阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, January 11, 2010

wilaya de Bouira Algerie


Développement dans la wilaya de BouiraDes perspectives prometteuses
Il faut dire que le wali de Bouira, Ali Bouguerra, a sillonné le territoire de la wilaya plusieurs fois, plus de 40 visites de travail et d’inspection de projets de différents secteurs d’activité lancés ou à lancer, en plus des 25 visites ministérielles, dont celle du ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Djiar, pour le lancement de plusieurs projets inhérents à son secteur dont le centre de sport d’envergure internationale qui sera installé au niveau du barrage Tilesdit. Le ministre de l’Energie et des Mines Chekib Khellil qui s’est rendu au champ pétrolier Oued Guetrini a Dirah, qui dispose de 188 puits dont seulement 12 sont exploités, il est prévu 30 millions de dollars pour toute la «Hodna est, dont fait partie Oued Guetrini pour l’utilisation de nouvelles technologies d’exploitation pour les besoins de prospection et exploration de nouveaux puits ainsi que le lancement de nouvelles centrales électriques. Le ministre de l’Agriculture, celui de l’Enseignement supérieur qe sont également rensus à Bouira au lancement du nouveau pôle universitaire de 10 000 places pédagogiques qui sera implanté sur un espace de 50 ha, un véritable «pôle scientifique intégré» où seront enseignées les matières relatives à la spécificité et caractéristiques de la région, des spécialités en science de la terre, les sciences de la mer, climatologie, l’agriculture. Le ministre de la Justice a effectué de multiples visites de travail et d’inspection, celui des Travaux publics Amar Ghoul qui suit de près l’un des plus importants projet du pays qu’est l’autoroute Est- Ouest qui traverse le territoire de la wilaya sur 101 km dont 90 sont déjà ouverts à la circulation. Désormais, la wilaya de Bouira est une banlieue d’Alger et un carrefour entre la capitale est les wilayas de l’Est et le sud-est du pays. Cela dit, l’espoir est désormais permis, le citoyen de la wilaya commence à croire en la machine du développement enfin mise sur les rails, l’impact du changement est visible, il suffit de faire un tour au chef-lieu de la wilaya ou les autres daïras et communes pour se rendre compte du changement. Revêtement des routes et trottoirs, le grand boulevard de la ville de Bouira, l’ouverture et l’extension de plusieurs rues, la relance de la zone industrielle de Oued El Berdi, et autres zones d’activités, l’arrivée de plusieurs investisseurs générateurs de postes d’emplois directs et indirects, citant entre autres l’industriel Issad Rebrab, ce dernier a investit dans la réalisation d’un hyper-marché, un dépôt de produits agro-alimentaires, montage de véhicules industriels. Autant de projets pour relancer la machine économique et absorber certainement le taux de chômage qui avoisine les 14%. Le constat est positif, la perspective est prometteuse, optimiste pour la wilaya, pourvu qu’il y ait un suivi rigoureux de la part des pouvoirs publics, la machine du développement ne peut fonctionner par la volonté d’un seul responsable ou d’un secteur. Les différentes réalisations sont là pour faciliter la vie des citoyens qui à leur tour sont appelés à les préserver jalousement. Toutefois, pas moins de cinq projets ont été lancés dans chacun des secteurs, l’objectif, expliquera le wali, est de ne laisser traîner aucun projet inscrit, faire en sorte de réunir toutes les conditions permettant le lancement d’un projet l’année même de son inscription. Pour le plan quinquennale 2010-2014, la wilaya a proposé de bénéficier du double de ce qu’elle avait eu ultérieurement, tout en prenant en considération l’achèvement du programme en cours. Concernant le secteur de l’éducation, la wilaya, qui est dotée de 36 lycées avec les deux ouverts cette année, ambitionne la réception de sept autres pour la rentrée 2010-2011, avec comme perspective d’atteindre un lycée pour chaque commune. Même chose pour les deux autres paliers, avec, bien sûr, le structures d’accompagnement, cantines, demi-pensionnat, stade ou salles de sport. Idem pour le secteur de la santé, qui a tracé comme objectif une salle de soins dans chaque village dotée d’équipement médical, un service radiologique, un fauteuil dentaire, et ce pour rapprocher les structures sanitaires du citoyen. Il y a aussi la dotation des communes d’une ambulance afin de faciliter le transport et l’évacuation des malades. Le secteur vise aussi à doubler le nombre de polycliniques, soit