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Les PME françaises veulent créer des sociétés mixtes en Algérie AFP Les PME françaises veulent créer des sociétés communes avec des entreprises algériennes pour produire en Algérie où leurs activités étaient jusque-là limitées principalement à la vente, a indiqué jeudi le président de la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME, France).
"Il y a beaucoup de parallèles à faire entre les entreprises algériennes et françaises. Nous voulons travailler ensemble. c'est le message que je voudrais délivrer aujourd'hui", a déclaré Jean-François Roubaud lors d'un point de presse à Alger. M. Roubaud s'exprimait à l'occasion de la journée de la France de la 43e Foire internationale d'Alger qui s'est ouverte mercredi pour six jours.
"Il y a de très fortes potentialités (d'investissement) en Algérie mais jusque-là, on ne travaille pas du tout assez ensemble. On vient vendre des produits, puis on s'en va. Ça, c'est pas intéressant", a-t-il ajouté. "Je représente de vraies entreprises de production. Je suis venu parler de ce qu'on pourrait faire ensemble dans un but de construction, comme la création de joint-ventures ensemble. On pourrait être amené à créer des entreprises qui produiraient des machines", a précisé M. Roubaud.
Plus de 90 entreprises sont représentées cette année dans la pavillon français. L'Algérie représente, hors OCDE, le premier partenaire commercial de la France qui est le premier investisseur hors hydrocarbures, selon le responsable du service économique de l'ambassade de France à Alger, MarcBouteiller. Le volume total des échanges commerciaux entre les deux pays a atteint en 2009 environ 9 milliards d'euros, a-t-il précisé. Quelque 430 entreprises françaises sont implantées actuellement en Algérie où elles emploient plus de 35.OOO personnes, selon la même source.
Presque tous les États se sontprononcés pour le droit à l’eau 190 États se sont prononcés officiellement au cours des dernières années en faveur du droit à l’eau dans le cadre de conventions ou de déclarations au niveau ministériel.Il s’agit de 139 pays en développement et de 51 autres États. Il existe peu de sujets sur lesquels une telle majorité se soit dégagée.La reconnaissance internationale de ce droit a été empêchée dans les Forums précédents par le fait que quelques pays ont fait jouer leur droit de veto sur des textes qui s’ils avaient été adoptés, ne les auraient de toute manière pas engagés ni juridiquement, ni politiquement. État des lieux : Dès 1994, 177 États avaient adopté par consensus dans le cadre d’une conférence internationale organisée par l’ONU la Déclaration du Caire selon laquelle : “Les individus ont droit à un niveau de vie suffisant pour eux-mêmes et leur famille, y compris une alimentation, des vêtements, un logement, un approvisionnement en eau et un système d’assainissement adéquats.” Le droit à un niveau de vie suffisant auquel il est fait référence est le droit économique et social de l’Art. 11 du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels qui lie 160 États. L’obligation pour les États d’assurerl’accès à l’eau est également inscrit dans deux conventions mondiales ratifiées par presque tous les États. Au niveau régional, l’accès à l’eau figure explicitement parmi les droits de l’homme protégés par trois conventions régionales sur les droits de l’homme (San Salvador, Addis Abeba, Ligue arabe). En Europe, l’accès à l’eau potable et à l’assainissement est une obligation à charge des États au titre du Protocole Eau et Santé (Londres 1999). Au sein de l’Union européenne (27 États), les États ont des obligations l’assainissement (directive sur les eaux résiduaires urbaines). Le Parlement européen comme l’Assemblée parlementaire se sont prononcés en faveur de la reconnaissance du droit à l’eau. Au sein du Conseil de l’Europe (47 États), le Conseil des Ministres a adopté une recommandation soutenant le droit à l’eau.En Afrique, les États du bassin du Niger et du Sénégal ont souscrit au droit à l’eau dans des conventions régionales et deux conventions panafricaines soutiennent le droit à l’eau (Alger, Maputo).Le droit à l’eau et à l’assainissement a également été reconnu dans les déclarations de nombreuses réunions internationales au niveau des chefs d’Etat ou des ministres. Il s’agissait notamment de réunions organisées par des pays en développement (Partie A) ou de réunionsorganisées dans d’autres enceintes (Partie B). L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté en 1999 une Résolution dans laquelle elle se prononce pour le droit à l’eau. Partie A1 : États en développement non alignés (117 États) Le Groupe des Pays Non alignés (liste ci-dessous) a formellement reconnu le droit à l’eau dans les déclarations de ses Sommets de La Havane (2006) et de Sharm El Sheik (2009).Parmi eux, certains États sont également parties à la Déclaration d’Abuja (2006), de Beppu (2008), de Delhi (Sacosan, 2008) ou d’Istanbul (2009) en faveur du droit à l’eau.Les lettres A, B, F, Sac, signalent les États qui sont également parties à la Déclaration d’Abuja (2006), de Beppu (2008), de Delhi (Sacosan, 2008) ou d’Istanbul (2009). Les lettres LA, CN, SS signalent le soutien àla Charte des droits de l’homme de la Ligue Arabe, à la Charte du Niger ou au Protocole de San