PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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Mosk est un prisonnier violent, renfermé et imprévisible. Un vrai solitaire qui ne poursuit qu'un but dans la vie : remporter le championnat pénitentiaire de «développé couché», un exercice de musculation. Contrairement à ses codétenus, il ne se montre pas très enthousiaste à l'idée de participer au programme de réinsertion lancé par Gloria, la nouvelle directrice de la prison : éduquer un chiot destiné à devenir guide d'aveugle. C'est d'ailleurs précisément parce que le programme ne lui plaît pas qu'il est choisi pour partager sa cellule avec un petit chien fort maladroit... très beau film et un souffle d'espoir
Vendredi 21 Août 2009 Technologies : L'UE veut développer l'éducation aux nouveaux médias [Fenêtre sur l'Europe] La Commission européenne a adopté aujourd’hui, à la demande du Parlement européen, des lignes directrices qui invitent les États membres et le secteur européen à encourager, en Europe, l’éducation des citoyens aux médias par des activités qui leur facilitent l’accès aux moyens de communication (télévision, cinéma, radio, musique, presse écrite, internet et technologies de communication numérique) et les aident à les comprendre et à les évaluer d’un œil critique. Cette éducation aux médias pourrait permettre aux citoyens d’utiliser plus efficacement les moteurs de recherche ou aux écoliers de découvrir les coulisses d’un film ou le fonctionnement de la publicité. Certains pays (tels que la Suède, l’Irlande ou le Royaume‑Uni) ont déjà inscrit l’éducation aux médias dans leur programme scolaire.Au Royaume-Uni, le site internet kidSMAR T apprend aux jeunes à naviguer en toute sécurité sur les sites de socialisation. La Commission n’ignore pas que l’éducation est une compétence nationale, mais elle a invité aujourd’hui les États membres à engager un débat sur la manière dont les écoles pourraient accorder une place plus importante à l’éducation aux médias.Les utilisateurs des médias doivent être conscients des risques liés à la diffusion de leurs données à caractère personnel.Plus ils sont compétents pour utiliser ces technologies, mieux ils comprennent le fonctionnement de la publicité sur internet et mieux ils peuvent protéger leur vie privée. Mieux formés à l’utilisation des médias, ces utilisateurs souhaiteront également en savoir plus sur le patrimoine culturel de leur pays et sur les œuvres culturelles européennes récentes et pourront ainsi les découvrir.Le numérique touche tout le monde ou presqueLe rapport de la Commission sur la compétitivité numérique de l’Europe, publié au début du mois, indique que le nombre d’Européens capables d’utiliser l’internet et un ordinateur ne cesse d’augmenter, 60 % des Européens étant «formés aux technologies numériques», élément clé de l’éducation aux médias. 56 % des Européens «surfent» au moins une fois par semaine (contre 43 % en 2005) et le nombre d’internautes parmi les catégories défavorisées progresse lui aussi.Le nombre d’internautes ne cesse de croître parmi la population ayant le niveau d’éducation le plus faible (62,5 % en 2008 contre 53,5 % en 2005, 100 % correspondant au taux d’utilisation de l’internet par la population globale). Davantage de chômeurs utilisent le réseau mondial (80,3 % en 2008 contre 74,4 % en 2005), tandis que le taux d’utilisation de l’internet par les femmes est désormais presque égal à celui de la population globale de l’Union européenne (94,6 % en 2008 contre 88,4 % en 2005).Depuis 2006, les compétences des femmes, des chômeurs et des plus de 55 ans en matière d’informatique et d’internet ont progressé d’au moins 3 % par rapport à celles de la population globale.Toutefois, alors que le prix de la connexion à l’internet (à haut débit notamment) ne cesse de diminuer, 24 % des Européens qui n’ont pas internet chez eux affirment que c’est parce qu’ils ne possèdent pas les compétences nécessaires pour l’utiliser.Développer la capacité d'accès aux médiasL’éducation aux médias implique la capacité à accéder aux médias, à comprendre et à apprécier d’un œil critique les différents aspects des médias et de leur contenu et à communiquer dans divers contextes. Elle recouvre tous les médias, qu’il s’agisse de la télévision et du cinéma, de la radio et de la musique enregistrée, de l’édition et de la presse écrite, de l’internet et de toutes les autres technologies numériques.En 2007, la Commission a publié une communication sur l’éducation aux médias dans le cadre des efforts qu’elle déploie pour créer un marché unique de l’audiovisuel, parmi lesquels figurent aussi la directive sur les services audiovisuels, qui soumet certains domaines (la publicité par exemple) à des règles transnationales, et le programme de soutien au cinéma européen.La Commission favorise également l’éducation aux médias au moyen d’initiatives en matière de culture cinématographique dans le cadre de son action préparatoire MEDIA International . Cette initiative encourage des actions qui visent à faire mieux connaître au public européen, en particulier aux jeunes, des œuvres cinématographiques et audiovisuelles de pays tiers, et inversement.
