Wednesday, November 11, 2009
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L'Algérie aux premières loges de la capture et du stockage du CO2Le 11 novembre 2009 par Ana Lutzky
En Algérie, le gouvernement a débuté l’expérimentation dès 2001 et impose des contraintes au rejet dans l’atmosphère du CO2 provenant de ses champs d’hydrocarbures.
L’Algérie a entrepris l’un des premiers projets au monde de capture et de stockage du CO2 en milieu géologique (la Norvège étant l'autre précurseur sur ce procédé). La Sonatrach, avec l’appui de BP et Statoilhydro, y pratique l’injection de CO2 sous terre depuis 2001. Une technique exploitant les compétences des opérateurs pétroliers , encouragée par la volonté gouvernementale de limiter les rejets dans l’atmosphère depuis plusieurs années.Au départ, l’injection de CO2 a été utilisée pour prolonger la durée de vie des gisements de pétrole. Propulsé dans des réservoirs d’or noir ou de gaz en grande partie exploitée et en fin de vie, le CO2 permet de redonner une seconde vie au gisement en favorisant l’extraction des hydrocarbures résiduels. Ces applications appelées CO2 –EOR (enhanced oil recovery) permettent de récupérer de 5% à 15% supplémentaire d’hydrocarbures. Depuis d’autres débouchés sont apparus. Un site de gaz naturel peut recueillir jusqu’à 40 % de CO2. Or le gaz naturel doit être commercialisé avec moins de 2% de CO2. Les exploitants des champs algériens, riches en CO2, ont décidé d’appliquer cette technologie d’injection en milieu géologique pour stocker à très long terme le CO2 excédentaire dans des gisements vides anciens ou des aquifères profonds . « Le prix du gaz a augmenté, ce qui a permis de financer la capture du C02 », explique Bruno Gérard, fondateur de l’entreprise OXand S.A. entreprise spécialisée dans l’analyse des risques industriels et notamment ceux qui concernent les projets de CCS. Un modèle vers lequel l’ensemble de nos économies s’achemine, à travers des dispositifs tels que la taxe carbone et autres fiscalités vertes.Le nouveau modèle énergétiqueTaxer l’énergie pour noyer le coût de la capture semble en effet selon Bruno Gérard constituer le nouveau modèle financier et énergétique dévolu aux pays industrialisés. « La Grande Bretagne rouvre ses mines de charbon. L’Allemagne produit 50% d’électricité avec du charbon, avec son moratoire sur le nucléaire , elle n’a pas le choix, elle va devoir augmenter les taxes ou trouver des moyens de financer l’innovation », présume ce dernier. Des experts avancent même le « modèle » de taxe carbone suivant : le PIB mondial serait multiplié par trois d’ici 2050, le prix de l’énergie multiplié par deux, et la consommation d’énergie divisée par deux. Le parti étant que le monde entier va faire des économies d’énergies, le surcoût de la capture du C02 et de son stockage, ne compromettront pas le niveau de vie des habitants. Le budget énergétique par consommateur ne sera que peu affecté.« Je pense qu’à l’échelle de la planète, le modèle est ambitieux », réagit Bruno Gérard. « Pour les pays engagés comme l’Europe, cela a du sens. La protection de l’environnement a un prix, les innovations de réduction de CO2 sont indispensables, le modèle économique doit à la fois éviter de compromettre la croissance par des coûts supplémentaires. Il faut donc réduire la consommation d’énergie sans perdre en productivité et en confort. L’isolation des bâtiments permet de consommer deux fois moins par exemple. Ces innovations permettent de maintenir le pouvoir d’achat. C’est selon moi un des grands challenges technologiques du XXIe siècle. C’est aussi un domaine de croissance et de création d’emplois à très forte valeur ajoutée. Les éco-technologies doivent être encouragées car peu délocalisables et elles nécessitent des compétences élevées », souligne-t-il.
Algerie quelques sites et régions touristiques
L'Algérie bénéficie d'atouts naturels importants tel que ses plages en général encore à l'état sauvage, des paysages et des zones comme le Sahara algérien. L'Algérie compte 10 parcs nationaux parmi lesquels le Parc national du Tassili (100 000 ha) ou le Parc national de l’Ahaggar (Hoggar) (380 000 ha)
Les amateurs de randonnées ont accès au vastes montagnes de Kabylie. Malgré ce que l’on pense, l’Algerie dispose aussi d’un domaine skiable à Tikjda ainsi que des stations thermales.
Sur le plan architectural, on peut noter une forte influence espagnole, française ,mais aussi des œuvres plus contemporaines telles que la grande poste d’Alger. La Casbah d'Alger est également un lieu de visite classé au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1982.
Hammam Guergour ,Tipaza, Mont des Babors,Mostaganem, le Tassili du Hoggar, Djamila, Timgad, Hippone (Actuelle Annaba) ,Madaure,Taghaste, Les Aurès,
Les amateurs de randonnées ont accès au vastes montagnes de Kabylie. Malgré ce que l’on pense, l’Algerie dispose aussi d’un domaine skiable à Tikjda ainsi que des stations thermales.
Sur le plan architectural, on peut noter une forte influence espagnole, française ,mais aussi des œuvres plus contemporaines telles que la grande poste d’Alger. La Casbah d'Alger est également un lieu de visite classé au patrimoine mondial de l'UNESCO depuis 1982.
