阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, May 14, 2010

Mr Le président américain Barack Obama PMI PME



Obama met les petites entreprises au programme pour créer des emplois
/BUFFALO, New York (AP) — Le président américain Barack Obama a pressé le Congrès d'agir en faveur de l'emploi jeudi, avec un nouveau paquet législatif, rappelant que de nombreux foyers américains ont besoin d'aide.
"C'est formidable que la Bourse soit repartie" a souligné le président lors d'une visite à l'ouest de l'Etat de New York, frappé par le déclin de son économie. "Mais si vous cherchez toujours du travail, c'est encore la récession. Si vous ne pouvez pas payer vos factures ou votre emprunt, c'est encore la récession. Quoi qu'en disent les économistes, il n'y a pas de vraie reprise tant que les gens ne le ressentent pas dans leur vie de tous les jours".
Citant les chiffres économiques de la semaine dernière, qui montraient une remontée de l'emploi depuis quatre mois, Barack Obama a affirmé que son plan de relance marchait. Mais il a mis l'accent sur les soutiens qu'apporte son gouvernement aux petites entreprises. Il a invité le Congrès à voter des lois favorisant l'emploi dans les PME.
La semaine dernière, le président avait proposé une enveloppe de 30 milliards de dollars pour faciliter le crédit aux petites entreprises.
L'hôte de la Maison Blanche a ensuite participé à un dîner destiné à alimenter les caisses des candidats démocrates, où les participants payaient 15.000 dollars leur présence à une réception VIP. AP
xo/v0787

Cevital Samsung partenariat inaugurée en Algérie





L’usine de produits Samsung inaugurée en Algérie

L’usine Samha produira une gamme de produits Samsung en Algérie notamment les téléviseurs LCD, les machines à laver et les climatiseurs.vendredi 14 mai 2010.
Réalisé dans un délai record de seulement 13 mois, grâce à un partenariat original du groupe Cevital avec le géant sud-coréen Samsung, le méga complexe de fabrication d’équipements électrodomestiques, Samha, de Sétif, a été inauguré hier en présence du PDG de Cevital, M. Issad Rebrab, de l’ambassadeur de Corée du Sud, M. Choi Sung-joo, des autorités locales et de nombreux cadres du secteur de l’industrie. La capitale des Hautes Plaines vient ainsi de bénéficier d’un fleuron de l’industrie de l’électronique et de l’électroménager dont la qualité du produit et les capacités de production (1.500.000 appareils) le placent parmi les cinq plus grands complexes industriels mis en place par Samsung dans le monde. Ce complexe implanté dans la zone industrielle de Sétif (Est de l’Algérie) sur une surface totale de 9,5 hectares dont 4,5 ha bâtis est financé à 100% sur fonds propres de Cevital avec un investissement d’envergure dont le montant est de l’ordre de 6 milliards de dinars.
Un investissement qui se traduit notamment par la création de 3.560 emplois, dont 1.700 à titre permanent. Dans son allocution inaugurale, M. Issad Rebrab a mi en exergue l’importance de ce fleuron « qui vient s’ajouter au patrimoine national et qui emploie des jeunes Algériens, dont une partie a été envoyée en Corée pour des impératifs de formation. Nous sommes convaincus que la meilleure richesse d’une entreprise ou d’une nation réside particulièrement dans ses ressources humaines », a-t-il affirmé. Samha emploie pour l’heure 1 000 collaborateurs et elle passera, d’ici 2011 à 3 000 avec l’option des trois équipes pour la faire fonctionner 24h/24h. Cependant, au delà des retombées économiques et sociales sur la région, Samha-Samsung occupera le rang de 1er exportateur d’Algérie hors hydrocarbures ». Selon l’intervenant, quand le complexe fonctionnera avec trois équipes, la production quotidienne sera de 1200 réfrigérateurs, 1 200 machines à laver, 1800 climatiseurs et 4 200 téléviseurs de type CRT & LCD.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

