阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, August 12, 2010

Turquie positionnés au premier rang à l’échelle européenne




Record dans l’augmentation du nombre de scientifiques turcs Sur ces huit dernières années la Turquie a vu son nombre de chercheurs augmenter de 107%.

Le pays s’est par là-même positionné au premier rang à l’échelle européenne. Selon les déclarations faites par le SGC (Secrétariat général du Conseil de l’Union européenne), "la Turquie, qui malgré la crise financière n’a pas abandonné ses stratégies de redressement sur le long terme, a commencé à voir les investissements qu’elle a fait dans les domaines de la science et de la technologie porter ses fruits. Le SGC a également déclaré que la Turquie, en envisageant une stratégie à multiples orientations dans les domaines de la science et de la technologie, avait augmenté son nombre de chercheurs de 107%. Ces avancées ont pu se faire dans le cadre de l’alignement avec l’Espace européen de la recherche et dans le cadre de la participation aux programmes nationaux de recherche. A cela s’ajoutent les considérables efforts de TÜBITAK (Conseil de la Recherche Scientifique et Technologique).

Le SGC a souligné que la commission européenne avait chargé la Turquie de coordonner le développement des activités de recherche et de technologie entre l’Europe et le Japon. Aussi, une Turquie qui endosse ce rôle clé apportera beaucoup sur le plan de la science et de la technologie en vue d’une adhésion à l’UE, selon le SGC.

On a appris, d’autre part, que la Turquie qui a participé au 7e PCRDT européen intitulé "Science et Recherche", le 25e chapitre du processus de négociation, a récupéré 70 millions d’euros après y en avoir investi 60 millions.

La France était appelée à rendre des comptes devant le Comité pour l'élimination de la discrimination raciale de l'ONU (CERD).


Des experts de l'ONU critiquent les projets français sur les Roms et les étrangers

La France était appelée, mercredi 11 et jeudi 12 août, à rendre des comptes devant le Comité pour l'élimination de la discrimination raciale de l'ONU (CERD). Quinze jours après le discours de Nicolas Sarkozy à Grenoble et quelques mois après le débat sur l'identité nationale, ses experts, qui passent périodiquement au crible les cent soixante-treize Etats qui ont ratifié la Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale, n'ont pas manqué de pointer une "recrudescence notable du racisme et de la xénophobie" dans le pays, épinglant notamment la politique du gouvernement envers les Roms et les "Français d'origine étrangère".
Plusieurs d'entre eux ont demandé si les récents propos de Nicolas Sarkozy étaient compatibles avec la Constitution française. "Je ne comprends pas ce que c'est qu'un Français d'origine étrangère" et "je me demande si cela est compatible avec la Constitution", a demandé l'expert turc Gun Kut. Concernant les gens du voyage, certains ont dénoncé en particulier le système d'attribution de visa de circulation ainsi que le droit de vote conditionné à plusieurs mois de vie dans la même commune. "Le carnet de circulation nous effraie, nous rappelle l'époque de Pétain", a expliqué l'expert nigérien Waliakoye Saidou.

La délégation française a présenté, mercredi, un rapport de près de 90 pages sur les mesures prises par Paris depuis son dernier examen devant le CERD en 2005 et a répondu jeudi aux remarques faites par le comité concernant les Roms. Sur la question de l'évacuation des camps illégaux et de leur expulsion vers la Roumanie et la Bulgarie, la délégation française a expliqué que, selon le traité d'adhésion à l'Union européenne de ces deux derniers pays (Etats membres depuis 2007), il est possible de maintenir certaines restrictions de circulation durant 7 ans à l'encontre de leur ressortissants. Quant au renvoi dans leur pays d'origine, il est également "conforme", selon elle, au droit européen qui stipule que tout Etat peut mettre fin au séjour de plus de trois mois d'une personne sans emploi et qui constitue un poids social.

Sur la question de la déchéance de la nationalité française qui a provoqué l'ire de nombre d'experts mardi, le Comité a botté en touche, estimant impossible de commenter un projet de loi dont les contours n'ont pas été encore définis.

