阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

retrouver ce média sur www.ina.fr

commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, April 25, 2010

Soins de santé transfrontaliers



Madrid relance le débat sur les soins de santé transfrontaliers
[Fenêtre sur l'Europe]
Alors qu'elle figurait parmi les pays réfractaires à la proposition de directive sur les soins de transfrontaliers, l'Espagne a soumis aux ministres de la Santé réunis du 22 au 23 avril à Madrid, un document de compromis pour faire avancer les discussions.
Elle s’attaque aux principales causes qui avaient conduit le Conseil à rejeter le compromis de la présidence suédoise en décembre 2009 : la base juridique, la prise en charge des frais et l’autorisation préalable

Algerie santé publique



L’Algérie a gagné la bataille contre le paludisme
, L’Algérie a avancé à pas de géant en matière de lutte contre le paludisme, plus connu sous le nom de malaria. Tel est le constat fait par les spécialistes lors de la journée d’étude organisée par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, hier, à l’Institut national de santé publique (INSP) à l’occasion du 25 avril, Journée mondiale de lutte contre le paludisme. «La célébration de la Journée mondiale de lutte contre le paludisme est une opportunité pour l’Algérie, à l’instar de tous les autres pays, de faire le point en matière de lutte contre le paludisme. Cette maladie était en Algérie au lendemain de l’indépendance un problème de santé publique majeur puisqu’on enregistrait 20 000 à 30 000 cas/an. Grâce au programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) mis en place en 1968, on n’enregistre aujourd’hui pas plus de 200 cas annuellement, pour la majorité, des cas importés», nous a expliqué le Pr Smail Mesbah, directeur de la prévention au MSPRH. Ce programme national a permis à l’Algérie de ramener le niveau d’endémicité, à partir de l’année 1977, à des taux infimes au point où aucun décès lié à cette pathologie n’a été enregistré depuis l’année 2003. Des résultats spectaculaires, pour le moins qu’on puisse dire. Mais les spécialistes s’inquiètent toujours : «Nous savons que le risque demeure à cause des effets de la mondialisation. Le problème qui se pose maintenant c’est comment consolider et maintenir ces résultats positifs», ajoute le Pr Mesbah. Pour les prévisions 2010, certaines mesures et actions sont en vue, à savoir maintenir la surveillance épidémiologique, renforcer l’activité de dépistage hématologique et contrôler la qualité de l’examen hématologique à travers le territoire national ainsi que la mise à niveau des connaissances par la réalisation de cycles de formation et de recyclage du personnel de santé impliqué dans la lutte antipaludique. «Le MSPRH a décidé de continuer son programme en renforçant la surveillance épidémiologique, assurer un dépistage précoce des cas, prévoir une prise en charge immédiate et une enquête rapide pour maîtriser l’épidémie. L’Algérie va améliorer la prise en charge thérapeutique des cas par l’introduction des molécules telles recommandées par l’OMS», consolide le représentant du ministère en appelant tous les citoyens contraints de faire un tour dans les pays de l’Afrique subsaharienne ou l’Asie à se rendre vers les structures de santé pour avoir toutes les informations nécessaires, et aussi pour suivre un traitement préventif. A titre de rappel, le paludisme, la plus fréquente des infections parasitaires observées dans le monde et transmises par les moustiques, tue un enfant toutes les 30 secondes en Afrique et entre 1 et 3 millions de personnes par an, selon les estimations de l’OMS. Deux milliards d’individus, soit 40% de la population mondiale, sont exposés et on estime à 500 millions le nombre de cas cliniques survenant chaque année. Hidayette Bersali
26-04-2010

