Mr le Président Nicolas Sarkozy s'exprimera lundi dans une émission d'une heure sur France 2 où il répondra à "toutes les questions d'actualité", a annoncé la chaîne, vendredi 9 juillet.
Friday, July 09, 2010
Mr le Ministre Mr Smail Mimoune: la promotion du tourisme est l’affaire de tous
Algérie – Le ministre du Tourisme et de l’artisanat, M. Smail Mimoune, a affirmé jeudi à Skikda que la promotion du tourisme « est l’affaire de toute la société », la mission de l’Etat étant de « contrôler, orienter et de réunir les conditions nécessaires à la relance du secteur ». Au cours d’une visite d’inspection effectuée dans le cadre du suivi de la saison estivale, M. Mimoune a précisé que les investisseurs privés se doivent pour leur part de réaliser leurs projets dans les délais prévus et de fournir des services de qualité.
source: APS
L'Union pour la Méditerranée (UPM) la culture, une des priorités
L'Union pour la Méditerranée (UPM) «gagnerait en cohérence et en légitimité en faisant avancer au même rythme ses grands projets économiques et les chantiers culturels et sociaux qui déterminent le succès ou l'échec de la destinée commune que l'Union veut construire des deux côtés de la Méditerranée», a déclaré mercredi à Paris, André Azoulay, conseiller de S.M. le Roi et président de la Fondation Anna Lindh.
Intervenant devant le Conseil culturel de l'UPM, M. Azoulay a regretté la «modestie des moyens financiers et institutionnels mobilisés à ce jour pour donner corps et contenu aux objectifs d'intégration sociale et culturelle qui sont les corollaires immédiats et incontournables du postulat euro-méditerranéen». Dans la même perspective, le conseiller spécial du Président Sarkozy, Henri Guaino a souligné la nécessité de prendre en compte avec la même hiérarchie de priorité, les impératifs du dialogue de toutes nos cultures nourri par la logique méditerranéenne retrouvée du respect mutuel et d'une connaissance mieux partagée. Sous la présidence de Renaud Muselier, le Conseil culturel de l'Union pour la Méditerranée a confirmé, par ailleurs au cours de cette réunion, le lancement de plusieurs projets parmi lesquels ceux inscrits dans le programme «Maarifa», pour lequel ont été sélectionnés et retenus le projet Mektaba», présenté par la chaîne éducative marocaine «Al Arrabia», le projet «Chabab» proposée par la chaîne palestinienne «Watan TV « et le projet «Madrassati» conçu par Jordan Radio et Télévision et qui vise à restructurer les écoles jordaniennes par le déploiement du numérique et la création de contenus multimédias éducatifs. Le Jury qui a sélectionné ces 3 projets, avait à examiner dix propositions présentées par le Maroc, la Palestine, l'Algérie, la Jordanie, la Syrie et le Yémen.
Par MAP
Mr le Président Barack Obama exhorte Israël à saisir une chance de faire la paix
Le président américain Barack Obama a déclaré à une chaîne de télévision israélienne qu'il jugeait possible de réaliser la paix au Proche-Orient durant son mandat, et il a incité l'Etat juif à ne pas laisser passer cette possibilité
Nous n'aurons probablement pas de meilleure occasion que celle qui nous est offerte en ce moment. Il faut la saisir", a dit le chef de la Maison blanche, qui a reçu cette semaine le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. L'interview a été accordée à Channel 2, qui a diffusé ses propos jeudi.
Netanyahu, qui s'exprimait jeudi à New York, a toutefois dit qu'Israël n'était pas prêt à prolonger le gel partiel des constructions de logements juifs en territoire occupé. Cette prolongation serait de nature à amener les Palestiniens à engager les discussions directes qu'Obama souhaite voir intervenir d'ici septembre.
"Je crois que nous en avons fait assez. Venons-en aux pourparlers", a dit le dirigeant israélien au Council on Foreign Relations, groupe de réflexion basé à New York.
Obama a jugé "excellent" son entretien de mardi avec Netanyahu, durant lequel il a engagé Israéliens et Palestiniens à reprendre des négociations directes, de préférence aux pourparlers indirects actuellement menés sous médiation américaine.
Comme on lui demandait s'il pensait qu'un accord de paix pouvait intervenir durant son mandat présidentiel, qui expire en janvier 2013, il a répondu: "Je crois que oui."