Après les réponses de la délégation française aux experts, le comité doit faire une série de recommandations.

Hyundai va construire deux centrales électriques solaires aux Etats-Unis


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Les Etats-Unis ont confié au premier constructeur naval au monde, Hyundai Heavy Industries, la construction de deux centrales électriques fonctionnant à l’énergie solaire pour 700 millions de dollars, a annoncé mercredi le groupe..

Le contrat porte sur des centrales d’une capacité de 150 mégawatts (MW) et 25 MW en Arizona (sud-ouest) dont la construction devrait être achevée d’ici à la fin 2012, selon la même source..

Hyundai Heavy a indiqué que ce contrat, passé avec le groupe d’électricité américain Matinee Energy, lui permettrait de devenir un acteur international de l’énergie solaire..

Le constructeur naval a diversifié sa gamme d’activités en se spécialisant dans l’énergie renouvelable et la construction de centrales électriques..

APS.
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Algerie les racines d'une action multiple



Face à la conjoncture, l'Etat a réussi à faire de la " reconstruction nationale " un facteur de transformation, de fécondité socioéconomique et d'ouverture sans limite. Il ressort de cet axe plusieurs caractéristiques qui font peut-être la spécificité, de la période actuelle. A la fois riche et diversifiée, cette spécificité par le nombre croissant d'acquis et de réalisations, par la variété des dépenses publiques en ce qui concerne notamment les programmes du développement social, marque des points qui attirent de plus en plus l'adhésion des populations. Comme aujourd'hui, il y a des réalités qui s'expriment sur le terrain pour plus de progrès socioéconomiques. Aussi, il n'y a rien dans cette œuvre qui puisse laisser l'Algérien indifférent, d'autant que l'Etat exploite efficacement ses moyens et ses ressources de manière constante au service du peuple.
Une ligne de développement est d'ailleurs adoptée à chaque plan de manière positive. Pour les citoyens l'essentiel est que cette reconstruction nationale soit là pour donner l'étoffe nécessaire au niveau de la conception fascinante des choses. L'exemple type d'un travail d'édification nationale, de fabrication de la prospérité où les racines d'une action multiple sont tellement nombreuses qu'on ne peut les ignorer, et, par conséquent, l'essentiel repose sur un fond bien rythmé orienté vers les grands changements avec le vouloir de faire face aux événements nouveaux, de dépasser le " particulier ", mais aussi de poser les problèmes essentiels de la société. Une situation cohérente et de grande valeur économique et sociale. Il ne viendrait à l'idée de personne de contester les mérites de ce qui est en train de se concrétiser en Algérie avec toute l'adhésion populaire.

Diversité culturelle



Pour certains sociologues, c'est un concept servant à décrire l'existence de différentes cultures au sein d'une société, en fait à l'intérieur d'un État-nation. L'acceptation de la diversité culturelle, ou tolérance se matérialise pendant les phases de croissance économique, en cas de crise, la différence culturelle, concurrentielle, devient indésirable et intolérable par les tenants du centralisme et du pouvoir de ce même État traduisant un rapport de domination, au nom de ses "valeurs suprêmes", c’est-à-dire une idéologie

L'UNESCO a pris parti pour une « Civilisation Mondiale Multi-Culturelle ».
La déclaration universelle de l'Unesco sur la diversité culturelle de 2001 est considérée comme un instrument normatif reconnaissant, pour la première fois, la diversité culturelle comme "héritage commun de l'humanité" et considérant sa sauvegarde comme étant un impératif concret et éthique inséparable du respect de la dignité humaine.

La Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel ratifiée au 20 juin 2007 par 78 États précise :

« Ce patrimoine culturel immatériel, transmis de génération en génération, est recréé en permanence par les communautés et groupes en fonction de leur milieu, de leur interaction avec la nature et de leur histoire, et leur procure un sentiment d'identité et de continuité, contribuant ainsi à promouvoir le respect de la diversité culturelle et la créativité humaine. »
La diversité culturelle a été reprise également par la déclaration de Montréal de 2007, ainsi que par l'Union européenne.

