阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Thursday, January 07, 2010

Algérie: 1er salon de la sous-traitance 3 au 6 mai prochain



Algérie: 1er salon de la sous-traitance « ALGEST’2010″ du 3 au 6 mai prochain
La première édition du salon de sous-traitance »Algérie sous-traitance » (ALGEST’2010), se tiendra du 3 au 6 mai prochain au palais des expositions (Pins maritimes) avec la participation de nombreuses entreprises algériennes et étrangères relevant de divers secteurs industriel et de services, a annoncé mercredi le directeur général du World trade center Algeria (WTCA), M. Sid [...]
La première édition du salon de sous-traitance »Algérie sous-traitance » (ALGEST’2010), se tiendra du 3 au 6 mai prochain au palais des expositions (Pins maritimes) avec la participation de nombreuses entreprises algériennes et étrangères relevant de divers secteurs industriel et de services, a annoncé mercredi le directeur général du World trade center Algeria (WTCA), M. Sid Ahmed Tibaoui lors d’une conférence de presse.
Organisé conjointement par cet organisme et la Bourse algérienne de sous-traitance du Centre ainsi que la Bourse française de sous-traitance de l’Est (Nancy), ce salon spécialisé cible les secteurs respectivement de l’industrie mécanique, métallique et métallurgique, de l’industrie des plastiques, caoutchoucs et composite, de l’industrie électrique et électronique, du papier, du verre et de la céramique, machines et équipements ainsi que le transport.
source: APS

OSEO





OSEO finance un projet de biocarburant de 2e génération
(src : OSEO)
Deinove, Jeune Entreprise Innovante (JEI) de biotechnologie a reçu une aide de 6 millions d'euros de la part d'OSEO dans le cadre du programme Innovation Stratégique Industrielle (ISI), pour la réalisation du projet Deinol.
Deinove, start-up parisienne, est spécialisée dans la recherche et le développement de procédés innovants pour la production de biocarburants.Elle est le chef de file du consortium Deinol, auquel participent également un industriel leader de la production d'éthanol en Europe, ainsi que deux partenaires académiques, le CPBS (CNRSUniversité de Montpellier 1) et le LISBP (INSA Toulouse/CNRS/INRA).Le projet Deinol a pour objectif, d'ici à 2014, d'ouvrir la voie à la production d'éthanol lignocellulosique (éthanol de 2e génération) dans les installations industrielles existantes et sans investissements majeurs.L'approche de Deinove est basée sur l'exploitation des propriétés exceptionnelles de résistance, de digestion de la biomasse et de fermentation des bactéries du genre Deinococcus.OSEO- programme ISI soutient le projet Deinol à hauteur de 8,9 millions d'euros sur un total de 21,4 millions d'investissements. 6 millions sont attribués à Deinove.« Nous sommes particulièrement fiers qu'OSEO nous ait accordé sa confiance pour ce projet qui peut positionner la France à la pointe dans le domaine des bioénergies. Cette aide de 6 millions d'euros va nous permettre d'accélérer le développement de nos nouveaux procédés de production de bioéthanol et de positionner Deinove en première ligne de la révolution verte qui s'amorce », a souligné Jacques Biton, Directeur Général de Deinove.

