阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Wednesday, December 02, 2009

Régions euroméditerranéenne. (ARLEM)



Régions : Naissance de l'Assemblée régionale et locale euroméditerranéenne. (ARLEM)
[Fenêtre sur l'Europe]
Hier, le président du CdR Luc Van den Brande a annoncé que la première réunion officielle de l'Assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne (ARLEM) se tiendrait le 21 janvier prochain, à Barcelone.
Cette annonce est intervenue à l'occasion d'une réunion de travail à Bruxelles qui a rassemblé des représentants de l'Union pour la Méditerranée, d'institutions européennes et d'autorités régionales et locales des trois rives de la Méditerranée."Pour répondre au défi que l'UE s'est fixée pour relancer le processus de Barcelone, elle a besoin du soutien de tous ses partenaires, y compris les autorités locales et régionales" a précisé Luc Van den Brande, avant d'ajouter : "cette enceinte permettra d'assurer de façon structurée une visibilité et un suivi aux réalités sur le terrain des projets entre l'Union européenne et ses pays partenaires du sud et de l'est de la Méditerranée." L'ARLEM sera un levier pour le dialogue euro-méditerranéen, l'instrument pour promouvoir la démocratie locale dans la région et l'outil pour faciliter l’échange de bonnes pratiques. La session inaugurale de l'Assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne (ARLEM) sera accueillie par la Generalitat de Catalunya dans le cadre de la Présidence espagnole de l'Union européenne.Dans la foulée de l'établissement de l'Union pour la Méditerranée au Sommet de Paris en juillet 2008, le CdR avait suggéré aux chefs d'état et de gouvernement la mise en place d'une dimension territoriale de ce partenariat, sous la forme d'une Assemblée régionale et locale euro-méditerranéenne. Cette proposition a recueilli l'encouragement et le soutien des pays partenaires.Il s'agira d'une Assemblée composée à parité de représentants locaux et régionaux originaires des États membres de l'UE et du pourtour méditerranéen, ainsi que décrite dans l'avis du CdR intitulé "Le processus de Barcelone: une Union pour la Méditerranée, quelle implication pour les collectivités territoriales?" Pour plus d'information : http://www.cor.europa.eu/

Algerie france Djelfa Mr l’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt


Les Français veulent investir dans des entreprises durables en Algérie

Les groupes français veulent investir dans des entreprises solides et durables en Algérie selon l’ambassadeur Xavier Driencourt.mercredi 2 décembre 2009.
En visite dans la wilaya de Djelfa, l’ambassadeur de France à Alger Xavier Driencourt a déclaré : « L’Algérie ce n’est pas Alger seulement. Je suis venu spécialement à Djelfa et ma visite lui est dédiée, consacrée », a déclaré l’ambassadeur. Expliquant son rôle d’intermédiaire entre les investisseurs potentiels français et l’Algérie, Xavier Driencourt a battu en brèche l’idée reçue que les hommes d’affaires français seraient plus frileux que les autres : « Il faut comprendre que la France voudrait investir dans des entreprises durables et créatrices d’emplois en Algérie, pas dans le commerce ou le BTP comme les Chinois, mais il faut du temps pour ce faire. »
Appuyant son propos par quelques chiffres sur la réalité des implantations, il a rappelé que plus de 430 entreprises françaises sont en activité sur le territoire national engrangeant près de 35 000 emplois directs et 100 000 indirects. Il a cité alors les grands groupes français tels Michelin, premier exportateur d’Algérie hors hydrocarbures et employant pas moins de 2 000 personnes, les groupes Danone, La Belle et Lactalis, offrant au moins 500 emplois chacun, et la présence des banques BNP Algérie et Société Générale Algérie qui aurait recruté 1 200 cadres.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

