Monday, March 28, 2011
Mr le Président Nicolas Sarkozy Mr le President Barack Obama Mr le Ministre David Cameron Madame la chancelière allemande Angela Merkel Libye
Romandie News Libye: entretien Sarkozy, Obama, Cameron et Merkel par visioconférence PARIS - Le président Nicolas Sarkozy s'entretenait de la Libye, lundi depuis 19H15 (17H15 GMT), avec son homologue américain Barack Obama, le Premier ministre britannique David Cameron et la chancelière allemande Angela Merkel, a-t-on appris auprès de la présidence française. Selon la présidence, cet entretien par visioconférence devait durer environ 40 minutes, durant lesquelles les quatre dirigeants examinaient la situation en Libye, à la veille de la réunion, lundi, du "groupe de contact". Une quarantaine de pays sont attendus mardi à Londres pour la première réunion de ce "groupe de contact" sur la Libye, chargé du "pilotage politique" des frappes militaires désormais sous commandement de l'Otan et de la préparation de l'après-Kadhafi. Ils devraient également évoquer l'initiative prise lundi par deux d'entre eux, Nicolas Sarkozy et David Cameron. Dans une déclaration conjointe, le président français et le chef du gouvernement britannique affirment que "Kadhafi doit partir immédiatement" et appellent ses partisans à "le quitter avant qu'il ne soit trop tard". (©AFP / 28 mars 2011 19h54)
Mr Le President Nicolas Sarkozy Mr le Premier ministre David Cameron Libye
Mr le President Nicolas Sarkozy et Mr le premier Ministre David Cameron affirment que "Kadhafi doit partir immédiatement" et appellent ses partisans à "le quitter avant qu'il ne soit trop tard", dans une déclaration conjointe, publiée à la veille de la réunion, à Londres, du "groupe de contact" sur la Libye. Ils appellent également le Conseil national de Transition libyen à "instaurer un dialogue politique national" afin d' "organiser la transition."
Les Vingt-sept clarifient position sur la Libye
Les Vingt-sept clarifient leur position sur la Libye [Fenêtre sur l'Europe] Sept jours après le début des opérations militaires, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE ont clarifié leur position sur l’intervention en Libye, lors du Conseil européen des 24 et 25 mars à Bruxelles. Rien, pourtant, ne laissait prévoir un tel rapprochement tant les divisions entre les Vingt-sept sur l’objectif et la finalité de cette opération étaient fortes
Le Président Mr Nicolas sarkozy le Président qui à démocratisé la maladie alzheimer
La maladie d'Alzheimer est une maladie neurodégénérative du tissu cérébral qui entraîne la perte progressive et irréversible des fonctions mentales et notamment de la mémoire. Elle fut initialement décrite par le médecin allemand Aloïs Alzheimer (1864-1915). Principale cause de démence chez les personnes âgées, elle touche environ 26 millions de personnes dans le monde en 2005 et pourrait en toucher quatre fois plus en 2050 selon l'ouvrage « Global prevalence of dementia: a Delphi consensus study »[1]. Généralement diagnostiquée à partir de l'âge de 65 ans, les premiers signes de la maladie d'Alzheimer sont souvent confondus avec les aspects normaux de la sénescence ou d'autres pathologies neurologiques comme la démence vasculaire ce qui fit qu'elle fut sous-diagnostiquée jusque dans les années 1960. Elle est en 2010 une des maladies les plus coûteuses aux économies des pays développés: 604 milliards de USD. Selon le "World Alzheimer Report 2010", 35,6 millions de personnes vivent avec une maladie d'Alzheimer dans le monde. Ce nombre va monter à 65.7 millions en 2030 et 115,4 millions en 2050. Le diagnostic de la maladie repose essentiellement sur des tests neuropsychologiques et sur la mise en évidence d'une atrophie corticale qui touche d'abord le lobe temporal interne et notamment l'hippocampe, régions importantes pour la mémoire. Les premiers symptômes consistent en des pertes de souvenir (amnésie) qui se manifestent initialement par des distractions mineures qui s'accentuent avec la progression de la maladie, tandis que les souvenirs plus anciens sont relativement préservés. L'atteinte neurologique s'étend par la suite aux cortex associatifs frontaux et temporo-pariétaux, se traduisant par des troubles cognitifs plus sévères (confusions, troubles de l'humeur et des émotions, des fonctions exécutives et du langage) allant jusqu'à la perte des fonctions autonomes et la mort. La vitesse et l'évolution de la maladie sont variables d'un individu à l'autre rendant difficile tout pronostic précis, ainsi l'espérance de vie varie de 3 à 8 ans selon l'âge du patient au moment du diagnostic[2]. Les changements psychologiques induits par la maladie influent sur les qualités humaines essentielles et pour cette raison la maladie d'Alzheimer est quelquefois décrite comme une maladie où les victimes subissent la perte de qualités qui forment l'essence de l'existence humaine. En 2010, il n'existe pas de