PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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L'Organisation mondiale du commerce (OMC, ou World Trade Organization, WTO, en anglais) est une organisation internationale qui s'occupe des règles régissant le commerce international entre les pays. Au cœur de l'organisation se trouvent les Accords de l'OMC, négociés et signés en Avril 1994 à Marrakech par la majeure partie des puissances commerciales du monde et ratifiés par leurs parlements. Le but est d'aider, par la réduction d'obstacles au libre-échange, les producteurs de marchandises et de services, les exportateurs et les importateurs à mener leurs activités. Depuis 2001, le cycle de négociation mené par l'OMC est le Cycle de Doha. Bien que l'OMC ne soit pas une agence spécialisée de l'ONU, elle entretient des liens avec cette dernière. Le siège de l'OMC est au Centre William Rappard, Genève. Le 26 mai 2005, le Français Pascal Lamy obtient le poste de directeur général de l'organisation, succédant ainsi au Thaïlandais Supachai Panitchpakdi. Son mandat a été reconduit en avril 2009 pour quatre années.
A la veille du sommet du G20 à Toronto (Canada), le directeur général de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), Pascal Lamy, évoque l'avenir de la mondialisation et de sa gouvernance, la régulation, la crise de l'euro et les autres grands sujets économiques du moment
Quelles décisions prendra le G20 ? Le G20 ne "décide" pas. Au G20, les dirigeants auront une discussion politique sur des orientations. Ce n'est pas le gouvernement du monde, mais un élément du système actuel de gouvernance mondiale : le G20 dispose de la capacité d'impulsion ; l'ONU a la légitimité ; les organisations internationales offrent leur expertise, leur capacité d'édicter des règles et de mobiliser des ressources. Le spectacle du G20 est d'abord destiné aux opinions publiques nationales. Il n'y a pas d'électeur international. Mais être au G20, c'est aussi partager ses problèmes, apprendre à tenir compte des conséquences internationales de ses actes. Ce qui importe, ce ne sont pas les grandes déclarations finales, mais les décisions nationales qui n'ont pas été prises car elles auraient été contraires à l'intérêt collectif. Le G20 a plutôt été efficace depuis la réunion de Washington en novembre 2008 ? Le premier test du G20 fut de faire face à la crise. Il a fallu mettre 1 000 milliards de dollars sur la table. Les gouvernements l'ont fait dans des conditions de coopération correcte. Le deuxième sujet, la régulation financière, est plus difficile. Rien ne sera fin prêt pour le Canada. Il faudra attendre, au mieux, la réunion de Séoul en novembre. Je ne crois guère à une taxe expiatoire sur les banques : in fine, le consommateur paiera à la place du contribuable. L'important est de bâtir un encadrement prudentiel international contraignant, sachant que la surrentabilité de l'industrie financière d'avant-crise en sera durablement diminuée. A chaque fois, les dirigeants exhortent à clore le cycle de Doha. Le président de la République, Nicolas Sarkozy, doute de son utilité. Les dirigeants savent que le système OMC a tenu bon. Tout le monde pensait que la violence économique et sociale du choc de la crise provoquerait un choc protectionniste. Il n'a pas eu lieu. Voilà un succès invisible du G20, surtout pour les pays en développement qui sont davantage tributaires d'un commerce international ouvert. Le cycle de Doha n'est pas encore achevé, mais 80 % du travail est fait. Il faut le clore. Les accords bilatéraux ne sont pas une solution pour résoudre des problèmes comme les subventions agricoles, ou les barrières non tarifaires. Ne s'est-on pas trompé en voulant déréguler l'agriculture, notamment européenne ? La première vraie réforme de la PAC [politique agricole commune], en 1992, visait à vider les lacs de lait et les stocks de beurre et de viande européens. Le soutien par les