阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, July 18, 2009

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Quatre pays européens et la Turquie énergie




énergie
Quatre pays européens et la Turquie
signent l'accord sur le «Nabucco»
Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de RussieLes dirigeants de quatre pays européens et de la Turquie ont signé lundi à Ankara un accord sur le projet de gazoduc Nabucco, qui réduira la dépendance de l'Europe vis-à-vis de la Russie, mais des questions subsistent sur le financement et l'approvisionnement.Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a signé l'accord, ainsi que les premiers ministres d'Autriche, Bulgarie, Hongrie et Roumanie.Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, était présent, pour signifier l'importance de ce projet. Nabucco, qui est soutenu par les Etats-Unis, prévoit la construction d'un gazoduc pour transporter jusqu'à 31 milliards de m3 de gaz par an en provenance d'Asie centrale vers l'UE, en passant par la Turquie et le sud-est de l'Europe.Le premier ministre irakien Nouri al-Maliki, le président géorgien Mikheïl Saakachvili, un représentant de l'Azerbaïdjan et l'émissaire spécial américain pour l'énergie en Eurasie, Richard Morningstar, avaient fait le déplacement. La Géorgie est un des points de connexion possibles du gazoduc, avec l'Irak et la Syrie. L'Azerbaïdjan doit fournir une part importante du gaz. Un quart du gaz naturel utilisé en Europe provient actuellement de Russie.Un différend entre la Russie et l'Ukraine, point de transit essentiel, a déjà gravement porté atteinte aux approvisionnements vers l'Europe.Nabucco, lancé en 2002, devrait démarrer en 2014. Son coût est estimé à 7,9 milliards d'euros. Deux banques européennes se sont déclarées prêtes à financer le projet, mais les analystes ont des doutes quant à la capacité de réunir les fonds suffisants, du fait de la crise. M. Erdogan a souligné avant la signature que "le travail n'est pas terminé avec la signature, au contraire, il commence".Cet accord "est un résultat très significatif... (mais) il faut reconnaître qu'il y a encore beaucoup de travail à faire", a déclaré M. Morningstar. Le Turkménistan, qui dispose d'importants gisements, a apporté un précieux soutien à Nabucco vendredi en annonçant être prêt à s'y associer.Les Européens attendent encore l'accord de pays-clés comme le Kazakhstan ou l'Ouzbékistan. L'Azerbaïdjan sera un des principaux fournisseurs, mais n'a pas assez de gaz pour remplir seul le tube. Et Bakou et Moscou viennent de signer un accord pour l'achat de gaz azerbaïdjanais.Le projet Nabucco est aussi en concurrence avec un autre projet, South Stream, développé par le géant russe Gazprom et l'italien ENI qui doit relier la Russie à la Bulgarie, par la mer Noire. Le premier ministre irakien a annoncé que son pays pourrait probablement fournir 15 milliards de m3. Mais Matthew Bryza, adjoint au sous-secrétaire d'Etat américain, a mis en doute cette déclaration, rappelant le différend qui oppose Bagdad aux Kurdes irakiens, qui contrôlent les gisements pétroliers et gaziers du nord de l'Irak. Nabucco acheminera du gaz d'est vers l'ouest et, selon l'accord, d'ouest vers l'est, a expliqué le commissaire européen à l'Energie Andris Piebalgs au journal turc H rriyet Daily News. Cette disposition "permettra de fournir du gaz à la Turquie en cas de crise" à partir du réseau européen, a-t-il précisé. M. Erdogan a assuré que le gazoduc aiderait son pays à rejoindre l'UE. Pour M. Barroso, le projet "pourrait ouvrir la porte à une nouvelle ère dans les relations entre la Turquie et l'UE, et au-delà". La signature de l'accord a été reportée plusieurs fois, la Turquie, pays pauvre en énergie, exigeant 15% du gaz transporté, avant de renoncer à cette demande. Les compagnies actionnaires du projet sont OMV (Autriche), Botas (Turquie), Bulgargaz (Bulgarie), MOL (Hongrie), Transgaz (Roumanie) et RWE (Allemagne).
Projet solaire en AfriqueDouze entreprises, en majorité allemandes, ont signé lundi un protocole d'accord lançant un projet de 400 milliards d'euros pour construire des centrales solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient afin d'alimenter l'Europe en énergie "propre".Ce projet pharaonique, nommé "Desertec", pourrait couvrir à terme 15% des besoins énergétiques de l'Europe et une grande partie de ceux des pays producteurs, selon ses promoteurs."Aujourd'hui, nous avons fait un pas en avant" vers sa réalisation, s'est réjoui Nikolaus von Bomhard, patron du réassureur allemand Munich Re, au siège duquel fut signé le protocole d'accord à Munich (sud de l'Allemagne).Torsten Jeworrek, membre du directoire du réassureur, a promis une collaboration "sincère, juste et d'égal à égal" avec les pays producteurs.Ce protocole d'accord prévoit la création d'un bureau d'études au plus tard fin octobre.Il devra aboutir d'ici trois ans à "l'élaboration de plans d'investissement réalisables" pour la création de ce réseau de centrales solaires thermiques, selon un communiqué de presse.Parmi les groupes impliqués se trouvent la banque allemande Deutsche Bank, les groupes énergétiques EON et RWE, le conglomérat Siemens ou encore l'espagnol Abengoa Solar et l'algérien Cevital.Des représentants de la fondation à l'origine du projet ainsi que de la Ligue arabe et du ministère égyptien de l'Energie étaient également présents.






