阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, July 24, 2010

Facebook 500 millions de membres actifs.


Facebook, "troisième Etat" de la planète
Facebook est désormais le troisième pays au monde derrière la Chine et l'Inde", clament les spécialistes des nouvelles technologiques. Le réseau social vient juste d'atteindre les 500 millions de membres actifs. Le site comptait 200 millions de membres en avril 2009, 300 millions six mois plus tard. La comparaison avec un Etat est évidemment exagérée. Le réseau social, société privée enregistrée aux Etats-Unis, n'est pas un Etat. C'est juste une plate-forme virtuelle sur laquelle les internautes peuvent se construire des profils, accéder et communiquer avec ceux des autres. Mais Facebook reste un véritable phénomène. Au point d'ailleurs qu'Hollywood vient de lui consacrer un film, Le Réseau social. Comment expliquer pareil succès ? Sera-t-il durable ?La plate-forme a été créée en 2004 par Mark Zuckerberg, encore étudiant à Harvard à l'époque et âgé de 20 ans, un an après MySpace, Last.fm, ou Orkut, et deux ans après Friendster. Ces réseaux sociaux ont tous connu le succès à un moment ou à un autre, ou le connaissent encore, mais pas dans les proportions de Facebook. MySpace, son principal concurrent, est en perte de vitesse : l'audience aurait diminué de moitié ces six derniers mois.
"Facebook a mieux réussi que les autres à interpréter les demandes des utilisateurs, surtout en termes de simplicité, en créant une interface riche permettant en peu de clics d'accéder à un monde de services qui d'habitude n'est pas à la disposition des utilisateurs lambda mais des experts (jeux, e-mail, chat, etc.)", estime Vincenzo Cosenza, spécialiste des réseaux sociaux et directeur de l'agence italienne de communication Digital PR. "C'est gratuit, simple et cela s'est énormément propagé parce que ce réseau a d'abord ciblé les étudiants pour leur permettre de correspondre entre eux. Plus récemment, les moins jeunes s'y sont également mis, et maintenant les habitants de pays non occidentaux", relève Christine Balagué, spécialiste des réseaux sociaux, professeur à l'institut Télécom.
Apparu alors que le phénomène des réseaux sociaux était en plein boom, Facebook a réussi à innover, proposant aux développeurs informatiques tiers d'adapter des programmes logiciels pour la plate-forme. Des milliers d'applications ont été rapidement disponibles pour les utilisateurs, leur permettant de personnaliser davantage leur profil ou de renforcer les liens avec d'autres (en éditant par exemple des listes de préférences, en jouant en réseau à des jeux, etc.).
Facebook a aussi réussi sa migration sur les téléphones mobiles intelligents. C'est la première application que téléchargent les détenteurs de ces terminaux. Or, dans quelques années, on utilisera plus son Smartphone pour accéder à Internet que son ordinateur.
Aujourd'hui, c'est l'effet de réseau qui marche à plein. Plus il y a d'inscrits, plus cela incite de nouveaux membres à rejoindre la communauté. La prochaine frontière, c'est le milliard de connectés. C'est celle que s'est fixée M. Zuckerberg. Ce palier pourrait être toutefois plus difficile à atteindre. Sa croissance dans les pays développés ralentit. Le réseau, d'origine américaine, a certes réussi à s'implanter dans des pays de cultures très différentes, comme les Philippines, Singapour ou la Malaisie. Mais dans les pays qu'il n'a pas encore colonisés, il y a des réseaux locaux dominants dont l'utilisation est bien entrée dans les moeurs, tels CV Kontakte et Odnoklassniki en Russie, Orkut (lancé par Google) au Brésil, Maktoob au Moyen-Orient. Il y a des pays historiquement très protectionnistes, comme la Corée, où le service Cyworld domine, et le Japon avec Mixi. Et enfin des pays où la censure empêche Facebook de s'implanter, comme le Vietnam, où le réseau social Zing s'impose, ou la Chine avec QQ.
Données personnelles
Parmi les autres fragilités de Facebook, figurent les problèmes liés au respect de la vie privée. Cette question est au coeur du modèle développé par M. Zuckerberg. Les internautes sont incités à décliner âge, sexe, lieu de résidence pour s'inscrire, puis toute leur intimité lors de leurs échanges avec leurs "amis" du réseau. Facebook va plus loin dans la connaissance de ses membres en étendant le Web social à des sites tiers. Une mine de données personnelles que le réseau social est prêt à monnayer auprès des annonceurs soucieux de cibler au mieux leur publicité.
Le groupe se refuse à donner son chiffre d'affaires mais il semble que le modèle publicitaire commence à porter ses fruits. Le cap du milliard de dollars de revenu annuel devrait être franchi en 2010. Mme Balagué ne croit pas que la question du respect de la vie privée soit de nature à déstabiliser le groupe. "Les internautes sont souvent très soucieux du respect de la vie privée quand on les interroge mais leur conduite en ligne contredit ces déclarations : beaucoup n'hésitent pas à s'épancher", souligne-t-elle.
Elle poursuit : "C'est vrai qu'il y a des gens qui commencent à se désabonner de Facebook, il y a aura un taux de désabonnement non nul, mais je ne crois pas que cela ira plus loin. Aujourd'hui, on a tant de contacts sur Facebook, tant de liens que c'est difficile d'en changer, aussi difficile que de changer de banque." Le danger viendra-t-il de Google ? Le moteur de recherche n'a pas réussi à imposer son réseau social, mais il réfléchit activement à une réplique à Facebook.
Cécile Ducourtieux avec Laurence Girard

Mr Le président américain Barack Obama a téléphoné au roi Abdallah II de Jordanie paix entre Israël et les Palestiniens