prix garantis aux agriculteurs avait conduit à des surproductions coûteuses. On a estimé qu'il valait mieux que les agriculteurs puissent réagir davantage aux signaux du marché. Mais ne caricaturons pas les contraintes de l'OMC. Lorsque le cycle de Doha sera conclu, les Américains et les Européens pourront encore soutenir leur agriculture à hauteur de 100 milliards d'euros par an chacun. Les droits de douanes resteront trois à quatre fois supérieurs à ceux de l'industrie. La spécificité de l'activité agricole est donc, de fait, reconnue. Mais il faut que les pays moins développés puissent mieux valoriser leur potentiel agricole. Le monde en a besoin. Justement, on a le sentiment que la mondialisation n'est plus un jeu à somme positive, que toute la rente est captée par la Chine. Les Chinois se sont substitués aux Japonais des années 1970 dans les cauchemars occidentaux. Si un ouvrier chinois est payé dix fois moins qu'un ouvrier européen, c'est avant tout parce qu'il faut huit Chinois pour produire ce que produit l'Européen. La Chine est une vaste usine d'assemblage de produits largement fabriqués ailleurs. Prenez un iPod : il est fabriqué en Chine, mais son coût est fait de 5 % de salaires chinois, 15 % de redevances américaines et 40 % de valeur ajoutée japonaise, car c'est là qu'est produite la puce électronique de base. L'idée que les travailleurs européens ou américains sont en concurrence individuelle directe avec leurs collègues chinois ne correspond pas à la réalité. Mais la perception demeure. Oui, mais ils vont finir par nous rattraper… Bien sûr qu'ils vont se rapprocher progressivement des pays riches, tout le monde le souhaite. Mais la règle de base de la division internationale du travail demeure : vous gagnez en efficacité en vous spécialisant ; et il y a de la place pour tout le monde si l'on réduit la pauvreté. Cette efficacité s'appelle croissance, et donc possibilité de réduire la pauvreté. La stratégie allemande de faire la course à la productivité n'est-elle pas destructrice ? 1 2suivant
Le terme « mondialisation » désigne l'expansion et l'harmonisation des liens d'interdépendance entre les nations, les activités humaines et les systèmes politiques à l'échelle du monde. Ce phénomène touche les personnes dans la plupart des domaines avec des effets et une temporalité propres à chacun. Il évoque aussi les transferts et les échanges internationaux de biens, de main-d'œuvre et de connaissances. Ce terme, spécifique à l'environnement humain, est souvent utilisé aujourd'hui pour désigner la mondialisation économique, et les changements induits par la diffusion mondiale des informations sous forme numérique, c'est-à-dire sur Internet.wikipedia
L’Association des amis de la Rampe Louni Arezki (ex-Valée)
La Casbah d’Alger, un lieu hautement historique et séculaire dont les interstices et les venelles sont une mémoire à souligner et à préserver. Belle par ses couleurs, expressive par ses sourires et messagère pour la jeunesse, telle est l’image d’une des principales ruelles de La Casbah, adjacente à la rue principale Sidi Dris Hamadouche (ex-rue de La Casbah) un après-midi d’un samedi 3 juillet dernier, veille de la fête de l’indépendance. Inhabituelle animation, d’abord par le nombre de visiteurs ; ils étaient plus de 150 personnes enthousiastes à arpenter les marches de la vieille et résistante cité, ensuite particulière par le fait que ce n’étaient pas des touristes, mais des Algériens partis sur les traces de l’œuvre de leurs illustres aînés. C’est ainsi que cette véritable procession de souvenirs a accompli dans une profonde communion de pensée collective un acte de ressourcement de lieux et de liens au sanctuaire de la mémoire qu’est la Casbah d’El Djazaïr. La ferveur de la rencontre a exceptionnellement été chaleureuse et émouvante par la présence de trois générations successives rassemblées pour une fois dans des lieux mythiques pour effectuer ensemble un