Algest 2010




Près d'une centaine d'exposants au rendez-vous



La première édition du Salon de sous-traitance ''Algérie sous-traitance'' (ALGEST 2010) aura lieu du 3 au 6 mai prochain au Palais des expositions (Pins Maritimes) avec la participation de 53 entreprises algériennes et 43 entreprises étrangères. Pour la participation étrangère, ce rendez-vous économique destiné aux professionnels verra la présence de 33 entreprises françaises, six entreprises espagnoles, une entreprise allemande, deux entreprises marocaines et une entreprise belge. Il est vrai que dans un contexte économique marqué par une croissance continue et un environnement assaini, le potentiel industriel algérien doit aujourd'hui se révéler afin de gagner en notoriété, rentabilité et compétitivité. Aussi, la sous-traitance dans notre pays est insuffisamment connue et mise en avant. Pour évoluer, elle doit disposer d'une manifestation de référence qui saura mieux la faire connaître, la valoriser, et l'accompagner dans son développement. C'est à cet effet que le WTC " World Trade Center Algeria " en partenariat avec la CCI française de Meurthe-et-Moselle, organisatrice du salon professionnel Proceed et de la Bourse algérienne de sous-traitance et de partenariat a décidé de créer Algest; salon dédié à la sous-traitance. En un seul lieu, une fois dans l'année, Algest se présente comme un carrefour industriel, un rendez-vous d'affaires, une vitrine économique. Durant quatre jours, ce salon associe les institutions incontournables de ce secteur à savoir les ministères, bourses, syndicats…ainsi qu'un bon nombre d'entreprises dont les domaines d'activités diffèrent mais relèvent du même domaine ;la Sous-Traitance. Plusieurs secteurs d'activité industrielle seront à l'honneur à l'image de l'industrie mécanique, l'industrie électrique et électronique, l'industrie du caoutchouc et plastique, le travail du bois, l'industrie du papier, l'industrie chimique, l'ndustrie du verre et de la céramique, les matériaux de construction, les machines et équipements, les matériaux de transport, les produits et distribution (Energie et Gaz, les services liés à l'industrie : (maintenance, formation, engineering etc ….). Pour animer ces journées, Algest sera enrichi d'ateliers et conférences-débats à même de favoriser rencontres et échanges sur l'actualité de la sous-traitance. Une occasion pour les donneurs d'ordre d'exposer aussi leurs besoins et leurs attentes . ainsi, pour sa première édition, Algest s'engage à mettre en valeur la richesse algérienne en sous-traitance industrielle, à promouvoir les savoir-faire des entreprises exposantes et participer à la valorisation de leur image, et à prendre en compte les attentes et besoins des investisseurs en général et des jeunes entrepreneurs en particulier. Durant quatre jours, ce salon offrira au public professionnel une plate-forme pour rencontrer des fournisseurs et découvrir de nouveaux produits et services, consulter des spécialistes et concrétiser des projets de partenariat dans les industries mécanique, métallique et métallurgique, des plastiques, caoutchoucs et composites, électrique et électronique, papier, verre et la céramique, machines et équipements ainsi que le transport et le TIC, expliquent les organisateurs. Selon les organisateurs, le salon"ALGEST'2010" s'inscrit dans une dynamique nationale de relance économique avec les grands chantiers du pays en matière d'infrastructures routières, ferroviaires, hydrauliques et programmes immobiliers ainsi que les projets industriels.Klilya B.

Algerie Constantine célébration du mois du patrimoine




Des pans entiers de la mémoire de la ville en proie à l'usure du temps



Avec la célébration du mois du patrimoine plusieurs manifestations sont organisées çà et là afin de dresser un état des lieux de notre patrimoine matériel et immatériel. C'est dans ce contexte justement que l'association des amis du Musée Cirta a tenu à mettre en avant les menaces qui guettent l'antique Cirta. Dans ce contexte, le président de l'association en question, M. Nacer Bennacef a souligné samedi que des pans entiers de la mémoire millénaire de Constantine sont en proie à "l'usure du temps, à l'oubli et à l'indifférence" malgré les efforts des pouvoirs publics tendant à réhabiliter le vieux bâti. Des milliards de DA et d'importantes sommes en devises ont été injectés pour en sauver les plus importants mais "nous nous sentons encore interpellés pour une intervention rapide, efficace et consciencieuse afin de sauver une bonne douzaine d'autres sites éparpillés ça et là, aussi bien à l'intérieur qu'aux alentours immédiats de la cité", a-t-il affirmé. S'exprimant en marge d'une exposition organisée dans l'ancienne Médersa du centre-ville à l'occasion du mois du patrimoine (18 avril-18 mai), le président de cette association a souligné qu'il s'agit, entre autres, de la source de Sidi-Mimoun, de la grotte sous l'hôtel de Paris, à hauteur de la Rue Ben M'hidi, des bains romains en amont des gorges du Rhumel, des inscriptions et du jardin épigraphiques de la Casbah, des grottes préhistoriques de la vieille ville d'El Ghorab et de la maison de Salah Bey (1725-1792). Hamdane Kassouri, membre de cette association a précisé, s'agissant de cette dernière bâtisse, que la maison de Salah Bey, érigée à l'entrée de Souk El Asser, "une autre valeur sûre du patrimoine de la ville", se trouve dans un "état latent d'agonie silencieuse et réclame, plus que jamais, une intervention salutaire". Les conditions de cette bâtisse, actuellement habitée, sont précaires et offrent l'image d'une négligence et d'une lente dégradation de la part de ses locataires qui ont certainement procédé à des "transformations internes malvenues et inappropriées", d'où l'urgence, a-t-il estimé, d'une intervention pour reloger ses occupants, la restaurer et en faire un monument national classé. "El Ghorab", un hameau situé à quelques encablures au nord-ouest du centre-ville et qui servait de village de détente et de villégiature du temps de Salah Bey, était, jusqu'à un passé récent, particulièrement apprécié par les Constantinois qui le visitaient régulièrement, s'y imprégnant de sa splendeur et de sa magie. La beauté du site et le style architectural unique de la résidence du bey, érigée en ce lieu verdoyant, sont malheureusement négligés, a affirmé la même source, assurant que la prolifération des herbes folles et les effets du temps menacent ce qui constituait, jadis, le jardin de prédilection du premier responsable du beylicat de l'Est.R.R.

