka. D’autre part, un certain scepticisme quant à la définition trop floue que dresse la co-présidence française de l’Union au sujet des prérogatives et missions de la future agence. «L’UPM est une union de projets, et il n’est pas question de désigner tel ou tel pays pour accueillir l’agence. Il s’agit plutôt de pousser les Etats à prendre l’initiative pour créer une agence méditerranéenne, chacun dans son domaine d’expertise», précise Pennequin. Une chose est sûre: le Maroc part en pole position pour accueillir la future structure. La ville de Benslimane s’est même portée candidate en réservant un terrain destiné à cet effet.
Othmane ZAKARIA
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Une agence méditerranéenne au Maroc?
Coopération algéro-russe
Le climat d’affaires reste attrayant
Les nouvelles perspectives de la coopération algéro-russe dans les domaines économique et commercial ont été au centre d'une rencontre avec la presse nationale, hier, à l'hôtel Hilton à Alger. Les animateurs de la conférence, qui précède le forum d'affaires algéro-russe, et l'exposition des produits et services russes qui se tiendra du 6 au 8 octobre prochain à Alger, ont soulevé la qualité des relations entre les deux pays et qui ne datent pas d'aujourd'hui. Les conférenciers ont insisté sur la valeur de ces rapports historiques pour impulser la coopération à d'autres niveaux, tels que le commerce et l'économie. L'ambassadeur de Russie en Algérie, Alexendre Egorov, a évoqué le nouveau cadre de partenariat instauré depuis 2001, à l'issue des visites échangées entre les deux chefs d'Etat, et qui se concrétisera davantage avec la visite du président russe, Medvedev le mois prochain, M. Egorov a tenu à souligner que "les rapports économiques ne reflètent pas les relations politiques et pour cela, les deux parties veilleront à élargir celles-ci à d'autres plans". En terme de climat des affaires en Algérie, l'ambassadeur a déclaré qu'il respecte la législation qui encadre l'économie algérienne, en soulignant que les récents dispositifs pris dans le cadre des lois de finances ne constituent nullement un obstacle pour l'installation et l'investissement des compagnies russes en Algérie, que ce soit pour les entreprises étatiques russes ou privées. "Le seul souci des entreprises russes n'est pas dans la loi algérienne, la législation du pays ne pose pas problème, mais c'est dans la gestion et la circulation de l'information des appels d'offres, les projets à réaliser et les marchés", tout en précisant que le principe est très simple et ce n'est pas assez compliqué de trouver un partenaire potentiel.
Le président pour la partie algérienne du Conseil des hommes d'affaires algéro-russe, Tayeb Ezzraïmi Abdelkader, a, pour sa part, mis l'accent sur "le rôle des hommes d'affaires dans la promotion d'une coopération économique et commerciale bilatérale de qualité" bénéfique pour les deux pays, tout en soulignant que les Russes disposent de la capacité de rapporter de la valeur ajoutée pour l'économie nationale en adhérant parfaitement à l'approche algérienne en la matière. De son côté, le président de l'exposition a confirmé la venue d'une délégation économique qui se compose de 107 hommes d'affaires russes et 45 entreprises dans des domaines différents à l'image du textile, la mécanique, l'agroalimentaire, la pharmaceutique, la pétrochimie, les travaux publics et bâtiment, les énergies renouvelables.
Il a cité l'intérêt des entreprises russes à investir dans le marché algérien, qualifié de prometteur, surtout avec le programme quinquennal 2010-2014. Sur ce point, il a révélé que les sociétés russes disposent de l'expérience et l'expertise qu'il faut pour aider le gouvernement algérien à atteindre ses objectifs. S'agissant du climat d'investissement, M. Shatilov, représentant commercial russe en Algérie, a donné un aperçu sur les relations économique, en évoquant un volume d'échanges de 2 milliards de dollars pour l'exercice 2009, dont la grande proportion revient à l'armement, alors que les échanges hors de ce secteur avoisinent les 500 millions de dollars. Il a noté la présence des investissements directs dans le domaine pétrolier, avec notamment Gazprom, dont les chiffres sont confidentiels. Selon l'orateur, la Fédération de Russie envisage de lancer des projets divers en Algérie, notamment dans la production de médicaments (l'insuline), le secteur du bâtiment, qui sera représenté par les 15 plus grandes entreprises de construction en Russie, qui seront présentes à l'exposition, les nouvelles technologies et l'énergie solaire. Ainsi, selon le représentant commercial, beaucoup d'obstacles, ont été éliminés suite à la réunion interministérielle mixte qui s'est déroulée au mois de juin passé, à l'image de la révision des bases juridiques et de tous les accords, comme il a révélé qu'il attend du département des finances algérien de transmettre au service des impôts habilités des notes d'application sur l'accord du non-double d'imposition signé entre les deux pays. En répondant à une question sur l'intérêt des Russes à reprendre les concessions de Djezzy et BP dans le marché algérien, l'ambassadeur a confirmé les propos qui ont été rapportés par la presse nationale et internationale, sans donner plus de précisions.