Entretien Obama-Abdallah sur la paix
AFP
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Le président américain Barack Obama a téléphoné au roi Abdallah II de Jordanie afin d'évoquer avec lui les efforts déployés pour relancer des négociations directes de paix entre Israël et les Palestiniens, a affirmé aujourd'hui le palais royal.Dans cet appel, reçu dans la nuit, Barack Obama a évoqué "les mesures qui peuvent être prises pour parvenir à des progrès tangibles soutenues par toutes les parties", sur "la base de deux Etats", palestinien et israélien, a indiqué le Palais dans un communiqué.Pour sa part Abdallah II a fait l'éloge de "l'engagement du président Obama et de l'administration américaine pour résoudre le conflit [...] de manière à garantir l'établissement d'un Etat palestinien souverain vivant en paix aux côtés de l'Etat israélien", selon le texte.Le président américain Barack Obama a réitéré début juillet son engagement en faveur de l'établissement d'un Etat palestinien. L'émissaire américain George Mitchell conduit depuis le 9 mai des négociations indirectes, dites "de proximité", entre les deux parties dans le but de relancer le processus de paix bloqué depuis l'offensive israélienne contre la bande de Gaza fin 2008.Source : AFP -->
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Palestine France Paris



La Palestine mieux représentée à Paris
AFP

e ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner a décidé de relever le niveau de représentation diplomatique palestinienne en France de "Délégation générale" à "Mission de Palestine", a-t-on appris aujourd'hui auprès du Quai d'Orsay."Cette décision a été prise par Bernard Kouchner qui devrait l'annoncer officiellement prochainement", a-t-on précisé de même source, confirmant des informations de la presse palestinienne. Selon cette presse, la décision a été prise jeudi et l'Autorité palestinienne en a été informée.A la différence d'un délégué général, le chef d'une Mission bénéficie en France du titre d'ambassadeur devant présenter ses lettres de créance au président de la République.Cette décision française est surtout symbolique car dans les faits la représentation palestinienne en France bénéficie depuis longtemps d'un appui public et d'une protection policière, à l'instar des ambassades sensibles installées dans la capitale.Le délégué général de Palestine en France, en voie de devenir chef de la Mission de Palestine, s'appelle Hael al-Fahoum et a pris ses fonctions il y a quelques semaines en remplacement de Mme Hind Khoury.Hier, les Etats-Unis avaient annoncé qu'ils élevaient le statut de la représentation diplomatique palestinienne à Washington, qui n'avait aucun statut officiel, afin qu'elle puisse se présenter comme la "Délégation générale de l'Organisation de libération de la Palestine".Source : AFP -->
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Mr le Président Nicolas Sarkozy Saint-Nazaire



Sarkozy promet des navires russes à Saint-Nazaire
Nicolas Sarkozy a confirmé hier à Saint-Nazaire, la commande d'un nouveau paquebot de 1 750 cabines par la compagnie MSC aux chantiers de l'Atlantique. Les discussions, très politiques, concernant ces deux navires de type Mistral sont en cours et le contrat n'est pas encore signé. De quoi inciter les salariés à la prudence.


Le discours est bien rodé. Il est d'ailleurs prononcé sans aucune note, devant des centaines d'ouvriers, au pied du Dixmude, un navire en construction pour la Marine nationale. Nicolas Sarkozy « aime » l'industrie de la construction navale et entend le prouver en revenant régulièrement à Saint-Nazaire.


Attendu avec circonspection, il parvient à convaincre à coups de formules chocs des ouvriers ou des élus pas vraiment suspects de sarkomania aiguë. À commencer par Joël Batteux, le maire socialiste de Saint-Nazaire, pour qui « les annonces du Président sur la navale me satisfont alors que celles du gouvernement m'inquiètent chaque jour davantage ».


Le paquebot Fantastica confirmé


Dans un style très volontariste, Nicolas Sarkozy rappelle l'objectif affirmé, notamment « au pire de la crise », en 2008, de sauver le site nazairien. « J'avais dit que je ne laisserai jamais fermer les chantiers. Je tiens parole car c'est stratégique pour la France », lance-t-il aux salariés de STX.


Mais, conscient que les beaux discours ne suffisent pas, Nicolas Sarkozy a attendu d'avoir de bonnes nouvelles pour revenir en Basse-Loire. Et d'annoncer la confirmation de la commande d'un paquebot pour la compagnie MSC. Il s'appellera Fantastica et sera le jumeau du Fantasia, livré en juin 2009. Ce nouveau navire abritera 1 750 cabines au total.


Dans sa besace, Nicolas Sarkozy a aussi amené des promesses de développement dans l'énergie éolienne offshore. Mais c'est évidemment l'annonce, sans conditionnel, de la construction pour la Russie de deux bâtiments de projection et de commandement (BPC) de classe Mistral qui a retenu l'attention.


« Avec nos amis russes, vous allez fabriquer les deux BPC. Le contrat, on est en train de le négocier, mais la décision de le faire, elle, est certaine », a-t-il dit devant les salariés des chantiers navals STX. Dans la coulisse, l'optimisme présidentiel était quelque peu tempéré : « Ce dossier est très politique. Il inquiète les États-Unis et d'anciennes républiques soviétiques ». Les BPC mesurent près de 200 mètres de long pour 21 300 tonnes. Leur coût est évalué à environ 300 millions d'euros. Sur le plan social, Nicolas Sarkozy a demandé avec insistance aux chantiers STX « d'embaucher des jeunes ». Les ex-Chantiers de l'Atlantique emploient aujourd'hui 2 280 salariés et font travailler autant de personnels chez leurs sous-traitants.




Jean-Marie BIETTE.

Tentative d’union au Sahel



La lutte contre les bandes d’Al-Qaïda au Maghreb concerne plusieurs États voisins. Ceux-ci commencent à s’unir, malgré des différends sur la stratégie à mener contre les terroristes islamistes.

Algérie, Mali, Niger, Mauritanie : ces quatre États subissent depuis plusieurs années des attaques menées par les hommes d’Al-Qaïda au Maghreb. La plus récente s’est déroulée à la frontière entre l’Algérie et le Mali. Le 30 juin dernier, des garde-frontières algériens sont tombés dans une embuscade à Tinzaouatine. Onze militaires algériens ont péri dans cette attaque, qui a permis aux rebelles de saisir des armes et du matériel de transmission avant de se retirer dans le nord du Mali.

Selon la presse algérienne, ce groupe était dirigé par l’émir Yahia Abou Amar. La katiba comprendrait des « mercenaires » maliens, mauritaniens et libyens.

