L'expansion à grande échelle de la réalisation des infrastructures de base marque un tournant dans la consolidation des conditions du développement national. La tendance actuelle montre qu'on est confiant en la possibilité d'améliorer encore plus ce secteur en surmontant les problèmes techniques, matériels, humains et organisationnels existants, notamment parce que les infrastructures de base sont le socle qui permet un développement adapté, rapide et productif. Redonner aux infrastructures de base la place privilégiée par la politique en question, tel est le pari, aujourd'hui, des pouvoirs publics. Il répond à plusieurs objectifs : rationaliser les efforts à court terme pour redonner l'attractivité des territoires, valoriser la production, développer les initiatives capables d'augmenter la valeur et le poids de ce secteur et garantir une amélioration graduelle des conditions de vie des populations, notamment dans les zones rurales. Dans cet esprit, l'Etat ne cesse de déployer des efforts et de gros moyens à destination du monde rural, tant sur le plan de son renouveau que de son équipement en infrastructures de base, qu'elles soient sociales, économiques ou productives. Cette action multiforme, qui est l'œuvre entreprise dans les différents domaines durant ces dernières années, est menée avec rigueur, continuité et sélectivité. Aussi, l'immense transformation que supposait le "remodelage" des infrastructures pour les adapter à l'éthique et à l'intensité du développement national ne pouvait évidemment être entreprise que progressivement. Aussi, au fil des programmes, l'action menée a-t-elle touchée à chaque étape des domaines et des objectifs nouveaux avec une intensité de plus en plus grande. Cette amélioration indispensable à tous les domaines aura donc été l'autre préoccupation la plus marquante, durant ces dernières années, dans le processus de réhabilitation et de modernisation. Une volonté qui se fixe comme finalité de toucher au plus près les préoccupations des populations, de produire mieux et davantage en garantissant la viabilité de ces infrastructures pour servir de base à l'économie nationale. Et pour la crédibilité de tous ces objectifs, une définition des responsabilités et des compétences dans différents échelons sera d'une importance capitale, notamment dans ce domaine qui détermine en grande partie la répartition spatiale des activités économiques, notamment dans les régions, où vit la majorité des Algériens, où le sous-équipement atteignait un niveau tel qu'il pouvait les maintenir en marge du progrès et des bienfaits du développement.B. Chellali
Wednesday, July 21, 2010
Algerie des infrastructures de base au service de l'économie
L'expansion à grande échelle de la réalisation des infrastructures de base marque un tournant dans la consolidation des conditions du développement national. La tendance actuelle montre qu'on est confiant en la possibilité d'améliorer encore plus ce secteur en surmontant les problèmes techniques, matériels, humains et organisationnels existants, notamment parce que les infrastructures de base sont le socle qui permet un développement adapté, rapide et productif. Redonner aux infrastructures de base la place privilégiée par la politique en question, tel est le pari, aujourd'hui, des pouvoirs publics. Il répond à plusieurs objectifs : rationaliser les efforts à court terme pour redonner l'attractivité des territoires, valoriser la production, développer les initiatives capables d'augmenter la valeur et le poids de ce secteur et garantir une amélioration graduelle des conditions de vie des populations, notamment dans les zones rurales. Dans cet esprit, l'Etat ne cesse de déployer des efforts et de gros moyens à destination du monde rural, tant sur le plan de son renouveau que de son équipement en infrastructures de base, qu'elles soient sociales, économiques ou productives. Cette action multiforme, qui est l'œuvre entreprise dans les différents domaines durant ces dernières années, est menée avec rigueur, continuité et sélectivité. Aussi, l'immense transformation que supposait le "remodelage" des infrastructures pour les adapter à l'éthique et à l'intensité du développement national ne pouvait évidemment être entreprise que progressivement. Aussi, au fil des programmes, l'action menée a-t-elle touchée à chaque étape des domaines et des objectifs nouveaux avec une intensité de plus en plus grande. Cette amélioration indispensable à tous les domaines aura donc été l'autre préoccupation la plus marquante, durant ces dernières années, dans le processus de réhabilitation et de modernisation. Une volonté qui se fixe comme finalité de toucher au plus près les préoccupations des populations, de produire mieux et davantage en garantissant la viabilité de ces infrastructures pour servir de base à l'économie nationale. Et pour la crédibilité de tous ces objectifs, une définition des responsabilités et des compétences dans différents échelons sera d'une importance capitale, notamment dans ce domaine qui détermine en grande partie la répartition spatiale des activités économiques, notamment dans les régions, où vit la majorité des Algériens, où le sous-équipement atteignait un niveau tel qu'il pouvait les maintenir en marge du progrès et des bienfaits du développement.B. Chellali
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