PATRICK LE BERRIGAUD EUROPE fédérale/UNION POUR LA MEDITERANNEE consultant ingenieur conseil
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Un commissaire permanent pour chaque Etat membre. Telle serait la principale demande du gouvernement irlandais auprès de l'UE, après le non au référendum. Si les Etats membres acceptent la proposition, l'Irlande pourrait alors décider d'organiser un second référendum sur le traité de Lisbonne à l'automne 2009. Selon des sources gouvernementales anonymes citées par le Irish Independent, la garantie du maintien d'un commissaire européen irlandais pourrait encourager le pays à adopter le traité lors d'un éventuel second référendum en septembre ou en octobre 2009. C'est-à-dire après les élections européennes de juin 2009. Le traité prévoit une réduction du nombre de commissaires de 27 à 15 d'ici 2014, avec un roulement entre les Etats membres. Mais le texte ajoute que la Commission sera composée d'un nombre équivalent aux deux tiers du nombre de pays membres de l'UE, "à moins que le Conseil européen, statuant à l'unanimité, ne décide de modifier ce nombre". Les Etats membres pourraient donc décider de maintenir un commissaire par pays. A noter que selon de récents sondages, 71% des Irlandais seraient opposés à un nouveau vote sur le traité de Lisbonne. Le plan de sauvetage du traité proposé par Dublin à la suite du "non" des électeurs irlandais le 12 juin impliquerait également de: retarder la nomination de la nouvelle Commission (qui est censée se mettre en place en novembre 2009), afin de permettre la tenue d'un second référendum en Irlande ; formuler des promesses écrites sur des questions sensibles comme la fiscalité, la neutralité et l'avortement illégal en Irlande ; réduire le nombre d'eurodéputés de certains pays, mais pas de l'Irlande. Selon le traité, le nombre d'eurodéputés passera de 785 à 736, au détriment de certains pays, notamment l'Irlande, qui aurait 12 eurodéputés au lieu de 13. Le Belfast Telegraph se montre un peu plus prudent au sujet du plan, précisant qu'il ne s'agit pour l'instant que d'options étudiées par la coalition gouvernementale menée par le Fianna Fail. Officiellement, le gouvernement dément avoir pris une quelconque décision pour le moment. Le Premier ministre Brian Cowen devrait présenter un plan d'action à ses homologues européens avant la fin de l'année. latribune.fr
Google continue d'investir en faveur du libre. Si la firme utilise assez massivement des outils sous licence libre, elle agit en faveur de la communauté via divers projets. Le dernier en date consiste en un financement à hauteur de 300 000 dollars pour l'Open Source Lab de l'université de l'Oregon.
Séisme/Sichuan : Le PM japonais promet de prendre part aux efforts chinois de reconstruction
2008-07-29 10:50:11
TOKYO, 28 juillet (Xinhua) -- Le Japon est disposé à partager son expérience de reconstruction post-catastrophe avec la Chine et à prendre part aux efforts de reconstruction chinois, après qu'un tremblement de terre puissant eut ravagé le 12 mai la province chinoise du Sichuan (sud-ouest), a déclaré lundi le Premier ministre japonais Yasuo Fukuda. "Le Japon et la Chine doivent s'apprendre l'un l'autre et s'entraider en cas de difficultés", a indiqué M. Fukuda lors d'une réception organisée par le Parti libéral démocrate (PLD, au pouvoir) pour accueillir une délégation de responsables et d'experts chinois en visite au Japon pour apprendre de l'expérience japonaise de reconstruction de l'après-catastrophe. Le Premier ministre a également exprimé ses meilleurs voeux pour les Jeux Olympiques de Beijing, déclarant que des JO couronnés de succès ne seraient pas seulement une consolation pour le peuple touché par le séisme, mais également une preuve de la capacité chinoise de surmonter toutes les difficultés. L'ambassadeur chinois au Japon Cui Tiankai a exprimé la gratitude du peuple chinois pour les aides accordées par toutes les sphères de la société japonaise. Qiu Baoxing, vice-ministre chinois de la Construction et chef de la délégation chinoise, a fait remarquer que son équipe apprendrait le savoir-faire japonais dans les domaines de l'économie de l'énergie et la protection environnementale, afin de concevoir des villes et des villages en harmonie avec l'environnement à l'heure d'élaborer les plans de reconstruction en Chine. La délégation, composée d'une quarantaine de responsables et d'experts de la région sinistrée et du ministère chinois de la Construction, a été reçue lundi matin par le ministre japonais des Affaires étrangères Masahiko Komura. Les membres de la délégation doivent encore visiter les zones de reconstruction modèles de l'après-séisme dans les préfectures japonaises de Niigata et de Hyogo.