Interview Tomas Dupla del Moral L'Union pour la Méditerranée



Lancé en juillet 2008 à l'initiative de Nicolas Sarkozy, l'Union pour la Méditerranée (UPM) semble faire du surplace depuis. A la veille du second sommet de l'UPM qui se déroulera à Barcelone, le 7 juin 2010, nous avons rencontré Tomas Dupla Del Moral, Directeur des relations extérieures chargé de la Méditerranée, du Proche et du Moyen-Orient à la Commission européenne, pour faire le point sur ce projet. Yabiladi : Que peut-on dire aujourd'hui sur le projet d'Union pour la Méditerranée ?
- Tomas Dupla del Moral : Il s’agit d’une initiative de longue haleine et nous sommes encore dans une phase de construction de l’initiative. Depuis juillet 2008, des pas importants ont été franchis, comme par exemple la désignation de Barcelone comme siège du Secrétariat, la nomination du Secrétaire général et l’adoption des statuts du Secrétariat après de complexes négociations. Il est évident que 2009 a été une année difficile après ce qui est arrivé à Gaza et l’inévitable interruption, pendant plusieurs mois, de la plupart des activités. Le projet avance et il va le faire de façon encore plus déterminante avec la tenue du deuxième sommet de l’UPM à Barcelone le 7 juin.
- Sur un plan opérationnel, comment est organisée la structure UPM et quels sont les projets en cours ?
- L’UPM a introduit trois grandes nouveautés institutionnelles. D’abord la tenue de sommets tous les deux ans, ensuite la coprésidence nord-sud qui confirme l’objectif de co-appropriation et de co-responsabilité de l’initiative. Et enfin, la création d’un secrétariat conjoint, axé sur les projets, avec la légitimité de représenter tous les partenaires dans la recherche et la promotion de grands projets communs à caractère régional et transnational. Comme vous le savez, six projets ont été identifiés au sommet de Paris. La Commission a décidé d’apporter un financement de 60 millions d’euros en juillet 2009 pour cinq de ces six projets qui, d’ailleurs, avaient été proposés par la Commission lors de la préparation du sommet. Les projets sont dans leur phase initiale mais l’important est de permettre au Secrétariat d’assumer son rôle de promotion et de donner à ces projets une impulsion nouvelle avec la participation de nouveaux partenaires et de nouveaux bailleurs de fonds. Pour ce faire, il faut un engagement collectif et un co-financement de toutes les parties, y compris du secteur privé pour qui les intérêts sont importants. C’est le cas de l’énergie solaire, des transports ou de la dépollution.
- Qu'en est-il du devenir du Processus de Barcelone ?
Le Processus de Barcelone est la base sur laquelle l’UPM s’est bâtie. Son acquis, très important pour la coopération régionale, est préservé, en premier lieu, par la continuité des réunions ministérielles (environ 10-12 par an) qui établissent des objectifs communs et décident des programmes d’action dans des domaines aussi divers que l’environnement, l’égalité des genres, l’énergie ou l’eau. Je pense également aux projets de création de la zone de libre-échange euromed, aux réseaux de société civile, aux programmes de jeunesse, aux programmes sur le patrimoine culturel ou à la Fondation Anna Lindh. Je pense aussi à tous les programmes sur les médias ou sur les femmes et aux programmes économiques dans différents domaines. Sans le Processus de Barcelone, l’UPM n’existerait pas ou aurait dû commencer là où Barcelone a commencé il y a 15 ans.
- Où en est-on de la mise en place d'une plateforme dédiée au développement des échanges commerciaux entre les 2 rives et la création d'un espace économique commun ?
- C’est justement le domaine dans lequel, grâce au projet commencé à Barcelone en 1995, on a le plus avancé. Aujourd’hui, nous avons des accords de libre-échange avec presque tous les pays de la rive sud de la Méditerranée sauf un pays avec lequel on a déjà négocié l’accord et nous sommes prêt à commencer sa mise en œuvre et un autre pays avec lequel nous sommes en négociation mais qui ne participe pas à l’UPM.
Cela signifie que, d’ici quelques années, il y aura un libre-échange complet dans les produits industriels entre l’UE et le sud de la Méditerranée. Dans les produits agricoles et les produits transformés, nous avons avancé dans la libéralisation des échanges avec plusieurs pays et la plupart des produits vont être aussi couverts par le libre-échange.
Il nous reste à avancer dans le domaine important des services, qui fait l’objet des négociations avec les pays de la région. Il reste aussi à avancer davantage sur la voie de libre-échange sud-sud, notamment avec l’extension de l’accord d’Agadir à d’autres pays. Mais, sur le plan général, le bilan est positif et les échanges augmentent et se développent entre l’Europe et la Méditerranée. C’est une « success story » collective !
- On a aussi parlé de projets environnementaux, qu'en est-il ?
- Deux grands projets ont été initiés : la dépollution de la Méditerranée et le plan solaire méditerranéen. Tout deux ont un potentiel considérable. Ils doivent attirer la participation du secteur privé et concernent des enjeux stratégiques partagés par tous les partenaires. Ce sont des exemples clairs de domaines où il y a des synergies incontestables et où les pays doivent collaborer pour travailler ensemble. Parce qu’individuellement, ils ne pourraient pas aborder les problèmes majeurs qui impliquent la dépollution de la méditerranée ou la création d’un réseau d’énergie solaire avec une technologie appropriée.
- Que manque-t-il alors pour mettre définitivement sur les "rails" ce projet ambitieux ?
Le projet est sur les rails mais parfois la situation « macro-politique » n’aide pas à avancer à la vitesse souhaitée. Le conflit au Moyen-Orient et les différents qui persistent entre plusieurs pays empêchent une collaboration accrue. Le volontarisme de certains pays et des institutions européennes ne suffit pas toujours. La situation, sur le plan des relations internationales, reste, parfois, difficile et la coopération régionale en souffre. Pour résoudre ces difficultés, il faut s’attaquer aux conflits régionaux au niveau politique. Et en même temps, il faut aussi trouver des solutions au niveau d’une coopération entre les pays disponibles pour avancer, et une coopération sous-régionale, à géométrie variable, quand cela sera possible. Ceci a déjà été fait dans le Processus de Barcelone et nous pouvons également le faire pour l’UPM
Rachid Hallaouy Copyright Yabiladi.com