traitement efficace contre la progression de la maladie. Les interventions proposées sont principalement d'ordre palliatif et n'ont qu'un effet limité sur les symptômes. Étant donné la prévalence de la maladie, un important effort est mené par l'industrie pharmaceutique pour découvrir un médicament qui permettrait de stopper le processus neurodégénératif. La principale piste de recherche vise à s'attaquer aux plaques amyloïdes qui se forment entre les neurones au cours de la maladie et aux agrégats de protéines tau formant les dégénérescences neurofibrillaires à l'intérieur des neurones. Bien que les causes exactes de la maladie d'Alzheimer restent encore mal connues, on suppose que des facteurs génétiques et environnementaux contribuent à son apparition et à son développement. Des mutations génétiques ont été identifiées dans les cas familiaux à début précoce qui représentent moins de 5 % des patients atteints par la maladie d'Alzheimer. Pour la forme la plus courante, dite « sporadique », les allèles de plusieurs gènes (codant notamment pour l'apolipoprotéine E) augmentent le risque de développer la maladie. Alors que l'hygiène de vie joue un rôle avéré dans le risque d'apparition et de progression de la maladie, diverses études épidémiologiques et toxicologiques ont aussi mis en exergue des facteurs de risques environnementaux tels que la présence de métaux comme l'aluminium dans l'environnement, tout particulièrement sous forme hydrique (Henri Pézerat, André Picot et l'étude Paquid menée par l'Inserm dans 75 communes françaises[3]). Évoquant le doute, les autorités sanitaires et politiques (conférence de presse du ministère de la Santé, 14 octobre 1998) n'ont pas encore décidé de réduire les normes applicables aux taux d'aluminium dans l'eau de consommation. De même, ont été soulevés le problème de l'exposition à des solvants ou aux champs électromagnétiques ou encore le contact avec les métaux lourds (notamment le mercure des amalgames dentaires). Mais, à l'heure actuelle, la communauté médico-scientifique ne s'accorde pas sur l'interprétation des résultats de recherche. Auguste D.Aloïs Alzheimer (1864-1915) est un psychiatre et un neuropathologiste allemand du début du XXe siècle qui étudia le cerveau des personnes atteintes de démence, grâce à une nouvelle technique de coloration à l'aniline et des imprégnations argentiques. En 1907, Aloïs Alzheimer décrivit pour la première fois les altérations anatomiques observées sur le cerveau d'une patiente de 51 ans, Auguste D. Atteinte de démence, elle présentait également des hallucinations visuelles et des troubles de l'orientation. En 1911, Alzheimer découvrait un cas identique à celui d'Auguste D. C'est le psychiatre Emil Kraepelin (1856-1926) qui proposa que la maladie porte le nom d'Alzheimer, du nom de son découvreur. L'après-baby boom (ou papy boom), la maitrise de la fécondité et le progrès médical conduisent les sociétés à devoir vivre une période où les personnes âgées seront très nombreuses. Cette maladie fait donc l'objet d'une attention particulière, notamment en France avec l'observatoire national sur la recherche sur la maladie d'Alzheimer (ONRA)[4]. En 2009, la maladie d'Alzheimer explique plus de la moitié des cas de démence de la personne âgée dans les pays riches ; un peu comme les gestes d'une vie active expliquent une bonne partie de l'usure des mains d'ouvr
Mr le Président Nicolas Sarkozy Rendons à César, ce qui est à César
Syrie 1963 2011
l'état d'urgence en place depuis 1963 La Syrie, en forme longue la République arabe syrienne, en arabe Suriyah, سوريا et Al Jumhuriyah al Arabiyah as Suriyah, الجمهورية العربية السورية, est un pays arabe du Proche-Orient situé sur la côte orientale de la Méditerranée : le bassin Levantin. La Syrie se nommait jusqu'au XIXe siècle Bilad al-Cham (بلاد الشام). Cette région fut un temps regroupée comprenant la Syrie actuelle, le Liban actuel, la Jordanie actuelle, la Palestine. Durant l'Antiquité, ces pays étaient distinctement la Phénicie, la Palestine, l’Assyrie et une partie de la Mésopotamie occidentale. L’origine du nom « Syrie » n'est pas certaine. Il pourrait venir du grec ancien et désignerait à l’origine la terre d’Aram, mais Hérodote y voyait plutôt une forme abrégée d’Assyrie, tandis que les historiens modernes le font remonter à divers toponymes locaux. Il apparaît pour la première fois en grec et n’a pas d’antécédents identifiables, ni dans la forme ni pour le contenu, dans les textes pré-hellénistiques. Bien établi dans l’usage officiel romain et byzantin, il disparaît au VIIe siècle avec la conquête musulmane, mais continue à être utilisé en Europe. Dans le monde arabo-musulman, la région autrefois appelée « Syrie » portait le nom de Sham (شام) qui était aussi celui de sa capitale, Damas. Le nom « Syrie », en arabe Souriya (سوريا), était inconnu jusque dans la seconde moitié du XIXe siècle où il ressurgit sous