Algérie à Marseille Cinéma




Coup de projecteur sur le 7ème art algérien


Marseille, la ville française la plus proche et la plus intime d'Alger, est l'hôte depuis ce mardi de " Cinéma (s) d'Algérie ", un rendez-vous exceptionnel puisque rendant visible durant cinq jours une grande partie des productions cinématographiques algériennes. La fête qui est initiée par l'association Aflam mettra en scène un panorama du 7e art sur la production filmique nationale, à travers une quarantaine de longs métrages et autant de documentaires reflétant les œuvres cultes qui ont fait l'âge d'or du cinéma algérien. Signés ici et ailleurs par des réalisateurs de chez nous, les films qui seront vus évoquent des époques, des positions politiques toujours en phase avec les directives du pouvoir, ou alors de simples paysages pas très engageants. Après la Tunisie, la Syrie, le Maroc et la Palestine ces dernières années, Aflam, qui signifie "films" en arabe, a décidé de se pencher sur le cinéma algérien, depuis ses origines très nationalistes, dans le maquis FLN en 1958, aux dernières réalisations de plus en plus sociales, en passant par l'explosion créatrice des années 70 et l'effondrement de cette industrie pendant les années de terrorisme, explique sa programmatrice, Solange Poulet. En ouverture, hier mardi, le réalisateur Merzak Allouache devait présenter en avant-première son dernier film, "Harragas", qui conte l'odyssée clandestine de jeunes algériens traversant la Méditerranée pour atteindre l'"eldorado" européen. Il était suivi de la projection de sa première réalisation, "Omar Gatlato" (1976), qui montrait les difficultés de la jeunesse algérienne à travers les yeux d'un Algérois se contentant de rêver en écoutant des chansons chaâbies et en regardant des films hindous. Parmi les autres films qui seront diffusés figurent "La citadelle" de Mohamed Chouikh, "Hassan Terro" (1968) de Mohamed Lakhdar Hamina, "Les folles années du Twist" (1983) de Mahmoud Zemmouri et, pour les plus récents, "Inland" de Tariq Teguia", "La Chine est encore loin" (2008) de Malek Bensmaïl, qui n'est pas encore sorti en France, ou la comédie "Mascarades" (2007) de Lyes Salem. La manifestation, accueillie par le cinéma Les Variétés à Marseille, essaime dans toute la région de Marseille, avec des projections dans plusieurs villes de Provence ou des Alpes.Créée en 2000, avec le souci de donner une visibilité et un espace à des cinématographies du monde arabe et de la diaspora, peu connues à Marseille et en région, Aflam organise régulièrement des événements, des projections spéciales et des cycles par pays. Après la Tunisie (2005), la Syrie (2006) le Maroc (2007) et la Palestine (2008), c'est au tour de l'Algérie de bénéficier d'un coup de projecteur. Des années 70 marquées par la campagne pour la réforme agraire, où nombre de cinéastes se pencheront sur le monde rural, il sera possible de voir ou revoir, " Noua " de Abdelaziz Tolbi. Au début des années 70 ensuite, l'inclassable " Tahia ya Didou " de Mohamed Zinet.Tourné dans le tumulte de la guerre civile libanaise, " Nahla " de Farouk Beloufa clôt une décennie de grands espoirs pour le cinéma algérien. Mais le cinéma reste totalement tributaire de la manne de l'État, lui-même lourdement endetté. Réalisés au tournant des années 80 et plus rarement montrés, " Combien je vous aime " de Azzeddine Meddour interroge les archives de la colonisation, pendant que " Les enfants du vent " de Brahim Tsaki observe avec tendresse les jeux de l'enfance dans un village algérien. A leur suite, les programmateurs ont retenu " Les Sacrifiés " d'Okacha Touita, " La Rose des sables " et " Touchia " de Rachid Benhadj, " La Citadelle " et " L'Arche du désert " de Mohamed Chouikh, " Bab el-Oued City " de Merzak Allouache, " La Colline oubliée" de Abderrahmane Bouguermouh et La Montagne de Baya de Azzeddine Meddour. A la fin de la décennie 90, de réorganisations en restructurations, les trois entreprises de l'audiovisuel public, à l'exception de la télévision, ont tout simplement été dissoutes. Plus près de nous, " Le Harem de Mme Osmane " de Nadir Moknèche, " Beur, blanc, rouge " de Mahmoud Zemmouri, " Bled Number One " et " Dernier maquis " de Rabah Ameur Zaimeche, " Mascarades " de Lyes Salem, " Inland " de Tariq Teguia. Rebouh H.

Mr Xavier Driencourt l'ambassadeur de France en Algérieà Djelfa




"La France peut aider à rendre privilégiée la destination touristique Algérie"

