阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门
指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Friday, May 21, 2010

hydrocarbures les experts préconisent une plus grande coopération inter-africaine




Pollution marine par les hydrocarbures

Les experts préconisent une plus grande coopération inter-africaine



Une plus grande coopération entre les pays africains, des plans de surveillance pour chaque pays et la création d'un Fonds de protection contre les marées noires, figurent parmi les principales recommandations qui ont sanctionné, jeudi à Alger, le séminaire international sur la pollution marine par les hydrocarbures. Ce séminaire qui a regroupé plus de 250 spécialistes de plusieurs pays, a été l'occasion pour les représentants des pays africains de relever l'inadéquation entre, d'une part l'importance du risque de pollution des mers et d'autre part, la faiblesse criarde des moyens des pays africains à faire face à tout danger. Les conclusions des travaux soulignent l'absence de stratégie de lutte contre la pollution marine par les tankers (bateaux citernes), l'absence de cartographie, voire une méconnaissance des techniques de surveillance alors que les côtes africaines sont considérées comme extrêmement vulnérables. Les participants ont à mis également en exergue "le faible intérêt des pays pour mettre en application des instruments de surveillance des côtes". Les débats ont permis de passer en revue les différents cas d'accidents maritimes survenus dans le monde, causant des marées noires. La Turquie et l'Espagne ont présenté des communications qui ont suscité un vif intérêt de la part de l'assistance, parce que, selon les participants, ces expériences montrent la complexité du phénomène et la difficulté de lutter contre le déversement du pétrole en mer notamment dans des conditions de météo défavorables. Les questions se rapportant à la détermination des responsabilités et des parties devant payer les dégâts occasionnés ont été au centre des débats. Toutes les parties s'accordent à dire que "le pollueur doit être le payeur". Les interventions ont montré que cela n'est pas aussi simple car dans certains cas le montant des dégâts dépasse de loin les capacités de l'armateur.Notons qu'à l'ouverture des travaux, le ministre de l'Energie te des Mines, M. Chakib Khelil, avait indiqué que des quantités importantes d'hydrocarbures, estimées à plusieurs centaines de milliers de tonnes, sont déversées accidentellement chaque année dans la Méditerranée. Il a estimé, par ailleurs, que l'enjeu est d'autant plus crucial que la Mare Nostrum, qui représente seulement 0,7% des mers du globe, supporte environ 30% du commerce maritime mondial et 22% du transport international de pétrole. Les risques d'accidents de navires transportant des hydrocarbures est notamment élevé dans la rive sud de la Méditerranée et la côte ouest africaine. Notons que les travaux du séminaire international sur la pollution marine par les hydrocarbures ont été ouverts, mercredi à Alger, en présence des représentants de 14 pays membres de l'Association des pays producteurs de pétrole africains (APPA), dont l'Algérie. Ce séminaire, organisé par le ministère de l'Energie et des Mines, en collaboration avec l'APPA, a pour objectif d'évaluer les dispositifs de prévention et d'intervention contre les risques d'accidents de pollution marine par les hydrocarbures et de rejets sur la rive sud de la Méditerranée et de la côte ouest africaine.S.G.

