阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Tuesday, July 20, 2010

Le chef de l'État.Mr colonel Mouammar Kadhafi entretien




À quelques jours de l'ouverture à Kampala, en Ouganda, du sommet de l'Union africaine (UA), dont il a déjà assuré la présidence, le colonel Mouammar Kadhafi répond aux questions de Boniface Vignon (RFI) et Taoufik Mjaied (FRANCE 24).
L'ENTRETIEN Par FRANCE 24
Le Darfour
Mouammar Kadhafi est revenu sur la présence en Libye de Khalil Ibrahim, chef du Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), le plus important des groupes rebelles du Darfour. "Il est normal que sa présence en Libye préoccupe le Soudan et le Tchad. Nous lui avons cependant interdit de faire des déclarations à moins que cela soit dans l’intérêt de la paix ou pour déposer les armes", a déclaré le colonel Kadhafi.
Ce dernier s’est dit prêt à accueillir en Libye, si nécessaire, Omar El-Béchir, le président soudanais sous le coup d’un mandat d’arrêt international. "Nous ne reconnaissons pas la Cour pénale internationale, qui est un instrument au service du colonialisme et du terrorisme international", a-t-il déclaré. Selon lui, "il faudrait juger un certain nombre de dirigeants occidentaux et israéliens avant de juger El-Béchir".

Le Sahara occidental
Le dirigeant libyen a de nouveau réclamé l'organisation d'un référendum sur le futur statut du Sahara occidental, cette région dans laquelle est déployée une mission de maintien de la paix des Nations unies (Minurso) depuis 1991. "Il n’y pas d’autre solution que le référendum, ceux qui s’y opposent en paieront le prix", précisant au passage que le défunt roi Hassan II du Maroc était d’accord avec cette position.

Al-Qaïda au Maghreb
Enfin, le guide de la révolution libyenne a nié l’existence de l’organisation Al-Qaïda au Maghreb. "Il n’y a pas d’organisation de ce type. C’est une rumeur, de la propagande […] En réalité, il s’agit de petits groupes criminels comme les Brigades rouges en Italie. Ils ont commis des attentats, des kidnappings et des assassinats, cela n’a rien à voir avec l’islam", a-t-il précisé. Selon lui, Ben Laden n’est pas responsable des actes du groupuscule terroriste. "Ben Laden, dont cette organisation se revendique, peut se comporter comme un homme raisonnable, comme un cheikh, comme un théologien, il a notamment proposé la trêve à l’Europe. Je ne pense pas qu’il accepte ces groupes de la mort", a-t-il conclu.

Chronologie de l’Euro-Méditerranée" (chronique originale)



Focus sur la Méditerranée. Juillet 2010


Chronologie de l’Euro-Méditerranée" (chronique originale)
Par la Mission Agrobiosciences et Cécile Souteyrand, étudiante à l’IEP de Toulouse
L’Europe et les pays du Sud de la Méditerranée partagent une longue histoire. C’est donc naturellement que, depuis le début de sa création jusqu’à ce jour, l’entité politique Europe a cherché à développer des relations avec ces Etats, multipliant les partenariats Nord-Sud autour de cette mer. Dans l’optique des Controverses de Marciac, la Mission Agrobiosciences s’est donc penchée dans cette chronique sur les étapes clés de l’Euro-Méditérrannée.

