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Tuesday, October 07, 2008
Elections européennes 2009
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Google Yahoo
canoe Yvon Laporte
Google et Yahoo ont fait savoir que leur entente de partenariat sera encore retardée, de quelques semaines cette fois, le temps de permettre au ministère américain de la Justice de compléter son enquête antitrust.
Dans un communiqué, Yahoo a expliqué qu’il s’agissait d’un délai mineur, accepté par les parties, le temps de permettre aux autorités compétentes de poursuivre leur travail.
Essentiellement, cet accord, signé en juin prévoit que Yahoo pourra faire apparaître des publicités présentées par Google sur les recherches effectuées par son moteur de recherche. Il s’agit là d’une entente non exclusive, ce qui signifie que les deux sociétés pourraient signer des ententes du genre avec d’autres partenaires, dans différents marchés.
Mais les opposants à cette entente sont très nombreux. Parmi les plus importants, on retrouve Microsoft, qui prétend que cet accord va donner trop de poids à Google dans le secteur de la publicité, associée aux moteurs de recherche. La World Federation of Advertisers (WFA) va dans le même sens, en soulignant que l’entente va limiter la compétition et par le fait même, faire augmenter les prix pour les annonceurs.
Selon plusieurs observateurs, il serait surprenant de voir le délai se prolonger au-delà de la fin du mois. Il y a trois semaines, Eric Schmidt, le grand patron de Google, a déclaré qu’il était grand temps de passer à l’action: «Nous avons pleinement collaboré avec les fonctionnaires et nous ne savons toujours pas ce qu’ils en pensent, à savoir si c’est acceptable ou si encore ils aimeraient y apporter ou non des modifications».
Eric Schmidt avait alors mentionné que cette alliance entre Google et Yahoo n’avait pas à être approuvée avant d’être mise en pratique, bien que, disait-il, elle pouvait susciter des interrogations après son entrée en vigueur.
Google et Yahoo ont fait savoir que leur entente de partenariat sera encore retardée, de quelques semaines cette fois, le temps de permettre au ministère américain de la Justice de compléter son enquête antitrust.
Dans un communiqué, Yahoo a expliqué qu’il s’agissait d’un délai mineur, accepté par les parties, le temps de permettre aux autorités compétentes de poursuivre leur travail.
Essentiellement, cet accord, signé en juin prévoit que Yahoo pourra faire apparaître des publicités présentées par Google sur les recherches effectuées par son moteur de recherche. Il s’agit là d’une entente non exclusive, ce qui signifie que les deux sociétés pourraient signer des ententes du genre avec d’autres partenaires, dans différents marchés.
Mais les opposants à cette entente sont très nombreux. Parmi les plus importants, on retrouve Microsoft, qui prétend que cet accord va donner trop de poids à Google dans le secteur de la publicité, associée aux moteurs de recherche. La World Federation of Advertisers (WFA) va dans le même sens, en soulignant que l’entente va limiter la compétition et par le fait même, faire augmenter les prix pour les annonceurs.
Selon plusieurs observateurs, il serait surprenant de voir le délai se prolonger au-delà de la fin du mois. Il y a trois semaines, Eric Schmidt, le grand patron de Google, a déclaré qu’il était grand temps de passer à l’action: «Nous avons pleinement collaboré avec les fonctionnaires et nous ne savons toujours pas ce qu’ils en pensent, à savoir si c’est acceptable ou si encore ils aimeraient y apporter ou non des modifications».
Eric Schmidt avait alors mentionné que cette alliance entre Google et Yahoo n’avait pas à être approuvée avant d’être mise en pratique, bien que, disait-il, elle pouvait susciter des interrogations après son entrée en vigueur.
Union Européenne projets 2020
Union européenne : 500 jeunes de toute l'Europe présentent à Nantes leurs projets pour 2020
[Fenêtre sur l'Europe]
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A l'occasion de la Présidence française du Conseil de l'Union européenne, 500 jeunes de toute l'Europe (des 27 Etats membres, mais aussi des pays extra-communautaires Russie, Géorgie, Turquie etc.) sont invités à Nantes les 10 et 11 octobre prochains dans le cadre de la manifestation « Paroles d’Européens ! 12 projets pour 2020 ».
