阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Monday, May 03, 2010

Le Monténégro Union européenne



Le Monténégro désormais « associé » à l'Union européenne
[Fenêtre sur l'Europe]

Le Monténégro a désormais le statut de pays associé à l'UE, comme le prévoit l'Accord de stabilisation et d'association (ASA) entré en vigueur le 1er mai. L'ASA est considéré comme une étape formelle vers l'adhésion à l'UE

Festival Panafrica International : Montréal aime le cinéma algérien




Après Mohamed Chouikh, Lyès Salem et d’autres, c’était au tour de Khaled Benaïssa d’être honoré samedi dernier par ce festival du cinéma africain et créole pour son court métrage Sektou (Ils se sont tus).
Montréal
De notre correspondant
Comme chaque année, à la deuxième moitié du mois d’avril, Montréal prend les couleurs du cinéma africain et créole à l’occasion du Festival panafrica international. Pour la 26e édition de ce rendez-vous cinématographique, l’Algérie était présente en compétition dans deux catégories : long métrage avec Harragas de Merzak Allouache et court métrage avec Sektou (Ils se sont tus) de Khaled Benaïssa. Les organisateurs du Panafrica ne pouvaient pas faire l’économie du sport le plus populaire de la planète à l’occasion du mondial sud-africain. En plus des films consacrés au soccer (selon la terminologie nord-américaine), l’Afrique du Sud était à l’honneur.
En hors compétition et sous la thématique football, les festivaliers ont pu suivre le documentaire La balle de la dignité de Rachid Diguer. Ce documentaire retrace l’histoire du football algérien « depuis les luttes des clubs indigènes et des équipes de l’ALN (1957/58) et du FLN (1958/62) jusqu’aux prouesses de l’équipe nationale de l’Algérie indépendante ». Il a été réalisé dans le cadre de la manifestation Alger, capitale de la culture arabe. L’Algéro-canadien Hazouz Bezaz a, quant à lui, présenté son documentaire Le soccer dans tous ses états où il raconte la passion qu’ont trois adolescents du Canada, du Brésil et de la France pour le football. Le talent algérien s’est illustré aussi à travers l’affiche du festival. L’œuvre du peintre Hassane Amraoui, Desert Bleu’s, a remporté le concours d’affiches 2010.
Lors de la dernière édition, un autre artiste algérien, Azzedine Metref, avait raflé le même prix. Au chapitre des récompenses, le court métrage Sektou du réalisateur algérien Khaled Benaïssa a décroché le prix du meilleur court métrage. Le jury a choisi le court métrage parmi une riche sélection pour « son portrait d’un quartier d’Alger qui bascule dans un monde de rêve exubérant, pour enfin revenir à une réalité algérienne qui continue d’être ponctuée par la tragédie ». Le jeune réalisateur a déjà été primé pour le même court métrage en décembre 2008 au festival de Taghit (Algérie). Sektou raconte l’histoire de Smaïn, animateur radio, qui « après une longue nuit de travail, ne pense qu’à une seule chose : son lit. Mais quand, par malheur, le lit se trouve au troisième étage d’un immeuble du centre d’Alger, le sommeil devient un rêve et le réveil un cauchemar ».
En l’absence du réalisateur, le trophée a été remis au jeune acteur Nabil Asli qui a joué aussi dans Harragas. Pour la clôture, les organisateurs ont « pigé » dans le deuxième Panaf’ d’Alger, qui s’est tenu en juillet dernier. Ils ont projeté le film l’Afrique vue par… où « dix des plus prestigieux cinéastes africains, dont Rachid Bouchareb, ont réalisé chacun un film court pour exprimer leur vision de l’Afrique contemporaine ». Le film a été produit par le ministère de la culture algérien.
Par Samir Ben