Algerie Espagne une coopération privilégiée



Une coopération privilégiée

La visite aujourd’hui à Madrid du Président, Abdelaziz Bouteflika, ses entretiens avec le Roi Juan Carlos et ceux qu´il aura avec le président du gouvernement, M. Jose Luis Zapatero, dans le cadre de la réunion annuelle de la Commission mixte algéro-espagnole, est l´occasion pour Madrid et Alger, de faire le point des relations qui ont connu, depuis le début des années 2000, un saut qualitatif, dans tous les domaines. Entre le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et le Président du gouvernement espagnol, M. Jose Luis Zapatero, il sera, bien sûr, question de coopération économique entre les deux pays, surtout dans le domaine énergétique, à la veille de l´entrée en service, prochainement, du second projet de gazoduc qui reliera directement les deux pays. Le Medgaz. Le gouvernement espagnol, après une certaine hésitation a décidé, en 2004, avec l´arrivée des socialistes au pouvoir, d´accélérer la mise en œuvre de ce projet vital pour l´économie du pays en matière d´énergie propre, disponible et à bon marché. Le Medgaz intervient au bon moment, c´est-à-dire au moment où l´Espagne éprouve des difficultés à stabiliser son marché énergétique. Cette réalité s´est confirmée l´hiver à la suite des fréquentes pannes des centrales nucléaire, dont Asco, et de la guerre du gaz entre la Russie et l´Ukraine avec ses répercussions sur l´ensemble du marché de l´Union européenne qui veut un partenariat stratégique en matière d´énergie avec l´Algérie. L´Espagne qui préside l´Union européenne pour le semestre en cours œuvrera pour la réalisation de cet objectif. . Le Medgaz se présente comme le fleuron de la coopération algéro-espagnole, en ce moment. Cette coopération se distingue, toutefois, par la qualité des liens qui unissent Madrid et Alger sur tous les plans et la promotion du partenariat entre les entreprises des deux pays. Les hommes d’affaires espagnols n´ont jamais été aussi nombreux à se rendre en Algérie où ils perçoivent clairement les avantages du marché le plus attractif de la rive sud de la Méditerranée. Entre les deux pays, les litiges quand il existent sont le fait des entreprises et non des gouvernements. Tous les autres dossiers ne seront donc pas en reste au cours de cette importante visite du Président Bouteflika qui devrait renforcer davantage encore les liens de qualité qui unissent, traditionnellement, l´Algérie à l´Espagne. De l´avis des experts des deux pays, la convergence de vue sera totale entre Alger et Madrid sur l´ensemble des questions à l´ordre du jour de la Haute commission bilatérale. Entre les deux capitales, il n´existe, en effet, aucun dossier litigieux, et c´est pourquoi Bouteflika et Zapatero, ne feront que constater une fois de plus la qualité des liens qui unissent leurs deux pays, depuis la signature du Traité d´amitié de coopération et de bon voisinage qui lie les deux pays depuis le début des années 2000. Le sommet premier bilatéral algéro-espagnol, en octobre 2002 a eu, également, une grande valeur symbolique car il est venu confirmer l´élévation du niveau des relations bilatérales à un niveau privilégié, même si l’Algérie et l’Espagne ne partagaient pas alors les mêmes points de vue sur certaines questions internationales comme l’Irak.Au plan politique comme au plan économique, il n´y a pas de risque que les positions deux pays divergent sur les dossiers importants. Il n´y a pas le moindre problème sérieux tel que celui de l´immigration, domaine où la ccopération entre Alger et Madrid est exemplaire. L’Algérie est consciente que ce phénomène puisse constituer uner grande préoccupation pour l’Europe qui est confrontée à un autre fléau, la comme drogue, étranger à notre pays. Madrid et Alger convergent aussi sur la lutte anti-terroriste, les deux capitales coopérant étroitement sur ce plan par des échanges d´informations sur les réseaux terroristes d’El Qaeda qui menacent les deux pays. L’Algérie s´est solidarisée avec l’Espagne lors des attentats du 11 mars 2003 et n´a jamais été absente sur le front de la lutte internationale contre ce fléau. Bien au contraire elle occupe les premières lignes. Le Président Bouteflika à, toutefois, toujours tenu à discerner entre le terrorisme islamiste et la lutte des mouvements palestiniens contre l’occupation étrangère en Palestine comme en Irak. Une position traditionnelle fondée sur les principes et le respect de la légalité internationale et le droit des peuples à disposer de leur sort comme au Sahara occidental. B. H.