« Manque de vision commune »

La composition supposée du groupe témoigne de l’emprise au moins géographique d’Al-Qaïda dans le Sahel et de sa tentative de fédérer les populations. C’est cette union que revendiquait le leader supposé d’Aqmi, Abdelmalek Droukdal, dans un entretien au New York Times en juillet 2008. Selon l’émir, son groupe veut « redonner sa place à l’islam dans la région et placer les populations sous la règle du Coran ». Le chef des islamistes veut « étendre le Jihad (la guerre sainte, N.D.L.R.) à toute la région, des États du Maghreb jusqu’à la côte africaine ».

Les États régionaux, même s’ils tendent à minimiser l’influence d’Al-Qaïda, sont conscients du danger que fait peser l’islam radical sur leurs régimes. Le 14 avril dernier, les responsables militaires du Mali, du Niger, de Mauritanie, de Libye, du Tchad et du Burkina Faso ont rencontré, à Alger, leur homologue algérien, le général Ahmed Gaïd Salah. Celui-ci a appelé ses voisins à « une mise en synergie de nos volontés, de nos expériences respectives et de nos capacités militaires ».

Le général Gaïd Salah a regretté « un manque de vision commune » et appelé à « une étroite coopération militaire active ».

Ce sommet antiterroriste avait été précédé d’une première réunion à Alger, en septembre dernier. Depuis, une brouille s’était instaurée entre le Mali et ses voisins. Bamako a été suspecté de céder aux pressions françaises dans la libération de l’otage Pierre Camatte.

« Connexion avec le crime organisé »

En mars, un premier rapprochement s’était produit, avec la réunion des ministres des Affaires étrangères des pays du Sahel. Selon le chef de la diplomatie algérienne, « le terrorisme représente des menaces réelles ». Il a dénoncé « les connexions multiples du terrorisme avec le crime organisé ». Le ministre algérien avait, comme ses collègues, appelé à l’union contre le terrorisme.

Tous les participants ont profité de ce sommet pour dénoncer le paiement de rançons en échange de la libération de terroristes. Ils soupçonnent autant la France que la Suisse d’avoir cédé aux pressions des preneurs d’otages pour obtenir la libération de leurs ressortissants.

Le Kosovo et L'Europe


Le Kosovo, "une épine dans le flanc oriental de l'Europe"
La Cour internationale de justice (CIJ) a conclu, jeudi 22 juillet, que la déclaration d'indépendance du Kosovo n'avait pas violé le droit international. "La Cour a conclu […] que l'adoption de la déclaration d'indépendance du 17 février 2008 n'a violé ni le droit international général, ni la résolution 1244 de 1999 du Conseil de sécurité, ni le cadre constitutionnel", a déclaré Hisashi Owada, le président de la CIJ, au palais de la Paix de La Haye. Le président serbe, Boris Tadic, a pour sa part affirmé que la Serbie ne reconnaîtrait "jamais" l'indépendance du pays, qu'il considère comme sa province méridionale.

Mais de quels recours disposent réellement les Serbes face à cette décision consultative, s'interroge la presse internationale. "L'Europe demande à la Serbie de ne pas passer à l'offensive diplomatique, sous peine de voir bloquer son processus d'intégration", note ainsi Le Courrier des Balkans. Et, comme le précise le quotidien serbe Blic, de nouvelles négociations au sein de l'ONU seront d'autant plus difficiles "que les Etats-Unis ont annoncé que cette décision était une confirmation de l'indépendance du Kosovo". De nouvelles procédures à l'ONU "semblent en péril, voire condamnées", juge aussi The Economist. Belgrade avait obtenu en octobre 2008 de l'Assemblée générale de l'ONU qu'elle saisisse la CIJ, principal organe judiciaire de l'ONU, sur la légalité de la proclamation d'indépendance du Kosovo du 17 février 2008.

El Pais souligne enfin qu'"une crise du gouvernement de coalition [serbe] n'est pas à exclure", rendant encore plus difficiles de nouvelles tractations avec Pristina. "La décision de la Cour va renforcer la réticence des Kosovars à toute nouvelle négociation, particulièrement à propos des régions du Nord, à majorité serbe", commente enfin le Guardian.

EUROPE DIVISÉE, RUSSIE PARTAGÉE

La situation du Kosovo divise l'Europe, relève également Le Temps, dont 5 des 27 membres de l'Union n'ont pas reconnu l'indépendance. "Le Kosovo restera sans doute pour des décennies une épine dans le flanc oriental de l'Europe", souligne le quotidien suisse, expliquant qu'"au sein de l'Union européenne, les pays les plus soucieux de leur intégrité territoriale – comme l'Espagne ou Chypre – continueront sans doute de bouder la reconnaissance du nouvel Etat, né de la guerre de 1998-1999 et des exactions du régime de Slobodan Milosevic à l'encontre de la population albanaise". Au total, 69 pays dans le monde, dont les Etats-Unis, ont reconnu l'indépendance.

C'est aussi un test pour la Russie, alliée traditionnelle de Belgrade, qui a réaffirmé qu'elle demeurait hostile à la reconnaissance. "La Russie est partagée. Le précédent créé par le Kosovo en 2008 a permis de justifier la reconnaissance hâtive par Moscou de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie, après la guerre avec la Géorgie. Mais la Russie n'est pas si pressée de voir cette situation en Tchétchénie", analyse la BBC.

"Cette désion peut-elle inciter d'autres régions à déclarer leur indépendance", se demande enfin Voice of America. "Avec le recul, il semble clair que la réunification de 1990 de l'Allemagne était contraire à la marée de l'histoire moderne, marquant une sorte de dernier combat pour l'ancien modèle du XIXe siècle de l'Etat-nation unitaire", estime un commentateur du Guardian. Et d'expliquer que "les séparatistes, sécessionnistes de Taïwan, du Xinjiang, du Somaliland au Sri Lanka, en passant par la Géorgie" verront certainement dans la décision de la CIJ une "jurisprudence".