La culture d'entreprise


Présenté par Carrière Algérie
Présenté par Carrière AlgérieLa culture, c'est ce qui fait que chaque entreprise est unique. Deux entreprises peuvent suivre la même stratégie, avoir les mêmes structures, recourir aux mêmes techniques de gestion, elles ont néanmoins leur propre culture. Le manager doit prendre en considération dans ses décisions ce qui apparaît plus comme une réalité organisationnelle qu'un objet de management à part entière.La culture de l'entreprise permet de maintenir une cohésion, elle unit le personnel autour du nom, des produits, des services, des clients, de l'image de marque..., afin de devenir un facteur de performance en rassemblant le personnel, en le motivant. Elle a également un rôle important à jouer dans l'assimilation des nouveaux embauchés, rôle particulièrement critique dans le cas de sociétés en forte croissance. En donnant à chacun une référence commune, la culture d'entreprise peut être rappelée pour éviter ou apaiser des tensions au sein de l'entreprise.La culture d'une entreprise se développe au cours de la vie de l'entreprise. Elle est en relation avec certaines valeurs, des normes, des symboles et des rituels. Elle est créée et entretenue par les personnes de l'entreprise. Elle est en évolution constante, et est difficile à modifier.C'est la culture d'une entreprise qui vous fait apprécier ou détester d'aller au travail.Lorsque vous cherchez un emploi, vous vous concentrez souvent sur le contenu de la fonction. C'est bien sûr un élément important, mais le fait de vous sentir à l'aise au travail l'est tout autant. N'oubliez pas que vous passez 8 heures par jour chez votre employeur.Entre autres choses, la culture de l'entreprise définira si vous vous y sentez bien. Vous ne la connaîtrez qu'après y avoir travaillé pendant un petit temps. Il existe néanmoins quelques signes qui la trahiront déjà au cours des entretiens d'embauche :La forme de l'annonce peut déjà en dire long. Si on y voit de jeunes gens souriants ; que la mise en page est dynamique, vous pouvez en déduire que la culture de l'entreprise aura ces mêmes caractéristiques. Dans le cas d'une annonce rigide et peu originale qui ne s'adresse que froidement aux candidats, vous saurez à quoi vous en tenir. Vous trouverez les mêmes indices dans les brochures des entreprises et sur leur site Internet.Les rapports entre collègues peuvent être formels et coincés, mais ils peuvent aussi être très amicaux. Les collègues qui vous interrogent au cours de l'entretien s'adressent-ils l'un à l'autre par le prénom ou restent-ils plus distants en s'appelant par monsieur et madame ? Le responsable des ressources humaines s'adresse-t-il à vous en vous vouvoyant ou passe-t-il rapidement au tutoiement? Observez le comportement des gens lorsque vous attendez d'être reçu ou lorsque vous circulez dans les couloirs. Vous verrez s'il y a des collègues qui rient ensemble dans un bureau ou s'il règne un silence religieux avec des employés concentrés exclusivement sur leurs ordinateurs.Observez la tenue des gens. Si tout le monde est en costume ou en tailleur classique, on attendra la même chose de vous. Tout le monde porte un jeans et un t-shirt ? Vous ne courrez pas de risque en portant des tenues décontractées. Si vous voyez un peu de tout, vous avez de la chance et vous pourrez porter ce qui vous convient le mieux.Y a-t-il beaucoup de 'maillons' entre le directeur et les employés ou tout le monde semble-t-il à peu près sur le même pied ? Observez par exemple les rapports entre le responsable de recrutement et votre supérieur direct. Vous pourrez également déduire quelques éléments d'une visite aux différents départements. Les supérieurs sont-ils mélangés aux employés ou ont-ils un bureau fermé et séparé ?En conclusion, la culture d'entreprise regroupe l'ensemble des valeurs, des normes, des symboles, des rituels, des règles qui font l'identité propre de l'entreprise. Au-delà des compétences, toute entreprise va chercher à recruter des personnes qui sauront partager ses valeurs. Cette adhésion à "l'esprit maison" est un gage d'implication, de motivation et de performance des salariés. Elle est également un vecteur de fidélisation en diminuant le turn-over et en développant un sentiment d'appartenance au groupe.

Algerie Santa Cruz, Oran excursion




Une ascension dans la tradition


Une ascension dans la tradition
Située sur les hauteurs du Murdjadjo, la chapelle de Santa cruz construite en 1849, le fort de Santa Cruz restauré il y a quelques années par une collaboration entre l'Algérie et l'Espagne et enfin la koubba de Sidi Abdelkader forment un magnifique trio architectural qui est devenu aujourd'hui la destination de la plupart des randonnées oranaise, et le site de rencontres des jeunes oranais qui sont présents par milliers à chaque randonnée. La meilleure excursion est sans doute celle du premier mai, organisée un jour férié par l'association Bel Horizon qui s'occupe du patrimoine historique oranais, cette excursion commence par le rassemblement de tous les participants à la place d'armes dans une très bonne ambiance, puis le départ à 10h00. le cortège devancé par des guides passe par les vieux quartiers d'Oran (El-Derb, Sid el Houari et planteurs) après deux bonnes heures de marche et d'escalade la fatigue commence à se faire ressentir, mais le spectacle unique que livre au regard émerveillé la baie d'Oran et la ville étalée sans détour, vaut à lui seul tous les sacrifices, sans oublier que des médecins du Croissant rouge sont eux aussi présents pour aider ceux qui ont en besoin. Arrivés à la chapelle de Santa Cruz, les participants sont d'abord comptés puis ils se dirigent vers la grande place attirés par la musique des Dj présents. Après avoir pris place pour se reposer et manger, la foule se sépare en deux groupes : ceux qui occuperont la piste de danse et ceux qui iront visiter le fort et la koubba de Sidi Abdelkader. A 16 heures, les siffléets des guides retentissent annonçant le retour, sur ce, les participants entament la descente vers la ville après une journée inoubliable qui restera longtemps gravée dans leur mémoire.Ghizlane Lakoues