Par AFP

Maroc énergie




Le Maroc a contribué à la concrétisation du processus
Publié le : 16.07.2009 09h04


Le Maroc a contribué à la concrétisation du processus de partenariat Afrique-Amérique du Sud en œuvrant à rapprocher les points de vues des deux parties pour parvenir à un consensus sur des projets de coopération dans le domaine de l'énergie, ont affirmé des experts marocains participant à la 1re réunion conjointe Afrique-Amérique du Sud (ASA) sur l'énergie.

«Il s'agit d'une contribution à caractère opérationnel dans l'objectif de lancer des partenariats interrégionaux, de promouvoir l'échange d'expériences et de favoriser la réalisation d'investissements en Afrique par l'Amérique du Sud dans les secteurs de l'énergie», ont-ils souligné à l'issue de cette rencontre, dont les travaux se sont achevés mercredi au siège de la Commission économique pour l'Afrique (CEA) à Addis-Abeba.La délégation des experts marocains était composée de Mohamed Belghiti et Abdelmjid Hatimi, responsables au ministère de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement et Mouloud Ouazzaba, responsable à l'Office national des hydrocarbures et des mines (ONHYM).Lors de cette réunion, un portefeuille de projets à court, moyen et long termes répondant à des critères d'éligibilité consistant en la faisabilité technique, la viabilité financière, la durabilité et la rentabilité, a été retenu après discussion par les experts africains.Ces critères portent aussi sur le respect de l'environnement, l'acceptabilité sociale et le potentiel de reproduction technologique.Les participants ont également examiné un plan d'action qui comporte, outre le portefeuille de projets, les mécanismes de financement des projets retenus et les aspects institutionnels régissant la coopération Afrique-Amérique du Sud.La partie sud-américaine a pris note de ce plan d'action qui sera soumis pour examen et avis aux Etats de l'Amérique du Sud.L'initiative de coopération ASA a vu le jour après le premier Sommet Afrique-Amérique du Sud qui s'était tenu en novembre 2006 à Abuja. Le Sommet a adopté la «Déclaration d'Abuja» et un «Plan d'action» qui appellent à une coopération plus large entre les deux régions dans différents domaines. Pour le secteur de l'énergie, la Déclaration recommande que la priorité soit donnée à l'établissement de partenariats interrégionaux et la promotion des investissements en Afrique par l'Amérique du Sud dans les secteurs des mines et de l'énergie pour l'exploitation des combustibles fossiles, en particulier les hydrocarbures, la pétrochimie, ainsi que des ressources d'énergie renouvelables, tels que l'hydroélectricité, les biocarburants, l'énergie solaire, géothermique et éolienne. A cet égard, la Déclaration d'Abuja a noté la pertinence des activités de la Commission africaine de l'énergie (Afrec) et de l'Organisation latino américaine de l'énergie (Olade) dans la réalisation des objectifs de l'ASA.En outre, le Plan d'Action d'Abuja mandate l'Afrec et l'Olade à élaborer une stratégie pour promouvoir le développement durable des ressources énergétiques, tout en respectant les droits souverains des Etats membres à gérer et réguler leurs ressources naturelles, et à envisager la possibilité de créer une Commission de l'énergie pour les deux régions.


