阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, July 31, 2010

Kampala : L’Algérie à la hauteur de ses engagements



15e sommet de l’UA de Kampala : L’Algérie à la hauteur de ses engagements
Nul doute que le dernier sommet de l’UA qui s’est tenu à Kampala a abordé des thèmes majeurs pour l’avenir de l’Afrique.
Nul doute que le dernier sommet de l’UA qui s’est tenu à Kampala a abordé des thèmes majeurs pour l’avenir de l’Afrique. Tous les observateurs ont pu ainsi noter la pertinence des thèmes débattus, le consensus qui s’est dégagé et surtout de la réussite de ce sommet qui s’inscrira en bonne place dans les annales de l’histoire contemporaine de l’Afrique.
Comme à l’accoutumée, la présence de l’Algérie a été effective, active et efficace. Le Président de la République a déployé une intense activité qui a permis à l’Algérie de faire entendre sa voix, ses positions de principe et sa vision de l’avenir. Il faut souligner que notre pays maîtrise parfaitement les défis et les enjeux qui assaillent l’Afrique. En outre, il a toujours été à l’avant-garde des combats menés par le continent pour son émancipation et la promotion de ses idéaux sur la scène internationale. A ce combat permanent, l’Algérie n’a jamais épargné ses efforts, comme l’attestent les objectifs de sa diplomatie, pour faire entendre la voix de l’Afrique dans toutes les enceintes, à l’instar du sommet de Copenhague sur les changements climatiques, réduire sa marginalisation et faire valoir ses revendications auprès de la communauté internationale.
C’est avec conviction et tout à fait à l’aise que l’Algérie a défendu sa vision des choses et surtout apporté sa contribution à la sécurité du sommet de Kampala. Son approche est claire et rationnelle. Il ne saurait y avoir de développement sans la stabilité, la paix et la sécurité, ce qui veut dire en clair que l’Afrique doit prévenir les conflits, étouffer ceux qui peuvent à tout moment éclore et prendre des mesures pour éteindre. Il en est ainsi du dramatique conflit de Somalie qui n’a pas fini d’endeuiller les Somaliens. A ce propos, l’Algérie a toujours défendu le principe d’une solution entre Somaliens mais aussi africaine pour éviter, d’une part l’implosion de ce grand pays et, d’autre part les ingérences extérieures qui ne font qu’envenimer les problèmes déjà douloureux et complexes.
Concernant les problèmes relatifs au développement économique, social et culturel du continent, l’Algérie a développé et souscrit à toutes les thèses en faveur de l’intégration du continent. Mais, plus concrètement, elle a déjà entrepris des efforts dans ce sens avec la transsaharienne et le gazoduc, partant du Nigeria pour aboutir sur la côte algérienne. Aux réalisations tangibles d’intégration économique qui vont donner un coup de fouet au développement durable de cette grande partie de l’Afrique.
L’Algérie a été l’un des premiers pays à avoir établi un état des lieux rationnel du NEPAD. Elle a été parmi les concepteurs et les plus fervents défenseurs de ce projet. Quand l’occasion se présente, elle fait part de son point de vue sur ce projet, sans complaisance mais avec rigueur. D’ailleurs, son point de vue est rejoint pratiquement par la totalité des pays africains qui estiment que le NEPAD est incontestablement un moyen de leur permettre de s’intégrer dans la mondialisation. Mais, il faut en convenir, les pays développés, une fois de plus, n’ont pas respecté leurs engagements.
L’Algérie à Kampala, a été, une fois de plus, à la hauteur de ses convictions et de ses engagements. Son message a été, comme d’habitude, bien perçu.
Mehdi C.

Google et la CIA




Google et la CIA investissent dans une start-up qui analyse le web pour prédire le futur
HIGH-TECH - La prise de capital n'est cependant pas concertée. L'entreprise comme l'agence de renseignement sont simplement toutes les deux intéressées par «Recorded Future»...

De notre correspondant à Los Angeles


«Recorded Future» («Futur Enregistré»). Le nom semble tout droit sorti du film Minority Report – la presse américaine ne se prive d'ailleurs pas de la référence. La réalité est malgré tout un peu moins glamour. Ici, pas de mutants prescients flottant dans une baignoire: l'entreprise travaille simplement dans «l'analyse prédictive».
HIGH-TECH - La prise de capital n'est cependant pas concertée. L'entreprise comme l'agence de renseignement sont simplement toutes les deux intéressées par «Recorded Future»...

De notre correspondant à Los Angeles


«Recorded Future» («Futur Enregistré»). Le nom semble tout droit sorti du film Minority Report – la presse américaine ne se prive d'ailleurs pas de la référence. La réalité est malgré tout un peu moins glamour. Ici, pas de mutants prescients flottant dans une baignoire: l'entreprise travaille simplement dans «l'analyse prédictive».


Pour faire simple, elle passe à la moulinette le web (sites d'infos, blogs, réseaux sociaux etc) et tente de mettre de l'ordre dans les événements passés et présents, de faire émerger des tendances, d'établir des connexions. Selon son patron, qui se confie au magazine Wired, «avec tous ces éléments, il est parfois possible de devancer les événements». Un peu à l'imagine du FBI qui analyse le comportement d'un serial killer pour tenter de prévoir ses prochaines actions. Pour rester dans la métaphore sortie du monde de la science-fiction, on est ici plus proche de la psycho-histoire inventée par Isaac Asimov dans son cycle Fondation que de l'esbroufe de Minority Report.

La police déjà cliente de systèmes similaires


Recorded Future travaille surtout sur des profils d'entreprises et dans la finance. Mais la firme se concentre également sur les actes de terrorisme. En analysant les événements passés, elle peut par exemple tenter de déterminer si une manifestation publique comporte de sérieux risques. Aux Etats-Unis et en Angleterre, plusieurs bureaux de police utilisent déjà un logiciel «d'analyse prédictive» mis au point par IBM, afin de mieux décider quels effectifs déployer.

Google et la CIA ont chacun investi 10 millions de dollars dans la start-up. Google, CIA, surveillance du web et prédiction du futur dans la même phrase, il n'en fallait pas plus pour alimenter les théories du complot. Il ne s'agit cependant pas d'un investissement commun mais bien séparé. Google et la CIA ont cependant déjà travaillé main dans la main par le passé: l'entreprise de Mountain View a notamment fourni au renseignement américain du matériel réseau et avait demandé l'aide de l'Agence lors de l'épisode des cyber-attaques venues de Chine.

Pour Google, voir les tendances émerger encore plus tôt que sur son Google Trends pourrait être stratégique pour un placement publicitaire encore plus pertinent. L'investissement dans Recorded Future est donc plutôt malin. C'était ça ou acheter Paul le Poulpe...


—Philippe Berry http://www.youtube.com/watch?v=Un8toBItXdo&feature=player_embedded

YouTube désormais les vidéos durée 15 minutes



YouTube autorise désormais les vidéos de 15 minutes
Un an après avoir augmenté la taille maximale des fichiers pouvant être hébergés sur YouTube (2 Go au lieu de 1 Go), Google annonce que les utilisateurs peuvent désormais mettre en ligne des vidéos de 15 minutes
Internet
Jusqu'à présent, les internautes ne pouvaient mettre en ligne sur YouTube que des vidéos n'excédant pas 10 minutes. Google étend à 15 minutes la durée maximale des vidéos.


En revanche, la taille des fichiers pouvant être hébergés sur le service ne peut elle excéder les 2 Go. C'est toutefois deux fois plus qu'il y a un an. C'est en effet en juillet 2009 que Google a décidé de porter de 1 à 2 Go la taille des fichiers.


Un changement qui ne choquera pas les Majors à en croire Google


Cette amélioration offrait par conséquent aux internautes la possibilité de soigner la qualité des vidéos qu'ils mettaient en ligne sur YouTube. Plus récemment, Google a également annoncé l'introduction de la HD 4K (c'est-à-dire de 4096 pixels de large).


Sur son blog, le propriétaire du service de streaming explique que cette évolution répond à une demande des utilisateurs, mais est surtout permise par les mécanismes de protection mis en place pour lutter contre la diffusion de contenus illégaux.


Le géant du Web en profite pour promouvoir sa solution de marquage des contenus, Content ID. Celle-ci permettrait ainsi à tous les majors du cinéma, aux labels de la musique et à plus de 1.000 autres partenaires de gérer leurs contenus sur YouTube.


Google ne fanfaronne pas pour autant et prend soin d'ajouter qu'il continuera à manifester son engagement à fournir des technologies avancées et des outils pour protéger les droits des petits et grands ayants droit.


La rédaction, ZDNET France

Rapport de l'INSEE, 41% des jeunes handicapés affirment souffrir de discrimination milieu professionnel



Pourquoi les handicapés sont discriminés au travail
Selon le dernier rapport de l'INSEE, 41% des jeunes handicapés affirment souffrir de discrimination notamment dans le milieu professionnel
Ce que dit le rapport de l'Insee.

Selon une étude de l'Insee publiée ce vendredi 30 juillet , 41% des jeunes en situation de handicap indique avoir subi au moins une fois une situation discriminante, un chiffre huit fois plus important que chez les personnes valides. Une étude corroborée par la Halde qui, dans son dernier rapport, indique que le handicap ou l'état de santé constitue la seconde cause de discrimination (19%) derrière l'origine.

Elle est particulièrement ressentie dans le milieu professionnel. Le taux de chômage des personnes handicapées est deux fois supérieurs à celui des valides et ils sont près de 90 000 à être au chômage depuis plus de deux ans. "Même si la position des entreprises change progressivement, les stéréotypes sur les personnes handicapés persistent. Les recruteurs craignent souvent qu'ils soient plus lents, plus absents et moins dynamiques que les valides. De plus, le handicap fait peur: il renvoie à des angoisses chez beaucoup de gens", explique Patrick Blum, consultat chez Accordia et auteur du guide Personnes Handicapées: recruter sans discriminer.