Il a dit s'attendre à un processus éprouvant, mais en notant que "le fait qu'il (Netanyahu) ne passe pas pour une colombe peut d'une certaine façon être utile" et contribuer à rassembler des Israéliens de droite et de gauche derrière un accord.
CONFIANCE
"C'est à mon avis un homme qui comprend que nous disposons d'une fenêtre de tir passablement étroite" a dit Obama au sujet de Netanyahu en soulignant que des Palestiniens modérés - le président Mahmoud Abbas et le Premier ministre Salam Fayyad - étaient actuellement au pouvoir.
"J'ai eu le sentiment que le Premier ministre Netanyahu ne cherchait pas seulement à occuper un espace, une position, mais qu'il entendait se poser en homme d'Etat et placer son pays sur une voie plus sérieuse", a encore dit Obama.
Israéliens et Palestiniens n'ont eu depuis mai que des contacts indirects sous la médiation de l'ex-sénateur George Mitchell, émissaire d'Obama pour le Proche-Orient. Ils ont produit des résultats modestes vers la "solution à deux Etats" préconisée par Washington.
A New York, où il achevait une visite de trois jours aux Etats-Unis, Netanyahu a également dit qu'Israël et les Palestiniens "devaient profiter du moment" pour lancer des négociations directes.
Mais il n'a montré aucune volonté de répondre aux exigences palestiniennes en faveur d'une reprise des discussions qui s'étaient enlisées fin 2008. Les Palestiniens réclament un arrêt complet des constructions de logements juifs en territoire occupé et à Jérusalem-Est.
Obama a prôné des efforts des deux parties pour recréer un climat de confiance.
Profitant de l'interview pour redorer son blason en Israël où beaucoup le considèrent avec suspicion, le chef de la Maison blanche a jugé "très exagérées" les allégations selon lesquelles sa précédente rencontre avec Netanyahu aurait été glaciale ou très affectée par leurs désaccords sur la colonisation.
Interrogé sur les doutes exprimés en Israël quant à la solidité de son engagement pour l'avenir de l'Etat juif, Obama a répondu que cela tenait "peut-être simplement au fait que (son) deuxième prénom est Hussein, ce qui inspire des soupçons" en raison des liens que cela implique avec le monde musulman.
Il a réaffirmé le soutien de Washington à Israël en rappelant que son gouvernement lui avait "fourni une assistance plus grande en matière de sécurité qu'aucune autre administration passée".
avec Jeffrey Heller à New York, Philippe Bas-Rabérin pour le service français
lexpressfr_
Netanyahu, qui s'exprimait jeudi à New York, a toutefois dit qu'Israël n'était pas prêt à prolonger le gel partiel des constructions de logements juifs en territoire occupé. Cette prolongation serait de nature à amener les Palestiniens à engager les discussions directes qu'Obama souhaite voir intervenir d'ici septembre.
"Je crois que nous en avons fait assez. Venons-en aux pourparlers", a dit le dirigeant israélien au Council on Foreign Relations, groupe de réflexion basé à New York.
Obama a jugé "excellent" son entretien de mardi avec Netanyahu, durant lequel il a engagé Israéliens et Palestiniens à reprendre des négociations directes, de préférence aux pourparlers indirects actuellement menés sous médiation américaine.
Comme on lui demandait s'il pensait qu'un accord de paix pouvait intervenir durant son mandat présidentiel, qui expire en janvier 2013, il a répondu: "Je crois que oui."
Il a dit s'attendre à un processus éprouvant, mais en notant que "le fait qu'il (Netanyahu) ne passe pas pour une colombe peut d'une certaine façon être utile" et contribuer à rassembler des Israéliens de droite et de gauche derrière un accord.
CONFIANCE
"C'est à mon avis un homme qui comprend que nous disposons d'une fenêtre de tir passablement étroite" a dit Obama au sujet de Netanyahu en soulignant que des Palestiniens modérés - le président Mahmoud Abbas et le Premier ministre Salam Fayyad - étaient actuellement au pouvoir.
"J'ai eu le sentiment que le Premier ministre Netanyahu ne cherchait pas seulement à occuper un espace, une position, mais qu'il entendait se poser en homme d'Etat et placer son pays sur une voie plus sérieuse", a encore dit Obama.
Israéliens et Palestiniens n'ont eu depuis mai que des contacts indirects sous la médiation de l'ex-sénateur George Mitchell, émissaire d'Obama pour le Proche-Orient. Ils ont produit des résultats modestes vers la "solution à deux Etats" préconisée par Washington.
