Mouna Izddine
Preuve s’il en faut du potentiel reconnu du Maroc dans le domaine de la micro-finance, la ville ocre succède à la capitale indienne New Dehli, cœur économique battant d’un pays émergent déjà considéré comme future puissance mondiale, et dans laquelle a été tenue la première édition du MFNT. Cet événement, organisé par PlaNet Finance en partenariat avec le Groupe Banques Populaires et Sogeti, a réussi son pari, à savoir rassembler les leaders et les professionnels de la micro-finance, et des technologies de l’information et de la communication (TIC) des quatre coins de la planète. Et ce afin de créer une plate-forme d’échange entre les fournisseurs de systèmes d’information et de communication et les acteurs du secteur précité. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que tout un parterre de leaders était au rendez-vous à Marrakech. Parmi lesquels l’écrivain, économiste et homme politique français, Jacques Attali, venu en tant que président du Groupe PlaNet Finance, Mohamed Maârouf, directeur exécutif du Groupe PlaNet Finance Maroc, Mustapha Bidouj, directeur général de la Fondation Banque Populaire pour le micro-crédit, Mohamed El Mandjra, directeur général de Méditel Maroc, Greta K. Greathouse, responsable de programme Usaid à Haïti. Pour ne citer qu’eux. Autant d’invités illustres et d’intervenants de poids qui ont auréolé le meeting de Marrakech d’une aura prestigieuse. Et permis aussi d’avancer, via notamment le partage de récits d’unions réussies entre la micro-finance et les nouvelles technologies, dans le débat sur l’avenir de ces deux secteurs dans le monde en général et au Maroc en particulier. Un débat nécessaire quand on prend connaissance des chiffres de la Banque mondiale. Ainsi, d’après les dernières estimations de celle-ci, pas moins de 10.000 institutions de micro-finance (IMF) servent plus de 150 millions de personnes défavorisées dans les pays en développement. Par ailleurs, plus de 500 millions de micro-entrepreneurs restent évincés des services financiers, en particulier dans les régions rurales reculées. A ce propos, les TIC pourraient doubler le nombre de micro-entrepreneurs pour atteindre 300 millions au niveau mondial. D’où la série de conférences internationales lancées par PlaNet Finance et ambitionnant de faire naître et développer les synergies entre les professionnels de ces deux univers. Au Maroc également, où le secteur de la micro-finance est considéré comme leader de la région MENA avec 1,24 million de clients actifs et comme l’un des plus innovateurs d’Afrique, les NTIC sont vues désormais comme un élément majeur de la stratégie de différenciation des associations de microcrédit et des banques. La réunion de Marrakech est venue confirmer cette nouvelle donne.
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