Thursday, July 29, 2010
Apec et Viadeo, un partenariat gagnant-gagnant
exclusive RH tendences conseils
L’Apec et Viadeo ont mis en place un partenariat depuis le mois de janvier. Le but : offrir de nouveaux services aux entreprises comme aux cadres afin de faciliter les relations entre les recruteurs et les candidats.
L’alliance semblait inévitable, comme l’explique Olivier Fécherolle, directeur général France de Viadeo : « il y a beaucoup de cadres sur Viadeo, il existe donc une affinité d’audience avec l’Apec ». Le premier avantage de ce partenariat est la réconciliation entre les comptes. Les cadres possédant un compte Apec peuvent en effet le relier à leur compte Viadeo, rendant ainsi accessibles sur le site de l’Association les informations qu’ils donnent sur le réseau social professionnel, et vice-versa. A l’heure actuelle, environ 73 000 membres se sont laissé tenter. « Nous sommes très satisfaits de la façon dont ça se passe. L’effet nouveauté a été important sur les premiers mois, mais aujourd’hui, il y a encore 300 réconciliations de comptes par jour, ce qui prouve que cette fonctionnalité répond à de vrais besoins. » Le profil du cadre réconcilié ? Plutôt un homme âgé de 25 à 49 ans, titulaire d’un bac +5 et habitant en Ile-de-France.
Côté recruteurs, l’enthousiasme semble également présent : 2 000 d’entre eux ont réconcilié leurs deux comptes. Il s’agit plutôt de PME, une constatation logique puisque c’est auprès de ces entreprises que l’Apec est particulièrement bien représentée. « L’objectif de ce partenariat est d’évangéliser l’utilisation des réseaux sociaux dans le processus de recrutement. Pour le moment, nous avons de très bons retours de la part des utilisateurs, candidats comme recruteurs. »
D’autres actions ont été mises en place. Par exemple, la présence sur le terrain est primordiale, remarque Olivier Fécherolle. « L’Apec et Viadeo ont organisé plusieurs conférences et tables rondes pour répondre aux questions des cadres sur l’utilisation des réseaux sociaux et pour leur donner des conseils. » Par ailleurs, une communauté Apec est désormais présente sur Viadeo. Elle rassemble plus de 3 600 membres.
Séverine Dégallaix
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Union africaine, Le sommet de Kampala : “un succès”
Les pays de l’UA s’engagent à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a qualifié de fructueux les résultats auxquels est parvenu le 15e sommet de l’Union africaine abrité par la capitale ougandaise, dans un message adressé à son homologue ougandais, le Président Musuveni. Un fait, Kampala fera assurément date dans la mesure où cette unité africaine s’est retrouvée davantage raffermie, les pays africains unifiant leur position et parlant désormais d’une seule et même voix, à savoir défendre les intérêts du continent en pesant de tout leur poids pour en faire valoir autant la légitimité que les dividendes mutuellement profitables. Un fait, le continent africain tend la main, mais pour établir des relations de partenariat, se positionnant désormais comme un partenaire solide et fiable, sur de ses potentialités, tenant ses destinées en main, ne se présentant plus en victime expiatoire, car conscient qu’il représente tout simplement l’avenir. Les travaux qui se sont déroulés durant ce sommet et les résultats et les décisions prises qui en ont découlés révèlent le cheminement accompli en ce sens et les voies qui ont été ouvertes. Ainsi autant durant les travaux de la réunion au sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement, que ceux des conférences du NEPAD, du MAEP, du Comité des Chefs d’Etat pour la question des changements climatiques, et du Comité des dix pour la réforme du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies, les décisions qui ont été prises ont été à la hauteur de ces espérances-là.
La contribution de l’Algérie à la réussite de ce sommet est incontestable. La participation du Président de la République à l’ensemble des rencontres dénote le rôle majeur que joue l’Algérie sur le plan continental et son plein engagement dans ce vaste combat contre le sous-développement sous toutes ses formes dont souffre le continent, et la recherche des voies et moyens pour y faire face. Transposée à l’échelle africaine, l’expérience algérienne en matière de développement économique et humain, traduit en fait cette dimension africaine de la politique de l’Algérie et la sincérité de cet engagement. La présence de l’Algérie au niveau de toutes les conférences, Comités et instances africaines attestent de ce rôle prépondérant que joue le Président de la République et de la crédibilité de l’Algérie sur la scène africaine. Avec l’intégration définitive du secrétariat du Nepad aux structures de l’Union africaine et le lancement opérationnel de l’Agence de planification et de coordination du Nepad, c’est l’aboutissement d’un brainstorming ayant réuni cinq Chefs d’Etat à Alger en 2007, et l’occasion d’une meilleure articulation entre les objectifs du Nepad et ceux de l’UA. Une agence qui va permettre d’optimiser au maximum les projets d’intégration régionale et continentale. Sur le plan international, tant au niveau des rencontres avec le G8 que le G20, que concernant la question sécuritaire, ou la réforme du Conseil de sécurité, c’est une position commune qui s’est dégagée, et l’Algérie se trouve mandatée pour parler au nom de l’Afrique notamment pour ce qui est des négociations sur la question des changements climatiques. Les Objectifs du Millénaire pour le Développement pour lesquels l’Algérie s’était engagée, en ayant réalisé déjà les objectifs 4 et 5 concernant la santé maternelle, néonatale et infantile, et compte les atteindre complètement a l’horizon 2015, sont ceux-là même qu’elle milite et s’investit pour que les autres pays africains les atteignent. En matière de développement et d’élargissement de la base infrastructurelle dans l’optique d’une intégration et d’une complémentarité régionale, l’autoroute Est-Ouest, la Transsaharienne, le gazoduc et le câble de fibre optique entre Alger et Lagos ou encore le renforcement du réseau ferroviaire sont autant de concrétisations que le Président de la République a étayé devant ses pairs à Kampala allant dans le sens du développement commun.
A. M. A.
Les pays de l’UA s’engagent à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie
Les pays membres de l'Union africaine (UA) se sont engagés à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie pour renforcer la mission des forces africaine dans ce pays (Amisom). Cette déclaration a été faite mardi par le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, à l'issue des travaux du 15è Sommet de l'UA à Kampala. "Nous avons des engagements à apporter rapidement 4.000 soldats supplémentaires, ce qui nous aidera à atteindre le plafond (maximum autorisé de 8.000 troupes) et peut-être au-delà", a précisé M. Ping à la presse. De leur côté, les six pays membres de l'Autorité inter-gouvernementale pour le développement (Igad) ont promis 2.000 soldats, la Guinée un bataillon (environ 800 hommes) et Djibouti s'est également engagé à fournir des renforts au nombre non précisé, a ajouté M. Ping. Le nombre de soldats engagés au sein de l'Amisom est d'un peu plus de 6.000 hommes, 3.500 Ougandais et 2.500 Burundais, et le mandat de l'ONU la concernant prévoit qu'elle soit constituée au maximum d'un peu plus de 8.000 hommes.
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L’Algérie au premier rang en Afrique : 7.000 km d’autoroutes et de voies express en 2014
Le nombre de kilomètres qui composent le réseau routier national en ce qui concerne les autoroutes et les voies rapides a grandement évolué depuis ces dernières années
Le nombre de kilomètres qui composent le réseau routier national en ce qui concerne les autoroutes et les voies rapides a grandement évolué depuis ces dernières années. Constitué d’un total de 700 km en 1999, il a atteint aujourd’hui un linéaire d’un peu plus de 3.000 km. L’autoroute Est-Ouest qui totalise, a elle seule, un total de plus de 1.200 km, ajoutée aux rocades, voies express, liaisons inter-wilayas, et la Transsaharienne qui touche à sa fin, ont le mérite de renforcer un réseau auquel ont reprochait la concentration dans les wilayas du Nord et qui ne répondait point aux aspirations à la fois économiques et sociales du pays. Aujourd’hui, il n’y a plus de différence entre Nord et Sud. Au contraire, les chantiers des travaux publics semblent avoir trouvé en les régions du Sud un terrain fertile pour la recherche et le développement. C’est également un moyen de désenclavement efficace qui contribue, par ailleurs, à la fixation des populations.
Dans cette même perception, le ministère des Travaux publics compte, à travers des chantiers tels que la nouvelle rocade des hauts plateaux, la branche malienne de la liaison transsaharienne sur 400 km, les liaisons érigées en pistes et autres chantiers, à 7.000 km d’ici 2014 et au terme de la réalisation du plan quinquennal. Actuellement, il s’étale sur un peu plus de 3.000 km « Et d’ici 2014, nous comptons atteindre la barre de 7.000 km, ce qui placerait notre pays au premier rang en Afrique », a annoncé M. Amar Ghoul, ministre des Travaux publics lors d’une récente rencontre à Alger. Les anciens programmes lancés avant 2005 étaient destinés avant tout à rattraper le « retard » accusé par l’Algérie dans le secteur des travaux publics et notera que le quinquennat 2005-2009 avait pour objectif en revanche la mise à niveau du secteur. Pour rappel, le bilan du dernier programme quinquennal 2005-2009 a été soldé par la création de 561.000 postes d’emploi, de 3.500 entreprises de réalisation, de 400 bureaux d’études, et, surtout, la réalisation de 67.000 km de routes qui ont permis de désenclaver quelque 7 millions d’habitants. Un bilan certes positif dans la mesure où l’on compte la construction de 1.187 ouvrages d’art et le recours à 37 nouvelles techniques de construction, de même que 5.000 actions de formation du personnel ont été lancées et 600 maisons cantonnières ont vu le jour. Le quinquennat 2010-2014 auquel une enveloppe de 3.100 milliards de dinars a été allouée verra la création de 700.000 postes d’emploi, de 5.000 entreprises et 600 bureaux d’études ainsi que le désenclavement de 10 millions d’habitants et le lancement de 9.000 actions de formation, projette-t-on.