Le label France





Le gouvernement envisage d’instaurer un label « made in France » pour inciter les entreprises françaises à produire dans l’Hexagone.
Mercredi, Christian Estrosi, le ministre de l'industrie, annonce le lancement d'un label « made in France » et d'une première réflexion avec les constructeurs automobiles français. Le but est d’"inciter les entreprises française à produire dans l’Hexagone", a précisé le ministre.
"Je souhaite encourager les grands industriels à entrer pleinement dans la mise en place d’un label fabriqué en France, qui permettra d’informer les consommateurs sur les produits dont une part importante de la valeur ajoutée est réalisée en France", a déclaré Christian Estrosi.
Un label plébiscité
Cette déclaration a été prononcée après les résultats d’un sondage commandé par le ministère de l’Economie, de l’Industrie et de le l’Emploi, réalisé du 30 au 31 mars. Plus de huit Français sur dix (85%) estiment que le rôle de l’Etat est d’encourager les entreprises à produire en France, par des aides à la relocalisation et à la création d’un label Made in France.
Ce label fait presque l’unanimité : 95% des Français trouvent important que les entreprises indiquent si leur produits ont été ou non fabriqués en France. L’impact de l’information dans la décision d’achat serait, toutefois, plus ou moins fort selon les produits : 93% pour les produits alimentaires, entre 72 et 74% pour les voitures, les vêtements et l’électroménager, 60% pour le luxe et 52% seulement pour l’informatique.
Morgane Remy

Algerie archéologues patrimoine label



Les archéologues, premiers concernés par la conservation du patrimoine

Les participants au colloque national sur ''les projets de restauration des monuments en Algérie, réalités perspectives'' ont recommandé, hier à Skikda "l’intégration des archéologues dans toute action de restauration ou de réhabilitation des monuments''. Les participants ont également mis l’accent, à la fin de leurs travaux au palais des arts et de la culture de la ville, sur ''la nécessité d’adopter des dispositions pour réprimer toute atteinte au patrimoine culturel matériel, ou tout acte de négligence, de dégradation ou de trafic illégal de pièces archéologiques''. Les spécialistes réunis au colloque de Skikda ont recommandé, à ce propos, ''l’amendement des dispositions de la loi relative à la protection du patrimoine culturel'', ainsi que ''la création d’une inspection du patrimoine, indépendante du service du patrimoine des directions de la culture''. Dans une conférence intitulée ''La protection de l’identité et la conservation du patrimoine culturel'' M. Amar Rebaïne, de l’institut d’archéologie de l’université d’Alger, a mis en avant ''l’importance des études historiques et archéologiques dans la connaissance du passé d’une nation''. Selon cet universitaire, ''le patrimoine témoigne des réalisations d’une société, dans le passé, avec ses valeurs et ses particularités physiques et sociales''. Mme Rokya Abdessemed, du même institut, a consacré son intervention à l’entretien et la conservation du patrimoine culturel et de l’identité nationale, considérant que le patrimoine culturel '' a un rapport étroit avec la personnalité de base d’une nation et ses caractères singuliers''. La seconde journée de ce colloque, organisé dimanche par la direction de la culture, en coordination avec l’université du 20-Août 1955, la direction du tourisme et la direction de la construction et de l’urbanisme, ainsi que la commune de Skikda, a été essentiellement consacrée à des interventions relatives à l’entretien et la restauration des monuments en Algérie. De nombreux spécialistes, invités des universités de Constantine, de Skikda, de Guelma et d'Oum El Bouaghi, ont participé à cette rencontre scientifique initiée à l’occasion du coup d’envoi du mois du patrimoine (18 avril-18 mai).