Le thermique solaire, une voie trop longtemps négligée Plutôt que de se focaliser sur la filière photovoltaïque, les Européens ont tout intérêt à développer la technologie des centrales thermiques solaires. 20.08.2009 Jeanne Rubner Le 13 juillet a été donné le coup d’envoi du gigantesque projet d’énergie solaire Desertec, qui pourrait marquer l’aube d’une ère énergétique nouvelle. En effet, à terme, Desertec pourrait constituer le plus grand réservoir d’énergie solaire au monde, avec des centrales qui fourniraient jusqu’à 20 gigawatts et couvriraient un septième des besoins européens en électricité [à l’horizon 2020]. Il aura fallu une armée de visionnaires déterminés pour mettre sur pied le projet, et sa réalisation demeure semée d’embûches. Pourtant, nul besoin d’être un écolo radical ni un adepte du soleil pour prêcher la construction de centrales solaires thermiques. Même si l’on suit les plus timorées des analyses sur le sujet, tout parle en faveur de ce type de production électrique. Alors, pourquoi seulement maintenant ? L’idée de capter le rayonnement solaire et de le transformer en chaleur afin de produire de l’électricité ne date pas d’hier. On sait depuis longtemps que le thermique solaire fonctionne dans toutes les zones chaudes de la planète, là où le soleil brille souvent et où les nuages rendent rarement la lumière diffuse. Dans le désert de Mojave, en Californie, une centrale de ce type est raccordée au réseau électrique depuis la fin des années 1980. Au fil des années, l’installation, qui fonctionne à merveille, a pu être développée et fournir ainsi 12 milliards de kilowattheures de courant. Mieux, le prix du kilowattheure produit ne cesse de diminuer : l’exploitant de la centrale l’estime aujourd’hui à 12 centimes d’euros [un prix similaire à celui facturé en France aujourd’hui par kilowattheure consommé].Malheureusement, cette centrale modèle est arrivée trop tôt. A l’époque, la crise pétrolière de la fin des années 1970 – une des causes à l’origine de la construction de la centrale – était déjà oubliée, et les matières premières traditionnelles restaient suffisamment bon marché pour servir à produire de l’électricité. Les Etats-Unis ont donc tourné le dos à cette fantastique possibilité de produire de l’électricité sans combustible coûteux, sans risque d’accident, sans déchet radioactif et sans réchauffement atmosphérique. L’Allemagne, elle aussi, a négligé le thermique solaire. A l’origine, les ingénieurs allemands ont joué un rôle déterminant dans le développement de cette technique. Mais, le climat d’Europe centrale ne se prêtant guère à la production d’électricité à partir de la chaleur solaire, les centrales devaient être implantées dans le sud de l’Europe ou au Maghreb. C’est pourquoi ni le gouvernement de Helmut Kohl [au pouvoir de 1982 à 1998], ni la coalition des sociaux-démocrates et des écologistes [gouvernement de Schröder en place de 1998 à 2005] ne s’y sont intéressés. Bien au contraire, pour les Verts, la thermie solaire constituait une sorte de technologie monumentale qu’il convenait d’éviter. Ils ont donc préféré promouvoir le développement de cellules photovoltaïques sur les toits allemands plutôt que celui de centrales dans le Sahara.Ainsi cette forme essentielle d’énergie renouvelable a-t-elle été scandaleusement négligée. A l’inverse des cellules photovoltaïques, les centrales solaires thermiques fournissent de l’électricité qui peut être commercialisée. De plus, comme elles stockent la chaleur, elles fonctionnent vingt-quatre heures sur vingt-quatre et fabriquent de l’électricité de jour comme de