A. Fadila
Le Hamas appelle l’Autorité palestinienne à ne pas reprendre de pourparlers directs avec Israël
Info-Palestine.net
Proche-Orient.net
Le Hamas et huit autres groupes palestiniens basés à Damas, en Syrie, ont appelé mercredi l’Autorité palestinienne à ne pas reprendre de pourparlers de paix directs avec Israël
Les neufs groupes palestiniens affirment dans un communiqué que des discussions directes seraient préjudiciables à la cause palestinienne "à la lumière de la poursuite de la politique israélienne d’agression, de construction de colonies et de blocus de la bande de Gaza". Lundi, un document palestinien obtenu par l’Associated Press indiquait que l’émissaire de président américain Barack Obama pour le Proche-Orient pressait les Palestiniens de reprendre les négociations de paix directes avec Israël, rompues en décembre 2008.
La pression monte pour un dialogue direct Palestiniens/Israël
Israéliens et surtout Palestiniens sont soumis depuis plusieurs jours à des pressions redoublées des États-Unis et des Européens pour engager des négociations de paix directes, à la veille d’une importante réunion de la Ligue arabe sur la question.
Les ministres arabes des Affaires étrangères doivent se retrouver jeudi au Caire pour débattre d’une relance éventuelle du dialogue direct, bloqué depuis fin 2008, afin de suppléer aux discussions indirectes conduites sous l’égide des États-Unis depuis début mai, qui n’ont donné aucun résultat.
L’Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas a déjà prévenu qu’elle n’accepterait de prendre part à des négociations directes avec Israël que si elle obtenait au préalable des garanties sur ses principales revendications : retrait des Israéliens de Cisjordanie et de Jérusalem occupées sur les frontières de juin 1967 (avant la guerre des Six Jours) et gel total de la colonisation juive. "Nous ne rejetons pas les négociations, mais nous voulons qu’elles se déroulent sur des bases claires qui permettront de parvenir à un État palestinien indépendant", a averti le président Abbas.
"Mais il est clair que le gouvernement Netanyahu ne veut rien de tout cela", a-t-il aussitôt déploré. Le Premier ministre israélien, pour sa part, se dit prêt à rencontrer M. Abbas "à Ramallah ou Tel-Aviv" et à tout mettre sur la table, mais accuse les Palestiniens de traîner les pieds.
Benjamin Netanyahu, qui dirige une coalition de droite et d’extrême-droite opposée à des concessions, refuse toute pré-condition à des discussions directes. Il a aussi exclu la possibilité de prolonger le moratoire partiel sur la construction dans les colonies de Cisjordanie qu’il avait décrété en novembre 2009 sous la pression de Washington et qui arrive à échéance le 26 septembre.
Mercredi, le vice-Premier ministre Sylvan Shalom a estimé que les conditions posées par le président Abbas étaient "impossibles" à accepter.
"Les Palestiniens ont pris l’habitude de refuser de s’asseoir à la table des négociations et d’attendre que les Américains et la communauté internationale fassent pression pour obtenir des concessions d’Israël pour leur compte", a accusé M. Shalom.
Sur la scène internationale, les Etats-Unis "poussent sans relâche" à la reprise du dialogue de paix direct entre Israël et les Palestiniens, a assuré mardi le porte-parole de la diplomatie américaine, Philip Crowley.
Le président américain Barack Obama a exprimé l’espoir que les négociations directes puissent reprendre "bien avant" le 26 septembre.
Les dirigeants européens ont également fait entendre leurs voix. Le président français Nicolas Sarkozy s’est entretenu ces dernières 48 heures par téléphone avec MM. Abbas et Netanyahu, les exhortant "à une reprise rapide des négociations directes, à la prorogation du moratoire sur la colonisation et à l’arrêt des mesures affectant les équilibres à Jérusalem".
Pour le moment, les Palestiniens semblent toutefois déterminés à résister aux pressions, avec l’appui des pays arabes.
Le Fatah, mouvement loyal à M. Abbas, a répété que des pourparlers directs ne sauraient commencer sans un arrêt total de la colonisation.
"Les négociations sont un moyen. La fin est de stopper l’occupation israélienne et d’établir un Etat palestinien indépendant", a commenté Rajoub Jibril, secrétaire général adjoint du Fatah.
Les islamistes du Hamas, qui contrôlent la bande de Gaza, ont également mis en garde Mahmoud Abbas "sur les conséquences d’une reprise des négociations avec l’assentiment arabe ou sous la pression des Etats-Unis, car une telle décision ne peut que creuser nos divergences et mettre gravement en danger la cause" palestinienne.
Abbas juge prématuré de reprendre le dialogue direct avec Israël Les pourparlers indirects engagés en mai avec Israël via l’émissaire américain George Mitchell n’ont pas produit de progrès suffisants pour permettre de passer à un dialogue direct, estime le président palestinien Mahmoud Abbas.
"Jusqu’a présent, il n’y a rien pour nous convaincre d’aller à des pourparlers directs. Il n’y a rien de neuf", dira Abbas au comité ad hoc de la Ligue arabe qui se réunit jeudi au Caire pour faire le point de ces pourparlers indirects, confie son entourage.
Ceux-ci ont en principe pour objet de préparer le terrain à une reprise des négociations de paix directes entre l’Autorité palestinienne et Israël, souhaitée à la fois par les Etats-Unis et l’Etat juif.
Mais, résistant aux pressions de Washington, Abbas exige qu’Israël accepte en préalable des négociations sur la base des frontières d’avant 1967 et le principe d’une présence étrangère - peut-être de l’Otan - pour garantir la sécurité du futur Etat palestinien.
Mitchell a rencontré pour la dernière fois Abbas le 17 juillet à Ramallah, en Cisjordanie, et celui-ci a repoussé à cette occasion ses incitations à une reprise des pourparlers directs.
"Nous dirons aux Arabes que les Américains n’étaient porteurs de rien neuf. Nous allons continuer les pourparlers indirects pendant encore deux mois et nous verrons bien ce qui se passe", explique un responsable palestinien.
Le président Barack Obama, qui a fait de la relance du processus de paix une priorité diplomatique, espère une reprise des discussions directes dès septembre, soit avant l’échéance du gel provisoire de la colonisation en Cisjordanie concédé par Benjamin Netanyahu.
Les partis de droite alliés au Premier ministre israélien sont hostiles à ce moratoire, dont l’abrogation compliquerait les efforts américains pour amener le président palestinien à la table des négociations. "Il n’y a pas de place pour un quelconque moratoire après le 25 septembre", a prévenu mercredi le ministre israélien des Affaires étrangères Avigdor Lieberman, chef d’un parti d’extrême droite favorable à la poursuite de la colonisation juive.
Pour Isaac Herzog, ministre travailliste de Netanyahu, c’est le cas de figure de l’oeuf et de la poule, car Abbas dit "je ne veux pas m’engager dans des négociations directes sans en connaître le résultat" et Netanyahu rétorque "engagez-vous dans des négociations directes et je vous dirai quelle en sera l’issue".
Abbas, vieux routier des négociations avec Israël, craint que Netanyahu ne soit pas prêt à faire une offre acceptable aux Palestiniens. Netanyahu, qui se dit sans autre précision prêt à "prendre des risques pour la paix", accuse Abbas de perdre du temps.
La résistance d’Abbas aux pressions américaines surprend les analystes, mais elle s’explique partiellement par la crainte de l’opinion palestinienne de le voir de nouveau participer à des négociations stériles, en position de faiblesse.
Sylvan Shalom : "Les conditions des Palestiniens pour les négociations directes sont impossibles" Les conditions posées par le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour relancer des négociations directes avec Israël sont "impossibles" à accepter, a affirmé mercredi le vice-Premier ministre israélien Sylvan Shalom.
"Les Palestiniens posent trois conditions impossibles : que les négociations reprennent au point où elles avaient abouti à la fin de 2008 alors qu’Ehud Olmert était Premier ministre, qu’elles soient basées sur un retrait total israélien (de Cisjordanie et Jérusalem-Est) et que le gel de la construction (dans les colonies) se poursuive", a affirmé M. Shalom à la radio publique.
Le président Abbas a assuré lundi qu’il était prêt à passer de la phase des pourparlers indirects avec Israël, relancés en mai sous l’égide des Etats-Unis, à celle des négociations directes, à partir du moment où plusieurs conditions étaient réunies, dont un retour aux frontières de 1967.
"Les Palestiniens ont pris l’habitude de refuser de s’assoir à la table des négociations et d’attendre que les Américains et la communauté internationale fassent pression pour obtenir des concessions d’Israël pour leur compte", a déploré M. Shalom.
Selon lui, les Palestiniens ont refusé de relancer les négociations directes, gelées depuis le lancement d’une vaste opération militaire israélienne dans la bande de Gaza fin 2008, "car ils ne veulent pas discuter et être, eux aussi, amenés à faire des concessions".