Algerie Nouveau complexe sportif de Tizi Ouzou : Il sera réalisé en moins de 30 mois


Lebuteur.com
Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Hachemi Djiar, a effectué hier une visite de travail à Tizi Ouzou. A 10h, la délégation ministérielle a été accueillie au siège de la wilaya par le wali, le P/APW et autres responsables.
C’est dans le salon officiel que le bureau d’études Global CST Afrique, chargé du projet du centre de regroupement des équipes nationales qui sera réalisé à Aghribs destiné, faut-il le rappeler,
à être un pôle pour les entraînements des équipes nationales toutes disciplines confondues, principalement pour les équipes nationales de football, a donné un aperçu sur ce centre, notamment les accès, les stades de préparation, la salle de rencontres et autres espaces. Notons que le projet sera réalisé selon les normes Fifa.
«Cette réalisation à Aghribs apportera un nouveau souffle à toute la région. Et comme la wilaya de Tizi Ouzou a des talents dans la discipline de la natation, je dirais que je suis d’accord pour la réalisation d’une piscine semi-olympique et une piste d’athlétisme. Mais je ne suis pas favorable à la réalisation d’un stade pour les compétitions.
Il faut penser à ce que ce centre d’entraînement soit exploité dans les diverses disciplines telles que la boxe, le judo, l’athlétisme, etc.», dira le ministre en guise de réponse à la demande du wali d’annexer d’autres projets à ce centre.
Notons que le ministre a annoncé d’autres projets pour la wilaya, à l’exemple de la réalisation d’une piscine à Boghni, au sud de la wilaya, une salle OMS à Azazga ainsi qu’un terrain d’au moins deux hectares pour réaliser un centre de préparation pour la JSK.
Après, la délégation s’est déplacée à Boukhalfa, sur le lieu où sera implanté le nouveau stade de 50 000 places. Des explications ont été fournies par les entreprises réalisatrices du projet, le groupement algéro-espagnol ETRHB et FCC.
Cet acquis sera comptabilisé au bénéfice de la wilaya et du club phare de la région, la JSK, qui sera doté au bout de 30 mois au maximum d’un stade qui répondra aux exigences d’intégrer le cercle des clubs professionnels. Le ministre a insisté, en la présence du président de la JSK, Mohamed Cherif Hannachi, sur le chemin incontournable que le football national doit prendre :
«Nos clubs doivent choisir le professionnalisme. Nous ne laisserons pas ces clubs seuls. L’Etat les accompagnera dans cette démarche par les moyens qu’il dispose.»
L’importance de ce nouveau stade sera capitale. Il sera réalisé sur une superficie de 59 hectares et le stade, pour lui seul, occupera 39 700 00 m2. Selon le PDG du groupe ETRHB Haddad, «le projet sera lancé dimanche.
On a prévu trois équipes de travail. On a des ambitions de terminer le projet avant les délais prescrits, c’est-à-dire avant trente mois». Il faut noter au passage que l’ETRHB répond aux normes internationales de réalisation de projets et cet atout contribuera, à coup sûr, à l’amélioration de la qualité de cette œuvre sportive.
Le président de la JSK a exprimé sa satisfaction quant à la réalisation d’un tel projet. «Je suis très content de voir aujourd’hui un tel projet se concrétiser. On attend d’avoir aussi deux hectares à l’intérieur de ce complexe sportif.Il vont être exclusivement un bien de la JSK.»
En marge de cette visite, le président de la JSK a profité de l’occasion pour réclamer au ministre de la Jeunesse et des Sports les arriérés du club non payés à ce jour par la tutelle qui s’élèvent à plus de cinq milliards. Le ministre a continué sa visite en passant par des établissements relevant de son secteur, à l’instar de la maison de jeunes Chérif Boussad, la maison de jeunes Bousrak Fatma et le siège de l’Odej.
B. B.

