阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Sunday, November 07, 2010

Un nouveau facteur efficace et prometteur en Algérie



Les travaux des 1ères journées internationales du marketing touristique ont débuté, hier, à l'hôtel Aurassi, Alger. Au cours de cette rencontre de deux jours, divers thèmes ont été abordés par les différents opérateurs touristiques, à savoir le développement durable du tourisme et son devenir, la signification du marketing touristique, ses différentes formes de développement ainsi que sa place et son rôle dans le développement économique.
Dans ce sens, le directeur général de l'Office National du Tourisme (ONT), Ahmed Boudjedira, a fait savoir que " l'utilisation de nouvelles technologies de communication et d'information et contribuer avec les autres secteurs à leur généralisation sont autant de facteurs qui généralisent la promotion du potentiel touristique ". Aussi, M. Boudjedira, a indiqué que " la politique du développement du tourisme en Algérie vise la structuration d'une destination touristique productive économiquement et socialement, compétitive sur le plan international avec un positionnement qui différencie l'Algérie de ses autres concurrents ".
" A l'instar des grands pays touristiques du monde, le tourisme algérien est à représenter dans les principaux bassins émetteurs de clientèles et d'autre part fédérer toutes les énergies dans un cadre défini par une stratégie de marketing efficace et porteuse ", a-t-il ajouté. S'agissant du même contexte, il est à noter que cette dynamique, qui conçoit une destination compétitive et concurrentielle à distinguer par l'authenticité, s'inscrit dans un processus appelé Plan Marketing de la Destination Algérie, qui désigne la stratégie de marketing, de promotion et de communication. Par ailleurs, pour un nouveau positionnement du tourisme en Algérie et pour une reconsidération de la place et du rôle que doit jouer le tourisme dans une perspective de maîtrise des enjeux fondant toute la politique du développement durable, cinq dynamiques ont été abordées, par le DG de l'ONT.
Elles consistent, entre autres, à promouvoir une économie alternative aux hydrocarbures, réunir les conditions d'un développement touristique durable, promouvoir le riche patrimoine naturel, historique, et cultuel du pays, valoriser l'image de l'Algérie partout dans le monde, promouvoir la croissance par les effets d'entraînement du tourisme sur les autres secteurs de l'économie nationale. Dans ce sens, ces cinq dynamiques, ont été mises en évidence dès l'approbation par le Conseil du gouvernement de la nouvelle politique de développement du tourisme algérien.
En outre, une exposition abritant les institutions et offices du tourisme, les agences de voyage, les compagnies aériennes, les hôtels, les banques, les agences de publicité, les agences spécialisées dans la conception et la réalisation de films et spots publicitaires, a été inaugurée à la faveur de cette rencontre.

Nassim I.

L’Autriche est prête à établir un partenariat gagnant-gagnant


Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Son Excellence l’ambassadrice d’Autriche à Alger, Aloisia Wôrgetter, aborde dans cet entretien les relations bilatérales algéro-autrichiennes qualifiées d’excellentes par les deux parties. Elle évoque également les entretiens avec le ministre des Transports avec lequel elle a passé en revue la coopération technique entre les deux pays, surtout pour ce qui est des chemins de fer où les ingénieurs et techniciens autrichiens participent activement à l’électrification des voies ferrées. Mme Wôrgetter et Amar Tou ont insisté sur « l’exigence d’un partenariat véritable », soulignant que l’Autriche est prête à établir un partenariat gagnant-gagnant en acceptant de nous associer à son savoir-faire. Tou a abordé avec Son Excellence le projet d’une usine de rail en Algérie, « un secteur en pleine croissance et en pleine mutation en Algérie où le réseau ferroviaire national comptera plus de 10 000 km au terme du plan quinquennal 2010-2014 », selon Tou. Mme Wôrtgetter a mis l’accent sur la disponibilité des sociétés autrichiennes à véhiculer leur savoir-faire en matière de nouvelles technologies, notamment dans le BTP et les énergies renouvelables. Avec l’accord bilatéral du 29 septembre 1987 régissant les relations bilatérales, l’ambassadrice n’a pas manqué de souhaiter la réactivation et la dynamisation du comité mixte algéro-autrichien relatif aux chemins de fer tout en espérant l’ouverture rapide d’une liaison aérienne directe entre Vienne et Alger pour faciliter les déplacements des hommes d’affaires, des opérateurs économiques et des investisseurs des deux pays..

Comment voyez-vous les relations algéro-autrichiennes sur les plans économique et commercial ?.

Je suis très contente de trouver des relations très fortes et fécondes entre nos deux pays. Je me réjouis des entretiens que j’ai eus avec des ministres algériens qui m’ont raffermi leur disponibilité à accroître les relations économiques et commerciales entre l’Algérie et l’Autriche. Il s’agit d’élargir et de diversifier ces échanges pour développer davantage nos relations bilatérales et renforcer la présence des entreprises autrichiennes en Algérie. Je suis donc très contente du contenu de mes entrevues avec les ministres algériens..

Le partenariat algéro-autrichien augure des perspectives réelles de développement. Comment évaluez-vous cela ?.