Salvador. Pays non alignés : Afghanistan, F, Sac, Afrique du Sud, A, Algérie, A, LA, Angola, A, Antigua-et-Barbuda, Arabie saoudite, Bahamas, Bahreïn, LA, Bangladesh, F, Sac, Barbade, Belarus, P, Belize, Bénin, A, F, CN, Bhoutan, B, Sac, Bolivie, A, F, SS, Botswana, A Brunei Darussalam, B, Burundi, A, Burkina Faso, A, CN, Cambodge, B, Cameroun, A, F, CN, Cap-Vert, A, Chili, A, F, Colombie, A, SS, Comores, A, Congo, A, Côte d’Ivoire, A, CN, Cuba, F, Djibouti, A, Dominique, Égypte, A, Émirats arabes unis, F, LA, Équateur, A, F, SS,Érythrée, A, Éthiopie, A, F, Gabon, A, Gambie,A, Ghana, A, Grenade, Guatemala, F, SS, Guinée, A, CN, Guinée Bissau, A, Guinée équatoriale, A, Guyana, A, Haïti, Honduras, F, Inde, B, Sac, Indonésie, B, Iran, B, Iraq, Jamahiriya arabe libyenne, A, LA Jamaïque, Jordanie, LA, Kenya, A, Koweït, Lesotho, A, Liban, Libéria, A, Madagascar, A, Malaisie, Malawi, A, Maldives, Sac, Mali, A, CN, Maroc, F, Maurice, A Mauritanie, A, Mongolie, B, Mozambique, A, Myanmar, B, Namibie, A, F, Népal, B, Sac,Nicaragua, Niger, A, F, CN, Nigéria, A, F, CN, Oman, Ouganda, A, Ouzbékistan, B, Pakistan, Sac, Palestine, LA, Panama, F, SS, Papouasie Nouvelle-Guinée, B, Pérou, A, SS, Philippines, B, Qatar, LA, République arabe syrienne, LA, République centrafricaine, A, République démocratique du Congo, A, République démocratique populaire du Laos, B, République dominicaine, République populaire démocratique de Corée,Rwanda, A, Saint-Kitts-Et-Nevis, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et Grenadines, Sao Tomé-et-Principe, A, Sénégal, A, F, Seychelles, A, Sierra Leone, A, Singapour, B, Somalie, A, Soudan, A, Sri Lanka, B, F, Sac, Suriname, A, SS, Swaziland, A, Tanzanie, A, Tchad, A, F, CN,Timor-Leste, Togo, A, Trinité-et-Tobago, Tunisie, A, LA, Turkménistan, Vanuatu, Venezuela, A, F, Viet Nam, Yémen, LA, Zambie, A, Zimbabwe, APartie A2. Autres États en développement (22 Etats)Les États en développement suivants n’ont pas signé la Déclaration de Sharm el Sheik (2009) mais ont adopté la déclaration de Beppu (B), d’Abuja (A) ou d’Istanbul (F) (2009) en faveur du droit à l’eau ou ont ratifié le Protocole de San Salvador (SS) Argentine A, SS, Brésil A, SS, Chine, B, Costa Rica, SS, Îles Cook, B, Îles Fiji, B, Kazakhstan, B, Kiribati,B, République Kirghize, B, Îles Marshall, B, Mexique, SS, Micronésie, B, Nauru, B, Niue, B, Palau, B, Paraguay, A, F, Le Salvador, SS, Samoa, B, Tadjikistan, B, Thaïlande, B, Tuvalu, B, Uruguay A,F, SS. Partie B1. Etats du Conseil de l’Europe (47 Etats) Les États Membres du Conseil de l’Europe ont adopté en 2002 une Recommandation soutenant le droit à l’eau et la plupart d’entre eux (marqués *) ont soutenu la Déclaration de l’Union européenne du 22 mars 2010 et/ou ratifié le Protocole de Londres (P) : Albanie*, P, Allemagne*, P, Andorre, Arménie*, B, Autriche*, Azerbaïdjan, B,P, Belgique*, P, Bosnie-Herzégovine*, Bulgarie*, Croatie*, P, Chypre*, Danemark*, Espagne*, F, P Estonie*, P Finlande*, P France*, P Géorgie*, Grèce*, Hongrie*, P, Irlande*, Islande*, Italie*, Lettonie*, P, Liechtenstein*, Lituanie*, P, Luxembourg*, P, Anc. Rép. yougoslave de Macédoine*, Malte*, Moldavie *, P, Monaco, Monténégro* Norvège* P Pays-Bas* ; P Pologne * ; P Portugal* ; PRoumanie*, P, Royaume-Uni*, Russie, P, Saint-Marin, Serbie *, Slovaquie*, P, Slovénie*, Suède*, Suisse, P, République tchèque*, P, Turquie (la position de la Turquie est ambiguë) Ukraine*, P Vatican. Partie B2 . Autres Etats (4) Les États suivants ont adopté la déclaration de Beppu en faveur du droit à l’eau : Australie, Corée, Japon, Nouvelle-Zélande NB :a) Trois États de cette liste de 190 États ont parfois pris des positions contre le droit à l’eau alors qu’ils avaient apporté leur soutien dans d’autres forums.b) La liste ci-dessus ne compte pas le Canada et les États-Unis qui se sont exprimés contre ce droit, ni Israël et les Îles Salomon pour lesquels aucune information n’est disponible. Annexe Déclarations et conventions sur le droit à l’eau (par date) Protocole additionnel à la Convention américaine sur les droits de l’homme dans le domaine des droits économiques, sociaux et culturels (Protocole de San Salvador,1988) “Chacun a droit de vivre dans un environnement sain et d’avoir accès aux services publics de base”. Protocole Eau et Santé (Londres, 1999) “Les Parties prennent toutes les mesures appropriées pour assurer : 1) Un approvisionnement adéquat en eau potable salubre, 2) Un assainissement adéquat ” (Art. 4.2). Assemblée générale des Nations unies (1999) La résolution A/ RES/ 54/175 déclare que “le droit à la nourriture et à l’eau potable étant un droit fondamental…”Conseil de l’Europe (2001). Recommandation (Rec (2001)14) du Conseil des Ministres “Toute personne a le droit de disposer d’une quantité d’eau suffisante pour satisfaire ses besoins essentiels”. Charte arabe des droits de l’homme (2004). Cette Charte se réfère au droit de toute personne aux “services” et fait référence explicite à l’eau potable et l’assainissement. Déclaration du Sommet des Non alignés de La Havane (2006) “The Ministers…acknowledged the right to water for all.” Déclaration d’Abuja 2006) “We shall promote the right of our citizens to have access to clean and safe water and sanitation within our respective jurisdictions.” Déclaration de Beppu (2008) “We, the leaders