S. Aidli
Algérie: des Américains prêts à investir dans l'industrie pharmaceutique
AFP) – Il y a 3 heures
ALGER — Des sociétés américaines sont prêtes à investir dans l'industrie pharmaceutique en Algérie, qui importe actuellement 70% de ses besoins en médiacements, a déclaré lundi à Alger le ministre algérien de la Santé Djamel Ould Abbès.
"La volonté de l'Etat algérien est d'édifier une industrie nationale du médicament. Nos partenaires américains se sont déclarés prêts à investir en Algérie à travers le transfert de technologie, la formation et la recherche.Il y aura une lettre d'intention qui sera signée jeudi" a-t-il dit.
Le ministre, cité par l'Agence APS, s'exprimait à l'issue d'une réunion avec une délégation d'hommes d'affaires américains, en visite en Algérie.
"Le gouvernement algérien a décidé de diversifier ses relations dans le domaine du médicament pour ne plus dépendre totalement de l'étranger. Actuellement, nous sommes dépendants de médicaments importés, notamment d'Europe", a-t-il précisé.
Selon le ministre, les entreprises américaines sont notamment intéressées par l'investissement direct dans le cadre du partenariat et le transfert technologique et par les structures spécialisées, tels que les centres pour le traitement du cancer.
Les laboratoires américains veulent également investir dans la production de gaz pour hôpitaux (oxygène, hélium), les équipements respiratoires et les consommables.
Selon le ministre, les laboratoires américains veulent s'installer en Algérie pour fabriquer aussi de l'insuline et des médicaments anti-cancéreux, ainsi que des vaccins.
L'Algérie, qui importe 70% de ses besoins en médicaments, cherche à réduire sa facture d'importation dans ce secteur qui est passée de 500 millions de dollars en 2000 à un pic de 1,85 milliard de dollars en 2008, selon les chiffres officiels.
Elle compte ainsi interdire à l'importation 800 produits pharmaceutiques en 2012 contre 300 actuellement pour favoriser la production locale et réduire cette facture.
Copyright © 2010 AFP.
Hommage à la littérature algérienne
Alliance française aux pays-bas
Le 6 octobre prochain, une table ronde se déroulera sous l’intitulé : «Littérature algérienne d’hier et d’aujourd’hui».
Imagine-t-on que 400 ans de dialogue entre l’Algérie et les Pays-Bas nous contemplent, pour paraphraser la célèbre phrase napoléonienne ? C’est pourtant le cas, car cette histoire remonte à Barberousse... Pour ne pas laisser passer ces quatre siècles dans l’oubli, l’Alliance française des Pays-Bas propose cette année une série d’événements culturels. Ainsi, le 6 octobre prochain, une table ronde se déroulera sous l’intitulé : «Littérature algérienne d’hier et d’aujourd’hui». Cette manifestation est organisée en étroite collaboration avec l’Universiteit van Amsterdam (UvA).
Parmi les auteurs et journalistes algériens, on notera la présence de Maïssa Bey, grand prix de la Nouvelle de la Société des gens de lettres (1998), grand prix du roman francophone à Alger SILA (2008), prix Margrite-Audoux (2001), Fatima Bakhaï, prix Rosine Perrier (1997), dont le prochain ouvrage sera publié prochainement à Paris par les éditions Après la lune, dirigé par Yasmina Khadra, Mourad Djebel et notre confrère Hamid Grine, Plume d’Or du journalisme sportif, prix des Libraires algériens (2009). La discussion sera animée par Najib Zakka, (université Charles-de-Gaulle / Lille3), Anja-Hélène van Zandwijk et Ieme van der Poel (professeurs au département de français de l’UvA). Nous y reviendrons plus en détail.