pèlerinage dans l’univers de la mémoire, du souvenir et de l’évocation. Hommes, femmes, écoliers, lycéens, d’anciens résistants de la Zone autonome d’Alger historique, la célèbre interprète de la chanson andalouse, Zakia Kara Terki, et aussi des enseignants de la communauté universitaire, à l’image de Mme Hamadi, professeur au département psychologie de l’université de Bouzaréah ont constitué la liesse symbolique du renouement et du raffermissement des liens avec des lieux de la cité millénaire. Du mausolée de Sidi Abderrahmane, à la célèbre médersa d’Alger en passant par la rue Sidi Dris Hamadouche (ex- rue de La Casbah) jusqu’à Bir Djebbah, tous ces lieux de culture et d’histoire ont été revisités dans une grande émotion au souvenir des générations successives qui ont œuvré pour l’immortalité de La Casbah à travers la symbolique de ses épopées de savoir, d’érudition, de résistance et de gloire. Au passage de cette « procession de la mémoire et du souvenir » accueillie très chaleureusement par la population, tous les lieux et repères d’histoire ont été fleuris pour la pérennisation de la pensée et l’éradication du phénomène hideux de l’oubli. C’est à une halte de l’évocatrice douéra de la famille Soufi native de la célèbre rue Boudries (ex-rue de Thèbes) vestige du martyrologue de la bombe criminelle colonialiste, que toute l’assistance a eu le bonheur de redécouvrir les traditions d’hospitalité dans l’authenticité culturelle du raffinement algérois aux hôtes que nous étions en la circonstance. Il est également utile de rappeler que c’est Hadj Zoubir, un enfant natif de La Casbah il y a 72 années de cela, et dont il est un connaisseur averti, qui a magistralement conduit la visite, à la satisfaction de l’ensemble des participants, ravis par les explications et précisions qui ont été apportées à leurs multiples questionnements sur des points d’histoire, de culture et de mémoire. Durant cette traversée de la mémoire, ce qui a révélé un triste constat, ce n’est point l’état physique des lieux, celui-ci étant bien connu de tous, mais celui de la dimension humaine dans le rapport socioculturel des liens avec des lieux à l’épreuve du temps et de l’histoire. C’est à l’évocation émouvante des noms de rues parcourues que Hadj Zoubir a retracé brièvement la vie inachevée (car morts très jeunes) et l’histoire de ces martyrs du devoir dont le souvenir est perturbé dans l’espace par des représentations mentales à travers des supports appropriés ou plaques toponymiques. Levi Straus, un géant de l’anthropologie de notoriété universelle disait à ce propos : « L’espace est une société de lieux comme les personnes sont des points de repère au sein du groupe. » Malheureusement, la réalité est tout autre, car les plaques toponymiques de nos rues ne correspondent à aucun référent mémoriel dans la société. Un demi-siècle est la durée ultime pour la réappropriation de la mémoire de nos rues, boulevards et édifices par une pratique langagière d’appellation-nomination, usitée quotidiennement dans l’espace et dans le temps. Dans le contexte de cette symbolique de juillet et à dessein de la sauvegarde de ce qui est la sève vivificatrice la plus précieuse et déterminante par le devenir d’une nation, sa mémoire collective, œuvrons ainsi et tous ensemble pour le renouement et la création d’un véritable pôle culturel dans sa matrice originelle qu’est la Médina d’Alger, à l’instar des Casbah du Maghreb, Rabat et Tunis, ses segments tant par la superficie de la configuration des sites que par la dimension historique. Nous reviendrons prochainement sur ce chapitre à travers le développement de l’action initiée le 8 avril dernier par l’association sous le thème « Toponymie et mémoire ». Par L. Aït Aoudia
