阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, December 17, 2009

Algerie Portugal


Le ministre portugais de la Défense en visite officielle en Algérie Le ministre portugais de la Défense, M. Augusto Santos Silva est arrivé mardi soir à Alger à la tête d'une importante délégation militaire, pour une visite officielle de deux jours. La visite de M. Augusto Santos Silva à Alger entre dans le cadre de la coopération militaire entre les deux pays. Le ministre portugais a été accueilli à l'aéroport International ''Houari Boumediene'' par le ministre délégué auprès du ministre de la défense nationale, M. Abdelmalek Guenaizia. M. Augusto Santos Silva a été également accueilli par le général-major Mohamed Zenakhri, conseiller auprès du ministre de la défense nationale, le général Noureddine Makri, Directeur des relations extérieures et de la coopération au ministère de la défense nationale et par l'Ambassadeur du Portugal à Alger.
M. Augusto Santos Silva reçu par M. Ouyahia Le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, a reçu hier le ministre portugais de la Défense, M. Augusto Santos Silva, en visite en Algérie, indique un communiqué du cabinet du Premier ministre. A assisté à cette audience, le ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, M. Abdelmalek Guenaïzia, précise le communiqué.
…et par M. Abdelmalek GuenaïziaLe ministre délégué auprès du ministre de la Défense nationale, M. Abdelmalek Guenaïzia, a reçu hier, au siège du ministère de la Défense nationale, le ministre portugais de la Défense, M. Augusto Santos Silva, en visite officielle en Algérie. Les entretiens, qui se sont déroulés en présence des délégations des deux parties, ont permis un large échange de points de vues sur les questions liées à la coopération militaire et technologique entre les deux pays, comme ils ont porté sur les voies et moyens de son développement et renforcement. A cette occasion, il a été procédé à la signature du procès-verbal de discussions et d'adoption du programme indicatif de coopération dans le domaine de la défense entre l'Algérie et le Portugal pour la période 2010-2012. Le ministre portugais de la Défense a entamé mardi soir une visite officielle de deux jours en Algérie à la tête d'une importante délégation