Voix algériennes par le truchement italien
En Italie, le n° 17, de la revue Interculturel francophonies, publiée par l’Alliance française de Lecce (Italie) et dirigée par Andrea Calì de l’université de Salento (Lecce), est consacré à Voix algériennes. Les textes réunis et présentés par Anna-Maria Mangia ont été écrits par divers auteurs, universitaires ou écrivains. Pour les concepteurs de cette publication, «L’Algérie et ses cultures, l’Algérie et son histoire de conquêtes, de dépossessions, de tragédies, de chutes et de renaissances, l’Algérie blessée pour sa ‘‘bâtardise’’ mais enrichie par son métissage, l’Algérie debout malgré tout et tous, l’Algérie où la parole résonne sans se faire enchaîner ». Face à une réelle complexité culturelle et historique, «et à côté du devoir de témoignage», la question posée est celle de «concentrer tout cela dans l’espace forcément limité d’une revue, quelle Algérie présenter ici, quels aspects d’un univers culturel et social si riche et multiforme pouvait-on choisir »
Plutôt que le choix contraignant, le comité de rédaction a finalement décidé de laisser aux contributeurs la liberté d’expression sur des thèmes qui leur sont chers. On lira avec intérêt l’intervention d’Elisabetta Bevilacqua, sur un thème mal connu, «La littérature algérienne d’expression italienne: une réalité culturelle à découvrir», ou encore, vue d’Italie la question du 17 octobre 1961 à Paris: Pourquoi vouloir se souvenir ?, par Gabriele Lauretta. L’œuvre complexe et féconde de Assia Djebar, fait l’objet de deux analyses. On retrouve enfin les noms de Habib Tengour ou Azzouz Begag. A découvrir avec intérêt.
Walid Mebarek
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Hommage à la littérature algérienne
Redjem Rebbah décroche le premier prix du concours de l’affiche officielle du FIBDA
Le commissariat du Festival International de la BD d’Alger (FIBDA) a annoncé lundi le 27 septembre 2010 les résultats du concours de l’affiche officielle lancé le 15 avril dernier dans le cadre de la troisième édition (du 13 au 17 octobre prochain à Ryadh El Feth – Alger).
Le premier prix de ce concours d’une valeur de 120 000DA a été attribué à Redjem Rebbah Son affiche a été retenue comme affiche officielle du Festival.
Nasser Eddine Ghezaïli et Abdel Djalil Heddi ont décroché respectivement le second et le troisième prix qui sont d’une valeur de 80 000 DA et 50 000 DA. Quand au prix spécial du jury, il est revenu à Safir Allag.
Le Festival International de la BD d’Alger organise deux autres concours, rappelle-t-on :
Le premier est national et il est ouvert aux jeunes talents et scolaires, alors que le second est réservé aux professionnels nationaux et internationaux dont les résultats seront publiés les 7 octobre et 17 octobre.
Rabah Beldjenna
Publié par radio web europe
Centre d'affaires
UN CENTRE D’AFFAIRES AU QUARTIER DE LA MARINE Alger centre
Un centre d’affaires est un immeuble de bureaux (ou un espace dans un tel immeuble) qui est tout équipé et meublé pour recevoir à bref préavis des utilisateurs de bureaux pour une période généralement limitée.Les centres d’affaires sont souvent mis sur pied et gérés par des entreprises spécialisées dans les services généraux qui louent un grand espace ou un immeuble entier pour en relouer des bureaux individuels ou des espaces variables à des entreprises diverses. On retrouve surtout les centres d’affaires dans les centre-villes et autres districts d’affaires des grandes villes. En anglais, on utilise différents termes pour les décrire : serviced offices, managed offices, business centers, office business centers, executive suites, ou executive centres.
Les centres d’affaires ont vu leur origine dans les années 1980 dans les principales villes d’affaires des États-Unis, à partir des centres d’appels des voyageurs de commerce. [1]. Ils ont ensuite évolué en une industrie planétaire avec la fondation du Group Servcorp, qui installa son premier centre à Sydney en 1978.
Les centres d’affaires offrent des baux plus flexibles et à plus courte durée que les bureaux traditionnels. Parce qu’ils n’exigent pas d’engagement à long terme, ils sont populaires auprès des entreprises en démarrage et des petits bureaux locaux de grandes entreprises. L’allocation d’espace est aussi flexible, permettant l’ajout d’espace à bref préavis lorsque les besoins changent.
Les centres d’affaires permettent généralement aux locataires de partager l’équipement de bureau et d’autres ressources, ce qui leur donne accès à des services qui seraient autrement trop dispendieux. Certains, cependant, n’offrent que des hot desks, mais ils peuvent aussi offrir des salles de conférence ou de rencontre, des aires de repos et le secrétariat. Ces services peuvent aussi être payés au cas par cas.