1957-1972. Une volonté de partenariat dès l’origine Dès le traité de Rome (1957), la politique méditerranéenne menée par la Communauté économique européenne (CEE) est marquée par les relations historiques entre la France et le Maghreb. Le traité permet, ainsi, à la CEE de conclure des accords d’association économique avec les pays indépendants de la zone franc. Ainsi, les années 60 voient la signature d’accords de coopération économique et commerciale avec le Maroc et la Tunisie.
1972 – 1995. La politique méditerranéenne avant Barcelone Les accords des années 70 s’inscrivent dans le cadre de la mise en place de la politique globale méditerranéenne lancée lors de la conférence de Paris, de 1972, en vue de rénover la coopération. L’approche, plus globale, a été conçue pour les « pays riverains directs de la Méditerranée (ainsi que pour la Jordanie) qui ont demandé ou qui demanderaient à entretenir des relations particulières avec la Communauté », la Libye étant exclue du processus La politique euro-méditerranéenne concerne alors le Maghreb central, les pays du Machrek , Israël ainsi que les pays du sud de l’Europe. Ces accords de coopération reprenaient les accords commerciaux des années 60 et s’ouvraient à des volets techniques et financiers.
Dans le même temps, la CEE négocie une série d’accords de commerce et de coopération bilatéraux avec les pays du pourtour méditerranéen. Un régime spécial d’accords est mis en place pour la Grèce, la Turquie, Malte et Chypre.
Dans les années 80, la CEE instaure une « politique méditerranéenne rénovée », encourageant des questions davantage politiques telles que la paix, la sécurité, les droits de l’Homme ou la démocratie. La prévalence de la dimension économique, qui a perduré jusque-là, s’effrite, l’Europe prenant conscience de la nécessité de mener une politique plus globale servant de nouveaux intérêts (sécuritaires, sociaux et politiques).
10 octobre 1990. Le processus de coopération entre les pays de la Méditerranée occidentale, dit Dialogue 5+5, est lancé lors d’une réunion ministérielle à Rome. Cette enceinte de dialogue politique informel regroupe les cinq pays de l’Union du Maghreb arabe (Tunisie, Algérie, Maroc, Mauritanie et Libye) et cinq pays de l’Union Européenne du bassin occidental de la Méditerranée (Espagne, Portugal, France, Italie et Malte).
1995 – 2003. A l’aube du partenariat euro-méditerranéen, Barcelone une vraie ambition Le milieu des années 90 voit la multiplication des accords d’association bilatéraux entre l’Union Européenne et des pays de la zone méditerranéenne. Ils se poursuivent encore aujourd’hui.
1995 reste certainement l’année clé de l’Euro-Méditerranée. Le processus de Barcelone, ou partenariat Euromed, est en effet lancé cette année-là, à l’initiative des pays des deux rives. Les contours d’une politique globale et ambitieuse se dessinent en vue, notamment, de définir une politique susceptible d’assurer la paix, la stabilité, la sécurité et le développement social dans la région. C’est plus précisément les 27 et 28 novembre 1995 que les ministres des affaires étrangères des 15 pays de l’Union et ceux de 12 pays méditerranéens (du Maghreb et du Machrek, ainsi que l’Autorité palestinienne, Israël, la Turquie, Malte et Chypre) se réunissent à Barcelone et entament le processus.
Juillet 1996, le Conseil européen approuve finalement le principal instrument financier de la coopération euro-méditerranéenne : la réglementation MEDA. Au total, entre 1995 et 2001, près de 7 milliards d’euros de ressources budgétaires lui sont allouées, sans compter les prêts de la Banque européenne. Après 10 ans de torpeur, le processus du dialogue 5+5 reprend enfin à Lisbonne.
Depuis, des rencontres régulières réunissent les Ministres des Affaires étrangères, mais les relations s’ouvrent désormais à d’autres domaines (commerce, industrie, environnement…).
2003 - 2004. Elargissement de l’UE et lancement de la politique européenne de voisinage : suite ou confrontation des politiques ? Mars 2003, une nouvelle politique européenne va concerner les pays du Sud de la Méditerranée : la politique européenne de voisinage (PEV). Cette dernière propose une coopération d’un genre nouveau, « de Marrakech à Moscou », à l’attention des pays voisins à l’est et au sud de l’Union européenne, qui n’ont pas vocation à entrer dans l’UE. En mai 2004, après l’élargissement de l’UE à dix nouveaux pays, la Commission européenne précise les contours de la PEV : dix pays méditerranéens (Algérie, Autorité palestinienne, Egypte, Israël, Jordanie, Liban, Libye, Maroc, Syrie, Tunisie) sont concernés. Objectif principal annoncé de cette politique de voisinage : garantir la sécurité et la prospérité de l’Europe en s’assurant des frontières sûres. Un mois plus tard (juin 2004), le conseil européen a ouvert la PEV à l’Arménie, l’Azerbaïdjan et la Géorgie, et a rappelé que la Biélorussie et la Libye ont vocation à y participer, lorsqu’elles auront normalisé leurs relations avec l’UE. La Russie, elle, a été exclue à sa propre demande - la relation UE-Russie a été définie par ailleurs.
2005 - 2006. Années bilan Alors que la première réunion formelle de l’Assemblée parlementaire euro-méditerranéenne (APEM) se tient au Caire, en 2005, la Fondation euro-méditerranéenne Anna Lindh pour le dialogue entre les cultures à Alexandrie est également inaugurée, cette année-là. Son but ? Rapprocher les deux rives de la Méditerranée et constituer des réseaux euro-méditerranéens favorisant la mise en œuvre de programmes de coopération.
Un sommet extraordinaire des chefs d’Etats et de Gouvernements se tient à Barcelone en novembre 2005 pour le dixième anniversaire du partenariat euro-méditerranéen. Ce grand rendez-vous est toutefois marqué par l’absence de la quasi-totalité des dirigeants arabes en raison notamment des tensions entre les participants sur le Proche-Orient. Aucune déclaration n’en sortira.
En 2006, la 5ième Conférence euro-méditerranéenne des ministres du Commerce à Marrakech marque le coup d’envoi des négociations sur la libéralisation des services et des investissements en vue de l’établissement d’une zone de libre échange euro-méditerranéenne d’ici 2010.
Une décision du Conseil européen fixe les dispositions générales instituant un Instrument européen de voisinage et de partenariat (IEVP). Crédité d’un montant de 11,181 milliards d’euros pour la période 2007 à 2013, il remplace MEDA pour les pays méditerranéens.
2008. Lancement de l’Union pour la Méditerranée Lors du Conseil des 14 et 15 mars 2008, les 27 chefs d’Etats et de Gouvernements de l’UE donnent leur accord de principe au projet d’"Union pour la Méditerranée". Cette initiative du président français Nicolas Sarkozy, qui a fait l’objet d’un compromis franco-allemand, intègre finalement le processus de Barcelone.
L’Union pour la Méditerranée (UPM) est officiellement créée le 13 juillet 2008 lors du sommet de Paris. Il réunit au total 43 Etats : les 27 pays de l’Union européenne et seize Etats de la rive sud de la Méditerranée (Albanie, Algérie, Bosnie-Herzégovine, Croatie, Égypte, Israël, Jordanie, Liban, Maroc, Mauritanie, Monaco, Monténégro, Autorité palestinienne, Syrie, Tunisie et Turquie). La Libye refuse de s’y associer.
Les grands projets déclarés, qui poursuivent les mêmes objectifs globaux que ceux du processus de Barcelone, sont au nombre de six : autoroutes de la mer et autoroutes terrestres, dépollution de la Méditerranée, protection civile, plan solaire européen, enseignement supérieur et recherche, avec la création d’une université euro-méditerranéenne, et développement des entreprises.
Le siège de l’organisation est fixé à Barcelone. La présidence conjointe, assurée par un pays du Sud et un pays du Nord de la Méditerranée, est assistée d’un secrétariat chargé d’organiser tous les deux ans un sommet. Pour la période 2008-2010, la coprésidence de l’UPM est assurée par la France et l’Egypte.
Dans l’actu… Janvier 2010 : Désignation d’Ahmad Massadeh, ambassadeur de Jordanie à Bruxelles comme secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée.
Mai 2010 : la diplomatie française annonce la création d’un fonds d’investissement de 385 millions d’euros, Inframed, destiné à financer les projets de l’Union pour la Méditerranée.
Juin 2010 : Annonce de la création d’un Fonds carbone pour la Méditerranée, doté de 200 millions d’euros, permettant de soutenir des projets du pourtour méditerranéen respectueux du climat. Cette nouvelle structure serait complétée par un mécanisme spécial d’études et d’assistance technique et opérationnelle dans six mois.
Sources principales : La Documentation Française : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/europe-mediterranee/chronologie.shtml
Le CIHEAM : http://ressources.ciheam.org/om/pdf/a52/03400088.pdf
Medcoop.com : http://www.medcoop.com/page-interne.php?id=107
Textes officiels de référence :• Dialogue 5+5 Déclaration de Rome, 10 octobre 1990
• Processus de Barcelone : Partenariat euro-méditerranée Déclaration de la conférence de Barcelone, 27-28 novembre 1995 Programme MEDA du 23 juillet 1996 et MEDA II du 27 novembre 2000
• Union pour la Méditerranée (UPM) Déclaration commune du sommet de Paris créant l’Union pour la Méditerranée, 13 juillet 2008
• Partenariat stratégique avec la Méditerranée et le Moyen-Orient Conseil européen, Acte final, juin 2004
• Politique européenne de voisinage (PEV) Communication de la Commission européenne « Politique européenne de voisinage - Document d’orientation », 12 mai 2004 Règlement du Parlement européen et du Conseil arrêtant les dispositions générales instituant un instrument européen de voisinage et de partenariat (IEVP), 24 octobre 2006
« Chronologie de l’Euro-Méditerranée », chronique de la Mission Agrobiosciences et Cécile Souteyrand, étudiante à l’IEP de Toulouse. Juillet 2010.
article2819">Accéder au programme des 16èmes Controverses de Marciac "La Méditerranée au coeur de l’Europe : sonder les fractures, dévoiler les failles, révéler les accords" co-organisées par la Mission Agrobiosciences et la Communauté de communes "Bastides et Vallons du Gers", les 30, 31 juillet et 1er août 2010]
Lire sur le magazine Web de la Mission Agrobiosciences (publications originales accessibles gratuitement) : Méditerranée : Mille et un mots pour une Mer. Chronique originale de la Mission Agrobiosciences et Cécile Souteyrand, étudiante à l’IEP de Toulouse. Quelles limites à l’espace méditerranéen ? Perspectives mouvantes et vagues frontières. Chronique originale de la Mission Agrobiosciences et Cécile Souteyrand, étudiante à l’IEP de Toulouse. L’agriculture des pays méditerranéens du Sud, entre conquête des marchés européens et réponse aux besoins de subsistance. Le cahier du café-débat de Marciac avec Gérard Ghersi, directeur de l’Institut Agronomique Méditerranéen de Montpellier (IAMM) et Omar Bessaoud, enseignant-chercheur à l’IAMM. Octobre 2002. Télécharger le cahier PDF
Accéder à toutes les Publications : Alimentation et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’alimentation. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à toutes les publications « l’Alimentation en question dans "Ça ne mange pas de pain !" (anciennement "Le Plateau du J’Go"). Les actes de l’émission de la Mission Agrobiosciences sur l’actualité de Alimentation-Société diffusée sur Radio Mon Païs (90.1), les 3ème mardi (19h00-20h00) et mercredi (13h-14h) de chaque mois. Revues de presse et des livres, interviews et tables rondes avec des économistes, des agronomes, des toxicologues, des historiens... mais aussi des producteurs et des cuisiniers. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences
Accéder à toutes les publications : Agriculture et Société Des conférences-débats, tables rondes, points de vue et analyses afin de mieux cerner les problématiques sociétales liées au devenir de l’agriculture. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à tous les Entretiens et Publications : "OGM et Progrès en Débat" Des points de vue transdisciplinaires... pour contribuer au débat démocratique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à toutes les publications : Sur le bien-être animal et les relations entre l’homme et l’animal Pour mieux comprendre le sens du terme bien-être animal et décrypter les nouveaux enjeux des relations entre l’homme et l’animal. Avec les points de vue de Robert Dantzer, Jocelyne Porcher, François Lachapelle... Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences
Accéder à toutes les Publications : "Sciences-Société-Décision Publique"de la Conversation de Midi-Pyrénées. Une expérience pilote d’échanges transdisciplinaires pour éclairer et mieux raisonner, par l’échange, les situations de blocages « Science et Société » et contribuer à l’éclairage de la décision publique. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à toutes les Publications : Science et Lycéens. Les cahiers de l’Université des Lycéens, moment de rencontres entre des chercheurs de haut niveau, des lycéens et leurs enseignants. Des publications pédagogiques, agrémentées d’images et de références pour aller plus loin, qui retracent la conférence du chercheur et les questions des lycéens. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences
Accéder à toutes les Publications : L’agriculture et les bioénergies. Depuis 2005, nos articles, synthèses de débats, revues de presse, sélections d’ouvrages et de dossiers concernant les biocarburants, les agromatériaux, la chimie verte ou encore l’épuisement des ressources fossiles... Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences
Accéder à toutes publications Histoires de... »- Histoire de plantes (gui, luzerne, betterave..), de races animales, de produits (foie gras, gariguette...) pour découvrir leur origine humaine et technique et donc mieux saisir ces objets. Editées par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à toutes les publications. Sur l’eau et ses enjeux. De la simple goutte perlant au robinet aux projets de grands barrages, d’irrigations en terres sèches... les turbulences scientifiques, techniques, médiatiques et politiques du précieux liquide. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
Accéder à toutes les publications Produits de terroir, appellations d’origine et indications géographiques. Pour tout savoir de l’avenir de ces produits, saisir les enjeux et les marges de manoeuvre possibles dans le cadre de la globalisation des marchés et des négociations au plan international. Mais aussi des repères sur les différents labels et appellations existants. Edités par le Magazine Web de la Mission Agrobiosciences.
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Mr le Président Nicolas Sarkozy l’ascension vers l’Elysée LE FILM