l’influence européenne. En 1865, il devient le nom officiel d’une province, celle du vilayet de Damas. C’est après l’établissement du mandat français en 1920, qu’il désigne l’État syrien actuel Le pouvoir syrien est fondé sur deux piliers : l’idéologie socialiste ba'athiste et sur les liens entre membres de la communauté musulmane alaouite. Officiellement, la Syrie est une république parlementaire. Les Syriens sont régulièrement appelés aux urnes. L’ancien président syrien, Hafez el-Assad, chef de l’État de 1970 à sa mort en 2000, a été confirmé dans ses fonctions de chef de l’État par cinq référendums successifs. Le président actuel est Bachar el-Assad, qui a succédé à son père le 17 juillet 2000. Lui aussi a été élu par référendum en 2000. Hafez el-Assad a pris le pouvoir après un coup d'État en 1970, après avoir déposé Salah Jedid, il devient l’homme fort de la Syrie. Hafez el-Assad est, après le roi Hassan II du Maroc, le chef d’État arabe qui est resté le plus longtemps au pouvoir. Cette longévité provient essentiellement du fait qu’il était soutenu par des minorités religieuses, dont la minorité religieuse alaouite. Il est aussi soutenu par beaucoup de fermiers et par les Syriens vivant dans les milieux ruraux. L’expansion de la bureaucratie a créé une classe moyenne qui reste fidèle au gouvernement. Mais l’essentiel de sa puissance venait de l’armée syrienne et de son appareil de sécurité. Un autre facteur de son maintien au pouvoir est le nationalisme, dont entre autres les conflits qui l’opposait et qui oppose la Syrie aux États-Unis, à Israël et à l’Irak de Saddam Hussein. Chacune des trois branches du gouvernement est guidée par les objectifs du parti Baas, dont l’importance dans les institutions d’État est assurée par la constitution. 8 partis politiques ont été légalisés dans le pays, ils font tous partie du Front national progressiste. Le FNP est dominé par le parti Baas. En plus de celui-ci, en sont membres : le Mouvement des socialistes arabes, le Parti communiste tendance Bagdash, le parti communiste tendance Faysal, le Parti social-nationaliste syrien (Grand-syrien), l’Union socialiste arabe (nassérienne), l’Union démocratique arabe (nassérienne), Le Parti unioniste socialiste (nassérien) et le parti unioniste socialiste démocratique (nassérien). C’est la même chose pour le parlement, le Conseil du peuple (Majlis al-Sha'ab). Les députés sont élus pour une durée de quatre ans, mais le Conseil n’a aucune autorité indépendante. Bien que les parlementaires puissent critiquer des lois et modifier des projets de loi, ils ne peuvent pas faire de proposition de loi, et les décisions finales sont prises par la branche exécutive. Avec l’arrivée au pouvoir de Bachar el-Assad en juillet 2000, les Syriens et en particulier les militants pour les droits de l’homme ont espéré une certaine libéralisation du pays ; c’est ce qu’on a appelé le printemps de Damas. Ce printemps n'a pas duré longtemps, il s'est terminé en février 2001, lorsque les services de sécurité ont gelé l'activité des forums intellectuels, culturels et politiques, par la poursuite des militants pour les droits de l'homme et leur emprisonnement. Dans cette courte période de 6 mois, le printemps de Damas a vu des débats politiques et sociaux intenses, d'une part, et d'autre part il a conservé un écho qui sonne encore dans les débats politiques, culturels et intellectuels jusqu'à aujourd'hui en Syrie. D’après le site de statistiques Nationmaster, la Syrie se trouve au 13e rang mondial pour les effectifs militaires et au 5e rang mondialpour les effectifs militaires par tête (2008). GouvernementLa Constitution syrienne investit le parti Baas des fonctions nécessaires pour conduire l’État et la société. Elle donne par ailleurs de larges compétences au président. Le président est élu après un référendum pour un mandat de sept ans. En plus d’exercer la charge de chef de l’État, il est le secrétaire général du parti Baas et le chef du Front national progressiste, qui regroupe toutes les organisations politiques légales. Le président peut nommer les ministres, déclarer la guerre, et déclarer l’état d'urgence. Il a aussi le pouvoir d’amnistie, il peut modifier la Constitution et nommer les fonctionnaires et le personnel militaire. C’est avec le Front national progressiste que le président peut décider des questions de relations internationales, c’est aussi le FNP qui approuve la politique économique de l’État. Le FNP est aussi un forum d’idées dans lequel la politique économique et l’orientation du pays sont débattues.
Algérie Visas accords France 1968
L’Algérie veut garder les privilèges contenus dans les accords signés avec la France en 1968 en matière de visas, a déclaré le Secrétaire d’Etat chargé de la Communauté algérienne établie à l’étranger, Halim Benatallah, dans des entretiens parus dimanche à Alger.
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