Portail Algérien des ÉNERGIES RENOUVELABLES
Mercredi 9 juin 2010
Plusieurs universitaires ont mis l’accent mardi à Alger sur l’importance des programmes nationaux de recherche (PNR) qu’ils ont considérés comme un instrument au service du développement économique du pays.
Intervenant lors d’un séminaire sur la recherche dans le domaine des sciences de la mer et de l’aménagement du littoral, organisé à l’université de Dely-Brahim à l’occasion de la journée internationale de l’océan, célébrée le 8 juin de chaque année, ces universitaires ont qualifié l’opération de lancement des PNR de "stratégique".
Ils ont estimé qu’elle reflète "la volonté et l’effort considérable consenti par l’Etat" pour la promotion de la recherche scientifique et du développement technologique, ajoutant que cette promotion "ne peut se concevoir sans des obligations en retour, principalement en termes d’objectifs atteints, de retombées socio-économiques et d’utilisation rationnelle des deniers publics".
Cette rencontre, qui a réuni les membres du Réseau national de recherche, des universitaires et des responsables de différents secteurs autour de projets de recherche innovants, a permis d’échanger les connaissances en ce qui concerne l’importance des sciences de la mer et faire le point sur les avancées réalisées dans ce domaine.
Considérant le Réseau national de recherche comme un "outil de production et de diffusion de la connaissance au service de l’action de l’Etat en mer et sur le littoral", les participants ont recommandé de concentrer les efforts, désormais, sur des "initiatives structurantes" pour "répondre aux besoins identifiés et atteindre les résultats escomptés".
Pour ce faire, la loi d’orientation et de programme à projection quinquennale sur la recherche scientifique et le développement technologique, a défini les principaux objectifs pour la décennie à venir.
Dans cette perspective, il a été procédé au lancement des 34 programmes nationaux de recherche prévus par la loi et dont les contenus scientifiques ont été élaborés par plus de 480 experts avec la participation de tous les secteurs économiques et de l’élite nationale établie à l’étranger.
Le lancement de ces programmes de recherche devrait permettre également la redynamisation du Conseil national de la recherche scientifique et technique, organe décisionnel suprême en matière de politique nationale de recherche scientifique et de développement technologique, a-t-on relevé.
D’autres intervenants ont, quant à eux, insisté sur la nécessité de promouvoir la recherche et le développement technologique dans le domaine de l’environnement et de l’énergie afin d’améliorer, ont-ils expliqué, la qualité de vie, favoriser la croissance économique, la compétitivité et la création d’emploi.
Ils ont souligné que les activités de recherche sont pluridisciplinaires et multisectorielles couvrant aussi bien la recherche fondamentale que les projets de démonstration, en mettant l’accent sur la participation des petites et moyennes entreprises (PME).
Cette approche, a-t-on suggéré, permet de développer le concept d’"éco-efficacité" pour produire des biens et des services "de meilleure qualité, avec moins de matériaux, d’énergie et de déchets".
APS
Mercredi 9 juin 2010
Plusieurs universitaires ont mis l’accent mardi à Alger sur l’importance des programmes nationaux de recherche (PNR) qu’ils ont considérés comme un instrument au service du développement économique du pays.
Intervenant lors d’un séminaire sur la recherche dans le domaine des sciences de la mer et de l’aménagement du littoral, organisé à l’université de Dely-Brahim à l’occasion de la journée internationale de l’océan, célébrée le 8 juin de chaque année, ces universitaires ont qualifié l’opération de lancement des PNR de "stratégique".
Ils ont estimé qu’elle reflète "la volonté et l’effort considérable consenti par l’Etat" pour la promotion de la recherche scientifique et du développement technologique, ajoutant que cette promotion "ne peut se concevoir sans des obligations en retour, principalement en termes d’objectifs atteints, de retombées socio-économiques et d’utilisation rationnelle des deniers publics".
Cette rencontre, qui a réuni les membres du Réseau national de recherche, des universitaires et des responsables de différents secteurs autour de projets de recherche innovants, a permis d’échanger les connaissances en ce qui concerne l’importance des sciences de la mer et faire le point sur les avancées réalisées dans ce domaine.
Considérant le Réseau national de recherche comme un "outil de production et de diffusion de la connaissance au service de l’action de l’Etat en mer et sur le littoral", les participants ont recommandé de concentrer les efforts, désormais, sur des "initiatives structurantes" pour "répondre aux besoins identifiés et atteindre les résultats escomptés".
Pour ce faire, la loi d’orientation et de programme à projection quinquennale sur la recherche scientifique et le développement technologique, a défini les principaux objectifs pour la décennie à venir.
Dans cette perspective, il a été procédé au lancement des 34 programmes nationaux de recherche prévus par la loi et dont les contenus scientifiques ont été élaborés par plus de 480 experts avec la participation de tous les secteurs économiques et de l’élite nationale établie à l’étranger.
Le lancement de ces programmes de recherche devrait permettre également la redynamisation du Conseil national de la recherche scientifique et technique, organe décisionnel suprême en matière de politique nationale de recherche scientifique et de développement technologique, a-t-on relevé.
D’autres intervenants ont, quant à eux, insisté sur la nécessité de promouvoir la recherche et le développement technologique dans le domaine de l’environnement et de l’énergie afin d’améliorer, ont-ils expliqué, la qualité de vie, favoriser la croissance économique, la compétitivité et la création d’emploi.
Ils ont souligné que les activités de recherche sont pluridisciplinaires et multisectorielles couvrant aussi bien la recherche fondamentale que les projets de démonstration, en mettant l’accent sur la participation des petites et moyennes entreprises (PME).
Cette approche, a-t-on suggéré, permet de développer le concept d’"éco-efficacité" pour produire des biens et des services "de meilleure qualité, avec moins de matériaux, d’énergie et de déchets".
APS
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