Hommes d’affaires algériens bientôt en Allemagne



AHK-AlgérieDes hommes d’affaires algériens bientôt en Allemagne
«Ces carrefours internationaux seront l’occasion pour les industriels algériens de s’informer sur les plus récentes innovations», a indiqué Andreas Hergenrorther, directeur général de l’AHK-Algérie. K 2010, le Salon mondial de l’industrie des matières plastiques et du caoutchouc se tiendra du 27 octobre au 3 novembre prochain à Düsseldorf. Il s’agit d’un rendez-vous incontournable des plasturgistes et des activités associées.  «En dépit de la situation tendue que connaît l’économie mondiale, les entreprises de tous les continents misent sur le K 2010, qui regroupera quelque 3 000 entreprises», a tenu à souligner Mme Petra Cullmann, directrice de K2010. Et d’ajouter: «Ceci se reflète nettement dans le résultat des inscriptions, révélant que les 19 halls d’exposition disponibles affichent complet et toutes les entreprise de renommée mondiale figurent sur la liste des exposants». Les proposants d’Allemagne, d’Italie, d’Autriche, de Suisse et des Etats-Unis sont, selon Mme Petra, à nouveau, particulièrement bien représentés, tout comme les fabricants asiatiques de la Chine, de Taïwan et de l’Inde. Ces proposants exposeront leurs produits sur une superficie totale de plus de 16 000 mètres carrés. Les fabricants de machines et installations occuperont deux tiers de la superficie réservée au Salon K 2010. Les proposants de matières premières, de produits semi-finis et de pièces techniques, occuperont, quant à eux, 4 halls. De ce fait, «les industriels algériens activant dans le domaine de la plasturgie pourront profiter de cet important événement pour s’informer sur l’offre mondiale en la matière, découvrir les tendances progressives et pourquoi pas nouer des relations de partenariat fructueux», indique M. Andreas. En parallèle à l’exposition, des tables rondes quotidiennes seront animées par un cercle d’experts, parmi lesquels des chercheur et des utilisateurs expérimentés, autours des thèmes sur, entres autres, l’efficacité énergétique et du management des ressources. Selon les prévisions des organisateurs, le «K2010» drainera pas moins de 200 000 visiteurs professionnels. Pour rappel, quelque 3 130 exposants et 242 000 visiteurs professionnels avaient participé à K 2007. De même, Düsseldorf abritera, du 28 septembre au 2 octobre prochain, le Salon de l’industrie du verre, de la construction de machines pour le verre et de l’artisanat verrier, baptisé: Glasstec 2010. Ce dernier offrira une gamme complète de technologie et de services connectés à la chaîne technologique et aux processus de production de verre. Plus de la moitié des surfaces d’affichage sera dédiée aux présentations et aux démonstrations de machines, d’usines, d’équipements et de composants. En 2008, Glasstec avait réuni plus de 1 300 exposants de 30 pays et plus de 55 000 visiteurs du monde entier. En parallèle à ce salon, se tiendra sur 73 000 m2 , le Salon professionnel de la technique de production solaire Solarpeq 2010, du 28 septembre au 1er octobre prochain». Il s’agit d’un événement clé du secteur de l’énergie solaire. Enfin, le DG de l’AHK Algérie a annoncé, à ce titre, la constitution d’une délégation d’hommes d’affaires algériens pour visiter ces deux Salons. B. A.
22-05-2010

Algerie Air Méditerranée destination Jijel


Air Méditerranée lance une destination vers Jijel au départ de Paris CDG et Mulhouse dès le 28 juin 2010
La compagnie Air Méditerranée desservira une nouvelle destination encore jamais desservie en vol international Paris CDG- Jijel et Mulhouse-Jijel en vols réguliers une fois par semaine, chaque lundi, du 28 juin au 25 octobre 2010. Air Méditerranée s'est associée à Atlas Tours, spécialisée sur le trafic communautaire vers le Maghreb particulièrement. La commercialisation des vols se fera via les agences agréées Atlas Tours. Air Méditerranée, compagnie française créée en 1997, s'est spécialisée sur le créneau du vol loisirs vers le Bassin méditerranéen et l'Afrique notamment, et depuis l'été 2009, la compagnie s'est positionnée sur le marché des vols affinitaires vers l'Algérie et la Tunisie en ouvrant la ligne Paris/Oran en juillet 2009(avec 3 fréquences par semaine) et la ligne Paris/Tunis en décembre 2009 en partenariat avec Atlas Tours. L'Algérie représente une des 1ères communautés en France et les échanges économiques n\'ont de cesse de se développer entre les 2 rives de la Méditerranée. R.E.

