阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, December 15, 2009

Algerie Ubifrance rapprochement



Ubifrance adopte la démarche du rapprochement
, L’hôtel El-Djazaïr a abrité, hier, une rencontre sur les nouvelles technologies et les facilitations qui doivent servir aux opérateurs économiques comme au simple citoyen. Des démarches ont été entreprises ces derniers temps par les missions économiques et Ubifrance pour rapprocher les deux rives. Donc, c’est autour d’un objectif scientifique que se sont réunis des experts algériens et français, lors d’une rencontre placée sous le thème «Monétique et informatique bancaire». Dix-sept intervenants se sont relayés pour présenter leurs produits respectifs ou faire part de la situation actuelle en Algérie du secteur des transactions bancaires et de la monétique. «Ce n’est pas nouveau pour l’Algérie, mais toute expérience positive est bonne à prendre», nous dira l’un des participants. Le représentant du ministère des Finances, M. Aït Saâdi, saluera la coopération des deux pays dans le domaine bancaire, en soulignant la persévérance de l’équipe d’Ubifrance. Il rassure à propos de cette nouvelle architecture des payements. «Nous n’allons pas y arriver du jour au lendemain, soulignera-t-il, mais lorsque les esprits seront prêts, surtout ceux des commerçants qui auront tout à gagner en optant pour le banking ou les payements électroniques.» Il rappellera aussi qu’en développant cet instrument innovant, on privilégiera l’utilisation et la généralisation de la carte de payement. Il laissera entendre que lorsque les commerçants n’auront aucun doute ni aucune suspicion vis à vis du fisc, ils adhèreront très vite à cette démarche. Ils sont le maillon le plus important dans cette chaîne. La deuxième intervention, animée par une experte de la Satim, portera sur un domaine qui semble très avancé et performant, avec un capital social de 1,114 milliard de dinars pour la gestion de la monétique et surtout de la carte inter-bancaire. L’objectif à atteindre, dira-t-elle c’est la réduction du temps et l’économie de papier. Algérie Poste était représentée par M. Bouteldja Omari, directeur de la monétique, lequel soulignera, lors de son intervention, que la poste algérienne est bien rodée dans ce segment qu’elle le maîtrise parfaitement bien et que, jusqu’à ce jour, il n’a pas été constaté de fraude. Ce qu’il semblait demander à ses partenaires, c’est comment trouver ensemble une solution qui fédérera surtout les commerçants dans un premier temps et permettra aux usagers d’utiliser beaucoup plus la carte de payement. En fin de compte, développer les services adaptés à la carte de payement. L’un des participants nous confiera en aparté que c’est dur de faire accepter aux commerçants cette démarche, la grande majorité d’entre eux n’étant point en symbiose avec le fisc. Djilali Harfouche
15-12-2009

Beni Abbès et Taghit tourisme



Beni Abbès et Taghit se préparent à accueillir leurs premiers touristes

Plus de 4.000 touristes, en majorité des nationaux, sont attendus à Beni-Abbès et Taghit (Béchar), à l’occasion des fêtes de fin d’année et du 5e festival de musique "Nuits de la Saoura", ont indiqué hier des responsables communaux. Les hôtels des deux villes, (plus de 200 chambres), affichent déjà complet. De même, est-il constaté une forte demande de location d’habitations de la part de centaines de touristes nationaux et étrangers, notamment à Beni-Abbes où il n’y a pratiquement aucune chambre de libre pour la période allant du 20 décembre au 3 janvier prochain, affirment des professionnels du tourisme dans cette région à vocation essentiellement touristique. Les organisateurs du 5e festival de musique "Nuits de la Saoura" ont, en plus des réservations d'hôtels, eu recours à la location d’appartements pour les besoins d’hébergement des participants, étrangers et nationaux, selon l’APC de Beni-Abbès