Xavier Driencourt, en visite mardi dans la région de Djelfa, a émis la volonté de la France, à travers ses grands groupes touristiques, d'investir dans le domaine du tourisme, en abordant toutefois l'impérative nécessité pour les autorités algériennes, principalement les responsables en charge de ce secteur, de doter les régions à vocation touristique par excellence de structures d'accueil capables d'absorber le flux potentiel de touristes séduit par la destination Algérie et par la diversification du produit proposé. En effet le développement du tourisme en Algérie est un créneau qui intéresse la France, qui "peut apporter une aide précieuse" dans ce domaine, selon l'ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt. "La France peut aider à la relance du secteur touristique en Algérie et permettre à ce dernier de tirer profit de son riche potentiel", a-t-il déclaré, lors d'un point de presse organisé au siège de la wilaya de Djelfa, en marge de sa visite mardi, dans cette région. Le diplomate français a indiqué, dans ce contexte, que les grands groupes touristiques français, tels que "ACCOR" et "Club Med", sont prêts à mettre leur savoir-faire à la disposition de la partie algérienne. M. Driencourt a ajouté que "l'Algérie gagnerait à être plus agressive sur le plan de la promotion de la destination Algérie, si elle veut se placer sur ce marché très porteur", tout en rappelant qu'il y a une forte demande du côté français et qu'un effort doit être entrepris à cet égard, notamment en matière d'infrastructures, pour attirer les touristes français et les fidéliser à la destination Algérie. S'agissant des relations économiques entre les deux pays, l'ambassadeur de France à Alger a tenu à rappeler que la France reste "le premier investisseur hors hydrocarbures en Algérie et, en même temps, le plus grand créateur d'emplois, avec pas moins de 130 000 emplois, dont 35 000 emplois directs générés par les 430 entreprises et firmes françaises installées dans le pays". Pour ce diplomate, l'investissement français s'inscrit dans une stratégie à long terme, "contrairement à d'autres nations qui privilégient la logique commerciale à l'investissement sur place", ajoutant que les entreprises françaises préfèrent aboutir à des formes de partenariat à long terme avec la partie algérienne, "conscientes de l'intérêt de ce marché, considéré comme l'un des plus importants d'Afrique du Nord". Commentant la récente visite du MEDEF, le diplomate français a estimé que cette dernière a permis de "dissiper toutes les craintes" qu'avait suscitées la nouvelle loi de finances auprès d'une partie du patronat français et inciter les hommes d'affaires et les chefs d'entreprise présents au sein de la délégation du MEDEF à "reconsidérer" sa vision du climat des affaires en Algérie, a-t-il conclu. Auparavant, l'ambassadeur de France en Algérie a rencontré, au siège de la direction du commerce, les responsables de la Chambre du commerce et de l'artisanat ainsi que les directeurs des services agricoles, de l'énergie et des mines et du tourisme. Au cours de cette rencontre, un exposé détaillé sur les opportunités d'investissement et de partenariat offertes par la wilaya a été présenté au diplomate français, notamment dans les domaines de l'agroalimentaire, l'élevage ovin, le tourisme et l'industrie de transformation. Xavier Driencourt, qui était accompagné de ses proches collaborateurs, s'est enquis, à cette occasion, des expériences réussies réalisées dans le secteur agricole, principalement le développement de la filière arboricole et l'élevage ovin. Le diplomate français a tenu, d'autre part, à réaffirmer l'entière disposition des hommes d'affaires et entreprises français à venir s'installer dans cette région, et à travers toute l'Algérie, pour apporter leur savoir-faire et aider à la création de nouveaux postes d'emploi. Nassim T.

Google 2009 Year-End Google Zeitgeist: France


Facebook et YouTube Google



Facebook et YouTube, les termes les plus recherchés sur Google France
02-12-2009Par Olivier Robillart
Google sort son « Zeitgeist », palmarès des tendances sur les termes les plus recherchés par les internautes français. Facebook et YouTube restent les plus demandés.

Google revient sur l’année 2009 et les requêtes les plus souvent formulées par les internautes en France. Les sites de réseaux sociaux se taillent la part du lion, suivent notamment les sites d’actualité.
Dans un communiqué, Google explique que « quelques phénomènes sont nés sur la toile, comme le succès de certaines créations publicitaires ou encore l'annonce du décès de Michael Jackson en ligne en avant-première ».
Néanmoins, les recettes traditionnelles fonctionnent encore puisque même si la grippe A a fait une entrée remarquée, les Français continuent à rechercher des informations sur l'économie, la vie politique, le sport ou encore les mangas. A la loupe, les requêtes qui ont connu la plus forte progression sont, dans l’ordre, les termes Allostreaming, Facebook, Bon coin et Yahoo Mail. Les requêtes les plus populaires restent Facebook, YouTube puis Jeux, You ( ?), Yahoo, tv…
Google se fait l’écho du même palmarès concernant le moteur de recherche de Microsoft, Bing. Microsoft a indiqué quelles étaient les trois recherches les plus fréquentes en anglais sur Bing en 2009. Twitter arrive en tête du classement alors que le chanteur décédé « Michael Jackson », et l'épidémie de « grippe porcine » (swine flu) complètent le podium.
Du côté de Google, une page a été créée afin de voir l’évolution du nombre de recherches dans plus de cinquante pays. Bonne recherche

