阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, January 05, 2010

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ANIMA




ANIMA
ANIMA Investment Network est une plate-forme multi-pays de développement économique de la Méditerranée. Le réseau réunit plus de 70 agences gouvernementales et réseaux internationaux du pourtour méditerranéen. L’objectif d’ANIMA est de contribuer à une amélioration continue du climat des affaires et à la croissance de l’investissement dans la région Méditerranée.

Conjoncture zone euro



Conjoncture : L'inflation est repartie dans la zone euro
[Fenêtre sur l'Europe]
En décembre 2009, l'inflation de la zone euro serait de 0,9%
Selon une estimation rapide, publiée aujourd'hui par Eurostat, l'office statistique de l'Union européenne, le taux d'inflation annuel de la zone euro s'établirait à 0,9% en décembre 2009. En novembre, il était de 0,5%.

Nanotechnologies



Nanotechnologies : Consultation publique sur le plan d'action 2010-2015
[Fenêtre sur l'Europe]
Bruxelles va développer un nouveau plan d'action pour les nanotechnologies
La Commission européenne va développer un nouveau plan d'action pour les nanotechnologies en mettant l'accent sur les défis technologiques et sociétaux des cinq prochaines années et en renforçant les efforts de recherche et d'innovation tout en considérant de manière importante les aspects relatifs au développement durable, à la santé, à la sécurité et à l'environnement. L'objectif de cette consultation publique est de rassembler des vues sur les besoins en nanotechnologies pour les cinq prochaines années Experts du domaine et large public sont invités a participer. Sont invités à y participer, les experts du domaine, les représentants d'institutions publiques, d'associations, le public au sens large. Vous pouvez répondre à cette consultation, ouverte le 17 décembre 2009, jusqu' au 19 février 2010 : http://ec.europa.eu/research/consultations/snap/consultation_en.htm