Mr le Président Nicolas Sarkozy jeudi sur la 17e étape du Tour


Le président Nicolas Sarkozy se rendra jeudi sur la 17e étape du Tour de France cycliste entre Pau et le col du Tourmalet, dans les Pyrénées, a annoncé mardi l'Elysée.
Le chef de l'Etat s'y rendra dans l'après-midi et assistera à la fin de l'étape, au sommet du col du Tourmalet

Algérie : Pas de concession de plages pour la prochaine saison estivale : 2011, une année blanche


By Toma
On prévoit une année blanche pour la prochaine saison estivale. Il n’y aura pas de concession de plages dans la wilaya d’Oran», a déclaré le directeur du Tourisme M. Benmansour.
L’on saura que les problèmes, ayant entouré l’opération de mise en concession des plages pour la saison estivale en cours, est à l’origine de cette décision prise par la wilaya, suite à une concertation avec la direction du Tourisme.
Le directeur du Tourisme confiera : «C’est en fait un test, qu’on fait, pour rompre avec les anciennes habitudes. Cette décision nous permettra également de voir plus claire et de mieux préparer les prochaines saisons estivales.»
Rappelons que, pour la saison estivale en cours, l’opération de concession des plages n’a été résolue qu’au début de mois de juillet, soit avec un retard d’un mois, la saison estivale ayant été lancé le 1er juin. En fait, la direction du Tourisme a pris les choses en main à la fin du mois de mai, lançant elle-même un avis d’appel d’adjudication pour la concession de 19 plages du littoral oranais alors que cette opération était du ressort des communes.
La direction du Tourisme a voulu ainsi développer cette opération et attribué les plages en concession pour une durée de cinq ans à des professionnels. Cependant, la mise à prix a été jugée excessive et l’avis d’appel a été infructueux. Rappelons que le prix d’ouverture d’adjudication variait entre 1,6 million de dinars et 33 millions de dinars, selon l’emplacement de la plage, sa surface et le flux qu’elle enregistre.
A la mi-juin et vu que les plages étaient investies par des indus occupants, qui les exploitaient frauduleusement, la wilaya a décidé de remettre l’opération de concession des plages aux communes, qui devaient procéder par la formule de gré à gré.
Cela a engendré d’autres problèmes et des contestations. Parmi les plus gros problèmes, celui ayant opposé la direction du complexe des Andalouses et le maire d’El-Ançor. Ce dernier a coupé la plage des Andalouses, celle longeant le complexe touristique étatique, en deux parties, l’une de 600 m2 et la seconde de 400 m2.
Il a voulu céder une des plages à un particulier alors que la loi stipule dans le décret exécutif n° 04-274 du 05 septembre 2004, fixant les conditions et les modalités d’exploitation touristique des plages ouvertes à la baignade, stipule dans son chapitre 1 article 4 que «la priorité à la concession des plages attenantes aux établissements hôteliers classés est reconnue à ceux-ci aux conditions de l’adjudication.»
Selon la direction des Andalouses, «les conditions d’adjudication ont été remplies par le complexe des Andalouses, qui a présenté son offre à la commune pour les plages «A» et «B».
On s’est même aligné sur l’offre la mieux-distante pour la partie de 600 m2 afin de bénéficier des deux plages.» Signalons que, pour cette affaire, le wali a tranché, annulant la mise en concession de cette plage lancée par la commune d’El-Ançor.
Cette plage est revenue au complexe des Andalouses.L’année prochaine, le problème ne se posera pas pour ce complexe touristique, ainsi que pour les autres plages. On se demande qui en profitera.
S.B. L'Echo d'Oran

Algerie l’économie algérienne face aux nouvelles dispositions de la loi de finance complémentaire 2010 et du nouveau code des marchés publics