Sommet algéro-espagnol de Madrid



Le sommet algéro-espagnol de Madrid, une occasion supplémentaire pour renforcer le partenariat entre les deux pays

La tenue, aujourd’hui à Madrid, de la 4e réunion de haut niveau algéro-espagnole qui sera co-présidée par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, et le président du gouvernement espagnol, Jose Luis Rodriguez Zapatero, traduit l’intérêt des deux pays à consolider un partenariat stratégique où "se distingue la position de l’Algérie comme pays voisin et partenaire de premier ordre de l’Espagne" dans nombre de domaines. Cette "importante" rencontre se tient de plus dans un "contexte positif des relations entre les deux pays, marqué par une forte augmentation des rapports économiques bilatéraux, la récente amélioration de la question de l’immigration et l’absence de contentieux concernant le gaz", tient-on à préciser à la présidence du gouvernement espagnol. L’Espagne qualifie, en outre, de "satisfaisante" sa coopération avec l’Algérie en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme, marquée par un "bon niveau" d’échange d’informations, rappelant la signature, en juin 2008, d’un accord dans ce sens qui a été ratifié par les deux pays et entré en vigueur en mars 2009. Cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre du Traité d’amitié, de bon-voisinage et de coopération, signé entre les deux pays en 2002, aura un caractère "éminemment économique", selon la même source, bien qu’elle aborde également la coopération dans le domaine de la lutte contre le terrorisme, l’immigration, la question du Sahara occidental et les relations UE-Algérie. Au sujet du conflit sahraoui, l’Espagne a rappelé qu’elle a un "engagement actif avec le règlement négocié du conflit du Sahara occidental, qui permette l’exercice du droit à l’autodétermination, et assume un rôle solidaire à l’égard de la situation humanitaire de la population sahraouie réfugiée". "L’objectif de l’Espagne est de parvenir à progresser dans la voie d’une solution dans le cadre des Nations unies", précise-t-on.Il sera question également d’évoquer la coopération énergétique entre les deux pays, puisque l’Algérie est le premier fournisseur de gaz naturel de l’Espagne, représentant ainsi autour de 35% des importations espagnoles, dans l’attente de la prochaine mise en service du gazoduc Medgaz devant relier directement les deux pays. Pour Madrid, les possibilités des relations économiques avec Alger "vont au-delà de la question énergétique", en rappelant l’implantation en Algérie d’entreprises espagnoles d’importance considérables dans plusieurs secteurs d’activités. Les exportations espagnoles vers l’Algérie se développent à un "bon rythme" et l’Espagne se présente actuellement comme le quatrième fournisseur de l’Algérie. Parmi les pays de l’UE, ce pays est considéré comme le premier investisseur en Algérie avec près de 30% et son deuxième client avec 13,63%, selon les chiffres officiels de la présidence du gouvernement espagnol. Les deux pays sont intéressés, par ailleurs, à approfondir les relations bilatérales dans d’autres domaines comme les travaux publics, les transports, l’eau, l’agriculture et la construction de logements, tout en progressant dans des thèmes concrets comme l’ouverture du marché de transport aérien entre l’Algérie et l’Espagne ou encore dans la participation des entreprises espagnoles dans des projets ferroviaires de haute vitesse, relève-t-on. La dernière visite en Espagne du président Bouteflika remonte à mai 2006 où il a assisté à Séville (Andalousie) à l’inauguration de la grande exposition sur la vie et l’œuvre d’Ibn Khaldoun et sa contribution au rapprochement entre les mondes européen et arabo-musulman. La première réunion de haut niveau s’est tenue à Alger en 2003, la deuxième à Madrid en 2005 et la troisième de nouveau à Alger en 2006, rappelle-t-on.APS