Autre frein à l'intégration de personnes handicapées dans la sphère professionnelle, l'éducation: seuls 18% d'entre eux ont un niveau égal ou supérieur au bac.

Que dit la loi?

La loi de 2005 sur l'Egalité des chances oblige les entreprises de plus de 20 salariés à embaucher au moins 6% de travailleurs handicapés. En cas de non respect, l'amende est de 400 à 600 fois le smic horaire pour toute personne handicapée non embauchée et passe à 1500 fois le smic si l'entreprise n'a recruté aucun handicapé.

Pourtant, même si le nombre d'embauche de personnes handicapées a augmenté ces dernières années, seule une entreprise sur deux respecte les quotas imposés par la loi. "Ce retard s'explique en premier lieu par le manque d'investissement et de responsabilité des entreprises dans ce domaine mais également par les besoins d'adapter les locaux au handicap. Cela nécessite parfois de gros aménagements que les entreprises n'ont pas les moyens de réaliser", selon Patrick Blum. En effet, même si les personnes en fauteuil roulant ne représentent que 2% des handicapés, d'autres types de handicap nécessitent des adaptations. Les entreprises doivent, par exemple, investir dans des ordinateurs adaptés pour les mal-voyants, des bureaux adaptés à certaines pathologies...

Qui sont les touchés?

La loi de 2005 a accéléré l'intégration de ces travailleurs mais les personnes souffrant de pathologies lourdes ou de problèmes psychiques et psychologiques sont encore l'objet d'une lourde discrimination. Les entreprises craignent notamment que ces dernières ne s'adaptent pas dans l'équipe ou fassent des crises qui perturbent les autres salariés.

Les sociétés n'ayant aucun employé handicapé sont cependant de plus en plus rares mais les recruteurs ont tendance à préférer les personnes dont l'embauche ne nécessite aucune adaptation ou les handicaps très légers. Les troubles auditifs qu'un appareil peut corriger ou les problèmes d'équilibre sont par exemple considérés comme des handicaps et donc décompter des quotas des entreprises.

Que font les entreprises pour améliorer la situation?

La plupart des grandes entreprises ont mis en place des missions handicap pour favoriser la diversité au sein de leur groupe. Elles sont chargées de sensibiliser et de former les recruteurs et les managers pour faciliter l'intégration des personnes handicapés.

Les Français reviennent sur le marché algérien


MALGRÉ UNE LOI RESTRICTIVE

La loi de finances complémentaire de 2010 n’a rien changé aux restrictions sur l’investissement étranger.

Une nouvelle société d’assurances de droit algérien a été créée par trois établissements algériens et une compagnie d’assurance française. Dénommée Prévoyance et santé compagnie d’assurance, la nouvelle entité a été créée par la Société nationale d’assurance (SAA), la Banque de développement local (BDL), la Banque de l’agriculture et du développement rural (Badr) et la compagnie d’assurance française Macif. Son capital social, d’un milliard de dinars, est détenu à hauteur de 34% par la SAA, 15% par la BDL et 10% par la Badr, soit un total de 59% pour la partie algérienne, alors que Macif en détient les 41% restants. La nouvelle société exercera toutes opérations d’assurances de personnes et de réassurance ainsi que toute autre opération de prévoyance collective et de gestion que les sociétés d’assurance-vie sont autorisées à pratiquer par la réglementation en vigueur. Elle aura également pour missions d’assurer des prestations de conseils en matière d’assurances de personnes et toute opération ayant pour objet l’acquisition d’immeubles au moyen de la constitution de rentes viagères. La réalisation de ce partenariat a été rendu possible à la faveur de la signature, en mars 2008, de la convention algéro-française dans le domaine des assurances. Cette convention permet l’entrée des compagnies françaises sur le marché algérien et la réalisation de partenariats avec des compagnies algériennes qui le souhaiteraient ainsi que le développement de diverses formes d’assurances.
La création de cette nouvelle société est aussi la preuve que la loi dite «51/49%» peut aboutir à des investissements et qu’elle n’est pas toujours perçue comme un frein par les hommes d’affaires. En juillet dernier, le gouvernement a décidé de réguler les investissements. Le président de la République a imprimé cette orientation en 2008, dans un discours devant les P/PAC. Une année plus tard, l’Algérie opte pour la loi de finances complémentaire contenant des dispositions avec des relents de patriotisme économique. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, s’est aussi emparé du sujet. Le conjoncture internationale était favorable à l’intervention de l’Etat. 286 milliards de dollars sont investis sur fonds publics, ce qui est énorme comparativement aux deux milliards attendus des étrangers. Ces derniers estiment que l’Etat algérien est souverain dans ses décisions. Et il n’est pas revenu dessus comme l’indique clairement l’avant-projet de loi de finances complémentaire de 2010. Le cap est donc maintenu. Avec l’espoir que ces investisseurs soient davantage compréhensifs. Mais le climat des affaires en Algérie ne peut pas être apprécié comme il l’était il y a quelques années. L’Algérie était courtisée par les investisseurs internationaux qui s’intéressaient non seulement au secteur des hydrocarbures mais aussi aux autres secteurs d’activité économique, à l’instar du BTP, de la chimie et de la sidérurgie. Des rapports avaient établi que l’économie attirait les IDE hors énergie. En 2007, le réseau des agences d’investissement en Méditerranée a enregistré un engouement des investisseurs étrangers hors hydrocarbures à l’exemple des Singapouriens, des Allemands et des Malaisiens ainsi que des investisseurs du Golfe. Près de 60% des investissements étrangers en Algérie viennent, en effet, des pays du Golfe et concernent de nombreux secteurs économiques hors hydrocarbures comme l’industrie, les services, la construction et le tourisme. L’année 2007 a aussi été marquée par le retour en force des opérateurs français qui veulent leur part du marché algérien, en témoignent les délégations françaises de haut niveau qui défilent depuis 2006 à Alger. Le rapport révélait que comme en 2006, les pays Meda ont multiplié leurs investissements en Algérie prévoyant que de nouvelles opportunités devraient voir le jour dans le secteur du tourisme, devenu priorité nationale pour les 15 prochaines années. Mais cet espoir s’est quelque peu estompé. En 2009, seulement quatre investissements étaient enregistrés. Il y a six mois, même Sonatrach n’a pas signé d’accord avec des partenaires étrangers. Est-ce que le reste de l’année sera plus bénéfique? Et quand AXA, la compagnie d’assurances, va-t-elle enfin commencer son activité?

Ahmed MESBAH

Expo 2010 : le pavillon de l'Algérie fête sa journée nationale



Le pavillon de l'Algérie à l'Exposition universelle de Shanghai, a fêté samedi sa journée nationale.

Abdelaziz Belkhadem, ministre d'Etat algérien et représentant personnel du président de l'Algérie, a participé à la cérémonie inaugurale de la journée nationale.

L'Algérie a une longue histoire, qui remonte à des milliers d'années, a indiqué M. Belkhadem lors de la cérémonie. Tout en gardant sa civilisation traditionnelle, l'Algérie aspire également à la modernisation, le pavillon algérien illustre à la fois la tradition et la modernité, a souligné le ministre d'Etat.

L'aspect du pavillon s'inspire du patrimoine architectural urbain de l'Algérie, la kasbah, un style traditionnel algérien et de l'Afrique du Nord. Dans le pavillon, les visiteurs peuvent se promener dans les "rues" imitées, apprécier le documentaire intitulé "une promenade à Kasbah", et puis monter sur le dernier étage de la "ville", pour avoir une vue panoramique sur les rues traversées, afin d'expérimenter une Algérie traditionnelle et moderne.

Lors de la cérémonie, le pavillon a également organisé des spectacles divers aux visiteurs à l'exposition pour leur présenter la musique traditionnelle et moderne algérienne. Les spectateurs enivrés ne pouvaient s'empêcher de battre les mains au rythme de la musique.

Le chanteur algérien Hamid Baroudi, qui est venu en Chine pour la première fois, a avoué que c'était aussi sa première occasion de présenter la musique de son pays en Chine. Il a souhaité avoir plus d'échanges avec le public chinois

Algerie des mesures pour soutenir le transport en commun



La loi de finances complémentaire 2010 a procédé à l’extension du champ d’application de la taxe sur les véhicules neufs aux remorques, semi-remorques, véhicules de transport de personnes ainsi qu’aux motocyclettes et cyclomoteurs.




Le produit de la taxe, prélevée lors de leur première mise en circulation, est reversé au profit du Fonds spécial pour le développement des transports publics. Ce fonds est alimenté par la quote-part du produit de la taxe sur les transactions des véhicules neufs, la contribution des concessionnaires de véhicules, les dons et legs et par les dépenses de soutien des tarifs des transports publics. Les dispositions de l’article 18 de la loi de finances complémentaire 2008 ont soumis les véhicules de tourisme neufs à la taxe sur les transactions de véhicules automobiles neufs, laquelle taxe a été étendue par la suite, par la loi de finances complémentaire 2009, aux camions et engins roulants. Situés jusque-là hors du champ d’application de cette taxe, les véhicules de transport de personnes ainsi que les motocyclettes et cyclomoteurs importés ou acquis localement sont soumis, à travers cette mesure, à cette taxe lors de leur première mise en circulation. Cette mesure est justifiée par « un souci de soutenir les prix du transport en commun (train, tramway, téléphérique, métro et autres) qui seront lancés incessamment ».