Algerie monétique cartes CIB





Plusieurs actions pour le déploiement de la monétique en Algérie : Rompre avec la culture du cash Lancement du e-payement en janvier 2010 et déploiement d’un million de cartes CIB.
L’e-payement sera lancé en janvier 2010, a annoncé la représentante de la Satim à la rencontre d’affaires sur la monétique et l’informatique bancaire organisée conjointement avec la mission économique près l’ambassade de France à Alger, UBIFRANCE, et Algérie poste à l’hôtel El-Djazaïr. Filiale de huit banques chargée de la gestion de la monétique interbancaire et du déploiement des cartes de payement, la Satim prévoit pour ce nouvel an l’émission systématique des cartes bancaires aux clients dans l’objectif d’atteindre à la fin 2010 un million de cartes interbancaire (CIB) émises. Le nouvel an verra aussi le démarchage de 10.000 commerçants, le lancement de deux sites web marchands qui prendront en charge le paiement des factures et l’achat des biens et services et l’émission d’une carte électronique pour le péage sur l’autoroute est-ouest et les titres de transport métro et tramway. En plus des quelque 850.000 cartes de débit émises, 1300 distributeurs et guichets automatiques de billets (DAB et GAB) installés et 3000 terminaux de payement (TPE) distribués aux commerçants, la Satim annonce aussi l’ouverture prochaine sur l’international avec l’adhésion à Visa Card et Master Card. Toutes ces mesures visent à accélérer le développement du système monétique interbancaire en Algérie qui enregistre près de 3 millions de transaction par an a estimé le directeur général de la Société d'automatisation et des traitements monétiques (SATIM), M. El Hadj Alouane, en marge de la rencontre. En effet, même s’il est le plus élevé du Maghreb, le taux de bancarisation en Algérie reste relativement faible et ce, à cause notamment de la forte implantation de la culture du cash et la perception qu’a le client de la CIB considérée seulement comme carte de retrait et non de paiement à la fois. A cet effet, la Satim a décidé de mettre à niveau le système d’information et de créer un véritable dispositif commercial qui aura pour cœur les agences bancaires. L’objectif étant aussi d’élargir le parc des distributeurs de billets à 2000 DAB et l’investissement dans la compétence humaine alors qu’au niveau de l’acceptation il est notamment question de former les commerçants et de segmenter le taux de commissions des commerçants selon l’activité commerciale et d’établir un système de suivi de l’utilisation des cartes de paiement, car carte émise ne veut toujours pas dire carte utilisée. Du côté de la poste, on juge le taux de bancarisation d’assez important pour une clientèle de 12 millions CCP et de 4 millions comptes CNEP. Avec un taux d’informatisation des ses 3300 bureaux de 98%, le plus important établissement financier algérien, ayant manipulé en 2008 plus de 25.000 milliards de dinars, a enregistré durant la même année 314 millions transactions alors que le paiement par chèque et le traitement dématérialisé a atteint 60.000 opérations contre 1,5 million de prélèvement automatique par an et les virements de salaires enregistrent de 5 millions opérations mensuelles. Algérie poste qui a émis trois types de cartes magnétiques à savoir la carte CCP, la carte classique et la carte Gold compte à ce jour 5,8 millions de cartes dont 4,5 retirées des bureaux de postes et parmi lesquelles 2 millions sont réellement utilisées à travers les 680 GAB en attendant l’installation de 200 autres distributeurs durant l’an 2010 et le déploiement de 1000 TPE. Le système monétique déjà mis en place enregistre 3,5 millions de transactions par mois avec une moyenne de 7000 à 8000 dinars par transaction, ce qui est fort appréciable n’était la qualité des billets de banque qui fait défaut au niveau des DAB. Pour sa part, la Banque extérieure d’Algérie (BEA) a procédé au déploiement massif de solutions monétiques orientées grands comptes et participe au déploiement de la CIB et à l’adhésion à la Visa international et à l’American-express. Et depuis l’an 2005, la banque a également lancé une solution pétrolière dite NaftalCard avec des cartes à crédit (Gold et Silver) destinées aux administrations et grandes entreprises dont le plafond est déterminé par l’émetteur (Naftal) en fonction du profil du client. La carte prépayée est l’autre produit de Naftal qui vient substituer au bon de carburant et qui est rechargée au niveau des agences BEA et des districts Naftal. La carte navette est quant à elle destinée aux chefs de stations à la place du chèque pour régler leurs livraisons et enregistrer les montants cumulés sur leurs TPE. Ce projet qui connaît depuis avril 2008 sa phase d’externalisation à travers les stations privées et Naftal enregistre une forte adhésion aux milliers de TPE déployés au niveau des stations à travers des dizaines de milliers de transactions avec en sus une importante demande exprimée par des particuliers sur le produit. Hamida B.