Oran tramway, téléphérique et ascenseur



Tramway, téléphérique et ascenseur : Oran sur la bonne voie


2010 sera l'année du lancement de plusieurs projets qui viendront " parachever " en quelque sorte les nombreux autres projets en cours de réalisation et qui vont donner sur le long terme une dimension de grande métropole à la ville d'Oran a indiqué le wali. Dans ce schéma de quasi bouleversement de l'espace oranais, l'exemple du transport et de la circulation mérite un arrêt. Le tramway est à lui seul un symbole de cette prétention affichée par El Bahia de se doter des infrastructures dignes des grandes métropoles du bassin méditerranéen. Tunis a son tramway depuis 1985 ( un peu hybride en mode métro ; les rames circulent en extérieur et en voie souterraine ). Casablanca poumon économique du royaume marocain comme d'ailleurs sa capitale politique Rabat auront aussi leur tramway pour la première en 2012 et la seconde a la fin de cette année. c'est dire pour ne rester qu'au niveau régional que le tramway, en plus, de son efficacité prouvée pour fluidifier la circulation a un certain " charme " qui ajoute un plus à l'attrait touristique. Le tramway d'Oran dont la première tranche sera livrée vers décembre 2010 aura pour point de départ la commune d'Es Sénia et point d'arrivée Sidi Maarouf. Il traversera la ville d'Oran en passant par l'Ensep ( à proximité des cités universitaires qui abritent des milliers d'etudiants), Boulanger, la ville nouvelle et place du 1er Novembre …en tout un premier tracé de presque 20 km qui sera étendu au delà d'Es Senia jusqu'à l'aéroport et qui ira encore plus loin que Si Maarouf! Les prévisions des services techniques de la wilaya avancent une population de presque 90 millions de passagers par an qui choisiront les 30 rames de ce tramway comme mode de déplacement. Il faudrait bien sûr que la volonté " citoyenne " participe a cet effort et délaisse pour partie les voitures pour les déplacements quotidiens au profit de ce nouveau moyen de transport. Il est prévu d'ailleurs de faciliter un peu ce choix par la réalisation de grands parkings a plusieurs points d'entrée de la ville qui reçoit selon les propres déclarations du wali d'Oran " 500.000 personnes par jour " dans ce qu'on appelle communément l'émigration pendulaire..Des gens qui travaillent intra muros ou viennent dans cette ville pour différents motifs (médical, administratif etc...) Certains " investisseurs " qui ont bénéficié de terrains pour réaliser des parkings n'ont malheureusement pas satisfait au cahier des charges ce qui a contraint l'autorité wilayale à les dessaisir de ces projets…des terrains qui attendent preneur a lancé le wali en direction de tout effort particulier visant à lancer ces parkings qui tardent à venir au moment où le stationnement en ville devient problématique. En plus du tramway le téléphérique d'Oran dont la trajectoire était victime des " aléas de la vie " sera bientôt géré par l'Entreprise de Gestion du Transport Urbain d'Oran ( ETO) une structure sur laquelle s'appuie la direction du transport pour sortir, du marasme, la circulation à Oran . On annonce sa mise en service pour très bientôt au moment où une réflexion est engagée par la wilaya pour un second téléphérique. Un autre projet sera bientôt lancé, il s'agit d'un ascenseur public qui reliera le port au front de mer à l'instar de celui en service à Alger au square port Said . M. Koursi