Le Monde.fr

La Maison-Blanche promet d’ouvrir la Nasa aux musulmans

Par : Djamel Bouatta

Effet d’annonces ! Probablement dès lors que les pays musulmans semblent être revenus des promesses d’Obama de contextualiser les relations des États-Unis avec les nations musulmanes. On est à des années lumières de la fièvre de son discours depuis Al Azhar. Washington reste fidèle à ses amours. Alors, pour frapper de nouveau les esprits musulmans, le président américain qui semble faire de la Nasa le bras droit de son département d'État promet de l’ouvrir aux musulmans. Lors d'une visite au Caire début juillet, le patron de l'agence spatiale américaine, Charles Bolden, a déclaré qu'Obama lui avait confié trois missions : “Redonner aux enfants le goût des sciences et des mathématiques, développer nos relations internationales, et, surtout, tendre la main au monde musulman et aider les nations à majorité musulmane à être fières de leur contribution historique à la science, aux mathématiques et aux arts techniques.” L’intervention du boss de l’agence spatiale a fait des gorges chaudes aux États-Unis où tandis que les conservateurs ont hurlé à la lune, des hommes sensés ont parlé de condescendance impérialiste. Les hommes de sciences eux ont renvoyé leur Président à ses cahiers : la Nasa est un organe scientifique gouvernemental certes, mais qui n’est plus dans son rôle quand il se pique d'histoire à des fins politiques. Il a fallu limiter la casse : La Maison-Blanche a rebondi en faisant valoir que la Nasa devait “travailler avec les meilleurs scientifiques et ingénieurs du monde pour repousser les frontières de l'exploration”, ce qui impliquait de collaborer avec “de nombreux pays à majorité musulmane”. La Nasa a vu le jour en 1958, dans un contexte de guerre froide entre les États-Unis et l'URSS où la conquête spatiale était une question de défense nationale, en ce que celui qui contrôlait le cosmos contrôlait le monde. Mais elle comportait aussi une grande charge symbolique : le débarquement sur la Lune avant les Russes a ainsi signé le triomphe de la technologie et de l'innovation américaines. Cependant, depuis ce premier voyage sur la Lune, la Nasa a bien du mal à justifier son existence, l'argument de la défense nationale ne tenant pas toujours dans un monde où la science est également mondialisée. La bataille de la technologie spatiale est internationale, comme l’atteste la Station spatiale internationale, un lieu de coopération avec la Russie, le Japon et l'Agence spatiale européenne. Et Obama compte renforcer ces liens internationaux. Les projets américains de vols spatiaux habités — sur un astéroïde d'ici à 2025, puis éventuellement et sous toutes réserves, sur Mars — incluront la participation d'autres pays, y compris la Chine. Et pourquoi pas un pays musulman. En définitive, passer par la Nasa pour établir le dialogue avec le monde musulman ne semble pas si absurde. La façon de le dire était paternaliste, mais l'idée de fond, à savoir que la politique spatiale offre l'occasion de coopérer avec le Moyen-Orient, est assez séduisante. L'Iran a un programme spatial, de même que le Pakistan, l'Arabie saoudite, la Turquie et les Émirats arabes unis, l’Algérie au Maghreb. Les convier à se joindre à la Station spatiale internationale ou à collaborer sur des projets bilatéraux serait une opération gagnant-gagnant


Riyad Hamadi
Sonatrach double son capital social


Sonatrach continue de grossir. La société nationale des hydrocarbures a doublé son capital social pour atteindre 1.000 milliards de dinars (près de 10 milliards d'euros). Cette augmentation a été réalisée par prélèvement d'un montant de 500 milliards de dinars sur les réserves facultatives du groupe pétrolier et gazier, a indiqué jeudi 22 juillet un communiqué officiel.

La décision d'augmenter le capital a été prise lors d'une assemblée générale extraordinaire de la société tenue le 27 juin dernier à Alger, selon la même source. La société nationale des hydrocarbures avait déjà augmenté fin 2007 son capital social de 350 milliards de dinars à 500 milliards de dinars. La Sonatrach a réalisé en 2008 un bénéfice net de près de 9,2 milliards de dollars, en baisse de 8% par rapport à 2008. Le chiffre d'affaires annuel s'est élevé à 80,8 milliards de dollars contre 62,6 milliards de dollars

Mr Le président Abdelaziz Bouteflika prendra part au 15e sommet de l'Union africaine (UA)



AFP
Le président Abdelaziz Bouteflika prendra part au 15e sommet de l'Union africaine (UA), prévu du 25 au 27juillet à Kampala (Ouganda), a indiqué la présidence de la République. "Les travaux du comité des chefs d'Etat et de gouvernement chargé de l'orientation du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad) porteront essentiellement sur le suivi de l'intégration du Nepad dans l'Union africaine, le partenariat avec le G8 et les autres partenaires du développement de l'Afrique", a précisé jeudi soir la présidence dans un communiqué repris par l'agence APS.

Le sommet portera également sur "la participation de l'Afrique à la gouvernance mondiale ainsi que les préparatifs de la conférence sur les changements climatiques, prévue au Mexique en décembre prochain", a ajouté la présidence. Le sommet de l'UA à Kampala, a pour thème: "Santé maternelle, néonatale et infantile et développement en Afrique".