La mesure exclut, néanmoins, certains matériels roulants, notamment les tracteurs à usage exclusivement agricole ainsi que tous les autres matériels non soumis à immatriculation. Il est aussi institué une taxe sur les véhicules de tourisme des sociétés, estimée à 300 000 DA pour une valeur HT du véhicule entre 2 500 000 DA et 5 000 000 DA et de 500 000 DA pour une valeur de plus de 5 000 000 DA. La taxe n’est toutefois pas applicable aux véhicules destinés exclusivement soit à la vente, soit à la location, soit à l’exécution d’un service de transport à la disposition du public, lorsque ces opérations correspondent à l’activité normale de la société propriétaire. Elle n’est pas déductible pour l’établissement de l’impôt. Elle est acquittée à l’occasion du règlement du solde de liquidation de l’impôt sur les bénéfices des sociétés. Cette mesure a été prise après avoir constaté que « certains responsables de société recourent à l’acquisition de véhicules de tourisme au nom de leur société pour les utiliser à des fins personnelles, notamment des voitures de luxe et haut de gamme ». Une acquisition jugée comme « un acte anormal de gestion de la société, raison pour laquelle il est proposé l’institution d’une taxe annuelle sur les acquisitions et les locations des véhicules de tourisme par les sociétés ».




Par Kamel Benelkadi

Algerie offrir aux populations des accroissements dans tous les domaines



En s'appuyant sur un réalisme concret, le pays s'inscrit au fur et à mesure dans de nouvelles étapes, à travers lesquelles, les citoyens se reconnaissent évidemment. Ils savent que cela signifie encore davantage de développement et d'acquis. Les " chantiers " sont ressentis au sein de la population avec un sentiment de satisfecit immense.
Il n'est de doute pour personne, le citoyen algérien profondément convaincu de l'avenir du pays, ne croit plus et ne fait plus confiance à certaines " simagrées " qui étaient le prétexte pour certains à entretenir la confusion et l'ignorance de la réalité des changements que connaît le pays. Produit d'un programme politique, économique, social et culturel, l'Algérie est " conduite " avec certitude.
Un choix de la " carte " de rechange la plus judicieuse, est mis en place, une souplesse et une confiance en soi, gage de cette inéluctable victoire sur le sous-développement et qui aura des répercussions nombreuses, imprévisibles et avantageuses pour l'ensemble de la Nation. L'option politique orientée dans cette direction montre cependant déjà que le développement marque des " points " importants dans cette marche garantie. Elle peut-être interprétée d'une façon telle qu'elle est assurée, d'offrir aux populations des accroissements dans tous les domaines. Cet avantage est aujourd'hui, poursuivi avec sérieux avec une attitude plus élargie à propos des diverses questions qui intéressent le citoyen. Dans ce genre de politique au service de la Nation, la détermination et l'engagement du chef de l'Etat sont des marques de " force " et "des symptômes" de confiance qui assurent le peule dans son écrasante majorité.
B. Chellali

Algerie le climat des affaires et les investisseurs





Le climat des affaires et les investisseurs
31 Juillet 2010

La compagnie d’assurance française Macif s’installe en Algérie. L’information a été donnée à Alger, jeudi dernier, par l’étude notariale de Maître Benabid. L’acte de constitution publié fait état de la création d’une société d’assurance de droit algérien, dotée d’un capital social d’un milliard de dinars. La Macif détient 41% de ce capital tandis que la SAA, la BDL et la BADR détiennent respectivement 34%, 15% et 10%.
En réalité, l’accord avait été signé entre les parties le 22 juillet dernier, soit une semaine avant «l’acte de naissance». En général, ce genre de création de société ne prend dans la presse qu’un tout petit espace de l’insertion réglementaire. Mais s’agissant d’une entreprise française qui vient se placer sur le marché algérien à un moment où les relations politiques algéro-françaises ne sont pas au beau fixe, que des voix s’élèvent pour accuser un «mauvais» climat des affaires pour les investisseurs étrangers, que la loi de finances complémentaire de 2009 a été accusée de tous les maux et que même la LFC 2010 viendrait aggraver la situation, l’événement a de quoi dépasser la rubrique publicité et même économique. En fait, il balaie d’un revers de la main tous les scénarios catastrophes élaborés ici et là par tous ceux qui se placent en épouvantail pour tenter de dissuader les investisseurs étrangers qui auraient l’idée de s’intéresser au marché algérien. Peine perdue. Un investisseur, contrairement au touriste, ne se laisse pas facilement détourner. Pour le profit qui le motive, il sait quand et où il doit saisir les opportunités qui se présentent.
Généralement, son intérêt lui dicte d’agir seul, sans voyagiste. Les vols charters n’existent pas en affaires. Il faut dire aussi que le groupe Macif c’est près de 2 milliards d’euros en fonds propres, c’est la première société d’assurance auto en France avec près de 6 millions de véhicules assurés, c’est aussi l’assurance habitation avec 4 millions de contrats, c’est également l’assurance-vie, etc. Cela pour dire que ce n’est pas une petite agence d’assurance de province qui se lance à l’aventure.
La nouvelle va certainement laisser sans voix beaucoup «d’experts» en économie, ici et là-bas, qui avaient prédit que les nouvelles orientations économiques de l’Algérie allaient avoir un effet repoussoir. Sans parler des projets en cours comme celui du français Alsthom qui compte fabriquer, en partenariat avec l’Entreprise du métro d’Alger (EMA), en Algérie, des équipements ferroviaires. Sans parler des délocalisations d’entreprises européennes qui se préparent vers l’Algérie. Sans parler de toutes ces autres entreprises étrangères qui sont déjà là. Il faut juste ajouter que cette nouvelle intervient comme un cadeau que s’offre la Macif qui fête cette année son 50e anniversaire. On ne peut que lui souhaiter d’autres succès et dire que l’économie algérienne est ouverte à tout opérateur, national et étranger, pour peu qu’il respecte les règles établies. Le marché est si prometteur et le profit assuré. Quant à ceux qui cherchent le superprofit, les marchands de vent et les intrigants, ils gagneraient mieux en allant voir ailleurs. Oui, c’est un climat de fête en Algérie pour les affaires. Et tant pis pour les esprits chagrins!

Zouhir MEBARKI

SI LES CONDITIONS EXIGÉES PAR LES PALESTINIENS SONT RÉUNIES



Les Arabes d’accord pour un dialogue direct avec Israël
Les Etats-Unis ont jugé «encourageants» les signes de soutien manifestés par la Ligue arabe à une reprise du dialogue direct.

Les pays arabes ont donné leur accord sur le principe de pourparlers directs avec Israël, mais laissent au président palestinien, Mahmoud Abbas, le soin de juger quand les conditions seront réunies pour qu’ils débutent, a-t-on appris jeudi à l’issue d’une réunion de la Ligue arabe. «Je serai clair. Il y a un accord (...) en sachant ce qui sera discuté et comment les négociations directes seront menées», a déclaré Hamad Ben Jassem Ben Jabr Al-Thani, Premier ministre et ministre des Affaires étrangères du Qatar, qui présidait au Caire la rencontre à laquelle participait M.Abbas. «Nous laissons au président palestinien le soin d’évaluer quand les conditions permettront de débuter de telles négociations» pour lesquelles Washington exerce de fortes pressions, a-t-il ajouté. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rapidement réagi en se déclarant prêt à des négociations «directes et franches» avec l’Autorité palestinienne. Les Etats-Unis ont jugé, eux, «encourageants», les signes de soutien manifestés par la Ligue arabe à une reprise du dialogue direct. Washington et d’autres pays ont intensifié les pressions en faveur de négociation directes, au lieu des discussions indirectes conduites sans grand succès depuis début mai sous la houlette de Washington. Le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa a quant à lui, insisté sur la nécessité d’obtenir des «garanties écrites» pour ces discussions directes, qui doivent selon lui «être sérieuses» et porter sur le «statut final» d’un futur Etat palestinien et d’un accord de paix. Un haut diplomate arabe a déclaré qu’il s’agissait d’appuyer toute décision que les Palestinien prendront. «La décision revient aux Palestiniens et nous l’appuierons», a-t-il souligné sous couvert de l’anonymat. Le Premier ministre qatari a indiqué qu’une lettre allait être envoyée au président américain Barack Obama exposant «comment nous voyons tout processus de paix ou négociation directe». «Les Arabes ont demandé dans leur lettre à Obama qu’il soit fait référence aux frontières de 1967 de l’Etat palestinien, avec des échanges territoriaux mutuellement agréés, ainsi qu’à la fin de la colonisation» israélienne dans les territoires occupés, a précisé le principal négociateur palestinien Saëb Erakat. M.Abbas a été entendu à huis-clos par le comité de la Ligue chargé du suivi de l’initiative arabe de paix, réuni en présence de plusieurs ministres des Affaires étrangères. Lors d’une rencontre avec des responsables de la presse égyptienne mercredi, M.Abbas avait réaffirmé ses exigences pour un retour au dialogue direct, interrompu depuis l’offensive d’Israël à Ghaza fin 2008. Le responsable palestinien, cité par l’agence officielle égyptienne Mena, a déclaré qu’il «n’entamerait pas de négociations directes tant que l’on n’aurait pas de perspectives sérieuses sur les frontières de 1967 et la fin de la colonisation», des conditions jugées inacceptables par le gouvernement de M.Netanyahu. «Quand je recevrai des garanties (sur ces sujets) alors j’engagerai immédiatement des négociations», a-t-il poursuivi. M.Abbas a assuré qu’il faisait face à «des pressions comme je n’en ai jamais connues avant dans ma vie, de la part de l’administration américaine, de l’Union européenne et du secrétaire général de l’ONU». Le président américain Barack Obama, avait dit le 6 juillet espérer que les négociations directes reprennent avant le 26 septembre. Les Etats-Unis «poussent sans relâche» à la reprise du dialogue de paix direct entre Israël et les Palestiniens, a également assuré mardi le porte-parole de la diplomatie américaine, Philip Crowley.