Algerie Focus

Par Docteur Abderrahmane MEBTOUL*
Selon les premières informations, d’ importantes mesures sont contenues dans la loi de finances complémentaire 2010 qui ne sont que le prolongement des décisions prises lors du conseil des Ministres en date du 11 juillet 2010. L’objet de cette contribution est de poser concrètement la problématique de l’efficacité de ces mesures.I-.La nouvelle mouture du code des marchés publics
Elle rentre dans le cadre du plan d’investissement de 286 milliards de dollars, dont je précise que 130 milliards de dollars sont des restes à réaliser de la période 2004/2009, privilégiant les opérateurs locaux qu’ils soient publics ou privées dans l’attribution des marchés publics relevant le taux de 15% à 25% de la marge maximale de préférence reconnue à l’entreprise locale dont le capital est majoritairement national, ainsi qu’aux produits et services locaux lors des soumissions aux marchés publics. Cette révision du code des marchés publics, selon le nouveau texte a pour objectif de faciliter, dans la transparence, les procédures d’approbation des marchés publics, la transparence dans la gestion des deniers publics, de consolider les instruments de prévention et de lutte contre la corruption, grâce à de nouvelles dispositions dont, notamment, l’élargissement, de deux à trois du nombre des commissions nationales des marchés, dont l’une sera chargée des travaux, l’autre des études et la troisième des fournitures et services, de sorte à réduire les délais d’examen des dossiers des marchés publics.
Le gré à gré devrait être exceptionnel et avoir l’aval du conseil des Ministres pour les gros montants. Autre dispositif le lancement d’appels d’offres exclusivement nationaux dans le cas d’un marché petit ou moyen. Cela n’est que la suite logique des dispositions de la loi de finances complémentaire 2009, mesures me semble t-il transitoires, qui stipule que pour les investissements, le local dispose de 51% au minimum dans le capital social et l’étranger 49% au maximum, comme j’ai eu à le préciser dans deux interviews en date du 12 juillet 2010, l’une à Radio Algérie Internationale et l’autre à la télévision Al Djazeera.
Aussi l’introduction dans les cahiers des charges des appels d’offres internationaux d’un engagement de l’entreprise étrangère soumissionnaire, devrait s’inscrire dans le cadre où l’Etat doit jouer un rôle de régulateur face aux entreprises étrangères qui ne respectent pas leurs engagements, impliquant de mettre en place des mécanismes de contrôle efficaces. Et dans ce cas se pose la question limiter les investissements étrangers sans améliorer le climat des affaires est –elle la solution et les entreprises locales ne sont-elle pas soumises aux mêmes contraintes paralysantes comme le montre l’effet mitigé du passage du remdoc au crédoc ?
Selon le nouveau rapport établi par le groupe de la Banque mondiale (BM) « Investing Across Borders 2010″, des lois trop restrictives ou encore désuètes posent obstacle notamment aux investissements étrangers, soulignant que leur mise en œuvre peut engendrer des coûts additionnels pour les investisseurs et dans son édition 2010 du Doing Business, la Banque mondiale apprécie encore une fois assez négativement l’économie algérienne, notamment dans ses deux chapitres liés au climat des affaires en Algérie et la création d’entreprises. L’institution internationale soustrait même deux points à l’Algérie par rapport à 2009, le reléguant à la 136e place sur les 183 évalués dans le cadre du classement des meilleurs élèves dans le domaine des facilités accordées à l’investissement.
De plus, il est à noter que le classement 2010 ne prend pas en considération les mesures prises dans le cadre de la LFC 2009 intervenues alors que les données du Doing Business étaient déjà collectées, ce qui laisse présager que le classement de 2011 favorisera encore moins l’Algérie. C’est que depuis la promulgation de cette loi les résultats étant mitigés puisque d’après les dernières statistiques de l’Agence nationale de développement de l’investissement (ANDI), de 102 projets déclarés par des étrangers en 2008 à seulement 4 projets d’IDE recensés. Aussi, de plus en plus d’experts algériens préconisent de lever ce voile juridique de peu d’efficacité économique et de mettre en place un autre indicateur d’appréciation beaucoup plus significatif qui est celui d’une balance devises positives c’est à dire que les entrées en devises doivent être supérieures aux transferts.
Car en donnant une préférence de 25% c’est à dire accroitre le taux de profit local (rentes de situation) de ce taux par rapport aux normes internationales, et en plus en limitant le capital étranger à 49% minimum et 51% maximum pour le national selon la loi de finances complémentaire 2009, en fait pour le secteur d’Etat du fait du peu de dynamisme actuel du secteur privé local, c’est indirectement affirmer que l’on ne veut plus d’investisseurs étrangers.
En étant conscient que toute entreprise nationale ou internationale privée est mue par la seule logique du profit, dans la pratique des affaires n’existant pas de sentiments, l’essentiel pour l’Algérie est de favoriser une accumulation du savoir faire à la fois managériale et technologique, grâce à un partenariat gagnant/gagnant, l’objectif étant une valeur ajoutée interne positive. Sans chauvinisme, les investisseurs étrangers qui apportent une valeur ajoutée et contribuant à la dynamisation de la production et exportation hors hydrocarbures sont utiles.II- Les mesures concernant la traçabilité financière
La mesure du recours à la monnaie scripturale (chèques ou cartes bancaires) pour tout paiement supérieur à 500 000 DA, entrera en vigueur le 31 mars 2011, la date du 31 mars prochain ayant été retenue pour l’entrée en vigueur de cette mesure, de sorte à garantir que les banques de la place seront entièrement en mesure de répondre à la demande du public pour l’ouverture de comptes et pour l’obtention rapide de chéquiers.
Cependant, je précise, cette mesure était déjà contenue dans la loi de février 2005 relative à la prévention et à la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme et qu’en novembre 2005 la cellule de traitement du renseignement financier (CRTF) avait préparé un décret stipulant que tout paiement excédant la somme de 50.000 DA devait être effectué par chèque, virement, carte de paiement, prélèvement, lettre de change, billet à ordre et tout autre moyen de paiement scriptural. Néanmoins, celui-ci avait été abrogé, car difficile à appliquer. Or, actuellement, c’est le cash qui prédomine : à titre d’exemple selon les statistiques officielles pour 2009 74% des importations évaluées à plus de 39 milliards de dollars se sont faites en cash en Algérie.
Or il s ‘agira pour rendre opérationnel de telles mesures d’avoir des informations et des réseaux d’information fiables transparents connectant notamment la douane, la fiscalité , les banques et de nouveaux mécanismes de régulation tant au niveau des entreprises , central que local, puisque les walis sont en charge de bon nombre de projets. Sans la confiance, devant tenir compte de l’anthropologie culturelle, fondement de tout management stratégique, la majorité des ménages et des opérateurs préféreront toujours le liquide. Sans cela, il faut également s’attendre à des effets mitigés malgré toujours des intentions louables.
Comme pour les deux projets de loi relevant du domaine du commerce adoptés à l’APN le 12 juillet 2010 relatives aux textes amendant et complétant les anciennes législations énumérées dans la loi 05-02 du 23 juillet 2004 liées aux pratiques commerciales et celle du 19 juillet 2003 relative à la concurrence, mettant en avant la nécessité d’une intervention plus efficace des pouvoirs publics à travers notamment les mécanismes de contrôle dont dispose le ministère du Commerce afin de limiter les effets de la spéculation sévissant dans le domaine de la pratique commerciale.