nuit. Et si jamais le soleil ne brillait pas pendant une journée entière, on pourrait au besoin utiliser les turbines à gaz de secours.Les centrales solaires thermiques ne présentent-elles donc aucun inconvénient ? Si bien sûr, mais les avantages l’emportent. Premier point noir : le transport de l’électricité sur de grandes distances. Grâce à la technique de la transmission par courant continu, cela ne représente toutefois plus un gros problème, et les coûts engendrés sont négligeables. Ensuite, certains redoutent de devoir dépendre d’Etats noyautés par le terrorisme islamiste. Mais il faudrait que les terroristes frappent simultanément de nombreuses installations pour que l’Europe soit réellement touchée. Et établir un commerce solaire avec des pays relativement stables comme la Tunisie et le Maroc présenterait l’avantage d’ouvrir à ces derniers de nouvelles perspectives économiques. Desertec pourrait de plus constituer un projet modèle pour cette Union pour la Méditerranée que l’Europe a tant de mal à mettre sur pied. Le troisième point, le reproche d’impérialisme, n’a pas lieu d’être. On peut tout à fait imaginer des modèles commerciaux dans lesquels les Africains profiteraient de Desertec.Le plus gros obstacle, en fait, est posé par le coût des centrales solaires thermiques. Elles réclament un investissement à peu près comparable à celui d’une centrale nucléaire. Mais c’est pour cette raison que le gouvernement allemand – et, idéalement, l’ensemble de l’Union européenne – doit promouvoir la construction d’installations solaires via des subventions, des allégements d’impôts et de solides conditions-cadres. Desertec ne peut pas rester une action destinée à soigner l’image d’une poignée d’entreprises. Le monde politique se doit d’intervenir afin que l’opération soit un succès.
La centrale solaire de Lieberose actuellement en cours de construction dans le sud de Berlin est devenue jeudi la deuxième plus grande du genre dans le monde et la plus importante en Allemagne. Malgré une conjoncture défavorable, les deux société en charge de la construction - le Groupe Juwi et First Solar - on continué d'injecter plus de 160 millions d'euros dans le projet. La centrale comprendra au total 700 000 modules solaires en couches minces sur une superficie équivalente à 210 terrains de football (162 Ha). D'une capacité de production cumulée de 53 MW par an, cela correspondra à la fourniture d'électricité annuelle pour 15 000 foyers."Nous avons pour objectif de fournir une alimentation mondiale en énergie propre et rentable basée sur l'énergie solaire. A lui seul le projet de Lieberose permettra d'éviter le rejet d'environ 35 000 tonnes de CO2 par an" a indiqué en substance le directeur de First Solar, Stephan Hansen dans un communiqué.Le projet est situé sur le plus grand camp militaire d'entrainement (ancienne Allemagne de l'Est) qu'occupait l'armée soviétique au temps du mur de Berlin. Les promoteurs du projet expliquent qu'en regard "de la faiblesse relative de l’investissement et des coûts d’exploitation", il a été possible de louer ce terrain alors en friche à la région de Brandebourg, qui finance en contrepartie la restauration du site, comprenant l'enlèvement des métaux et la décontamination des sols (restes de grenades, éclats d'obus et munitions). À la fin du bail, la centrale solaire pourra être démontée et le terrain rendu à l’état naturel. L'inauguration a eu lieu en présence du ministre du développement rural et de l'environnement Dietmar Woitke, du ministre fédéral Wolfgang Tiefensee et du président de la région de Brandebourg Matthias Platzeck.