R.I

EXPO-PHOTO SUR L’ALGÉRIE À L’INSTITUT CULTUREL ITALIEN



Sur les traces de Delacroix
Le vernissage de l’exposition de photos sur l’Algérie entre 1865 et 1910 est prévu le 4 août prochain.

Après l’organisation de Algérie 59, l’Institut culturel italien propose à ses habitués et aux férus de photographie une autre exposition sur l’Algérie intitulée: L’Algérie des XIXe et XXe siècles à travers les archives photographiques Alinari de Florence. Algérie 59 réalisée par le reporter italien, Vittorugo Contino, revenait sur la guerre d’Algérie et permettait ainsi aux passionnés de l’image de revisiter les camps des combattants de l’ALN à une époque où la guerre avait atteint son apogée. L’Algérie des XIXe et XXe siècles offrira, par contre, aux visiteurs une véritable rétrospective de l’Algérie entre la fin du XIXe et le début du XXe. Ainsi, une soixantaine de photographies historiques sur l’Algérie datant de 1865 à 1910 seront exposées à l’Institut culturel italien à Alger à la faveur d’une exposition qui se poursuivra jusqu’au 29 août prochain.
Le vernissage, qui se tiendra à la salle polyvalente de cet établissement, aura lieu le 4 août prochain, a-t-on précisé dans un communiqué envoyé par les organisateurs de cet événement au sein de l’Institut culturel italien.
«Les images exposées offrent un véritable voyage dans le temps et dévoilent les beautés et les mystères de l’Algérie entre 1865 et 1910...», peut-on lire dans le communiqué envoyé par les organisateurs au sujet de cette exposition.
«A côté des beautés naturelles du désert et des oasis, se remarquent des ruelles grouillantes des marchés de la capitale, d’intérieurs de simples demeures, de groupes de personnes dans les cafés ou aux fontaines publiques, des portraits expressifs d’hommes et de femmes... C’est surtout un passé chargé d’histoire et de culture qui émerge et qui transmet une image intense et profonde d’un pays assez souvent relégué à un paysage de carte postale», pouvait-on encore relever dans le communiqué.
Ces images, quelque peu narratives, qui seront présentées au public algérois du 4 au 29 août, donneront à voir à celui-ci, une Algérie différente de celle qu’on n’a pu voir dans les images de Vittorugo Contino.
C’est grâce aux archives du prestigieux musée de l’histoire de la photographie Fratelli Alinari de Florence, fondé en 1852 par Leopoldo Alinari, avec ses frères Giuseppe et Romualdo, qu’une telle exposition a pu être envisagée. Ses soixante images font partie d’un fonds de près de trois millions et demi de photographies.
Pour ce qui est des photographes, ils ne sont pas tous de notoriété publique, prévient-on dans le communiqué. Ce sont dans leur majorité, des artistes qui ont été fascinés par la magie et l’exotisme qui se dégageait de ces lieux.
Une fascination que les orientalistes français tels que Eugène Delacroix ont su traduire majestueusement dans les tableaux restés très célèbres à l’image de Femmes d’Alger dans leur appartement, actuellement au Musée du Louvre à Paris.

Hadjer GUENANFA

La famine aux portes du Sahel dailymotion




http://www.dailymotion.com/video/xe0mt8_la-famine-aux-portes-du-sahel_news

Algerie nouveau code des marchés publics : Une garantie supplémentaire pour l’investissement



Nouveau code des marchés publics : Une garantie supplémentaire pour l’investissement Le dernier Conseil des ministres tenu sous la présidence du Premier magistrat du pays a examiné et adopté d’importants projets pour l’avenir de l’Algérie.

Ces projets concernent en effet, des aspects liés à la fois à l’économie et à la société. Ils découlent des impératifs de la conjoncture et des défis de demain. C’est dire leur importance dans le contexte actuel.

Le projet relatif aux marchés publics est en lui-même un aspect important. L’Algérie se devait de faire un toilettage en profondeur des règles qui touchent aux marchés publics.

En effet, après avoir fonctionné durant de très longues années avec un code, désormais dépassé, il était temps de le revoir au regard des mutations vécues par l’Algérie. Tous les pays du monde procèdent à une évaluation de leur code des marchés publics qui n’est, en réalité que le reflet de l’évolution de léconomie et de la scoiété.

En outre, le rôle de l’Etat, en tant que régulateur mais aussi un soutien actif à la croissance économique, est devenu déterminant dans la répartition des richesses, le bien-être social et la consolidation du développement durable.

L’Algérie n’a pas échappé à cette donnée fondamentale, notamment avec la mise en œuvre des ambitieux programmes de développement des infrastructures initiés depuis 2001, avec le lancement du PSRE. Il faut rappeler que ces programmes successifs nécessiteront des investissements de l’ordre de 475 milliards de dollars, entre 2001 et 2014.

Durant toute cette période, c’est le rôle de l’Etat qui contribuera à la croissance économique. C’est grâce à la dépense publique, c’est-à-dire cet effort massif en matière d’investissements massifs, que la croissance économique est forte, stable et continue. L’Etat est donc redevenu le premier investisseur mais aussi le premier créateur d’emplois du pays.

Cette toile de fond permet donc de comprendre les tenants et aboutissants du code des marchés publics, revu en fonction des réalités nouvelles. Par ailleurs, ce nouveau code permet des avancées considérables en matière de rigueur, de rationalité, de transparence et d’efficacité. L’Algérie se devait de tenir compte des enseignements du précédent code pour entamer une nouvelle phase.

Enfin, les impératifs de la mondialisation, en général et de l’économie de marché, en particulier, ont été pris en compte dans l’esprit de la nouvelle mouture. Sur un autre plan, le code des marchés publics, adapté aux nouvelles réalités du pays, est aussi un message clair à l’ndroit de la communauté des affaires, en général et des partenaires de l’Algérie, en particulier.

En condifiant les règles d’octroi des marchés publics, cela accroît la transparence, les garanties et, par conséquent, la confiance. Les partenaires étrangers de l’Algérie ne peuvent donc qu’être rassurés.

L’autre point abordé par le Conseil des ministres, concerne les personnes âgées. C’est la frange de la population, certes la moins nombreuse, mais la plus fragile. Les pouvoirs publics ont consenti des efforts conséquents pour améliorer leurs revenus, comme l’atteste la récente revalorisation des pensions de retraite, mais aussi la part croissante qu’ils représentent dans les projets de développement.

En effet, l’amélioration des conditions sanitaires permettra un meilleur accès aux soins spécialisés. Il ne faut pas occulter que les pouvoirs publics consentent des moyens importants pour prendre en charge les plus démunis de cette frange de la population qui pose des problèmes à tous les pays, sans exception.

Cependant, il faut bien admettre que ce problème relève aussi de la solidarité nationale. Toute la nation est interpellée pour sa prise en charge de manière efficace et humaine. C’est d’abord, au niveau de la cellule familiale qu’il doitêtre résolu en partie. C’est non seulement un acte de solidarité familiale mais aussi un acte civilisationnel. Le peuple algérien est connu pour l’attachement viscéral à des valeurs intrinsèques et c’est la raison pour laquelle, les pouvoirs publics sont conscients que la politique en direction des personnes âgées a toutes les chances de réussir.

Saïd T.

LES ÉCONOMISTES AVERTISSENT



L’UMA disparaîtra des radars des investisseurs
Au lieu d’adresser sans cesse des critiques à l’Union européenne, les dirigeants maghrébins feraient mieux d’unir leurs efforts.

Le surplace de l’Union pour la Méditerranée n’est certainement pas une bonne nouvelle pourl’avenir du Maghreb, même si nombre d’habitants et d’élites de cette région ne manquent pas d’insister sur le scepticisme que leur inspire ce processus. Ce jugement provient de l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen. Sans une intégration économique avec l’Europe, l’Afrique du Nord risque fort de s’enliser et de disparaître des radars des investisseurs étrangers. Que ce rapprochement avec l’Europe s’appelle UPM ou bien «5+5» ou encore Barcelone 2, il est à terme nécessaire pour ne pas dire vital, souligne la même source.
Pour autant, cette nécessité ne saurait éluder la part de responsabilité des pays maghrébins dans les difficultés que rencontre leur région pour faire partie des zones émergentes. Pour plusieurs experts, l’urgence n’est pas tant dans un renforcement des relations économiques entre les deux rives de la Méditerranée que dans une meilleure intégration entre les pays maghrébins.
A ce sujet, l’économiste franco-algérien El Mouhoub Mouhoud, qui enseigne à Paris-Dauphine, est catégorique. Pour lui, le coût de la non-intégration Nord-Sud est inférieur à celui de la non-intégration Sud-Sud. En d’autres termes, derrière les habituels discours et critiques sur la tiédeur de l’engagement européen dans le sud de la Méditerranée, se cache un problème plus important: celui du coût du non-Maghreb.
Il n’est pas nécessaire d’avoir recours à une multitude d’études économétriques pour imaginer quel serait le dynamisme d’une région où serait garantie la libre circulation des personnes, des marchandises et des capitaux. Une région dont les pays multiplieraient les projets d’infrastructures communes, notamment dans l’énergie et les transports. Des projets qui, à l’image de centrales nucléaires partagées - éventuellement construites à cheval sur les frontières - créeraient autant de facteurs d’irréversibilité en matière de paix régionale et de développement. Une telle région gagnerait de un à quatre points de croissance supplémentaires, sans compter l’effet induit par la libération des initiatives individuelles, poursuit l’Institut de prospective économique du monde méditerranéen.
Dès lors, c’est l’immobilisme politique, qui affecte la construction maghrébine qui est incompréhensible «pour ne pas dire inadmissible, selon la même source. Elle poursuit en mettant en cause la responsabilité, des dirigeants incapables de s’entendre une bonne fois pour toutes afin de relancer l’Union du Maghreb arabe. Cette impuissance est évidente mais elle sert trop souvent à occulter d’autres responsabilités, à commencer par celles des élites économiques du Maghreb, est-il poursuivi.
L’Institut de prospective économique du monde méditerranéen souligne que le discours des dirigeants tend toujours à défendre la construction maghrébine mais, en réalité, leurs revendications sont bien timides et cachent trop souvent le fait que la fragmentation du Maghreb sert nombre d’intérêts égoïstes. A la fin de sa contribution, l’Institut adresse un appel à l’Union européenne. Elle doit adopter une position plus ferme et plus cohérente en exigeant de ses interlocuteurs maghrébins - comme elle le fait avec les pays du Golfe - qu’ils s’unissent enfin. Serait-ce suffisant? et pourquoi ne l’a-t-elle pas fait au moment de la négociation des Accords d’association?