Algerie tourisme tour-operators été 2010



Les tour-operators algériens proposent un programme pour les vacances d’été
Comment la tunisie fait du Ramadhan un argument de vente
Par : Farid Belgacem
Le mois du jeûne n’est plus une contrainte, mais un argument de vente. Pendant dix jours, les tour-operators algériens ont discuté avec leurs partenaires tunisiens afin de préparer cette saison, comme d’ailleurs celles des cinq prochaines années. Les opportunités ont été identifiées. Des formules, des programmes, des tarifs et d’autres dispositions, rien n’a été laissé au hasard par les deux parties pour répondre à une clientèle de plus en plus exigeante et volatile.
Désormais, les tour-operators algériens devront se prendre en charge afin de promouvoir la destination de leur clientèle. Non pas parce qu’ils remettent en cause leurs partenaires étrangers, avec lesquels ils développent une relation de “gagnant- gagnant”, mais ils doivent, selon la donne touristique en vogue, se déplacer, vivre et toucher le produit afin de mieux le vendre, mais surtout garantir une qualité de prestations de services telle qu’exigée par des Algériens de plus en plus méfiants. Et c’est dans cet état d’esprit qu’une délégation, composée d’une vingtaine de personnes, s’est déplacée, du 3 au 10 avril en Tunisie, dans le cadre d’un Éductour organisé par l’agence constantinoise Abdel Mouize Voyages, afin de s’imprégner des nouvelles techniques de vente, des nouveaux produits que développe cette destination, et ce en plus des produits de niche que le commun des mortels a déjà découvert chez notre pays voisin de l’Est. Ainsi, entre pédagogie, détente et découverte, les représentants de Touring Voyage Algérie (TVA), de Voyages sans frontières (VSF), de Four Winds Travel (FWT) et de Abdel Mouize Voyages ont rencontré plusieurs partenaires tunisiens à Hammamet, Sousse, Monastir et Tunis, mais aussi des patrons d’hôtel et des spécialistes de produits touristiques, afin de peaufiner les prochains protocoles qu’ils devront soumettre aux clients. Surtout que cette année les tour-operators doivent également adapter leur agenda et calendrier afin de faire face à une nouvelle donne, à savoir le mois de Ramadhan, qui interviendra au cœur même de la saison estivale. Une donne qui se prolongera dans le temps et l’espace, puisque, quelle que soit la destination, le tour-operator aura à satisfaire ses clients fidèles qui exigent de passer leurs vacances sans pour autant sentir la différence ou un quelconque changement dans leur mode de consommation.
Afrique du Sud, RamadHan et vacances, Il va y avoir du sport !Tout le monde aura du pain sur la planche ! Le représentant d’Abdel Mouize Voyages, Mohamed Chérif Djebbari, l’avait déjà prédit. Les vacances de 2010 auront cette particularité de coïncider avec le désir de s’évader, celui de suivre les Fennecs en Afrique du Sud, mais aussi de passer un mois de carême sans chambouler son agenda, quitte à bouleverser celui des agences appelées à canaliser des centaines de milliers de clients devenus par la force des choses volatiles et exigeants. Calculons quand même : 11 juin-11 juillet, les Algériens seront branchés sur les Verts. Du 11 au 30 juillet, la pression sur les réservations du produit touristique se fera sentir. Les dix jours restants seront consacrés aux préparatifs du Ramadhan dont la fin butera sur la rentrée des classes. Ces paramètres et tant d’autres ont aussi pesé sur cet Éductour dont les participants ont soulevé les contraintes pour trouver des solutions appropriées. Côté algérien, Abdel Mouize Voyages promettra d’emblée de gérer sa clientèle sans le moindre souci, c'est-à-dire sans déception. Aguerrie dans la gestion de flux touristiques importants à l’étranger, comme d’ailleurs en Algérie, dans le cadre du réceptif, l’agence Abdel Mouize Voyages a eu les meilleures distinctions tant des officiels, des partenaires algériens et étrangers que de sa clientèle. Et toute la logistique est déployée pour réussir cette saison qui s’annonce chaude. Côté tunisien, les choses semblent se préparer activement. À commencer par le mois de juin, début de la haute saison. “Les touristes algériens pourront suivre l’événement sportif sur des écrans géants, en sus des téléviseurs des chambres tous branchés sur l’Afrique du Sud. Nous aussi, nous suivrons cet événement surtout qu’il s’agit d’un pays cher et voisin qualifié à la Coupe du monde, l’Algérie !”, nous dit-on dans les hôtels de Hammamet, Sousse, Monastir et Tunis où toutes les dispositions sont déjà prises. Connaissant parfaitement le touriste algérien, un touriste qui voyage en famille, les Tunisiens ont tout prévu pour la double circonstance. “Nous connaissons absolument nos clients algériens. Plus de la moitié viennent séjourner en famille. Plus de 80 % viennent par la route et le reste par voie aérienne. L’année dernière, il y a eu certes un début timide du flux touristique durant le mois de Ramadhan. Au bout du dixième jour, les hôtels ont été submergés de réservations”, explique-t-on encore en Tunisie. Est-ce parce que la Coupe du monde et le Ramadhan coïncident avec l’été qu’il faudra pour autant sacrifier les grandes vacances ? “Non, absolument pas !”, répondra Laroussi Kachabia, responsable à l’hôtel Nahrawess de Hammamet. Désigné “temple du bien-être”, ce joyau touristique, classé deuxième au monde en matière de thalassothérapie, a même préparé des protocoles de soins qui vont avec le mode de vie durant le Ramadhan. Le reste des curistes, à savoir les malades et les cas lourds, devront passer systématiquement par une visite médicale pour bénéficier des soins.
