Par Nabil ABBAS
M’hamed Jaballah, « Chérif Rahmani a créé un climat de confiance
Directeur de l’administration et des moyens au ministère de l’aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme, M’hamed Jaballah était au dernier Salon du tourisme de Paris.
Comme toute la délégation algérienne, M’hamed Jaballah estime que le secteur du tourisme est en train d’être réhabilité en Algérie. « Le mérite revient au ministre, Chérif Rahmani, qui a fait bouger les choses et les fait évoluer, au jour le jour », confie M’hamed Jaballah.
Ainsi, les investissements dans le secteur reprennent de plus belle, y compris dans le secteur privé. « Le ministre a créé un climat de confiance, il s’implique à travers des lois, il met en application ses nombreuses idées », ajoute M’hamed Jaballah. Il faut dire qu’auparavant, l’Algérie manquait terriblement de politique touristique malgré ses nombreux atouts.
Parfois, quelques petites idées paraissant, au départ, presque anodines, peuvent apporter un plus certain : c’est le cas, par exemple, de la réhabilitation de la fonction de guide, souligne M’hamed Jaballah. Mais il reste encore du chemin à faire ; il reste encore plein d’infrastructures à mettre sur pied pour arriver à concurrencer les pays voisins qui ont, tout de même, une petite longueur d’avance.
Pourtant ces pays n’ont pas les richesses culturelles, ni historiques, que possède cet immense pays qu’est l’Algérie. C’est dans ce cadre qu’on peut espérer un travail conséquent pour réhabiliter de nombreux sites antiques qu’on a oublié en Algérie ; c’est le cas de la ville antique de Madaure dans l’est du pays.
Pour rappel, Apulée de Madaure, ce magnifique écrivain algérien, a écrit le premier roman fantastique de l’humanité. Peu de gens connaissent cette foisonnante richesse ; il est impératif de la rendre au gout du jour. M’hamed Jaballah aime également raconter que le SDAT (le Schéma directeur d’aménagement touristique ) va mettre en place les structures et les mécanismes qui apporteront beaucoup de bien au tourisme algérien. Ce plan élabore une stratégie jusqu’à l’an 2025. Il est juste à espérer que ce plan soit concrétisé.
Nabil Abbas
Directeur de l’administration et des moyens au ministère de l’aménagement du territoire, de l’environnement et du tourisme, M’hamed Jaballah était au dernier Salon du tourisme de Paris.
Comme toute la délégation algérienne, M’hamed Jaballah estime que le secteur du tourisme est en train d’être réhabilité en Algérie. « Le mérite revient au ministre, Chérif Rahmani, qui a fait bouger les choses et les fait évoluer, au jour le jour », confie M’hamed Jaballah.
Ainsi, les investissements dans le secteur reprennent de plus belle, y compris dans le secteur privé. « Le ministre a créé un climat de confiance, il s’implique à travers des lois, il met en application ses nombreuses idées », ajoute M’hamed Jaballah. Il faut dire qu’auparavant, l’Algérie manquait terriblement de politique touristique malgré ses nombreux atouts.
Parfois, quelques petites idées paraissant, au départ, presque anodines, peuvent apporter un plus certain : c’est le cas, par exemple, de la réhabilitation de la fonction de guide, souligne M’hamed Jaballah. Mais il reste encore du chemin à faire ; il reste encore plein d’infrastructures à mettre sur pied pour arriver à concurrencer les pays voisins qui ont, tout de même, une petite longueur d’avance.
Pourtant ces pays n’ont pas les richesses culturelles, ni historiques, que possède cet immense pays qu’est l’Algérie. C’est dans ce cadre qu’on peut espérer un travail conséquent pour réhabiliter de nombreux sites antiques qu’on a oublié en Algérie ; c’est le cas de la ville antique de Madaure dans l’est du pays.
Pour rappel, Apulée de Madaure, ce magnifique écrivain algérien, a écrit le premier roman fantastique de l’humanité. Peu de gens connaissent cette foisonnante richesse ; il est impératif de la rendre au gout du jour. M’hamed Jaballah aime également raconter que le SDAT (le Schéma directeur d’aménagement touristique ) va mettre en place les structures et les mécanismes qui apporteront beaucoup de bien au tourisme algérien. Ce plan élabore une stratégie jusqu’à l’an 2025. Il est juste à espérer que ce plan soit concrétisé.
Nabil Abbas
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