M. Shalom a fait ces déclarations à la veille d’une réunion des ministres des Affaires étrangères de la Ligue Arabe au Caire, qui doivent discuter d’une éventuelle reprise des négociations directes entre Palestiniens et Israéliens.
Les Etats-Unis "poussent sans relâche" à la reprise du dialogue de paix direct entre Israël et les Palestiniens, a affirmé mardi Philip Crowley, le porte-parole de la diplomatie américaine.
Le président américain, Barack Obama, avait dit le 6 juillet espérer que les négociations directes reprendraient avant la fin du gel partiel de la colonisation.
Le gel partiel de la construction dans les colonies de Cisjordanie décrété en novembre dernier sous la pression des Etats-Unis par le gouvernement de M. Benjamin Netanyahu doit s’achever le 26 septembre. M. Netanyahu a affirmé que les mises en chantier reprendrait à l’expiration de ce moratoire.
Le président français Nicolas Sarkozy, qui s’est entretenu ces deux derniers jours par téléphone avec Mahmoud Abbas et Benjamin Netanyahu, les a appelés "à une reprise rapide des négociations directes, à la prorogation du moratoire sur la colonisation et à l’arrêt des mesures affectant les équilibres à Jérusalem".
mercredi 28 juillet 2010 Avec les agences de presse
Source : http://www.aloufok.net/spip.php?art...
20 mille étudiants algériens en France face à des difficultés financières
Hausse des frais d’inscriptions dans les universités françaises
20 mille étudiants algériens en France face à des difficultés financières
Le ministère français de l’Enseignement supérieur et de la recherche a annoncé une augmentation des frais d’inscription aux universités françaises, pour les étudiants postulants aux diplômes de Master et de Doctorat. Cette décision entrera en vigueur à partir de la prochaine rentrée universitaire, le mois de septembre prochain.
Cette décision a été prise durant le mois de juillet en cours par la ministre française de l’Enseignement supérieur et de la recherche, Mme Valérie Pécresse. Les frais d’inscription augmenteront ainsi de 1.7%, pour les étudiants postulant pour les diplômes de licence et de 2.5%, pour ceux postulant pour des diplômes de Masters. Cela signifie que 20 mille algériens actuellement inscrits dans les différentes universités françaises seront confrontés à de nouvelles pressions d’ordre financier, pour terminer leurs études.
Selon les statistiques dont nous disposons, 53% des étudiants algériens sont inscrits dans les universités françaises pour décrocher des diplômes de Master, 27% pour postulent pour des diplômes de Doctorat et 6% pour préparent leur diplômes de licence.
Pour sa part, le syndicat national des étudiants de France a refusé les mesures prises par le gouvernement français et estimé qu’il exerce la politique d’austérité en voulant épargner 400 millions d’euros sur le dos des étudiants.
Il est à noter que chaque année, plus de 12 mille étudiants algériens demandent des visas d’études en France et que seulement 4 mille demandes sont acceptées.
Pour exprimer son refus des nouvelles mesures prises par le ministère Français de l’Enseignement Supérieur, le syndicat des étudiants français a décidé de publier une pétition sur Internet pour empêcher la mise en vigueur de ce décret.
Algerie le gouvernement parraine un colloque international sur l’immigration
Donnant la vision de l’Algérie et de l’Afrique sur les dimensions économiques et sociales du phénomène
Le gouvernement parraine un colloque international sur l’immigration
Des représentants de différents organismes et instituions nationales à caractère sécuritaire, diplomatique, académique, économique et social, chargés du suivi, de l’étude et traitement des répercussions de l’immigration légale et illégales des deux cotés de la méditerranée, seront réunis lors d’un colloque international parrainé par le gouvernement sur ce phénomène.
Les organisateurs ont également convié de nombreux chercheurs académiciens à cet événement. Le président du comité d’organisation, Hamouda Nasr eddine, du centre de recherche en Economie Appliquée pour le Développement, a dans ce contexte déclaré que des spécialistes de nombreux pays européen africains et américains seront présent, en plus des représentants des services de la gendarmerie et de la police, ainsi que du ministère des affaires étrangères, et des institutions officielles, à caractère économique et social.
Le président du comité d’organisation n’a par ailleurs pas caché que l’objectif principal de ce colloque et de donner la vision des pays du sud de la méditerranée sur ce phénomène.
AÏt Yahia (AÏn El-Hammam): Le premier festival du tapis d’Aït Hichem
Après avoir été, depuis 1999, une fête du tapis d’Aït Hichem, cette activité vient d’être reconvertie en festival culturel local du tapis d’Aït Hichem. L’ouverture officielle a été faite par le directeur de wilaya de la culture, Lhadi Ould Ali, le directeur du tourisme, M. Belahamar, et le directeur de la pêche M. Djabali. Pour sa part, le directeur de la culture dira : “Nous somme heureux et en liesse. Cela reste une promotion de notre patrimoine. Je tiens à rendre hommage à toutes ces femmes tisseuses qui méritent d’être soutenues dans leurs démarche”, tout en exprimant son soutien au comité du festival. Organisé à l’école du chef-lieu de commune, la fête a drainé des artisans venus de plusieurs régions du pays.
De nombreux stands d’exposition ont été installés, notamment de la tapisserie, de la poterie, des bijoux, des livres… Au programme, également, des danses, du théâtre, une circoncision collective, un spectacle de marionnettes, des conférences, etc. Perché sur une crête, à près de 1 200 m d’altitude, la région d’Aït Hichem recèle un patrimoine inestimable en matière de tissage traditionnel. Exercé généralement par des femmes, cette activité a été, depuis la nuit des temps, une source lucrative pour les artisanes. Selon Mme Chantreau (directrice de l’école de tissage de 1937-1939), “les Aït Hichem vivaient de l’argent qu’envoyaient de France ceux qui s’y expatriaient et de l’appui appréciable de l’artisanat féminin local (le tissage)”.
Cet art représente un moyen d’expression à toutes ces femmes, tant chaque symbole est un mot tissé sur un espace bariolé. Un texte en couleur, un cri d’espoir de ces femmes souvent paysannes qui attendent que leur art soit pris en charge. Par ailleurs, cette rencontre reste un espace de débat et d’échange entres artisans. Un point d’attache touristique, comme le dira d’ailleurs le directeur de wilaya chargé du tourisme : “On se nourrit de ces activités”, pour dire ainsi l’importance de ce genre de fête pour le tourisme et pour le développement local aussi.
La Maison du tapis délaissée
L’école de filles d’Aït Hichem est l’une des plus anciennes de Kabylie. Elle a été construite en 1892, à l’époque coloniale. Elle témoigne de plus d’un siècle de savoir-faire. Entre 1956 et 1957, l’école ferme ses portes à cause de la guerre. Actuellement, l’enseignement du tissage est confié au CFPA de Boukhalfa. Depuis 1999, date du début des travaux, une maison du tapis est construite dans la région.
Dénommée Maison du tapis, cette belle structure architecturale est confiée, depuis 2005, après délibération de l’APC d’Aït Yahia, au ministère da la Culture. À ce jour, le projet n’est pas concrétisé faute de statut et autre. Toutefois, cette activité est un point de rencontre et de subsistance aux artisans. Pourquoi pas un jour faire d’Aït Yahia un pôle commercial du tapis, se demande-t-on, pour faire de l’artisanat comme partout ailleurs une source de survie aussi.
L’APC hors du tapis !
Dans une déclaration rendue publique hier, l’APC d’Aït Yahia, qui n’a pas pris part aux activités du festival, a dénoncé sa non-invitation. L’APC s’est donc déclarée non concernée par cette manifestation.
Pointant du doigt la direction de la Culture, elle estime que la mise à l’écart de la commune dans l’organisation de cette manifestation signifie la réduire à une seule figuration et au bon vouloir de son commissaire. Elle dénonce l’absence de consensus autour de cette activité des principaux acteurs, à savoir le comité de village.
Pour sa part, l’avocat et député,
Me Hakim Saheb, dans un point de presse organisé au siège de l’APC, estime que “cette manifestation est une fête villageoise. Une tradition où règne la joie. L’on assiste à une mise à l’écart de l’Assemblée populaire et des habitants d’Aït Yahia.” Au chef-lieu de commune des banderoles appelant au boycott des activités sont accrochées. De son côté, le président de l’Assemblée populaire de wilaya, Mahfoud Belabbas, a rendu publique, hier, une déclaration dans laquelle il indique “qu’aucune invitation ne m’est parvenue à l’effet de pendre part aux différentes réunions de préparation de la première édition du Festival culturel local du tapis berbère d’Aït Hichem”. Il ajoute : “Attendu l’exclusion de l’APC d’Aït Yahia, du comité de village et de l’association Tiliwa en tant que fondateurs et organisateurs de cette fête, attendu l’absence de consensus des principaux acteurs sus-visés autour de ce festival et la mise à l’écart de la commune ainsi que de l’APW dans sa préparation, le P/APW se démarque donc de cet évènement”, conclut le P/APW.
Que se passe-t-il à Aït Hichem ?