of the Asia-Pacific, do hereby agree to recognise the people’s right to safe drinking water and basic sanitation as a basic human right and a fundamental aspect of human security.” Déclaration de Delhi (SACOSAN III) (2008) “We, the Heads of Delegations from Afghanistan, Bangladesh, Bhutan, India, Maldives, Nepal, Pakistan and Sri Lanka, recognise that : access to sanitation and safe drinking water is a basic right, and according national priority to sanitation is imperative”. Résolution du Parlement européen du 12 mars 2009 sur l’eau “L’accès à l’eau potable devrait être un droit fondamental et universel”.Résolution de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (mars 2009)“L’Assemblée souligne que l’accès à l’eau doit être reconnu comme un droit de l’homme fondamental” . Déclaration annexe d’Istanbul (mars 2009) (24 Etats) “We recognize that access to water and sanitation is a human right and we are committed to all necessary actions for the progressive implementation of this right.” Déclaration du Sommet des Non alignés de Sharm el Sheik (2009) “Les chefs d’État ou de gouvernement ont reconnu le droit à l’eau sans discrimination”. Déclaration au nom des États membres de l’Union européenne et de 14 autres États (22 mars 2010) “Tous les États ont des obligations en matière de droits de l’homme relatives à l’accès à l’eau potable, qui doit être disponible, physiquement accessible, d’un coût abordable et d’une qualité acceptable” “L’accès à l’eau potable est lié aux droits de l’homme” et “fait partie intégrante du droit à un niveau de vie suffisant” La Coalition Eau La Coalition Eau est un groupement de 29 ONG mobilisées en France et à l’international pour l’accès de tous à l’eau et à l’assainissement. La Coalition Eau : - Alerte. Pour passer des discours à l’action, la Coalition Eau mets à l’épreuve des faits les engagements des acteurs de l’eau. Elle assure une veille sur les efforts fournis par la France, l’Europe et les organismes internationaux pour atteindre l’Objectif du Millénaire pour leDéveloppement n°7, elle alerte sur les défaillances de l’aide et dénonce les incohérences, l’inactivité et les abus. - Propose. Forte de l’expérience et de la connaissance du terrain de ses membres, la Coalition Eau a pour préoccupation de partager son expertise et d’alimenter le débat sur les enjeux de l’eau, pour une aide plus importante et plus efficace. - Relie. Pour une action plus efficace, la Coalition assure une mobilisation coordonnée des acteurs du Nord et du Sud. Elle multiplie les contacts et les liens avec les réseaux militant pour l’accès à l’eau et l’assainissement, en Europe et dans le monde, pour que les voix desassociations du Sud comme du Nord soient intégrées dans les processus de décision. - Informe. La Coalition relaye les positions d’acteurs indépendants des pouvoirs publics et dénués d’intérêts privés afin de favoriser une information libre et éclairée de la situation, et de développer la pression de l’opinion publique sur les décideurs. En sont membres : Acad, Action Contre la Faim, Adede, Avsf, Ccfd, Coopération Altantique Guinée 44, Corail, Crid, Croix Rouge Française, 4D, East, eau sans frontières, Eau Vive, Enda, Green Cross France, Gred, Gret, Helen Keller International, Hydraulique Sans Frontières, Ingénieurs Sans Frontières, Initiative Développement, Les Amis de la Terre, Réseau Foi et Justice Afrique Europe, Secours Catholique, Sherpa, Solidarité Eau Europe,Toilettes du Monde, Triangle Génération Humanitaire, WWF. Contact presse :Henri Smets, Adede : 06 14 20 53 41
Algérie:Création et développement des PME-PMI - Messahel - «L'Algérie doit s'imprégner de l'expérience italienne
Salah Benreguia
Les avis des différents participants au deuxième jour de la rencontre algéro-italienne sur le développement des PME-PMI, tenue hier à Djenane El Mithak (Alger) convergent vers un seul point : l'Algérie doit bénéficier de la riche expérience italienne dans le développement des petites et moyennes entreprises. L'Algérie, dont l'un des objectifs fixés est la création de plusieurs milliers de PME, a un grand intérêt à mettre à profit les concepts, mécanismes et méthodes mis en place par les Italiens pour développer ce segment. GA_googleFillSlot( "AllAfrica_Story_InsetB" ); D'autant qu'au niveau politique et diplomatique les relations entre les deux pays sont excellentes. L'intervention du ministre délégué chargé des affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, lors de cette rencontre, va dans ce sens. «L'Algérie devrait s'imprégner de l'expérience et du savoir-faire italiens en la matière en raison du rôle important de cette catégorie d'entreprises dans la croissance économique et la résorption du chômage. Le modèle italien de développement du secteur de la PME est, en effet, un cas singulier dans le monde puisqu'il contribue à 65% de la richesse du pays», a-t-il indiqué. La même source a rappelé que le traité d'amitié et de bon voisinage signé entre l'Algérie et l'Italie en 2002 a réussi à insuffler une dynamique nouvelle à leur coopération bilatérale. GA_googleFillSlot( "AllAfrica_Story_InsetC" ); Dans ce sillage, le ministre de la PME et de l'Artisanat, M. Mustapha Benbada, a qualifié, dans son allocution d'ouverture, l'Italie de partenaire «important et favori» pour le secteur des PME/PMI en