Algerie Djazagro 2010




Un rendez-vous incontournable



Le Salon international des industries agroalimentaires, Djazagro 2010 se tiendra du 12 au 15 avril 2010 au Palais des Expositions d'Alger. Les visiteurs de Djazagro, sont des décideurs, des prescripteurs, des investisseurs, des utilisateurs et des distributeurs. En 2009 Djazagro a accueilli 9273 visiteurs professionnels. Organisé par la société Comexpo cet évènement se fixe pour objectif de permettre aux entreprises algériennes mais aussi pour tous les professionnels du Maghreb de rencontrer des entreprises leaders du secteur de l'emballage de l'agroalimentaire, de l'embouteillage, de la boulangerie pâtisserie et de la restauration, d'autant plus que le marché algérien ne manque pas d'attractivité. En effet, en 2008, la Coface a relevé la notation du risque pays à court terme (financement sur fonds propres) en faisant passer l'Algérie de B à A4, où figurent notamment le Maroc et la Tunisie. La réforme du système bancaire est toujours à l'ordre du jour, et on assiste à l'arrivée en Algérie de nouvelles banques internationales. Le secteur des hydrocarbures constitue encore la base de l'économie du pays en assurant 52% des revenus budgétaires, 25% du PIB et 97% des recettes d'exportations. L'Algérie dispose de la 5ème plus importante réserve de gaz naturel au niveau mondial. Elle est en 14ème position au niveau des réserves pétrolières. L'économie du pays demeure fortement dépendante des fluctuations du marché pétrolier et du cours du dollar, c'est pourquoi l'Algérie s'efforce de diversifier son économie par une politique d'encouragement de l'investissement étranger et domestique en dehors des hydrocarbures. Les pays de l'Union européenne restent les premiers clients et fournisseurs de l'Algérie puisqu'ils assurent 60 % des échanges. La France reste le premier fournisseur de l'Algérie. La Chine est devenue le 3e fournisseur. Aussi, l'Algérie fait progressivement son entrée dans l'économie mondiale avec le démantèlement progressif des barrières douanières, l'adaptation de la réglementation commerciale en vue de son adhésion à l'OMC et la réforme du système bancaire, du code de l'investissement et foncier industriel. Ces ouvertures s'ajoutent à la décision de rejoindre la zone arabe de libre-échange. D.T.

EUROMED




L'énergie solaire et les perspectives euro-méditeranéennes en débat


L'énergie solaire et les perspectives euro-méditeranéennes en débat
Le 3 décembre 2009, la Caisse des Dépôts et la European Climate Foundation organisent à Paris une conférence sur le thème : "Energie solaire et perspectives euro-méditeranéennes". Alors que douze industriels allemands et espagnols viennent de lancer le projet Desertec au Sahara et que le Plan Solaire Méditerranéen est en partie financé, le débat autour de la place de l'énergie solaire dans le mix-énergétique européen est relancé. Photovoltaïque, cylindro-parabolique, tour centrale...: quelle est la technologie la plus efficace en terme de rendement, de coût et de réduction des émissions de CO2 ? Les pays en développement ont la ressource, nous avons la technologie et les financements : comment, sur cette base, bâtir une coopération exemplaire entre les rives Sud et Nord de la Méditerranée dans les domaines de la production d'énergie et de la lutte contre le changement climatique ? Producteur d'énergie solaire, investisseurs, responsables institutionnels, experts seront réunis le 3 décembre pour répondre à ces questions et confronter leurs expériences. Notons que la deuxième banque allemande Commerzbank réfléchit à une participation au projet géant de centrales solaires en Afrique du Nord et au Moyen-Orient "Desertec", déjà dominé par des Allemands, selon l'un de ses dirigeants lundi. "Desertec est un projet très intéressant que nous suivons de près et nous envisageons d'y participer et d'y apporter notre expertise une fois que la planification aura avancé", a dit Frank Annuscheit, cité par l'agence Dow Jones Newswires. Desertec avait été lancé en juillet par 12 entreprises, majoritairement allemandes, à l'initiative du réassureur allemand Munich Re. Son montant est estimé à 400 milliards d'euros. Ainsi, l’électricien français EDF, l'italien Enel, l'espagnol Red Electrica Espana, ABB, des entreprises marocaines, tunisiennes et égyptiennes sont en négociations pour agrandir le cercle initial des investisseurs ayant initié le projet. "La liste de ceux qui ont manifesté leur intérêt est longue", commente Ernst Rauch, directeur du projet Desertec, cité dans le Handelsblatt. Desertec avait été lancé en juillet par 12 entreprises. Outre le groupe d'Isaad Rébrab, parmi les signataires figurent les principaux acteurs européens du solaire thermique européen. En tête, les deux géants allemands de l'énergie E.ON et RWE. Il s'agit également de la banque Deutsche Bank, du groupe Siemens (qui à la fois construit des turbines à vapeur géantes pour ce type de centrales et des lignes de transmission électrique), des groupes solaires l’allemand Solar Millenium (qui projette des centrales thermiques géantes en Californie) et son rival Schott Solar. Il s'agit également de la société d'ingénierie M+W Zander, et la banque allemande HSH Nordbank, mais aussi l'installateur de centrales solaires l’espagnol Abengoa Solar et le géant suisse ABB, leader mondial des transmissions. L'association européenne du solaire à concentration (ESTELA) est également membre de Desertec.. L'agenda de Desertec prévoit de fournir d'ici trois ans des " plans d'investissement réalisables" pour la création de ce réseau de centrales solaires, avec comme projection un investissement de 400 milliards d'euros. L'objectif est de couvrir à terme 15% des besoins énergétiques de l'Europe et une grande partie de ceux des pays producteurs. Samira G.