En effet, la difficulté d’appliquer cette mesure réside en le fondement de la sphère informelle ne pouvant isoler cette sphère de la sphère monétaire avec la dominance en Algérie des institutions et pratiques informelles. C’est que le marché de la contrefaçon gangrène l’économie algérienne, puisque selon certaines estimations 1/3 des produits vendus en Algérie sont contrefaits. Et tous les secteurs sont touchés (tabac, cosmétique, habillement, électroménager …), mais aussi des domaines beaucoup plus sensibles comme les pièces de rechange automobile, la moitié contrefaite mettant en danger les automobilistes.
Les chiffres en Algérie, faute d’enquêtes précises, sont les plus contradictoires 4O à 5O% de la masse monétaire en circulation hors banques (avec une intermédiation financière informelle limitant la politique monétaire globale de l’Etat), mais beaucoup plus si l’on inclut les transactions en nature. Il faut reconnaître que cette sphère informelle joue actuellement en Algérie avec la cellule familiale de tampon social. En matière d’emploi, la part qui revient à l’économie informelle, le taux annoncé par le Ministère du travail fin 2009 est de plus de 25% de la population active avec une contribution dans la formation du PIB (produit intérieur brut) hors hydrocarbures de 20 à 25%. Une enquête menée par le CREAD (Centre de recherche en économie appliquée pour le développement) révèle que sur 7500 PME, 42% des effectifs ne sont pas déclarés et 30% de leur chiffre d’affaires échappent au fisc.
Concernant justement l’évasion fiscale due à la sphère informelle, pour l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA, dans une déclaration du 19 mai 2009 reproduite par l’agence officielle APS le manque à gagner induit par l’évasion fiscale dans les transactions commerciales en Algérie dépasse 200 milliards de dinars annuellement, soit au cours actuel soit 2,6 milliards de dollars , tout en précisant que 80% des transactions commerciales se font sans aucune facturation, alors que 70 à 80% des transactions utilisent le « cash », comme moyen de payement. Et que près de 900 000 sur les 1,2 million de commerçants inscrits au registre de commerce (CNRC) ne payent pas leurs cotisations sociales et que l’approvisionnement des 2/3 de la population provient de la sphère informelle. Il en est de même de la dualité du dinar sur le marché parallèle et le cours officiel. Cela a des incidences donc sur le pouvoir d’achat de la majorité des citoyens car cette sphère contrôle quatre segments-clefs : celui des fruits et légumes, de la viande, celui du poisson pour les marchandises locales et pour l’importation, le textile – chaussures.
Or selon l’enquête de septembre 2007 du CNAEP 70% des revenus des ménages algériens vont aux besoins essentiels. S’agissant non pas de prendre des agrégats globaux de peu de significations pour toute politique socio-économique concrète, mais d’analyser les liens entre l’accumulation, le modèle de consommation et la répartition des revenus par couches sociales avec l’inflation de retour jouant comme vecteur de concentration des revenus au profit des revenus variables avec le nivellement des couches moyennes utiles et non rentières vers le bas, taux de 2% en 2006, 3% en 2007, 4% en 2008 , plus de 5,7% en 2009, et un taux de 5,4% pour 2010 en glissement annuel, toujours selon les statistiques du 15 juillet 2010 de l’’organe statistique officiel ONS. Pour 2009/2010 selon nos enquêtes par échantillonnage 80% du revenu moyen est consacré aux produits de première nécessité et donc s’adressant à la sphère informelle, impliquant d’ailleurs la révision de l’indice des prix de l’ONS qui semble être sous estimé car le besoin est historiquement daté : nouveaux besoins durant chaque phase historique.
Comme se pose cette question : avec ce retour à l’inflation et la détérioration du pouvoir d’achat de la majorité de la population, en supposant que la production locale existe, cette dernière pourra t- elle être écoulée sans le recours au crédit à la consommation qui a été supprimée dans la loi de fiances complémentaire 2009 ?III- Certaines dispositions de la loi de finances complémentaires 2010
Elles sont liées aux mesures précédentes, elles concernent notamment l’interdiction de l’importation de certains produits finis produits localement, de l’importation des déchets ferreux, l’imposition de plusieurs taxes sur l’importation de différents équipements par exemple la taxation des véhicules touristiques neufs, décidée par la complémentaire de 2008 , élargie aux grosses cylindrées en 2009, et dans la loi, complémentaire 2010 de 2010 prévoyant des taxes variant entre 5 et 70 millions de centimes pour l’acquisition de 47 véhicules utilitaires, de transport de voyageurs et motos, pour de camions, des taxes variant entre 30 et 70 millions de centimes selon leurs caractéristiques techniques, pour les bus neufs entre 15 et 30 millions de centimes selon la capacité, à partir d’une dizaine de places et une taxe sur l’importation de blé dur d’un montant de 2 500 dinars le quintal.
Il s’agit d’obliger les meuniers à s’approvisionner en blé produit localement et fait unique dans les annales de l’économie algérienne depuis 1963 où l’on a nationalisé les bains maures , la loi de finances complémentaire pour 2010 permettrait à l’Etat de «nationaliser », les locaux commerciaux ou professionnels, tant publics que privés, non exploités depuis une année s’attaquant au droit fondamental de la propriété privée contenue dans la constitution. Pour autant, ces mesures semblent inopérantes dans la mesure où l’informel sévit et manque d’être combattu efficacement, vont-t- elles permettre effectivement d’encourager la production locale et de préparer l’ère hors hydrocarbures ? Je rappelle que les deux fondamentaux du XXIème siècle pour l’épanouissement de l’entreprise créatrice de richesses durables, les infrastructures certes nécessaires n’étant qu’ »un moyen alors qu’ils absorbent plus de 70% de la dépense publique (2004/2014, sont la bonne gouvernance et la valorisation du savoir.
Supposant qu’elles reposent sur une plus cohérence et visibilité dans la politique socio- économique, évitant l’instabilité juridique perpétuelle qui décourage tout investisseur et sur l’innovation permanente pour résister à la concurrence et avoir le couple cout/qualité compétitif. Le problème posé est donc le suivant : l’Algérie et –elle caractérisée par une bonne gouvernance, un bon management stratégique des entreprises et une amélioration du climat es affaires loin de la vision de l’unique dépense monétaire ? L’Algérie favorise t- elle le savoir ou les rentes de situation ? Combien d’entreprises publiques et privées locales ont –elles des laboratoires de recherche appliquée digne de ce nom ?
Aussi interdire l’importation de certains produits finis suppose d’abord que la production en termes de couts et qualité existe. Or nous constatons que la majorité des entreprises publiques et privées fonctionnent à partir des matières premières importées et que la transformation locale contribue à peu de valeur ajoutée. C’est toujours la même question mais qui rentre dans ce cadre de la rente de situation donnée à la SNVI (quel est le taux d’intégration de cette société), qui après avoir été assainie plusieurs fois, à l’instar de bon nombre d’autres entreprises publiques qui selon le rapport financier du Ministère de l’Investissement de janvier 2009, sont revenus à la case de départ, 70% des entreprises publiques ayant un ratio de solvabilité négatif.
Et ce grâce toujours non pas à la création de la valeur fondée sur le travail mais aux recettes des hydrocarbures qui je le rappelle ont permis également de réduire le principal de la dette à moins de 4 milliards de dollars et la dette publique interne à moins de 0,7 milliard de dollars. Se pose deux questions stratégiques : premièrement le gel de l’autonomie des entreprises publiques par le rattachement éventuel des entreprises publiques sous la tutelle de chaque Ministère avec une gestion administrée et ce depuis la fin 2009 n’aura t-il pas comme impact logique une plus grande faible performance, les gestionnaires publics attendant les ordres d’en haut et de surcroit sans planification stratégique des autorités de tutelle, alors que l’entreprise dans un environnement de plus en plus concurrentiel est caractérisée de par le monde comme la prise du risque ; deuxièmement, doit t- on continuer toujours d’assainir ou n’est-il pas préférable de projeter des investissements nouveaux pouvant tenir tête à la concurrence internationale.