Algerie le Forum d’El Moudjahid PMI PME



Exportations hors hydrocarbures
Quand la volonté politique vient à manquer
Par : Nadia Mellal B

Le Forum d’El Moudjahid a abrité, hier, un débat autour des exportations hors hydrocarbures de l’Algérie. Plusieurs invités ont eu à intervenir sur cette question éminemment importante pour l’économie du pays. Mohamed Benini, le président de l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) dira qu’“il faut rester réaliste, nous n’avons pas suffisamment avancé et évolué en matière d’exportations hors hydrocarbures, et les statistiques le disent et le montrent à chaque fois”. “Même si, en 2008, nous avons 2 milliards de dollars en matière d’exportation, il faut savoir que ce chiffre est surtout le résultat de glissement de monnaie d’exportation (l’euro) par rapport au dollar.” “C’est insuffisant en termes de dynamique”, dit-il avant d’annoncer que pour l’année 2009 “nos exportations ont baissé encore de 40%”. L’explication que fournit Benini par rapport à cette baisse drastique des exportations en 2009 est que “la dynamique d’exportation n’est pas en place”. De son côté, le président de l’Association nationale des exportateurs algériens (Anexal), M. Benslimani, indiquera : “Il est difficile de s’expliquer sur les exportations hors hydrocarbures car les chiffres ne changent pas et les gens se posent des questions. Mais nous qui vivons à l’intérieur nous ressentons quotidiennement cette amertume de ne pas pouvoir changer les chiffres.” Les arguments pour expliquer l’insignifiance des exportations algériennes hors hydrocarbures sont multiples, selon l’intervenant : “Nous n’avons pas l’expérience des opérateurs internationaux, l’ouverture du commerce externe algérien est récente, l’acte d’exporter est tout un savoir-faire et une expertise que nous ne pouvons pas acquérir du jour au lendemain.” Mais, plus fondamentalement par rapport à cette question, M. Benslimani s’interrogera : “Je me demande si l’Algérie ressent le besoin d’exporter hors hydrocarbures ?” Il répondra que “ce besoin, je ne le ressens pas, je ne le vois pas”. Expliquant l’inexistence d’une volonté politique en Algérie d’exporter hors hydrocarbures, le président de l’Association des exportateurs algériens fera remarquer que “tant qu’une décision à haut niveau n’est pas prise pour impulser une dynamique en faveur des exportations hors hydrocarbures, l’Algérie restera ainsi”. Selon M. Benslimani, “il faut mettre en place une stratégie de guerre d’autant plus que des vents négatifs soufflent encore à l’encontre de nos exportations”. Aussi, tout en appelant à “un changement des choses”, le président de l’Association plaidera pour une action sur deux fronts : la réhabilitation de la petite et moyenne entreprise (PME/PMI) en Algérie, ainsi que l’élaboration d’une véritable stratégie à l’export par les pouvoirs publics. “Parce que exporter est un acte de guerre”, dit-il sur un ton ferme. “Ce n’est pas une partie de plaisir”, note-t-il avec ironie. Ce disant, aux yeux de l’intervenant, la balle est dans le camp des pouvoirs publics : “Il faut que l’on se décide à exporter hors hydrocarbures en Algérie.” Rejetant toute comparaison entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie, l’orateur indiquera que “le Maroc et la Tunisie ont développé une ressource importante qui est leur ressource humaine, c’est la richesse des richesses et c’est la richesse qui restera”. Il faut donc, dit-il, “prendre la décision d’exporter à un haut niveau et préparer nos filles, nos femmes et nos hommes en tant que ressource humaine pour ce faire”. Évoquant les dispositions de la loi de finances complémentaire (LFC) pour 2009 en faveur de la production nationale, Mohamed Benini d’Algex dira qu’“il ne faut pas oublier que cette priorité à la production nationale ne peut pas se faire dans une économie fermée”. Abordant dans le même temps le développement inquiétant de nos importations, l’intervenant indiquera que “cela renvoie à une insuffisance du contrôle de l’ouverture de notre commerce et que l’investissement national et même étranger a été découragé par les importations de produits bas de gamme qui s’écoulent facilement sur le marché natio