A New York, où il achevait une visite de trois jours aux Etats-Unis, Netanyahu a également dit qu'Israël et les Palestiniens "devaient profiter du moment" pour lancer des négociations directes.
Mais il n'a montré aucune volonté de répondre aux exigences palestiniennes en faveur d'une reprise des discussions qui s'étaient enlisées fin 2008. Les Palestiniens réclament un arrêt complet des constructions de logements juifs en territoire occupé et à Jérusalem-Est.
Obama a prôné des efforts des deux parties pour recréer un climat de confiance.
Profitant de l'interview pour redorer son blason en Israël où beaucoup le considèrent avec suspicion, le chef de la Maison blanche a jugé "très exagérées" les allégations selon lesquelles sa précédente rencontre avec Netanyahu aurait été glaciale ou très affectée par leurs désaccords sur la colonisation.
Interrogé sur les doutes exprimés en Israël quant à la solidité de son engagement pour l'avenir de l'Etat juif, Obama a répondu que cela tenait "peut-être simplement au fait que (son) deuxième prénom est Hussein, ce qui inspire des soupçons" en raison des liens que cela implique avec le monde musulman.
Il a réaffirmé le soutien de Washington à Israël en rappelant que son gouvernement lui avait "fourni une assistance plus grande en matière de sécurité qu'aucune autre administration passée".
avec Jeffrey Heller à New York, Philippe Bas-Rabérin pour le service français
lexpressfr_
L’assureur français AXA bientôt implanté en Algérie
Deux ans après les premières négociations avec le gouvernement algérien, l’implantation du groupe français Axa en Algérie est imminente. Selon une source proche du ministère des Finances interviewée par Tout sur l’Algérie, l’assureur français vient de finaliser la création de ses deux filiales. L’une dans l’assurance dommage et l’autre dans l’assurance
Mr le Président Nicolas Sarkozy soutient la Colombie à l'OCDE
Sarkozy soutient la Colombie à l'OCDE
Nicolas Sarkozy a assuré jeudi la Colombie de son soutien pour son entrée dans l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), a annoncé le nouveau président colombien Juan Manuel Santos. "Nous avons demandé au président Sarkozy l'appui de la France pour notre entrée dans l'OCDE. De façon très généreuse, il nous l'a offert, de même qu'Angela Merkel (la chancelière allemande)", a déclaré le président colombien qui ne prendra ses fonctions qu'en août. "C'est un processus très important pour la Colombie qui va nous permettre d'appartenir à une organisation où les sujets de développement, les sujets sociaux, les sujets économiques sont traités au plus haut niveau", a-t-il ajouté.
Le Parlement européen dit « oui » au service diplomatique
Fenêtre sur l'Europe]
Les députés européens ont approuvé le 8 juillet la création d'un service européen d'action extérieure (SEAE).
Ils ont avalisé à une très large majorité l'accord conclu le 21 juin à Madrid par les trois rapporteurs - Elmar Brok (PPE, Allemagne), Guy Verhofstadt (ADLE, Belgique) et Roberto Gualtieri (S&D, Italie) - avec la Haute représentante Catherine Ashton. Ce vote met fin à une lutte interinstitutionnelle qui avait freiné la création du service.