Tunisie – Internet : Les réseaux sociaux professionnels




Tunisie – Internet : Les réseaux sociaux professionnels profitent de la crise
MondialEXPO 2010 est la première édition d’un forum international des réseaux d’affaires, quelque peu exilé et déserté à Gammarth. Pourtant, lors de son deuxième et dernier jour de conférences (30/04/2010), il a abrité une présentation réalisée par la directrice produit de Viadeo, responsable du site et de son évolution. L’occasion de rappeler l’évolution exponentielle impressionnante des réseaux professionnels, qui ont «profité» de la crise.
Apparus en 2003 avec LinkedIn aux USA, après les réseaux de rencontres et de partage, les réseaux sociaux professionnels s’inscrivent dans une évolution du web définitivement sociale : 77% des internautes sont inscrits sur un réseau social, ce qui représentera 1 milliard d’individus d’ici un à deux ans…
A l’heure actuelle, 100 millions de personnes participent à des réseaux sociaux, ce qui peut sembler peu au regard des 400 millions de Facebookers à travers le monde, mais retranscrits dans un cadre plus étroit, comme celui de Viadeo et de ses 30 millions de membres, cela représente 2 millions de consultations de profils par jour ! Pour ce leader du networking professionnel en Europe, au Maghreb, en Inde et en Chine, aux 30.000 membres supplémentaires journaliers, un réseau professionnel offre plusieurs opportunités, notamment : rencontrer des personnes et partager avec elles des informations à des fins professionnelles, gérer sa carrière ou recruter, développer son activité…
Par ailleurs, Mme Nacera Benfedda, lors de sa présentation des bons usages concernant Viadeo, a mis en lumière un point tout-à-fait intéressant à nos yeux : du fait de son identité ancrée en Europe, ce groupe considère toujours comme essentiels le droit à l’oubli sur internet et le concept de ‘privacy’ et ne stocke aucune donnée sur ses serveurs.
Pour dernier conseil, si vous vous inscrivez sur Viadeo (70.000 utilisateurs en Tunisie) ce qui va dans le sens de contrôler votre e-reputation, gardez à l’esprit que votre profil est une «carte de visite pour être trouvé» et que vous devez cibler vos recherches et être actifs, ce qui est la meilleure façon d’élargir votre réseau (outre les contacts de vos contacts).
Il ne me reste qu’à vous souhaiter : Bon e-réseautage professionnel !

Marée noire US : un désastre écologique et économique


La pollution aux hydrocarbures qui sévit actuellement aux États-Unis est non seulement la pire catastrophe maritime jamais arrivée depuis des décennies mais elle risque également de mettre en danger toute l'activité économique des riverains installés le long de la zone côtière du Golfe du Mexique.
Le président Barack Obama s'y est rendu dimanche afin de constater les dégâts causés par la marée noire. Il a décrété l'accident « catastrophe nationale », ce qui lui permet de mobiliser toutes les ressources du pays. Samedi, plus de 84 kilomètres de barrages flottants ont été déployés et près de 4 millions de litres de pétrole ont été retirés des eaux. La marée noire continue de s'étendre et sa superficie, qui a triplé en deux jours, est maintenant estimée à 10 000 kilomètres carrés. Au moins 6 millions de litre de pétrole se sont répandus à ce jour selon les estimations des Gardes-côtes. Un expert a déclaré vendredi que le volume de pétrole provenant des profondeurs - environ 1 500 mètres - pourrait en fait être beaucoup plus élevé, et davantage encore si l'équipement de forage venait à se déliter.Le déversement d'hydrocarbures qui a formé une nappe de plus de 200 kilomètres de long et de 110 kilomètres de large, menace des centaines d'espèces animales comme les oiseaux, les dauphins, les poissons, les crevettes, les huîtres et les crabes qui font de la zone du Golfe l'une des ressources les plus abondantes en fruits de mer. La Louisiane a fermé certaines zones de pêche et les parcs à huîtres en raison du risque de contamination.BP a tenté de fermer sans succès la valve de sécurité du puits en utilisant des engins sous-marins. La compagnie pétrolière va maintenant forer des puits de secours afin d'alléger la pression. Enfin, dernier recours, la pose d'un « couvercle » au fond de la mer devrait permettre de couvrir la sortie du puits et limiter les dégâts, mais cela devrait prendre plusieurs semaines !
Des documents semblent montrer que British Petroleum (BP) a minimisé la probabilité d'un accident sur la plate-forme pétrolière qui a explosé le 20 avril et qui a tué 11 personnes.

Sécurité sociale Union européenne.