Aussi faute d’une politique claire d’innovation et d’un bon management, cela ne pourra donc qu’entrainer la hausse des importations de cette rubrique au profit des produits finis à court terme. Les entreprises locales profiteront –elles de cette situation de rente pour pousser à une meilleure intégration ; le problème est posé et cela renvoie toujours à l’innovation ? Combien d’entreprises publiques et privées locales ont –elles des laboratoires de recherche appliquée digne de ce nom y compris Sonatrach ? Et cette innovation ne suppose t- elle à la fois un environnement assaini et tout un renversement des échelles de valeurs récompensant le travail et l’intelligence et non les rentes ? Car comment ne pas rappeler qu’avec des dévaluations successives dont seulement entre 2008/2009 de 20% par rapport à l’euro dépassant officiellement 100 dinars un euro et 15% par rapport au dollar ce qui constitue un dumping pour les entreprises locales, il a été impossible de dynamiser les exportations hors hydrocarbures (moins de 3% du total) montrant que le blocage est d’ordre systémique. Faute de quoi, ces mesures auront un impact très mitigé sur l’accumulation c’est-à-dire le développement futur du pays.
Aussi, le recours à l’expertise et à l’ingénierie étrangère s’avèrera encore incontournable, la capacité d’absorption par l’outil national de production étant incertaine, comme l’est également la contribution des sociétés étrangères dans le transfert de savoir-faire et de technologie comme le montre l’expérience mitigée de la dépense publique entre 2004/2009 avec des surcouts exorbitants , des réévaluations permanentes et la dévalorisation du savoir au profit des rentes, le montant poste assistance technique étrangère étant passé de 4 milliards de dollars en 2004 à 11 milliards de dollars entre 2008/2009.
Pour ce qui est de l’interdiction de l’exportation des déchets ferreux et semi ferreux, les exportateurs algériens écoulent quelque 200.000 tonnes de marchandises par an sur le marché extérieur et réalisent près de 600 millions de dollars de chiffre d’affaires, selon les chiffres des Douanes 2009. En 2009, les autorités du pays avaient interdit l’exportation des déchets non ferreux (plomb, étain, cuivre, zinc et aluminium) à travers la loi de finances complémentaire 2009.
La raison invoquée étant l’existence de dépassements consistant en la dissimulation de la valeur réelle des déchets afin d’éviter le paiement de la taxe sur la valeur ajoutée, le non-rapatriement des devises au pays ainsi que l’utilisation de faux registres du commerce avec pour conséquence, une baisse les recettes des produits hors hydrocarbures de 45%.
Rappelons que déjà en 2006 des mesures restrictives avaient été faites. Mais quelques temps après, le commerce des déchets ferreux et non ferreux avaient été relancés en prévoyant un cahier des charges conforme aux exigences de la loi de finances 2007, l’autorisation pour l’exportation des déchets ferreux étant délivrée par le ministère du Commerce au lieu de la direction du commerce du lieu d’embarquement de ces produits.
Or, il ne suffit pas d’interdire et le problème central posé est le suivant : si cette décision venait à voir le jour en l’absence actuelle de tout débouché local pour les ferrailles récupérées, n’entraînerait- t- elle pas la liquidation pure et simple des entreprises publiques et privées puisque le marché est de plus de 600 millions de dollars ? Et là on revient à l’urgence d’une définition claire d’une politique de substitution d’importation devant elle-même s’inscrire dans le cadre global d’une meilleure clarté de la politique socio-économique.
Ainsi, se pose cette question : les entreprises nationales, pourront-elles répondre aux défis liés à la réalisation du programme de développement national à l’horizon 2014 doté d’un financement faramineux de 286 milliards de dollars ?
La question se pose dans la mesure où les entreprises nationales, publiques ou privées, réellement capables de participer à ce programme, ne sont pas très nombreuses et que le recours à l’expertise et à l’ingénierie étrangère s’avère encore incontournable, la capacité d’absorption par l’outil national de production étant incertaine, comme l’est également la contribution des sociétés étrangères dans le transfert de savoir-faire et de technologie.
Ce qui, en l’absence d’un environnement sain des affaires (bureaucratie, système financier sclérosé, le foncier, l’adaptation du système socio-éducatif) renvoyant à l’approfondissement de la réforme globale, risque de rendre les nouvelles dispositions caduques.
IV- S’attaquer à l’essentiel et non au secondaire
L’efficacité donc tant des mesures techniques de la loi de finances complémentaire 2010 , du code des marchés publics que de la traçabilité des opérations financières implique la mise en place de mécanismes e régulation transparents et non des mesures autoritaires administratives qui produisent l’effet inverse comme par exemple ces mesures administratives mitigées pour atténuer les effets de l’inflation produit de la faiblesse de l’offre et de la régulation. Aussi s’agit-il d’avoir une vision objective, car ces dispositions risquent d’être inopérantes dans la mesure où la question de la gouvernance économique reste pendante.
La pertinence de ces mesures reste sujette à caution au regard du mode de fonctionnement du système dont l’extension de la sphère informelle produit de la bureaucratie, ainsi que la faiblesse de l’efficacité des institutions supposant une réponse claire : quel est le futur rôle de l’Etat dans le développement économique et social face aux nouvelles mutations mondiales, l’Algérie étant dans cette interminable transition, ni économie de marché véritable, ni économie étatisée depuis 1986 expliquant les difficultés de la régulation n’oubliant jamais qu’en ce XXIème siècle, malgré la crise, l’Algérie devra évoluer dans un environnement concurrentiel avec une importance stratégique à l’Etat régulateur, loin de la vision du tout Etat où toute Nation qui n’avance pas recule, son principal défi étant la maitrise du temps et la concertation permanente.
Lorsqu’un gouvernement agit administrativement et loin des mécanismes transparents et de la concertation sociale pour avoir l’adhésion, supposant de concilier l’efficacité économique et une profonde justice sociale,( sacrifice partagée surtout en période de crise), la société enfante ses propres règles pour fonctionner qui ont valeur de droit puisque reposant sur un contrat entre les citoyens, s’éloignant ainsi des règles que le pouvoir veut imposer. Nous aurons alors pour conséquence des institutions, des activités et des intermédiations financières informelles qui travaillent dans le cadre du droit et une autre sphère qui travaille dans un cadre de non droit, étant entendu que le droit est défini par les pouvoirs publics en place et que dans l’imaginaire des agents de la sphère informelle, ils fonctionnent dans un Etat de droit qui est leur droit au sein de leur espace social.
Le patriotisme économique et l’importance de l’Etat régulateur stratégique, pouvant détenir des minorités de blocage dans certains segments stratégiques, ne sont à ne pas confondre avec le retour au tout Etat et à la gestion administrée des années 1970 qui serait suicidaire pour l’Algérie, en l’isolant de plus en plus des nouvelles mutations mondiales.
De toute manière l’adhésion à l’organisation mondiale du commerce (OMC) avec ces mesures n’est pas pour demain expliquant d’ailleurs selon la déclaration de juin 2010 du ministre du commerce le gel de ces négociations comme cela compliquera encore davantage les renégociations de certaines clauses demandées par l’Algérie le 15 juin 2010 à Luxembourg avec l’ Europe dont l’Algérie est liée à un Accord de libre échange applicable depuis le 01 septembre 2005.
(*) Docteur Abderrahmane MEBTOUL est professeur d’Université en management stratégique