Salon international des équipements, des technologies et des services de l'eau d'Oran




Une réussite



Les exposants au 6e Salon international des équipements, des technologies et des services de l'eau, dont les travaux ont pris fin jeudi à Oran, ont qualifié cette manifestation de "fructueuse et de réussie". Ce salon, selon les participants, leur a permis d'échanger les expériences notamment en matière de nouvelles techniques en hydraulique, de faire connaître leurs performances et de s'enquérir du marché de l'eau en Algérie. Le chef de cabinet du ministère des Ressources en eau, Mme Bezzi Fadéla, qui a présidé la cérémonie de clôture de cette manifestation, a estimé que ce salon a été une "réussite" et a constitué une opportunité d'introduire de nouvelles technologies utilisées dans les domaines des ressources en eau et de l'assainissement. Par exemple, le stand réservé aux canalisations du complexe "Cosider" qui a exposé une gamme de projets qu'il a concrétisé et autres en voie de l'être dans le secteur des ressources en eau, a réuni plus de 100 visiteurs professionnels, selon un représentant de la branche. Etant donné que le ministère des Ressources en eau accorde une grande importance à l'exploitation des eaux usées traitées à des fins agricoles, ce rendez-vous a permis aux entreprises nationales spécialisées d'exposer des gammes d'appareils utilisés dans ce domaine, leurs prestations et leur savoir-faire en matière de traitement des eaux usées, de fabrication et de pose des canalisations selon les normes internationales en vigueur. Un exposant spécialisé dans la fabrication des canalisations de l'ouest algérien a suggéré d'insérer une clause au cahier des charges imposant au concessionnaire le recours à des produits nationaux disponibles sur le marché, ce qui permettra d'encourager l'entreprise algérienne. D'autre part, ce salon, qui intervient après cinq manifestations successives tenues à Alger, a été l'occasion pour les exposants étrangers de découvrir le marché local qui enregistre un développement majeur dans le domaine de l'hydraulique. Un participant d'Allemagne pour la première fois à cet événement a indiqué que la ville d'Oran connaît une grande mutation dans le secteur des ressources en eau, grâce aux moyens mobilisés par l'Etat pour son développement et pour fournir de l'eau à la population, ce qui exige la recherche d'opportunités de partenariat avec les entreprises algériennes, pour concrétiser des projets. Pour rappel, cette manifestation, organisée durant quatre jours par la société "Reed exposition France", a connu la participation de 300 sur 10 000m² d'exposition, et 6 500 visiteurs professionnels ont été invités pendant 4 jours à découvrir leurs équipements, technologies et services de gestion et de traitement de l'eau, de préservation des ressources et de mise en œuvre du développement durable. Plusieurs pays ont été représentés à cette manifestation organisée par la société française Reed expositions, à l'image de la France, de l'Allemagne, de l'Espagne, de l'Italie, du Canada, de la Belgique, des pays-bas, du Danemark, de la Turquie de la Chine , du Portugal des Etats-Unis, du Japon, de l'Autriche et des Emirats arabes unis. En plus de l'exposition, plusieurs thèmes ont été traités au cours de 3 jours d'ateliers et de conférences. Il s'agit, entre autres, des évolutions dans les canalisations : les nouvelles normes algériennes pour les tubes en PE (pour l'eau potable) et les tubes en PVC (assainissement).Avec 60 salons professionnels et grand public en France, Reed Expositions France organise des salons dans 19 secteurs d'activité différents : l'art, l'audiovisuel, la bijouterie, le confort, la construction, l'édition, l'équipement de la maison, de l'environnement, la franchise, l'hôtellerie et la restauration, les loisirs nautiques, l'industrie, le marketing et la communication, le médical, les nouvelles technologies, la sécurité, le transport et la logistique et le tourisme. C'est une filiale de Reed Exhibitions.Synthèse K.B.