L'Algérie accueillira la première rencontre de ce panel en octobre 2008; et une session spéciale des ministres de l'Environnement pour adopter une position commune finale aura lieu à la fin de juin 2009 en marge du 13ème Sommet de l'Union africaine.
9 juillet 2008 Environnement et développement durable en Afrique L’Afrique est l’un des continents les plus riches en termes de ressources naturelles. Elles constituent un potentiel important de développement économique du continent. La protection de ces ressources fait partie des projets de la nouvelle politique économique africaine (NEPAD). De quels outils l’Afrique dispose-t-elle pour protéger ses ressources dans l’objectif d’un développement durable ? Elle est également la première victime des émissions de gaz des pays du Nord et des bouleversements climatiques qui en découlent. Comment concilier environnement et développement ? Conférencière : Agnès MichelotProfesseure, Université de la Rochelle Discutant : Djibril DiopPost-doctorant, Université de Montréal Lectures obligatoires Michelot, A. (ed.) (2006), Environnement et commerce – Perspectives en Afrique de l’ouest, UNITAR, Genève. Textes juridiques de référence Déclaration de la Conférence des Nations unies de Stockholm de 1972 sur l’environnement Déclaration sur l’environnement et le développement, Conférence des Nations unies de Rio de 1992 Déclaration sur le développement durable, Sommet mondial sur le développement durable, Johannesburg, 2002 Lectures suggérées Ben Hammouda, H. et Kassé M. (dir.) (2002), Le NEPAD et les enjeux du développement durable, Commission économique pour l’Afrique – Bureau pour l’Afrique centrale, Maisonneuve & Larose, Paris. Maurice Kamto, Droit de l’environnement en Afrique, EDICEF/AUPELF, Vanves, 1996. Serge Latouche, L’autre Afrique – entre don et marché, Albin Michel, Paris, 1998.
La saison des méduses : la surpêche sur la sellette Publié le mardi 29 juillet 2008 à 10:50 La hausse de la température de l’eau du fait du réchauffement climatique, la raréfaction des tortures de mer et les rejets dans le grand bleu ont entraîné une prolifération des méduses en Méditerranée. Le problème vient d’agiter les milieux scientifiques en France. Et l’inquiétude a prévalu faute de moyens de lutte à même de stopper cette brusque invasion animalière.Nos côtes tunisiennes n’en sont pas aussi exemptes. Généralement, c’est à partir de la mi-août que ces créatures gélatineuses et transparentes font leur apparition. Les Aoûtiens en savent quelque chose. Reste qu’avec le déferlement constaté au début de cet été en Méditerranée, et avec l’aggravation des phénomènes qui en favorisent le pullulement, il est fort à craindre que la saison des méduses ne soit d’ores et déjà avancée.Et comme dans tout phénomène qui nuit à l’homme, c’est celui-ci qui en est l’origine. Qui d’autre que l’être humain a provoqué le réchauffement climatique, a mené à l’extinction des prédateurs des méduses et a accentué la pollution du milieu marin. Autant dire que la Méditerranée est la mer la plus souillée et que 80 % des eaux usées qui y sont déversées ne sont pas traitées.Tout cela a mis l’écosystème marin sens dessus dessous. Selon les scientifiques, la température de l'eau en hiver en Méditerranée est passée de 13 °C à 14 °C. Ce réchauffement, joint à la disparition du thon et de la tortue de mer, principaux prédateurs des méduses et à la pollution grandissante du fait des rejets ménagers et industriels en milieu marin, nous laisse médusés devant autant de méduses.Sachant que ce phénomène qui peut paraître sans intérêt prend la communauté scientifique de court, ne serait-ce par le manque du nombre de spécialistes, connaissant bien cet animal et qui sont capables d’en démystifier l’irruption massive. Le commun des mortels craint les méduses pour leur piqûre lancinante qui provoque souvent de sévères réactions cutanées, très douloureuses mais généralement sans conséquences.Mais au-delà de leur côté désagréable et redoutable, les méduses peuvent être, selon certains scientifiques, profitables à l’homme, s’il daigne les manger. C’est qu’ils ont un apport important en minéraux et oligo-éléments. Faute de mieux, l’une des solutions qui peut en freiner la prolifération, c’est donc d’en faire une nourriture. Une idée un peu excentrique sur les bords et qui montre l’impuissance des hommes devant des phénomènes naturels peu communs que l’on a pas su prévenir à temps. Gnet
Mer Noire : la grande oubliée de l’Union pour la MéditerranéeEurasie :: Lundi, 28 juillet 2008 . 17:28 t.u. :: Catherine Durandin