Ahmed MESBAH

Friday, July 30, 2010

M. Fassi Fihri s'entretient avec Pier Antonio Panzeri Maroc-UE



Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Taieb Fassi Fihri, s'est entretenu mardi à Rabat avec le président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb au Parlement européen, Pier Antonio Panzeri, au sujet de plusieurs questions d'intérêt commun.

Dans une déclaration à la presse, Fassi Fihri a indiqué que les entretiens ont porté sur les relations entre le Maroc et l'Union européenne (UE), se félicitant de leur évolution positive dans le cadre du statut avancé obtenu par le Royaume à la faveur des réformes initiées sous la conduite éclairée de S.M. le Roi Mohammed VI.
Le conflit israélo-arabe était également au menu des discussions, a ajouté le ministre, appelant à soutenir davantage l'Union pour la Méditerranée (UPM) et à développer une solide coopération euro-africaine. S'agissant de la région du Maghreb, Fassi Fihri a relevé que cette réunion offrait l'occasion de présenter les derniers développements que connaît la question du Sahara marocain aux niveaux international et des Nations unies.

Le ministre a également fait part au responsable européen de l'inquiétude du Maroc concernant le traitement de la question migratoire au sein des institutions européennes, mettant en garde contre la tendance d'accuser l'Islam et les émigrés d'être derrière la situation politique et sociale que vit l'Europe aujourd'hui.
Les deux parties ont, par ailleurs, convenu de la nécessité de soutenir et d'encadrer la migration légale et de lutter contre la migration clandestine qui engendre des répercussions négatives sur le plan sécuritaire.
De son côté, M. Panzeri a salué le rôle prépondérant que joue le Maroc en matière d'appui au dialogue entre l'Europe et la Méditerranée afin de concrétiser le projet de l'UPM.

Se félicitant des liens entre les pays européens et le Maroc, M. Panzeri a mis l'accent sur l'importance de la commission parlementaire Maroc-UE pour renforcer ces relations et faire face aux nouveaux défis socio-économiques.
Par ailleurs, le président de la Chambre des représentants, Abdelouahed Radi, s'est entretenu mardi à Rabat avec le président de la délégation pour les relations avec les pays du Maghreb au Parlement européen, Pier Antonio Panzeri, des moyens de renforcer les relations entre les Parlements marocain et européen.

Lors de cette entrevue, M. Panzeri a souligné que sa visite au Maroc vise à consolider les relations et les partenariats entre le Maroc et l'Union européenne (UE), surtout après la création de la commission parlementaire mixte Maroc-UE, indique un communiqué de la première chambre. Il a également fait part de sa volonté de prendre connaissance des grands chantiers de modernisation initiés au Royaume dans divers domaines.

De son côté, M. Radi a appelé à insuffler une nouvelle dynamique à la commission parlementaire Maroc-UE qui constitue un cadre opportun pour débattre des différentes questions d'intérêt commun. M. Radi a également mis l'accent sur la dimension historique et stratégique des relations entre le Maroc et l'UE, deux partenaires qui partagent non seulement des intérêts économiques mais aussi et surtout les valeurs de démocratie, des droits de l'Homme et des libertés.

Evoquant les différentes réformes engagées par le Royaume, M. Radi a présenté à son hôte l'initiative marocaine d'autonomie dans les provinces du Sud pour mettre un terme au différend artificiel autour du Sahara marocain.
A rappeler que M. Panzeri est arrivé lundi à Casablanca pour une visite de travail au Maroc.



Par MAP

Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé dans un message adressé au souverain marocain, le Roi Mohamed VI




Algerie-Maroc Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika a affirmé dans un message adressé au souverain marocain, le Roi Mohamed VI, à l’occasion du 11e anniversaire de son intronisation, sa ferme détermination à hisser les relations algéro-marocaines
Il m’est agréable au moment où le peuple marocain frère célèbre le 11e anniversaire de votre intronisation d’adresser à Votre Majesté, au nom de l’Algérie, gouvernement et peuple, et en mon nom personnel, mes voeux les meilleurs, priant Le Tout Puissant de vous garder et de vous accorder santé et bien-être pour poursuivre votre glorieuse démarche à édifier le Maroc du progrès, de la prospérité et de la gloire », a écrit le Président Bouteflika dans son message.

Et d’ajouter « je ne manquerai de souligner le développement enregistré au Maroc sous votre règne glorieux ainsi que toutes les réalisations remarquables qui l’ont accompagnées au seul service de votre grand peuple ».

« Tout en me joignant à vous en cette heureuse occasion, je tiens à réaffirmer ma ferme détermination à hisser les relations bilatérales et à raffermir les liens de fraternité et de bon voisinage qui unissent nos deux peuples frères et au service de leur prospérité et progrès », lit-on dans le message du président de la République.

Il a ajouté « Je prie Dieu de vous guider et de vous aider afin que vos efforts soient couronnés de succès, de vous accorder santé et bonheur et de vous garder ainsi que le Prince héritier. Puisse cette heureuse occasion être toujours célébrée dans la joie et la gaieté ».

source: APS

Mr le président barack Obama courtise l'électorat féminin




Richard Hétu, Collaboration spéciale
La Presse


(New York) Après avoir heurté les traditionalistes en devenant en mars 2009 le premier président en exercice à participer à un talk-show de fin de soirée (celui du comique Jay Leno), Barack Obama vient de créer un autre précédent du même genre en acceptant une invitation à l'émission The View, un talk-show diffusé en matinée sur ABC et animé par un quintette féminin dont font partie la journaliste Barbara Walters et l'actrice Whoopi Goldberg.
Lors d'une entrevue réalisée mercredi et présentée jeudi matin, le président a ainsi pu aborder dans une atmosphère détendue des sujets très légers - les frasques de l'actrice Lindsay Lohan et le mariage de Chelsea Clinton, notamment - et d'autres beaucoup plus sérieux, comme les crises traversées par son administration.


«Par où commencer?» a-t-il répondu en souriant à Barbara Walters, qui l'interrogeait sur les obstacles auxquels il a fait face depuis son arrivée à la Maison-Blanche. Il a parlé de ses efforts continus pour relancer l'économie, de la marée noire du golfe du Mexique, évoqué «deux guerres» et la pandémie de grippe A (H1N1).



Sondages inquiétants


Le temps d'un président étant précieux, plusieurs analystes ont vu la participation de Barack Obama à The View comme une tentative de courtiser l'électorat féminin au moment où tous les sondages indiquent que moins de 50% des électeurs américains sont satisfaits de la performance du président.


À l'approche des élections de mi-mandat, qui renouvelleront en novembre l'ensemble de la Chambre des représentants et le tiers du Sénat, de tels résultats sont inquiétants pour le président et le Parti démocrate.


Les animatrices de The View ont soutiré au moins une primeur au président - d'une importance relative, il faut le reconnaître. Il a ainsi mis un terme à la rumeur selon laquelle il avait été invité au mariage de la fille unique de Bill et Hillary Clinton, qui aura lieu demain.


«Je n'ai pas été invité parce que je pense que Hillary et Bill, pour de bonnes raisons, veulent que cette cérémonie soit pour Chelsea et son futur mari», a-t-il dit.


Sur une note plus sérieuse, le premier président de couleur est revenu sur le limogeage hâtif de Shirley Sherrod, cette ex-fonctionnaire noire du ministère de l'Agriculture, accusée à tort de racisme par des médias conservateurs.


«Beaucoup sont à blâmer pour les réactions et les exagérations qui ont suivi ces commentaires, y compris ma propre administration», a dit Barack Obama.

Donnant la vision de l’Algérie et de l’Afrique



Donnant la vision de l’Algérie et de l’Afrique sur les dimensions économiques et sociales du phénomène Le gouvernement parraine un colloque international sur l’immigration Des représentants de différents organismes et instituions nationales à caractère sécuritaire, diplomatique, académique, économique et social, chargés du suivi

de l’étude et traitement des répercussions de l’immigration légale et illégales des deux cotés de la méditerranée, seront réunis lors d’un colloque international parrainé par le gouvernement sur ce phénomène.