Hammam Guergour ,Tipaza, Mont des Babors,Mostaganem, le Tassili du Hoggar, Djamila, Timgad, Hippone (Actuelle Annaba) ,Madaure,Taghaste, Les Aurès,
Tebessa (antique Theveste) ,la corniche en Kabylie, Tlemcen
Algerie tourisme
L'Algérie est le deuxième pays le plus grand du continent Afrique continent et le 11e pays le plus grand au monde en termes de superficie totale.Situé en Afrique du Nord, une des principales attractions touristiques en Algérie est le Sahara, le deuxième plus grand désert au mondeQuelques dunes de sables peuvent atteindre 180 mètres de hauteur. Cet État est membre de l'(Organisation mondiale du tourisme) depuis 1976 mais le tourisme en Algérie n'en est pourtant qu'à ses débuts. Les revenus liés au tourisme ne dépassent pas les 10% du produit intérieur brut et le pays se classe au 147e rang mondial. Le secteur du tourisme en Algérie représente 3,9% du volume des exportations, 9,5% du taux des investissements productifs et 8,1% du Produit Intérieur Brut.
Un retour des étrangers, principalement un tourisme d'affinité venu de France. On note par exemple une augmentation de 20% de touristes entre 2000 et 2005. Un projet développé lors des "Assises Nationales et Internationales du Tourisme" a vu le jour prévoyant une nouvelle dynamique d'accueil et de la gestion du tourisme en Algérie. Ce projet est appelé Horizon 2025 . Les investisseurs étrangers, principalement français, sont en cours de développement pour dominer le marché d'ici à 2010 et axé principalement sur une clientèle d'affaire.. Une première campagne de publicité dédiée à l'industrie a été réalisé pour attirer les investisseurs comme la clientèle étrangères, ainsi que des mesures concrètes telles que conférences, salons professionnels ou commissions. Les principaux concurrents sont les pays du pourtour méditerranéen dont la majorité a développé une économie fortement basée dans ce secteur.
Un retour des étrangers, principalement un tourisme d'affinité venu de France. On note par exemple une augmentation de 20% de touristes entre 2000 et 2005. Un projet développé lors des "Assises Nationales et Internationales du Tourisme" a vu le jour prévoyant une nouvelle dynamique d'accueil et de la gestion du tourisme en Algérie. Ce projet est appelé Horizon 2025 . Les investisseurs étrangers, principalement français, sont en cours de développement pour dominer le marché d'ici à 2010 et axé principalement sur une clientèle d'affaire.. Une première campagne de publicité dédiée à l'industrie a été réalisé pour attirer les investisseurs comme la clientèle étrangères, ainsi que des mesures concrètes telles que conférences, salons professionnels ou commissions. Les principaux concurrents sont les pays du pourtour méditerranéen dont la majorité a développé une économie fortement basée dans ce secteur.
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Algerie les métiers à l’honneur
Les métiers à l’honneur
, Adrar abrite le Salon national «Touat» consacré à l’artisanat traditionnel. Pour mieux situer le lecteur, il serait judicieux de rappeler quelques chiffres : la wilaya compte une population qui avoisine les 320 000 habitants répartis sur 11 daïras et 28 communes. Quatre grandes zones la constituent : le Touat, le Tidikelt, le Gourara et le Tanezrouft. L’artisanat traditionnel concerne plusieurs spécialités : poterie, tapisserie, vannerie, confection de bijoux en argent, vêtements traditionnels, confection de plateaux et d’ustensiles en osier ou en palme. Tous ces artisans ont recours à un matériel puisé directement de la nature : palmiers, argile, animaux pour le cuir, et sable pour la peinture artistique. Le nombre des artisans enregistrés atteint 1 438. Cette année, 65 participants provenant de 15 wilayas sont venus exposer leurs produits. A la clôture, des récompenses seront attribuées aux trois premiers. Dans un autre contexte, 16 projets pour un montant de 1 600 000 DA sont retenus pour assurer l’épanouissement et la vulgarisation de l’artisanat traditionnel. Artisans, n’hésitez pas et percez ! Aïn Defla : valoriser les produits des jeunes promoteurs A l’occasion de la journée nationale de l’artisanat, le secrétaire général de la wilaya, représentant le wali, accompagné des membres de l’exécutif, a inauguré l’exposition, au centre Benbadis, des réalisations d’une centaine de jeunes promoteurs : (prestations de services informatiques, vannerie, production d’objets décoratifs, broderie et costumes traditionnels, poterie, pâtisseries algériennes, etc). Le souhait de ces jeunes exposants est de promouvoir leurs produits, d’un grand local et recruter des demandeurs d’emploi. Questionné, le directeur du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP) nous renseigne sur les objectifs de son secteur : «Nous avons plusieurs objectifs : favoriser l’insertion professionnelle des jeunes, encourager les actions et mesures tendant à promouvoir les jeunes à travers notamment des programmes de formation. Emploi et recrutement : nous avons retenu trois catégories : les jeunes diplômés de l’enseignement supérieur, les techniciens supérieurs issus des établissements nationaux de formation professionnelle et les jeunes sans formation ni qualification. Pour les autres emplois dans différents secteurs, nous avons 1 985 postes au niveau de Aïn Defla, 1 419 à Khemis-Miliana et 1 029 à El-Attaf. La gestion, le suivi, l’évaluation et le contrôle du dispositif sont assurés par l’ANEM, en relation avec les directions de l’emploi de la wilaya.» Notons qu’à l’occasion de cette journée 9 jeunes promoteurs ont reçu des prix d’encouragement.
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