D’une mer à l’autre, bleue ou noire, toutes les deux porteuses de mémoires antiques gréco-romaine et ottomane, la Méditerranée va-t-elle supplanter la Mer Noire ? En cet espace, Russes, Turcs, Etats-Unis et dans une moindre mesure, UE, sont pourtant très présents… Le président roumain Basescu était présent à la tribune d’honneur pour le défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées. Très convaincu par le lancement du projet Union pour la Méditerranée, il a souligné, dès son retour à Bucarest, l’urgence pour les investisseurs roumains d’aller vers l’Afrique du Nord et, au-delà, vers l’Afrique. Etrange pour un président élu en 2004 sous les regards bienveillants de Washington qui s’est fait depuis le porte parole d’une Grande Stratégie Mer Noire… Le grand projet Mer Noire selon Washington Le projet d’une stratégie Mer Noire, en sa version occidentale militante, revient aux lobbys et think-tanks américains néoconservateurs dès 2003-2004. L’idée est de transformer les pays riverains, l’Ukraine puissance de plus de 50 millions d’habitants, en particulier, en vaste espace démocratique, sécurisé, stabilisé : une sorte de voisinage démocratique alors face à la Russie de Poutine, ambitieuse en sa volonté de restauration de puissance. Les acteurs “du soft power” américain, ONG, réseaux d’influence etc… ont été très actifs à Kiev, lors des élections de 2004 qui ont ouvert une voie incertaine à une sorte de “révolution” pro occidentale, dite “révolution orange”. Au- delà des enjeux politiques et idéologiques, se joue une forte concurrence énergétique : Moscou tient à conserver la mainmise sur Kiev, pays consommateur et de transit du gaz naturel russe vers les Balkans et l’Europe Centrale. Les visées stratégiques sont lourdement présentes en Mer Noire : les Russes conservent la base maritime de Sébastopol qu’ils louent à l’Ukraine et entendent conserver. Les Turcs, membres de l’OTAN depuis 1952, souhaitent garder un droit de regard de puissance riveraine sur les Détroits de la mer Noire à la Méditerranée Orientale. En cette option, ils rejoignent Moscou qui s’oppose à une “otanisation” de la Mer Noire. La Grande Stratégie Mer Noire de Washington a été très bien reçue à BucarestLa “Grande Stratégie Mer Noire” de Washington a été très bien reçue à Bucarest. Le président Basescu s’est fait le porte parole des visions américaines : colloques, Forum Mer Noire à Bucarest en juin 2005 (boudé par les Russes), entretien du chef de l’état roumain à Washington en juillet 2006 avec George W. Bush et les représentants des think tank tel que la “Jamestown Foundation” : la Mer Noire, à travers ces rencontres, est devenu une sorte de trou noir, insécurité, trafics de drogue… Et le rêve pour l‘avenir faisait de cet espace un lac de Genève bordé de démocraties libérales de Kiev à Tbilissi. Des paroles aux actes Cette mobilisation néo conservatrice a accompagné plusieurs étapes d’américanisation de la Mer noire : fin 2005, des accords bilatéraux ont été signés à Bucarest et à Sofia pour l’installation de bases militaires américaines en Roumanie et en Bulgarie. Ce projet s’intègre dans le redéploiement vers l’Est des forces américaines installées en Allemagne. Dès juillet 2007, la première base US proche du port roumain de Constantza fut opérationnelle. Trois autres sites doivent être aménagés. Ces bases ne transforment pas le paysage socio économique local : les militaires américains peu nombreux sont présents, sans leurs familles, sur de courts termes de service. L’installation des bases US en Bulgarie se réalise dans un climat de relations renforcées et chaleureuses entre Sofia et Washington. Lors du sommet de l’OTAN d’avril 2008 qui s’est tenu à Bucarest, Washington suivi par la Roumanie a soutenu la future intégration de l’Ukraine dans l’OTAN, ce qui heurte Moscou. Moscou veille la Russie suit une ligne cohérente de puissance restaurée en Mer Noire Les visions françaises détournent de l’intérêt à porter à la Mer Noire. Or, Bulgarie et Roumanie, avec leurs bases de projection militaire US, sont membres et de l’OTAN depuis 2004, et de l’UE depuis 2007. L’évolution de la Turquie, son avenir dans ou hors de l’UE, sa place et son rôle dans l’Union pour la Méditerranée, restent à définir. Incertitudes alors qu’Ankara conduit un dialogue régulier avec Moscou et avec l’Iran… Pour tenter de faire bonne figure en ce contexte nouveau, Union pour la Méditerranée et présidence française de l’UE, Bucarest