Une société spécialisée dans le montage de rames de tramway sera bientôt créée en Algérie en partenariat entre l'Entreprise Métro d'Alger (EMA) et le


Avec AFP
Alstom : projet d'usine en Algérie

Une société spécialisée dans le montage de rames de tramway sera bientôt créée en Algérie en partenariat entre l'Entreprise Métro d'Alger (EMA) et le groupe français Alstom, a annoncé le ministre algérien des Transports, Amar Tou.Le dossier de constitution de cette société, qui sera installée à Annaba (est), est actuellement examiné par le Conseil des participations de l'Etat (CPE), a récemment précisé le ministre au cours d'une visite de travail à Oran (ouest du pays)."La concrétisation de cette opération permettra de réaliser en Algérie les équipements ferroviaires livrés par Alstom", a-t-il souligné, selon l'agence APS.Cette usine Ferrovial d'Annaba, créée pour la fabrication des matériels ferroviaires dans le cadre du partenariat avec Alstom, sera sous la tutelle du du ministère des Transports, a-t-il ajouté.Le montant de l'investissement prévu n'a pas été divulgué.

Dans Google Earth une carte du réchauffement climatique




Tristan Vey
Une carte du réchauffement climatique dans Google Earth


Le gouvernement britannique a mis au point une carte Google Earth détaillant les impacts probables d'un réchauffement de 4 degrés à l'échelle planétaire. Résultat saisissant et instructif.

C'est avant tout un outil de communication particulièrement bien pensé. La carte interactive mise au point conjointement par l'office météorologique britannique (le Met Office) et le ministère du changement climatique britannique répertorie les impacts du réchauffement. Elle illustre aussi la répartition non-uniforme des hausses de températures à la surface du globe : très important en Antarctique ou en Afrique du Nord, limité en Europe et en Océanie, par exemple.
Différentes couches d'informations permettent ensuite de localiser les conséquences probables du réchauffement : recrudescence des feux de forêts et diminution des rendements agricoles liés à la sécheresse, diminution des ressources en eau potable, augmentation du niveau des mers, acidification des océans, dégradation du permafrost (les sols gelés des zones arctiques), zones de températures extrêmes, augmentation de la force et de la fréquence des tempêtes tropicales.
Chacun de ces dangers est ainsi géolocalisé et identifié par un symbole coloré. Compte tenu des incertitudes, ce sont des cercles plus ou moins grands suivant la capacité des scientifiques à localiser les phénomènes qui ont été dessinés. De larges cercles peuvent également laisser entendre que c'est un risque global sur une zone qui a été identifié.
Les risques d'immersion pas assez détaillés
Pour chaque icône, une petite vidéo d'un spécialiste, généralement un membre du Met Office, apparait. Ce dernier explique l'état des connaissances scientifiques sur le sujet choisi. Un lien permet également de consulter un petit article récapitulatif fournissant généralement les données qui ont permis la construction de la carte (seuls des articles publiés dans des revues à comité de lecture ont été utilisés).
Quelques petits regrets toutefois. Tout d'abord, la carte ne permet pas de visualiser les zones précises qui pourraient être immergées par une hausse du niveau des océans. Ensuite, les risques pour la biodiversité, et la biodiversité marine en particulier, ne font pas l'objet de développements suffisants. Enfin, aucune traduction en français n'est envisagée pour le moment : ceux qui ne maîtrisent pas la langue devront malheureusement passer leur chemin. Des connaissances sommaires en anglais permettent certes de naviguer sans trop de difficulté, mais la visite perd alors une partie de son intérêt. Dommage.
Pour les personnes ne disposant pas du logiciel Google Earth, l'ensemble des données est consultable dans la version «planisphère

Google s'est engagé à respecter les règles


Le nouvel ambassadeur irakien Mr Oudai Moussa Khair Ellah, a remis hier ses lettres de créances au Président Mr Abdelaziz Bouteflika



Reçu par le président Bouteflika Le premier ambassadeur irakien en Algérie depuis la chute du régime de Saddam Hussein
Le nouvel ambassadeur irakien Oudai Moussa Khair Ellah, a remis hier ses lettres de créances au président Abdelaziz Bouteflika entant qu’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaires d’Irak en Algérie. Il a assuré lors de sa rencontre avec le président, qu’il a qualifié « d’importante et de fluctueuse », que « le gouvernement irakien tient à renforcer et à développer ses relations avec l’Algérie ».Rappelons que le nouvel ambassadeur irakien est le premier ambassadeur en Algérie depuis la chute du régime de Saddam Hussein en avril 2003, l’ambassade d’Irak étant auparavant gérée par le chargé d’affaires. Il a d’ailleurs rencontré le ministre des affaires étrangères, Mourad Medelci, le 4 juin dernier, après l’accord, le 29 mars dernier de l’Algérie à la nomination d’un nouvel ambassadeur en Algérie.

L'UE cherche à structurer le dialogue avec les chefs religieux



[Fenêtre sur l'Europe]
A l’occasion de sa rencontre annuelle avec les responsables religieux le 19 juillet à Bruxelles, l’Union européenne a insisté sur la nécessité de créer un véritable partenariat avec les Églises et les communautés religieuses pour lutter contre la pauvreté.
Ce partenariat pourrait s'inscrire dans la future plateforme européenne contre la pauvreté, l’une des sept initiatives phares de la stratégie UE2020 pour l’emploi et la croissance, a d'ailleurs laissé entendre le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso

Madame La Haute Représentante aux affaires étrangères, Catherine Ashton demande la fin du blocus de Gaza



Fenêtre sur l'Europe]
La Haute Représentante aux affaires étrangères, Catherine Ashton, a demandé à Israel de mettre fin au blocus de Gaza lors de sa visite au Moyen Orient, du 17 au 19 juillet.
Après avoir rencontré le Premier ministre palestinien Fayyad et le ministre israélien aux Affaires étrangères, Avigdor Libermann, Mme Ashton a annoncé qu'elle considérait l'allègement du blocus par Israël comme une évolution importante, et qu'elle avait demandé la libre circulation des biens aux postes frontières