Des dizaines de milliers de personnes ont commémoré le 15e anniversaire du massacre de Srebrenica (Bosnie Près de 50'000 personnes ont participé dimanche à la commémoration du 15e anniversaire du massacre de Srebrenica, en Bosnie. Les cérémonies civile et religieuse ont été marquées par l'enterrement des restes de 775 victimes du massacre au mémorial de Potocari. 3749 victimes reposent déjà dans ce centre érigé en 2003. Le président serDurant la cérémonie, Barack Obama et d'autres dirigeants ont appelé à l'arrestation de l'ancien chef militaire des Serbes de Bosnie Ratko Mladic. Quelque 8000 musulmans bosniaques ont été tués en juillet 1995 par les forces serbes bosniaques à Srebrenica
CRI online Obama et Abbas discutent des négociations indirectes palestino-israéliennes
Le président américain Barack Obama a téléphoné vendredi au président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas pour examiner l'évolution du processus de paix entre les Palestiniens et Israël, a annoncé la Maison Blanche. Le président Obama a expirmé cette occasion son "soutien ferme" à M. Abbas et fait état des progrès dans les négociations indirectes entre les Palestiniens et Israël, a dit la Maison Blanche dans un communiqué. Les deux dirigeants ont discuté des moyens de faire progresser les négociations indirectes à court terme, afin de parvenir à un accord pouvant mettre fin au conflit, créant un Etat palestinien indépendant vivant côte-à-côte dans la paix et la sécurité avec Israël, indique le communiqué. Cette conversation téléphonique intervient trois jours après la rencontre entre le président Obama et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu à Washington. Dans une déclaration faite à la presse à l'issue de sa rencontre avec Netanyahu, Obama a émis l'espoir que les Palestiniens et Israël pourraient reprendre les négociations directes en septembre. Sous la pression de Washington, les Palestiniens et Israël ont entamé les négociations indirectes en mai. Les Palestiniens refusent de reprendre les négociations directes avec Israël avant le gel total de la colonisation israélienne dans les territoires palestiniens occupés.
Après quatre semaines de polémique autour de l'affaire Woerth-Bettencourt, Nicolas Sarkozy va tenter de reprendre la main, lundi soir, avec une émission spéciale, sur France 2. Le président devrait aborder rapidement l'affaire Bettencourt, et s'attarder plus longuement sur la réforme des retraites, portée justement par le ministre du travail Eric Woerth
En attendant, le président de la République propose aux Français de lui poser des questions sur sa page personnelle Facebook. Plusieurs milliers d'internautes se sont déjà prêtés au jeu, et beaucoup semblent être passés entre les mailles des modérateurs du service du communication de l'Elysée. "Quand allez-vous vous débarasser de ce "boulet" qu'est cet escroc de WOERTH ?????", demande ouvertement Jean-Noël. "Votre attitude auprès des media rappelle trop Berlusconi et le fachisme. Dommage, je croyais en vous au début de votre mandat!", se plaint Alain. Quelques messages de soutien sont également présents, comme Josée qui encourage "Nicolas" à "ne pas se laisser déstabliliser par ce complot socialiste". Beaucoup de messages attendent des éclaircissements sur l'affaire Bettencourt. Plusieurs internautes interpellent également le président sur la réforme des retraites. Certains demandent la suspension du bouclier fiscal. Mais les centaines de commentaires concernent en réalité les sujets les plus divers : la sécurité, l'immigration, le nombre de taxis à Paris, le score de la finale du Mondial de football, les horaires de transport à La Ciotat, la peine de mort, la rencontre Nicolas Sarkozy-Thierry Henry, la réforme de l'éducation nationale... Les commentaires sont également un déversoir de colère et de ressentiment, et els débats entre les internautes y sont assez virulents. Il est d'ailleurs peu probable que Nicolas Sarkozy réponde, lundi à cette masse de questions. En janvier, lors de sa dernière prestation télévisée, son service de presse avait sélectionné huit questions, parmi les centaines posées sur Facebook.