Tlemcen Khalida Toumi projet culturel



Tlemcen : Khalida Toumi donne le coup d’envoi d’un méga projet culturel

“Nous sommes là pour coordonner nos eforts avec les autorités de la wilaya de Tlemcen afin de représenter dignement l’Algérie lors de la manifestation culturelle Tlemcen capitale de la culture islamique 2001”, c’est en ces termes que la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi a résumé l’objet de sa visite de travail effectuée hier à Tlemcen, avec les cadres de son secteur où l’occasion lui a été offerte pour voir de près les différents projets lancés afin de préparer cet événement de dimension internationale.La représentante du gouvernement a entamé sa visite en se rendant dans la commune de Mansourah où elle a procédé à la pose de la première pierre du projet de réalisation d’un centre des études andalouses. Doté d’une enveloppe de 40 milliards de dinars, ce méga projets dispose d’une capacité pédagogique de 500 places et renferme plusieurs installations et dépendances notamment salle de conférence, salle de cours, laboratoire etc. Après cette étape, la ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi a pris connaissance du taux d’avancement des travaux de réalisation d’un palais de la culture qui s’étend sur une superficie de 10.000 m2. Poursuivant sa visite, la délégation ministérielle s’est rendue successivement au minaret de Mansourah et le palais d’El Machoua, où elle s’est enquis des travaux de restauration des monuments et sites datant de l’époque des Zianides. La ministre a clôturé sa visite à Tlemcen en se rendant au musée de Tlemcen ainsi que les deux salles de cinéma ex-lux et ex-Colisée , objet de travaux d’aménagement et un beau lifting après un état de nécrose dans lequel ils se sont vautrés depuis trois décennies.Sofiane Z.

Algest 2010



Partenariat Algéro-Français: 15 entreprises lorraines implantées en Algérie
Algérie-France Nous pensons que c’est le bon moment d’investir en Algérie où il y a plus de sérénité et où nous percevons mieux le discours sur l’investissement », a notamment déclaré hier Jean-Michel Laurent, directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie de Meurthe et Moselle (France) et représentant la Bourse de sous-traitance de l’Est (Nancy).
Intervenant lors d’une conférence de presse consacrée à la présentation du Salon de la sous-traitance Algest 2010 qui sera organisé en mai prochain à Alger, le représentant de la région Lorraine s’est montré optimiste et très favorable au marché algérien : « Nous n’avons jamais eu autant d’entreprises intéressées par l’Algérie, où il y a aujourd’hui des frémissements qui n’étaient pas perceptibles il y a 10 ou 15 ans. » Abondant dans le même sens, Abdelkader Raffed, directeur de la représentation de la CCI Meurthe et Moselle, créée en 2003 en Algérie, estime que « la visibilité est aujourd’hui plus grande ». « Nous sommes loin des slogans du début, lors de l’ouverture de l’Algérie à l’investissement étranger.
Actuellement, nous avançons beaucoup mieux et les entreprises lorraines qui, au début, venaient certes dans le cadre de l’export uniquement, ont fini par découvrir les vraies potentialités du marché algérien où elles se sont implantées dans beaucoup de domaines avec succès », ajoute encore M. Raffed. Il appuie ses propos en signalant qu’une quinzaine d’entreprises sont en affaires en Algérie et produisent localement, encouragées par des avantages liés au coût de la main-d’œuvre et de l’énergie. Il citera notamment une entreprise de mobilier design implantée à Oran, qui emploie une centaine de personnes et qui a entièrement équipé l’hôtel Sheraton d’Oran et devrait en faire de même pour le Sheraton d’Alger. Les entreprises françaises, au même titre que les entreprises étrangères représentant l’Allemagne, l’Espagne, la Belgique, la Turquie, le Maroc… pourront « profiter d’Algest 2010 pour approfondir le marché algérien qui souffre encore, note M. Raffed, d’un gros déficit de communication ».
Le rendez-vous de la sous-traitance
Le Salon Algest est organisé par le World Trade Center Algeria (WTCA), en partenariat avec la Bourse algérienne de sous-traitance, l’Onudi et la Bourse de sous-traitance de l’Est qui a obtenu le soutien de l’organisme UBI France. Le Salon des sous-traitants et des donneurs d’ordre de différents secteur industriels et de services est considéré, par ailleurs, par les entreprises françaises comme « un rendez-vous idéal pour prospecter et conclure des contrats en Algérie ». Le directeur général du WTCA, Sid Ahmed Tibaoui, a, de son côté, insisté hier sur le fait qu’Algest 2010 devrait permettre aux entreprises algériennes de « trouver des partenariats effectifs qui profiteront à la production algérienne » et « s’inscriront en droite ligne de l’objectif tracé par le gouvernement à travers la LFC 2009 ». Il citera « les opportunités qui s’offrent aux sous-traitants par exemple dans le domaine du rail à la faveur de l’enveloppe de 80 milliards de dollars dégagée par le gouvernement à l’horizon 2015 ».
source: Elwatan