google Real Time Search


Google - Viadeo les tweets de Twitter


Google affiche les tweets de Twitter : Google l'avait annoncé et commence maintenant à l'appliquer. On commence à voir les tweets de Twitter apparaitre sur les pages de résultats d'une recherche sur le moteur de Google. Pour l'heure, on peut voir les premiers affichages de tweets sur Google.com mais cela devrait vite arriver en France. On peut actuellement voir des tweets avec la requête Viadeo sur Google.com

Les tweets de Twitter sont des mini-messages de 150 caractères diffusés sur la communauté du site Twitter. Alors pourquoi le géant de la recherche affiche ses messages alors qu'ils peuvent être incompréhensibles lorsqu'ils sont sortis de leur contexte ? Le but principal est d'informer rapidement les internautes sur l'actualité récente. C'est vrai que l'on peut avoir pas mal d'infos sur Twitter avant même la parution d'un article dans la presse en ligne. Par contre, est-ce que les internautes vont accrocher à la diffusion de ses mini-messages ? C'est moins sûr.
A la rédaction, on pense que Google prend un risque en voulant de plus en plus diversifier ses résultats d'une recherche. Un beau jour, on tombera sur une page de résultats où sera mélangé les tweets de twitter, les articles de Google actualité, quelques vidéos et en bas de page, les articles récents parus dans les blogs. Cette page de résultats ressemblera à tous sauf à une page de recherche simple et efficace.
Auteur : SRI - Rubrique : High-tech - Date : 14/12/2009

Algérie capital humain



L’Algérie doit investir dans le capital humain

L’Algérie investir davantage dans le capital humain pour le redressement de l’économie nationale et assurer un développement durable.mardi 15 décembre 2009.
Les participants au séminaire national sur le développement et les perspectives de l’économie algérienne ont appelé lundi à Batna, au terme de leurs travaux, à "investir davantage dans le capital humain" pour le redressement de l’économie nationale et le développement durable en Algérie. Les participants ont étayé leurs recommandations par les expériences de pays développés ou émergents, dont la Chine, la Corée du sud, le Japon et la Malaisie qui, ont-ils noté, "ont réussi à opérer leur décollage économique en évitant l’intervention d’institutions financières internationales comme le FMI (Fonds monétaire international) ou la Banque mondiale". Ils ont également préconisé, pour impulser l’économie algérienne, l’adoption d’une stratégie de développement "claire" qui tienne compte des évolutions régionales et internationales et qui se fixe pour objectif de "passer d’une économie rentière à une économie productive" en Algérie.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après APS

Logo Google, 150° anniversaire de Ludwik Lejzer Zamenhof



Logo Google, 150° anniversaire de Ludwik Lejzer Zamenhof – l’inventeur de l’espéranto
Le docteur Ludwik LejzerZamenhof, de son nom original Samenhof (francisé Louis Lazare Zamenhof, 15 décembre 1859 - 14 avril 1917) est un médecin ophtalmologiste polonais. Né dans une famille de confession juive, ses langues d’usage sont le yiddish, le russe et le polonai. Il est connu pour avoir établi les bases de la langue construite espéranto qui compte en 2009 de un à deux millions de locuteurs dans le monde.