Algérie – Union européenne exportations



Algérie – Union européenne : Le casse-tête des exportations
«L’Algérie est confrontée à des problèmes d’exportation du fait des normes et de la réglementation européennes, dans ce domaine.»
’est ce que l’Union européenne (UE) a toujours fait valoirpour expliquer le déficit commercial qu’enregistre l’Algérie, depuis septembre 2005, date de l’entrée en vigueur de son accord d’association.
En clair, les produits nationaux ne répondent pas aux normes et à la réglementation en vigueur sur l’autre rive de la Méditerranée. La délégation européenne le rapporte clairement dans le dernier numéro de la revue qu’elle publie, à Alger. Elle rappelle les vecteurs essentiels de sa relation avec Alger et fait le point sur la coopération entre l’Algérie et l’UE. Elle tient ainsi, certainement, à démontrer qu’elle n’a pas été avare en matière d’aides techniques et d’expertises, en faveur de l’Algérie.
C’est pour les membres de la délégation, une manière de dégager la responsabilité de l’UE dans les énormes pertes financières que la mise en œuvre de l’accord d’association provoque à l’Algérie. Ainsi donc, la non-conformité des produits algériens aux normes et règlements européens, a-t-elle été mise en exergue -encore une fois- lors de la 3è réunion du sous-comité «Agriculture et Pêche» établi dans le cadre de l’accord d’Association, qui s’est tenue à Bruxelles, le 2 mars dernier. La réunion a été consacrée à divers échanges d’information dans les domaines évoqués.
«Elle a permis de clarifier les différents règlements en vigueur ainsi que d’échanger des points de vue autour des données statistiques relatives au commerce des produits de ces secteurs,» lit-on à ce sujet.
Il est dit que «les participants ont cherché à identifier des actions concrètes qui permettraient à l’Union européenne d’appuyer les autorités algériennes et les différents acteurs économiques pour développer d’avantage l’accès aux marchés européens des produits algériens.» L’UE suggère à l’Algérie de «tirer davantage de bénéfice de ses cultures naturelles (BIO) et de certains produits comme les dattes.»
Elle circonscrit ainsi aux Algériens, le périmètre dans lequel ils pourraient prétendre détenir des produits «bons à exporter.»
C’est d’ailleurs ce qu’elle explique plus loin en soulignant que «dans ce cadre, la possibilité d’une convergence graduelle avec les règles sanitaires et phytosanitaires de l’UE, a été explorée.» L’Algérie et l’UE ont aussi planché sur «le dialogue économique» dans une rencontre tenue le 16 mars dernier. Il est dit qu’il était nécessaire de faire le point sur ce sujet, après 5 ans de mise en œuvre de l’accord d’Association et aussi la crise financière mondiale. «Les autorités algériennes ont souhaité que le point principal discuté concerne la diversification de l’économie et les moyens pour l’atteindre,» est-il dit.
Avec en plus la précision qu’«il s’agit d’une préoccupation majeure de l’Algérie, afin de sortir de la primauté des hydrocarbures.» Les secteurs prioritaires identifiés pour cela sont ceux du développement des PME/ PMI, le tourisme, l’agriculture et l’agroalimentaire, les technologies de l’information et de la communication et enfin les énergies nouvelles.
LES «NÉCESSAIRES» RAPPELS DES EUROPÉENSLa délégation a, par ailleurs, passé en revue ce qu’elle appelle «les activités du programme d’appui à la facilitation du commerce (FACICO). C’est, explique-t-elle «un programme dont bénéficie le ministère du Commerce qui s’étale sur 4 ans et mobilise un budget de 6.250.000 euros.
«Les objectifs spécifiques sont d’appuyer et de renforcer les capacités de l’administration du ministère pour la mise en œuvre des accords internationaux, la mise en place des dispositifs en matière de protection et de sécurité des consommateurs et, enfin, dans son action de modernisation et d’amélioration de l’efficacité des structures de contrôle de la qualité et de la répression de la fraude,» est-il écrit.
Au début de l’année 2010, il y a eu, dans ce cadre, l’organisation d’un séminaire sur «l’intégration de l’Algérie dans le système économique mondial: la contribution de la formation» et la signature d’une convention de partenariat entre le Centre algérien de contrôle de la qualité et de l’emballage (CACQE) et le Centre algérien d’accréditation et certification (ALGERAC) «pour l’accréditation des laboratoires régionaux de contrôle de la qualité et de la répression des fraudes du CACQE.)
L’accent, explique la délégation «a été mis sur l’importance de la mise en place de mécanismes de gouvernance solides pour l’activité économique, dont la politique de la concurrence est un des éléments-clés, pour bénéficier de la globalisation et permettre une meilleure intégration de l’économie algérienne dans le système international.» Pour ce qui est des accréditations des laboratoires, un processus d’accompagnement, est-il écrit, a été engagé et soutenu par des actions du programme FACICO.
«Il doit permettre à terme leur mise en conformité avec la norme ISO 17025 et leur accréditation par ALGERAC».
Le ministère du Commerce s’est engagé, lit-on, dans un important programme de soutien aux entreprises en matière d’accès aux marchés extérieurs mais aussi de protection et de sécurité des consommateurs.
«Quel que soit le marché de destination des produits, il est indispensable qu’ils répondent aux standards de qualité et de sécurité internationaux,» est-il souligné. L’on estime que «la reconnaissance internationale des certificats d’analyse des produits délivrés par les laboratoires du CACQE, doit répondre à cette exigence incontournable de disposer de compétences techniques nationales et d’une maîtrise d’analyses et d’essais, selon les référentiels internationaux.»
L’on rappelle aussi que le programme d’appui aux PME «mis en place conjointement par l’Algérie et l’UE» est doté d’un budget total de 44 millions d’euros et son objectif est «d’améliorer la compétitivité des PME algériennes pour leur permettre de reconquérir le marché intérieur mais aussi pour se développer à l’international (…).» La délégation promet «il s’agit d’un engagement concret de l’UE d’accompagner l’Algérie dans la mise en œuvre de l’accord d’Association.»
Ghania Oukazi