Algérie, rappelant la signature d'un mémorandum d'entente entre les deux pays dans ce secteur. Indiquant que ce dernier a bénéficié d'une politique d'appui et de soutien, et ce, à la faveur des réformes structurelles engagées par l'Algérie depuis la fin des années 1980, M. Benbada a cité à l'assistance, composée de parlementaires et d'experts, les différents dispositifs et programmes visant le développement, tous azimuts, des PME. «Le secteur des PME a été retenu comme un axe principal de la coopération bilatérale et un outil devant assurer la participation des entreprises italiennes au développement et à la diversification de l'économie nationale», a-t-il ajouté.Le ministre a également fait savoir que le projet de création et de développement de la filière lait et dérivés, qui sera mené à titre d'opération pilote avec la région d'Ombrie, s'inscrit dans la stratégie de développement du secteur des PME. De son côté, la secrétaire d'Etat italienne aux Affaires étrangères, Mme Stefania Craxi, a salué l'intérêt particulier que porte l'Algérie au secteur des PME/PMI et les efforts déployés pour développer ces entreprises. «Cette rencontre offre l'opportunité de réfléchir sur les voies et moyens pour mieux définir le cadre juridique relatif aux investissements en Algérie», a-t-elle estimé, qualifiant au passage l'Algérie de «partenaire privilégié».
Alors que s’ouvrent les discussions préparatoires au 6e Forum mondial de l’eau, les acteurs impliqués n’ont jamais été aussi nombreux et interviennent à de multiples niveaux. Face aux insatisfactions d’Istanbul, la faculté de l’Europe à peser sur le Forum sera un enjeu important du sommet de 2012. Nicolas Sarkozy a lancé, mercredi 2 juin, la préparation du 6e Forum mondial de l’eau qui aura lieu à Marseille en 2012. Il a appelé à expérimenter « un processus de concertation autour de l’eau entièrement nouveau, ouvert sur toutes les parties prenantes, à l’image de ce qu’a été en France, le Grenelle de l’environnement, rassemblant les ONG, les collectivités, les entreprises, les syndicats et les Etats. » Interrogée par EurActiv.fr, la directrice de l'eau et de la biodiversité à la direction générale de l'aménagement, du logement et de la nature du ministère de l'Ecologie et membre du comité du Forum international, Odile Gauthier, confirme la nécessité d’un engagement multi-niveaux. Au delà de cette coopération, elle évoque le rôle de l'Europe dans la prochaine édition du forum. Pour qu’un « processus régional significatif » puisse émerger et peser dans les discussions, « la grande Europe et pas seulement l’Union Européenne » doit travailler ensemble. Aucune mention de l’Europe n’a pourtant été faite par Nicolas Sarkozy dans son discours. Aujourd'hui, la Commission européenne est focalisée sur la mise en œuvre de sa directive-cadre. Néanmoins, l’institution développe un intérêt croissant pour le lien entre l’eau et le développement ainsi que la santé dans le monde, thèmes chers au Conseil mondial de l’eau, explique Odile Gauthier. La France, en tant que pays d’accueil du Forum, pourrait être le leader du mouvement européen même s'il ne s’agit pas de « monopoliser l’ensemble de ce processus », ajoute-t-elle, mais de collaborer avec d’autres acteurs européens. Elle estime que les Néerlandais, très impliqués dans l’Association européenne de l’eau et les acteurs d’Europe de l’Est feraient de bons partenaires dans cette optique. Le président français a confirmé la volonté de la France de conduire les discussions en promettant que la question de l’eau serait « au cœur des discussions » lorsque la France présidera le G8 et le G20 en 2011. CALENDRIER 3-4 mai 2010 : Réunions préparatoires du Forum mondial de l’eau à Marseille. 2011 : Evènements préparatoires en vue du Forum mondial de l’eau et de « Rio+20 ». Mars 2012 : 6e Forum mondial de l’eau à Marseille. Courant 2012 : Sommet « Rio + 20 », deux décennies après la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement dans la ville brésilienne. Maël Dancette
plus d'un mois maintenant, le pétrole continue de se déverser dans le golfe du Mexique et ce malgré toutes les tentatives du groupe pétrolier BP de le contenir. La nappe de pétrole qui s'étend davantage chaque jour a quasiment triplé de taille pour atteindre à ce jour 24.400 km2, soit la superficie de la Sardaigne, révèle une étude de l'Université de Miami. Cette donnée se base sur des images satellites prises pendant douze heures d'affilées par le "Center for Southeastern Tropical Remote Sensing" (CSTARS). Les experts gouvernementaux estiment eux qu'entre 72 et 113 millions de litres de brut se sont déjà répandus dans la mer, depuis le début de la catastrophe. De son côté, le pétrolier BP aurait déjà dépensé 990 millions de dollars pour tenter de colmater la fuite et de réparer les dégâts collatéraux. Alors que le cours de bourse de BP dévissait mardi de 13,10% (-37% depuis l'explosion de la plate-forme, le 22 avril), le groupe Crédit Suisse indiquait qu'entre 4 et 10 milliards pourraient être nécessaires pour nettoyer les zones souillées. Mais BP a des ressources, pour la seule année 2009, la compagnie a réalisé 17 milliards d'euros de bénéfice net !Pour finir, les Etats-Unis ont ouvert une enquête judiciaire au civil et au pénal pour faire toute la lumière sur cette catastrophe sans précédent.