Entre opposition au festival et pro-festival, les activités de cette rencontre annoncent-elles un déclin ou une nouvelle naissance et promotion du tissage du tapis d’Aït Hichem ? L’avenir nous le dira certainement.
source: Liberte
Le dirigeant Mr cubain Fidel Castro publie ses mémoires
Ses Mémoires sont attendus avec impatience. Il a traversé son siècle et a tenu la dragée haute à son voisin ennemi, les États-Unis d’Amérique, tenant en échec sa dernière dizaine de président
Le dirigeant communiste cubain Fidel Castro, qui a multiplié ce mois-ci les apparitions publiques, a annoncé la publication, début août, de ses Mémoires, de sa lutte victorieuse dans le maquis de la Sierra Maestra dans le sud-est de l’île cubaine aux échecs multiples et consécutifs qu’il a infligés au pays de l’Oncle Sam.
L’ancien président cubain, qui aura 84 ans le 13 août, assure avoir travaillé après sa grave maladie pendant des mois sur ce livre, intitulé la Victoire stratégique et qui a été écrit avec l’aide d’une équipe de journalistes et d’historiens. Le premier tome en production est consacré à ses premières victoires, agrémenté par son autobiographie, notamment son enfance, l’adolescence et sa jeunesse, des étapes qui l’ont converti en révolutionnaire et combattant armé, a-t-il expliqué à l’annonce de ses Mémoires.
Une grave opération chirurgicale aux intestins a contraint le père de la Révolution cubaine de 1959 à céder la présidence de l’État à son frère et premier lieutenant Raul, en juillet 2006. Il reste cependant officiellement le Premier secrétaire du Parti communiste. Un Fidel Castro convalescent avait commencé en mars 2007 la publication de ses “réflexions” sur l’actualité — essentiellement mondiale — dans la presse officielle cubaine, avant d’entreprendre quelques rarissimes et très discrètes sorties publiques.
Mais, depuis début juillet, le “Commandant en chef” a effectué sept sorties publiques, toutes très médiatisées, pour discuter exclusivement des problèmes mondiaux et critiquer la politique de son ennemi de plus d’un demi-siècle, l’“empire” américain. Il a même enfilé, pour la première fois depuis sa maladie, sa veste militaire vert olive.
source: Liberte
Il n’y a pas de médicaments contrefaits en Algérie
Le Laboratoire national de contrôle des produits pharmaceutiques (Lncpp), l’organisme ayant pour mission le contrôle de la qualité et l’expertise «n’a pratiquement décelé que des anomalies rentrant dans le cadre technico-réglementaire», a affirmé, hier, le directeur général du Lnccp, Mohamed Benslimane Mansouri, lors d’une conférence de presse tenue hier, à Alger. Une prise de conscience vers plus de professionnalisme est relevée chez les opérateurs économiques que ce soit les fabricants locaux ou les importateurs, a fait savoir le conférencier.Cette tendance est confirmée par la baisse du taux de produits ayant fait l’objet de rejet ou de blocage par le même laboratoire. «Le taux de rejet pour non-conformité qui était de l’ordre de 6% en 1995 a dégringolé jusqu’à 0,1%», selon l’orateur, précisant qu’ en moyenne une quantité de 20 à 30.000 lots de médicaments sont contrôlés chaque année, et ce, depuis la création du laboratoire en 1995. Sur le plan de l’enregistrement, la tendance est également inversée.
Si la prévalence des produits importés était prédominante ces quelques dernières années, avec plus de 70% de produits enregistrés, en revanche, actuellement la tendance est complètement inversée. A ce rythme, projettera le conférencier, «on atteindra incessamment un rapport de 60% de produits fabriqués en Algérie, enregistrés, donc commercialisés en Algérie». Cela, estime le même responsable, «signifie une baisse sensible des importations de produits pharmaceutiques». Toutefois, cela contredit les déclarations qu’a faites récemment le ministre de la Santé. Selon Djamel Ould Abbès «l’Algérie recourt à l’importation de 63% de ses besoins en produits pharmaceutiques».
Une dépendance par rapport à l’étranger, qui grève lourdement le budget de l’Etat. Et pour cause, la facture d’importation des produits pharmaceutiques a atteint 1,670 milliard d’euros, selon le ministre.
Le conférencier, qui s’est attardé sur la présentation du laboratoire, a insisté sur le fait que cet outil fort est un instrument de l’expression de la souveraineté nationale. Il est tenu, dans le cadre de ses missions, d’évaluer la qualité pharmaceutique, par conséquent, il ne cesse de développer son arsenal de contrôle en matière d’équipements telle l’acquisition des spectromètres de masse pour développer des techniques d’analyses permettant de protéger le patient algérien de produits falsifiés.
Il a rappelé que le Lncpp, ayant intégré l’OMS, a signé de nombreuses conventions de partenariat avec différentes institutions internationales de santé (50 pays), précisant que cette dernière l’a qualifié pour contrôler les produits pharmaceutiques en Afrique. Par ailleurs, le conférencier a soutenu que le développement de la biotechnologie dans le contrôle du médicament représente l’une des priorités du Lncpp pour l’année 2011.
M.Mansouri a fait savoir qu’une enveloppe budgétaire a été allouée pour l’élevage des animaux destinés aux tests de laboratoires, qui seront menés dans le cadre des normes scientifiques internationales. Il a ajouté que le laboratoire aspire aussi à renforcer les expériences de bioéquivalence visant à contrôler l’efficacité des médicaments génériques par rapport aux médicaments de référence. Le responsable a annoncé l’ouverture prochaine d’annexes du Lncpp dans les wilayas d’Oran, de Constantine et dans la région du Sud.
source: Lexpression
l’Institut Pasteur d’Algérie
Redynamiser l’activité de l’Institut Pasteur d’Algérie
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Djamel Ould Abbès, a souligné jeudi à Alger l’importance de redynamiser l’activité de l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA), notamment en terme d’organisation et de gestion. S’exprimant lors du conseil d’administration de l’IPA, M. Ould Abbès a rappelé que cet établissement fut durant les années 1970 un institut de « référence médicale » à l’échelle mondiale » qui, hélas, a connu par la suite des turbulences », affirmant la disponibilité de l’Etat à déployer tous les moyens financiers pour sa relance.
« Nous savons que les compétences et les moyens matériels existent. Nous devons seulement réfléchir sur l’organisation et le fonctionnement de l’Institut, et ce à travers une politique fondée sur le dialogue et la cohérence entre les acteurs du secteur de la santé », a souligné le ministre.
« Nous devons réfléchir sur les voies et moyens à mettre en place afin d’aboutir à des solutions pour redynamiser l’Institut Pasteur d’Algérie qui est capable de fabriquer l’ensemble des vaccins et d’assurer une autosuffisance en terme de produits pharmaceutiques. Ces solutions doivent être trouvées ensemble », a-t-il ajouté.
Il a par ailleurs mis en exergue la volonté de l’Etat pour lutter contre la « mauvaise gestion » dans le secteur de la santé d’une manière générale. Il a mis l’accent sur l’humanisation de l’accueil des personnes malades dans les hôpitaux, relevant, à cet égard, que tout un programme est en chantier.
Concernant les produits pharmaceutiques, M. Ould Abbès a confirmé la détermination de l’Etat à « diminuer progressivement jusqu’à l’éradication totale de l’importation des sérums, vaccins, réactifs et des médicaments », niant une quelconque pénurie de ces produits actuellement.
« Nous oeuvrons pour une diminution progressive mais rapide de l’importation des sérums et des vaccins. Pour celle du médicament, qui est un produit stratégique, ça sera plus long, mais nous n’allons ménager aucun effort pour l’éradiquer avant 2014″, a-t-il conclu.
APS
Libellés :
l’Institut Pasteur d’Algérie
L’Algérie pourrait réduire ses exportations de gaz vers l’Europe
Contrainte de satisfaire une demande intérieure en forte augmentation, l’Algérie pourrait revoir à la baisse ses exportations de gaz envers les pays européens dans les prochaines années, lit-on mercredi dans La Tribune. Dopée par les grands travaux de modernisation du pays, la consommation locale du gaz algérien pourrait progresser selon un taux annuel compris entre 6,6 % et 9 % d’ici à 2018 pour atteindre entre 50,5 et 63 milliards de mètres cubes, contre 28 milliards en 2009. Ce qui obligerait le pays, troisième fournisseur de l’Union européenne après la Russie et la Norvège, à diminuer ses exportations
La Macif s'installe en Algérie dans l'assurance de personnes
La Macif s'installe en Algérie dans l'assurance de personnes
Riyad Hamadi
C'est officiel. La Macif s'installe en Algérie. L'assureur français a créé une société d'assurance de droit algérien en partenariat avec la SAA, la BDL et la BADR, a indiqué jeudi 29 juillet un communiqué du notaire Benabid qui a établi l'acte de constitution. Dénommée "Prévoyance et santé compagnie d'assurance", la nouvelle société est dotée d'un capital social d'un milliard de dinars détenu à hauteur de 34% par la SAA, 15% par la BDL et 10% par la BADR, soit un total de 59% pour la partie algérienne, alors que MACIF détient les 41% restants, selon la même source. L'accord de création de cette société avait été signé le 22 juillet à Alger.
La nouvelle société exercera toutes les opérations d'assurances de personnes et de réassurance ainsi que toute autre opérations de prévoyance collective et de gestion que les sociétés d'assurance-vie sont autorisées à pratiquer par la réglementation en vigueur. Elle aura également pour missions d'assurer des prestations de conseils en matière d'assurances de personnes et toute opération ayant pour objet "l'acquisition d'immeubles au moyen de la constitution de rentes viagères", selon la même source.
