Friday, October 22, 2010
Ouverture à Alger du 1er Salon des banques et assurances
Experts, banquiers et professionnels de la finance et des assurances ont assisté hier à la Safex, à Alger, à l’ouverture du 1er Salon national dédié aux banques et aux assurances. Organisé par la Société algérienne des foires et expositions (Safex) et la société Mira Cards Editions, le 1er salon des banques et assurances (expo-finances 2010), qui regroupe 44 participants notamment les banques publiques et privées et les assurances, se veut une manifestation qui vise à «présenter leurs produits stratégiques, leur savoir-faire et leur expertise et se rapprocher davantage de leurs éventuels clients», selon les organisateurs. Pour le P-DG de la Banque de développement local (BDL), Mohamed-Arselane Bachetarzi, ce rendez-vous économique «est un espace pour stimuler le développement local, et régional du pays». «Nous sommes là pour accompagner le programme du gouvernement, notamment dans les secteurs des travaux publics, l’industrie et le bâtiment, l’agroalimentaire, la promotion immobilière et les énergies renouvelables», a-t-il fait remarquer dans une déclaration à la presse. La BDL «n’est pas un distributeur automatique d’argent. Il faudrait que les projets soient maturés avant de les financer, et ce dans l’intérêt aussi bien des opérateurs économiques, pour qu’ils ne perdent pas leur argent, que de la banque, pour qu’elle puisse récupérer l’argent placé dans ce projet», a affirmé M.Bachetarzi.
Les relations algéro-françaises caractérisées par une nouvelle tournure
Medelci à la Chaîne III de la radio nationale :
«Les relations algéro-françaises caractérisées par une « nouvelle tournure »
Le ministre des Affaires étrangères a indiqué, hier, que les relations algéro-françaises sont caractérisées par une « nouvelle tournure ». « Les situations tendues mais relativement précises que nous avons vécues ces derniers mois ont laissé la place à plus d'ouverture », a-t-il déclaré. « Pour autant, aurons-nous résolu tous les problèmes? Je ne crois pas (...) mais nous mettons en avant le sens de la responsabilité vis-à-vis de nos concitoyens et de notre communauté nationale à l'étranger », a-t-il ajouté, tout en précisant que « regarder vers l'avenir ne signifie pas dire n'importe quoi sur le passé ».
Dans le même sillage, M. Medelci a évoqué les visites effectuées par les hauts responsables français, ajoutant le nouveau dynamisme des relations algéro-françaises sera sanctionné par une visite de l’ex premier ministre, Jean Pierre Raffarin. S’agissant des relations algéro-marocaines, le ministre des AE les a qualifiées de « fraternelles »
Par ailleurs, M. Medelci a réitéré que « l'Algérie entretient une coopération "positive" avec les pays de la région du Sahel, a affirmé, jeudi à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci. "Nous sommes dans une situation de coopération tout à fait positive avec ces pays", a indiqué M. Medelci dans une réponse à une question de journalistes sur "des pressions" que subirait l'Algérie de la part des pays voisins, comme le Mali et la Mauritanie, au sujet de la situation dans la région du Sahel. "Il ne faut pas accorder trop d'importance à certaines déclarations rapportées par un nombre de médias, mais plutôt essayer de mettre le projecteur sur ce qui est entrepris directement au niveau des responsables et des institutions" de ces pays, a encore précisé le chef de la diplomatie algérienne qui s'exprimait en marge de la présentation de la Déclaration de politique générale du Premier ministre, Ahmed Ouyahia, devant les députés de l'Assemblée populaire nationale.
Algerie une chance de progrès et de prospérité
Le partage des résultats de la croissance est un fait évident en Algérie. L'économie en mutation ces dernières années, permet de dire qu'il y a optimisme à constater sans le moindre doute cette évolution, signe de la relative bonne santé du pays. L'économie en mutation au cours de ces dernières années, permet de dire qu'il y a quelque chose de solide qui est en train de se construire. Le pays est un immense chantier dans tous les secteurs. Un sérieux lifting est mis en place avec beaucoup de rénovation, ce qui est, bien entendu, tout pour le bénéfice du citoyen. Cette répartition des revenus appliquée avec justice et équilibre est résolument novatrice, tant elle franchit des objectifs qui lui confèrent l'"onction" du consensus au sein de la société. Tout cela révèle les motivations du chef de l'Etat ainsi que ses ambitions à faire "grandir" le pays. Un discours politique tout à fait logique, cohérent et une vision bien ciblée. Il va de soi que les "témoins" des indicateurs qui font le bonheur des populations sont aujourd'hui au mieux de leur forme. C'est ce qui explique toutes les précisions ouvrant sur la renaissance et la promotion des valeurs du pays, à travers la multiplication des programmes et ensuite en favorisant le développement d'un climat collectif produisant à son tour des résultats concrets. C'est, d'ailleurs, le but du temps actuel qui prouve, par le retentissement des investissements publics, que le facteur de la justice sociale loué comme représentant une chance pour le progrès et la prospérité du pays et comme marquant une vision démocratique de l'avenir de la société, est désormais une réalité incontournable. Ce développement politique, économique, social et environnemental, résulte de l'accroissement rapide des solutions en direction des populations. La précision d'une telle option, plus concrète, ouvre déjà sur toute la "surface" du pays. Si le progrès et l'efficacité du développement sont permanents depuis 2000, ils marquent plus d'ampleur au titre du programme quinquennal, donc pour l'avenir des améliorations et des résultats qui sont dans une telle conjoncture assez objectifs pour pousser le pays à se développer et à se moderniser. Une politique juste, intelligente dans l'intérêt des populations. Le programme présidentiel est à ce titre dépositaire de cet intérêt là. Cette politique interfère avec la réorientation du développement et de l'économie inscrite dans le programme présidentiel. L'orientation globale est confirmée dans une logique endogène de plus de décentralisation au profit des populations et celle exogène de sa meilleure gestion afin de parvenir à une croissance économique durable. Ce à quoi les pouvoirs publics déploient d'énormes efforts afin de lancer une offensive dans le domaine de la formation et de la technologie pour obtenir et accroître la productivité et lui attribuer les moyens et les instruments de foisonner. L'objet du propos est ainsi d'intégrer une lecture élargie et renouvelée d'une économie durable dans un contexte de fortes certitudes. La philosophie politique, stimulatrice du concept de modernité très contemporaine, représente une forme d'anticipation qui promet de transformer progressivement mais radicalement la société. La répétition et la diversification des "terrains" fertiles à cette modernité dans ses éléments de théorie et de vision d'avenir, se concrétisent sous l'effet d'une stratégie de mutation, au nom initial du programme présidentiel.