Les organisateurs ont également convié de nombreux chercheurs académiciens à cet événement. Le président du comité d’organisation, Hamouda Nasr eddine, du centre de recherche en Economie Appliquée pour le Développement, a dans ce contexte déclaré que des spécialistes de nombreux pays européen africains et américains seront présent, en plus des représentants des services de la gendarmerie et de la police, ainsi que du ministère des affaires étrangères, et des institutions officielles, à caractère économique et social.

Le président du comité d’organisation n’a par ailleurs pas caché que l’objectif principal de ce colloque et de donner la vision des pays du sud de la méditerranée sur ce phénomène

La centrale solaire de Hassi R’mel opérationnelle en novembre



Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES Les essais à froid des turbines ont déjà eu lieu. Le PDG de Neal, Badis Derradji, annonce une première entrée en activité en août par la partie non solaire de la centrale..

La centrale électrique à cycle combiné gaz-solaire de 150 mégawatts de Hassi R’mel « entrera en activité complète en novembre prochain ». C’est M Badis Derradji, le PDG de New Energy Algeria (Neal), la filiale de Sonatrach et Sonelgaz, développeur du projet qui l’assure. « La partie cycle simple du projet sera active dès le mois d’août. Elle mettra en action les deux turbines à gaz de la centrale. Abener notre partenaire espagnol, a procédé aux essais système par système et tout est prêt pour cette échéance »..

La date de remise du projet a glissé de plusieurs mois sur l’année 2010, mais, précise, M Derradji, j’ai visité les projets de centrales en CSP (Concentrating Solar Power) autour de la Méditerranée et tous connaissent plus ou moins ce type de glissement ». L’arrivée du gaz naturel permettra de passer « dans les tout prochains jours » aux essais à chaud. Il faudra ensuite assurer une connexion au réseau électrique et fournir les flux d’eau nécessaire au dispositif anti-incendie : « la canalisation d’eau est construite »..

La nouvelle centrale à cycle combiné de Hassi R’mel apportera 25 mégawatts en moyenne annuelle d’électricité solaire, « elle peut fournir périodiquement jusqu’à 30 mégawatts ». Il s’agit de la technologie de concentration solaire par panneaux paraboliques appelée CSP. Les blocs de panneaux paraboliques ont été assemblés dans un atelier sur site par un sous-traitant algérien partenaire d’Abener. C’est justement dans le déploiement du champ solaire que des difficultés sont apparues. La qualité du gaz industriel, l’Argon, nécessaire à la soudure des tubes absorbeur, n’était pas suffisante..

L’usine d’Ouargla qui en assure l’approvisionnement a eu du mal à produire le standard requis tandis que l’importation de l’Argon signifiait un délai de 18 à 20 semaines. La centrale de Hassi R’mel cédera son électricité à Sonatrach pour le besoin de ses activités dans le Sud. « Mais le modèle n’est pas transposable dans l’avenir » prévient M Derradji..

En effet l’appel d’offres qui a permis de réaliser la centrale à cycle combiné de Hassi R’mel visait à mettre en œuvre la filière de la production de l’électricité solaire en attendant de définir le cadre juridique de son développement. L’espagnol Abener, leader dans la filière, s’est emparé du marché de la réalisation en proposant le prix de vente du kilowatt-heure le plus bas. Cette formule, qui garantit à l’investisseur un prix compétitif - supérieur au prix pratiqué sur le réseau de Sonelgaz -, a été possible grâce à l’existence d’un client comme Sonatrach. Le cadre juridique qui définira le modèle économique de la production et du développement de l’énergie solaire en Algérie tarde à venir. Il ne faisait plus partie des priorités du ministre de l’Energie sortant Chakib Khelil. Son successeur Youcef Yousfi est appelé à le mettre rapidement en œuvre, deux appels d’offres pour deux nouvelles centrales solaires (à cycle combiné) ont été reportés en 2010 en l’absence de ce nouveau modèle économique de l’électricité solaire. Le 12 mai dernier, le roi du Maroc Mohamed VI a inauguré une première centrale à cycle combiné de 472 mégawatts en utilisant le gaz algérien du gazoduc maghreb-Europe et en le combinant à un champ solaire produisant 20 mégawatts..

Le Quotidien d’Oran - 12/07/2010.
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[Audio] La place de l’Algérie dans la bataille géopolitique entre les Etats-Unis et la Chine. Entretien avec Mr Mehdi Taje, expert en géopolitique



[Poste par faycal Audio] La place de l’Algérie dans la bataille géopolitique entre les Etats-Unis et la Chine. Entretien avec Mr Mehdi Taje, expert en géopolitique
http://www.youtube.com/watch?v=hABrD2magZ0
Mr Mehdi Taje, diplômé de Paris V et du Collège de défense de l’OTAN à Rome poursuit un doctorat à l’Université de Paris la Sorbonne sur « la géographie politique de l’espace sahélien : d’une analyse de la conflictualité à une recherche prospective ». Expert en géopolitique et en méthodologies de la prospective et de l’anticipation, il enseigne ces disciplines à l’Université de Tunis, à l’Institut de Défense Nationale (IDN, Tunis), à l’Institut des hauts commis de l’Etat à l’ENA (Tunis) et à l’Ecole Supérieure des Forces de Sécurité Intérieure. Parallèlement, M. Taje est expert auprès de l’Institut Tunisien des Etudes Stratégiques (ITES). Depuis début 2010, M. Mehdi Taje est spécialiste des questions africaines à l’Irsem (Institut de recherche stratégique de l’Ecole Militaire de Paris), membre du think thank la « République des idées » (Rassemblement Constitutionnel Démocratique, Tunisie) et membre du comité scientifique du Forum Internationale de Réalités. Il a également apporté son expertise auprès de grands groupes industriels français et tunisiens. Enfin, M. Taje est l’auteur d’une monographie sur la géopolitique du théâtre sahélien (NDC Occasional Paper, n°19, décembre 2006) et de nombreux articles balayant de larges champs géographiques (espace sahélien, Afrique, théâtre méditerranéen, Asie, terrorisme, etc.) au sein de revues françaises et tunisiennes.

A travers ses travaux sur le Sahel et l’Afrique, M. Taje aspire à développer une nouvelle analyse de la conflictualité de ces espaces en s’appuyant sur l’approche systémique et géopolitique.

Suivre ses chronique sur: www.realpolitik.tv

L’Algérie candidate à l’organisation des Mondiaux d’athlétisme en 2017 (CAA)




L’Algérie a déposé son dossier de candidature à l’organisation des Championnats du monde d’athlétisme en 2017, a annoncé le président de la confédération africaine d’athlétisme (CAA), M. Kalkaba Malboum. « L’Algérie est en compétition avec le Maroc, l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Egypte pour l’organisation du Mondial 2017 d’athlétisme », a déclaré le Camerounais, M. Kalkaba Malboum. « Après l’organisation réussie de la Coupe du monde de la FIFA par l’Afrique du Sud, nous demandons aux gouvernements africains de saisir l’opportunité et de se porter candidats à l’organisation de l’événement mondial d’athlétisme », a déclaré Kalkaba Malboum.

APS

CV Patrick le Berrigaud consultant freelance Europe


Patrick LEBERRIGAUD
75011 Paris
06 16 52 52 46
PARCOURS PROFESSIONNEL
2006 à ce jour bénévole, Association EUROMED
Développer le projet « Union pour la méditerranée »
Référencement, modérateur
2002/2006 Missions de vendeur, Brocante, Paris
Relation clients
Réassort
Gestion de caisse
2000/2002 Administrateur bénévole, Chambre Belgo-Algérienne, Belgique
ü Développer la coopération PME Algéro-Belge
1994/1996 Commercial, Société de textile, GILLI International, Paris
Achats, création de modèles
1990/1993 Responsable d’agence de voyages, ALLER RETOUR, Paris
Création de voyages touristiques auprès des CE
Négociation de prix (équipe de 5)
1988/1990 Correspondant de licence, Association Communication Loisirs, Paris
Création de voyages touristiques auprès des CE
Négociation de prix
1988/1992 Consultant, J’ANNONCE PLUS, Groupe AGL, Paris
Commercial auprès des différents kiosques, annonceurs
Participation à la conception du journal
1987/1988 Consultant, La Tirellerie, Paris
Journal d’annonces gratuites pour particuliers
Commercial auprès des différents annonceurs
Participation à la conception du journal
1985/1986 Consultant, Choc 75
Conception, réalisation, distribution publicitaire
Création d’une agence publicitaire
Conseils en communication auprès des clients
1985/1990 Vendeur de fripes américaines, Puces Clignancourt/Forum des Halles, Paris
Relation clients
Réassort
Gestion de caisse
1981/1983 Artisan, Société de distribution de prospectus
ü Conception, réalisation de prospectus
ü Distribution de prospectus ciblé
ü Affichage « sauvage » (équipe de 3)
FORMATION
Licence d’Agence de Voyage de Tour Opérateur, Paris

Vers des négociations directes entre Israël et les Palestiniens



La Ligue arabe a donné hier son accord sur le principe de pourparlers directs entre Israël et les Palestiniens, laissant au président palestinien, Mahmoud Abbas, le soin de juger quand les conditions seront réunies pour qu'ils débutent. Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, a rapidement réagi en se déclarant prêt à des négociations « directes et franches » avec l'Autorité palestinienne. Une lettre de la Ligue arabe va être envoyée au président américain Barack Obama, expliquant le point de vue de la ligue sur le processus de paix. Les Etats-Unis et d'autres pays ont intensifié les pressions en faveur de négociations directes, au lieu des discussions indirectes conduites sans grand succès depuis début mai sous la houlette de Washington.