s’applique à inventer des ponts entre Mer Noire et Méditerranée. Cet effort traduit un malaise dont les fondements sont simples. D’un côté, les pays riverains de la Mer Noire tout comme l’UE ignorent ce que sera, avec une nouvelle présidence à Washington, le sort de la Grande Stratégie Mer Noire des Etats-Unis. De l’autre, la Russie suit une ligne cohérente de puissance restaurée et condamne les avancées des Etats-Unis tant en Mer Noire que dans l’espace Centre européen (installation du système de Défense Anti Missile en république tchèque). En dernier ressort, la stratégie de l’UE reste vague, formulée autour du thème d’un plus d’engagement vers l’Est, d’un effort pour la Politique Européenne de Voisinage (PEV). Mais où sont les faits ? Il sera intéressant de suivre, discours directs ou voix “off”, les réactions russes au grand projet méditerranéen français. Anecdote, vision ou esquives : que pense Moscou, accrochée à la Mer Noire, de la Méditerranée à la française ? Source : Contre-feux
Chine : nouvelle réglementation pour encadrer les entrepreneurs chinois à l'étranger
2008-07-29 14:16:29
BEIJING, 29 juillet (Xinhua) -- Les entreprises chinoises, qui entreprennent des contrats à l'étranger sans autorisation officielle, se verront infliger une amende maximale d'un million de yuans RMB (146 000 dollars), conformément à une nouvelle réglementation promulguée lundi par le gouvernement chinois. Cette décision du Conseil d'Etat, signée par le Premier ministre chinois Wen Jiabao, prévoit des amendes de 500 000 à un million de yuans (RMB) à l'encontre des entreprises chinoises non reconnues comme "entrepreneur international". "Les entrepreneurs chinois doivent sauvegarder les intérêts nationaux et protéger les droits légitimes de leurs employés envoyés à l'étranger. Ils doivent aussi respecter les lois des pays ou régions d'accueil", souligne le texte, qui prendra effet à partir du 1er septembre 2008. Il accentue l'importance de respecter les coutumes locales, de protéger l'environnement régional et d'aider au développement des économies locales. Selon la réglementation, les entreprises d'Etat sous administration du gouvernement central doivent faire acte de candidature auprès des institutions nationales chargées du commerce. Les autres sociétés doivent s'adresser aux administrations locales. Les autorités commerciales chinoises doivent mettre en place un système d'évaluation des risques pour suivre de près les opérations des entrepreurs chinois à l'étranger, et les mettre en garde contre tous dangers et tous risques dans les pays ou régions où ils opèrent. Les entrepreneurs doivent signer des contrats avec leurs employés envoyés à l'étranger, et leur fournir des conditions de travail et des salaires raisonnables, ainsi qu'une assurance contre les accidents. Cette nouvellle réglementation interdit aussi aux sociétés de s'assurer d'un contrat international au moyen de corruption ou d'une autre pratique illégale.
La Chine augmente le quota pour les étudiants étrangers financés par le gouvernement
2008-07-28 20:45:34
GUIYANG, 28 juillet (Xinhua) -- La Chine compte offrir des bourses d'études à 20 000 étudiants étrangers en 2010, soit le double par rapport à 2007, a annoncé lundi un officiel du Conseil des bourses d'études de Chine. Le secrétaire général du conseil Liu Jinghui a fait cette remarque en marge de la semaine d'échanges éducatifs Chine-ASEAN. Il a ajouté que les bourses d'études accordées par le gouvernement chinois aux étudiants étrangers couvriraient aussi bien les frais scolaires que les frais de subsistance. Liu a aussi prévu que la Chine accueillerait 500 000 étudiants étrangers d'ici 2020, y compris ceux venant étudier à leurs propres frais. "La Chine prête une attention particulière à l'éducation et les étudiants étrangers sont très importants", a souligné Liu, qui a expliqué que ces étudiants aideraient les universités chinoises à devenir de plus en plus internationales. Il a aussi révélé que la Chine augmenterait cette année les allocations pour les étudiants étrangers d'environ 50%, soit 1 400 yuans par mois contre 800 yuans l'année dernière. La Chine offre cette année 1 700 et 2 000 yuans par mois pour chaque aspirant à la maîtrise et au doctorat. L'année dernière, la Chine a reçu plus de 190 000 étudiants étrangers, soit presque cinq fois de plus que le total de 1997. Ces étudiants sont venus de 188 pays et régions, et 5,2% d'entre eux ont obtenu des bourses d'études accordées par le gouvernement chinois.