Constantine : L’université renoue avec le 7e art



L’Algérie, son cinéma et moi", un film documentaire de Larbi Belchiha, a été projeté, mardi soir, à l’université Mentouri de Constantine. Cette projection est le fruit d’une collaboration naissante entre le département de lettres et de littérature françaises et ce groupe d’étudiants-cinéphiles dont l’ambition est de créer un ciné-club au niveau de l’université. Le documentaire d’une cinquantaine de minutes a permis à l’assistance, composée en majorité d’étudiants, de faire une immersion dans la riche et glorieuse histoire du cinéma algérien, passant en revue les étapes par lesquelles a transité le 7e art algérien. Un débat a suivi la projection, permettant de discuter des perspectives du cinéma algérien qui sera représenté dès cette semaine, 24 ans après "La dernière image" de Mohamed-Lakhdar Hamina, au prestigieux festival de Cannes, en France. Une autre association, le ciné-club de Constantine, organise, un jeudi sur deux, des projections de films à la maison de jeunes Ahmed-Saâdi de la cité Filali, rappelle-t-on. Cette activité culturelle dédiée au cinéma, lancée il y a quelques années, est "sur le droit chemin", selon des membres du ciné-club qui se félicitent d’enregistrer, lors des projections, un nombre de plus en plus importants de spectateurs et de cinéphiles.