Algérie-Suède-Rép.tchèque : M. Benmeradi évoque la coopération économique avec des responsables suédois et tchèque
Le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion des investissements, M. Mohamed Benmeradi, a examiné hier successivement avec la ministre suédoise du Commerce, Mme Ewa Bjorling, et le vice-ministre tchèque de l'Industrie et du Commerce, M. Milan Hovorka, les moyens de renforcer la coopération économique de l'Algérie avec ces pays, a indiqué le ministère dans un communiqué.L'entretien avec la partie suédoise a porté sur "la nécessité de développer la coopération économique entre les deux pays, qui est en deçà du niveau des relations bilatérales excellentes au plan politique", a précise le communiqué. M. Benmeradi a exprimé "l'entière disponibilité de l'Algérie pour relancer cette coopération dans divers domaines, notamment dans l'industrie et la promotion des investissements", selon la même source.M. Benmeradi a fait savoir à son hôte suédois que l'Algérie souhaitait une participation suédoise au plan quinquennal de développement économique 2010-2014 "principalement dans les industries mécaniques, pharmaceutiques et la téléphonie".Le ministre a tenu à souligner que l'Algérie "va faciliter davantage l'implication des entreprises suédoises, appelées à établir des partenariats mutuellement bénéfiques avec leurs homologues algériennes", ajoute le ministère.M. Benmeradi a également fait part de la disponibilité de la partie algérienne à coopérer avec la Suède "plus particulièrement dans la normalisation et la mise à niveau des entreprises" dans le but de permettre aux entreprises nationales "d'améliorer leur compétitivité sur les marchés locaux et mondiaux et d'atteindre les standards internationaux". Pour sa part, la ministre suédoise du Commerce a exprimé "son souhait d'explorer les opportunités de partenariat dans les domaines cités, mais aussi dans l'agroalimentaire, les technologies vertes et la construction de villes répondant aux normes de l'environnement propre, domaine où la Suède dispose d'une forte expertise".Avec le vice-ministre tchèque de l'Industrie et du Commerce, M. Benmeradi a évoqué la nécessité "d'encourager les entreprises des deux pays, qui doivent avec l'aide des deux gouvernements explorer les opportunités existantes et tirer profit des potentiels industriels algérien et tchèque, pouvant mener à la concrétisation de projets de partenariat".Pour sa part, le vice-ministre tchèque a proposé d'inviter les entreprises des deux pays à explorer les possibilités de coopération dans la mécanique, les technologies vertes, l'assainissement des eaux et l'énergie.Selon le communiqué, M. Hovorka a par ailleurs "exprimé la volonté du gouvernement tchèque de soutenir l'Algérie dans ses négociations visant son adhésion à l'Organisation mondiale du commerce".
http://videos.tf1.fr/infos/2010/l-enfance-d-obama-bientot-au-cinema-en-indonesie-5868751.html Résumé : Un film faisant revivre l'enfance de Barack Obama à Jakarta est actuellement en préparation en Indonésie pour une sortie programmée lors de la visite du président américain en juin dans l'archipel. Damien Dematra a indiqué que le film était basé sur son livre à succès, "Obama Menteng Anak", "Obama l'enfant de Menteng", du nom du quartier où a vécu le futur président entre 1967 et 1971 après le remariage de sa mère avec un Indonésien. Le film de 100 minutes sera tourné en deux semaines, d'ici la fin du mois, afin d'être prêt pour la visite d'Obama, prévue courant juin après avoir été reportée en mars. Le président américain est très populaire en Indonésie, le pays musulman le plus peuplé au monde, depuis son élection en 2008. "Le film est basé sur des événements réels", a indiqué Damien Dematra, en indiquant espérer que "les jeunes en Indonésie et dans le reste du monde soient inspirés par Obama et n'aient pas peur des différences".