Les Echos

La France «souhaite le passage au dialogue direct entre Palestiniens et Israéliens




Palestiniens & Israéliens
La France pour un dialogue direct
La France «souhaite le passage au dialogue direct entre Palestiniens et Israéliens», a indiqué jeudi le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero.«Dans ce contexte, il est nécessaire de s'abstenir de part et d'autre de toute mesure ou déclaration de nature à empêcher la poursuite du dialogue. Ce que la France souhaite aujourd'hui, c'est le passage au dialogue direct entre Palestiniens et Israéliens», a affirmé M. Valero, lors d'un point de presse.

Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, avait souligné, en rendant publique, lundi dernier, la décision de la France de rehausser le statut de la délégation générale de Palestine en France, que «l'année 2010 doit être celle d'une avancée décisive sur le chemin de la paix».

«Il faut encourager les parties à fixer un calendrier aboutissant, avant la fin de l'année, à la signature d'un accord et à la création d'un Etat palestinien viable, démocratique, moderne, vivant en paix aux côtés d'Israël», avait affirmé le ministre, cité par M. Valero.

La décision de la France de rehausser le statut de la Délégation générale de Palestine à Paris, désormais appelée «Mission de Palestine», s'inscrit dans le cadre de sa volonté de soutenir «sans attendre la mise en place des institutions du futur Etat palestinien, en ligne avec l'esprit de la Conférence de Paris», avait relevé M. Kouchner.

Par AFP

Viadeo et Ubifrance signent un partenariat



Viadeo et Ubifrance signent un partenariat pour développer leurs activités en France et à l'international


Viadeo, réseau social professionnel français et Ubifrance, agence française pour le développement international des entreprises, ont signé une convention de partenariat le 16 mars 2010 qui vise à mettre en commun leurs moyens et expertises. Cette collaboration a pour ambition de stimuler les usages des réseaux sociaux dans le développement des entreprises française à l’international et d’accroître la visibilité en ligne d’Ubifrance auprès de nouveaux publics.
Cet accord offre à Ubifrance : une visibilité et des moyens de communication sur Viadeo pour promouvoir les évènements d’Ubifrance auprès de leurs adhérents, la création d’un espace « communauté d’affaires Ubifrance » pour aider les entreprises à partager leurs expériences, ainsi qu’une offre préférentielle aux entreprises qu’Ubifrance accompagne, d’un abonnement à Viadeo de 6 mois pour le prix de 3 mois et d’une réduction de 10 % sur l’offre B to B pour leur recrutement et la publicité sur le site Viadeo.


Parallèlement, Viadeo bénéficie d’une visibilité sur le site Ubifrance, de la participation au titre de partenaire à des événements Ubifrance en France et à l’étranger et de la possibilité d’intervenir dans le cadre d’ateliers thématiques organisés par Ubifrance.


« Ce partenariat vient compléter la chaîne de valeur qu’Ubifrance développe pour les entreprises accompagnées à l’international. Des déplacements, à la logistique en passant par la communication, Ubifrance a su s’entourer des acteurs les plus pertinents pour garantir leur succès à l’international, précise Christophe Lecourtier, directeur général d’Ubifrance. En s’associant à Viadeo, nous avons voulu être en phase avec les nouveaux moyens de communication et favoriser la mise en relation d’acteurs sur un même marché, quelle que soit leur localisation. »


Le réseau Viadeo permettra aux entreprises clientes d’Ubifrance d’avoir accès à un outil moderne et personnalisé de recrutementet de RH, facilitant leur développement à l’international.


« Viadeo est un partenaire historique d’Ubifrance. Nous avons déjà participé à plusieurs projets et mené des actions conjointes, que ce soit en Chine ou au Mexique, notamment sur des salons, indique Dan Serfaty, directeur général de Viadeo. Avec la signature de cette convention, il s’agit maintenant de faire fructifier la complémentarité qui existe entre les services que nous proposons. »


Sur le terrain, Viadeo pourra bénéficier de l’implantation stratégique et du réseau des collaborateurs Ubifrance dans 44 pays.


Faisant suite à de précédents partenariats réussis avec les groupes Air France, Chronopost ou encore HSBC, cet accord complète la logique d’Ubifrance pour faciliter les démarches des entreprises françaises de toutes tailles, qui se lancent à l’export.

Energie : Alstom investit dans les infrastructures électriques en Irak




Alstom vient de signer avec le gouvernement irakien un acord de coopération pour le développement et la modernisation de la production électrique du pays.


Cet accord prévoit, notamment, la construction, à Bassorah, d'une centrale électrique au fioul de trois unités de 400 mégawatts chacune.

Il est également prévu la réhabilitation d'une centrale électrique au gaz de 180 mégawatts qu'Alstom avait contruite à Nadjaf en 1975.

Enfin Alstom livrera des postes électriques et formera des techniciens irakiens.

41 % des jeunes handicapés se sentent discriminés



LEMONDE.FR avec AFP Une forte proportion des jeunes déclarant être handicapés (41 %) indiquent avoir subi au moins une fois une discrimination, un chiffre huit fois plus important que chez les jeunes du même âge sans handicap, selon une étude de l'Insee publiée vendredi.
Les adultes de 25 à 54 ans sont deux fois plus touchés par au moins un handicap que les plus jeunes (9,6 % du groupe d'âge contre 5,4 % des 10-24 ans), mais ce ou ces handicaps, ou l'état de santé ne provoquent des discriminations que chez 23 % d'entre eux.

Si insultes et moqueries sont ressenties presque à égalité par les jeunes sans handicap (90 %) ou handicapés (86 %), la mise à l'écart est citée par 62 % des handicapés (35 % des non-handicapés), et le refus d'un droit touche 13 % des handicapés contre 1 % des valides.

Les troubles cognitifs (troubles du comportement, de l'apprentissage, du langage ou de la compréhension) entraînent des discriminations selon 31 % des 25-54 ans et selon 45 % des 10-24 ans. Dans le cas de handicaps d'ordre moteur (paralysie, amputation, gêne dans les articulations), les discriminations sont ressenties par 40 % des jeunes et 26 % des adultes. Pour les handicaps d'ordre sensoriel (cécité ou malvoyance, surdité totale ou partielle) le sentiment de discrimination est partagé par 33 % des jeunes, et 19 % des adultes.

HANDICAP, ORIGINE ET CHÔMAGE

Parmi les 25-54 ans, les situations sont plus contrastées lorsqu'on compare les adultes qui travaillent et ceux qui sont au chômage : la moitié des chômeurs ayant déclaré une discrimination ont le sentiment d'avoir subi une injustice liée à la santé ou au handicap, contre un quart des actifs ayant un emploi.

Selon le dernier rapport de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde), le handicap ou l'état de santé (18,5 %) constituent la deuxième cause de discrimination, derrière l'origine (28,5 %). Viennent ensuite les activités syndicales (6 %), l'âge (5,5 %), les convictions religieuses n'étant invoquées que dans 3 % des cas.

Un Lillois transmet son savoir aux préparateurs sportifs palestiniens



Un Lillois transmet son savoir aux préparateurs sportifs palestiniens
Abd-Elbasset Abaïdia revient d'un séjour en terres naplousies au cours duquel il a fait partager son savoir en matière de préparation physique aux entraîneurs locaux. Un projet de l'association Amitié Lille Naplouse
GIL LEJEUNE > lille@nordeclair.fr
Naplouse : ville jumelée à la capitale des Flandres depuis 1998, abritant 300 000 habitants en plein coeur de la Cisjordanie. À l'arrivée du Hamas au pouvoir de cette cité palestinienne, les contacts municipaux se dégradent entre les deux villes. Comme investi d'une mission, Marc Leblanc fait naître l'association Amitié Lille Naplouse visant à dynamiser une coopération, jusqu'alors difficile. C'était au mois de mai 2008. « Nous sommes partis une première fois à Naplouse après la création de l'asso, raconte Marc Leblanc avant d'ajouter : La moindre sortie des Naplousis était contrôlée. Nous y avons rencontré des sportifs, dans une situation d'attente incroyable. L'enclavement de leur ville ne permet pas une organisation sportive comme en France. » Quelques semaines plus tard, Abd-Elbasset, fraîchement diplômé de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives), sollicite l'association pour réaliser un projet qui lui tient à coeur : il souhaite partager son savoir en Palestine. Le soutien est total de la part de l'association.
C'est alors que tout se bouscule pour Abd-Elbasset : recherche de financement, contacts avec le ministère des sports de Naplouse, traduction de cours de préparation physique en arabe, etc. Après un an et demi de préparatifs, ce jeune Lillois s'envole vers la Palestine.


Arrivé sur place, Abd-Elbasset ne perd pas de temps pour vivre son aventure : « J'ai lancé la formation dans les premiers jours. J'étais un peu anxieux par rapport aux retours que j'allais recevoir de mes élèves qui, pour la plupart, étaient plus âgés que moi », raconte-t-il. Le but de cette formation ? Améliorer les compétences des entraîneurs locaux en terme de préparation physique et de coaching. « C'était un style de formation à la française », ajoute-t-il.
Bien qu'Abd-Elbasset soit revenu sur le sol français, son désir de poursuivre son action est on ne peut plus palpable : « Ce projet n'est pas unique. Il s'inscrit dans une continuité. Nous avons beaucoup à faire, toujours dans cet esprit de solidarité. Nous allons bientôt travailler sur l'élaboration d'un livre, traduit en arabe, pour les entraîneurs sportifs. » En attendant la suite...... w

Thursday, July 29, 2010

Apec et Viadeo, un partenariat gagnant-gagnant


exclusive RH tendences conseils

L’Apec et Viadeo ont mis en place un partenariat depuis le mois de janvier. Le but : offrir de nouveaux services aux entreprises comme aux cadres afin de faciliter les relations entre les recruteurs et les candidats.