Aoudaghost



Fondée par les Sanhadja au IXe siècleAoudaghost : une grande agglomération saharienne
Le Sahara africain, par sa surface immense (plus de six millions de km2), est le plus vaste désert du monde. Malgré sa nature hostile, son climat aride et l’absence presque totale de pluviométrie – et donc de ressources hydriques – il n’a jamais constitué une entrave aux mouvements de populations ni d’obstacles entre ses différentes parties. De nombreuses villes-oasis le jalonnent et sont disséminées dans les points d’eau qui jalonnent sa vastitude immense. Beaucoup de ces dernières avaient joué un rôle certain à travers les périodes historiques dans tous les domaines de la civilisation avant de péricliter par la suite. Parmi ces agglomérations sahariennes, Aoudaghost occupe une place à part et son nom est intimement lié à la grande épopée des échanges en tous genres qu’a connus cette grande contrée durant les IXe et XIIIe siècles. Un grand centre caravanier du Sahara méridional Au sud-est de la Mauritanie actuelle, dans la région appelée le Hodh et au débouché d’un massif montagneux gréseux comme il y en a tant dans ces immensité désertiques, existe un site historique, celui de Tegdaoust, pratiquement identifié comme étant celui de la grande cité caravanière, Aoudaghost. Elle est également connue sous les noms d’Awdaghast, de Taghaost, de Taghaoust… Cette cité saharienne aurait été fondée au Ve siècle par les Berbères sanhadjas de la grande tribu des Lamtouna, ancêtres des Touareg, ces seigneurs du désert qui avaient réussi à adopter leur vie aux dures conditions du Sahara. De petite oasis perdue au milieu d’une nature hostile, Aoudaghost ne tarda pas avec le temps à devenir le plus grand centre caravanier du Sahara méridional durant plus de deux siècles. Elle se développa très vite et se transforma en point de départ et d’arrivée des caravanes transsahariennes qui reliaient le Maghreb au pays du Soudan comme on appelait – à cette époque – la région africaine située au sud du Sahara. Aoudaghost comptait sans doute entre 5 000 et 6 000 habitants. C'était une belle ville construite en pierre. Des puits fournissaient de l'eau en abondance et, aux environs, s'étendaient des cultures de céréales, de légumes, d'arbres fruitiers et même des vignobles. La ville abritait de très nombreux artisans et constituait la plaque tournante du commerce entre les nomades sahariens et les sédentaires de l'empire du Ghana. Au IXe siècle, Aoudaghost faisait figure de grande capitale grâce à l'importance du commerce transsaharien, favorisé par la sécurité que font régner les principaux chefs sanhadjas. Très tôt, ce trafic caravanier était dominé par les Lamtouna appartenant au groupe de cette confédération tribale. Eleveurs nomades, habiles commerçants, excellents guerriers islamisés par l’arrivée des conquérants musulmans, les Lamtounas, par leur connaissance du milieu géographique où ils vivaient, dominaient la région sans rivaux et de façon incontestable et incontestée. Ville de contact entre l'Afrique blanche et l'Afrique noire, ville métisse, Aoudaghost était passée au Xe siècle sous le contrôle de l’empire du Ghana. En 1054, les Almoravides s’emparent de la ville qui prospéra quelques temps avant de perdre son rôle commercial de façon sensible jusqu'au XIVe siècle. Aoudaghost aurait été visitée au Xe siècle, notamment, par le voyageur et géographe arabe Ibn Haoukal qui ne cacha pas son admiration pour cette grande cité saharienne. Description d'Aoudaghost par El-Bekri (1068) Au sujet de cette ville, un autre géographe et explorateur musulman El-Bekri avait écrit : «On atteint, au bout d'une journée, une montagne élevée qui domine Aoudaghost... Cette ville, située dans une plaine sablonneuse, est grande et peuplée; elle est dominée par une vaste montagne pelée et stérile. La ville renferme une mosquée centrale et d'autres mosquées ; à chacune sont attachés des docteurs chargés d'enseigner le Coran. Tout autour des murs sont des jardins de palmiers. Les terres à blé sont cultivées à la bêche et arrosées avec des seaux en cuir... Les concombres y réussissent très bien. Il y a des petits figuiers et quelques pieds de vigne. Les jardins de henné sont d'un bon rapport. Partout, on voit des puits d'eau douce. Les bœufs et les moutons sont si nombreux qu'on peut acheter dix béliers pour une pièce d'or ; le miel, en abondance vient du pays des Noirs. Les habitants sont très à l'aise et fort riches. Le marché est toujours plein de monde. La foule est belle, et les voix si bruyantes, qu'on n'entend pas ce que dit son voisin. C'est la poudre d'or qui sert de monnaie: l'argent est inconnu. La ville a de belles maisons mais les gens ont toujours le teint jaune, à cause de la fièvre et du paludisme. Comme au Magheb, les maisons sont fermées sur l'extérieur, avec souvent trois pièces principales, dont une grande pièce avec pilier central, et deux autres, plus prtites de part et d'au Malgré la distance on importe le blé, les dattes et les raisins secs des pays musulmans... » Les habitants d’Aoudaghost La population d’Aoudaghost se composait, selon El-Bekri, de gens de «l'Ifriqiyya, de Barqa, du djebel Nefoussa, des Lewatas, de Zenètes et des gens de Nefzaoua, avec quelques émigrés d'autres régions. On y trouve des femmes noires qui sont d’excellentes cuisinières et qu'on vend, chacune, pour au moins cent pièces d'or.» Ville métisse, la population d'Aoudaghost regroupait des Berbères maghrebins et tripolitains islamisés. Ces Berbères constituaient la classe dirigeante de la ville. La population noire était très nombreuse également. D'après El Bekri, «un seul particulier avait à son service un millier de domestiques et même plus». Rachid Mihoubi