For citing references in Wikipedia, see Wikipedia:Citing sources. In general, a reference is a relation between objects in which one object designates by linking to another object. Such relations as these may occur in a variety of domains, including logic, computer science, art and scholarship. Although the objects which the term reference applies may be of a varying character ranging from concrete examples such as reference work which includes pointers or symbols. The nature of reference as a role in language and thought has been around since the 19th Century. During this time, applying itself as an important topic of discussion. An object which is referred to as a reference (where the reference leads) is called a referent. The term reference is used with different specialized meanings in a variety of fields, as follows: Contents[hide] 1 Semantics 1.1 Meaning 1.2 Absent referent 1.3 Linguistic sign 2 Art 3 Academic writing 4 Computer science 5 Geometry 6 Libraries 7 Scholarship 8 Work references 9 Canadian law 10 See also 11 External links 12 References // [edit] Semantics In semantics, reference is generally construed as the relation between nouns or pronouns and objects that are named by them. Hence the word John refers to John. The word it refers to some previously specified object. The object referred to is called the referent of the word.[1] Sometimes the word-object relation is called denotation; the word denotes the object. The converse relation, the relation from object to word, is called exemplification; the object exemplifies what the word denotes. In syntactic analysis, if a word refers to a previous word, the previous word is called the antecedent. [edit] Meaning Frege argued that reference cannot be treated as identical with meaning: "Hesperus" (an ancient Greek name for the evening star) and "Phosphorus" (an ancient Greek name for the morning star) both refer to Venus, but the astronomical fact that '"Hesperus" is "Phosphorus"' can still be informative, even if the 'meanings' of both "Hesperus" and "Phosphorus" are already known. This problem led Frege to distinguish between the sense and reference of a word. [edit] Absent referent Main article: Absent referent Words can often be meaningful without having a referent. Fictional and mythological names such as "Bo-Peep" and "Hercules" illustrate this possibility. For those who argue that one cannot directly experience the divine (e.g. God), the sign "God" can serve as an example of a reference with an absent referent. Additionally, certain sects of Judaism and other religions consider it sinful to write, discard, or deface the name of the divine. To avoid this problem, the signifier G-d is sometimes used, though this could be seen as a sign which refers to another sign with an absent referent. In mathematics, the absent referent can be seen with the symbol for zero, "0" or the empty set, "{ }". [edit] Linguistic sign Main article: Sign (linguistics) The semantic sign can be considered a subset of a more general concept, the linguistic sign, first elucidated by Ferdinand de Saussure. A sign contains two parts, the signified (a thought which represents an object), and the signifier (the sound or written word). Both have a referent (the actual physical object). The sign is a building block for texts that supplies sound and meaning. The smallest building block is called a morpheme and may be lexical (or referential, carry lexical/encyclopedic meaning, i.e. refer to real-life entities). This kind of extra-linguistic reference is called deixis after a Greek word meaning "to point". In contrast, grammatical morphemes express reference to more abstract categories such as time (tense) or location (locative). Certain parts of speech exist only in order to express reference, viz. anaphora, i.e. typically pronouns. The subset of reflexives reflexive express co-reference of agent (actor) and patient (acted-upon), as in "The man washed himself".
Cogénération solaire et thermique au village olympique (src : SolarWall) La semaine dernière, nous évoquions la volonté des autorités chinoises d'utiliser l'énergie du vent à Pékin, par l'installation de 33 éoliennes dans la Capitale. En matière d'énergie solaire cette fois, c'est au tour du village olympique de se distinguer. En effet, le village a adopté l'un des premiers systèmes de cogénération qui capte à la fois, la chaleur de l'air et le solaire photovoltaïque dans le but d'optimiser le rendement final et donc le retour sur investissement. SolarWall est un capteur solaire développé par la société canadienne "Conserval Engineering" (voir notre article écrit à ce sujet), qui transforme le rayonnement infrarouge du soleil en énergie thermique. L’air comme médium ne gèle pas et est très efficace pour le chauffage et la ventilation. Pour faire simple, la chaleur accumulée à l'arrière des modules PV est canalisée et acheminée dans le circuit de chauffage traditionnel. Monté sur le toit d'un des bâtiments centraux des Jeux Olympiques, - le centre de coordination des athlètes en l'occurence - SolarWall produit à la fois de l'électricité et de l'énergie thermique pour une surface identique, générant au passage 200 à 300 % plus d'énergie qu'un système PV conventionnel."Solarwall demeure un bon exemple concret où le rapport coût-efficacité en fait l'une des technologies propres prometteuses", a déclaré Gary Lunn, le ministre des Ressources naturelles du Canada. "Les Jeux Olympiques de Pékin offre une formidable occasion de mettre en évidence cette technologie aux yeux du monde entier".