Le partenariat économique et la coopération politique et diplomatique entre l’Algérie et l’Autriche est de longue date et continue toujours de se promouvoir. La preuve évidente et matérielle concerne un livre autrichien publié récemment et qui traite du combat de l’Algérie pour l’indépendance. En fait, il s’agit d’un livre autrichien édité par la gauche autrichienne sur la résistance algérienne durant la guerre de libération nationale qui vient d’être publié. Intitulé « Solidarité de la Gauche autrichienne avec la lutte armée algérienne », il sera rendu public à l’occasion du forum d’El Moudjahid et le 16 novembre dans la capitale autrichienne, à Vienne. Il s’agit d’un chaleureux hommage qui sera rendu à l’Algérie combattante. J’en suis fière de cette contribution autrichienne. C’est une histoire de partenariat et je suis très contente de trouver des relations politiques bilatérales fortes au niveau politique. Tout le monde se souvient du bon travail effectué par le chancelier Kreisky et le secrétaire général de l’ONU Kurt Waldheim, et moi je construis nos relations sur cette base..

Les entreprises autrichiennes sont-elles disposées à réaliser le transfert technologique et le savoir- faire en Algérie, notamment dans les secteurs du bâtiment et des travaux publics ?.

Tout à fait, nous sommes prêts à sceller des partenariats avec des entreprises algériennes, notamment dans le secteur sanitaire et de l’assainissement de l’eau et dans des espaces environnementaux, les techniques et les technologies des énergies renouvelables, ainsi que le domaine de l’efficacité énergétique. C’est une priorité du gouvernement et de l’administration autrichiens de promouvoir la coopération avec les entreprises algériennes afin de partager ce savoir-faire et cette technologie où nous avons beaucoup de choses à offrir. Nous sommes prêts à nous y engager et j’espère que cela est de même du côté algérien. Les entreprises autrichiennes activant en Algérie sont nombreuses. Nous souhaitons développer beaucoup plus nos relations politiques, économiques et commerciales réciproques. Au niveau du Maghreb et de l’Afrique du Nord, c’est en Algérie que se concentre la plupart des investissements autrichiens. Pas moins de quatre entreprises autrichiennes prendront part au Salon international du bâtiment et des travaux publics qui s’ouvre aujourd’hui au Palais des expositions de la Safex (Pins maritimes)..

Horizons.
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Performances économiques et financières de l’Algérie : Le satisfecit du FMI


La visite du directeur général du Fonds monétaire International à Alger constitue indubitablement un événement qui ne peut passer inaperçu. 

La visite du directeur général du Fonds monétaire International à Alger constitue indubitablement un événement qui ne peut passer inaperçu. C’est une visite hautement importante et intéressante à plus d’un titre d’autant plus qu’elle s’inscrit dans un double contexte, national et international très particulier. International d’abord qui est toujours dominé par la crise et ses effets. National, enfin, dans la mesure où l’Algérie a lancé son programme 2010-2014 qui prévoit des investissements de l’ordre de 286 milliards de dollars. Il faut ajouter à cette donnée, le fait que les clignotants du cadre macro-économique sont tous au vert, le FMI a confirmé cette situation macro-économique dans son dernier rapport.
Il faut d’abord souligner que la visite de M. Dominique Strauss-Kahn se déroule juste après la divulgation du rapport du FMI sur l’Algérie. Rapport, au demeurant, très positif, à l’exception de quelques observations d’usage comme le déficit budgétaire ou le taux d’inflation. C’est donc de vive voix que le directeur général de l’institution de Bretton Woods a tenu à confirmer aux autorités algériennes.
D’abord, il a tenu à féliciter l’Algérie pour ses performances économiques et financières et ce, dans un contexte particulièrement difficile. Elle enregistre depuis une dizaine d’années des taux de croissance positifs, un solde commercial positif, ce qui a permis d’engranger un niveau de réserves historique, un budget équilibré et souvent excédentaire comme l’attestent les ressources du FRR et une politique monétaire et de change prudente dont la finalité est de maîtriser l’inflation et de défendre une parité objective du dinar. Sur le plan de l’emploi, qui est une préoccupation majeure de tous les pays du monde, l’Algérie a enregistré des résultats tangibles puisque le taux de chômage a subi des baisses successives, selon le rapport du FMI. D’ailleurs, le programme 2010-2014 prévoit la création de 3 millions d’emplois nouveaux. Seule note discordante à ce tableau macro économique satisfaisant, demeure le taux d’inflation dont la principale cause est due à l’évolution des prix des produits alimentaires frais ; il y a donc un déséquilibre entre la demande et l’offre de produits alimentaires.
Cependant, le directeur général du Fonds, a tenu à rappeler aux autorités algériennes, la nécessité de diversifier et de densifier l’économie algérienne pour la soustraire progressivement à la dépendance à l’égard des hydrocarbures. L’Algérie est consciente de ce lien qui la fragilise et tente depuis le lancement du PSRE, en 2001, à préparer les conditions pour l’émergence d’une économie hors hydrocarbures moderne, diversifiée et compétitive.
Omar. C