une polyclinique pour 15 000 habitants. Il y avait 6 polycliniques en 2006 pour atteindre 23 en 2007 et 31 cette année. Par ailleurs, le déficit en matière de médecins spécialistes notamment engynécologie et paramédicaux. En l’espace de trois ans, le nombre de spécialistes est passé de 10 en 2006 à 126 en 2009. Des requêtes envoyées à la tutelle au moins deux fois par an, le besoin se fait sentir auprès de la population de plus en plus nombreuse qui se trouve contrainte de recourir aux cliniques privées en deçà de leurs moyens ou de s’adresser à d’autres hôpitaux dans d’autres wilayas du pays. Pour ce faire, le secteur a ouvert 100 postes pédagogiques pour le recrutement de paramédicaux qui sont entrés en formation et préparer les conditions d’accueil (logement) pour recevoir les nouveaux médecins spécialistes. Le secteur de la jeunesse et des sports a lui aussi de nombreux projets en perspective (2010-2014) avec la réalisation de pas moins de 9 piscines olympique et semi-olympiques, des CSP, stades de proximité, la réhabilitation des anciennes infrastructures sportives, le lancement de plusieurs cycles de formation au profit d’entraîneurs de différentes disciplines, l’encouragement et le soutien du sport féminin, les écoles de football, les classes sport. Toutefois, la wilaya, qui est réputée pour sa vocation agricole et rurale, s’est distinguée ces dernières années. En effet, le secteur a connu un saut qualitatif grâce au contrat de performance, le Cyrplac I et II en attendant le lancement tant attendu par les agriculteurs y compris les producteurs de la pomme de terre. La DSA a enregistré des résultats positifs dans la production céréalière avec une récolte record, la production laitière, le miel, l’oléiculture avec comme projet, la labellisation de l’huile d’olive pour son exportation. Avec ses trois barrages, le problème d’irrigation ne devra plus se poser d’ici quelque temps ; les services de la DSA veulent favoriser l’irrigation en goutte-à-goutte, le développement de l’agriculture de montagne et les zones rurales afin de générer des postes d’emploi et freiner l’exode rural, la réhabilitation des produits du terroir à l’instar du pistachier de Bechloul, le cerisier de Saharidj et Aghbalou, la pêche d’Ath Mansour. Il y a aussi la perspective de la réalisation d’une ceinture oléicole au sud de la wilaya afin de ralentir ou de stopper la désertification. Il est prévu la plantation d’oliviers sur 100 km, soit 5 000 ha. En ce qui concerne le gaz et l’électricité, si la couverture en matière de l’électrification est plus que satisfaisante qui frôle les 100%, plusieurs familles vivent encore dans le noir et qui seront branché incessamment. Pour ce qui concerne le gaz naturel, il y a deux ans, la wilaya de Bouira accusait un retard considérable en matière de branchement, il a fallu la venue du président Bouteflika en juillet 2008 pour voir la wilaya bénéficier de l’installation de conduites de gaz. Ainsi, dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux, près de 10 000 foyers ont bénéficié du gaz et 1887 de l’électricité. En revanche, dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, il est prévu le branchement de 11 communes citant entre autres Haizer, Taghzout, Saharidj, Aghbalou, Bouderbala, soit un total de 18 500 foyers en plus de 3 600 groupements d’habitations à Toghza, Choukrane, Aïn Laloui. Le secteur prévoit aussi le lancement des travaux de branchement de gaz naturel dans les 8 communes restantes au profit de 5 800 foyers et 24 grands groupement d’habitations de quelque 10 000 foyers. Le coût global des projets cités est de 5800 milliards de dinars dont 4656 MDA pour le gaz. Cependant, d’autres secteurs tireront profit de ce plan qui propulsera le développement tant attendu de la wilaya de Bouira marquée par le terrorisme durant la décennie noire où personne ne songeait y s’aventurer à cause du problème de sécurité. Aujourd’hui, la donne a complètement changé grâce au travail des uns et des autres, à commencer par les Patriotes et les différents corps de services de sécurité qui se sont sacrifiés pour instaurer la quiétude et la sécurité, le citoyen qui a dit non au projet islamiste, aux élus locaux ainsi que les autorités de la wilaya et à leur tête le wali qui s’est rendu dans les trois quart du territoire de la wilaya pour relancer tous les projets qui étaient en veilleuse. C’est une autre page qui s’ouvre pour cette wilaya qui ne tardera pas à devenir l’une des plus importantes du pays. Mehenna Adjaout
11-01-2010