Google célèbre le 30ème anniversaire de PAC-MAN



Le géant de la recherche sur Internet, Google, célèbre ce vendredi 21 mai 2010 le 30e anniversaire de PAC-MAN. Le jeu a fait sa première apparition sous le nom de Puck Man le 10 octobre 1979 au Japon. Il a été conçu par Tōru Iwatani pour l'entreprise japonaise Namco.

BCE banque centrale européenne



La Banque centrale européenne (BCE) est la banque centrale de l’Union européenne. Elle est chargée de définir les grandes orientations de politique monétaire de la zone euro et de prendre les décisions nécessaires à sa mise en œuvre. C'est-à-dire de maintenir le pouvoir d'achat de l'euro et donc la stabilité des prix dans la zone euro. Cette zone comprend les 16 pays de l'Union européenne qui ont introduit l'euro depuis 1999. La BCE a été créée en 1998 et son siège est à Francfort-sur-le Main, en Allemagne. Occupant une ancienne tour de bureaux trop petite, un nouveau bâtiment est en cours de construction à Francfort depuis 2008
Le taux de refinancement de la BCE, son principal taux directeur, est à 1 % depuis le 7 avril 2009 et effectif à partir du 13 mai 2009; ses deux autres taux directeurs, le taux de rémunération des dépôts et le taux du prêt marginal, sont respectivement à 0,25 % et 1,75 % .La BCE a annoncé le 18 décembre 2008, à compter du 21 janvier 2009, un rétablissement de son corridor constitué par les taux des facilités permanentes à 200 points de base autour du taux d'intérêt des opérations principales de refinancement, contre 100 points de base auparavant.
Depuis octobre 2008 et à l'instar de la plupart des banques centrales de la planète, la BCE est entrée dans un cycle de relachement monétaire, qui se traduit principalement par une baisse de ses taux directeurs, et ce pour faire face à la récession.
Le principal objectif de la BCE est de maintenir, au sein de la zone euro, l’inflation annuelle « au-dessous, mais à un niveau proche, de 2 %, sur le moyen terme ».
Le président de la BCE depuis novembre 2003 est le Français Jean-Claude Trichet qui a été déclaré personnalité de l'année 2007 par le Financial Times pour sa gestion de la crise des subprimes.La BCE est l’organe central de l’Eurosystème et du Système européen de banques centrales :
l’Eurosystème regroupe la Banque centrale européenne (BCE) et les banques centrales nationales (BCN) des États membres de l'Union européenne qui ont adopté l'euro. Dans le cadre de l'Eurosystème la BCE s'est vue confier les missions autrefois devolues aux banques centrales nationales : émission de monnaie et politique monétaire ;
le Système européen de banques centrales (SEBC) comprend la BCE et les BCN des vingt-sept États membres de l'UE, c'est-à-dire que, par rapport à l'Eurosystème, il comprend en plus les BCN des pays qui n'ont pas adopté l'euro. Les BCN des États membres ne participant pas à la zone euro jouissent au sein du SEBC d'un statut particulier : elles sont habilitées à conduire une politique monétaire nationale autonome, mais elles ne participent pas à la prise de décisions de la politique monétaire de la zone euro ni à sa mise en œuvre.
En 2009, la BCE s'est dotée de la personnalité juridique depuis la ratification du Traité de Lisbonne.Conformément aux traités et statuts, l'objectif principal de la BCE est de maintenir la stabilité des prix. Sans préjudice de cet objectif, elle apporte son soutien aux objectifs économiques de l'Union, c'est-à-dire le maintien d'un niveau d'emploi élevé et l'encouragement d'une croissance non-inflationniste. Elle agit conformément au principe d'une économie de marché ouverte.
Les missions fondamentales relevant de l'Eurosystème consistent à :
définir et mettre en œuvre la politique monétaire de la zone euro ;
conduire la politique de change de la zone euro ;
détenir et gérer les réserves de change des États membres ;
assurer le bon fonctionnement des systèmes de paiement.
De plus, l'Eurosystème contribue à la bonne conduite des politiques menées par les autorités compétentes concernant le contrôle prudentiel des établissements de crédit et la stabilité du système financier.
La BCE remplit une fonction consultative auprès de l'Union et des autorités nationales dans les domaines de sa compétence, en particulier les questions relevant du droit communautaire ou national. Enfin, en vue d'assurer les missions du SEBC, la BCE, assistée par les BCN, collecte les informations statistiques nécessaires à son fonctionnement.Le processus de prise de décisions au sein de l'Eurosystème est centralisé au niveau des organes de décision de la BCE, à savoir le Conseil des gouverneurs et le Directoire. Tant que certains États membres n'auront pas adopté l'euro, il existera un troisième organe de décision : le Conseil général