Algerie 200.000 PME à la fin du quinquennat



Benbada : 200.000 PME à la fin du quinquennat
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“Le secteur de la PME et de l’artisanat aborde une étape importante, où il s’agit de parachever le dispositif d’appui et de promotion de la PME. Les indicateurs montrent une évolution positive avec une cadence de création de PME qui est passée d’une moyenne de 10 % à 15%. Il y a une accélération avec l’entrée en fonction des différents instruments et la définition du programme de travail dans l’optique de concrétiser l’objectif de création de 200.000 PME à la fin du quinquennat ”, a indiqué hier M. Mustapha Benbada, ministre de la PME et de l’Artisanat en marge de la rencontre d’évaluation des services extérieurs du ministère tenue à la mutuelle des travailleurs des matériaux de construction de Zéralda. Il s’agit par conséquent de consolider cette dynamique positive qui est la conséquence de l’amélioration de l’environnement économique global où évolue la PME, dira M. Benbada. Les chiffres attestent de la densification du tissu de PME. Il y avait 455.000 PME privées au 31 décembre 2009 alors que les PME publiques étaient au nombre de 591. Dans l’artisanat on dénombre 167.000 artisans inscrits. Le taux de mortalité des PME est estimé entre 3.000 et 3500. Par ailleurs, l’activité informelle tend à régresser sous l’effet des contrôles de l’administration des réformes intervenues dans le système fiscal, a estimé le ministre. Un important travail a été accompli dans le cadre du parachèvement du dispositif législatif et organisationnel. De nouvelles mesures sont intervenues concernant le fonctionnement du Fonds national de la mise à niveau qui a permis de préciser les prérogatives de l’ANDPME. Deux arrêtés ministériels ont concerné également le fonctionnement du Fonds national de promotion des activités de l’industrie artisanale. Une commission nationale d’agrément a été mise en place. Une circulaire très détaillée vient d’être signée précisant le cheminement du dossier d’aide. Un comité ad hoc a été créé pour étudier l’opportunité aussi bien de la demande que du projet. Un nouveau mécanisme précise comment doivent être dépensées les ressources du Fonds. Il y a également la révision de l’ordonnance 96-01 un lourd dossier, en gestation depuis presque 5 ans là également. On a révisé et amélioré plusieurs dispositions. S’agissant du programme Méda concernant la mise à niveau des PME, sur 235 entreprises ayant fait la demande, 144 entreprises ont bénéficié de ce programme. Il y a lieu de noter également les bons résultats obtenus dans le cadre du programme de développement économique durable en coopération avec GTZ (Allemagne), amélioration des services financiers etc. L’instrumentation mise en place a permis l’inscription de 50 projets d’intégration économique locale d’une valeur de 4 milliards de dinars ainsi que 4 projets de portée nationale. Autres projets d’importance : la création de maisons de l’artisanat au niveau des daïras et communes, un organisme pour promouvoir la sous-traitance, la rénovation du centre de Tipasa spécialisé dans la céramique. A noter le démarrage prochain du projet en collaboration avec des experts brésiliens concernant le travail des pierres précieuses à Tamanrasset. Un séminaire international portant sur le thème “ Transfert de connaissances pour la production de gemmes taillées, bijoux et artisanat minéral ” se tiendra les 29 et 30 mai 2010 à Tamanrasset dans le cadre de la coopération algéro-brésilienne. A noter également la parution prochaine d’un annuaire où sont recensées 30.000 PME classées par wilaya, catégorie, par filière d’activité après la parution de l’annuaire des entreprises spécialisées dans les matériaux de construction. M. Brahim

Algerie négociations agricoles avec l’Europe



Négociations agricoles avec l’Europe : l’Algérie durcit sa position
Merouane Mokdad
L’Algérie se prépare à entamer les difficiles négociations agricoles avec l’Union européenne (UE) à partir de septembre 2010. Pour l’instant, rien n’a filtré sur les demandes algériennes dans ce dossier stratégique.

« Au moment des négociations, vous saurez ce que nous allons demander. Il est clair que l’amélioration de la production et de la sécurité alimentaire est intimement liée à la souveraineté nationale », a déclaré, jeudi 13 mai, Rachid Benaissa, ministre de l'Agriculture. Le ministre s’exprimait en marge d’une cérémonie de signature d’un accord-cadre de financement entre l’Office algérien interprofessionnel des céréales(OAIC) et la Banque de l’agriculture et de développement rural (BADR).

Même marquées de prudence, ces déclarations annoncent la ligne dure que va adopter l’Algérie pour limiter les effets du démantèlement tarifaire relatif aux produits agricoles. « Nous ne voulons pas fermer. Nous voulons améliorer nos capacités de production. Nous avons constaté que lors de la crise alimentaire de 2008, les systèmes de régulation ne fonctionnent pas toujours. Certains pays ont refusé de vendre le riz malgré les accords qui les liaient à d’autres pays. Cela donne à réfléchir. Il faut agir en conséquences », a souligné Rachid Benaissa.

Le ministre a suggéré que l’Algérie ne va pas négocier en bloc. Autrement dit, le pays entend bien retenir la leçon des « mauvaises » négociations sur la libéralisation du marchés des produits industriels lors de l’élaboration de l’accord d’association avec l’UE, entré en vigueur en 2005. Selon le ministre des Finances, Karim Djoudi, l’Algérie a enregistré 2 milliards de dollars de pertes fiscales en raison de l’application de l’accord d’association.