Projets de développement local dans la région d’Azazga



De joyaux équipements livrés prochainement
Par : Salah Yermèche
Des infrastructures, en réalisation pour certaines, finies pour d’autres, susceptibles d’être un véritable facteur de développement et d’investissement pour la région d’Azazga où il est attendu la réalisation d’un projet de complexe sportif de dimension nationale, sont prévues.
Ces projets, qui ne manqueraient pas de constituer la fierté de la population de la région, voire d’autres wilayas du pays tant ils ne manqueront pas d’acquérir progressivement l’envergure nationale, ont fait, jeudi, l’objet de la visite de travail, d’inspection et de suivi d’une importante délégation de la wilaya, à sa tête le président de l’APW, Mahfoud Belabbes. Accueillie par les élus à l’APC d’Azazga, le chef de daïra et autres responsables d’entreprises réalisatrices, la délégation de l’assemblée de wilaya et de responsables de cette administration, notamment le directeur de la jeunesse et des sports, ont visité le stade, ou parc omnisports, du lieudit Tirsatine où ils ont écouté les explications de l’entreprise réalisatrice. Cette infrastructure de près de 6 000 places, qui recevra incessamment un gazon synthétique de la 5e génération et autres équipements avant son homologation, verra, à la fin de septembre prochain, le lancement, sur sa surface, de compétitions sportives officielles, notamment de football. Les clubs de la régionale évoluant dans cette région, tels que la JS Azazga, l’OCA (Cheurfa) et autre CA Fréha, y joueront et s’entraîneront à la prochaine saison footballistique 2010/2011, a-t-on affirmé. Prenant à témoin sa délégation, les autorités de daïra et de la commune, quant au respect de la date de livraison de ce futur joyau pour la jeunesse, à savoir le 30 septembre 2010, le président de l’assemblée, exhortant les entrepreneurs de réalisation à saisir l’APW au moindre problème en les rassurant de sa disposition à tout moment de les recevoir et d’apporter toute son aide possible, s’est rendu sur la base du chantier de réalisation de l’évitement du chef-lieu d’Azazga, une ville qui connaîtra aussi une importante extension. Cet ouvrage, à proximité duquel est prévue aussi une station d’épuration, s’étalera sur 8,5 km allant de l’entrée ouest de la ville (depuis l’usine Electro-Industrie – ex-ENEL), jusqu’à la sortie est d’Azazga. Avec une autorisation de programme de 4 774 000 000,00 de dinars, il renfermera quatre viaducs et plusieurs dalots (petits ouvrages d’art) et nécessitera un délai de réalisation de 12 mois. On prévoit également 28 km de nouvelle route allant de Fréha vers Azeffoun, dont la réalisation est confiée à la même entreprise (ETRHB). Le problème des oppositions semble avoir été dépassé, selon le P/APW, puisque les gens semblent se rendre compte de plus en plus de l’intérêt et de l’utilité publics. C’est inadmissible de s’opposer au passage d’une route, à l’alimentation en gaz naturel, en eau, à l’assainissement ou à l’électrification, sachant que cela profite à l’ensemble des citoyens, estime le P/APW qui n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude aux Rabia “qui ne se sont pas opposés à l’expropriation de leur terre sur laquelle étaient plantés des arbres fruitiers, afin de faciliter le passage de cette déviation, alors que d’autres gens se sont opposés en voulant empêcher la réalisation de cet ouvrage sur des terres de l’État qu’ils avaient squattées”.Auparavant, M. Belabbes, sa délégation et les autorités de daïra et de commune ont visité un autre joyau en voie d’achèvement à l’entrée de la ville d’Azazga, à savoir un centre culturel unique dans la région. En raison des retards qu’il avait connus, ayant nécessité de souscrire aux nouvelles normes antisismiques, ce projet, confié à la direction de wilaya de la culture, a connu quatre fois des réévaluations, dont la dernière est estimée à 123 000 000,00 de DA. 13 millions de DA sont déjà consommés. Occupant une surface bâtie de 2,380 m2, il sera en mesure de contenir les activités du mouvement associatif de quatre daïras. Doté d’espaces verts, d’un théâtre en plein air et surtout d’une salle de 500 places en attente de la réception d’équipements de sonorisation, l’ouvrage, dont l’inauguration était prévue pour le 5 juillet dernier, sera livré, sous toute réserve, en décembre prochain. Le président de l’assemblée, se disant disposé à accompagner la réalisation de ce joyau tant attendu par notre jeunesse, a insisté sur la nécessité de l’achever le plus vite possible. Il visite ensuite, avec ses accompagnateurs, les logements AADL de Taddart (haut Azazga) où restent encore 601 logements à livrer, invitant les promoteurs à payer Sonelgaz pour les alimenter en électricité et en gaz, avant leur livraison. À proximité, il sera réalisé sous peu un parc de loisirs et de remise en forme. La sûreté de daïra d’Azazga, qui célébrait ce jour-là la fête nationale de la police, a convié la délégation de la wilaya à une collation tenue en son siège, mitoyen avec deux autres nouveaux joyaux architecturaux que sont le palais de justice et la bâtisse devant accueillir, dans les jours à venir, l’effectif de la daïra. Ils attendent tout juste leur dotation en téléphone, climatisation et autres meubles. L’autre joyau qui va être incessamment lancé est le nouveau siège de l’APC d’Azazga. Il sera érigé à côté de l’ancien hôtel de ville en un R+6. La délégation de l’APW et de l’administration locale s’est ensuite rendue dans les villages de Moknéa et d’Aourir, dans la commune d’Ifigha, qui relevaient avant 1984 de la daïra d’Azazga, rappelle-t-on.

Sécheresse au Sahel appel à une mobilisation plus forte pour 10 millions de Sahéliens


Par : D. B./Agences
Appel à une mobilisation plus forte pour 10 millions de Sahéliens

Plusieurs organismes des Nations unies et différentes organisations non gouvernementales (ONG) appellent à mobiliser davantage de travailleurs humanitaires et de fonds en faveur du Sahel ouest-africain, pour répondre aux besoins d’une population aux prises avec une des crises nutritionnelles les plus graves de ces dernières années. Plus de 10 millions de personnes sont menacées par la faim au Sahel, dans l’attente des récoltes de septembre, selon l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Environ la moitié des 13,4 millions d’habitants que compte le Niger souffrent de la faim. Pas moins de deux millions de Tchadiens et plusieurs centaines de milliers de Mauritaniens et de Maliens ont également besoin d’aide. Des interventions précoces ont été menées, et des réserves de secours ont été préacheminées, mais davantage de mesures auraient dû être prises plus tôt, estiment les travailleurs humanitaires, et les opérations doivent être déployées d’urgence.L’alerte a été donnée fin 2009 (chute de la production céréalière, mauvaises conditions d’élevage et dangereuse combinaison de pauvreté et de prix élevés des vivres). Mais il faut croire que la détresse des Africains ne mobilise pas assez. Pourtant, l’aide reste cruciale : pendant les mois d’août et de septembre, dans l’attente de la prochaine récolte, les populations n’ont généralement plus de vivres. Le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA) n’a obtenu que 57 pour cent des 190 millions de dollars sollicités dans le cadre de son appel d’urgence en faveur du Niger. Au Tchad, il manque encore 23 millions de dollars au Programme alimentaire mondial (PAM) sur les 65 millions requis pour lui permettre d’intervenir face à la crise alimentaire. La situation dans la région sahélienne du Tchad est particulièrement préoccupante. La guerre à la frontière avec le Soudan et l’absence de volonté politique de la part des autorités de Ndjamena.Avec le début imminent de la saison des pluies, l’acheminement des secours jusque dans les villages reculés de ce pays enclavé deviendra d’autant plus difficile, selon le PAM. Enfin, si les récoltes d’automne sont normales, les populations du Sahel devraient se remettre de la crise à la fin de l’année. La météo prévoit une saison des pluies normale à humide