Les clients des centres d’affaires s’y retrouvent généralement pour les raisons suivantes :
Entrepreneuriale – des entreprises trop petites ou qui ne veulent pas s’engager dans un bail à long terme. Elles économisent aussi sur les frais généraux et de personnel.
Situationnelle – des entreprises installées à l’étranger ou dans une autre région du pays ayant besoin d’un pied à terre dans la ville. Ce sont souvent des équipes de vente ou de développement des affaires.
De débordement – des usagers en croissance rapide dont l’espace actuel est insuffisant. Le besoin peut être à court terme (3-6 mois) et pour un assez grand nombre d’employés.
D’intermittence – des usagers en cours de déménagement et dont les nouveaux locaux ne sont pas prêts.
De projet – des usagers qui ont un besoin spécifique dû à un projet précis (production cinéma, construction, enquêtes).
Les services offerts comprennent généralement :
Les assurances
Le chauffage, la climatisation et les autres services publics
La surveillance en tout temps
L’accès aux télécommunications, téléconférences
L’infrastructure pour les technologies de l’information et les connections Internet
Le mobilier
Les services de réceptionniste ou de téléphoniste
Des services de secrétariat
Le service postal
Les avantages des centres d’affaires sur les bureaux traditionnels pour les entreprises nouvelles ou en forte croissance sont :
Des coûts de démarrage faibles ou inexistants
Une adresse prestigieuse
La flexibilité dans la location de l’espace
L’entretien inclus
Une disponibilité immédiate
Office Méditerranéen de la Jeunesse Cap vers la mobilité étudiante
Créé à l'issue d'une rencontre d'experts à Tanger le 29 avril dernier, l'Office Méditerranéen de la Jeunesse (OMJ) se veut promouvoir la mobilité des étudiants et renforcer leur contribution au développement de leur pays d'origine. Seize pays se sont associés pour donner priorité à la jeunesse dans la construction d'un espace méditerranéen de la circulation des personnes, du savoir et des compétences professionnelles. Seront concernés quatre pays de la rive sud (Maroc, Tunisie, Egypte, Liban), cinq pays de la rive nord non membres de l’Union Européenne (Croatie, Bosnie-Herzégovine, Monténégro, Albanie, Turquie) et sept Etats membres (Espagne, France, Italie, Slovénie, Grèce, Malte, Chypre). Les acteurs français à l'initiative du projet sont le Ministère de l'immigration, de l'intégration, de l'identité nationale et du développement solidaire, l'Agence Campus France ainsi que la mission ministérielle de l'Union pour la Méditerranée.
Début du programme en 2011
Destiné aux étudiants de niveaux Master et Doctorat, ce programme, qui prendra effet dès la rentrée 2011-2012, se veut faciliter l'entrée, le séjour et l'exercice pour les étudiants d'une première expérience professionnelle, ainsi qu'un parrainage professionnalisant et l'accès à une plateforme de stages et d'emplois.
Ainsi, lors de la conférence de lancement tenue à Tanger en avril dernier, Mohammed Ameur, ministre chargé de la Communauté marocaine à l'étranger a appelé à “faire de la mobilité des jeunes un gain futur de compétences pour les pays d'origine, ce qui permettra de réorganiser le phénomène de drainage des cerveaux, pour être finalement perçu non comme une perte irréversible et définitive mais comme un vivier d'experts établis à l'étranger sur lesquels ils peuvent compter à tout moment.”
Un appel à projet sera lancé à partir du 1er octobre auprès des établissements d'enseignement supérieur des seize pays concernés afin de labelliser en février 2011 les formations éligibles à ce dispositif, la date limite de dépôt des candidature étant fixer au 12 décembre 2010. Les dossiers seront disponibles sur le site Internet de l'Office Méditerrané en de la Jeunesse.
Piloté par l'OMJ, le projet sera à l'image du programme européen Erasmus qui permet aux étudiants d'effectuer une partie de leurs études dans un autre établissement de l'Union européenne. Des bourses d'excellence financées par un certain nombre de bailleurs de fonds publics et privés, dont les noms nous sont encore inconnus, seront octroyées aux étudiants pour le financement d'une période de mobilité universitaire d'un ou deux semestres.
Cet “Erasmus-Mediterranée”, notons-le, s’inscrit dans la stratégie de développement de la coopération “Union Pour la Méditerranée” en matière d’enseignement et de recherche, l’une des six priorités d’action que s’est fixée l’UPM lors de son Sommet fondateur du 12 juillet 2008 à Paris, à savoir: dépollution de la Méditerranée ; autoroutes maritimes et terrestres ; développement de l’énergie solaire ; enseignement et recherche ; protection civile ; développement des petites et moyennes entreprises.