Le Ramadhan, un argument de vente et non une contrainte Cet intérêt au client algérien en Tunisie a épaté les représentants des agences du fait que toutes les demandes introduites devant les responsables ont été prises en considération et fait l’objet d’études et ont eu des réponses concrètes. Quoi de mieux pour mettre à l’aise le client algérien, d’un côté, et son récepteur, le prestataire tunisien qui ne demande que la confirmation des tour- operators à développer un partenariat basé sur le confort des familles et le gain réciproque quelles que soient les formules proposées. En ce sens, le directeur général de Voyages sans frontières, Salah Eddine Bessekri, a mis le cap sur la formation, la motivation, la stimulation et l’anticipation. Des facteurs qui, à ses yeux, permettraient de mieux appréhender les grandes vacances durant les prochains mois de Ramadhan. Développant un argumentaire pragmatique devant l’assistance, M. Bessekri ira loin pour évoquer les attentes de la clientèle algérienne au détail près. Du cachet particulier que revêt cette saison, comme d’ailleurs les cinq ou sept prochaines vacances, il mettra en avant le travail en profondeur des tour-operators algériens, mais aussi des partenaires tunisiens non sans conseiller à la délégation de prendre en charge tous les aspects. À commencer par le choix de l’hôtel, du produit, de l’environnement et surtout l’aspect diététique afin de répondre au mieux et concrètement aux clients algériens soucieux de passer des vacances en plein Ramadhan. Cela fera dira à M. Djebbari que “désormais, le mois de Ramadhan n’est plus une contrainte, mais un argument de vente du produit tunisien”. De la réflexion, des solutions et des opportunitésAussi invraisemblable que cela puisse paraître, la demande commence déjà à faire l’objet de réflexions au niveau des hautes autorités touristiques tunisiennes qui misent sur l’étude de cas de la clientèle maghrébine, arabe, mais aussi européenne et asiatique. Et pour preuve, les tour-operators algériens ont eu droit à des explications techniques de la part du Commissaire régional au tourisme (CRT) de Nabeul et de Hammamet, Raouf Ben Salem. Celui-ci les a rassuré sur les dispositions en état d’étude des mesures prises par le ministère du Tourisme et des autorités locales afin de canaliser cette demande en cette saison particulière. De la décoration spécifique à la clientèle musulmane, en passant par l’animation de jour comme de nuit, toutes les dispositions sont prises pour donner un cachet authentique aux vacances des Algériens qui voudraient se déplacer en Tunisie en haute saison. Tout est pris en charge et au détail près afin de ne pas décevoir une clientèle fidèle à cette destination incontournable. Des manifestations culturelles et artistiques, en passant par les navettes spéciales “prière des taraouih”, les Tunisiens misent sur un plan valable entre cinq et dix ans. D’ailleurs, les tour-operators algériens, à savoir Abdel Mouize Voyages, VSF, TVA, et FWT ont déjà arrêté les partenaires tunisiens avec lesquels ils développeront un produit exclusif. Il s’agit des hôtels de la chaîne Nahrawess et hôtels Green Golf à Hammamet, des hôtels Orient Palace, Hana Residence et Hana Beach à Sousse et, enfin, de Voyages Plus à Monastir, dont le P-DG n’est autre que Brahim Bel Hadj, mais aussi à Tunis, comme les hôtels Émir Palace et Al Habib. Cela va sans dire que Abdel Mouize Voyages a mis en exergue le travail complémentaire effectué par l’Office national du tourisme tunisien (ONTT) et Tunisair tant en Algérie qu’en Tunisie, ainsi que les commissaires régionaux du tourisme.Les opportunités identifiées, Abdel Mouize Voyages et ses partenaires, présents à cet Éductour, ont soumis un programme pratique d’une dizaine de points afin de parer à toute mauvaise surprise. Configuré sous forme de 10 commandements, ce programme comprend l’ensemble des exigences sur lesquelles pourrait interroger son vis-à-vis un client avant de prendre la route vers la Tunisie. C'est-à-dire de l’heure de la rupture du jeûne jusqu’à l’heure du shour. À commencer par l’aménagement de salles à manger réservées aux jeûneurs, avec en appoint des décorations et une animation algérienne et tunisienne. À ce sujet, les tour-operators recommandent des menus spéciaux et planifiés, en plus des boissons chaudes et froides à volonté (thé, café…) pendant les soirées. La planification prendra en charge l’aspect des horaires afin de mettre à la disposition des jeûneurs des menus une heure pendant la rupture du jeûne et une heure après retour, via les navettes, de la prière des taraouih. Les jeux de société font également partie de ce programme pour perpétuer une tradition ramadhanesque et mettre le client algérien dans un “chez soi” sans faille. Le buffet spécial comme les services dans les chambres pour les personnes âgées à l’heure du shour a été soigneusement développé par Abdel Mouize Voyages afin de veiller au respect des normes appropriées. En ce sens, le programme prévoit la prise en charge (un training) de deux cuisiniers tunisiens en Algérie afin de s’imprégner des menus des jeûneurs bien qu’il existe des points communs entre les deux pays voisins.