La réalisation de ce partenariat a été rendu possible à la faveur de la signature en mars 2008 de la convention algéro-française dans le domaine des assurances. Cette convention permet l’entrée des compagnies françaises sur le marché algérien et la réalisation de partenariats avec des compagnies algériennes qui le souhaiteraient ainsi que le développement de diverses formes d’assurances.
Au delà de l'aspect économique, l'installation de la Macif revêt un dimension symbolique: c'est la première compagnie d'assurance française qui s'installe en Algérie depuis la promulgation de la LFC 2009 et de la mesure dite 49/51 qui oblige les intérêts algériens à prendre la majorité du capital (561%) dans tout projet d'investissement impliquant des étrangers
Palestine (État revendiqué) les premières revendications concernant cet État remontent aux années 1920
L'État de Palestine (arabe : دولة فلسطين, dawlat filastin), parfois mentionné sous sa forme courte Palestine (arabe : فلسطين, filastin), est un État putatif et non universellement reconnu situé au Proche-Orient, dans la région géographique de Palestine (laquelle englobe également l'État d'Israël, la Jordanie, etc.), et revendiqué par le peuple des Palestiniens. Dans le contexte du conflit israélo-palestinien, les frontières et la capitale de cet État putatif font l'objet de nombreux débats.
Les premières revendications concernant cet État remontent aux années 1920, dans le cadre du conflit judéo-arabe en Palestine mandataire. Contrecarrées suite à la guerre de Palestine de 1948, elles refont surface dans les années 1960, notamment via l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Le Conseil national palestinien, corps législatif de l'OLP, a proclamé l'indépendance d'un Etat de Palestine le 15 novembre 1988 depuis la ville d'Alger, suite à la libération de la région cisjordanienne (qui était occupée par la Jordanie depuis 1948). L'ambiguïté de la déclaration d'indépendance repose sur la mention de « Palestine » qui y fait référence à l'ensemble des territoires de la Palestine mandataire d'avant 1947, c'est-à-dire incluant Israël (que l'OLP ne reconnait pas encore). Cette déclaration ne s'accompagne d'aucune indépendance de facto sur les territoires disputés (notamment concernant le territoire sur lequel est constitué l'Etat d'Israël) ; de plus, l'ONU ne considère comme « territoires palestiniens » légitimes que deux zones situées de part et d'autre de l'Etat d'Israël : la bande de Gaza à l'ouest et la Cisjordanie à l'est.
Le 13 septembre 1993, les Accords d'Oslo reconnaissent l'Autorité palestinienne comme entité représentant les Palestiniens. Contrairement au territoire revendiqué comme celui de l'Etat de Palestine par la déclaration d'Alger, le territoire stipulé par les accords pour un Etat palestinien se limite aux « territoires palestiniens » reconnus par l'ONU. Ces accords, qui prévoient l'attribution progressive de l'autonomie aux Palestiniens habitant ces territoires, doivent aboutir à la constitution ainsi qu'à la reconnaissance par Israël d'un Etat palestinien dans la limite de ces zones. Toutefois, le dialogue entre les parties est aujourd'hui rompu. La bande de Gaza est soumise à un blocus israélien tandis que la Cisjordanie est militairement occupée par Israël. Jérusalem-Est, partie de la Cisjordanie et capitale potentielle du futur Etat palestinien prévu par les accords, est annexée par Israël depuis 1967. Dans l'espoir de relancer le processus, le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a menacé à plusieurs reprises de proclamer unilatéralement un Etat en Cisjordanie et à Gaza.
A ce jour, l'État de Palestine revendiqué par la déclaration d'Alger est reconnu par 94 pays membres de l'ONU sur 192, tandis que dans l'esprit du « processus de paix israélo-palestinien » esquissé par les Accords d'Oslo, 11 autres pays ont décerné un statut diplomatique particulier à une représentation palestinienne pour les seuls habitants gazaouis et cisjordaniens. Le Hamas, qui n'administre de facto que la bande de Gaza, revendique l'ensemble du territoire de la déclaration d'Alger (c'est-à-dire incluant Israël, dont il réclame la suppression) tandis que le Fatah, qui administre la Cisjordanie, ne revendique que la bande de Gaza et la Cisjordanie conformément aux recommandations de l'ONU
Mr Le Premier ministre britannique David Cameron France 24 Turquie Gaza
http://www.france24.com/fr/20100727-premier-ministre-britannique-israel-bande-gaza-blocus-adhesion-turquie-david-cameron
À Ankara, le Premier ministre britannique a exhorté Israël à lever le blocus qu'il impose à la bande de Gaza, qualifiant l'enclave palestinienne de "prison à ciel ouvert". Il a également regretté les entraves posées à l'adhésion de la Turquie à l'UE.
Par Dépêche (texte)
Claire BONNICHON (vidéo) AFP - Le Premier ministre britannique David Cameron a appelé mardi Israël à lever le blocus qu'il impose à la bande de Gaza, qualifiant l'enclave palestinienne de "prison à ciel ouvert".
"Soyons clairs : la situation à Gaza doit changer (...). On ne peut et ne doit pas permettre que Gaza reste une prison à ciel ouvert", a déclaré M. Cameron à Ankara, au cours d'un discours devant un parterre d'hommes d'affaires.
S'exprimant un peu plus tard, après s'être entretenu avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, M. Cameron a défendu sa vision de la situation à Gaza, estimant que "même si des progrès ont été faits, nous sommes encore dans une situation où il est très difficile de rentrer et très difficile de sortir."
"Cela fait longtemps que nous soutenons une levée du blocus de Gaza", a-t-il ajouté.
Le Premier ministre britannique a néanmoins tenu à rappeler que la sécurité d'Israël était aussi en jeu avec les attaques à la roquette perpétrées depuis Gaza contre son territoire par le groupe palestinien radical Hamas.
"Nous partageons tous deux l'opinion que des pourparlers directs (entre Israéliens et Palestiniens) sont la bonne réponse", a-t-il affirmé, parlant au côté de M. Erdogan.
M. Cameron a également appelé la Turquie à se réconcilier avec Israël après le raid meurtrier de commandos israéliens, le 31 mai, contre une flotille d'aide humanitaire pour Gaza, au cours duquel avaient péri neuf Turcs.
"La Turquie a été une bonne amie d'Israël dans le passé. J'espère vraiment que la Turquie peut continuer d'être une amie d'Israël parce que (...), en tant qu'amie d'Israël, elle va maximiser son influence sur ce qui doit se produire concernant ces pourparlers directs", a-t-il dit.
Le raid sanglant d'Israël contre la flottille a provoqué une crise sans précédent dans les relations déjà tendues entre la Turquie et Israël, naguère alliés dans la région, après l'offensive de l'armée israélienne à Gaza fin 2008.
"Les relations de la Turquie dans la région, aussi bien avec Israël qu'avec le monde arabe, sont d'une valeur incalculable", a commenté M. Cameron. "Et j'appelle la Turquie et Israël à ne pas renoncer à leur amitié".
Mr le Premier ministre britannique David Cameron promet de se battre pour l'adhésion de la Turquie
En visite à Ankara le 28 juillet, "le Premier ministre britannique a promis de se battre pour que la Turquie ait sa place dans l'Union européenne", écrit le quotidien turc. "Quand je pense à ce qu'a fait la Turquie pour défendre l'Europe en tant qu'alliée de l'OTAN et à ce qu'elle fait maintenant en Afghanistan, cela me met en colère de constater que votre marche vers une adhésion à l'UE peut être découragée comme elle l'a été", a déclaré David Cameron. Visés : Paris et Berlin, opposés à une intégration turque.
Mr Premier ministre britannique David Cameron déclarant que Gaza était un "camp de prisonniers",
Par Reuters, publié le 29/07/2010 à 16:28
Le franc-parler de David Cameron suscite des interrogations
Audace ou inexpérience? Les premiers déplacements à l'étranger du nouveau Premier ministre britannique David Cameron augurent d'un discours diplomatique décapant de la part de Londres.En Turquie, Cameron a suscité l'indignation d'Israël en déclarant que Gaza était un "camp de prisonniers", puis il a causé la fureur des Pakistanais en disant devant un parterre d'Indiens à Bangalore que le Pakistan "favorisait l'exportation du terrorisme".
A Ankara, il a également jugé que les adversaires d'une entrée de la Turquie dans l'Union européenne étaient "protectionnistes, manichéens ou avaient des préjugés". Pareille analyse ne sera à coup sûr pas partagée en France et en Allemagne, deux pays dont les gouvernements s'opposent à une adhésion turque.
Agé de 43 ans, Cameron, qui a accédé au 10, Downing Street en mai, est le plus jeune Premier ministre britannique depuis près de 200 ans.
"Je trouve qu'il est important, comme je l'ai dit, de parler franchement de ces sujets avec les pays qui sont vos amis", a déclaré Cameron jeudi aux médias britanniques, en ajoutant qu'il continuerait de le faire à l'avenir.
Les médias indiens ont fait de ses propos sur le Pakistan leurs choux gras, y consacrant une bonne part de leur couverture de sa visite, au détriment de ses déclarations sur sa volonté de renforcer les relations commerciales et financières entre la Grande-Bretagne et l'Inde.
Le haut commissaire (ambassadeur) du Pakistan en Grande-Bretagne, Wajid Shamsul Hasan, a jugé les propos de Cameron "absolument contraires aux réalités sur le terrain".
"UN GRAND DIPLOMATE"
"Une visite bilatérale (en Inde) destinée à favoriser les relations d'affaires aurait pu avoir lieu sans nuire aux perspectives de paix dans la région", écrit le haut commissaire dans une tribune que publie jeudi le Guardian.