Salon du couscous El Gherbal



Yennayer en KabylieUn Salon du couscous à la maison de la Culture Mouloud-Mammeri
Une manifestation initiée par la Maison du Couscous «El Gherbal» en collaboration avec le comité des activités culturelles et artistiques de la ville des Genêts. Au programme de cette manifestation culturelle prévue du 11 au 13 du mois en cours, soit à partir d’aujourd’hui lundi, plusieurs festivités dont des expositions, des conférences-débats et des chants. Un grand nombre d’artisans et fabricants de couscous issus des différentes régions du pays exposeront leurs produits principalement le traditionnel plat du couscous au grand bonheur des visiteurs qui auront à c?ur joie d’y déguster et apprécier les saveurs de ce plat. Parallèlement à cette exposition, les organisateurs prévoient deux conférences- débats autour de Yennayer, jour de l’an berbère sous le thème « Traditions culinaires de yennayer « et « le repas de Yennayer «. Des conférences qui seront animées par des enseignants de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou. Pour la journée du 12 janvier, soit le mardi, les organisateurs ont programmé un gala artistique qui sera animé par une pléiade d’artistes. Signalons qu’à l’occasion, plusieurs festivités culturelles et sportives initiées par le mouvement associatif de la région sont prévues un peu partout en Kabylie pour fêter comme il se doit la nouvelle année berbère. Un événement qui se caractérise par la préparation d’un plat spécial, un couscous royal communément appelé « Imensi N Yennayer « et où, chaque famille immole, pour la circonstance, un coq. Rabah M.

Air Algérie paiement en ligne et cartes de crédit


Soumis par toma
À partir du mois de février à air Algérie : Paiement en ligne et cartes de crédi

Le paiement des billets d’Air Algérie sur Internet sera possible à partir du début de février 2010, a assuré hier sur les ondes de la chaîne III le DG de la société d’automatisation des transactions interbancaires et de monétique (SATIM). Le projet annoncé initialement pour le mois de janvier en cours est en voie de finalisation. «Nous avons effectué des tests durant trois mois.
L’opération elle-même dé-marrera début février 2010. D’autres entreprises sont intéressées comme Algérie Télécom pour le payement de l’ADSL et le téléphone. Ce dernier projet devra être concrétisé au cours de cette année, dans trois ou quatre mois au maximum», affirme Hadj Allouane, DG de la Satim.
Les détenteurs de la carte interbancaire CIB pourront ainsi réserver et effectuer le e-paiement sur le site Web d’Air Algérie. Un code confidentiel leur sera attribué pour valider la transaction.
«La plate-forme pour le paiement des billets d’Air Algérie sur Internet est totalement sécurisée. Nous avons eu recours au même procédé utilisé par les systèmes Visa International et Master Card», rassure le DG de la Satim. Autre projet annoncé par le premier responsable de la Satim pour 2010 est le payement de l’essence dans les stations de Naftal.
Un contrat a été signé en 2009 pour la généralisation de l’utilisation en Algérie de la carte électronique carburant «Naftal Card». Il s’agit de trois types de cartes. Il y a d’abord la carte «GOLD» qui permet à son utilisateur de faire l’achat à crédit des carburants de tous les produits et services offerts au niveau des stations.
Le porteur de cette carte doit effectuer des opérations de paiement sur ses consommations- facturées périodiquement sur la base d’un montant mensuel maximal- déterminé entre lui et NAFTAL.
Il y a ensuite la carte «Silver» dont les opérations sont limitées à hauteur d’un montant défini par les opérations à effectuer, les limites pouvant être hebdomadaires et/ ou mensuelles. Et enfin la carte «prépayée» dont l’utilisation est conditionnée par le versement préalable sur le compte de Naftal d’un montant donné.
L’utilisation de ce moyen de paiement moderne sera généralisée aux détenteurs de cartes interbancaires (CIB). L’opération permettra d’éliminer, au fur et à mesure, le cash et les bons de carburants dans les stations-services, et garantira, de ce fait, un degré supérieur de sécurité de transaction.
Cependant, l’annonce la plus importante du DG de la Satim est le lancement dès juillet 2010 du système de paiement Visa International dans les banques, un projet tant attendu par les entreprises et les hommes d’affaires algériens.
Le système de paiement Visa International permet aux clients de disposer d’un mode de paiement sécurisé et performant en devises. La Satim vient d’être officiellement admise en qualité de membre du système de paiement Visa International.
Cette adhésion permettra aux banques algériennes de se hisser au niveau des institutions bancaires internationales et aussi à sa clientèle de disposer d’un mode de paiement en devises «performant et sécurisé».
Parmi les chiffres fournis hier par le DG de la SATIM, la mise en circulation au cours de cette année de 500.000 cartes interbancaires et de 250 distributeurs automatiques de billets (DAB). Il existe aujourd’hui 1.300 DAB à travers le territoire national. Un chiffre modeste par rapport aux besoins réels, avoue Hadj Allouane.
La cause en est les nombreuses contraintes rencontrées sur le terrain pour le développement du commerce électronique, notamment la faiblesse de la bancarisation (importante circulation du cash), les réticences des commerçants à déclarer la totalité de leurs chiffres d’affaires, la méconnaissance des usagers de l’utilisation de la carte interbancaire, les expériences négatives au démarrage (problèmes télécom, méconnaissance du plafond, perte/vol...) et le manque de communication en direction des usagers.
B. Mahmoud