La suppression des régions : la RGPP en contre-sens de l’Histoire La commission Attali avait été claire : il existe un échelon territorial de trop en France, et cet échelon c’est le département. Limité géographiquement, inadapté dans ses modes de scrutin, négligeable dans une structuration européenne des régions, redondant sur des politiques menées soit localement (intercommunalités) soit à un échelon plus large (régions), les départements sont à l’image des communes des coquilles trop étroites pour coller aux réalités.I. La RGPP : une promesse de retour cinquante ans en arrière La France va droit dans le mur, et elle y va en souriant. Elle espère que le retour à des politiques proches des années 60 voire antérieures soient susceptibles de conduire à nouveau le pays dans la voie des Trente Glorieuses. C’est ignorer que l’Histoire avance et que les contextes évoluent : à trop regarder dans le rétroviseur, c’est le mur qui guette. La RGGP ou « Réforme générale des politiques publiques » s’est attaquée frontalement à la refonte de l’administration publique de l’Etat. Il ne s’agit pas de dire qu’il ne fallait rien faire et que tout allait bien, mais plutôt de savoir dans quel sens les « réformes » conduisent le pays. La RGPP constitue l’un de ces outils dont il serait grand temps de prendre connaissance tant il risque de mettre l’administration publique au tapis. Beaucoup en rêvent, certes. Mais quand il s’agira d’avoir des services, il ne faudra plus hurler au loup s’il n’existe plus personne au bout du fil pour répondre pour un renseignement concernant les impôts ou pour s’occuper de quelques incidents de voirie ou de canalisation. Bref, l’enjeu du débat est de savoir si l’on va vers le moins d’Etat pour l’idéologie ou si l’on va vers le mieux d’Etat pour le sens du progrès. Ce qui est le plus risible in fine, c’est de constater qu’à périmètre de plus en plus restreint, les finances de l’Etat sont toujours dans le rouge vif et ne cessent d’être déficitaires d’années en années... à croire qu’il y aurait d’autres responsables que les fonctionnaires et les citoyens... Quand l’Etat laisse passer des affaires type l’affaire « Tapie », on sait clairement que l’intérêt pour l’argent public s’arrête au porte-monnaie des bienfaiteurs de campagnes électorales. La RGPP s’est donc attaqué préalablement à regrouper autant que possible les ministères afin d’utiliser l’aubaine démographique pour ne pas renouveler des postes et tenter de grouper en réduisant les voilures. Cette action était sans doute nécessaire, reste à savoir quel service public survivra, car à trop regrouper il risque de ne plus rien rester sur le terrain. Le second volet de la RGPP, celui auquel s’attaquera dès l’automne le gouvernement, sera de sabrer dans la fonction publique territoriale. Un constat : 4 échelons, communes, communautés de communes/agglomérations, départements et régions. C’est au moins 1 de trop. II. Pourquoi les régions ? Historiquement, depuis la révolution française, l’Etat décentralisé s’appuyait sur des communes et des départements. En 1972 puis en 1984 furent ajoutées à ces deux échelons les régions afin de répondre à des politiques plus homogènes sur des territoires pesant un poids démographique et économique significatif au niveau européen. 22 régions et 4 régions d’Outre-Mer furent créées, avec l’immense erreur de ne pas avoir dissous les départements à la même occasion, entraînant des situations ubuesques comme en Outre-Mer où le département de la Réunion correspond à la région de la Réunion. On pourra également évoquer le cas des 2 Normandie et autres. L’objectif était de permettre au travers de ces échelons de regarder vers l’avenir avec des collectivités publiques pouvant dialoguer au même niveau que leurs homologues européennes, qu’il s’agisse de la Bavière ou de la Catalogne. Les régions avaient et ont pour mission de porter des projets d’envergure, notamment dans le domaine des transports, de l’éducation et du développement économique. Depuis 1984, les régions ont réussi à relever cet objectif même si leur champ de prérogatives a été particulièrement limité, notamment sur l’action locale directe (les régions sont comme les départements des échelons pour « aider à faire faire » avec quelques compétences directes comme l’organisation des TER ou la construction des lycées). Au niveau plus local, suites aux dispositions concernant les grandes agglomérations, la loi Chevènement de 1997 a permis de regrouper à une échelle pertinente (communauté d’agglomération ou de communes), via un levier fiscal incitatif, des communes de plus en plus limitées budgétairement et vouées à coopérer pour porter des projets locaux importants. Le mode de scrutin actuel, indirect, constitue du reste une marche de progrès à franchir (vers un suffrage universel direct pour des échelons communaux et intercommunaux regroupés). La création de ces deux échelons devaient et doit marquer une étape importante en France, à savoir « l’élargissement des communes et départements » à de nouveaux échelons de pertinence et d’efficacité économique, les agglomérations / communautés de communes et régions. Car c’est bien de cela dont il s’agit : la création de nouvelles strates publiques avait pour sens, sans heurter l’extrême sensibilité