Euro-Med sommet l’Union pour la Méditerranée



La communauté des affaire prépare le sommet de l’UpM.
Source : PR Anima.

La communauté Euro-méditerranéenne des affaires et les organismes d’accompagnement des entreprises organisent, en juin prochain à Barcelone en Espagne, deux jours de conférences et ateliers Méditerranéens avant le Sommet des chefs d’États et de Gouvernements. Les recommandations du secteur privé Euro-méditerranéen seront présentées au sommet de l’Union pour la Méditerranée (UpM) qui se tiendra à Barcelone le 7 juin 2010.Les 3 et 4 juin prochain donc, investisseurs, réseaux d’affaires et entreprises, se retrouveront dans les rencontres annuelles d’affaires Invest in Med & le 2ème sommet des leaders économiques méditerranéens pour :
- Être informé des initiatives de l’UpM (Énergies alternatives, transport maritime et logistique, dépollution et développement des PME). - Identifier les opportunités d’affaires qui y sont liées à travers des témoignages, des présentations d’études de marché et des opportunités d’investissement. - Rencontrer des investisseurs, coachs et partenaires potentiels. - Vous impliquer dans les projets Invest in Med en cours qui visent à développer les partenariats d’affaire Euro-méditerranéens ciblés sur des secteurs stratégiques pour la Méditerranée. - Découvrir les outils qui vous faciliteront le business et les investissements pour la région méditerranéenne.Egalement au programme de ces deux jours, des sessions de travail sur les prochaines étapes nécessaires pour accélérer l’intégration économique durable dans la région, une table ronde sur l’investissement socialement responsable et des sessions de networking par secteur (entreprenariat, projets d’investissement des diasporas, gestion de l’eau, éco construction, logistique et distribution) réunissant des organismes d’accompagnement des entreprises et des donneurs internationaux pour discuter des projets futurs.