La priorité sera donc donnée aux formations d'intérêt méditerranéen dans de nombreuses filières: mathématiques, agroalimentaire, informatique, télécommunication, électronique, génie civil, urbanisme, BTP, transports, sciences de la vie et de la terre, médecine, biotechnologie, ainsi que dans le domaine des sciences techniques appliquées aux sciences sociales (droit, management culturel, gestion, finance, commerce, sciences économiques et politiques, tourisme-hôtellerie, sport, éducation).
De surcroit, la promotion des langues d'enseignement demeure une perspective décisive dans l'échange de connaissances.
“Une bonne formation pour l’accès à l’emploi, de niveau mastère, ou mastère plus thèse pour l’accès à la recherche, doit pouvoir se faire en trois langues: en anglais, arabe ou français. Mais, surtout, il faut donner à l’arabe un statut dans les formations en Méditerranée, car il y va du respect de l’identité culturelle de nos partenaires du Sud.”
Michèle Gendreau-Massaloux en charge du pôle enseignement supérieur au sein de la mission ministérielle de l'UPM au site lejmed.fr
Algérie - Mr Rachid Benaissa annonce la création d’une société de conseil agricole
Une société de conseil destinée à informer et à accompagner les agriculteurs, les éleveurs et les transformateurs va être créée a annoncé aujourd’hui le ministre de l’agriculture, Rachid Benaïssa.
Une société de conseil agricole sera bientôt lancée. « Cette société expliquera aux éleveurs, agriculteurs et transformateurs tous les dispositifs crées à leur adresse. Elle fournira un soutien pour la préparation des dossiers », a expliqué Rachid Benaïssa, ministre de l’Agriculture et du développement rural, dimanche à la chaîne IIII de la radio algérienne. La nouvelle entité fournira des informations sur le crédit et le foncier agricoles ainsi que sur les différents types d’assurances. « Les agriculteurs, les éleveurs et les opérateurs économiques se plaignent souvent de manque d’informations sur les dispositifs mis en place. La nouvelle société sera cet espace où les réponses seront données à toutes les demandes », a-t-il indiqué. « Nous avons sécurisé les agriculteurs en lançant des mesures incitatives. Nous allons travailler sur la productivité. Pour y arriver, il faut qu’on soit ouvert sur les nouvelles techniques. Nous allons tout faire pour rapprocher les détenteurs de savoir des acteurs de base. Cela doit être durable », an noté le ministre de l’Agriculture.
Réactiver des unités publiques de transformation
Selon lui, les filières pomme de terre et tomate connaissent une certaine reprise. Il n’a pas écarté la possibilité d’exporter la pomme de terre algérienne deux ans après une crise qui fut à l’origine d’une flambée des prix de ce légume de base. « Certains opérateurs commencent à s’intéresser à l’exportation de la pomme de terre sachant qu’il y a une bonne production. L’exportation ne pourra se faire que s’il existe des unités de calibrage. Nous sommes prêts à accompagner les exportateurs de pomme de terre ainsi que ceux d’autres produits », a indiqué Rachid Benaïssa. Il a révélé qu’une opération de vente de pomme de terre algérienne vers les Pays bas et la Grande Bretagne a échoué en 2009 faute de disponibilité de gros sacs de 500 kg ! Il n’a pas écarté la possibilité de réactiver les unités publiques de transformation de tomate. « Nous l’avons fait pour les silos de céréales. Nous sommes entrain d’inventorier toutes les unités de transformation ou de stockage qui sont à l’arrêt », a-t-il indiqué.
Rééquilibrer le marché
La réhabilitation des unités se fera, d’après le ministre, selon l’importance pour l’économie locale de chaque produit (datte, lait, oignon, tomate, etc). La hausse du prix de l’ail sur le marché local (500 dinars le kilo) est lié, selon lui, à une baisse de l’importation de ce produit. « A un moment donné, l’importation a failli tuer la production nationale de l’ail. Nous sommes entrain de chercher les meilleurs moyens pour rééquilibrer le marché », a souligné Rachid Benaïssa. En 2011, le blé dur et le maïs seront toujours importés. L’Algérie dépend à 100 % du marché extérieur en matière de maïs. « Nous voulons développer de nouvelles surfaces pour produire le maïs. Il y a des chances pour que nous maintenions le même niveau de production de l’orge et du blé dur pour ne pas être obligé d’importer », a-t-il ajouté. Pour la première fois en quarante ans, l’Algérie a pu exporter de l’orge vers la France à la fin du printemps dernier.