Une évaluation de l’application de cet accord se fera le 15 juin prochain à Bruxelles lors de la réunion du Conseil d’association Algérie-UE. Avant cela, Stefan Füler, le commissaire européen en charge de l’élargissement et de la politique de bon voisinage fera, le 19 mai, un déplacement à Alger, le premier genre, pour préparer le terrain à cette réunion qualifiée d’importante des deux côtés

La FEMIP mise sur les énergies renouvelables




La FEMIP mise sur les énergies renouvelables
MEDITERRANEE. A l'occasion de sa 8ème conférence organisé à Valence (Espagne), la Femip a présenté les résultats d'une étude préliminaire sur les projets du Plan solaire méditerranéen. Une puissance de 20 GW pourrait être développée sur le pourtour méditerranéen, mais peu de projets sont prêts à être mis en oeuvre.
MEDITERRANEE. Réunie à Valence en Espagne le lundi 10 mai 2010, la 8ème conférence de la Femip a présenté les premiers résultats de l’étude préliminaire effectuée sur les projets du Plan solaire méditerranéen( PSM). La Facilité euro-méditerranéenne d’investissement et de partenariat (FEMIP) regroupe l’ensemble des instruments mis à la disposition par la Banque européenne d’investissement (BEI) dans les pays partenaires méditerranéens. Cette étude, réalisée avec le concours des consultants de Montgomery Watson Harza (MWH) alimentera les réflexions des ministres de l’Energie des quarante-trois pays de l’Union pour la Méditerranée (UpM) qui se réuniront, toujours à Valence, le 11 mai 2010, pour parler du Plan Solaire Méditerranéen puis à Barcelone les 6 et 7 juin 2010. Développer les énergies renouvelables est une des six priorités retenues en juillet 2008 par le sommet de l’UpM qui a confié en novembre 2008 à la BEI la rédaction d’une feuille de route pour le Plan solaire méditerranéen. "Maintenant, il faut lui donner du concret "; souligne Philippe de Fontaine Vive, vice-président de la BEI, en charge de la Femip. L’institution consacre un tiers de ses prêts à ce secteur. "Nous avons investi 15 mds€ en Europe et hors de l’Europe en 2009, il faut encore aller plus loin en mobilisant les prêts mais aussi l’assistance technique. Nous ne réussirons rien si le secteur privé ne nous rejoint pas en terme technique mais aussi financier " poursuit-t-il.
La maturité des projets en question
Selon les résultats préliminaires de l’étude présentée à Valence, le bassin méditerranéen pourrait développer une puissance installée supplémentaire de 20 GW en énergies renouvelables dans la région euro-méditerranéenne d’ici à 2020. C’est en tout cas ce qui ressort des projets éoliens, solaires et hydrauliques identifiés par la BEI. Tous n’en sont pas au même niveau de maturité, loin de là.Ainsi, selon Grammatiki Tsingou,directrice générale des projets de la BEI, " les projets identifiés représentent une capacité totale de 10 GW. Seuls 2 GW correspondent à des projets avancés et seulement 0,6 GW bénéficient d’un plan de financement. "Au point que la Femip envisage deux scénarios. Un, à minima, qui ne verrait que les projets les plus avancés mis en œuvre, soit une capacité de 4,1 GW atteinte d’ici l’échéance 2020 et une autre, hypothèse haute, qui permettrait à la totalité des dossiers identifiés d’arriver à terme dans dix ans. Reste que, comme le relève l’étude, «"les deux scénarios correspondent respectivement à 19% et 53% de l’objectif du PSM pour 2020." Nous sommes donc bien loin du compte. La Femip suggère de développer les projets solaires identifiés (près de 6 GW) alors que la plupart des projets mûrs recensés concernent de l’énergie éolienne terrestre.
Transgreen va plancher sur le transport de l'électricité verte
Les principaux freins à ce développement résident d’abord dans le fait que le chiffre proposé de 20 GW relève d’un compromis au sein de l’UpM dont certains des membres sont des producteurs de pétrole et de gaz ! Ensuite, il faut considérer le coût d’amorçage de tels procédés. Selon les deux scénarios, il oscillerait entre 7 et 21 mds€. Pour Antoine-Tristan Mocilnikar, responsable Environnement et Développement durable à la Mission UpM en France, " le financement le plus aisé serait avec les trois quarts de l’énergie consommées sur place et un quart à l’extérieur. 1/5 ème de l’électricité pourrait revenir en Europe donc il s’agira d’une importation massive d’électrons verts."Enfin, produire de l’électricité verte c’est bien. Mais, encore faut-t-il pouvoir la distribuer. " Les pays partenaires méditerranéens devront renforcer leurs réseaux de transmission électrique et adapter en parallèle les normes de leur réseau afin d’augmenter au maximum la capacité d’intégration des énergies renouvelables dans leur système " recommande l’étude du PSM. Comme le précise Pedro Marin Uribe, secrétaire d’état espagnol à l'Energie, "le Maroc et l’Espagne proposent la seule connexion électrique reliant le nord et le sud de la Méditerranée." Et c’est bien là que le bat blesse comme le reconnaît Antoine-Tristan Mocilnikar : " les réseaux ce sera le plus dur» Un consortium d’industriels se forme et prendra le nom de Transgreen. Leur objectif : donner à court terme une feuille de route sur un premier maillage de réseaux de 5 000 MW." De son côté Desertec (lire : Le projet éolien et solaire Desertec accueille du renfort) s’intéresse également à la question. D’ores et déjà, l’Egypte, par la voix de Laïla Georgi Youssef, vice-présidente de l’Agence égyptienne des énergies nouvelles et renouvelables, se positionne comme " hub de l’interconnexion électrique ". Via l’Espagne et le Maroc, elle connecte le Maghreb, le Proche-orient, l’Afrique et les pays du golfe. En parallèle du PSM, plusieurs idées ont émergé de cette réunion espagnole comme la création d’un Fonds méditerranéen de l’énergie propre ou de la mise en réseau de villes durables proposées par le Maroc, mais aussi la création d’un fonds carbone méditerranéen suggéré par Antoine-Tristan Mocilnikar.
Lundi 10 Mai 2010
Frédéric Dubessy, à VALENCE (Espagne

