阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, June 11, 2009

Système Euro-Méditerranéen d'Information sur les savoir-faire dans le Domaine de l'Eau


Tunisie/Tourisme, Des signes positifs en attendant l’été Consultant







Publié le jeudi 11 juin 2009 à 09:53
Pas de progression spectaculaire certes, pas de recul non plus. En cette conjoncture morose, toute hausse, quelque modeste soit-elle, met du baume au cœur.Au cours des cinq premiers mois de 2009, quelque 2 248.010 touristes ont mis le cap sur la Tunisie, contre 2 218.433 au cours de la même période de 2008, soit une hausse de 1,3 %, générant des recettes en devises de + 3%. Mais, cette légère progression renferme des reculs, tantôt légers tantôt significatifs. Les marchés européens réunis sont ainsi en baisse de 6,8 % par rapport à 2008. Ca aurait pu être pire, si ce n’était l’ampleur des actions engagées en termes de prospection, d’actions promotionnelles et de fonds débloqués.Ainsi, 1.091.033 touristes du vieux continent ont convergé vers la Tunisie de janvier à mai 2009 contre 1.170.269 au cours des cinq premiers mois de 2008. Avec 480 132 touristes, les Français sont en recul de 1,6 %. Notons que les responsables du secteur aspirent à une stabilité du marché français : "La Tunisie a accueilli en 2008, 1 400 000 touristes français. Si on fait le même chiffre en 2009, ça va être un bon indicateur pour le tourisme tunisien", avait souligné le ministre du Tourisme lors de l’une de ses dernières apparitions médiatiques Le marché allemand qui s’est montré capricieux ces dernières années est en repli de 7,3 % avec 137.754 touristes les cinq premiers mois de 2009 contre 148.527 touristes la même période de 2008. Les marchés britannique, italien et scandinave sont, également, sur une courbe descendante avec respectivement -3,6 %, -10,5 % et -24,6%. Les Européens de l’Est qui ont été nombreux à visiter la Tunisie l’année dernière, se sont montrés plus ou moins rares en cette première moitié de 2009, avec – 29,9 % de Serbes, -44,4 % de Tchèques, -39,3 de Slovaques, -42 % d’Hongrois, et -48,7% de Roumains. Les Bulgares ont inversé cette tendance baissière, avec une augmentation de 117,5 % mais leur nombre demeure limité, avec 1.575 cette année contre 724 durant la même période de l’année écoulée.Et nos voisins maghrébins ? Le marché libyen tient toujours le haut du pavé, avec 810.538 en 2009, contre 692.263 en 2008, soit une hausse de 17,1 %. Nos voisins algériens étaient moins nombreux à visiter la Tunisie en 2009 avec 270.402 en ces cinq premiers mois contre 280.637 en 2008, (- 3,6 %). Les prévisions restent toutefois prometteuses pour la haute saison et laissent penser que l’engouement des Algériens pour la Tunisie sera intact. Les Mauritaniens qui viennent essentiellement pour motifs de soins sont en hausse de 9,2 % avec 4.432 touristes et les Marocains sont en baisse de 6,2 % avec 10,966 touristes en ce début 2009. Les marchés Nord-américains ont gardé une certaine stabilité avec 15.986 Américains et Canadiens qui ont débarqué en Tunisie de janvier à mai 2009. Les recettes en devise ont progressé de 3 % en dinars, avec 1.097,7 en 2009 contre 1.065,5 MD en 2008 et de 0,8 % en euros, 594 M euros contre 589 M euros. Avec des nuitées en baisse de 5 %, les recettes touristiques par nuitée ont enregistré une hausse de 8,2 %, 123,7 dinars en 2009 contre 114,3 dinars en 2009 et les recettes par touristes ont légèrement augmenté de 1,7 % soit 488,3 dinars contre 480,3 dinars. Qu’en est-il de la haute saison ? Pas d’indications précises pour le moment, mais il faut compter avec les impondérables. Les responsables du secteur ne se lassent pas, en effet, de marteler que 2009 est l’année du last minute… l’époque où les vacances se planifiaient à l’avance semble être balayée par la crise et les contraintes qu’elle a imposées aux ménages, à leur corps défendant.
H.J.