Festival Transeuropa



Festival Transeuropa : L'Europe au coeur d'un festival transnational
[Fenêtre sur l'Europe]
Le Festival Transeuropa se tiendra simultanément du 25 avril au 10 mai à Paris, Londres, Cluj et Bologne.
Ce Festival offre une célébration de l'idée de l'Europe et de son potentiel d'ouverture à l'autre, de diversité culturelle, de création et d'innovation.L'idée majeur du Festival Transeuropa, événement unique en Europe, réside en une médiation originale autour de l'Europe grâce à l'organisation de rencontres entre militants, intellectuels, philosophes, journalistes ou artistes sous des forme variées : débats, représentations théâtrales, projections cinématographiques ou encore ballades urbaines.Cette expérience novatrice propose aux européens d'aborder des thèmes aussi variés que la pauvreté urbaine en Europe, la démocratie ou encore le féminisme.Transeuropa sera aussi l’occasion d’un cycle de rencontres transnationales autour du Processus de Bologne et de ses crises. Ces rencontres impliqueront des réseaux de mouvements sociaux, des groupes de militants et des collectifs, des experts et chercheurs militants.A Paris, Transeuropa se construit sur le potentiel de Paris comme ville européenne ouverte : nœud de communications et centre touristique. Paris est aussi une ville d’immigration et de passage, où se retrouvent des populations d’horizons divers. Le festival s'organisera autour de grandes orientations telles que la relation entre l'Europe et le monde, les frontières européennes du 21e siècle ou la mobilisation politique et citoyenne en Europe.L'inauguration parisienne aura lieu le jeudi 29 avril à la Bellevilloise avec un spectacle d'improvisations sur le mythe du rapt d’Europa qui proposera des visions alternatives, créatives et inattendues de l'Europe aujourd'hui. RFTout le programme du festival Transeuropahttp://www.euroalter.com/fr/transeuropa-france/

Algerie El-Oued prise en charge des orphelins




Plaidoyer pour une l駩slation garantissant une meilleure prise en charge des orphelins




''L'orphelin dans la loi algérienne et la Charia islamique, entre texte et réalité'' a été le thème d’un séminaire national à El Oued. Ainsi, les participants à cette rencontre ont plaidé, à l'issue de leurs travaux pour une législation garantissant une meilleure protection et prise en charge des orphelins. Ils ont également plaidé pour la création d'un site électronique pour le recueil des travaux de recherches, ouvrages et articles traitant de la protection de cette catégorie sociale, la création d'une ligue nationale d'associations de protection de l'orphelin et l'implication des médias, des lieux de culte et des acteurs sociaux dans la sensibilisation sur la prise en charge de cette frange de la société. Les participants ont, en outre, suggéré la création, au niveau du ministère délégué chargé de la Famille, d'une direction s'occupant des affaires des orphelins, ainsi que la coordination des efforts du mouvement associatif pour le recouvrement des fonds d'orphelins. Les recommandations de ce séminaire ont également porté sur le soutien des pouvoirs publics aux associations caritatives d'aide aux orphelins et un "stricte contrôle" des associations étrangères activant dans ce volet d'assistance aux orphelins. L'encouragement de la recherche universitaire dans le domaine de la prise en charge et de la protection des orphelins, ainsi que l'adoption d'une journée nationale de l'orphelin susceptible d'éveiller la conscience sociale sur la situation de cette catégorie sociale, ont figuré aussi parmi les recommandations. Initiée par l'institut des sciences humaines et sociales du centre universitaire d'El Oued, en coordination avec l'association caritative locale de protection des orphelins, la rencontre a été marquée par la présentation de communications animées par des universitaires de différentes régions du pays. Les travaux de ce séminaire de deux jours ont été axés sur l'examen des questions afférentes à ''l'orphelin et les conditions de sa protection'', ''l'aspect psychosocial de l'orphelin dans la société algérienne'' et ''la situation de l'orphelin dans la législation algérienne''.
R.R.