Mr le président Le président Bouteflika à la Conférence de l’UA




Kampala abrite la Conférence de l’Union africaine
Ce thème inscrit parmi les huit objectifs du millénaire pour le développement (OMD), son examen à Kampala intervient dans une conjoncture marquée par le désengagement avéré de pays riches. La conférence africaine de Kampala autour du thème précité a été précédée par le lancement, jeudi dernier, par le Programme commun des Nations unies sur le VIH/sida (ONUSIDA) d’une nouvelle commission de haut niveau sur la prévention du VIH. Les membres de la commission en question sont invités à mener des campagnes d’actions sociale et politique de lutte contre le VIH. Le virus du sida fait des ravages dans les régions les plus vulnérables, dont le continent africain qui, au vu de certaines étapes franchies, lui reste beaucoup à faire. Les responsables africains aborderont ce thème sous ses aspects divers, surtout après la réunion tenue à Genève entre une cinquantaine d’ambassadeurs de l’Union africaine et le directeur exécutif de l’ONUSIDA, Michel Sidibé. Une rencontre durant laquelle il a été souligné que chaque année près de 400 000 enfants naissent avec le VIH en Afrique et que seulement 28% des femmes enceintes effectuent un dépistage au VIH. Des indices alarmants, si on prend en compte d’autres facteurs, dont la pauvreté et l’analphabétisme, qui accentuent la propagation du VIH. A cela viennent s’ajouter le manque d’infrastructures de santé pour la prise en charge des malades et l’absence de centres de dépistage et de prévention. L’autre statistique révélée lors de la rencontre de Genève, alarmante et significative à plus d’un titre, a trait au taux de femmes enceintes séropositives qui reçoivent des médicaments antirétroviraux pour empêcher la transmission du virus à leurs enfants. Celles-ci représentent 45% en Afrique, plaçant ainsi le sida comme la première cause de mortalité chez les nourrissons et les jeunes enfants, et cela dans les pays les plus pauvres du du continent, au moment où «l’infection au VIH des nourrissons est quasiment stoppée dans de nombreux pays à revenu élevé», selon M. Sidibé. Par ailleurs, même si l’approche prônée à la rencontre de Genève par le responsable onusien pour sauver la vie des mères et de leurs bébés s’articule autour d’une action en combinant dépistage et services de conseil sur le VIH, l’accès à des prophylaxies et à des traitements antirétroviraux efficaces, à des méthodes d’accouchement sans danger, la régulation des naissances, des services de conseil et de soutien sur les pratique d’alimentation optimale des nourrissons sont tout autant de mise. Le responsable onusien n’a pas été sans mettre l’accent sur les conséquences du désengagement des pays riches dans la lutte contre la sida arguant des effets de la crise financières. A cela vient s’ajouter le prix très élevé des médicaments antirétroviraux dicté par les entreprises multinationales dominant ce marché, et dont le souci majeur est le gain au détriment de la lutte contre une maladie dévastatrice. Les chefs d’Etat africains sont appelés à répondre au défi majeur qui se pose, ainsi, au continent africain dont le développement durable en dépend. A ce propos, ils seront appelés à consentir plus d’efforts pour peaufiner une approche visant un meilleur partenariat inter-africain à même de consolider les acquis enregistrées. Il sera certainement question de l’élaboration d’un plan d’action plus pertinent en direction des partenaires et organismes internationaux, exigeant plus d’actions que de discours de bonne volonté politique des pays riches.
24-07-2010Karima Bennour

La Commission va financer plus de 200 nouveaux projets LIFE+ à hauteur de 250 millions €





La Commission européenne a approuvé le financement de 210 nouveaux projets dans le cadre du troisième appel à propositions pour le programme LIFE+ (2007-2013), qui est l'instrument financier européen pour l'environnement.
Les projets proviennent de toute l'UE et incluent des actions dans les domaines de la conservation de la nature et de la politique environnementale, ainsi que de l'information et de la communication. Ensemble, ils représentent un investissement total de 515 millions €, dont 249,8 millions seront financés par l’Union européenne.Les projets LIFE+ Nature et biodiversité améliorent l'état de conservation des espèces et des habitats menacés. Pour plus d'informations:http://ec.europa.eu/environment/life/publications/lifepublications/compilations/documents/natcompilation09.pdfhttp://ec.europa.eu/environment/life/publications/lifepublications/compilations/documents/envcompilation09.pdfhttp://ec.europa.eu/environment/life/publications/lifepublications/compilations/documents/infcompilation09.pdfhttp://ec.europa.eu/life

Indépendance du Kosovo


Indépendance du Kosovo : Ashton ne se mouille pas
[Fenêtre sur l'Europe]
La Haute Représentante de l’UE pour les Affaires étrangères Catherine Ashton s’est exprimée très prudemment le 22 juillet suite à l’avis rendu par la Cour internationale de justice qui estime que la déclaration d’indépendance du Kosovo vis-à-vis de la Serbie n’a pas violé le droit international.
Alors que le Parlement européen s’applique à exercer une pression sur les 5 États membres qui n’ont pas reconnu le Kosovo il semble peu probable qu’ils changent leur posture face à ce flou des positions européennes