L’alliance semblait inévitable, comme l’explique Olivier Fécherolle, directeur général France de Viadeo : « il y a beaucoup de cadres sur Viadeo, il existe donc une affinité d’audience avec l’Apec ». Le premier avantage de ce partenariat est la réconciliation entre les comptes. Les cadres possédant un compte Apec peuvent en effet le relier à leur compte Viadeo, rendant ainsi accessibles sur le site de l’Association les informations qu’ils donnent sur le réseau social professionnel, et vice-versa. A l’heure actuelle, environ 73 000 membres se sont laissé tenter. « Nous sommes très satisfaits de la façon dont ça se passe. L’effet nouveauté a été important sur les premiers mois, mais aujourd’hui, il y a encore 300 réconciliations de comptes par jour, ce qui prouve que cette fonctionnalité répond à de vrais besoins. » Le profil du cadre réconcilié ? Plutôt un homme âgé de 25 à 49 ans, titulaire d’un bac +5 et habitant en Ile-de-France.

Côté recruteurs, l’enthousiasme semble également présent : 2 000 d’entre eux ont réconcilié leurs deux comptes. Il s’agit plutôt de PME, une constatation logique puisque c’est auprès de ces entreprises que l’Apec est particulièrement bien représentée. « L’objectif de ce partenariat est d’évangéliser l’utilisation des réseaux sociaux dans le processus de recrutement. Pour le moment, nous avons de très bons retours de la part des utilisateurs, candidats comme recruteurs. »

D’autres actions ont été mises en place. Par exemple, la présence sur le terrain est primordiale, remarque Olivier Fécherolle. « L’Apec et Viadeo ont organisé plusieurs conférences et tables rondes pour répondre aux questions des cadres sur l’utilisation des réseaux sociaux et pour leur donner des conseils. » Par ailleurs, une communauté Apec est désormais présente sur Viadeo. Elle rassemble plus de 3 600 membres.

Séverine Dégallaix

Union africaine, Le sommet de Kampala : “un succès”




Les pays de l’UA s’engagent à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie Le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a qualifié de fructueux les résultats auxquels est parvenu le 15e sommet de l’Union africaine abrité par la capitale ougandaise, dans un message adressé à son homologue ougandais, le Président Musuveni. Un fait, Kampala fera assurément date dans la mesure où cette unité africaine s’est retrouvée davantage raffermie, les pays africains unifiant leur position et parlant désormais d’une seule et même voix, à savoir défendre les intérêts du continent en pesant de tout leur poids pour en faire valoir autant la légitimité que les dividendes mutuellement profitables. Un fait, le continent africain tend la main, mais pour établir des relations de partenariat, se positionnant désormais comme un partenaire solide et fiable, sur de ses potentialités, tenant ses destinées en main, ne se présentant plus en victime expiatoire, car conscient qu’il représente tout simplement l’avenir. Les travaux qui se sont déroulés durant ce sommet et les résultats et les décisions prises qui en ont découlés révèlent le cheminement accompli en ce sens et les voies qui ont été ouvertes. Ainsi autant durant les travaux de la réunion au sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement, que ceux des conférences du NEPAD, du MAEP, du Comité des Chefs d’Etat pour la question des changements climatiques, et du Comité des dix pour la réforme du Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies, les décisions qui ont été prises ont été à la hauteur de ces espérances-là.
La contribution de l’Algérie à la réussite de ce sommet est incontestable. La participation du Président de la République à l’ensemble des rencontres dénote le rôle majeur que joue l’Algérie sur le plan continental et son plein engagement dans ce vaste combat contre le sous-développement sous toutes ses formes dont souffre le continent, et la recherche des voies et moyens pour y faire face. Transposée à l’échelle africaine, l’expérience algérienne en matière de développement économique et humain, traduit en fait cette dimension africaine de la politique de l’Algérie et la sincérité de cet engagement. La présence de l’Algérie au niveau de toutes les conférences, Comités et instances africaines attestent de ce rôle prépondérant que joue le Président de la République et de la crédibilité de l’Algérie sur la scène africaine. Avec l’intégration définitive du secrétariat du Nepad aux structures de l’Union africaine et le lancement opérationnel de l’Agence de planification et de coordination du Nepad, c’est l’aboutissement d’un brainstorming ayant réuni cinq Chefs d’Etat à Alger en 2007, et l’occasion d’une meilleure articulation entre les objectifs du Nepad et ceux de l’UA. Une agence qui va permettre d’optimiser au maximum les projets d’intégration régionale et continentale. Sur le plan international, tant au niveau des rencontres avec le G8 que le G20, que concernant la question sécuritaire, ou la réforme du Conseil de sécurité, c’est une position commune qui s’est dégagée, et l’Algérie se trouve mandatée pour parler au nom de l’Afrique notamment pour ce qui est des négociations sur la question des changements climatiques. Les Objectifs du Millénaire pour le Développement pour lesquels l’Algérie s’était engagée, en ayant réalisé déjà les objectifs 4 et 5 concernant la santé maternelle, néonatale et infantile, et compte les atteindre complètement a l’horizon 2015, sont ceux-là même qu’elle milite et s’investit pour que les autres pays africains les atteignent. En matière de développement et d’élargissement de la base infrastructurelle dans l’optique d’une intégration et d’une complémentarité régionale, l’autoroute Est-Ouest, la Transsaharienne, le gazoduc et le câble de fibre optique entre Alger et Lagos ou encore le renforcement du réseau ferroviaire sont autant de concrétisations que le Président de la République a étayé devant ses pairs à Kampala allant dans le sens du développement commun.
A. M. A.

Les pays de l’UA s’engagent à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie
Les pays membres de l'Union africaine (UA) se sont engagés à envoyer 4.000 soldats supplémentaires en Somalie pour renforcer la mission des forces africaine dans ce pays (Amisom). Cette déclaration a été faite mardi par le président de la Commission de l'UA, Jean Ping, à l'issue des travaux du 15è Sommet de l'UA à Kampala. "Nous avons des engagements à apporter rapidement 4.000 soldats supplémentaires, ce qui nous aidera à atteindre le plafond (maximum autorisé de 8.000 troupes) et peut-être au-delà", a précisé M. Ping à la presse. De leur côté, les six pays membres de l'Autorité inter-gouvernementale pour le développement (Igad) ont promis 2.000 soldats, la Guinée un bataillon (environ 800 hommes) et Djibouti s'est également engagé à fournir des renforts au nombre non précisé, a ajouté M. Ping. Le nombre de soldats engagés au sein de l'Amisom est d'un peu plus de 6.000 hommes, 3.500 Ougandais et 2.500 Burundais, et le mandat de l'ONU la concernant prévoit qu'elle soit constituée au maximum d'un peu plus de 8.000 hommes.

L’Algérie au premier rang en Afrique : 7.000 km d’autoroutes et de voies express en 2014



Le nombre de kilomètres qui composent le réseau routier national en ce qui concerne les autoroutes et les voies rapides a grandement évolué depuis ces dernières années
Le nombre de kilomètres qui composent le réseau routier national en ce qui concerne les autoroutes et les voies rapides a grandement évolué depuis ces dernières années. Constitué d’un total de 700 km en 1999, il a atteint aujourd’hui un linéaire d’un peu plus de 3.000 km. L’autoroute Est-Ouest qui totalise, a elle seule, un total de plus de 1.200 km, ajoutée aux rocades, voies express, liaisons inter-wilayas, et la Transsaharienne qui touche à sa fin, ont le mérite de renforcer un réseau auquel ont reprochait la concentration dans les wilayas du Nord et qui ne répondait point aux aspirations à la fois économiques et sociales du pays. Aujourd’hui, il n’y a plus de différence entre Nord et Sud. Au contraire, les chantiers des travaux publics semblent avoir trouvé en les régions du Sud un terrain fertile pour la recherche et le développement. C’est également un moyen de désenclavement efficace qui contribue, par ailleurs, à la fixation des populations.
Dans cette même perception, le ministère des Travaux publics compte, à travers des chantiers tels que la nouvelle rocade des hauts plateaux, la branche malienne de la liaison transsaharienne sur 400 km, les liaisons érigées en pistes et autres chantiers, à 7.000 km d’ici 2014 et au terme de la réalisation du plan quinquennal. Actuellement, il s’étale sur un peu plus de 3.000 km « Et d’ici 2014, nous comptons atteindre la barre de 7.000 km, ce qui placerait notre pays au premier rang en Afrique », a annoncé M. Amar Ghoul, ministre des Travaux publics lors d’une récente rencontre à Alger. Les anciens programmes lancés avant 2005 étaient destinés avant tout à rattraper le « retard » accusé par l’Algérie dans le secteur des travaux publics et notera que le quinquennat 2005-2009 avait pour objectif en revanche la mise à niveau du secteur. Pour rappel, le bilan du dernier programme quinquennal 2005-2009 a été soldé par la création de 561.000 postes d’emploi, de 3.500 entreprises de réalisation, de 400 bureaux d’études, et, surtout, la réalisation de 67.000 km de routes qui ont permis de désenclaver quelque 7 millions d’habitants. Un bilan certes positif dans la mesure où l’on compte la construction de 1.187 ouvrages d’art et le recours à 37 nouvelles techniques de construction, de même que 5.000 actions de formation du personnel ont été lancées et 600 maisons cantonnières ont vu le jour. Le quinquennat 2010-2014 auquel une enveloppe de 3.100 milliards de dinars a été allouée verra la création de 700.000 postes d’emploi, de 5.000 entreprises et 600 bureaux d’études ainsi que le désenclavement de 10 millions d’habitants et le lancement de 9.000 actions de formation, projette-t-on.
A. Fadila