Algerie désertification



La désertification menace plus de 270 000 km2 en Algérie

Le phénomène de la désertification menace plus de 270 000 km2 en Algérie soit plus de 11% de la superficie totale du pays.lundi 11 janvier 2010.
La désertification menace 27,4 millions d’ha en Algérie, alors que 13 millions autres ha sont exposés au phénomène de l’érosion hydrique au niveau des bassins versants, selon les résultats de la Carte de sensibilité à la désertification en Algérie (CSD), rendus publics dimanche à Alger. Elaborée par l’Agence spatiale algérienne (ASAL), en partenariat avec la Direction générale des forêts (DGF), cette carte concerne 12 wilayas steppiques ayant une superficie de 27,4 millions d’ha menacés par la désertification. Une carte similaire, élaborée en 1996, a concerné 9 wilayas d’Algérie pour une surface de 20 millions ha. Il s’agit de Djelfa, M’Sila, Naâma, El Bayadh, Biskra, Khenchela, Batna, Tébessa et Laghouat.
Synthèse de Rayane, www.algerie-dz.com D’après APS

Aménagement du territoire Algerie



Aménagement du territoire : Adoption du SRAT des Hauts plateaux de l’ouest algérien

Le Schéma régional d’aménagement du territoire (SRAT) des hauts plateaux de l’ouest algérien, s’étalant jusqu’à 2025, a été adopté en clôture d’une rencontre régionale, jeudi soir à Saïda. Lors de cette rencontre initiée par le ministère de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement et du Tourisme, une des trois variantes proposées par le consortium de trois bureaux d’études spécialisées a été approuvée par la majorité des participants. Différentes visions futures des hauts plateaux de l’ouest du pays concernant les wilayas de Saïda, El Bayadh, Naâma, Tiaret et Tissemsilt ont été présentées à cette rencontre, qui a enregistré la présence d’autorités locales, d'élus, de directeurs exécutifs, de membres de la commission de suivi, d'enseignants universitaires et de représentants de la société civile des wilayas concernées. Ce schéma est axé sur la nécessité d’atténuer la tension exercée, en matière d’emploi et d'activités économiques, sur les wilayas du littoral en offrant les conditions favorables pour celà aux zones des hauts plateaux s’étendant sur une superficie de 131.100 ha et regroupant 1,93 million d'habitants. Il intègre des réformes étudiées selon chaque cas sans revoir le modèle actuel de prise de décision en matière d’aménagement du territoire, a-t-on expliqué tout en indiquant que la porte reste ouverte à l’Etat pour déléguer certaines de ses prérogatives dans ce domaine à des institutions régionales œuvrant dans un cadre géographique défini, pour réaliser les grands objectifs communs entre les wilayas concernées, liés aux secteurs stratégiques et par là concrétiser un développement durable. Le schéma approuvé adopte, en matière d’aménagement du territoire de cet espace géographique, le principe de préserver la centralisation de prise de décisions jusqu’à 2015 pour tendre ensuite progressivement vers la décentralisation. Avant l’adoption du schéma régional d’aménagement du territoire des hauts plateaux de l’ouest, des ateliers de travail ont été constitués pour débattre de quatre axes inhérents au développement social, la ville, le cadre de vie, le système productif, les infrastructures, les réseaux de communication, l’environnement et de la protection du patrimoine. Les participants à ces ateliers ont préconisé d’insérer dans ce schéma plusieurs projets d’infrastructures de base, à l’instar