Fête de l’Europe 2010 à Strasbourg



Fête de l’Europe 2010 à Strasbourg : deux jours pour considérer l’Europe,
[Fenêtre sur l'Europe]
Dans le cadre de la Fête de l’Europe, organisée tout le mois durant par la Ville de Strasbourg, le public est invité les 17 et 18 mai prochains à appréhender l’Europe par le biais de deux questions, "Savez-vous ce que peut l’Europe sociale peut faire pour vous ?" et "l’Europe, 60 ans après la déclaration Schuman : géant économique et nain politique ?", initiées avec le soutien de la Ville, pour la première, par la Commission européenne et pour la seconde, par l’amicale du personnel du Conseil de l’Europe.
A la suite d’une trentaine de villes européennes, Strasbourg accueillera, Place Kléber, une vaste manifestation portée par la Commission européenne autour du thème de l’Europe sociale ; une réalité bien souvent mise en doute. Cette manifestation s’ouvrira dès 10h00, le 18 mai, par une exposition de visuels sensibilisant le public aux diverses actions entreprises par l’Europe en la matière et par des rencontres avec des acteurs, bénéficiaires de programmes européens, qui renseigneront le public sur les possibilités offertes. Elle se poursuivra le 19 mai par des animations comprenant notamment un jeu quiz en continu et une initiation aux arts du cirque pour les plus petits comme pour les plus grands (13h00 – 17h00).Une soirée inaugurale aura lieu le 18 mai à 19h00, en présence du Commissaire européen à l’emploi et aux affaires sociales, Laszlo ANDOR, du Maire de Strasbourg, Roland RIES, du Président du Conseil régional, Philippe RICHERT, et du Préfet de région, Pierre-Etienne BISCH.Le 18 mai toujours, mais au Conseil de l’Europe cette fois, se tiendra à partir de 17h30 une conférence-débat animée par le géopolitologue Pascal BONIFACE, directeur de l’Institut des Relations Internationales et Stratégiques (IRIS) et auteur de nombreux ouvrages, qui s’interrogera sur la fragilité de l’Europe politique. Rendez-vous Salle 1 du Palais de l’Europe, 1 avenue de l’Europe à Strasbourg.Un badge étant requis, prière de s’inscrire avant le 17 mai auprès de Maude RENVOISE, Ville de Strasbourg (maude.renvoise@cus-strasbourg.net