Algerie autoroute Est-Ouest: Alger-Bouira en 40 minutes



Autoroute Est-Ouest: Alger-Bouira en 40 minutes
par K. R.

Même si une date approximative de la mise en service du dernier tronçon autoroutier du centre séparant Chlef de Bordj Bou-Arréridj n'a pas été avancée hier par le ministre des Travaux publics, M. Ghoul, il n'en demeure pas moins que la cadence des travaux est satisfaisante, selon le premier responsable du département ministériel concerné. En visite hier au niveau de cette partie de l'autoroute Est-Ouest séparant la wilaya de Boumerdès de celle de Bouira, le ministre a inspecté les ouvrages d'art et les deux tunnels en voie de réalisation. Il est à noter qu'il reste à achever seulement 20 km entre Boumerdès et Bouira sur les 600 km qui concernent le lot centre de l'autoroute Est-Ouest entre Chlef et Bordj-Bou-Arréridj. Au niveau d'un premier tunnel long de 1.474 mètres, le taux de réalisation est de l'ordre de 96%, et il est prévu l'achèvement des travaux au courant de ce mois de janvier, selon le ministre. Pour ce qui est du «tunnel 2», long de 3.463 mètres, les choses sont plus compliquées du fait de la nature du relief. Néanmoins, le taux d'avancement des travaux est très appréciable, de l'ordre de 80%. Lors d'un point de presse sur les lieux du chantier de cet important tronçon, M. Ghoul a insisté sur le fait que cette partie de l'autoroute Est-Ouest, qui rattache Larbatache à Boumerdès par Lakhdaria, au niveau de la wilaya de Bouira, est d'une priorité extrême eu égard au désengorgement qu'elle va entraîner par rapport à la RN.5. Sans mettre la pression sur les entreprises réalisatrices du projet, le ministre a reconnu que ce couloir est l'un des plus complexes à tout point de vue. Au passage, il n'a pas manqué de mettre un exergue les efforts fournis par les autorités de la wilaya de Boumerdès ainsi que les services de sécurité, notamment lorsqu'il s'agit de la sécurisation de cette zone et de l'emploi des explosifs. Il faut savoir qu'après la livraison de ce tronçon, l'automobiliste traversera la distance entre Alger et Bouira en une durée approximative de 40 minutes. Enfin, avant de quitter le chantier, un groupe de travailleurs algériens a accosté le ministre pour lui faire part de leurs préoccupations professionnelles, et en premier lieu le salaire qui ne dépasse pas les 15.000 dinars et l'absence de contrat de travail avec l'entreprise chinoise CITIC. 0 fois lus
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Algerie salon dédié au secteur de la sous-traitance.