Internet : Un nouveau défi à relever [Fenêtre sur l'Europe] La Commission européenne a lancé aujourd’hui un avertissement: des Européens de tous âges risquent d’être privés des avantages de la société de l’information, aujourd’hui hautement technologique, si des efforts plus soutenus ne sont pas consentis pour les former suffisamment aux médias et leur permettre ainsi de découvrir, d’analyser et d’évaluer des images, des sons et des textes et d’utiliser les médias – traditionnels et nouveaux – pour communiquer et créer des contenus multimédias. Selon Bruxelles, les pays de l’Union européenne et le secteur des médias doivent former et informer davantage le grand public pour l’aider à mieux appréhender les nombreux "messages médiatiques" existants (publicités, films ou contenus en ligne par exemple).Pour participer à la société de l’information actuelle, il est impératif de comprendre le fonctionnement des différents médias (traditionnels et nouveaux). C’est la raison pour laquelle la Commission européenne a adopté aujourd’hui (à la demande du Parlement européen) des lignes directrices qui invitent les États membres et le secteur européen à encourager, en Europe, l’éducation des citoyens aux médias par des activités qui leur facilitent l’accès aux moyens de communication (télévision, cinéma, radio, musique, presse écrite, internet et technologies de communication numérique) et les aident à les comprendre et à les évaluer d’un œil critique.Cette éducation aux médias pourrait permettre aux citoyens d’utiliser plus efficacement les moteurs de recherche ou aux écoliers de découvrir les coulisses d’un film ou le fonctionnement de la publicité. Certains pays (tels que la Suède, l’Irlande ou le Royaume‑Uni) ont déjà inscrit l’éducation aux médias dans leur programme scolaire. Au Royaume-Uni, le site internet kidSMAR T apprend aux jeunes à naviguer en toute sécurité sur les sites de socialisation. La Commission n’ignore pas que l’éducation est une compétence nationale, mais elle a invité aujourd’hui les États membres à engager un débat sur la manière dont les écoles pourraient accorder une place plus importante à l’éducation aux médias.Les utilisateurs des médias doivent être conscients des risques liés à la diffusion de leurs données à caractère personnel. Plus ils sont compétents pour utiliser ces technologies, mieux ils comprennent le fonctionnement de la publicité sur internet et mieux ils peuvent protéger leur vie privée. Mieux formés à l’utilisation des médias, ces utilisateurs souhaiteront également en savoir plus sur le patrimoine culturel de leur pays et sur les œuvres culturelles européennes récentes et pourront ainsi les découvrir.La recommandation de la Commission sur l’éducation aux médias, rendue publique aujourd’hui, peut être consultée à l’adresse suivante:
Energie : Le plus grand parc solaire allemand inauguré [Fenêtre sur l'Europe] Le plus grand parc solaire allemand a été inauguré ce jeudi 20 août sous un soleil éclatant. Le parc photo-voltaïque de Lieberose, au sud de Berlin, dans l'ex-Allemagne de l'Est, doit permettre de produire 53 megawatts par an, soit l'énergie requise par 15.000 foyers, selon les opérateurs.Le parc est grand comme 210 terrains de football. Il comprend 560.000 panneaux solaires et a été construit sur un ancien terrain de manoeuvre de l'Armée rouge.
2009-08-20 Alors que s'approche le Ramadan, les visiteurs sur les marchés algériens se font de plus en plus nombreux – et les prix de plus en plus élevés. Mois de piété, de privations et de plats favoris, le Ramadan constitue une véritable saignée pour les portefeuilles des familles et une véritable aubaine pour les commerçants occasionnels. Par Nazim Fethi pour Magharebia à Alger – 19/09/08
[Les marchés algériens connaissent l'essor qui les caractérise chaque année durant les quelques jours qui précèdent le Ramadan. Le Ramadan arrive en Algérie et comme chaque année, les repas spéciaux et les prix en flèche occupent l'esprit de tout un chacun. Mais avant de pouvoir déposer les plats sur la table, les Algériens doivent affronter la ruée des marchés. Cette année, ils ont connu leur plus long week-end de shopping : jeudi, vendredi et samedi, après le passage, la semaine dernière, au nouveau week-end du vendredi-samedi. Les prix montent en flèche, en dépit des efforts déployés par le ministère du Commerce et l'Union des commerçants algériens, de contrôler