Algerie formation SCF



Nouveau système comptable (SCF) : Près de 85 000 personnes formées en 2009
, Pas moins de 85 000 personnes ont bénéficié d’une formation dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau système comptable (SCF). «Sur 600 000 concernées, 85 000 personnes de la population de la comptabilité, soit 20%, ont été formées en 2009, pour l’application de ce nouveau système d’une manière efficace et rationnelle» a indiqué Hamdi Mohamed Lamine, président de l’ordre des experts-comptables. Lors de son intervention au cours d’une table ronde tenue au forum d’El Moudjahid, consacré à ce sujet Hamdi Mohamed Lamine a laissé entendre que la cadence de la formation est avancée, «nous sommes au début de l’application» et l’année 2010 «sera une année d’apprentissage», a-t-il ajouté. Aussi, «ils sont 600 formateurs qui devaient assurer la formation aux différentes personnes de la famille des comptables», dira t-il. Dans sa lancée, le conférencier a considéré que la formation est «la clé centrale pour la mise en application du (SCF) dont plusieurs objectifs sont tracés et qui nous devrons atteindre». Par ailleurs, le même responsable a tenu à expliquer que les dispositions relatives au nouveau SCF ont été fixées en mois de mars dernier. En outre, il dira que le dispositif légal a fixé les seuils de chiffre d’affaires, d’effectif et d’activité applicable aux petites entités pour la tenue d’une comptabilité financière simplifiée. Ce régime selon lui, est applicable sur les petites entités commerciales dont le chiffre d’affaires et l’effectif ne dépassent pas les 10 millions de dinars et 9 salariés à temps plein et ce durant deux exercices successifs. Dans le même registre, le même responsable a estimé que sur la totalité de 1,2 million de commerçants, 80% sont soumis au régime simplifié et 250 000 autres soumis à la comptabilité financière générale. D’autre part, un représentant du ministre des Finances a affirmé, que selon une enquête réalisée par l’Office national des statistiques (ONS) auprès des personnes concernées, il ressort que 77% ont affirmé avoir déjà pris les devants pour la formation de ce nouveau système de comptabilité, alors que 97% ont indiqué avoir des connaissances et 50% disent avoir dépassé les basculements liés au SCF. Selon le même interlocuteur, la formation relative au SCF a «été déjà faite d’une manière générale depuis 2007». Au cours de cette période «500 professionnels utilisateurs ont bénéficié de cette opération» et l’année 2009 «a été fixée pour la formation des formateurs», note t-il. En somme, le SCF devait être un outil de facilitation et d’amélioration pour l’entreprise algérienne. Plus adapté aux normes comptables internationales (IAS/IFRS) et à l’économie moderne, ce nouveau système introduit des changements importants tant au niveau des définitions, des concepts, des règles de comptabilisation et d’évaluation qu’au niveau de la nature et du contenu des états financiers que devront produire les entités soumises à la tenue d’une comptabilité financière. Nassima B.

Djanet la perle du sud-est de l’Algérie



Djanet la perle du sud-est de l’Algérie

Djanet située dans l’extrême sud-est de l’Algérie est parmi les destinations touristiques préférées des touristes passionnés de Sahara.mardi 5 janvier 2010.
La région de Djanet, wilaya d’Illizi (extrême Sud-Est de l’Algérie), a enregistré durant le passage à la nouvelle année 2010 une grande affluence de touristes venus célébrer les fêtes de fin d’année dans le Tassili N’Ajjers. Ces touristes, algériens et étrangers, ont convergé vers la région, qui par avion, qui par voie terrestre à partir de la wilaya limitrophe de Tamanrasset via la commune de Bordj El Haouès. Les touristes étrangers, notamment de pays d’Europe et d’Asie, venus par route à partir de Tamanrasset, ont été accueillis par des guides à travers les pistes d’accès aux sites de Tadrart, Timerzouga, Essendilène, Tamrit, Erg Admer et le plateau du Tassili, a indiqué le directeur du tourisme de cette région de l’extrême sud-est de l’Algérie.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après APS