Sécurité sociale : coordination renforcée au bénéfice de la libre circulation
[Fenêtre sur l'Europe]
Le 1er mai 2010 est une étape importante pour la coordination des systèmes de sécurité sociale dans l'Union européenne.
C'est en effet à cette date qu'est entré en vigueur le règlement 987/2009 qui va permettre aux personnes qui se déplacent dans l'UE de ne pas perdre le bénéfice de leurs droits, qu'il s'agisse de pensions de retraites, d'allocations familiales ou de chômage ou encore d'assurance maladie. L'objectif étant de garantir l’exercice effectif de la libre circulation des personnes.

Algerie Laghouat maison d’artisanat



Plusieurs structures bientôt réceptionnées
Parmi ces projets, figure la réalisation de la maison d’artisanat de Laghouat, pour un coût de 80 millions de dinars, au titre du programme de développement des régions du Sud et qui sera réceptionnée avant la fin du premier semestre 2010, a indiqué Hocine Amiyer. L’édifice, dont les travaux ont atteint un taux d’avancement de 85%, comportera une vingtaine d’ateliers consacrés à différents métiers, susceptibles de permettre aux artisans locaux de bénéficier de formation, recyclage et d’un accompagnement dans leurs actions de production et d’écoulement de leurs articles. Une salle d’exposition dotée d’équipements modernes pour la qualification des artisans, en prévision d’un accès aux circuits d’exportation, en vertu d’accords entre le ministère du Commerce et des associations étrangères accompagnant les artisanes, est également prévue au sein de cet espace. Le secteur de l’artisanat de Laghouat réceptionnera aussi cette année un centre de facilitation devant permettre, outre l’identification des métiers et d’opportunités d’investissement dans la région, l’orientation et l’accompagnement, par des économistes, aux jeunes dans la réalisation de leurs projets d’investissement. La commune d’Aflou, se verra, pour sa part, dotée d’un centre d’artisanat, dont les travaux de réalisation tirent à leur fin. Cette structure est appelée, indique la même source, à préserver le label du tapis local de Djebel Ammour ainsi que la réhabilitation d’anciens métiers et la mise en œuvre de nouvelles techniques dans la tapisserie. Le même responsable a annoncé, par ailleurs, l’inscription de nouveaux projets de développement du secteur de l’artisanat au niveau des régions de Aïn Madhi, la nouvelle-ville de Bellil, en plus de la création d’une pépinière de micro-entreprises chargées d’assister les jeunes dans le montage de leurs propres entreprises.Agence

Algerie Jijel la fraise en fête



Fruit prisé par les Algériens et étant resté hors de la portée des ménages pendant longtemps , la fraise a retrouvé ses marques. D'ailleurs la production locale couvre largement les besoins nationaux à telle enseigne que la fraise est cédée à 120 ou 130 DA le kilo. La fraise sera d'ailleurs à l'honneur aujourd'hui à Jijel à l'occasion d'une manifestation qui se veut un "baromètre de la culture de ce fruit", largement répandu dans la wilaya. Selon les organisateurs de la fête de la fraise, une trentaine de producteurs de la région prendront part à une exposition prévue à la maison de la culture, en même temps que des séances de vulgarisation se rapportant à la culture de la fraise. Sont également prévues d'autres manifestations en relation avec cette culture pratiquée sur de grandes surfaces et notamment sous serre. Le programme de cette fête, devenue traditionnelle dans la région, a été "ficelé" lors d'une réunion préparatoire, tenue lundi au siège de la wilaya. Largement disponible sur les étals des marchés de proximité, la fraise, récoltée sous serres dans la région de Jijel, a vu son prix "dégringoler" de manière spectaculaire. De 350 dinars le kg, les premiers jours de son apparition sur le marché, ce fruit est écoulé entre 100 et 120 dinars, a-t-on constaté au marché central de la ville. Contrairement à la fraise produite dans la wilaya limitrophe de Skikda, celle de Jijel est cultivée sous serre entre janvier (début de production) et juillet avec des rendements atteignant les 300 quintaux à l'hectare. La région de Sidi Abdelaziz (Est de Jijel), avec ses milliers de serres, est particulièrement réputée pour la culture de ce fruit charnu qui garnit abondamment les tables des foyers en cette période de l'année. Des responsables de la Chambre de l'agriculture se sont dit "optimistes" quant à une "poursuite de la baisse des prix au détail" qui devraient atteindre, selon eux, 60 DA le kg. Très prisée pour son volume et sa teneur en eau et autres oligo-éléments, la fraise de Jijel est commercialisée dans l'est algérien, notamment au niveau du marché régional de gros de la ville de Chelghoum Laïd (Mila), ainsi que dans les grandes villes comme Constantine, Annaba ou Sétif, où elle trouve facilement preneur, selon des grossistes. R.R.