les commerçants. "C’est comme ça, chaque année, il faut faire le plein avant le Ramadan, quel que soit le prix", explique Said, un homme âgé rencontré au marché de Bab El Oued. "Que voulez-vous ? Les gens achètent sans compter et viennent tous à la fois demander les mêmes produits", explique Kamel, un vendeur de légumes, assis derrière une étale de légumes, dans une ruelle adjacente du marché des "Trois horloges". L'attrait du profit incite les vendeurs à tout vendre, du persil au dioul (une pâte fine pour la préparation des gâteaux). Et l'occasion est si belle que de nombreux coiffeurs et mécaniciens, par exemple, se transforment pour le mois en vendeurs de zalabiya. Des garages fermés sont rouverts et les jeunes érigent partout des tentes de bambous pour en faire de petites mahchachates (des lieux où l’on peut jouer aux cartes et aux dominos tout en consommant des snacks jusqu’au petit matin). "Chaque Ramadan, je cotise avec deux voisins pour louer un garage et y faire une mahchacha", explique Samir, un fonctionnaire qui vient de prendre son congé annuel. "C’est une façon de gagner un peu d’argent tout en se rendant utile pour les jeunes du quartier. En l’absence de loisirs, les jeunes du quartier se retrouvent chez moi, tous les soirs, pour jouer aux dominos, écouter de la musique chaabi et déguster mes gâteaux et mes brochettes." La contrainte que fait peser le Ramadan sur le porte-monnaie est compensée par le plaisir de succulents repas. "C’est le seul mois où les femmes étalent leur savoir faire culinaire", explique Farida, qui prépare les repas pour toute la famille. "Le reste de l’année, c’est casse-croûte ou pizza dans les fast-food ; sinon, chacun mange selon ses convenances." Le jeûne est habituellement rompu par un iftar composé de dattes et de ben ou de rayeb (lait caillé). L’Algérie produit l’une des plus belles dattes du monde, la deglet nour, et les mosquées cotisent pour acheter suffisamment de dattes afin de permettre aux fidèles de pouvoir rompre le jeûne avant la prière du Maghreb (crépuscule). Dans l'Est et le centre de l'Algérie, la suite est en général de la chorba frik (une soupe à base de graines céréales moulues et de sauce tomate) ; dans l'Ouest, c'est plutôt la h’rira (une soupe de légumes). A Alger, le plat suivant est généralement des boureks, tandis qu'une variante plus importante, la brik, est servie dans l'Ouest. Ces feuilles de pâte sont remplies de pommes de terre bouillies, d'oeufs, de viande hachée et même de crevettes. Vient ensuite la pièce de résistance, en général du ham lahlou, un plat de viande d’agneau préparé avec des pruneaux et des abricots secs, qui n’est consommé que quelques jours pendant le Ramadan. Le dernier plat avant le début du jeûne du jour suivant est le s’hour, en général un couscous avec des raisins secs et du lait caillé. Mais certains préfèrent un café au lait, avec un gâteau ou un autre plat chaud. Certaines personnes préfèrent manger aux dernières heures avant l'aube, mais tout le monde ne se lève pas si tôt. "Je suis fonctionnaire et je ne peux pas me permettre de me réveiller à 4 heures du matin pour manger", explique Salim. "Sinon, je risque de rater mon travail." Outre le plaisir des plats traditionnels, les traditions du Ramadan sont aussi l'occasion de distinguer les activités de la journée et de la nuit entre les hommes et les femmes. Outre la préparation des repas et les soirées passées à jouer à la boukalate (un jeu de devinettes), les femmes reçoivent leurs voisines ou les membres de leurs familles autour d’un thé à la menthe et de gâteaux. Les hommes se rendent dans les cafés ou les mahchachates pour y retrouver leurs amis, où ils passent la nuit à boire du thé et à manger des pâtisseries, tous en parlant et en écoutant de la musique. Ceux qui font les prières de taraouih sont les derniers à participer à cette vie nocturne. Mais malgré ces visites d'amis et de voisins, le Ramadan est avant tout une affaire de famille. "C’est le seul mois où toute la famille se retrouve autour de la table de l'iftar (la rupture du jeûne)", explique Farida, enseignante et mère de famille. "J’attends ce mois avec impatience, juste pour voir ma grand-mère jouer à la boukalate avec ses voisines", explique Razika. "C’est un trésor ancestral qu’elles véhiculent." Ce contenu a été réalisé sous requête de Magharebia.com
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