阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, August 16, 2009

Oscar Pistorius Youtube soutien énergie respect



Oscar Pistorius est né sans péronés, et a été amputé des deux pieds alors qu’il n’avait que onze mois. Il court avec deux prothèses en carbone spécialement conçues pour la compétition handisport (d’un coût supérieur à 20 000€). Les départs sont lents et il a des difficultés à négocier les virages.
Pistorius participe aux Jeux paralympiques d’été de 2004 et obtient un classement honorable : 3e au 100 m catégorie T44, qui comprend des coureurs amputés d’un seul membre. Il remporte également la finale du 20o m malgré une chute en qualifications, avec un temps de 21 s 97.
En 2005, Pistorius se classe 6e sur 400 m aux championnats d’Afrique du Sud. En mars 2007, il réalise un temps de 46 s 56 et prend la seconde place.
Oscar Pistorius n’a pas obtenu le minimum de qualification pour les championnats du monde d’Osaka (2007) mais sa participation à deux meetings de l’IAAF (dont le Golden Gala à Rome), dans des compétitions durant lesquelles il a couru avec des athlètes non-handicapés (la course B à Rome où il a terminé 2e — disqualifié à Sheffield en raison d’une sortie de son couloir, sous la pluie). Sa course à Rome a fait la une des médias et provoqué une avalanche de réactions (favorables et défavorables). L’IAAF a demandé à la télévision italienne de ne pas retransmettre la course d’Oscar Pistorius dans la fenêtre « internationale » et a envoyé des délégués pour une analyse technique de sa course (avantages éventuels d’utiliser des prothèses spéciales).
La Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) a dévoilé le 14 janvier 2008 les conclusions d’un rapport commandé au professeur allemand Peter Brüggemann, de l’Université du Sport à Cologne. Selon ce rapport, les fines prothèses en fibre de carbone utilisées par Pistorius procurent au Sud-Africain un avantage sur les athlètes valides. Le conseil de l’IAAF a décidé en conséquence que Pistorius ne devait pas être autorisé à courir aux Jeux de Pékin ni dans les autres compétitions organisées par la Fédération internationale.
Un recours au Tribunal arbitral du sport a été déposé par la suite ; les conclusions rendues le vendredi 16 mai 2008 vont dans le sens inverse. Si Oscar Pistorius réussit les minima, il pourra participer aux Jeux Olympiques en individuel, le relais relevant de la décision des entraîneurs sud-africains.
Il échoue dans sa tentative d'aller aux Jeux Olympiques 2008 pour 70 centièmes de secondes.

Paul McCartney & Michael Jackson Youtube


John Lennon Imagine Youtube


L’UE, pionnière dans la lutte contre les émissions de CO2



L'Union européenne reste le 3e pollueur mondial après la Chine et les États-Unis, mais dispose d'atouts pour lutter contre le réchauffement.
L'UE a lancé en 2005 le marché de permis européen (1er marché de permis contraignant au niveau mondial). La Commission européenne va en 2007-2008 activer son observatoire de l'énergie, restée embryonnaire, et publier (prévu en 2007) un « Livre vert » sur l'adaptation de l'UE au changement climatique, support de débat avant une prise de décision en 2008. La Directive sur le système européen d'échange de droits d'émission sera modifiée en 2008, pour inclure notamment les émissions de l'aviation. La proposition sur les limites d'émission des voitures (120 g de CO2 par km soit 12 kg de CO2 / 100 km; rappelons que chaque automobile parcourt en moyenne 15 000 km/an) devrait être publiée au second semestre de 2007. La DG Recherche doit proposer en novembre un plan européen, et des propositions de législation sur les piles à combustibles et les avions « propres ». Des appels d'offre sur l'énergie et le climat devraient être publiés avant mi 2007. Le 29 juin 2007, la commission publie et met en consultation un Livre vert sur la question et sur les possibilités d'action de l'UECOM(2007) 354 final). Il prône à la fois l'adaptation et l'atténuation, l'amélioration des connaissances (y compris sur les besoins et coûts d’adaptation - Cf. 7e programme-cadre de recherche de l’UE (2007-2013), l’élaboration de stratégies et d’échanges de bonnes pratiques entre pays, de nouveaux produits assurantiels (« dérivés climatiques », « obligations catastrophe », l’adaptation des marchés européens des assurances (cf. directive « Solvabilité II ») et des fonds « catastrophes naturelles » ainsi que des politiques agriculture et pêche, avec le développement d’une solidarité interne à l’UE et avec les pays extérieurs touchés. 50 millions € sont réservés par la Commission pour 2007-2010 pour favoriser le dialogue et l’aide à des mesures d’atténuation et d’adaptation ciblées, dans les pays pauvres.
La France a également (juillet 2007) publié une Stratégie nationale d’adaptation au changement climatique[14 et envisagerait une gouvernance adaptée, notamment dans le cadre du Grenelle de l'Environnement.
L'UE dispose de ressources en éolien terrestre et offshore (déjà 66 % de la puissance éolienne installée dans le monde en 2006, essentiellement au Danemark qui produit ainsi près de 40 % de sa puissance électrique) devant les États-Unis (16 %), l’Inde (8 %) et le Japon (2 %), en technologies solaires et d'un tiers du parc nucléaire mondial. Cela la rend moins dépendante des énergies fossiles que la Chine et les États-Unis. La France, pays le plus nucléarisé, reste cependant loin du record de 1961 où 51 % de son énergie électrique venait du renouvelable (hydroélectrique).
L'UE encourage aussi tous les acteurs à préparer leur adaptation au changement climatique