du changement du tracé de l’autoroute desservant les hauts plateaux vers les régions du sud, pour inclure Aflou, El Bayadh, Djelfa et autres. Une étude pour la réalisation d’une route traversant les régions de Moghrar, Ain Ouarka, Boussemghoun, Labiodh Sidi Cheikh et Brezina situées respectivement dans les wilayas de Bechar, Naama et El Bayadh a été également proposée dans le but de désenclavement de ces zones et de promotion du tourisme. Lors de cette rencontre régionale de deux jours, l’accent a été mis sur la nécessité de programmer un dédoublement de la RN 23 dans sa tronçon reliant les wilayas de Laghouat et El Bayadh en plus de l’ouverture de la wilaya de Tissemsilt vers le nord par la reconversion des RN 14 et 19 en autoroutes. Sur un autre plan, les participants ont appelé à la réalisation d’une station électrique utilisant le gaz naturel et l’énergie solaire, eu égard aux conditions climatiques favorables dans cette région. En matière de relance du tourisme, l’accent a été mis sur l’importance de protection et de valorisation du patrimoine matériel et immatériel dont recèle la région des hauts plateaux, à l’exemple de sites archéologiques datant de différentes époques, des lacs et des sites naturels

Métro d’Alger



Extension de la première ligne du métro d’Alger jusqu'à Aïn Naâdja : Lancement de l’appel d’offres
Taille du texte: 09-01-2010 à 17:48
L'Entreprise du Métro d'Alger (EMA) a lancé un appel d'offres national et international pour la réalisation des études d'exécution et les travaux de génie civil des tunnels et stations, de l'extension de la première ligne du métro de la capitale, de Haï El Badr à Aïn Naâdja. La nouvelle est tombée jeudi dernier annonçant ainsi le début d’une étape cruciale dans la réalisation du métropolitain d’Alger. Un projet prisé par les Algériens qui s’attendent, une fois opérationnel, à ce qu’il réduise le calvaire quotidien sur les routes et autoroutes de la capitale. L’annonce faite par l’EMA intervient au moment où l’on s’attend à une ouverture, officielle, de la première ligne reliant la Grande Poste à Haï El Badr. Prévue, initialement, au courant de l’année dernière, rien n’a filtré sur la date de son inauguration. Sur près de 10 km, les travailleurs s’affairent sur les dernières retouches qui portent, notamment sur la finition des 10 stations prévues sur ce parcours. Il a été, par ailleurs, procédé à l’installation d’un poste de commande centralisé aux Anassers, à la réalisation d’ateliers de maintenance et de rénovation situés à Bachdjarah, et à l’achèvement des installations et équipements de contrôle et de signalisation. Aussi, pas moins de 500 policiers ont été formés en collaboration avec le gestionnaire du projet RATP El Djazaïr pour sécuriser le Métro d’Alger et en faire un lieu sûr. Tout semble donc prêt pour accueillir les 14 rames du métro qui vont transporter en rotation plus de 40.000 voyageurs à une vitesse maximale de 70 km par heure. Soit un parcours de près de 15 minutes entre les deux stations citées plus haut, en passant par les stations de Khelifa Boukhalfa, 1er-Mai, Aïssat-Idir, Hamma, le Jardin d’essai, les Fusillés et la cité Mer-et-Soleil.Soulignons, enfin, que les candidats intéressés par la réalisation de la ligne 2 entre Aïn Naâdja et Haï El Badr, qui peuvent soumissionner seuls ou en groupements doivent avoir déjà réalisé des tunnels de métro d'au moins 4 km pour les chefs de file de groupement, ou de 400 m pour les membres du groupement.