Afrik.com sur Facebook Twitter !




Facebook et Twitter sont deux outils qui révolutionnent l’Internet. Afrik.com se devait donc de vous permettre de profiter de ces plates-formes pour suivre l’information au plus près. Après le compte Facebook, Afrik.com met désormais à votre disposition un compte Twitter, et vous en explique les rudiments
Twitter : gardez l’œil sur l’actualité
Afin de vous tenir informé en temps réel de l’actualité africaine, la rédaction choisit l’outil Twitter. Ce réseau social, lancé en 2006, offre la possibilité de s’abonner à différents flux de messages. En choisissant de suivre le compte d’Afrik.com, vous recevrez sur votre compte les messages (ou « tweets ») indiquant la parution d’un nouvel article ou bien signalant un événement particulier.
Twitter est également un moyen pour nous de vous offrir la possibilité de partager facilement avec des proches une information qui vous aura semblé importante, grâce à la pratique du « re-twitting » (« RT »), qui consiste à copier-coller un message aux personnes qui suivent votre propre flux de messages

Arte médias



Médias : Arte approfondit sa culture européenne
[Fenêtre sur l'Europe]
Jérôme Clément, le patron d'Arte, a annoncé hier, une série d'évolutions sur la grille 2010 de la chaîne franco-allemande. Un duo franco-allemand aura en charge la grosse tranche d'information quotidienne.
Arte va avancer en 2010 son horaire de première partie de soirée, qui va passer à 20 h 35. A 19 heures, une nouvelle tranche d'info verra le jour.A partir du 9 janvier, les programmes de première partie de soirée de la chaîne franco-allemande seront avancés de 10 minutes et commenceront en même temps que celui des chaînes de France Télévisions (France 2, France 3, France 4 et France 5), privées de publicité après 20 heures.Le rendez-vous d'information d'une demi-heure va démarrer plus tôt, à 19 h 00. Il sera présenté par un duo de journalistes franco-allemands.Le magazine hebdomadaire consacré à l'environnement "Global Mag", d'Emilie Aubry, diffusé le vendredi, sera proposé du lundi au jeudi. Le vendredi, à 19H30, Isabelle Giordano recevra un invité pour commenter l'actualité de la semaine.L'émission mensuelle de Manu Katché va devenir hebdomadaire, le jeudi soir.Plusieurs nouveaux rendez-vous seront proposées sur l'Europe, la science, la pop culture.La chaîne va également créer une vidéothèque où les internautes pourront trouver une "offre systématisée" des contenus vidéo d'Arte.