L'idée d'une société mondiale multi-culturelle recouvre plusieurs idées, qui ne sont pas exclusives. Voir multiculturalisme.

En plus de la langue, la diversité peut aussi inclure la religion ou la coutume traditionnelle.

L'Algérie, regorge de sites et monuments classés et à classer



Parcs naturels

C'est très facile de lancer le tourisme

L'Algérie, qui regorge de sites et monuments classés et à classer, est en fait un immense musée mais des décisions sont à prendre pour réaliser ce rêve. La nature et les civilisations passées par notre territoire à travers les siècles ont fait de l' Algérie l' un des pays les plus riches en matière d'archéologie, de sites naturels, de grottes, de lacs et de maisons classées ou à classer.

En effet, toutes les régions et toutes les villes de notre pays regorgent de sites, de parcs, de monuments ou de maisons à restaurer et à mettre en valeur. Malgré tout ce qu'on raconte, le parc naturel d'El Qala, qui a été classé par l'Unesco, n'attire ni les touristes étrangers ni les Algériens. Même constat pour les parcs de Belezma, Chréa, Theniet El Had, Taza, Gouraya, Tlemcen, le Djurdjura et l'Ahaggar sans oublier le Tassili qui est le plus vaste site touristique du monde.

On peut affirmer que toute l'étendue du territoire national est un patrimoine culturel à protéger. La richesse de nos parcs nationaux et de nos sites est inestimable, mais l'insuffisance en matière de gestion et l'absence de l'environnement (hôtels, motels, restaurants, transport, etc.) risque de laisser certains sites tomber en ruine ou dans l'oubli.

Le côté communication devrait être sérieusement pris en considération pour que les Algériens et les étrangers sachent au moins où se trouvent les plus beaux sites et quels sont les moyens pour pouvoir les visiter. Il paraît que l'un des lacs d'El Qala a été loué à quelqu'un pour y pêcher du poisson.

Cela est normal, mais il est préférable qu'on pense plutôt à des investisseurs dans le domaine touristique. On aimerait bien voir des investisseurs ériger des chalets et des motels aux alentours de ces beaux lacs. On aimerait bien y voir des petits voiliers et des gens prendre des glaces autour de ces merveilleux sites.

Pour le Sahara, on se demande pourquoi personne n'a pensé à mettre des montgolfières à la disposition des touristes comme on l'a vu en Cappadoce en Turquie et dans d'autres pays. Pour lancer le tourisme, il ne suffit pas de tracer des programmes, il faut prendre des décisions simples, notamment des exonérations et des réductions d'impôts pour ceux qui veulent investir dans ce secteur.

B. S.

Le réchauffement de la planète est-il devenu une réalité



Nous risquons d'être de plus en plus confrontés à des phénomènes climatiques exceptionnels"
Le réchauffement de la planète est-il devenu une réalité ? Des phénomènes climatiques exceptionnels bousculent des pays entiers. En Russie, une canicule inédite a favorisé des incendies majeurs, le Pakistan est dévasté par des pluies diluviennes et au Groënland, c'est un gigantesque morceau de banquise qui a pris le large. Pour Jean-Pascal van Ypersele, vice-président du Groupe d'experts intergouvernemental sur le climat (GIEC) et chercheur à l'Université catholique de Louvain, ces phénomènes climatiques extrêmes sont en accord avec les prévisions du GIEC sans toutefois pouvoir être reliés avec certitude au réchauffement de la planète
Comment analysez-vous ces phénomènes climatiques exceptionnels ?


J'ai, gravées dans ma mémoire, les conclusions du dernier rapport (.pdf) du GIEC que nous avons publié en 2007. Je constate que nous avions insisté sur le fait que, dans un monde qui se réchauffe, il était très probable d'observer davantage de vagues de chaleur et d'inondations.

Toutefois, le climat se définit comme une moyenne des données météorologiques sur trente ans. Un été est donc bien trop court pour le juger. Je m'exprime avec nuance et ne peux dire avec certitude que ces phénomènes climatiques et le réchauffement de la planète sont liés. Il faut rester scientifiquement raisonnable.