Tunisie 4 accords-cadres pays européens



Artisanat: Quatre accords-cadres avec des pays européens
INFOTUNISIE – Convaincue que l’Artisanat demeure l’un des secteurs-clé pour la promotion des échanges d’ordre économique, social et culturel, l’impulsion de la coopération ainsi que l’ouverture sur d’autres civilisations, la Tunisie tient à tirer profit des potentialités offertes dans ce domaine notamment le programme d’appui à la mise en œuvre de l’accord d’association (P3A).
Il s’agit d’un Jumelage effectué entre trois pays à savoir la Tunisie, la France et l’Espagne représentés respectivement par le ministère du commerce et de l’Artisanat, le ministère de l’économie, des finances et de l’emploi et, sous forme de consortium, le ministère de l’industrie, du tourisme et du commerce.
Dans la perspective de présenter les résultats de ce jumelage, qui arrive à sa fin et ayant pour objectif le renforcement des capacités institutionnelles et administratives de l’Office national de l’Artisanat, la Tunisie a abrité, le mardi 15 décembre 2009, une rencontre présidée par M. Ridha Ben Mosbah, ministre du commerce et de l’Artisanat en présence de M. Mohamed Bousaid, directeur général de l’Office national de l’Artisanat, l’Ambassadeur de France en Tunisie outre des représentants des organismes économiques français et espagnols.
Les travaux de cette manifestation ont été marqués par la présentation des étapes d’exécution du jumelage entre les différentes parties concernées ainsi que les objectifs préconisés notamment la signature de 4 accords-cadres entre la Tunisie et les deux autres pays du jumelage. La consolidation des potentiels de coopération relative à la production artisanale et des métiers d’art ainsi que l’investissement, le suivi et la formation, ont fait l’objet des ces quatre accords.
M. Ben Mosbah a profité de cette occasion pour mettre en relief la place prépondérante qu’occupe l’Artisanat, un secteur principal quant au renforcement de la coopération technique à travers le monde ainsi que sa contribution dans l’ouverture sur des nouvelles civilisations.
Il a souligné que l’ouverture sur d’autres cultures incite à s’occuper davantage des spécificités nationales dans le cadre d’une vision globale, qui respecte le rôle vital de l’Artisanat dans l’ancrage de l’identité tunisienne.
Le ministre a évoqué, à ce propos, la stratégie adoptée en Tunisie en la matière et initiée par le Président de la République. Une stratégie, ajoute-t-il, cohérente qui ambitionne de promouvoir l’office national de l’artisanat, la modernisation de ses mécanismes, l’amélioration de la production, la mise en place d’un cadre législatif adéquat, le financement des professionnels et des entreprises actifs dans cette activité ainsi que l’instauration d’un système de formation et la recherche de nouveaux marchés extérieurs.
Ces ambitions vont, en effet, de pair avec les orientations prospectives du programme présidentiel du Président Ben Ali pour le prochain quinquennat visant la stipulation de l’emploi,, la formation et la commercialisation dans le secteur de l’artisanat.
Quant à M. Bousaid, il a fait savoir que ce jumelage vient traduire les orientations de la Tunisie qui œuvre à conforter les échanges économiques, techniques et culturelles avec les pays européens. Il a ajouté que ces échanges sont de nature à développer la production artisanale locale et sa qualité en toute conformité avec les standards internationaux.
Le DG de l’office national de l’artisanat a ajouté qu’il s’agit de chercher un certain réseau de communication entre les professionnels et l’Office, qui constitue un trait d’union entre ces professionnels et les différentes structures à l’étranger.
Il y aura question, également, d’adopter un programme de contrôle dédiée à la qualité des produits concernant 16 entreprises de métiers ainsi que la mise en place d’un classement spécifique aux produits de l’artisanat et des métiers d’art de façon à se rapprocher du régime régnant dans les pays européens en la matière.
Cet article est écrit le 17 décembre 2009 dans la section Culture, Economie. Vous pourrez lire les

Parc national du Djurdjura : un patrimoine précieux


Infosoir.com
Il recèle beaucoup de richessesLa wilaya de Tizi Ouzou est parmi les zones montagneuses les plus peuplées au monde avec une densité moyenne de 434 habitants au kilomètre carré. D’une superficie de 2 994 km2, 80% de son territoire est montagneux. La chaîne du Djurdjura la traverse de bout en bout et s’étend vers les wilayas de Bouira et jusqu’à l’Akfadou dans la wilaya de Béjaïa. En 1983, le massif du Djurdjura accéda au statut de Parc national.
Environ 80 000 habitants ont été recensés à la périphérie de cette majestueuse montagne et 6 000 autres habitent à l’intérieur même de la réserve, répartis sur de petits villages dont Aït Ouabane, Tiroual, Aït Boumehdi, Aït Chebla, Aït Aggad, Aït Ergane, Tizi Mellal, Timeghras, Tikilsa, Tafsa, Aït Bouaddou, Takerbouzt, Tikidount… Coupe de bois, pâturage et prolifération de décharges sauvages sont, entre autres, les problèmes auxquels font face la direction du parc et la conservation des forêts.
Riche par sa faune, sa flore et le savoir-faire de ses habitants, mais surtout l’eau qu’il renferme sous son sol, le Djurdjura a les potentialités d’améliorer le cadre de vie de ses enfants et de devenir un véritable pôle d’écotourisme, pour peu qu’il soit pris en charge dans un programme de mise en valeur, de développement durable et de préservation de l’environnement.
Par D. Madjda