Mr le Président Barack Obama se félicite des lois promulguées cette semaine



Obama se félicite des lois promulguées cette semaine
WASHINGTON (AP) — Le président Barack Obama a estimé vendredi que la réforme de la régulation de la finance représentait un "énorme progrès" pour l'économie des Etats-Unis mais il a réaffirmé que l'objectif ultime était l'emploi.
M. Obama s'est félicité d'avoir promulgué dans la même semaine trois textes importants: la réforme de Wall Street, la réduction du gaspillage dans le fonctionnement de l'Etat, et l'allongement de l'indemnisation pour des millions de chômeurs. Il a souligné que, selon les services du Trésor, 17 banques américaines avaient versé 1,6 milliard de dollars (1,2 milliard d'euros) de primes à leurs dirigeants pendant qu'elles touchaient des milliards du plan de sauvetage financé par le contribuable.
Le président a par ailleurs demandé au Congrès d'adopter un projet de loi destiné au soutien aux petites et moyennes entreprises (PME).
"Nous avons fait des progrès énormes cette semaine avec la réforme de Wall Street, en nous assurant d'éliminer le gaspillage et les abus de l'administration et en apportant une aide immédiate aux gens qui cherchent un travail", a remarqué Barack Obama. "Mais notre but ultime est de nous assurer que les gens qui cherchent un travail peuvent trouver un travail." AP
st/v557

USA «Elargir les opportunités de partenariat avec les pays du Maghreb




23-07-2010
Le directeur principal de l'engagement américain lors de sa visite à Alger :«Elargir les opportunités de partenariat avec les pays du Maghreb»Le directeur principal de l'engagement mondial à la Maison-Blanche, Pradeep Ramamurthy, qui a achevé hier sa visite de 4 jours en Algérie, a réitéré, jeudi lors d'une conférence de presse tenue à l'ambassade américaine à Alger, l'engagement des Etats-Unis à renforcer le partenariat économique entre son pays et les pays du Maghreb dont l'Algérie qui abritera d'ailleurs les 29 et 30 septembre «la conférence maghrébine sur l'entrepreneuriat».
Pradeep Ramamurthy dont la visite, prélude à la conférence maghrébine sur l'entrepreneuriat qu'abritera Alger et destinée à «poser les jalons d'un partenariat durable», a eu à s'entretenir avec plusieurs cadres des ministères de l'Industrie et de la PME et des Affaires étrangères ainsi que nombre d'entrepreneurs algériens (Réda Hamiani, président du FCE…).
Il a exprimé sa satisfaction quant à «l'intérêt et l'enthousiasme» affichés par les entrepreneurs algériens et «la volonté» du gouvernement de trouver les moyens de consolider cette coopération et de l'élargir à d'autres domaines, notamment scientifique et culturel ou encore à la santé.
«Il y a la volonté des entrepreneurs maghrébins en général, à renforcer et élargir les opportunité de partenariat», a-t-il déclaré avant d'indiquer ensuite que sa visite qui fait suite aux efforts et à la volonté du président Barack Obama qui a convoqué les 26 et 27 avril un sommet à cet effet (sommet sur l'entrepreneuriat) est destiné à l'amélioration des relations US avec le monde arabo-musulman.
«Le dialogue est important», fera remarquer le conférencier non sans indiquer que cela relève d'une stratégie pour renforcer ce partenariat, notamment avec les pays du Maghreb.
Un partenariat qui aiderait, selon lui, à asseoir la sécurité dans la région, estimant que le conflit sahraoui n'entravera pas le développement de ce genre de rapports.
M. Ramamurthy, qui considère qu'il faut désormais passer au stade de l'action, a indiqué toutefois à propos de l'environnement économique en Algérie que se sont les autorités algériennes qui sont à même de développer un modèle économique qui sied au pays, faisant remarquer, allusion faite à la crise mondiale, que «nous sommes dans une économie globale.
Ce qui se produit dans une partie du monde peut se produire ailleurs». Le conférencier indiquera par ailleurs dans «un message aux Algériens», que «cette opportunité unique est positive pour nos deux pays».
Saïd Mekla

Le projet de la LFC 2010 Algerie



Le projet de la LFC 2010 prévoit un léger réaménagement : Allégement du crédoc pour les importations d’urgence
Les patrons et chefs d’entreprises qui revendiquaient un régime dérogatoire pour les pièces de rechange et les matières premières d’appoint n’auront, en fin de compte, qu’une moitié de gain de cause. Il n’y aura pas d’exonération de recours au crédit documentaire pour les entreprises productrices, mais il y aurait plutôt un léger assouplissement pour les besoins dits « imprévisibles » en pièces de rechange, matières d’appoint et « importations d’urgence ». Cet assouplissement devrait être introduit dans la loi de finances complémentaire 2010, dont la mouture finale est en attente de la caution du Conseil des ministres. Le paiement des importations par le seul moyen d’une lettre de crédit demeure une religion inchangée, mais un assouplissement est apporté par la LFC 2010 à propos du transfert libre de fonds, fixé jusqu’ici à 100 000 DA par la Banque d’Algérie, dans le cadre de ses prérogatives en matière de réglementation des changes.
Ce seuil de non-recours obligatoire au crédoc devrait être révisé à la hausse par la loi de finances complémentaire 2010, avons-nous appris hier d’une source bancaire. Le relèvement du montant des transferts libres de fonds concerne les importations d’urgence, à l’instar des pièces de rechange et des matières d’appoint nécessaires à la production. Autrement dit, « les fournitures concernées par cet assouplissement doivent répondre exclusivement aux impératifs de production », nous a expliqué la même source, contactée, hier, par nos soins. Les commandes unitaires opérées dans ce cadre pourraient dépasser le seuil de 2 millions de dinars par trimestre pour une même entreprise auprès de l’ensemble des guichets bancaires, avons-nous appris également. Cependant, cette « dérogation » introduite au profit des entreprises productrices n’exonère pas les opérateurs de l’obligation de domicilier l’opération, quel que soit le mode de paiement. Les banquiers relèvent, néanmoins, le fait que la gestion de cette espèce de « dérogation » pourrait s’avérer complexe puisqu’ils seront appelés à statuer sur les cas de milliers d’entreprises.
Dans la foulée, il est utile de rappeler que l’institution, par la LFC 2009, de la lettre documentaire comme seul moyen de paiement des importations a pénalisé plusieurs entreprises, dont la trésorerie s’est révélée incapables de soutenir les coûts exigés par le crédoc. Les entreprises privées ne sont pas les seules à subir les « contrecoups » du crédit documentaire. Le patron d’Air Algérie, Abdelwahid Bouabdallah, a déclaré la semaine dernière que la compagnie aérienne publique a été gravement pénalisée par l’institution du crédoc comme seul moyen de paiement des importations. Air Algérie importe périodiquement des pièces de rechange pour l’entretien de ses avions et la constitution de stocks nécessaires au fonctionnement de la compagnie et de sa base de maintenance. De son côté, le Forum des chefs d’entreprises (FCE) a estimé, récemment, par la voix de son président, que « les mesures censées restreindre l’importation, à l’image de cette obligation de passer par le crédit documentaire, sont des mesures qui, aux yeux des chefs d’entreprises, pénalisent nettement plus les producteurs qu’elles ne contribuent à réduire les importations ».
C’est dire que l’onde de choc provoquée par la mise en application subito presto du crédoc a fragilisé plusieurs entreprises, y compris les sociétés publiques qui, pourtant, bénéficient d’un soutien financier de l’Etat. Par ailleurs, notre source nous a indiqué que la LFC 2010 allait introduire un autre texte de loi relatif au traitement fiscal du leasing. La loi de finances complémentaire 2010 fera bénéficier les opérateurs d’un sursis de 3 ans avant l’application de la nouvelle réglementation comptable dans le traitement fiscal du leasing. Les importations de céréales devraient être taxées aussi par la LFC 2010, qui vient également renforcer le droit de préemption de l’Etat sur l’achat des actifs des entreprises à capitaux étrangers.
Par Ali Titouche