Energie renouvelables : le rapprochement chercheurs-opérateurs, souligné à Laghouat Les participants au 1er salon des énergies renouvelables ont insisté, à l’issue de leurs travaux mercredi à Laghouat, sur le nécessaire rapprochement entre les chercheurs académiciens et le secteur économique, public et privé, versé dans le domaine des énergies renouvelables. Ils ont prôné l’examen des voies susceptibles de dépasser le cadre théorique en matière d’énergies renouvelables pour s’orienter vers les recherches d’application, et d’actualiser les programmes en projet pour les mettre au diapason des nouvelles technologies. L’accent a, par ailleurs, été mis sur le nécessaire respect des délais d’exécution des différents programmes, dans leurs différentes phases, une des contraintes à laquelle se heurte la mise en œuvre de la stratégie nationale dans le domaine des énergies renouvelables. Les participants ont, en outre, appelé à éviter les opérations conjoncturelles et de faible capacité, et de projeter des opérations sur le long terme, en leur mobilisant, à la faveur d’études préalables approfondies, tous les moyens, humains et financiers nécessaires. L’encouragement et le développement qualitatif de cette filière de technologies, le renforcement des équipes de recherches universitaires, l’adoption de mécanismes rigoureux pour le suivi scientifique continu, ont également été recommandés lors de ce salon de deux jours dédié aux énergies renouvelables. Le directeur du centre national de développement des énergies renouvelables (CNDER) a convié les responsables de l’université de Laghouat à prévoir des filières scientifiques adaptées à la région, en vue de promouvoir cet établissement universitaire en ’’pôle d’excellence’’ assurant une formation de qualité. M. Belhamel Mâayouf a, dans ce cadre, annoncé le renforcement des laboratoires des énergies renouvelables à travers le pays par un réseau de données actualisées en permanence, en vue de leur permettre d’échanger les informations sur les avancées scientifiques dans le domaine et de développer leurs recherches. Initiée par l’université Amar Tlidji de Laghouat en coordination avec le CNDER, ce salon s’est déroulé en présence de chercheurs universitaires et de représentants d’entreprises nationales concernées par les énergies renouvelables. La rencontre a été marquée par la tenue de diverses activités, notamment une exposition sur les produits d’entreprises spécialisées, les mécanismes de soutien à l’investissement préconisés au profit des jeunes pour le montage de micro-entreprises, une visite à la station électrique hybride de Tilghemt (Hassi Rmel), ainsi que l’animation de communications et ateliers. APS
Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES Batna : les 6e journées de l’environnement insistent sur le droit des générations futures à un environnement sain Les participants aux 6e journées scientifiques nationales sur l’environnement et le développement durable ont insisté, mercredi à l’université Hadj-Lakhdar de Batna, sur "le droit des générations futures à un environnement sain". Initiée par l’institut d’hygiène et de sécurité industrielle de l’université, de concert avec le laboratoire de recherche sur la sécurité industrielle, la rencontre qui a réuni des chercheurs des différentes universités du pays, a mis l’accent sur "la responsabilité incombant à tous" dans la protection de l’environnement. Abdelkader El-Aydoun, de l’institut d’hygiène et de sécurité industrielle, a souligné dans ce contexte le rôle de l’université dans la résolution des problèmes liés à la pollution, notamment industrielle, et le développement de "procédés moins ou pas du tout pollueurs". Il a estimé à ce propos que les universités algériennes renferment des chercheurs compétents capables de contribuer effectivement à réduire et atténuer les effets polluants de l’industrie et l’exploitation abusive des ressources naturelles dont l’eau et le sol. Pour le président du comité scientifique de ces journées, le Dr. Noureddine Bourmada, ce rendez-vous offre aux acteurs économiques la possibilité de se rencontrer et d’échanger des expériences, et permet aussi d’évaluer les orientations actuelles de la recherche universitaire et du secteur industriel, tout en faisant le point sur l’évolution du cadre juridique lié à la protection de l’environnement. Les intervenants ont unanimement souligné que l’élément central dans la préservation de l’environnement est l’homme dont le comportement et la sensibilité au sujet de cette question doivent changer par l’intensification des actions de sensibilisation et le développement du mouvement associatif. Ils ont également plaidé pour un recours plus large aux énergies renouvelables et la recherche constante de produits moins polluants afin de réduire l’action néfaste de l’homme sur son environnement. Créé en 1980, l’institut d’hygiène et de sécurité industrielle de l’université de Batna est le seul du genre à l’échelle nationale. Selon ses responsables, la politique de formation de cet institut est essentiellement basée sur la demande dans le cadre d’une démarche d’ouverture sur l’environnement industriel et social. APS\