B. Chellali
Tindouf de nouveaux réseaux d'eau potable pour plusieurs zones
Les citoyens de plusieurs villages au niveau des communes de Oum El Assal et Tindouf, de plusieurs opérations de raccordement aux réseaux d'eau potable, cette opération est insérée dans le cadre des différents programmes de développement selon la direction l'hydraulique et des ressources d'eau dans cette wilaya. Dans ce contexte, le village de Ghar Jbilet situé à 145 km au sud ouest de la commune de Tindouf a bénéficié d'un projet d'approvisionnement par l'eau potable composé d'un prospecteur et d'un canal de pression d'une longueur de 1.5 km est ainsi un réservoir d'une capacité de 50 m³, aussi le raccordement des maisons par le réseau de distribution d'eau selon le directeur du secteur. La commune de Oum El Assal située à 170 km à l'est de la wilaya a aussi bénéficié d'une opération de renouvellement total du réseau d'eau potable, ce qui permis d'éliminer les fuites dans ce réseau, cette opération a aussi permet de garantir un approvisionnement régulier pour les citoyens en matière d'eau potable après le manque qu'a connu cette zone. Dans le même cadre, le village de Hassi Khebi dans la même commune a bénéficié d'une opération similaire par 4 prospecteurs qui ont été mis en exploitation l'année passée avec une capacité de pression de 30 litre/s, et le raccordement de ces prospecteurs avec une station de pompage vers le réseau de distribution d'eau sur une longueur de 23 365 m. Cette opération a aussi inclus la construction de 3 réservoirs dont deux d'une capacité de 500 m³ et un autre d'une capacité de 200 m³. Pour le village de Hassi Mounir qui est distant de 210 km de la capitale de la wilaya, celui-ci a bénéficié dans le cadre des programmes de la commune de développement, d'un nouveau réseau de distribution d'eau potable et la programmation d'un projet de construction d'un réservoir d'une capacité de 200 m³. Les opérations de prolongation des réseaux d'eau potable réalisés durant ces dernières années dans la wilaya de Tindouf ont atteint un taux de 97%. Selon la même source, la wilaya a inscrit une amélioration dans la distribution d'eau potable grâce à ces opérations car le volume d'eau distribué a augmenté de 44L à 150L par jour pour chaque citoyen pour une durée comprise entre 12h et 24h dans les différents quartiers.
Omar B.
Le Medef International organise une recontre France- Algérie le 8 novembre
Le Medef International organisera le 8 novembre, la prochaine rencontre du Conseil de chefs d’entreprises France-Algérie organisée autour de M. Xavier DRIENCOURT, Ambassadeur de France en Algérie, de M. Marc BOUTEILLER, Chef de Service Economique à Alger, et d’entreprises implantées dans ce pays.
Cette rencontre sera l’occasion de faire le point sur l’état de la relation bilatérale, un an après la visite de Laurence Parisot, Présidente du MEDEF, accompagnée d’une large délégation d’entreprise, et au lendemain de la nomination de deux coordonnateurs de la relation économique bilatérale, M. Jean-Pierre Raffarin et M. Mohamed Benmeradi, Ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion des Investissements.
L’Algérie, notamment grâce à la fermeture de son système bancaire et aux apports considérables du secteur pétrolier (4ème exportateur mondial de gaz naturel), a été peu affectée par la crise. Elle a accumulé des réserves (150 Mds USD) et réussi à s’affranchir de sa dette externe, ce qui a rendu possible le lancement de trois plans consécutifs de soutien de la croissance par l’investissement, dont 150 Mds dollars sur la période 2010-2014. Cette politique d’investissement publique a ainsi permis la croissance hors hydrocarbures du pays de s’élever à 9,2% en 2009 et de se stabiliser à 6% en 2010, d’après les prévisions du ministère des Finances.
Après avoir annoncé une nouvelle tendance économique en 2009, La loi de Finance Complémentaire 2010 confirme un retour au nationalisme économique avec quelques mesures phares comme la taxation des surprofits réalisés par les entreprises dans les secteurs hors hydrocarbures, l’obligation d’investir en Algérie pour les bénéficiaires des marchés publics, ou l’introduction d’une possible rétroactivité de la loi de répartition du capital entre les investisseurs.
medefinternational.fr/
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