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La qualité de service dans la distribution de l’électricité, thème d’un atelier algéro-européen
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Lundi 27 septembre 2010.
La qualité de service dans la distribution de l’électricité a été au centre d’un atelier thématique organisé lundi à Alger par le Programme d’appui à la mise en oeuvre de l’Accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (P3A). Durant cette rencontre à laquelle ont participé des experts européens à côté des intervenants dans le domaine de l’électricité sur le marché algérien, le président de la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (CREG), M. Nadjib Otmane, a assuré que "cet atelier est une occasion pour approfondir nos connaissances autour des méthodes de régulation appliquées au sein des membres de l’UE". Une des institutions algériennes intéressées par les opportunités offertes par le P3A, la CREG, créée en 2005 dans le cadre de la réforme du secteur énergétique, vient d’ailleurs de formuler une demande de jumelage institutionnel avec une administration similaire européenne. Ce jumelage devra contribuer, selon M. Otmane, à enrichir le plan d’action quinquennal (2010-2014) de la commission, qui vise l’élaboration, au bout de cinq ans, d’un "bilan très exhaustif pour l’amélioration de la qualité de service" dans la distribution de l’électricité. Le responsable de la CREG a rappelé, à cette occasion, que la loi sur la distribution de l’électricité et du gaz, promulguée en février 2002 et constituant la référence juridique de la réforme de ce secteur, est "inspirée des schémas européens initiateurs de la séparation des activités de production, transport et distribution". Intervenant de son côté, un responsable de l’autorité italienne de régulation de l’électricité et du gaz (AEEG), Luca Lo Schiavo, a présenté l’expérience de son pays qui a introduit, dès 1995, la régulation de la qualité dans la gestion de l’alimentation électrique. Comptant plus de 35 millions d’usagers de basse-tension et quelque 100.000 de moyenne tension , l’Italie, explique cet expert, a "réussi, grâce à l’introduction en 2000 d’un système de primes-pénalités, à améliorer considérablement l’alimentation" en électricité. Cet atelier est le premier du genre pour le secteur de l’électricité dans le cadre de la mise en oeuvre du P3A, un programme sous la tutelle du ministère du Commerce, destiné à accompagner l’application de l’Accord d’association avec l’UE dans toutes ses dimensions. Le programme est doté d’une enveloppe financière de 64 millions d’euros, répartie sur trois tranches : 10 millions d’euros pour l’exercice en cours, 24 millions d’euros pour les deux années suivantes et enfin 30 millions d’euros à consommer à partir de 2013, a précisé à l’APS M. Aissa Zelmati, directeur national de P3A..
APS.
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12e anniversaire Google
Google, le génie, le leader, le champion de la recherche, fête aujourd’hui son 12e anniversaire; Grâce à Google, l’internaute pouvait éliminer toutes les pages superflues et obtenir rapidement des résultats pertinents et précis. C’est cette qualité qui allait s’avérer le trait de génie de Google. En peu de temps, Google dépassa tous ses concurrents. Il est toujours le leader incontesté des moteurs de recherche.
Google peut aussi choisir de fêter son anniversaire le 15 septembre où ses fondateurs Larry Page et Sergey Brin ont enregistré le nom de domaine « Google » quand ils sont encore les étudiants de l’Université de Stanford aux Etats-Unis.
Il faut dire qu’en 1998, les câbles informatiques qui composaient l’Internet étaient plutôt emmêlés. Les moteurs de recherche de l’époque, comme Altavista et Yahoo!, peinaient à s’y retrouver convenablement. «Avant Google, les résultats n’étaient pas semblables d’une recherche à l’autre», se souvient Éric Baillargon, spécialiste montréalais en optimisation web. «Google a créé une stabilité.» Pour le même terme, les mêmes références apparaissent dans le même ordre.
Google a effectivement commencé comme un projet de recherche dès Janvier 1996 bien qu’il soit accessible au public peu après. À l’origine, le moteur de recherche a utilisé le site Web de l’Université de Stanford avec le nom de domaine google.stanford.edu. Le nom de domaine google.com est enregistré le 15 septembre 1997, et la compagnie a été incorporée comme Google Inc le 4 Septembre 1998 dans le garage d’un ami à Menlo Park en Californie.
Je t’aime Google (I love you Google) Bon anniversaire Google
L’Algérie veut exporter la pomme de terre
Après l’exportation de l’orge, l’Algérie s’apprête à exporter de la pomme de terre. C’est ce qu’a affirmé, hier, le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, sur les ondes de la chaîne 3 de la radio nationale.