Le consortium Transgreen a officiellement été présenté au Caire la semaine dernière dans le cadre d’une réunion des ministres de l’énergie des 43 pays membres de l’Union pour la Méditerranée. Ce consortium qui devrait associer à terme onze entreprises européennes construira un réseau sous-marin de transport de l’électricité d’origine photovoltaïque produite en Afrique vers l’Europe. Le projet de création du consortium français Transgreen a officiellement été présenté dans le cadre de la réunion des ministres de l’énergie de l’Union pour la Méditerranée qui s’est déroulée la semaine dernière au Caire. Ce projet qui s’inscrit dans le cadre du Plan Solaire pour la Méditerranée (PSM) dont les fondements ont été posés fin 2008 consiste à développer une infrastructure de transport de l’électricité entre l’Afrique et l’Europe. La filiale d’EDF Réseau transport d’électricité, le fabricant de câbles électriques Nexans et l’industriel allemand Siemens sont les premiers membres de ce consortium qui intéresse aussi huit autres entreprises européennes : EDF, Areva, Prysmian, Veolia, Atos Origin, la Caisse des Dépôts, TERNA, et Abengoa. Du courant continu sous la Méditerranée Concrètement, il s’agira de relier les deux rives de la Méditerranée grâce à des câbles sous-marins . Actuellement, l’Afrique et l’Europe sont reliées via le détroit de Gibraltar par une double ligne de courant alternatif de 1.400 mégawatts. Le PSM prévoit la mise en place en Afrique d’ici à 2020 d’une capacité de production d’électricité photovoltaïque de 20 gigawatts. 5 GW seraient exportés vers l’Europe ce qui nécessite la construction d’une infrastructure appropriée fonctionnant en courant continu. "Les investissements sur les projets d’énergie solaire dans la zone de l’Union pour la Méditerranée ne pourront éclore et se développer que s’ils s’accompagnent de nouvelles infrastructures de transport et d’interconnexion reliant les sites de production entre eux et vers l’Europe", a expliqué Transgreen, dans un communiqué. Exploiter le potentiel solaire de l’Afrique La réalisation de cette infrastructure est présentée comme complémentaire au projet allemand Désertec qui regroupe 17 entreprises et dont l’objectif est de créer au Maghreb et au Moyen-Orient un réseau de centrales électriques photovoltaïques et de fermes éoliennes capables d’assurer d’ici à 2050 15% des approvisionnements en électricité de l’Europe. Le montant de l’investissement nécessaire à la réalisation de Désertec a été estimé à 400 Md€. Actuellement, la part des énergies renouvelables dans les pays du pourtour méditerranéen reste très faible et entre pour seulement 4% dans le bilan énergétique de la région qui bénéficie pourtant de conditions d’ensoleillement exceptionnelles. 3 juin 2010, Pierre Magnetto
Clôture, lundi soir, du festival culturel européen à Alger : Ambiance roots avec Gaâda Diwan Béchar Le peuple diwan était sur un nuage, lundi soir, à l’Agora de Riadh El Feth à Alger. Cette soirée chaude de fin de printemps rassemblait tous les fans de Gaâda Diwan Béchar, invité par la délégation de l’Union européenne à Alger pour clôturer le 11e Festival européen. Pour une fois, les organisateurs ont évité l’espace réduit de la salle Ibn Zeydoun pour accueillir le spectacle final. Les étages du complexe étaient pris d’assaut par les jeunes amateurs de la musique diwan. Certains se sont mis aux couleurs supposées de cet art roots : chèches, gandouras, tuniques, sandales... Enfin, tout « l’arsenal » d’un gnawi trendy ! Un service d’ordre peu élégant a tenté de canaliser les foules de danseurs. Certains policiers se sont même reconvertis en « videurs » de discothèque, empêchant les jeunes de s’amuser comme si les présents étaient venus pour assister à une conférence sur la philosophie du silence ! Les neuf membres de Gaâda Diwan Béchar ont interprété trois extraits de leur nouvel album en cours de préparation. « Il s’agit de morceaux inédits tels que Dhib el ghaba et Mousaney en targui. Il y a également une qacida. L’album devra sortir l’hiver prochain », nous a déclaré Abdellati Laoufi, leader du groupe. Aïcha Lebga a interprété une chanson de l’Ahelil du Gourara, sa région natale. L’Ahelil fait partie du patrimoine universel de l’Unesco. Le public a entièrement adhéré aux rythmes d’autres titres du groupe tels que Amine, Goumari et Hamouda. Pour Laura Baeza Giralt, chef de la Délégation européenne, l’édition 2011 du Festival européen a été une réussite. « Il y a une grande affluence à toutes les manifestations, danse moderne, jazz, cinéma. Tous les jours la salle était pleine. Le choix s’est porté sur l’Agora parce que nous voulions que le maximum de personnes assistent à la soirée de clôture. Nous pensons à changer le format l’année prochaine et essayer de trouver des salles plus vastes », nous-t-elle expliqué. « Ce genre de manifestation coûte cher. Nous payons la location de la salle, et les Etats membres la prise en charge des artistes. Nous passons par une période de restrictions budgétaires », a-t-elle ajouté. Laura Baeza Giralt a annoncé la publication, pour bientôt, d’un ouvrage regroupant toutes les interventions des romanciers et poètes qui ont participé en 2009 à la rencontre à Alger des écrivains algériens et européens sur « Le dialogue interculturel ». « Nous allons reproduire cette expérience en automne avec une rencontre à Alger sur les femmes qui écrivent », a-t-elle précisé. La Délégation européenne projette également d’organiser une résidence de photographes algériens et européens à Alger. « Ils vont faire des photos ensemble sur le patrimoine. Des photos qui seront exposées en 2011 dans un grand musée algérien », a déclaré Laura Baeza Giralt. Par Fayçal Métaoui
Nécessité d’ancrer la culture de l’éducation environnementale en Algérie Jijel Algérie – Une prise de conscience des problèmes de l’environnement commence â être une « réalité » pour asseoir une culture de l’éducation environnementale à tous les niveaux dans le pays, ont indiqué, mardi à Jijel, des responsables de l’environnement et des forêts. Ceux-ci s’exprimaient en marge d’un séminaire de formation en éducation environnementale, organisé par le parc national de Taza (PNT-Jijel). « L’environnement doit devenir l’affaire de tous et non plus seulement celle des experts ou des décideurs », a souligné M. Ali Mahmoudi, conservateur du Parc national de Gouraya (Bejaia), qui participe à un séminaire de trois jours animé par deux représentants du Fonds mondial de la Nature (WWF), rappelant que l’Algérie a « pris à bras le corps » ce problème notamment depuis la création de parcs nationaux dans les années 80. source: APS