d’élus locaux, de les conduire à abandonner des échelons devenus techniquement inadaptés. Comment construire une piscine lorsqu’il faudrait l’assumer à 5 communes sur quinze ans ? Comment organiser les transports publics alors que les lignes dépassent les frontières, y compris régionales ? Comment proposer une politique homogène de formation s’il y a 100 décideurs (qui décident tous des mêmes sujets au même moment du reste) ? Comment conduire une politique de développement économique incitative sur une commune périphérique sans avoir à dialoguer avec la commune centre ? Les quatre échelons devaient et doivent être intermédiaires. Ils doivent marquer une transition qui, dans le temps, est somme toute courte. Seul l’Etat est en mesure de franchir l’obstacle des élus pour les amener à avancer dans le sens de l’Histoire et surtout du développement de leurs territoires. Il y a donc deux options possibles : accepter les réalités geo-économiques et aboutir à deux échelons pertinents (agglos/régions, soit 3 000 agglos/communautés de communes et 22+4 régions) avec éventuellement des dispositions à envisager pour les grandes agglomérations (arrondissements à la taille des communes actuelles) tout en sachant que certaines communes sont déjà techniquement pilotées par une seule direction générale agglo-commune ; refuser le sens de l’Histoire et se replier sur des échelons anciens (communes/départements) qui font la part belle au clientélisme local, à l’émiettement financier (100 CG, 36 000 communes), à la prolifération d’élus et surtout à l’incapacité financière d’agir. III. Les régions et les intercommunalités comme échelons pertinents de gouvernance Les capacités financières des échelons territoriaux ne sont pas infinies, et plus l’échelon est petit, plus il consomme proportionnellement en frais de fonctionnement/structures. Une petite ville aura tendance à lever un impôt élevé en valeur absolu alors qu’une région prélèvera une part très réduite, mais sur une assiette très large de population. A cela, viendront bien évidemment s’ajouter des taxes sur les entreprises (TP) et autres, mais dans une proportion « diluée ». Le découpage induit par des petites structures a eu, et aura, toujours une incidence sur l’effet frontière/effet d’aubaine : combien d’entreprises jouant sur la TP se sont placées d’un côté d’une RN et pas de l’autre ? Combien de communes ont joué et jouent bande à part pour conserver les subsides d’une forte implantation d’entreprises au détriment d’agglomérations ? Quelles incidences cet émiettement a-t-il eu sur le développement du territoire ? La réponse est simple : un étalement urbain, une explosion des disparités locales (notamment sur la taxe d’habitation et les taxes foncières) et une absence de cohérence de développement (chacun faisant sa vie dans son bout de territoire, sans forcément aller dans la logique d’ensemble). Il s’agit de comprendre une mécanique globale à l’image de l’Union européenne : Oui, l’Union européenne coûte cher en valeur absolue : mais quel poids en euros par habitants ? Infiniment moins qu’un échelon local, car il n’y a qu’une seule assemblée, qu’un seul centre décisionnel, qu’une seule administration. Le principe reste le même à l’échelle locale : plus la strate regroupe sur une échelle pertinente (l’aire urbaine étant le top pour une intercommunalité) plus elle optimise son action (cela évite deux piscines face à face) et plus elle mutualise ses moyens. C’est donc un choix économique majeur que de définir les BONS échelons. La situation actuelle étant la pire puisqu’elle cumule les échelons et donc les dépenses, sans parler des déperditions de temps et d’énergies pour les financements croisés et autres projets à validation « multiples »... je vous passe les détails. IV. Les départements comme chevaux de Troie pour fusiller les régions Sous prétexte de réforme, englué intellectuellement dans une méthode de pensée d’après-guerre (il suffit de lire H. Guaino pour comprendre dans quel siècle se situe la pensée), le gouvernement souhaite faire passer la logique politique avant la logique de l’intérêt national du pays. L’article publié dans Le Monde le 27 juillet 2008 intitulé « Le rôle des régions et des départements revu en 2009 » est particulièrement éloquent tant les arguments sont faibles. Alain Marleix, le secrétaire d’Etat aux collectivités locales en fait une parfaite illustration avec les élections régionales de 2010 en ligne de mire : "Les conseillers généraux ont une vraie existence sur le terrain (laquelle ?) et sont identifiés par les électeurs (des cantons), ce qui n’est pas le cas des conseillers régionaux (qui sont eux aussi souvent conseillers municipaux)". On imagine qu’avec une argumentation de fond de ce type, sans parler du retour à un mode de scrutin de 1972 où les conseillers généraux siègent aussi en région, la préoccupation est bel et bien le fond des choses... Un recul historique à vertu purement politique ? Ce ne serait malheureusement plus une première. En effet, il semblerait que les intellectuels rédacteurs de la RGPP pensent - après avoir émis l’idée de modifier les modes de scrutin par liste, déjà modifiés en 2004 avec les résultats que l’on connaît - tout simplement supprimer l’échelon régional pour en faire une