Le ministre a signalé que son département va aider « certains opérateurs » à exporter de la pomme de terre cette année. Rachid Benaïssa a soutenu que l’exportation de la pomme de terre est aujourd’hui possible vu la production assurée de ce produit, parlant même de « surproduction » dans certaines zones et dans certaines périodes à travers le pays.
Rachid Benaïssa a indiqué qu’aujourd’hui les opérateurs et les transformateurs de la pomme de terre s’intéressent beaucoup plus à la filière. La preuve, « ils sont déjà dans une logique d’exportation, puisque des unités de calibrage, de transformation et d’ensachage sont déjà installées », a-til ajouté en précisant « il faut seulement les mettre en relation davantage avec les agriculteurs pour permettre une fluidité des rapports entre l’ensemble des acteurs de la filière ». Il a affirmé que notre pomme de terre avait déjà trouvé des acquéreurs notamment auprès des opérateurs hollandais et anglais durant l’année passée où la pomme de terre avait connu une surproduction au mois de mai, mais sans succès. « Les opérateurs contactés n’ont pas pu exporter le surplus de la production en pomme de terre en raison de l’absence d’unité d’ensachage », a-t-il expliqué en ajoutant « ils n’ont pas trouvé des sacs de 500 kg dans les temps ». Le ministre a souligné que ces opérateurs ont depuis essayé de mieux s’organiser pour pouvoir exporter les produits agricoles en respectant bien évidement les normes internationales d’exportations.
Il a affirmé que le département de l’agriculture est là pour les aider et les accompagner dans les opérations d’exportations en soulignant que ceci sera valable pout tous les produits qui peuvent assurer une surproduction. Rachid Benaïssa a affirmé par ailleurs que la collecte du lait cru a connu une certaine amélioration, mais il a reconnu que la collecte du lait cru n’a pas pu concurrencer le lait en poudre, d’où la crise du lait. Il a précisé dans ce sens que son département a décidé d’octroyer une prime, en plus de la prime d’incitation qui est déjà en vigueur, aux collecteurs qui collectent seulement le lait cru. Le ministre a indiqué que son département est en négociation avec le conseil interprofessionnel de la filière afin de sensibiliser davantage les opérateurs du lait en poudre.
« On va essayer de les convaincre pour leur reconversion vers le lait cru, ne serait-ce que pour la moitié, c’est-à-dire une partie pour le lait en poudre et une partie pour le lait cru », a-t-il mentionné en précisant que les opérateurs qui travaillent uniquement avec le lait en poudre seront exclus de l’ensemble des dispositifs d’incitations qui sont déjà mis en place. Le ministre a tenu à préciser que l’ensemble des dispositifs mis en place ont été conçus pour sécuriser les producteurs, les investisseurs, les transformateurs et les collecteurs de la filière, a-t-il mentionné.
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L’Algérie veut exporter la pomme de terre
Algerie rrésence de l'Etat à tous les niveaux
Objectivement, la validation des intérêts de la Nation s'explique à travers les diverses modalités d'articulation de la politique économique, sociale et culturelle, en même temps que s'éclairent les avancées du processus des réformes de renaissance nationale mis en mouvement. Son perfectionnement continu et l'invulnérabilité de ses supports politiques et financiers sont là pour se succéder au travers d'un " champ " de consolidation des plus ambitieux. Cela confère déjà au pays un statut ouvrant droit sur l'émergence à tous les plans. Un motif de conviction et de fierté pour le peuple qui mise sur cette " maturité " et sur ses avancées positives. L'approfondissement de cette "validation", constitue un fort soutien à cette ouverture vers les grandes questions qui intéressent la société, comme cela permet d'entamer, avec forte conviction, l'attaque à tous les défis. Ce même processus, dans lequel s'est engagé le pays depuis l'avènement du premier mandat du président Abdelaziz Bouteflika pour la reconstruction du pays, suivi d'une importante période de stabilité associée à la politique de réconciliation nationale, procède à un engagement politique et un souci à faire mieux évoluer l'Algérie à un réel statut de pays émergent. Une référence qui puise ses fondements dans l'authenticité du programme présidentiel, qui appelle à mettre en valeur la " modération " du pays et qui conduit à rompre avec les méthodes et les mentalités d'avant 1999. C'est là qu'il faut, désormais, situer les succès enregistrés. Ceux-ci en relevant les règles relatives au renforcement de la présence de l'Etat à tous les niveaux du développement, concrétisent la prospective sur les mutations socioéconomiques en vue de mieux connaître les contours et les principales caractéristiques de la société future. L'étape 2010/14 sera une étape nouvelle pour le maintien de la "permanence " de l'amélioration de la condition et du renforcement des missions de l'Etat quant à la vie publique et au sein de la société. Cette règle, qui compte parmi les principales préoccupations du président Abdelaziz Bouteflika, montre son vouloir précis à donner au pays les moyens et les instruments d'un développement moderne et cohérent, une promotion sociale et humaine complète, intégrale et durable.