Par MAP

Tunisie Energie



Ou quand l’Europe convoite l’énergie saharienne
Ce projet concerne plusieurs pays, notamment la Tunisie, la Libye, l’Algérie, le Maroc. Quelle stratégie adoptée pour que ces pays puissent tirer le meilleur parti possible en termes économique et social de ce projet? Qu’en pensent les milieux politiques ? Que peuvent les milieux économiques ?
D’aucuns le qualifient de ‘’projet pharaonique’’, d’autres ‘’d’irréaliste’’, et d’autres encore ‘’de trop coûteux’’. Vous avez deviné, il s’agit du projet Desertec consistant à convertir le soleil des déserts d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient en électricité. Le projet sera mené par un consortium sous l'égide du réassureur allemand Munich Re, mais dont font partie également le groupe Siemens, les électriciens Eon et RWE, et la Deutsche Bank. Au total, un consortium de 12 entreprises et institutions financières, soit une puissance financière à la hauteur des ambitions dudit projet.
Et comme la charité bien ordonnée commence toujours par soi-même, la future énergie solaire saharienne sera essentiellement destinée à chauffer l’Europe.

Selon les calculs effectués par le Centre aéronautique et spatial allemand (DLR), coût de ce projet est estimé 400 milliards d’euros sur une période de quarante ans.
Pour ce faire, il sera installé un dispositif comprenant, dans un premier temps, des centrales thermiques solaires à concentration. Celles-ci sont formées de batteries de miroirs –pouvant être alignés sur plusieurs kilomètres– qui, de forme cylindro-parabolique, réfléchissent la lumière du soleil dont ils suivent le déplacement, en la concentrant vers un tube contenant de l'huile de synthèse.
Porté à 400°C, ce fluide caloporteur chauffe des circuits d'eau, générant ainsi de la vapeur qui actionne des turbines produisant de l'électricité. L'excès de chaleur emmagasiné durant la journée est suffisant pour faire tourner les turbines une partie de la nuit ou pour répondre à une pointe de consommation.
A rappeler que la plus grande centrale thermique solaire au monde, en service depuis le milieu des années 1980, se trouve dans le désert de Californie (USA), à Kramer Junction; mais d'autres installations de création récente existent également, dans le Nevada et en Espagne (à Almeria).
Ensuite, il faut ‘’des lignes de transmission de courant continu haute tension. De telles liaisons, qui peuvent être aériennes ou enterrées –dans le cas présent, posées au fond de la Méditerranée–, sont déjà exploitées depuis longtemps, la plus longue du monde (1.400 km) reliant le Mozambique à l'Afrique du Sud’’.
Et les Maghrébins dans tout ça ?
Ce projet est en soit louable, mais dans les détails, c’est à regarder de près, c’en est une autre chose. Avant de décider de venir ‘’coloniser le soleil saharien’’ pour par la suite sa substance, c’est-à-dire son énergie, est-ce que ces entreprises allemandes ont eu l’autorisation des pays traversés par le Sahara ? Sans doute, les étrangers –y compris les Européens- connaissent notre point faible : la division ; et ils vont jouer sur cette corde. Ils viendront en Tunisie, ‘’eh, vos frères marocains ont déjà accepté…’’, en Algérie, ‘’écoutez, vos frères ennemis marocains ont accepté, ainsi que vos frères tunisiens …’’, etc. et le tour est joué…
Face à cela, les Maghrébins devraient former un front uni afin de poser un certain nombre de conditions, notamment des investissements conséquents en fonction de subsides que ces entreprises vont tirer de ce projet. Alors inutile de jouer au solo.
TB

Union européenne Islande



UE : L'Islande officiellement candidate à l'adhésion
[Fenêtre sur l'Europe]
Un jour après que le Parlement islandais se soit prononcé en faveur d'une demande d'adhésion du pays à l'Union européenne, l'île vient officiellement de déposer sa demande à Bruxelles.
C'est auprès de la présidence suédoise et de la Commission européenne à Bruxelles, que l'Islande a déposé sa demande d'adhésion à l'UE."L'ambassadeur islandais à Stockholm a rencontré aujourd'hui le secrétaire permanent du ministère suédois des Affaires étrangères et lui a présenté la candidature islandaise", a annoncé dans un communiqué le ministère islandais des Affaires étrangères."Dans le même temps, l'ambassadeur islandais auprès de l'Union européenne a présenté la candidature à la Commission européenne", est-il ajouté.L'économie de l'île nordique s'est effondrée en raison de la crise économique mondiale. Et la presse islandaise s'est montrée plutôt favorable au processus, contrairement aux pêcheurs et agriculteurs du pays qui ne veulent pas passer sous les règlementations européennes.Le gouvernement islandais espère une adhésion pour 2012. Mais cette adhésion de l'Islande à l'Union européenne devra d'abord être approuvée par un référendum populaire. S.M.