Algérie – A Médéa comme ailleurs, posséder sa propre fontaine est synonyme de prospérité et de bien être pour bon nombre de familles qui jouissent de ce privilège. Beaucoup de résidences ou de « haouchs », érigés à l’intérieur de l’ancien noyau urbain de la ville de Médéa entre le 19ème et 20ème siècle, ou à sa périphérie, disposent d’une fontaine alimentée à partir de sources souterraines dont regorge le sous sol. Ornée de faïences ou de mosaïque, la fontaine est considérée comme un élément essentiel à la vie de ces familles. Plus qu’un simple objet décoratif, les propriétaires voyaient en elle, jusqu’à une date très récente, un signe de distinction sociale. Trônant au milieu de la cour intérieure de la demeure, le fameux « Wast ed-dar », réunit autour d’elle convives et proches à l’occasion des fêtes religieuses, traditionnelles et nuptiales ainsi que durant les longues veillées estivales. source: APS
Comment Sarkozy prépare son émission Demain soir sur France 2, le chef de l’Etat parlera aux Français pour la première fois depuis le début de l’affaire Woerth-Bettencourt. Mais il veut aussi aborder les retraites, la rigueur…
OLIVIER BEAUMONT Agenda totalement vierge pour Nicolas Sarkozy ce week-end : « Le président de la République a tout annulé. Il reste à l’Elysée pour préparer au mieux son intervention sur France 2 et ne sort que pour faire un peu de sport », confie Franck Louvrier, son conseiller en communication.
Chamboulement de programme, donc, alors que le chef de l’Etat a plutôt l’habitude de passer ses week-ends de juillet au cap Nègre (Var), dans la propriété de la famille Bruni-Tedeschi. Lundi soir, pendant une heure, il répondra depuis les jardins de l’Elysée aux questions de David Pujadas.Priorité au dossier des retraitesAu plus bas dans les sondages — 32% de confiance selon notre dernier baromètre CSA —, Nicolas Sarkozy veut faire de cette intervention télévisée « un grand rendez-vous » avec les Français. « Les trois quarts de son intervention vont vraiment porter sur le fond des gros dossiers, précise Louvrier. Il veut apporter des messages clairs sur les grandes réformes, avec une feuille de route pour les six mois à venir. Son idée, c’est de faire de la pédagogie et être bien compris au moment où on demande à tout le monde de faire des efforts. » Pour cela, le président compte s’attarder sur la réforme des retraites, « le projet phare de son quinquennat », qui sera présenté le lendemain, mardi 13, en Conseil des ministres. Il parlera aussi du plan de rigueur adopté dans le cadre du prochain budget. « Les classes moyennes et les plus démunis » seront au cœur de son intervention, précise l’Elysée. Alors que l’opinion a été choquée par le chèque de 30 M€ signé par l’Etat à Liliane Bettencourt, Sarkozy ira-t-il jusqu’à annoncer une suspension du bouclier fiscal? La rumeur circulait hier, mais l’Elysée dément.Eteindre l’incendie Woerth-BettencourtPressé par sa majorité de parler pour tenter de stopper les dégâts de l’affaire Woerth-Bettencourt (lire en page 5), Nicolas Sarkozy fait le pari que son intervention télévisée pourra clore un mois de polémique. « Eric est l’honnêteté faite homme », a-t-il encore déclaré le 30 juin devant les députés de l’UMP. « Il va parler de cette affaire et reviendra aussi sur la question du remaniement, confie l’Elysée. Mais son souhait n’est pas non plus d’y passer tout le temps de l’interview. » Le président ne cache pas qu’il compte beaucoup sur le rapport de l’Inspection générale des finances (IGF), attendu lundi dans la journée, pour démontrer que son ministre du Travail n’a rien commis d’illégal dans le dossier fiscal de Mme Bettencourt.Les médias dans le collimateurDans les ministères, cela ne fait aucun doute : « Sarkozy va en profiter pour se payer en direct, à la télévision, Mediapart et son directeur, Edwy Plenel », affirme un collaborateur de ministre. D’ailleurs, parmi les fidèles du chef de l’Etat, la « petite blague » en vogue consiste à répéter que « Mediapart, ça veut dire Média-partisan ». Cette semaine encore, le site Internet a publié une interview de l’ancienne comptable, Claire Thibout, lui prêtant des propos accusant le président de la République et son ministre du Travail d’avoir obtenu de l’argent en liquide de l’héritière de L’Oréal. Sarkozy, promet son entourage, « va tout mettre sur la table ».