Sur deux journées, les participants, âgés entre 17 et 30 ans, décideront collectivement des 12 projets principaux qu'ils souhaitent voir mis en œuvre pour l'Union européenne à l’horizon 2020. Le vendredi 10 octobre, les participants élaboreront dans le cadre d’ateliers d’échanges, une série de propositions pour l’Europe de 2020. Des témoins Européens seront à leur écoute et les épauleront pour formuler leur propositions. Les futurs participants peuvent s'inscrire dès à présent à l'ateliers de leur choix parmi 4 thèmes proposé et détaillés sur http://europeens.touteleurope.fr/content/12-projets-pour-2020-programme-des-ateliersLe samedi 11 octobre, les participants présenteront et débattront de leur 12 projets avec Felipe Gonzalez, ancien Premier ministre espagnol et Président du Comité des Sages, Vaira Vike-Fraibergue, ancienne Présidente lettone et vice-Présidente du Comité des Sages, Bernard Kouchner, ministre des Affaires étrangères et européennes, Jean-Pierre Jouyet, secrétaire d'Etat chargé des Affaires européennes, Jean-Marc Ayrault, député-maire de Nantes et Yves Lecointe, Président de l'Université de Nantes. La restitution sera retransmise sur La Chaîne Parlementaire-Assemblée nationale et ouverte au grand public. Pour toute information et pour s'inscrire : http://europeens.touteleurope.fr./
Vergnet éoliennes Ethiopie
Vergnet pourrait installer 120 éoliennes en Ethiopie
(src : Vergnet)
Le groupe éolien Vergnet a confirmé être actuellement en discussion avec l'Ethiopie en vue de la vente et de l'installation de 120 éoliennes.
Suite à la publication d’un article des Echos paru le 6 octobre 2008, le groupe Vergnet a tenu à confirmer l'information par voie de communiqué : un contrat est bel et bien en vue avec la compagnie nationale éthiopienne d'électricité EEPCO.
"Ce contrat pourrait porter sur la vente et l’installation de 120 éoliennes de 1 MW en 3 ans pour un montant de plus de 200 M€" écrit Vergnet.
"De par son ampleur, il constituerait non seulement le plus important contrat jamais signé par Vergnet mais également le contrat le plus important jamais signé entre la France et l’Ethiopie" se félicite le groupe.
Fin juillet 2008, Vergnet avait mis en service avec succès son éolienne de haute puissance, la GEV HP de 1 MW. Selon la société, c'est cette éolienne qui aurait attiré l'attention de EEPCO : elle répond à des conditions de 'Farwind", à savoir un fonctionnement dans de vastes zones où les infrastructures et les moyens logistiques réduits ne permettent pas l’installation d’éoliennes conventionnelles.
Essentiellement constitué de hauts plateaux ventés, le pays possède un environnement très favorable au développement de l’éolien, note Vergnet. Le pays cherche à diversifier ses sources d'énergie et accroître son indépendance énergétique pour faire face à la hausse de sa demande intérieure. A terme, L'Ethiopie souhaite devenir un pourvoyeur d’électricité pour les pays limitrophes.
égouts chaleur énergie
La chaleur des égouts, un potentiel inexploité
(src : OFEN)
Face aux prix élevés du mazout, la Suisse se penche sur ses égoûts. Equipés de pompes à chaleur, ils seraient susceptibles de répondre aux besoins en eau chaude de 600 000 habitants, soit 2,12 tWh par an.
L'utilisation de l'énergie thermique en provenance des eaux usées communales pour le chauffage des bâtiments et l'eau chaude sanitaire offre un potentiel économique non négligeable, estime une étude de l'Office fédéral de l'Energie (OFEN). Mais la rentabilité de tels équipements n'est pas assurée pour autant. Pour l'OFEN, elle dépendrait fortement des circonstances locales et de diverses conditions cadres externes.
"A ce jour, il apparaît difficile d'évaluer le potentiel économique réalisable" avoue l'Office fédéral, qui relève que "seule une infirme partie de ce potentiel est exploitée à ce jour."
Parmi les obstacles mis en évidence, l'OFEN pointe notamment les coûts imprévisibles du mazout, l'approvisionnement existant en énergie et le manque d'initiateurs de réseaux de chaleur.
Selon l'étude, une taxe CO2 variable qui maintiendrait à long terme le coût des agents énergétiques fossiles à un certain niveau seuil constituerait une mesure de promotion politique importante. Ainsi les investisseurs auraient des conditions-cadres largement prévisibles.
Une autre mesure de promotion envisageable serait de définir des priorités dans le plan directeur Energie des cantons en faveur de l'utilisation des rejets de chaleur et des énergies renouvelables selon les conditions locales.
En guise de conclusion, les auteurs de l'étude indiquent que la tendance aux bâtiments toujours mieux isolés et la baisse des densités thermiques qui en résulte affaiblissent la rentabilité des réseaux de chaleur en général alors que l'évolution générale (hausse des prix du pétrole, taxe CO2, obligation de raccordement ou rétribution de l'injection) favorise plutôt l'utilisation de la chaleur des eaux usées.
Editée par l'Office fédéral de l'énergie (OFEN), l'étude «Abwasserwärmenutzung: Potenzial, Wirtschaftlichkeit und Förderung» (utilisation des rejets de chaleur: potentiel, rentabilité et promotion) est disponible en allemand avec un résumé en français.
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