La première pierre du nouveau siège de la BCE a été posée le 19 mai



[Fenêtre sur l'Europe]
mai sur le site de la Grossmarkthalle, à Francfort, où la Banque centrale européenne devrait s'installer en 2014.
La première pierre contient les plans de la construction, les quotidiens des 27 pays de l’Union européenne, des pièces venant des 16 pays de la zone euro, un jeu de billets en euros et une pièce commémorative de la ville de Francfort. Une fois scellée, elle a été enfouie dans les fondations où sera érigée la double tour du futur bâtiment. Les premiers travaux démarreront en juin prochain.Plus d’infos :http://www.ecb.europa.eu/newpremises

Le conseil d’association Algérie-UE en juin ?



par M. Saâdoune, Quotidien d’Oran

A moins de deux mois de la tenue du conseil d’association entre l’Algérie et l’Union européenne, Laura Baeza, ambassadeur, chef de la Délégation de l’UE en Algérie, ne doute pas de la solidité de l’accord dont la mise en œuvre se déroule « normalement ».
Le 5ème conseil d’association qui devrait se tenir à la mi-juin, « avance bien », les réunions entre hauts fonctionnaires et experts se tiennent régulièrement, les rencontres à niveau ministériel aussi. Le discours de Mme Laura Baeza ne renvoie pas à une relation algéro-européenne en crise même si elle n’exclut pas que certains aspects de l’accord puissent être revus. Un langage de diplomate au demeurant proche de celui du ministre des Affaires étrangères algérien, Mourad Medelci, qui avait déjà évoqué, lors de la 4ème réunion du conseil d’association en juin 2009, un « esprit positif » et salué « la grande écoute » des partenaires européens.
En février dernier, M. Medelci a reçu une délégation de la Commission européenne, dirigée par M. Tomas Dupla Del Moral. Il avait noté à l’occasion que certaines « subtilités » de l’accord n’étaient pas correctement perçues de part et d’autre.
« Nous avons le sentiment qu’il faut pourtant que cet accord soit non seulement bien compris, mais respecté, telle est la volonté de l’Algérie », avait-il ajouté. Le discours du chef de la diplomatie algérienne contraste avec celui développé par les ministres des Finances et du Commerce, Karim Djoudi et El Hachemi Djaâboub. Ce dernier est le plus en pointe dans les critiques et reproche aux partenaires européens de ne considérer l’Algérie que comme un « simple marché ».
Les ministres économiques plus critiques que Medelci
Karim Djoudi a relevé, en février dernier, à Bruxelles, que la suppression des droits de douanes a entraîné en 2009 un manque à gagner de 2,2 milliards de dollars alors que les flux des investissements européens vers l’Algérie peinent à atteindre 500 millions de dollars. « En dernière instance, c’est moins de ressources fiscales, peu d’investissements, peu d’exportations hors hydrocarbures et une économie qui pourrait privilégier l’acte de commercer à celui de produire ». C’est la grosse critique algérienne de l’accord d’association : l’ouverture du marché algérien n’a pas drainé les investissements européens.
Les Européens estiment qu’on focalise sur les chiffres de 2009 où, en raison de la crise, les investissements sont en baisse partout dans le monde. En contrepartie, ils soulignent qu’entre 2005-2008, les investissements européens sont passés de 234 millions € à 1,14 milliard €. Ils font valoir également que les exportations algériennes hors hydrocarbures ont atteint 1,23 milliard $ en 2008 contre 912 millions en 2007. Le chiffre pour 2009 est cependant plus bas, les entreprises algériennes se heurtant dans leurs efforts d’exportations à des règles et des normes européennes très exigeantes.