Odyssea : entre terre et mer Evoqué dans "Bienvenue chez vous" le projet Odyssea vient d'être retenu par l'Union pour la Méditerranée qui fédère 43 pays membres. Lancé par la Fédération française des ports de plaisance, il consiste à établir une synergie entre le littoral et l'arrière pays dans le cadre de projets communs économiques, touristiques ou culturels. En alliant le dynamisme des cités portuaires à la richesse des cultures de terroir, ce concept vise à promouvoir un tourisme de qualité capable de proposer un accueil et des services d'excellence avec les différents secteurs de notre région. Selon Serge Pallares, président du groupement européen Odyssea : "Plus de 60 cités portuaires intègrent ce réseau, l'objectif étant d'offrir une autre alternative pour un développement sans effet frontière plus respectueux des cultures locales et de l'environnement. Ce projet va permettre la contribution à un espace de paix et de coopération reposant sur l'environnement, sur le dialogue des cultures et sur la croissance économique". Dans la région, participent à cette dynamique Agde, Palavas-les-flots, Banyuls, Port-Vendres, Le Barcarès, St-Cyprien et Gruissan.
Le débat sur le tourisme revient comme un leitmotiv à chaque début de saison estivale. On parle alors exclusivement de tourisme balnéaire comme si celui-ci se limite uniquement à la baignade et à la mer. «Toute la politique touristique de la wilaya est systématiquement réduite à la préparation de la saison estivale», critique le président de l’Assemblée populaire de wilaya (APW). Pourtant, la région recèle un tas d’autres attractions et de curiosités qui peuvent aisément booster le secteur. Une certaine prise de conscience commence cependant à se manifester çà et là pour encourager l’écotourisme et le tourisme culturel. Les initiatives pionnières du mouvement associatif dans ce registre ont eu des échos aguichants. L’expérience de la restauration du village traditionnel de Djebla (Beni Ksila, côte ouest) a ouvert la voie à la mise en valeur de ce patrimoine. Bénéficiant d’une aide de l’Union européenne, dans le cadre d’un projet d’appui aux associations, le village renoue avec sa vocation de station dédiée à l’écotourisme. Bon nombre de maisons sont déjà entièrement restaurées. «Reconstruction des pans de murs tombés, crépissage, boiserie, soupente…Tout a été remis dans son état initial. Seules les étables ont changé de vocation, elles ont été reconverties en sanitaires ; unique dérogation d’ailleurs prise par mesure d’hygiène notamment, à l’endroit de l’architecture traditionnelle kabyle», annoncent fièrement les promoteurs de ce projet qui s’attendent à recevoir leurs premiers clients au cours de l’été prochain. Aït Amar Ouzeguène, un autre village pittoresque de la région d’Akbou, a également réédité cette expérience louable pour s’offrir une seconde jeunesse. A Tizi n’Berber, sur les hauteurs d’Aokas, une entreprise similaire a été récemment lancée par le comité du village. D’autres hameaux, plantés au milieu d’une nature luxuriante, innovent aussi en instituant des manifestations populaires ouvertes au grand public. Le festival agreste de Djoua (Boukhelifa), la fête de la poterie traditionnelle d’Aït S’maïl (Taskriout), celle de l’artisanat et de la vannerie à Barbacha, pour ne citer que ces trois événements, s’inscrivent dans cette logique de promotion de la villégiature en haute montagne. Du coup, des sites naturels et historiques sont proposés pour la visite. Cascades, falaises abruptes, vestiges anciens, forêts peuplées d’animaux sauvages, lacs et retenues d’eau attirent les excursionnistes et les amateurs de la nature. La déconcentration des espaces culturels (musée de l’eau à Toudja) et la valorisation des stations thermales et climatiques existantes contribuent aussi à cette diversification naissante de l’offre touristique. La seule fausse note dans cette dynamique embryonnaire reste incontestablement la dégradation des routes et des voies d’accès qui desservent ces zones montagneuses souvent enclavées. L’intervention de l’Etat dans ce domaine précis a été, à maintes fois, sollicitée par les citoyens et leurs représentants au sein des comités de village. L’appel attend toujours une réponse à la hauteur des attentes et des espoirs nourris çà et là. K. A.