Aigle Azur et Air Mali unissent leurs forces
Afin de mieux servir leurs clientèles, les compagnies Aigle Azur et Air Mali ont décidé d'unir leurs forces pour optimiser la desserte entre Paris et Bamako. Ainsi, un contrat réciproque de représentation commerciale a été signé, le 5 Juillet 2010, entre M. François HERSEN, président du directoire d'Aigle Azur, et M. Abdérahmane BERTHE, directeur général d'Air Mali. Cet accord, effectif à compter du 1er Août 2010, permettra à Air Mali de commercialiser les trois fréquences hebdomadaires d'Aigle Azur, opérées en Airbus A321. Les destinations africaines du réseau d'Air Mali au départ de Bamako font partie intégrante de cet accord et pourront être vendues par Aigle Azur. Notons, par ailleurs que, l'assemblée générale extraordinaire d'Aigle Azur, qui s'est réunie le 15 juin 2010, a approuvé la modification de gouvernance de la compagnie aérienne, en créant un conseil de surveillance et un directoire. Le conseil de surveillance est présidé par Arezki Idjerouidene, avec Meziane Idjerouidene en qualité de vice-président. François Hersen a été nommé président du directoire, assisté de Jean-Louis Clauzier. François Hersen, président du directoire, dispose d'une longue expérience dans le secteur du transport aérien. Après des débuts à la direction technique d'Air Inter, il a été successivement directeur Général d'Aéromaritime, directeur des Affaires aériennes d'AOM, Président du directoire d'Aéris et Président d'Air Caraïbes Atlantique. " Des ouvertures de lignes sont à l'étude ; nous projetons d'ouvrir prochainement la ligne Paris - Bagdad " déclare François Hersen. Aigle Azur conserve sa forme juridique de Société par actions simplifiée. La Compagnie aérienne est filiale à 100% du Groupe GoFast, spécialisé dans le transport et la logistique. Aigle Azur est aujourd'hui la 3e compagnie aérienne française. Créée en 1946 par Sylvain Floirat, Aigle Azur est la plus ancienne des compagnies françaises privées et bénéficie d'un vaste patrimoine historique. Reprise, en 2001, par le Groupe GoFast, présidé par Arezki Idjerouidene, elle dessert aujourd'hui de nombreuses destinations sur le pourtour du bassin méditerranéen : Algérie, Portugal, Mali, Maroc, Tunisie. François Hersen dirige la compagnie en qualité de président du directoire. L'exercice clos au 31 mars 2010 a généré un chiffre d'affaires de 287 millions d'euros pour un résultat courant de +10 millions d'euros, soit une forte progression par rapport à l'année précédente. Aigle Azur a transporté 1,7 million de passagers en 2009 à bord de ses 12 Airbus de la famille A320, grâce à 300 vols réguliers proposés chaque semaine. Pour ce qui concerne la saison estivale 2010 , Aigle azur a sensiblement renforcé son offre. Les fréquences ont été augmentées aux départs de tous les aéroports desservis par la compagnie laquelle a augmenté ses capacités en sièges de 20% à 22% en moyenne. Pour la destination Algérie, deux nouvelles lignes ont d'ailleurs été inaugurées : Mulhouse-Oran et Tlemcen-Lille. Aigle Azur a été la première compagnie à lancer des promotions sur la destination Algérie et dans les deux sens. Aujourd'hui, la compagnie couvre un total de 30 destinations dont l'Algérie. La destination Algérie offre 13 lignes au départ de la France. L'année, passée, Aigle Azur a effectué 3185 vols entre l'Algérie et la France. La compagnie compte 200 agences équipées en étiquette.Klilya B.
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Changement climatique : le GIEC s'est peu trompé
AFP
Les climatosceptiques, notamment le très médiatisé Claude Allègre, vont devoir réviser leur copie. Deux rapports indépendant, l'un néerlandais, l'autre britannique, donnent largement raison aux conclusions du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), dont la rigueur et l'honnêteté scientifiques sont attestées par les deux enquêtes, révèle le quotidien Le Monde daté de ce samedi.
Fin novembre, un scandale était né de la divulgation, sur le Net, d'un millier de courriels piratés dans les serveurs du Climatic Research Unit, en Grande-Bretagne, accréditant l'idée que les supposées sciences du climat désignant les activités humaines comme responsables du changement climatique - et notamment du fameux réchauffement - étaient fondées sur des manipulations et des dissimulations de données. Ce «Climategate», comme on l'a appelé, avait pesé, le mois suivant, sur le Sommet de Copenhague.
Critiques marginales
Les critiques, car il y en a, portent sur des erreurs que le GIEC a lui-même reconnues : une coquille dans les milliers de pages de son rapport datait en 2035 (au lieu de 2350 ?), la fonte totale des glaciers himalayens; la disparition de 55% du territoire néerlandais sous le niveau moyen de la mer, contre 26 % en réalité. L'erreur consistait ici à inclure les 29 % du territoire classés en zone inondable. Pour le reste, «aucune erreur significative» n'a été relevée.
L'étude néerlandaise réclame toutefois davantage de transparence quant à la provenance de certaines affirmations et reproche aux travaux du GIEC de mettre l'accent sur les aspects négatifs du changement climatique plutôt que sur les aspects positifs. Ce à quoi le GIEC a répondu que la mission que lui ont assigné les gouvernements est précisément « de mettre l'accent sur les changements dont il faut se protéger ».
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