Le recul des glaciers de montagnes



À quelques exceptions près, la plupart des glaciers montagnards étudiés sont en phase de recul.
Les glaciers de l'Himalaya reculent rapidement et pourraient disparaître dans les cinquante prochaines années, selon des experts réunis à Katmandou pour une conférence sur le réchauffement climatique le 4 juin 2007. Les températures dans cette région ont crû de 0,15 °C à 0,6 °C tous les 10 ans au cours des 30 dernières années. De nombreux travaux documentent ce recul et cherchent à l'expliquer. Un tel recul semble tout à fait cohérent avec un réchauffement du climat. Cependant, cette hypothèse n'est pas certaine, certains glaciers ayant commencé à reculer au milieu du XIXe siècle, après la fin du petit âge glaciaire. L'avancée ou le recul des glaciers sont récurrents et liés à de nombreux facteurs, parmi lesquels les précipitations ou le phénomène El Niño jouent un rôle important. Par exemple le recul actuel de la mer de Glace à Chamonix découvre des vestiges humains du Moyen Âge, preuve que le glacier a déjà reculé davantage que de nos jours à une période historiquement proche.
Il faut également souligner la quasi-absence de données sur les glaciers himalayens. Par exemple, des données fiables n'existent que pour 50 glaciers indiens, sur plus de 9 500

Antarctique




En Antarctique, les mesures par satellites, faites depuis 1979 ne montrent pas actuellement de diminution de surface, contrairement à la banquise Arctique. Cependant, on observe un certain nombre de phénomènes exceptionnels. Ainsi, 3 500 km2 de la banquise Larsen B, (l'équivalent en surface des deux tiers d'un département français), se sont fragmentés en mars 2002, les premières crevasses étant apparues en 1987. Cette banquise était considérée comme stable depuis 10 000 ans. Au mois d'avril 2009, la plaque Wilkins, dont la superficie était naguère de 16 000 km2 s'est également détachée[

La fonte de la banquise



Plusieurs études indiquent que les banquises sont en train de se réduire. Le satellite spécialisé CryoSat-2, qui sera mis en orbite en 2009 après l'échec du premier satellite CryoSat en 2005, fournira des informations plus précises sur les quantités de glace polaire

Réchauffement climatique



Le réchauffement climatique, également appelé réchauffement planétaire, ou réchauffement global, est un phénomène d'augmentation de la température moyenne des océans et de l'atmosphère, à l'échelle mondiale et sur plusieurs années. Dans son acception commune, ce terme est appliqué au changement climatique observé depuis environ 25 ans, c'est-à-dire depuis la fin du XXe siècle.
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est chargé d'établir un consensus scientifique sur cette question. Son dernier et quatrième rapport, auquel ont participé plus de 2 500 scientifiques de 130 pays, affirme que la probabilité que le réchauffement climatique depuis 1950 soit d'origine humaine est de plus de 90 % Ces conclusions ont été approuvées par plus de 40 sociétés scientifiques et académies des sciences, y compris l'ensemble des académies nationales des sciences des grands pays industrialisés