L'Algérie, comme l'indiquent ses nombreux indicateurs économiques et sociaux, est sur la bonne voie du redressement de la "barre". La chute des déficits dans divers secteurs et l'augmentation des atouts structurels, le regain de l'essor de l'industrie et de l'agriculture corrigent au fur et à mesure la dépendance des importations. Les perspectives mesurées sur ce qui reste à atteindre à l'horizon 2014 font parties des préoccupations majeures, notamment en ce qui concerne le soutien à l'actuel rythme de croissance. L'engagement des mesures préalables indispensables à la continuité de la relance économique, constitue en soi, le respect du programme tracé pour finaliser tous les objectifs, et c'est là l'essentiel sur la nécessité de bien "négocier" ce défi le plus sérieux, qui d'ailleurs modifiera l'image économique du pays, stimulera la productivité susceptible à son tour de doper les exportations, de réaliser d'immenses rentabilités macroéconomiques supplémentaires, et enfin d'assurer la continuité des facteurs améliorant le niveau et la qualité de vie des populations. Cette vision claire, qui constitue l'ordre du jour des plus hautes autorités du pays, se veut un fort "outil" de sortie d'un certain cycle de déficits et de retards, encourage et alimente les secteurs productifs à se "faire" d'eux-mêmes les ressources qui leur sont indispensables. Cette tendance à contribuer à la formulation d'une nouvelle stratégie de croissance a pour but d'améliorer la production et la productivité, tout en tenant compte de la durabilité du développement durable et plus singulièrement à "raviver" à chaque occasion les mesures et les dispositions prises en ce qui concerne la création d'emplois, la promotion de la stratégie industrielle et une expansion excessive du secteur agricole et la mise à contribution de nouveaux mécanismes pour évaluer et enrichir en permanence cette ambitieuse démarche dont les canaux sont appelés à se diversifier et être plus compétitifs. A cette fin, il s'agit surtout de stimuler la croissance économique, l'emploi et d'accroître la qualité de vie, c'est l'essence même de la politique menée en ce sens et qui repose sur l'équilibre entre les priorités de nature humaine, économique, sociale et environnementale. Aussi, le partage des prérogatives et des missions entre les différents partenaires socioéconomiques nationaux et la valorisation des compétences, permet au pays de faire bon usage de ses ressources naturelles et économiques et des les maintenir à travers des pratiques de développement durable pour répondre en premier aux besoins actuels et futurs des populations dans la plus grande équité aux plans social et économique.B. Chellali
Monday, July 26, 2010
Rentabilités macroéconomiques supplémentaires
L'Algérie, comme l'indiquent ses nombreux indicateurs économiques et sociaux, est sur la bonne voie du redressement de la "barre". La chute des déficits dans divers secteurs et l'augmentation des atouts structurels, le regain de l'essor de l'industrie et de l'agriculture corrigent au fur et à mesure la dépendance des importations. Les perspectives mesurées sur ce qui reste à atteindre à l'horizon 2014 font parties des préoccupations majeures, notamment en ce qui concerne le soutien à l'actuel rythme de croissance. L'engagement des mesures préalables indispensables à la continuité de la relance économique, constitue en soi, le respect du programme tracé pour finaliser tous les objectifs, et c'est là l'essentiel sur la nécessité de bien "négocier" ce défi le plus sérieux, qui d'ailleurs modifiera l'image économique du pays, stimulera la productivité susceptible à son tour de doper les exportations, de réaliser d'immenses rentabilités macroéconomiques supplémentaires, et enfin d'assurer la continuité des facteurs améliorant le niveau et la qualité de vie des populations. Cette vision claire, qui constitue l'ordre du jour des plus hautes autorités du pays, se veut un fort "outil" de sortie d'un certain cycle de déficits et de retards, encourage et alimente les secteurs productifs à se "faire" d'eux-mêmes les ressources qui leur sont indispensables. Cette tendance à contribuer à la formulation d'une nouvelle stratégie de croissance a pour but d'améliorer la production et la productivité, tout en tenant compte de la durabilité du développement durable et plus singulièrement à "raviver" à chaque occasion les mesures et les dispositions prises en ce qui concerne la création d'emplois, la promotion de la stratégie industrielle et une expansion excessive du secteur agricole et la mise à contribution de nouveaux mécanismes pour évaluer et enrichir en permanence cette ambitieuse démarche dont les canaux sont appelés à se diversifier et être plus compétitifs. A cette fin, il s'agit surtout de stimuler la croissance économique, l'emploi et d'accroître la qualité de vie, c'est l'essence même de la politique menée en ce sens et qui repose sur l'équilibre entre les priorités de nature humaine, économique, sociale et environnementale. Aussi, le partage des prérogatives et des missions entre les différents partenaires socioéconomiques nationaux et la valorisation des compétences, permet au pays de faire bon usage de ses ressources naturelles et économiques et des les maintenir à travers des pratiques de développement durable pour répondre en premier aux besoins actuels et futurs des populations dans la plus grande équité aux plans social et économique.B. Chellali
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