Selon les prévisions de l’ONS, la population algérienne atteindra, en janvier 2011, 36,3 millions d’individus, compte tenu du taux d’accroissement actuel. Pas d’explosion démographique en Algérie ! L’évolution de la population reste stable. L’Office national des statistiques (ONS) indique que l’Algérie compte, au 1er janvier 2010, 35,6 millions d’habitants. En 2008, l’Algérie comptait 34,8 millions d’habitants. Ainsi, le taux d’accroissement enregistre une légère progression, passant de 1,92% en 2008 à 1,96% en 2009. Et si ce taux se maintient, l’Algérie aura une population de 36,3 millions en janvier 2011. Selon l’ONS, les mariages, les naissances et les décès continuent à augmenter au même rythme que celui enclenché en 2003. En 2009, la population a augmenté de 690 015 personnes, en valeur absolue, par rapport à l’année précédente. Et le nombre des naissances a atteint 849 000, avec une progression de 4% en 2009 par rapport à 2008, indique l’Office, tout en soulignant que la mortalité est plus importante durant la même année avec un taux d’accroissement de 4,51%. Les mariages, quant à eux, ont connu une évolution de 3%, ce qui représente quelque 341 000 nouvelles unions en 2009. La population reste relativement jeune. 28,2% des Algériens ont moins de 15 ans et 10% ont moins de 5 ans. Ce qui consolide les chiffres représentant un accroissement des naissances. La tranche d’âge de 15 à 59 ans représente toujours la majorité avec un taux de 64,4% de la population globale. Le troisième âge (60 ans et plus) vient en dernier avec 7,4%. L’ONS fait état aussi d’un nombre important de femmes qui ont atteint l’âge de procréer. Elles sont 10 millions de femmes, soit près d’un tiers de la population. Cette donnée peut booster la natalité dans un avenir proche, si le nombre de mariages augmente de manière significative. L’évolution récente du nombre de naissances indique que la natalité, en Algérie, maintient le cap vers un niveau de plus en plus élevé, relève l’ONS. Le nombre de nouveau-nés de sexe masculin dépasse légèrement celui des filles. Autrement dit, en 2009, il y a eu 105 garçons pour 100 filles. La mortalité est également en légère hausse en 2009 : il y a eu 6000 décès de plus par rapport à 2008. La mortalité infantile est en revanche en baisse, passant de 25,5% en 2008 à 24,8% en 2009. L’espérance de vie est maintenue à 75,5 ans. Elle est de 74,7 ans pour les hommes et 76,3 ans pour les femmes. Elle est restée presque au même niveau observé depuis 2006 (75,7 ans). Quant au nombre de mariages, il a augmenté de 3% entre 2008 et 2009. La population algérienne a plus que doublé depuis les années 1960. Son accroissement moyen annuel est estimé à 3,2%. En 2002, l’Algérie a cependant enregistré l’évolution de la population la plus basse d’Afrique avec seulement 1,68%. Si dans les années 1970, la population algérienne était fortement concentrée dans le milieu rural, la tendance s’est inversée à partir des années 1990 avec un exode rural massif et un entassement tout autour des grands centres urbains du nord du pays. Aujourd’hui, la population occupe seulement 4% de la superficie de l’Algérie, quatre fois plus grande que la France. Par M. A. O.
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