Tourisme en Algérie



Les capitaux étrangers nécessaires pour le développement du tourisme en Algérie

Le ministre Chérif Rahmani a estimé hier que le capital étranger demeure indispensable pour l’investissement dans le tourisme en Algérie.mercredi 2 décembre 2009.
Intervenant à l’occasion de l’ouverture officielle du 10e Salon du tourisme les 1 et 2 décembre au Palais de la Culture Moufdi-Zakaria d’Alger, le ministre du tourisme Chérif Rahmani a insisté sur l’apport incontournable des étrangers dans le domaine de l’investissement touristique. C’est d’ailleurs un des quatre principaux objectifs tracés par le ministre pour ce 10e Salon du tourisme en plus de l’évaluation du plan directeur de l’aménagement touristique à l’horizon 2020, l’échange d’expériences et de points de vue des professionnels du tourisme et la promotion de l’image de l’Algérie qui doit être parfaitement soignée et dignement représentée à tous les niveaux internationaux. Partant de ce principe, l’idée d’échange d’expériences entre opérateurs du domaine touristique va dans le sens d’une prise en charge du développement du secteur.
Le ministre n’a pas manqué de faire remarquer qu’il faut profiter des erreurs des autres pour se corriger et investir utilement dans le tourisme. M. Chérif Rahmani a également saisi cette opportunité pour appeler les intervenants et tous les partenaires du domaine touristique à faire de ce Salon un centre de concertation et de dialogue en vue d’une prise en charge des problèmes liés au développement du tourisme en Algérie pour aller de l’avant. Enfin, il faut souligner qu’après une absence de deux ans, ce rendez-vous professionnel semble donner une autre dynamique à l’activité touristique du moment que l’engouement pour l’investissement et surtout pour la promotion du tourisme en Algérie gagne du terrain. Placé sous le haut patronage du chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, ce 10e Salon a été organisé conjointement par le ministère du Tourisme, l’Office national du tourisme et l’agence Algeria National Tourism. Une centaine d’exposants dans le domaine divers univers touristique ont pris part à cet important événement à l’exemple des complexes touristiques, des agences de voyages ainsi que des tour-opérateurs étrangers, notamment Point Com Afrique.
Synthèse de Mourad, www.algerie-dz.com D’après le Jeune Indépendant

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Algerie tourisme développement



M. Rahmani insiste sur le développement du tourisme national et son insertion dans les circuits commerciaux internationaux Le développement du tourisme national et son insertion dans les circuits commerciaux du tourisme international a été souligné, hier à Alger, par le ministre de l'Aménagement du Territoire, de l'Environnement et du Tourisme, M. Cherif Rahmani. "Il s'agit désormais de développer la montée en cadence du tourisme national et de l'insérer progressivement dans les circuits commerciaux du tourisme international par l'émergence à moyen et à long termes de la destination Algérie comme destination touristique de choix", a affirmé M. Rahmani lors d'une rencontre avec la presse nationale et internationale organisée en marge du Salon international de tourisme et des voyages (SITEV). Pour favoriser ce nouveau positionnement du tourisme national, M. Rahmani a fait référence au Schéma directeur d'aménagement touristique (SDAT) à l'horizon 2025, soulignant que le SITEV demeure une occasion pour évaluer tout ce qui a été réalisé jusque-là. Il a également estimé que ce salon permettra aux opérateurs nationaux de se rencontrer, d'échanger des informations et des expériences entre eux, ajoutant que le SITEV permettra aussi aux opérateurs algériens de profiter de l'expérience d'autres professionnels étrangers. Pour M. Rahmani, cette manifestation tend à démontrer et prouver que l'Algérie demeure un pays ouvert donnant ainsi une image d'une Algérie qui gagne et offrant une promesse d'avenir. Insistant sur l'investissement dans le tourisme, il a fait observer que des résultats encourageants ont été enregistrés avec le lancement, durant les deux dernières années, de 390 nouveaux hôtels privés totalisant plus de 38 000 lits, soit plus de 50% des objectifs physiques arrêtés par le business plan 2015. Selon M. Rahmani, 45 projets de villages touristiques d'excellence sont en cours d'examen par le Conseil national de l'investissement et dont une bonne partie pourra être lancée dès le début de l'année 2010. Dans le cadre de la loi de Finances complémentaire pour 2009, il a rappelé que la promotion de l'investissement dans le secteur du tourisme a bénéficié d'un appui "particulièrement significatif" des pouvoirs publics, à savoir l'abattement de 50% et de 80% sur le coût de la concession des terrains nécessaires à la réalisation des projets d'investissement dans les wilayas respectivement des Hauts-plateaux et du Sud. A cela s'ajoute, a-t-il dit, la bonification de 3% et de 4,5% du taux d'intérêt aux prêts bancaires pour les investissements dans les projets du touristiques à réaliser dans les wilayas respectivement du Nord et du Sud du pays. A une question d'un journaliste de la presse internationale, M. Rahmani a affirmé que l'Algérie demeure "un pays ouvert à tous les partenariats", appelant les opérateurs d'autres pays à établir des "relations de confiance" avec l'Algérie, "un pays qui les accueillera à bras ouverts", a-t-il souligné. Par ailleurs, répondant à une question concernant la qualification de l'équipe nationale de football au Mondial sud-africain (juin 2010), M. Rahmani a appelé les supporters algériens à donner une bonne image du pays, considérant que l'équipe nationale sera l'ambassadrice de l'Algérie en Afrique du Sud.