Sous-traitance cherche partenariat
par Z. Mehdaoui

Le World Trade Center Algérie (WTCA), en collaboration avec la Bourse algérienne de sous-traitance du Centre et la Bourse de sous-traitance de l'Est à Nancy (France), organise du 3 au 6 mai 2010 un salon dédié au secteur de la sous-traitance. Plusieurs pays, notamment la France, l'Espagne, la Turquie et le Maroc, devraient prendre part à l'événement qui sera abrité par la foire des expositions, aux Pins maritimes, à Alger. Le salon (ALGEST 2010), le premier du genre dans notre pays, ciblera plusieurs secteurs, notamment les industries mécaniques, métalliques et métallurgiques, les industries des plastiques, caoutchoucs et composites, les industries électriques et électroniques, les industries chimiques, du verre et de la céramique mais aussi les matériaux de construction et le transport. Dans une conférence de presse organisée au siège de WTCA à Hydra, Ahmed Tibaoui, directeur général du World Trade Center Algérie, a affirmé que le salon sera l'occasion de «susciter des partenariats» en matière de sous-traitance avec les entreprises étrangères qui prendront part à cet événement. Tibaoui est convaincu que plus que jamais, il existe une «prise de conscience» dans notre pays d'aller vers le renforcement de la production nationale. Le salon, ajoute-t-il, s'inscrit en droite ligne avec les nouvelles orientations décidées par le gouvernement dans le cadre notamment de la loi de finances complémentaire 2009. Le directeur de WTCA appelle à encourager l'outil national de sous-traitance qui pourrait facilement réduire la facture d'importation, d'autant plus, estime-t-il encore, que nombre de produits pourraient facilement être fabriqués en Algérie. Tout comme il soulignera que l'événement s'inscrit dans une dynamique nationale de relance économique avec les grands chantiers lancés par l'Algérie ou qui sont en cours, en matière d'infrastructures routières, ferroviaires, hydrauliques, ainsi que les nombreux programmes immobiliers et les projets industriels dans les divers secteurs économiques. Quelque 80 milliards de dollars seront consacrés uniquement pour le rail dans notre pays, a-t-il déclaré, ce qui constitue à coup sûr un argument de taille pour toutes les entreprises étrangères qui veulent se lancer dans le partenariat. L'avantage en Algérie, poursuit Tibaoui, c'est qu'on dispose d'un marché mais également d'immenses opportunités pour exporter, sachant que les exportations hors hydrocarbure de notre pays n'ont jamais dépassé la barre symbolique des 3%. «Contrairement à il y a 10 ans, aujourd'hui, on arrive à mieux concevoir tous les avantages comparatifs que propose l'Algérie», soutient Jean-Michel Laurent, directeur général de la Chambre de commerce et d'industrie de Meurthe-et-Moselle et représentant de la bourse de sous-traitance de l'Est de Nancy. M. Laurent a déclaré qu'il existe une «politique volontariste» de l'Algérie à continuer dans son ouverture, ce qui n'était pas le cas dans le passé. Même s'il existe encore certaines insuffisances, le directeur de la Chambre de commerce et d'industrie de Meurthe-et-Moselle a indiqué que «c'est le bon moment en Algérie». De son côté, le représentant du ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements a annoncé hier que le code des marchés publics, dont se plaignaient nombre d'opérateurs économiques, sera modifié au cours du premier semestre 2010. Il fera savoir par ailleurs que sur les 400.000 PME que compte notre pays, 10 à 20% exercent dans la sous-traitance. «Nous ne disposons pas de chiffre précis mais le ministère est en train de faire un recensement» a-t-il déclaré, en soulignant que ce salon sera l'occasion d'identifier et de recenser les entreprises activant dans le secteur de la sous-traitance. 0 fois lus
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Algerie 1er Salon des activités maritimes et du littoral