Sur le plan sociétal, cette renaissance à travers tous les secteurs ainsi que l'intégration économique en particulier, est une mise en action d'un choix irréversible pour la poursuite dans cette même direction. Celle-ci appartient certes au devoir de l'Etat, mais doit aussi être du rôle de la société civile à sauvegarder les acquis et à renforcer davantage la politique de réconciliation nationale, particulièrement car celle-ci se conjugue avec les mesures destinées à renforcer l'unité nationale, à éliminer les germes de la haine et à prémunir la société contre de nouvelles dérives, renforce les finalités fortes d'égalité, de fraternité, de liberté, et ce dans le respect du référentiel des orientations du chef de l'Etat en ce qui concerne les valeurs nationales communes à tous les Algériens et à toutes les Algériennes. En toute conscience, il s'agit dés à présent à se mettre " ensemble " dans le même panier, afin de concrétiser avec succès les perspectives à l'horizon 2014. Il s'agit de faire montre d'une clairvoyance et d'un esprit de responsabilité collective pour aller droit vers la créativité et l'aptitude à relever la qualité d'une meilleure vie et de " grossir " la qualité d'une économie équilibrée et diversifiée. C'est ainsi que de nouveau, le président Abdelaziz Bouteflika ose avec volontarisme d'ancrer la société algérienne dans le savoir, l'économie nouvelle, la créativité, l'innovation et faire du pays un "îlot" de liberté, de démocratie, de solidarité et de tolérance : un ensemble de conditions qui feraient la dignité et la fierté pour tous les Algériens et toutes les Algériennes, sans exclusion aucune. C'est ainsi que l'on peut entrevoir toute l'importance et la puissance à tirer de la nouvelle étape qui s'annonce au travers de forts " fruits " à récolter par la société, en général.
B. Chellali
M'sila l'énergie solaire pour plus de 200 logements ruraux
M'sila
L'énergie solaire pour plus de 200 logements ruraux
Selon les autorités de la wilaya de M'sila, logements situés dans l'espace rural de la wilaya de M'sila seront raccordés, entre 2010 et 2013, au réseau
d'électricité produite par l'énergie solaire. Ce programme de pose d'équipements d'énergie solaire, notamment les panneaux photovoltaïques, est réparti sur deux sources de financement, à savoir le budget de wilaya et les programmes de proximité de développement rural intégré (PPDRI) pris en charge par le haut commissariat au développement de la steppe (HCDS). Dans ce cadre, la wilaya va doter 100 maisons par l'électricité solaire dans 8 communes à l'instar de Sidi M'hamed et Sidi Aissa. Les autorités de la wilaya ont déclaré qu'une enveloppe de 156 millions dinars est attribuée afin de réaliser ce projet et les travaux vont commencer dans les mois prochains par une société algérienne spécialisée. S'agissant du programme initié par la wilaya, il touchera, a-t-on précisé, 100 logements ruraux répartis sur 8 communes, en l'occurrence Sidi M'hamed , Ain Fares, Ain Errich, Sidi Hadjres, Sidi Aïssa, Benzouh, Bouti Sayah et Sidi Ameur. Les travaux liés à cette partie du projet financé par la wilaya, pour une enveloppe de 156 millions de dinars, ont déjà été confiés à une entreprise nationale spécialisée dans le domaine et devraient être entamés "incessamment", a-t-on assuré de même source. Le HCDS, fort d'une expérience acquise lors d'un raccordement réalisé dans la commune de Ain Fares, touchant plus de 100 logements ruraux, prendra en charge la mise en place de 250 kits solaires pour un montant de 50,4 millions de dinars, au niveau de plusieurs mechtas et douars situés dans une dizaine de communes. Un total de 1.200 logements ruraux reste encore à électrifier au moyen de l'énergie solaire, dans la wilaya de M'sila, ce qui nécessitera, a-t-on affirmé, un montant de l'ordre de 1,8 milliard de dinars.
Omar B.
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