L'ambassadeur d'Israël en Grande-Bretagne, Ron Prosor, a lui aussi réagi vivement aux propos sur Gaza.
"Les habitants de Gaza sont les prisonniers de l'organisation terroriste Hamas", a-t-il rétorqué.
Lors d'un point de presse avec les journalistes britanniques couvrant la tournée de Cameron, le secrétaire au Foreign Office, William Hague, a dû répondre à plusieurs reporters lui demandant si Cameron comptait mesurer davantage ses propos à l'avenir.
"Le Premier ministre dit la vérité et nous sommes tous unis et sans ambiguïté, heureux de ce qu'il a dit", a-t-il répliqué.
"Le Premier ministre est un grand diplomate et je le vois tous les jours lorsqu'il est en rapport avec des dirigeants étrangers", a-t-il continué.
Cameron doit recevoir le président pakistanais Asif Ali Zardari à sa résidence des Chequers, la semaine prochaine.
Prié dans l'interview de dire s'il regrettait d'avoir porté atteinte aux relations avec le Pakistan avant cet entretien, Cameron a répondu en ces termes: "Je n'accepte pas l'idée qu'elles (les relations) aient été mises à mal(...). Je suis impatient de discuter de cela, ainsi que d'autres dossiers (avec Zardari)".
Eric Faye pour le service français
M. Liu Yuhe, ambassadeur de la République populaire de Chine à Alger
L’ambassadeur de Chine à Bordj Bou-Arreridj
M. Liu Yuhe, ambassadeur de la République populaire de Chine à Alger, a réaffirmé l’intérêt que porte son pays aux échanges dans le domaine économique entre l’Algérie et son pays. D’ailleurs, sa quatrième visite dans la wilaya de Bordj Bou-Arreridj s’inscrit dans cette optique. «Il est important pour nous de découvrir les différentes régions d’Algérie et ce, sur le terrain. Il n’y a pas mieux que le contact humain qui ne peut être remplacé par les rapports», a déclaré l’ambassadeur de Chine lors d’une conférence de presse ayant eu lieu au siège de Condor, mercredi en fin de matinée, en marge de la visite dans cette société privée spécialisée dans l’électronique. L’ambassadeur de Chine a affirmé que la wilaya de Bordj Bou-Arreridj possède tous les atouts et les potentialités d’élargir son économie. «Les opportunités de renforcer la présence chinoise dans cette région existent. la coopération doit toucher tous les domaines : construction, énergie renouvelable, électronique, enseignement, recherche, espace, agriculture», dira le diplomate. «Nos deux gouvernements doivent soutenir et apporter de l’aide pour multiplier les domaines de coopération entre nos deux pays. Nous sommes arrivés maintenant à la vitesse express et nous devons créer une coopération stratégique et nous sommes ouverts à toute coopération avec l’Algérie avec qui nous relie une amitié fraternelle.» Concernant l’objectif de sa visite chez Condor, Son Excellence a expliqué que c’est dans le cadre de soutenir et d’encourager la coopération qui existe depuis 10 ans entre la société Condor et la société chinoise Hisense et d’étudier les possibilités d’élargir cette coopération à d’autres domaines. De son côté, le P-DG de Condor, M. Benhamadi n’a pas manqué de souligner les potentialités et les opportunités d’investissement que recèle la wilaya de Bordj Bou-Arreridj et son groupe, soulignant également les bonnes relations qui sont entretenues entre l’administration, les investisseurs de cette wilaya et les entreprises chinoises qui contribuent à la réalisation d’importants projets de coopération. S. K.- B.
L'ONU déclare l'accès à l'eau potable un "droit fondamental"
2010-07-29 08:37:45 xinhua L'Assemblée générale de l'ONU a adopté mercredi un projet de résolution sur le droit l'eau potable, déclarant que l'accès à l'eau potable salubre et propre est un "droit fondamental, essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l'homme".
Le projet de résolution, présenté par la Bolivie, a été adopté par vote, avec 122 voix pour et 41 abstentions. Le texte demande aux Etats membres et aux organisations internationales de fournir des ressources financières, de renforcer les capacités et de procéder à des transferts de technolgies, en particulier en faveur des pays en développement.
Une personne sur huit n'a pas d'accès à l'eau potable sur notre Planète. Le manque d'accès à l'eau et à l'assainissement cause la mort de trois millions de personnes par an et d'un enfat toutes les trois secondes, a déclaré le représentant de la Bolivie, en présentant le projet de résolution. 1,5 million d'enfant mourraient chaque année de diarrhée, et un tiers de ces morts pourraient être évitées grâce à la mise en place de services adéquats d'assainissement.
L'Allemagne et la France ont exprimé leur regret sur le fait que le texte a été adopté non pas par consensus mais par vote. Les Etats-Unis et le Canada sont parmi les pays qui se sont abstenus.
Le représentant du Venezuela a noté que la préservation de l'eau était la meilleure garantie de la paix dans le monde.
L'observateur de la Palestine a déclaré que le droit à l'eau potable est un droit fondamental de l'homme, y compris pour les gens vivant sous occupation. L'eau est une question essentielle pour la Palestine, a-t-il souligné, dénonçant les détournements des cours d'eau palestiniens par Israël.
Entretiens téléphoniques Mr le président français Nicolas Sarkozy avec Mr Mahmoud Abbas et Mr Benjamin Netanyahou
Le président français Nicolas Sarkozy a eu des conversations téléphoniques respectivement avec le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, avec lesquels il a évoqué le processus de paix au Moyen-Orient, a indiqué mardi soir la présidence française.
M. Sarkozy a eu M. Abbas au téléphone lundi soir et M. Netanyahou mardi soir, a révélé l'Elysée dans un communiqué.
"Il a souligné auprès de ses deux interlocuteurs l'urgence d' une relance du processus de paix et la nécessité pour les parties d'agir en conformité avec cet objectif", dit le communiqué.
Concrètement, M. Sarkozy a préconisé une reprise rapide des négociations directes, la prorogation du moratoire sur la colonisation et l'arrêt des mesures affectant les équilibres à Jérusalem.
"Pour être utiles, ces négociations devraient porter sur l' ensemble des éléments liés au statut final, y compris sur les questions de territoire, sur la base des frontières de 1967, sur la sécurité et sur Jérusalem", poursuivit le communiqué.
Le président français a réitéré à cette occasion son soutien à la solution à deux Etats, Israël et la Palestine, vivant côte à côte en paix et en sécurité.
Le ministère français des Affaires étrangères a annoncé lundi le rehaussement du statut de la représentation diplomatique palestinienne à Paris de "délégation générale de Palestine" à " mission de palestine", dont le chef sera désigné sous le titre d' "ambassadeur, chef de mission de Palestine".
La banque française Société Générale a présenté ses excuses au peuple et à l’Etat algériens
Après avoir outragé l’Algérie et les Algériens Les insultantes excuses de Société Générale
La banque française Société Générale a présenté ses excuses au peuple et à l’Etat algériens suite à sa diffusion par ses soins d’un CD jugé «obscène, insultant et irrespectueux» envers l’Algérie et son peuple.
Toutefois, il convient de relever que le mea-culpa de la filiale algérienne de la banque française est passé inaperçu puisque publié dans une revue mensuelle. Cette publication, même si elle est crédible, a un impact et une diffusion limités. Ce qui est considéré par certains milieux comme une insulte supplé mentaire à l’égard de l’Etat et du peuple algériens.
La gravité des faits reprochés à Société générale Algérie (SGA) est telle que les excuses de celle-ci auraient dues être diffusées à grande échelle, «via par exemple un communiqué officiel qui serait diffusé dans l’ensemble des titres de la presse nationale et même à la télévision et à la radio», estiment ces milieux. Cet état de fait a d’ailleurs été relevé par notre confrère El-Khabar, dans son édition d’avant-hier.
Les faits remontent au mois de mai dernier. Société Générale organisait une grande réception pour célébrer ses dix années –très rentables, du reste – d’exercice en Algérie. Etaient présents à la cérémonie les «grands clients» de la banque, ses partenaires, ses cadres et employés algériens et étrangers. Au cours de cette rencontre, un CD censé relater le bilan de SGA a été distribué aux participants. Ceux-ci furent grandement surpris en découvrant son contenu plus tard.
«En fait, ce CD est un procès en règle qui est fait à l’Algérie, à ses dirigeants et à la politique économique menée par le gouvernement», écrivait notre confrère le Maghreb, quelques jours après cet incident.
«Mieux, ce CD est agrémenté de photos obscènes qui portent atteinte à la dignité des Algériens et des Algériennes particulièrement», relatait encore le même journal qui précisait que «la réaction d’une partie des cadres algériens travaillant dans cette banque et du comité de participation a été immédiate, et les systèmes informatiques ont été bloqués durant deux jours (de grève, NDLR), causant un arrêt de travail de toutes les agences bancaires».
Selon El-Khabar qui se réfère au placard «d’excuses» publié par SGA, le complot des CD insultants a été monté par le responsable de l’agence étrangère de publicité et de communication, Euro RCG en l’occurrence, partenaire de SGA, avec la connivence du directeur commercial de celle-ci.
Le responsable d’Euro RCG serait, selon la même source, «un étranger portant plusieurs nationalités» et qui aurait été expulsé d’Algérie après cette affaire. Deux enquêtes ont été ouvertes, l’une interne à SGA et l’autre par les autorités algériennes, pour déterminer les tenants et les aboutissements d’un tel agissement.