Algerie Union européenne



L’Algérie veut rééquilibrer l’accord d’association avec l’UE

L’Algérie proposera un rééquilibrage de l’accord d’association avec l’Union européenne selon le ministre des Affaires étrangères Mourad Medelci.jeudi 11 juin 2009.
L’Algérie, qui juge l’accord très défavorable pour ses intérêts compte tenu de la quasi-absence d’investissements économiques européens dans notre pays, veut proposer de nouveaux mécanismes de coopération avec l’UE. « On ne peut pas développer une coopération si la sphère économique (européenne) n’investit pas », a déclaré M. Medelci qui était l’invité de la Chaîne I de la radio nationale, soulignant qu’« il est de notre droit de demander à l’Europe, qui est le plus grand partenaire de l’Algérie, de renforcer ses investissements dans notre pays ». Le ministre reconnaît également que l’UE pourrait, elle aussi, faire des reproches à l’Algérie sur certains points. Toutefois, M. Medelci assure qu’« il n’y a pas de crise entre les deux parties », expliquant qu’« il est de tradition que les partenaires se disent des vérités ».
Interrogé sur les réserves émises par l’Algérie au sujet de l’Union pour la Méditerranée (UPM), il a expliqué que « nos réserves ne sont pas liées à notre présence au sein de cette organisation, mais ont été émises après l’affaire de Gaza, où un pays membre de l’UPM (Israël) a agressé un autre pays membre (Palestine) ». « L’Algérie intègre toute organisation avec responsabilité », a-t-il ajouté, soulignant qu’« elle est membre de l’UPM, et celle-ci est bâtie sur une initiative qui se concrétise par des projets concrets, comme celui de la dépollution de la Méditerranée ». Abordant les relations avec la France, M. Medelci a d’abord précisé qu’elles sont stratégiques. Il a assuré qu’« il y a une intention, au plus haut niveau politique des deux côtés, d’améliorer la relation » entre les deux pays. L’amélioration de cette relation passe, a indiqué M. Medelci, par « le traitement de questions relatives à la mémoire et à l’économie ».
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

Algérie : Huit agences de voyages pour le hadj 2009





Une rencontre a été organisée, hier, par la Fédération nationale des agences de voyages autour de la préparation
du hadj 2009, avec la participation d'un représentant de l'Office national du hadj et du directeur des affaires religieuses de la wilaya d'Oran. Les participants ont notamment débattu des principales difficultés rencontrées lors de ce pèlerinage et ont abordé lors d'un débat toutes les questions relatives à leur activité dans le but de mieux organiser le séjour des hadjis. Il a été question également de préconiser des solutions devant le représentant de l'office, telle celle retenue en vue de confier cette année le hadj à un nombre limité d'agences afin de mieux organiser l'opération. Ainsi, pour cette année, 8 agences basées à Oran se chargeront de cette opération. Par ailleurs, la question de la formation des guides devant accompagner les futurs pèlerins a été posée, notamment en ce qui concerne les aspects religieux et inhérents aux différentes étapes du hadj, étant donné qu'il a été constaté sur le terrain que certains hadjis algériens étaient complètement abandonnés et, par conséquent, effectuent leur devoir religieux dans de mauvaises conditions. A ce titre, un gérant d'agence de voyages a émis le voeu d'augmenter le nombre de ces guides et de se rapprocher de la norme requise, à savoir un guide pour 50 hadjis, alors que dans le passé ils n'étaient en moyenne qu'un guide pour 250 hadjis, une défaillance de taille qui s'est répercutée directement sur la qualité du séjour. Un autre a abordé la question des garanties imposées par les autorités saoudiennes estimées à 100.000 ryals. A ce sujet, il a été préconisé de procéder à des groupements d'agences de voyages pour éviter de telles dépenses, comme cela se fait dans d'autres pays. La question du transfert de devises a été également posée par un présent, qui a considéré que la circulaire 01-07 relative au transfert d'argent émanant de la Banque d'Algérie est restée sans application. Etde ce fait, il serait question que des démarches soient entreprises auprès de cet établissement bancaire pour que des facilités soient mises en oeuvre, au même titre que les importateurs qui, dans le cadre de la domiciliation, profitent du taux de change officiel, alors que les agents de voyages sont contraints de se rabattre sur le marché parallèle.
Salah C.