Cap sur le développement portuaire



L'Algérie vient de lancer un important programme de développement des infrastructures portuaires. C'est dans ce contexte que l'entreprise Fomexpo, en partenariat avec la société algérienne des foires et exportations, organise le premier Salon des activités maritimes et du littoral, pour la première fois, du 15 au 18 Avril prochain, au Palais des Expositions des Pins Maritimes. Cet évènement économique dédié aux professionnels de la mer se tiendra sous le thème de la promotion et du développement des activités maritimes. Ce sera, d'ailleurs, une occasion exceptionnelle de faire sortir de l'ombre toute la filière maritime soutenue par une multitude de métiers liés les uns aux autres. S'adressant aussi bien aux opérateurs nationaux qu'étrangers, SIMMER est le salon des métiers de la mer. Il sera, sans aucun doute, un espace d'échanges, entre différents acteurs : constructions navales, réparation navale, activités portuaire, transport maritime, environnement maritime et protection du littorale Son ambition est de faire de cette première exposition, une plate-forme qui montre l'importance des activités maritimes pour l'ensemble de l'économie nationale. S'étalant sur une surface d'exposition de 1000 m², le salon, destiné exclusivement aux professionnels, rassemblera des entreprises portuaires, des chantiers de construction navale, des fournisseurs d'équipements, des opérateurs activant dans la réparation navale, l'architecture navale, designs et bureaux d'études ainsi que les équipements navals. Il mettra toute la lumière sur l'activité portuaire, celle des ports autonomes, les services portuaires, les infrastructures et logistiques, les équipements et matériels. Il se penchera également sur la préservation du littoral, l'environnement, la dépollution, l'océanographie, l'hydrographie, et la bathymétrie. Le salon verra également la participation d'opérateurs de transport, d'armateurs et de société de services maritimes, ainsi que des banques, des compagnies d'assurance, de courtiers et d'experts maritimes. Les instituions seront également présentes à l'image des ministères, administrations, collectivités, chambres de commerce, et organismes professionnels. Ce salon sera d'ailleurs une opportunité à ne pas manquer pour faire de cet événement un espace de communication et d'échanges, de faire connaître les métiers de la mer, de découvrir les innovations en la matière, d'établir des relations de partenariat et d'investissement et contribuer activement au développement de la filière. D.T.

Espagne l'identité culturelle européenne



L'Espagne réaffirmera l'identité culturelle européenne
[Fenêtre sur l'Europe]
L'Espagne s'efforcera de réaffirmer l'identité culturelle européenne au cours des six mois de sa Présidence, comme l'a indiqué la ministre de la Culture, Ángeles González-Sinde, lors de sa visite au siège du Conseil de l'UE.
La promotion du tourisme culturel par le biais de la création d'un Label du patrimoine culturel européen et le soutien de la culture numérique dans une perspective communautaire unique sont quelques-unes des priorités qui définiront la Présidence tournante espagnoleParmi les autres objectifs immédiats, figurent la promotion d'un marché légal culturel et la numérisation de ses contenus, ainsi que la prise en compte de la culture en tant que moteur de développement social et économique.Mme González-Sinde a par ailleurs souligné que, bien que la Présidence espagnole de l'UE ne dure que six mois, "notre agenda a été conçu pour avoir une portée dans le temps" en comptant sur l'engagement de tous les secteurs de la société pour la défense, la protection et la dynamisation de la création artistique.La ministre a également réitéré le respect dû aux auteurs ; la modernité, a-t-elle signalé, consiste à tirer parti des opportunités offertes par la technologie pour créer davantage et pour la rendre plus accessible. "De nos jours, nous ne pouvons nous adapter aux changements dans tous les secteurs que si nous choisissons de les prendre en main. Notre devoir repose sur un effort partagé, responsable et durable afin de rendre la culture encore plus indispensable qu'elle ne l'est déjà."

Union européenne Madrid



Union européenne : Madrid veut une meilleure gouvernance économique
[Fenêtre sur l'Europe]
Dans une conférence de presse qui s’est tenue, le 5 janvier à Madrid, le ministre des Affaires étrangères, Miguel Angel Moratinos, a estimé que son pays, dispose de l’autorité morale suffisante pour proposer à ses partenaires européens un nouveau modèle de croissance durable, malgré une crise économique plus persistante qu’ailleurs.
Le gouvernement souhaite compléter le dispositif de régulation financière voulu par la précédente présidence suédoise par une plus grande " harmonisation" et "une meilleure gouvernance économique européenne". L’Espagne devra également travailler sur la "stratégie 2020" appelée à prendre le relais de "l’agenda de Lisbonne". Elle souhaite fixer " des objectifs plus limités mais plus concrets".