Algerie Béjaïa Festival de la chanson amazighe



Le Festival de la chanson amazighe à Béjaïa

Le 2ème Festival de la musique et de la chanson amazighes sera accueillie du 3 au 8 décembre à la maison de la Culture Taos-Amrouche de Béjaïa.mardi 1er décembre 2009.
La maison de la Culture Taos-Amrouche de Béjaïa s’apprête à accueillir la deuxième édition du Festival de la musique et de la chanson amazighes le 3 décembre prochain. Une manifestation artistique grandiose à la mesure de la stature de cette ville étendard de l’art, de la culture et du tourisme. Les Béjaouis sont conviés durant cinq jours à vivre chaque soirée avec un chanteur d’expression kabyle de renom. Organisé par le ministère de la Culture, en collaboration avec le Centre culturel de Béjaïa, sous le slogan « Si la Kabylie m’était chantée », ce festival se veut un forum pour les différents genres et styles de musique, de danse et de chanson amazighes, anciennes et actuelles, selon M. Battache Ali. Cette manifestation est dédiée à deux figures de proue de la chanson kabyle, en l’occurrence Allaoua Zerrouki et Nouara.
Les organisateurs du Festival de la musique et de la chanson amazighes de Béjaia estiment que toutes les conditions sont réunies pour la réussite de ce festival tant attendu, et les préparatifs vont bon train. Aussi, un concours, l’essence même de cet évènement, est-il instauré sur l’écriture, la musique et le cinéma. Les lauréats, qui feront les preuves de leur talent, seront bien sûr récompensés. La concurrence s’annonce déjà des plus rudes du fait même du nombre important d’artistes qui ont l’intention de participer à cette deuxième édition. Des wilayas comme Alger, Sétif, Bordj Bou Arréridj, Bourmerdès, Tizi Ouzou, Bouira et Béjaïa seront représentées par des artistes, et la liste reste ouverte. Plusieurs personnalités du monde artistique sont invitées à Béjaïa, notamment le doyen et chantre de la chanson kabyle, l’infatigable Kamel Hamadi. Les soirées s’annoncent lyriques et intéressantes au vu de la renommée des chanteurs toujours en vogue.
Synthèse de Samir, www.algerie-dz.com D’après Le Jeune Indépendant

Conseil européen



Conseil européen: une nouvelle institution avec son règlement
[Fenêtre sur l'Europe]
Avec le traité de Lisbonne, le Conseil européen devient une institution de l'UE à part entière et disposera donc, en tant que tel, de son propre règlement intérieur.
Celui-ci a d'ailleurs été adopté par procédure écrite le 1er décembre, date de l'entrée en vigueur du traité. Le règlement énonce les modalités de fonctionnement de l'institution, qui ne changent guère par rapport à la situation actuelle. Le texte revient aussi sur le rôle du président du Conseil européen et ses rapports avec le Premier ministre (ou le président) du pays assurant la présidence semestrielle tournante du Conseil

d'Alger (CCF) centre culturel français




La grande séduction à l'affiche


Le Centre culturel français d'Alger organise dans le cadre de ses activités artistiques une projection de " La grande séduction " de Jean-François Pouliot. Ce rendez-vous filmique se déroulera aujourd'hui durant deux séances 15h00 et 18h30 à la salle du CCF. Film canadien sorti en 2004, " La grande séduction " est une comédie dramatique de 1h50 minutes. L'histoire se passe au Nord du Canada , le petit village de pêcheurs de Saint Jean-la Mauderne se meurt doucement, avec tout le monde au chômage ; Une usine accepterait bien de s'y installer mais à la condition qu'il y ait un médecin à demeure. Mais qui voudrait venir s'enterrer dans ce trou ? Secouant l'apathie des villageois, Germain et quelques autres envoient un courrier dans tout le Canada pour attirer un praticien. L'offre n' allèche personne. Mais , ô miracle, Christopher, un jeune médecin de Québec se voit envoyé au village pour un mois, en guise de peine pour excès de vitesse . Tout le monde se met en branle pour faire du village un lieu de rêve. Les moyens n'en sont pas toujours très honnêtes ; quelques mensonges, une mise sur écoute pour connaître ses goûts et sa vie privée ; l'imagination est débordante. Christopher s'attache à eux, mais le mensonge, même pour de bonnes causes , finit toujours par être éventé. La comédie est pleine d'idées, les situations souvent loufoques comme aménager avec n'importe quoi un terrain de cricket, sport favori de Christopher, ou bien lui faire pêcher un poisson…, qu'on avait sorti du congélateur ! Si la farce n'est pas toujours légère, elle nous livre des types de personnages très divers dans des situations ordinaires, à commencer par l'employé de banque qu'on menace toujours de remplacer par un " guichet automatique " mais qui se compromettra pour obtenir le prêt nécessaire au village . Car comme tout le monde il a fini par croire qu'on peut sauver ce dernier. Il suffit parfois d'un seul homme, plein de foi et d'énergie, ici Germain, pour faire bouger les choses. Si les Québécois, qui se sont bien retrouvés dans cette comédie, lui ont fait un immense succès ; sans être canadien, on la voit avec plaisir, on y rit beaucoup, et c'est un moyen de découvrir le " parler québécois " R.C.