Désastre humanitaire aux portes sud de l’Algérie





Deux pays voisins du sud de l’Algérie sont particulièrement menacés par la famine en raison de la sécheresse que subissent ces deux pays.lundi 19 juillet 2010.
Les experts onusiens sont unanimes. La famine, la plus grave de ces 30 dernières années, menace les pays du Sahel au sud de l’Algérie : 10 millions de Sahéliens sont directement touchés par cette crise alimentaire, annonciatrice d’un vrai désastre humanitaire. Le Tchad, le Mali, le Niger, la Mauritanie, le Burkina Faso, le Nigeria (nord) confrontés à une sécheresse exceptionnelle et à une chute drastique des productions céréalières, risquent une crise alimentaire majeure. Redoutée, cette période estivale est porteuse de périls imminents pour les habitants de la région. Vendredi dernier, de grandes organisations humanitaires – Cafod, Christian Aid, Concern Worldwide, Plan, Save the Children, Tearfund, World Visio ACF France, Acted, Care France, Oxfam France, Secours catholique, Secours islamique France, Service d’entraide et de liaison (SEL) – ont appelé « à redoubler d’efforts pour venir en aide à dix millions de personnes menacées par la faim extrême ».
Les agences et organisations onusiennes déployées dans la région du Sahel ne cessent de lancer des cris d’alerte et des appels à la mobilisation internationale. Retard d’approvisionnement des entrepôts humanitaires, rupture des stocks en denrées alimentaires, défaillance des bailleurs de fonds, les aides urgentes aux populations arrivent au compte-gouttes dans ces contrées ravagées par la pauvreté, confrontées à la sécheresse, les mauvaises récoltes, les invasions d’insectes et la hausse des prix des denrées alimentaires. L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le Fonds international pour l’agriculture et le développement (IFAD), le Programme alimentaire mondial (PAM), autant d’organisations onusiennes tirent la sonnette d’alarme. Jusqu’à fin juin dernier, le Programme alimentaire mondial (PAM) avait peine à trouver les financements requis et restait en attente de plus de la moitié des 113 000 tonnes de vivres nécessaires pour secourir les personnes et les ménages vulnérables. Un apport financier supplémentaire de 100 millions de dollars est nécessaire, d’après le PAM, pour renforcer ses opérations. Les ONG Oxfam et Save the Children ont exprimé un besoin urgent d’au moins 17 millions d’euros. Au Tchad, la situation n’est pas plus reluisante. Plus de 2 millions de personnes risquent la famine après que sécheresse et infestation de ravageurs aient amputé la production vivrière, a indiqué, en mai dernier, la FAO. Le nombre de personnes en situation d’« insécurité alimentaire » dans la bande sahélienne du Tchad a augmenté, passant de 41% de la population en mai 2009 à 61% en mars 2010.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après El Watan

Le premier président noir d'Afrique du Sud Nelson Mandela a fêté en privé ses 92 ans Youtube


Fête intime et journée internationale pour les 92 ans de Mandela
http://www.youtube.com/watch?v=FMki-TjDE2E&feature=player_embedded

Climat. «Des changements majeurs sont nécessaires» Washington



Les pays riches examinent, pendant deux jours à Washington, les moyens de coopérer pour passer à l'énergie propre.
À l'invitation du président américain, Barack Obama, les ministres de l'énergie et les hauts responsables de 21 pays se sont rassemblés à Washington, hier, pour un sommet sur l'énergie et le climat. Prévue sur deux jours, cette réunion devrait être l'occasion pour les principales économies mondiales, qui produisent 80% du PIB mondial, d'annoncer des initiatives conjointes. AgirLe sommet a débuté par des mises en garde de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), qui appelle, par la voix de son directeur, Nobuo Tanaka, à des «changements majeurs dans la façon dont nous produisons et nous utilisons l'énergie». Sans cela, a-t-il poursuivi, «nous allons faire face à d'importants risques pour notre sécurité énergétique commune, et l'avenir de notre environnement». Parmi les domaines abordés, les participants évoqueront les normes d'efficacité énergétique, l'énergie solaire et éolienne, et les moyens de fournir de l'énergie à ceux qui n'en ont pas. «L'objectif ici n'est pas de discuter de ce sur quoi nous pourrions être d'accord», a dit le secrétaire américain à l'Énergie, Steven Chu. «Notre objectif ici est d'agir», a-t-il affirmé.

Mr Le président syrien Bachar al-Assad Mr le ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu,plaident pour la levée du blocus à Gaza


Renault et İstanbul Enerji partenariat véhicules électriques





Aurélien Venet
Renault et İstanbul Enerji signent un protocole d'accord pour la préparation d’un Partenariat Zéro Emission
Renault 2011



Renault et la municipalité d'Istanbul via İstanbul Enerji, souhaitent promouvoir le développement des véhicules électriques dans la métropole Turque. Pour ce faire, les deux parties ont mis en place un programme portant principalement sur la mise en place d'un réseau de bornes de recharge à l'horizon 2011. Pourquoi 2011 ? Car c'est l'année de la commercialisation des futurs véhicules électrique de Renault. L'équipe de travail qui va plancher sur le projet aura pour principales missions: - De multiplier les projets susceptibles de favoriser l’utilisation du véhicule électrique à Istanbul, notamment ceux qui sont centrés sur les réseaux de recharge. - D'installer et développer un réseau de points de recharge pour véhicules électriques. - De mettre au point des projets spécifiques relatifs aux flottes, espaces publics et agglomérations. - D'examiner les différentes réglementations concernant l’installation et l’exploitation des points de recharge des véhicules électriques.

Turquie/Arménie: Brève ouverture de la frontière en septembre pour l’OTAN


Algerie nouvelles infrastructures culturelles à Khenchela



Inauguration de la cinémathèque
,La cinémathéque de Khenchela située en face du stade communal Hammam Ammar a été inaugurée à l’occasion de la 3e édition du théâtre pour enfants qui a vu la participation de plusieurs wilayas en plus de la Palestine et la Syrie. Le secteur de la culture a bénéficié pour le programme 2010/2014 d’une enveloppe de 2 247 185 000 DA pour réaliser ce qui suit : un théâtre régional à Khenchela ainsi qu’un théâtre à Kais et un autre en plein air à Khenchela. La réalisation de 31 bibliothèques,d’un musée du tapis à Babar , c’est le tapis des Nemenchas dont la renommée a dépassé les frontières du pays .la restauration du village touristique de Taberdga situé à quelques encablures de Chéchar. laquelle est siétuée à 50 km au sud de Khenchela.Une opération non moins importante : les travaux de sauvegarde de trois sites historiques ainsi que l’étude et la réalisation d’une annexe du CNRPAH à Baghaï. Cette localité est liée à l’histoire de la reine berbère la Kahina ou, en 2003, la stèle de la reine sera installée dans ce village. Des écrits d’historiens quoique n’étant pas tous identiques avancent que la Kahina avait deux filles et un fils. L’une des filles s’appelait Khenchela selon les mêmes sources. La fille de la reine s’est installée quelques kilomètres au sud de Baghaï et c’est ainsi que la ville de Khenchela fut baptisée et que les Romains appelleront Mascula. Ceci pour dire la nécessité pour les chercheurs et les historiens de s’intéresser à Baghaï où il y a apparemment la cité enfouie de la reine la Kahina issue de la tribu des Djeraouas. La direction de la culture a réalisé une clôture pour protéger tout le site. Voici par ailleurs un extrait sur Wikipédia : «Pour les Berbères des Aurès, elle s’appelait Dyhia Tadmut qui veut dire la belle gazelle en berbère. D’autres Chaouis disent Damya, qui vient du verbe edmy en amazigh, qui signifie devineresse. Les écrivains en langue arabe au Moyen-Age rapportent le nom de Dihya et le surnom de Kahina à l’exemple d’Ibn Khaldoun. La majorité des écrits sur cette femme reprennent son surnom Kahina dans les récits historiques ou littéraires. Le surnom Kahina a plusieurs significations en arabe, en hébreu ou en grec. En arabe, Kahina désigne une devineresse ou une sorcière, ce qui est péjoratif pour certaines interprétations. En grec, Kahina est tiré de Karina qui signifie être pur. En hébreu le mot est proche de Cohen qui a un sens de prêtre (n français, le nom Corinne a le sens d’être pur). Dans la région des Aurès, les Chaouis l’appellent Yemma El-Kahina (maman Kahina) et plusieurs chansons lui sont dédiées dans le terroir chaoui, soit en arabe soit en chaoui. Le groupe le plus connu de la ville de Batna et en Algérie portait le nom de Kahina dans les années 1980. Azzedine
20-07-2010