Sud'Agral 2009 valoriser les cultures sahariennes




Valoriser les cultures sahariennes


Organisé par Krizalid communications , le cinquième Sud'Agral, Salon de l'agriculture saharienne et steppique, se déroulera du 21 au 25 décembre 2009 à Ghardaïa sous le haut patronage du ministre de l'Agriculture et du développement rural et sous l'égide du wali de Ghardaïa. Regroupant 40 exposants (organismes institutionnels, opérateurs économiques et producteurs locaux), l'événement comporte également une journée de conférences et des ateliers animés par les chercheurs et les experts du HCDS, du CDARS, de la DGF de l'ITAF et de la fondation Fillaha Innove. Aux côtés des organismes d'encadrement, d'études et de financement, les constructeurs,fabricants, importateurs et distributeurs, présentent les équipements, produits et services en relation avec l'agriculture saharienne et steppique. Selon les organisateurs, l'agriculture saharienne et steppique est loin d'avoir livré tout son potentiel, mais la conjonction d'un savoir-faire traditionnel millénaire avec des technologies d'avant-garde a produit des miracles qui ouvrent toutes les espérances. Les interventions et débats permettront de faire le point, entre autres, sur le dispositif du renouveau agricole rural, l'agronomie saharienne, le système gazier, la valorisation de l'agriculture steppique et saharienne, et l'utilisation des énergies renouvelables pour le développement agricole saharien. L'Algérie et les pays du Sahel ont en commun des régions désertiques, arides ou semi-arides, pour lesquelles ont été développées des techniques agricoles et pastorales spécifiques. Ces techniques méritent d'être connues du plus grand nombre possible de décideurs, d'investisseurs, et d'agriculteurs. L'échange de savoir-faire et d'expériences réussies est à encourager entre tous les intervenants. L'intégration réfléchie entre plusieurs secteurs d'activités est indispensable à la réussite des vastes projets de valorisation (Industrie mécanique, pétrochimie, hydraulique, énergies renouvelables, céréaliculture, arboriculture,....) Aussi, Sud'Agral s'adresse en priorité aux opérateurs de l'Algérie et des pays du Sahel : Mali, Niger, Cap Vert, Gambie, Burkina Faso, Guinée Bissau, Mauritanie, Sénégal, Tchad pour lesquels été constatée une ferme volonté de stopper la desertification et même de fertiliser des millions d'hectares de terres arides, de nombreux projets de dimension nationale ou intégrant plusieurs pays, plusieurs expériences réussies, l'espoir de donner du travail et de la nourriture à des millions de personnes. Parallèlement au salon , un séminaire regroupe chercheurs, universitaires, et opérateurs économiques pour un échange de connaissances dans le créneau. D.T.

Copenhague déforestation



Jeudi 17 Décembre 2009
Copenhague : Plusieurs pays s'accordent pour un finacement contre la déforestation
[Fenêtre sur l'Europe]
L’Australie, les Etats Unis d’Amérique, la France, le Japon, la Norvège et le Royaume-Uni se sont accordés hier pour s’engager collectivement dans le contexte d’un accord ambitieux et complet à Copenhague pour dédier un total de 3,5 milliards de dollars d’investissement public initial afin de ralentir, cesser et renverser la déforestation dans les pays en développement.
Selon la déclaration conjointe publiée, hier les actions de réduction des émissions liées aux forêts peuvent aider à stabiliser notre climat, à soutenir les modes de vies des communautés dépendantes des forêts, à permettre la conservation de la biodiversité et à promouvoir le développement économique. Dans le cadre d’un accord qu'ils veulent complet et ambitieux, les pays signataires reconnaissent le rôle significatif du financement public international pour soutenir les efforts des pays en développement pour ralentir, stopper puis renverser la déforestation.C’est dans cet esprit qu'ils ont décidé d'allouer collectivement près de 3,5 milliards de dollars américains du financement précoce du climat pour 'REDD+' sur la période 2010-2012.Ils considèrent cela comme un investissement initial dans les pays en éveloppement qui proposent des plans REDD+ ambitieux et qui réalisent des réductions d’émissions avec leurs forêts selon leurs capacités. Les signataires s'engagent à amplifier leur financement par la suite en fonction des opportunités et des résultats obtenus. Ils invitent les autres donateurs les rejoindre dans cet effort pour faire de REDD+ une réalité.