Oran Oued Tlélat




La valorisation du potentiel agricole en point de mire à Oued Tlélat



La commune de Oued Tlélat (Oran) ambitionne de valoriser son potentiel agricole pour un développement harmonieux, ont affirmé des élus locaux. L'agriculture occupe la plus grande place dans la commune, notamment en ce qui concerne la céréaliculture, toutes variétés (blé, orge, avoine), qui s'étend sur une superficie de 8.370 ha. Mais un développement global suppose l'activation d'autres segments de l'économie, ont-ils ajouté. "Il a fallu sacrifier les terres agricoles, mais ce serait trop hasardeux. Nous avons un taux de chômage de 13 % et ce lourd fardeau ne peut être supporté par le seul secteur agricole", a fait remarquer le président d'APC. L'espoir repose ainsi sur la zone de M'léta, qui dispose d'un périmètre agricole extensible à 8.100 hectares dont 650 ha sont irrigués, à titre d'essai, par le transfert des eaux épurées de la station de traitement et d'épuration d'El Kerma. Cette initiative de l'Office national d'irrigation et de drainage (ONID) pourrait, une fois le programme d'irrigation démarré, atténuer les appréhensions, a assuré un cadre à la direction des services agricoles (DSA) de la wilaya, M. Hamadi. L'irrigation de la plaine de M'leta s'appuie sur la station de traitement et d'épuration (STEP) d'El Kerma, d'une capacité annuelle de 50 millions de mètres cubes, a-t-on indiqué à la DSA. Ce projet doté d'une enveloppe de 14 milliards de DA, englobe l'irrigation d'autres périmètres à Tafraoui et Oued Tlélat consacrées pour l'essentiel à l'arboriculture fruitière, selon la même source. Oued Tlélat mise aujourd'hui sur la future zone industrielle à "Aghbal" d'une superficie de 450 ha pour se mouvoir en pôle d'excellence de développement, compte tenu de son capital d'attractivité et ses atouts tels que l'autoroute Est-Ouest, la nouvelle voie ferrée express Oran-Maghnia via Sidi Bel-Abbès sur un tronçon de 210 kilomètres. D'importantes unités (limonaderies, laiterie, artisanat, minoteries, ...) sont venues se greffer à un tissu industriel effrité à la suite de la dissolution d'entités économiques. Ville satellite tournée vers Oran, Oued Tlelat attend, pour se lancer dans une nouvelle dynamique, d'autres investissements projetés comme le port à sec et la réalisation de la voie express Oued Tlélat-Arzew, reliant les zones industrielles Béthioua à l'autoroute Est-Ouest. "Nous devons baliser le développement en mettant les garde-fous nécessaires pour maintenir un équilibre entre l'agriculture et l'industrie", a expliqué un élu local, M. Yazid. Pour échapper à la fournaise de la ville, des familles oranaises ont préféré s'installer à Oued Tlélat, située à quelque 27 kilomètres de la capitale de l'ouest du pays, à l'intersection des RN 4 (Oran-Alger), RN 13 (Oran-Bel-Abbès via Zahana) et des voies ferrées (Oran-Alger) et (Oran-Maghnia). "Nous allons assister d'ici peu à une vague de migration alternante", a averti un élu, qui évoque d'autres programmes d'habitat futurs outre le transfert de 1.500 familles de Sidi El Houari (Oran). Pour atténuer le taux de chômage dans cette collectivité, des locaux à usage professionnel sont en passe d'être distribués aux jeunes porteurs de projets. "Sur une cinquantaine de locaux programmés, seuls 30 ont été achevés. Leur attribution interviendra sitôt l'ensemble du programme achevé", a assuré le secrétaire général de l'APC de Oued Tlélat, une ville qui abrite une population de 51.000 habitants dont 18.000 au seul chef-lieu de daïra. Sur le plan urbanistique, Oued Tlélat ne cesse de grossir, comme en témoigne le programme de réalisation de 1.200 logements, dont 900 en cours de lancement. Quelque 220 logements sociaux seront également réalisés dont une centaine d'unités dans le cadre de la résorption de l'habitat précaire seront lancés incessamment, au même titre qu'un nouveau programme de 340 logements sociaux locatifs, a annoncé le chef de daïra, Abdelkader Bensaïd. Ces réalisations vont susciter de nouveaux besoins, notamment en matière d'éducation, de santé et de loisirs, prévoit M. Bensaid qui a fait remarquer que "l'Etat est en train de déployer d'immenses efforts pour créer de l'emploi aux jeunes de la localité, notamment dans le secteur du bâtiment". Il a indiqué que les subventions de l'Etat, dont a bénéficié la commune de Oued Tlelat au titre de l'année 2010, sont de l'ordre de 21 millions de DA. Des aides destinées pour l'essentiel à l'aménagement et l'équipement. En matière d'hydraulique, il est prévu, pour les douars et les communes de Boufatis, El Braya et Oued Tlélat, un raccordement au couloir "Mostaganem-Arzew-Oran" (MAO) et à la future station de dessalement d'eau de mer de Mactaa (Mers El Hadjadj). En attendant la concrétisation des projets d'une piscine semi-olympique, d'une salle omnisports, d'un hôpital de 120 lits, d'une salle de soins en cours de construction, la commune accuse un déficit en commodités d'une vie moderne. Pour éviter les scénarii de crues des années 1948 et 1968, un crédit de 40 millions de DA a été alloué pour achever les travaux d'endiguement de l'Oued Tlelat qui demeure une menace pour les habitants de la ville du même nom et ses potentialités économiques. Quelque 26 millions de DA ont été également dégagés pour la réfection des trottoirs, le revêtement des rues, le traitement des espaces verts et autres actions d'aménagement et d'embellissement du centre-ville. Conscients des enjeux futurs, les responsables locaux tentent de concilier le développement de l'agriculture avec celui de l'industrie dans une logique de développement durable. R.R