Festival de théâtre de marionnettes: « Boustane Aziza Bent Soltane » ouvre le bal à Ain Temouchent AIN TEMOUCHENT – La pièce « Aziza Bent Soltane » de la troupe de théâtre de marionnettes « El Asnamia » des arts dramatiques de Chlef a ouvert mercredi le bal des représentations sélectionnées au concours de la 4e édition du festival national de théâtre de marionnettes (FNTM) d’Ain Temouchent.Devant une salle de la maison de la culture comble d’enfants tout conquis par le spectacle, l’auteur et réalisateur de la pièce, Damou Bounaama, a mis tout son savoir faire pour faire ressortir l’importance de la préservation de la « Amana » (la probité). Cette valeur a permis au Sultan de guérir sa fille Aziza atteinte d’une maladie très grave, après avoir senti une rose vénéneuse reçue comme cadeau d’une sorcière. source: APS
La 43e édition de la Foire internationale d'Alger (FIA), a été inaugurée officiellement, hier, sous le thème «Algérie : des opportunités d'investissement stratégiques», au Palais des expositions des Pins maritimes à Alger. Cette manifestation qui durera 06 jours, regroupera environ 393 firmes algériennes et 841 firmes étrangères activant dans différents domaines. La cérémonie officielle a été présidée par le Premier ministre Ahmed Ouyahia, en présence des autorités algériennes et des representants du corps diplomatique accredité en Algérie.Lors de cette inauguration, M. Ahmed Ouyahia a indiqué que l'objectif attendu de cette manifestation est de renforcer les ambitions de notre économie nationale. «Les relations avec nos principaux partenaires étrangers ont longtemps été, et demeurent pour une grande partie, caractérisées par des relations économiques et commerciales, cette occasion nous permettra aussi de renforcer ce domaine et le rendre plus fructueux».Le Premier ministre a rappelé dans ce contexte, que ces ambitions rentrent dans le cadre du programe quinquennal du président de la République, privilégiant le renforcement des relations commerciales et économiques avec nos différents partenaires dans le cadre de la réciprocité.De son côté, Mustapha Benbada, ministre du Commerce, en marge de l'inauguration, a déclaré que cet événement ambitionne de cibler un apport d'investissements directs et durables en matière de commerce, «Cette année, la participation des firmes algériennes et étrangères est plus importante d'autant que le thème qui portera sur les opportunités d'investissements stratégiques renseigne sur les ambitions pour un développement consistant dans tout les domaines», a t-il précisé. Il a tenu à affirmer que «l'Algérie a toujours connu une évolution remarquable dans ces salons, témoin le nombre des firmes présentes à Alger cette année, en nette progression».Il convient de rappeler que cette année la participation étrangère est encore plus consistante que l'année passée en terme de surfaces d'exposition. Certains pays, absents depuis longtemps , reviennent à la FIA comme le Yemen et le groupe des pays arabes dont nous enregistrons le nombre le plus important depuis des années avec 9 participants.Mehdi Isikioune 03-06-2010
Chlef : 60 milliards pour le renouvellement des réseaux d’AEP et d’assainissement La commune de Chettia vient de bénéficier d’une enveloppe financière estimée à 60 milliards de centimes, destinée à la rénovation des différents réseaux d’alimentation en eau potable et d’assainissement dans les quartiers de la commune. On rappelle qu’elle est classée le deuxième après le chef-lieu de wilaya avec plus de 100 000 habitants. En effet, cette dernière accuse divers carences, qui se répercutent sur le quotidien du citoyen. Les réseaux sont vétustes et remonte au lendemain du séisme d’El Asnam qui a dévasté la wilaya en 1980. L’aménagement des rues et des artères de tous les quartiers de la commune est également programmée. Amel Korchi
L'éducation environnementale est actuellement une priorité et cela passe par la multiplication des clubs verts. Ainsi, la 5e édition du salon national de l'environnement et des clubs verts des jeunes s'est ouverte, mardi, à Boumerdès, en présence du ministre de la Jeunesse et des sports, Hachemi Djiar. "Cette manifestation vise à sensibiliser la jeunesse sur l'importance de leur contribution à la préservation de l'environnement", a indiqué M. Djiar dans une allocution inaugurale du salon. Plus de 200 jeunes, issus des d'éliminatoires de 37 wilayas des différents clubs écologiques et verts prennent part à cette édition nationale qui se poursuivra jusqu'au 5 juin prochain, selon les organisateurs. Diverses expositions de photos, dessins, travaux manuels et autres innovations traitant tous de thèmes liés à l'environnement, ont marqué la première journée de cet événement national. Ce salon a également donné lieu à la mise en place de plusieurs ateliers, dont les participants ont été conviés à consigner toutes leurs propositions et idées sur le sujet du salon dans un mémoire qui sera soumis à un jury, en vue de la sélection du meilleur atelier. Le programme de cette manifestation, organisée pour la 3e fois par la direction de la jeunesse et des sports de Boumerdès, englobe, en outre, des concours pour la sélection du meilleur documentaire photo sur l'environnement, ainsi que la meilleure photo et la meilleure exposition mises en compétition, dont les lauréats seront primés à la cérémonie de clôture de ce salon. Une série de conférences et de tables rondes sur le même sujet figurent au programme, qui prévoit également des projections de films vidéo et des visites guidées vers des sites archéologiques, historiques et touristiques de la wilaya au profit des participants qui prendront part à des campagnes de volontariat pour le nettoyage de plusieurs de ces sites, dont le barrage "Keddara" et la station d'épuration de l'Oued Sebaou. Des galas artistiques animés par des troupes locales amateurs et professionnelles meubleront les soirées de ce salon national, ainsi que des représentations théâtrales, selon le même programme. Les premiers lauréats des différents concours seront appelés à représenter l'Algérie dans diverses manifestations régionales et continentales qui auront pour thème, "L'environnement", ont signalé les organisateurs. R.R.
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