M. El Hachemi Djaaboub a reproché en outre à l’Union européenne d’avoir manqué à son engagement de soutenir l’adhésion de l’Algérie à l’Organisation mondiale du commerce. « L’Union européenne n’a pas respecté ses engagements écrits pourtant noir sur blanc dans l’accord. Elle s’est engagée à aider l’Algérie à adhérer à l’OMC, elle ne l’a pas fait ». Réponse de Tomas Dupla Del Moral : l’UE n’entrave pas le processus d’adhésion de l’Algérie à l’OMC. « Nous avons envoyé un mémorandum au gouvernement avec toutes les questions qui devraient être réglées dans le processus d’accession à l’OMC, sur lequel nous n’avons pas eu de réponses directes », avait-il indiqué.
Les prochaines discussions entre l’Algérie et l’UE auront lieu dans un contexte très différent de 2005, date de l’entrée en vigueur de l’accord d’association. Le gouvernement algérien, « déçu » par le peu d’engagement des investisseurs étrangers, a amorcé un nouveau tournant dans sa politique économique à la mi-2009.
Les mesures prises dans le cadre de la LFC 2009 sont dissuasives pour l’investissement, estiment les Européens. L’Algérie, estiment-ils, se plaint de ne pas attirer les IDE alors qu’elle a mis en place une politique dissuasive. Les sujets qui fâchent ne manquent pas.
M. Saâdoune, Quotidien d’Oran

La Google TV La télé rencontre le web. Le web rencontre la télé


La Google TV arrive à la rentrée aux Etats-Unis
Technologie - Google a présenté jeudi sa plateforme logicielle basée sur Android et le navigateur Chrome qui sera intégrée dans des téléviseurs Sony et des set-top-boxes. Google TV sera lancé à la rentrée aux États-Unis et l’année prochaine à l’international.
On savait qu'elle arrivait, il ne restait plus qu'à la découvrir. La Google TV a été dévoilée hier lors de la seconde journée de la conférence développeurs I/O. « La télé rencontre le web. Le web rencontre la télé » résume le slogan. Voici ce qui se cache derrière.
Qu'est-ce que la Google TV ?
C'est une plateforme logicielle développée sur la base d'Android 2.1 et qui intègre le navigateur Chrome. Le système est centré sur un moteur de recherche à partir duquel on peut retrouver des contenus à la fois sur la Toile et dans les programmes TV des chaînes classiques du câble ou du satellite. Des nombreuses fonctions permettent de programmer un enregistrement, de créer des favoris ou de trouver du contenu spécifique lié à un mot clé. « Avec tout l'Internet dans votre salon, votre téléviseur devient plus qu'un téléviseur - il peut servir de visionneuse des photos, de console de jeux ou de lecteur audio et bien plus ».
Hier, Google a invité les éditeurs de site à commencer à préparer leurs contenus afin d'optimiser l'affichage sur grand écran. Sans surprise, YouTube a droit à une place de choix avec une version spéciale appelée YouTube Lean Back, adaptée à la consultation sur grand écran.
Google a également fait la démonstration d'un système de création en temps réel de sous-titres traduits du contenu diffusé. Une fonction au potentiel énorme qui pourrait faciliter l'exportation de n'importe quel programme TV. (Eureka Presse)