Le poème épique Hizia Bientôt classé patrimoine national




Bientôt classé patrimoine national

Alors que la maison de la culture de la wilaya d'Adrar vient de décider la création prochaine d'une phonothèque pour le stockage du patrimoine immatériel cantonal, de leur côté les services culturels de la wilaya de Biskra comptent faire un peu dans le genre : Ils comptent immortaliser l'histoire épique de Hizia, en la classant patrimoine national. Figure du 19e siècle, Hizia célébrée par le patrimoine populaire oral, est en voie d'être classée patrimoine national immatériel par la direction de la culture de Biskra.Les efforts sont actuellement dirigés vers "la constitution d'un dossier rassemblant tous les documents et informations" relatifs à Hizia qui vécut entre 1855 et 1878 pour inscrire l'histoire de la vie de cette figure, sur la liste du patrimoine national immatériel, affirme la direction. Une banque de données a été constituée sur le personnage de Hizia, selon la direction de la culture qui soutient que cette démarche représente une étape fondamentale dans le processus de classification qui devra aboutir avant la fin de l'année en cours. Hizia a toujours focalisé artistes et hommes de lettres. Plusieurs versions de ce poème épique ont été chantées et les premiers à l'avoir exécuté s'appellent, Abdelhamid Ababssa, Rabah Deriassa et Khélifi Ahmed. Hizia est une histoire d'amour nomade. Hizia, est le nom d'une jeune femme issue de la famille dominante des Bouakkaz de la puissante tribu des Dhouaouda (descendants, selon certains dires, des tribus des Beni Hilal qui avaient envahi le Maghreb vers le XIe siècle ap. J. C. venant d'Arabie) qui régnaient en ce 19eme siècle sur toute la région du Zab et dont les terres de parcours et de transhumance s'étendaient des riches plaines de Sétif au Nord jusqu'à l'oasis de Ouled Djellal au Sud, et bien plus loin encore si l'on jugeait par l'influence de son Cheikh el Arab (titre donné à son chef qui signifie littéralement : Chef des Arabes) à l'époque. Hizia, fille d'Ahmed ben el Bey, était amoureuse de son cousin Saïyed, orphelin recueilli dès sa tendre enfance par son oncle, puissant notable de la tribu et père de Hizia.Benguitoun, dans son poème, fixe la date de la mort de Hizia à 1295 de l'Hégire, soit 1878 de l'ère chrétienne. Elle avait alors 23 ans, nous dit-il. Hizia serait donc née en 1855.La cause de son décès fut et reste encore une énigme. Le poème ne nous révèle rien sinon qu'elle fut subite : un mal soudain entre deux haltes, à Oued Tell (une localité à 50km au sud de Sidi Khaled) au retour de la tribu de son séjour saisonnier dans le Nord. Mythe ou réalité ? Saiyed eut recours, trois jours après la mort de Hizia, aux services du poète Benguitoun pour écrire un poème à la mémoire de sa bien-aimée. Plus tard, d'après certains dires, le malheureux cousin s'exilera loin de sa tribu et vivra en solitaire dans l'immensité du désert des Zibans jusqu'à sa mort. Quoiqu'il en soit, le poème est là pour témoigner de cet amour fou qu'avait porté un jeune homme pour une jeune femme qui valait, à ses yeux, tout ce qu'il y avait de précieux en ce monde et que le poète a chanté avec les paroles du bédouin, langue pure du vécu, langue vivante de tous les jours. A travers les yeux de Saïyed, le poète Benguitoun a chanté la beauté de cette femme et décrit les merveilles de son corps, osant lever le voile sur des jardins secrets et nous offrir, à travers les âges, un hymne à l'Amour, un hymne à la Beauté, un hymne à la Femme. Rebouh H.