Le mariage au Tassili N’Ajjer: dans la plus pure tradition




Le mariage au Tassili N’Ajjer: dans la plus pure tradition
Publier le 24.07.10
ILLIZI – Les touaregs du Tassili N’Ajjer s’attachent de plus en plus à leurs traditions ancestrales, à travers le raffermissement des liens sociaux dont le mariage est considéré ici comme le plus « sacré ».Bien que les cérémonials diffèrent d’une tribu à l’autre, ou d’un groupement rural à un autre, les festivités nuptiales sont soumises aux mêmes rituels puisés du patrimoine culturel ancestral encore préservé par la société du Tassili N’Ajjer, constate entre autres le président de l’association »lien conjugal » d’Illizi.
Expliquant la force de cette relation, Hadj Moulay Djeriri, notable de la région, qualifie cette union de pratiquement communautaire, dans le sens où elle lie des tribus de la même société targuie qui s’attèle à sacraliser cette union, selon un rite maintenu intact par la population touarègue et transmis de génération en génération.
source: APS

Le Credoc maintenu comme mode exclusif pour le financement des importations



Loi de finances complémentaire pour 2010

Le Credoc maintenu comme mode exclusif pour le financement des importations



Le crédit documentaire (Credoc), instauré depuis juillet 2009 comme unique mode de paiement pour financer les importations, sera maintenu dans la loi de finances complémentaires (LFC) 2010 qui n'attend que son adoption. La LFC 2010, s'inscrit dans la continuité des mesures prises par les précédentes LFC, de l'avis même du ministre des Finances, M. Karim Djoudi, qui s'est exprimé avant-hier, en marge de la cérémonie de clôture de la session de printemps du Conseil de la Nation. "L'élaboration de la loi de finances complémentaire a été terminée. Cette dernière réconforte la démarche engagée par le gouvernement particulièrement à travers les LFC 2008 et 2009", a-t-il affirmé à la presse. Le grand argentier du pays est formel : le Credoc "restera le mode unique de financement des importations". Néanmoins, des assouplissements sont prévus dans la LFC 2010, dans le cadre du transfert libre de fonds. Actuellement fixé à hauteur de 150.000 dinars, le transfert libre de fonds sera revu à la hausse, a indiqué le ministre. Le gouvernement a, ainsi, plaidé le maintien de cette mesure pour soulager la facture des importations, en dépit des appels incessants des acteurs économiques nationaux à trouver des alternatives aux PME-PMI notamment, qui peinent à financer leurs activités. Il faut dire que, même si l'objectif du Credoc est la gestion rationnelle des sorties de devises en toute transparence, cette mesure, imposée depuis un an, a fait son lot de victimes. Même les entreprises publiques n'ont pas été épargnées. La dernière victime annoncée : la compagnie aérienne Air Algérie, qui, de l'avis de son président-directeur général, Abdelwahid Bouabdallah, a essuyé des pertes à cause de cette mesure. Le patronat, à travers les associations qui le compose, n'a pas exprimé franchement sa désapprobation de la mesure du Credoc qui vise à freiner l'hémorragie des devises, mais en revanche, il reproche au gouvernement de ne pas faire le distinguo entre les entreprises productrices et celles qui activent dans l'import. Selon lui, le Credoc, serait une bonne option, s'il prend en compte le paramètre de "financement de la production" en opérant un assouplissement de cette mesure quand une entreprise recourt à l'importation pour les besoins des activités productrices. Pour cette problématique, le gouvernement a, semble-t-il, offert une voie aux entreprises productrices pour contourner la mesure du crédit documentaire en les autorisant à effectuer des transactions sans passer par le Credoc, notamment en terme de transactions commerciales urgentes : l'importation des matières premières pour les besoins de leurs activités et des pièces de rechange des équipements et matériaux de production. Cette mesure, qui sera contenue dans la LFC 2010, prévoit, en effet, un relèvement du seuil du montant destiné au règlement des transactions sans l'obligation de recourir au Credoc. Il convient de souligner, par ailleurs, que depuis l'instauration du Credoc comme moyen exclusif de paiement des importations, près d'un millier d'opérateurs ont cessé leurs activités. Il s'agit en premier lieu, des importateurs d'où le qualificatif de "mesure impopulaire".Yazid F.