Pourrait-il s'agir d'événements ponctuels ?

Le GIEC ne peut pas affirmer que la vague de chaleur en Russie ou les inondations au Pakistan n'auraient pas eu lieu il y a 200 ans, avant la révolution industrielle [période à partir de laquelle l'homme a commencé à rejeter de grandes quantités de gaz à effet de serre]. On ne peut pas exclure que ces phénomènes soient totalement naturels. Il existe une petite probabilité pour qu'il en soit ainsi ; nous sommes bien incapables de la quantifier.

Le GIEC s'est exprimé très clairement sur le caractère anthropique du réchauffement de la planète et sur ses conséquences possibles, mais il ne faut pas oublier que l'on reste dans le domaine des statistiques. Il est donc délicat de commenter un événement en particulier. Il est difficile, voire impossible, d'attribuer avec certitude un rôle au réchauffement climatique dans ces événements.

Comment le réchauffement de la planète peut-il induire ces catastrophes ?

Cela dépend des phénomènes que l'on considère. Dans un climat qui, en moyenne, se réchauffe, le nombre d'événements froids diminue quand celui d'événements chauds augmente. En conséquence, la probabilité qu'il y ait des vagues de chaleur augmente.

Parallèlement, le réchauffement induit une augmentation de l'évaporation de l'eau présente à la surface de la planète. Il y a donc davantage d'eau dans l'atmosphère. Quand les conditions sont réunies pour que la pluie tombe, elle tombera en plus grande quantité. Dans le cas du Pakistan, il y a de grandes chances pour que ce phénomène ait joué un rôle.

Un deuxième facteur a pu également jouer. Pour que l'eau se condense et tombe sous forme de pluie, il faut qu'elle soit refroidie. Le plus efficace pour abaisser sa température est de la faire monter dans l'atmosphère, car plus on monte, plus il fait froid. Or on observe en ce moment une position anormale du "jet stream" [un puissant courant d'air qui circule d'ouest en est à une dizaine de kilomètres d'altitude] qui a pu modifier l'intensité et la localisation des pluies. Cette position du "jet stream" est-elle liée au climat qui se réchauffe ? Il faudra plusieurs mois d'analyse pour l'affirmer avec plus de certitude.

La recrudescence d'événements climatiques de ce type poussera-t-elle les dirigeants de la planète à agir davantage pour réduire les émissions de gaz à effet de serre ?


Il existe aujourd'hui suffisamment de données scientifiques fiables pour que des décisions politiques ambitieuses soient prises. Nous avons une très grande variété de modèles climatiques perfectionnés. L'ensemble de ces modèles montrent la même chose : ces phénomènes extrêmes seront plus fréquents ou plus intenses. On n'a pas besoin de données supplémentaires pour agir. Ce qui ne veut pas dire qu'on n'a plus besoin de faire de la recherche !

Les populations risquent d'être de plus en plus souvent confrontées à des problèmes climatiques de ce type. Elles se souviendront alors du discours des scientifiques ; leurs dirigeants ne pourront plus leur raconter n'importe quoi. Ils ne resteront pas en place car les populations seront conscientes que notre mode de vie doit changer.

Le GIEC a été très critiqué ces derniers mois sur ses conclusions et ses méthodes. Ces critiques ont-elles changé votre manière de travailler ?


Les conclusions principales du GIEC – caractère anthropique du réchauffement, conséquences d'ores et déjà visibles et plus intenses à l'avenir, solutions pour limiter le réchauffement, etc. – n'ont jamais été remises en cause sérieusement. Moi-même et l'ensemble du GIEC sommes restés très sereins. A juste titre, quelques erreurs ont été relevées dans le quatrième rapport [sur la fonte des glaciers dans l'Himalaya]. Elles ont été corrigées et n'ont pas remis en cause ses conclusions principales.

Nous sommes en train de travailler au cinquième rapport du GIEC. Nous allons faire en sorte de profiter de la formidable énergie des blogs et des internautes pour diminuer les risques d'erreur. Ce cinquième rapport sera meilleur que les précédents !

Propos recueillis par Jonathan Parienté