Dans tous les cas, Société Générale a fait preuve d’ingratitude. En effet, SGA a vertigineusement fructifié ses affaires depuis qu’elle s’est installée en 2000 en Algérie. En témoignent ses chiffres pour les trois dernières années.
Elle a, en effet, réalisé un résultat de 900 millions de DA en 2007, 1,4 milliard de DA en 2008 et près de 2,5 milliards de DA en 2009. Un pactole amassé grâce notamment aux crédits à la consommation – des produits français surtout – et sans aucun investissement notable dans l’économie nationale.
S. T.
Le Conseil des ministres arabes de la Justice adopte la loi algérienne comme référence
Les ministres arabes de la Justice ont choisi la loi algérienne comme référence en adoptant la proposition du ministre de la Justice, garde des Sceaux, M. Tayeb Belaiz , au terme des travaux du centre arabe des recherches juridiques et judiciaires qui se sont déroulés lundi et mardi à Beyrouth (Liban).
Le Conseil des ministres arabes de la justice a adopté la proposition du ministre algérien de la Justice relative à la problématique d’exécution des jugements de justice et aux moyens efficaces de les traiter, a indiqué un communiqué de la chambre nationale des huissiers de justice.
Le bureau exécutif du Conseil des ministres arabes de la justice, a ajouté la même source, a également adopté la proposition de M. Tayeb Belaiz sur les jugements administratifs, civils et pénaux.
Le ministre de la Justice a désigné une délégation composée de M. Cherif Mohamed, président de la chambre nationale des huissiers de justice et expert international, du vice-président de l’Union internationale des officiers publics et du directeur des affaires civiles, sceau de l’Etat pour « présenter l’expérience algérienne qui a démontré son efficacité et qui a été adoptée par la majorité des pays arabes ».
La plupart des pays arabes, a poursuivi la même source, oeuvrent à amender leurs textes en fonction de cette expérience, à travers la loi algérienne régissant la profession de huissier de justice et le nouveau code de procédures civiles et administratives.
Le ministre a émis le vœu, selon le communiqué, de voir les pays arabes rejoindre les autres pays du monde qui ont adopté l’expérience algérienne pionnière qui requiert l’amendement des textes relatifs aux procédures d’exécution et leur actualisation ainsi que l’adoption, au plus vite, du système de huissier de justice indépendant.
La moyenne mondiale des exécutions des jugements est de 60%, alors que l’Algérie a atteint 94%, un record qu’aucun pays au monde n’a enregistré et qui est dû à la réforme de la justice lancée en 1999.
La délégation algérienne devrait proposer, lors de ces travaux, aux délégations participantes, des propositions efficaces telle la présentation des modes d’unification des exécutions et de leurs dispositions dans tous les pays arabes à l’instar de ce qui se fait dans les pays européens.
Europe et Société sort un nouveau "Cahier de la Fondation"
Fenêtre sur l'Europe]
Ce "Cahier de la Fondation" n° 75/76 a été édité à l'issue du colloque (organisé avec le soutien de la Commission européenne) qui s'est tenu les 27 et 28 janvier 2010, à Paris sur le thème : "Impact de la directive information-consultation sur le dialogue social dans les Etats membres : Résultats et perspectives".
Vous pouvez consulter ce document à l'adresse suivante :
http://www.europeetsociete.com/
Le Brésil, premier fournisseur de l'Algérie
L'importation de la viande bovine congelée baisse de 27% La quantité de viande congelée importée a baissé cette année par rapport à l'année précédente. Selon le Centre national de l'informatique et des statistiques des douanes (Cnis), cité hier par l'APS, l'Algérie n'a importé que 25 661 tonnes durant les six premiers mois de l'année en cours, contre 33 748 tonnes à la même période de l’année passée.
Cette baisse considérable est évaluée à 27,4%. Durant le premier semestre de 2009, l'Algérie a importé de la viande pour un montant de 91,321 millions de dollars, alors que de janvier à juin de cette année, la facture d'importation de ce produit est estimée à 66,97 millions de dollars. La viande bovine désossée congelée constitue l'essentiel des importations avec 24 631 tonnes pour 62,8 millions de dollars, suivie par la viande bovine fraîche ou réfrigérée avec 549,7 tonnes (2,4 millions de dollars), et les carcasses ou demi-carcasses de bovins fraîches ou réfrigérées avec 331,6 tonnes pour un montant de près de 1,4 million de dollars.
Le principal fournisseur de viande est le Brésil avec plus de 22 000 tonnes exportées vers l'Algérie. Avec 1323 tonnes exportées vers notre pays, l'Uruguay occupe la seconde position. L'Algérie importe de la viande rouge congelée de plusieurs pays tels l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Argentine, le Brésil, le Salvador, l
'Uruguay, le Danemark, la Georgie et l'Italie. Les importations de viande rouge fraîche se font du Brésil, du Chili, des Pays-Bas, d’Allemagne, du Danemark, de France, d’Irlande, de Belgique et d’Italie. Les importations alimentaires, qui représentent 15,17% du volume global des importations algériennes, ont baissé de 10,88%.
Cette variation baissière que connaissent les importations ces derniers mois est due essentiellement aux mesures prises par les pouvoirs publics pour encadrer les opérations du commerce extérieur dans le but d'assainir cette activité et contenir les flux d’importation des marchandises.
Libellés :
Le Brésil,
premier fournisseur de l'Algérie
L'Union européenne engage les négociations d'adhésion avec l'Islande
Le mois dernier, le Conseil européen avait approuvé l'avis de la Commission sur la demande d'adhésion à l'UE présentée par l'Islande en juillet 2009, qui recommande l'ouverture des négociations d'adhésion, date du mois dernier. Souhaitant accélérer la procédure, la Commission européenne vient d'engager les négociations d'adhésion de cet Etat, peut-on lire dans un communiqué.
Après avoir examiné la demande de l'Islande, pays lourdement fragilisé par la crise économique, les Etats membres ont constaté que l'Islande respectait les critères politiques définis par le Conseil européen de Copenhague en 1993, et qu'il était envisageable d'ouvrir les négociations d'adhésion.
L'Islande bénéficie déjà d'un haut niveau d'intégration avec l'UE, puisqu'elle est membre de l'Espace économique européen (EEE) depuis 1994, et de l'espace Schengen, qui permet à ses ressortissants de voyager et de travailler librement dans toute l'Union.
L'Islande participe déjà au marché unique, contribue financièrement à la cohésion économique et sociale de l'Europe, et applique une grande part de la législation européenne.
Les négociations vont notamment porter sur la question du remboursement par l'Islande de ses créanciers néerlandais et britanniques pour les pertes qu'ils ont subies lors de la faillite de la banque en ligne islandaise Icesave, mais aussi sur la chasse à la baleine (interdite dans les eaux communautaires mais que l'Islande est un des rares pays à autoriser).
L'Islande a fait savoir qu'en cas d'invitation officielle du pays à rejoindre l'Union, l'Etat organisera un référendum sur la question.
Notons que l'Islande est l'un des quatre pays reconnus comme candidats officiels avec la Croatie, la Turquie et l'ancienne République yougoslave de Macédoine. Les négociations avec la Croatie ont déjà atteint un stade final et ce pays des Balkans est susceptible de devenir le prochain membre de l'UE, alors que l'adhésion de la Turquie continue à susciter des inquiétudes de la part de plusieurs chefs d'Etats de l'Union.
Rédigé par la Rédaction de Net-iris et publié le jeudi 29 juillet 2010.
Mr Le président Bouteflika insiste à Kampala sur le RESPECT
Mercredi 28 juillet 2010.
Le président Bouteflika insiste à Kampala sur le respect des engagements des mandats sur la réduction de gaz à effet de serre
Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a affirmé mardi à Kampala (Ouganda) qu’il est important de rester attachés au respect des mandats sur la réduction de gaz à effet de serre qui fondent les négociations en cours dans la perspective de définir une deuxième période d’engagement..
"Il est important que nous restions fermement attachés au respect des mandats qui fondent les négociations en cours aux fins de la définition d’une deuxième période d’engagements chiffrés et quantifiés de réduction de gaz à effet de serre pour les pays industrialisés, au titre du Protocole de Kyoto", a recommandé le président Bouteflika dans une allocution sur les changements climatiques lors de la 15e session de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement qui se tient dans la capitale ougandaise..
Pour le chef de l’Etat, c’est dans cette optique que les Africains défendent une position commune dans le processus de négociations en cours pour un régime climatique mondial post-2012, dont le sommet de Copenhague, en décembre 2009, a constitué une "étape significative"..
"Nos pays continueront de négocier de bonne foi, dans un esprit ouvert et constructif sur la base des résultats de Copenhague et conformément aux principes fondamentaux de la Convention et des mandats qui fondent ces négociations", a souligné le chef de l’Etat..
Il a affirmé que ces pays sont "prêts à donner toutes les chances de réussite au processus en cours en vue de la conférence de Cancun (Mexique), même si nous sommes conscients que les négociations seront âpres et difficiles, les principales questions litigieuses étant demeurées en suspens, en raison des enjeux économiques et financiers considérables que comportent les questions environnementales"..
Se référant à la conférence de Copenhague sur les changements climatiques (décembre 2009), le chef de l’Etat a indiqué que les résultats de celle-ci "doivent être consolidés et mis en œuvre", relevant qu’"il y va de la crédibilité de nos partenaires"..
"L’allocation de 30 milliards de dollars (USD), prévue pour la période 2010-2012, la mobilisation d’un financement de l’ordre de 100 milliards de dollars (USD) par an à l’horizon 2020 et l’affectation d’une part significative de ces ressources à l’Afrique, constitueront un test déterminant de la volonté de la communauté Internationale à s’attaquer aux causes et remédier aux conséquences des changements climatiques", a ajouté le président Bouteflika..
Il a réaffirmé l’engagement de l’Algérie à lutter contre les changements climatiques, précisant que l’Algérie attache une "attention particulière" à ce phénomène du fait de sa vulnérabilité écologique due à son climat aride et semi-aride et de sa vulnérabilité économique en raison de sa dépendance des recettes d’exportation d’hydrocarbures..
APS (27/07/2010).
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Mr le Président barack Obama repart en campagne
Adèle Smith
À la peine, Obama repart en campagne
Avec un parti démocrate de plus en plus nerveux, le président américain commence à collecter des fonds pour les élections de mi-mandat, en novembre.
À New York
À moins de cent jours des législatives de mi-mandat, la campagne électorale est officiellement lancée. Démocrates et républicains sont repartis en quête de financement. Le temps manque aux démocrates, qui ne parviennent plus à dissimuler leur nervosité, pour renverser la tendance des sondages chaque jour plus négatifs. Mercredi soir à New York, Barack Obama devait avoir un avant-goût de l'accueil qui attend son parti. Wall Street comptait snober deux collectes de fonds prévues dans la soirée, notamment chez la prêtresse de la mode et rédactrice en chef du magazine Vogue, Anna Wintour. Plus que la réforme de la finance récemment promulguée, le cœur financier des États-Unis entend faire payer au président américain sa rhétorique jugée anticapitaliste. Au premier juillet, les dons de Wall Street au Parti démocrate avaient chuté de 65% par rapport à 2008, année record. Malgré tout le parti au pouvoir reste en tête avec 66 millions de dollars dans ses caisses contre 48 millions pour le Parti républicain. Mais ces réserves accumulées en des temps meilleurs pourraient paraître bien minces dans la mesure où les démocrates ont davantage de sièges à défendre au Congrès que leurs rivaux, ce qui signifie des coûts plus élevés en perspective.
Révélations et sales coups en perspective
Barack Obama aura l'occasion de tester à nouveau la générosité des donateurs lors d'une demi-douzaine d'autres collectes prévues la semaine prochaine à travers le pays. Dans l'autre camp, l'ancien stratège de George Bush, Karl Rove, a créé en juin GPS, une puissante machine à collecte, qui a recueilli, de manière anonyme, cinq millions de dollars en un mois. Les observateurs prédisent déjà une campagne riche en révélations et sales coups, des deux côtés.
Les démocrates sont d'autant plus nerveux qu'ils ont échoué mardi au Sénat à engager le débat sur une loi limitant le financement des campagnes. Après la décision très controversée de la Cour suprême d'autoriser en janvier dernier ce financement par des entreprises, ils avaient été à l'initiative d'une loi forçant celles-ci à plus de transparence. Accusant leurs rivaux de «manipulation électorale», les républicains ont joué l'obstruction, reportant ce texte aux calendes grecques. La décision de la Cour ouvre la porte à des abus et, en théorie, permet aussi à un gouvernement étranger finançant une entreprise américaine d'intervenir dans le processus électoral.
Les sondages viennent ajouter à la déprime du Parti démocrate. Si 72% des électeurs républicains sont déjà «sûrs» de se rendre aux urnes en novembre, ils ne sont que 49% à afficher pareille certitude de l'autre côté. Barack Obama qui se voit reprocher par 67% des électeurs de n'avoir pas assez agi pour créer des emplois - une priorité absolue à leurs yeux -, perd progressivement le soutien des Blancs, des indépendants, des hommes et désormais des Hispaniques. Pour certains candidats, il est même devenu un boulet. Si le président peut toujours se rétablir d'ici à 2012, son parti aura en revanche plus de mal à redresser la barre d'ici à novembre
Mr Le président américain Barack Obama est revenu sur les crises traversées ces vingt derniers mois par son administration
Barack Obama évoque à la télé les crises traversées par son administration
(AFP) – Il y a 7 heures
WASHINGTON — Le président américain Barack Obama est revenu sur les crises traversées ces vingt derniers mois par son administration, au cours d'une interview accordée à une émission de télévision mercredi.
Dans "The View", un "talk-show" qui sera diffusé en journée jeudi sur la chaîne ABC, Barack Obama est interrogé par une sélection de présentatrices, dont la journaliste Barbara Walters et l'actrice Whoopi Goldberg.
Selon un court extrait retransmis par la chaîne mercredi, M. Obama revient sur les obstacles rencontrés depuis son arrivée au pouvoir début 2009, en souriant: "Par où commencer?"
Il mentionne "un effort continu pour redémarrer l'économie", "la marée noire", "deux guerres" et "une pandémie d'H1N1 qu'il a fallu gérer".
Sur un ton plus léger, le président évoque aussi ses filles, Malia, 12 ans, et Sasha, 9 ans. Elles sont "pleines d'idées, d'opinions et d'observations (...) c'est tout simplement un super âge", a-t-il dit.
Il parle aussi de son week-end en famille dans le Maine mi-juillet comme un de ses bons moments récents.
Plus tôt dans la journée mercredi, le président Barack Obama s'est fait l'avocat d'aides supplémentaires aux petites entreprises dans une sandwicherie du New Jersey (est). Il était attendu à New York pour une soirée de collecte de fonds en faveur du parti démocrate
L'Algérie manque cruellement d'un port en eaux profondes
Les capacités de transport de marchandises en Méditerranée ont augmenté de 50 % en dix ans Les capacités de transport de marchandises en Méditerranée sont en augmentation constante. Selon une récente étude publiée par l'Agence française de développement, les capacités de transport maritime en circulation en Méditerranée ont augmenté de plus de 50%, entre 1997 et 2006. La croissance annuelle du transport de pétrole s'est élevée à 6%, elle est de 7 à 8 % pour le transport de gaz naturel liquéfié (GNL), de 10 % pour les conteneurs et de 5 % pour le roulier. Il faut savoir, dans ce sens, que la Méditerranée permet les échanges de produits manufacturés entre l'Europe et l'Asie et l'approvisionnement de l'Europe en produits énergétiques à partir des pays du Golfe. Pour répondre à l'évolution des échanges sur de grandes distances, la taille des navires a considérablement augmenté, conduisant les pays à se doter d'infrastructures portuaires adaptées. Le trafic de navires porteconteneurs a augmenté de 71 % et la taille moyenne des bateaux a augmenté de 55 % entre 1997 et 2006. Aussi, plusieurs ports méditerranéens opèrent leur mue pour faire face à cette nouvelle donne, comme Port Saïd (Egypte), Tanger Med (Maroc), Algésiras (Espagne), Marsarxlokk (Malte) et Gioia Tauro (Italie). Ils sont essentiellement destinés aux activités de transbordement. Mais l'Algérie, qui bénéficie pourtant d'une position stratégique en plein cœur de la Méditerranée à l'orée de l'Europe, de l'Afrique et aux portes de l'Atlantique, ne dispose pas d'un port en eaux profondes capable d'aspirer une partie de ce marché qui s'ouvre à elle et capable de concurrencer les ports de la région. En effet, l'Algérie ne dispose que d'une dizaine de ports commerciaux avec un faible tirant d'eau et une inefficacité logistique avérée, ce qui provoque un manque à gagner évalué à plusieurs milliards de dollars annuellement. Cecii rend la réalisation d'un port en eaux profondes urgente. Si on avait pensé un temps faire du port de Djendjen un hub portuaire d'importance, vu sa proximité des voies de transport, et d'une zone industrielle en devenir, le projet pourrait se heurter à des problèmes techniques liés à sa vulnérabilité aux aléas climatiques et à l'ensablement, ce qui conduirait à des surcoûts incalculables. Selon les analystes, le projet aurait plus de chances d'aboutir en le situant dans le centre du pays.
Il aurait de fait une position stratégique, vu le développement du réseau de transport avec la réalisation de l'autoroute Est Ouest et le développement du réseau ferroviaire, ainsi que les projets de réalisations de grandes plateformes logistiques dans la région. Il faut savoir que la question revêt un caractère prioritaire d'autant plus, que selon les prévisions de l'AFD, à l'horizon 2025, tablent sur des investissements à venir dans les pays méditerranéens en matière de transport, ce qui permettra de réaliser des économies d'échelle grâce à la massification des traitements de marchandises. Les investissements concernent l'amélioration des liaisons routières avec les ports et les plateformes logistiques. La chaine logistique se professionnalise avec l'arrivée des grands acteurs internationaux. Aussi, plusieurs autoroutes de la mer font leur apparition. L'Asie reste de très loin le principal partenaire commercial et la principale origine du transport hors vrac. Aussi, l'augmentation des échanges et surtout l'augmentation de la taille des navires conduisent les Etats à envisager des agrandissements et des créations de ports en eaux profondes. Les projets identifiés avant la crise de 2008/2009 correspondent à une augmentation d'un facteur de 2,2 sur dix ans de l'offre de traitement de conteneurs.
Samira G.
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