simple instance de dialogue inter-départementale. A quoi bon alors avoir des rapports si c’est pour agir à l’inverse des préconisations ? Sauvés par la loi « Liberté et responsabilités locales d’août 2004 » (postérieure aux élections), les départements (environ 50 dans chaque « camp ») constituent en effet une base d’élus plus solides pour la droite que les régions. Plus encore, le mode de scrutin uninominal (de « Barons » diront certains) a tendance à permettre, comme pour le Sénat et les communes, une sur-représentation rurale sur des secteurs à moindre poids démographiques : un facteur favorable à l’UMP. L’attribution de missions lisibles comme l’attribution du RMI et la gestion des routes font des départements des échelons conservateurs par essence, il suffit du reste d’y constater la moyenne d’âge des élus. Effectivement, N. Sarkozy n’avait pas besoin de changer les modes de scrutin ; autant carrément supprimer l’échelon régional, trop moderne et surtout trop à gauche, pour revenir à faire déterminer des majorités par des minorités comme les scrutins aux « cantonales » y conduisent. D’ailleurs, quelle pertinence pour ces cantons, n’ayant pour la majorité des cas aucune cohérence géographique ou économique ? Certains m’objecteront « qu’avant » la France fonctionnait bien ( ?) avec les communes et les départements. Ils oublieront d’ajouter qu’à cette époque l’Etat était fort et « providence », que la population française était deux fois moindre et que la taille des agglomérations était divisée par trois. Ils pourront également omettre que les régions n’ont pas été initiées pour le plaisir - notamment sous Giscard et même Pompidou - et qu’elles ont un rôle économique majeur pour les territoires. On pourra aussi me dire que les Français sont attachés à leur plaque d’immatriculation... supprimer l’échelon administratif départemental n’enlève en rien la possibilité de conserver des départements géographiques historiques. Il ne faut pas se tromper d’usage ni de siècle : si la France n’arrive pas à s’adapter à la réalité du XXIe siècle, il ne faudra pas s’étonner de constater un gouffre financier colossal. L’Etat « dotant » les échelons territoriaux pour 50 % de leurs budgets, la dette de l’Etat est aussi la dette répercutée du coût prohibitif des 36 000 communes notamment. V. Un bilan sans appel Le bilan est assez clair, et il y a deux choix possibles : Accepter la modernité et faire le choix d’avoir une administration efficace, à une échelle pertinente, dotée de compétences bordées (un seul décideur, pitié !), d’agents bien rémunérés et permettant à l’Etat de dégager des marges budgétaires. Ce qui revient à limiter à deux échelons (agglos/régions) et à des élections par listes les échelons territoriaux. Ce choix permettrait notamment de mutualiser, optimiser les décisions, renforcer le poids des élus, atteindre des tailles critiques de gestion et d’investissement et au final de se doter d’une administration décentralisée efficace. Cela pourrait également s’accompagner d’une réforme sur le fond de la fiscalité locale. Refuser le réel et faire le choix de revenir a minima cinquante ans en arrière en ne supprimant pas les bons échelons pour revenir à une République émiettée (communes, départements), à une échelle inadaptée, à des modes de scrutin d’un autre temps donnant la part belle aux édiles locaux et aux ententes de circonstances, d’agents mal rémunérés avec des marges de manoeuvre budgétaires limitées. Cela revient également à avoir deux échelons, à établir le même constat et à accompagner de la sauce habituelle de concertation factice et autres expérimentations : mais ce n’est pas le sens du progrès. Ce choix aurait des conséquences lourdes en termes de réorganisation des personnels, de gestion des locaux et des projets avec la scission de dispositifs plutôt que leur mutualisation. La France reviendrait à avoir des échelons émiettés comme la Roumanie, la Moldavie (hors UE) ou... l’Angleterre (hors RU) et ne permettrait toujours pas une réforme de la fiscalité locale sans avoir à créer mécaniquement un territoire à disparités variables (ruraux, urbains, côtiers, montagnards, frontaliers, etc.). En regardant une carte de l’Union européenne, on constate que seule la Grande-Bretagne, pour des raisons d’organisation très différentes de la France, a opté pour une administration émiettée. Elle le paie d’ailleurs cher sur les relations bilatérales (région à région) avec des partenariats très limités. Plutôt que de suivre l’exemple européen, allons-nous une nouvelle fois suivre le mythe anglo-saxon dans une société qui n’a ni les structures ni la souplesse anglo-saxonne ? Cette politique de court terme fera perdre vingt ans à la France : en donnant tous pouvoirs à la féodalité, le gouvernement fait délibérément un choix réactionnaire et rétrograde : s’il était si fier de ses dispositions, pourquoi craindrait-il des élections démocratiques en 2010 ?
Élections européennes de 2009 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Aller à : Navigation, Rechercher Les élections européennes 2009 se dérouleront vers le mois de juin2009. Elles auront pour but d'élire le nouveau parlement européen, et plus de 350 millions d'électeurs seront appelés à voter. Les bureaux de votes seront ouverts à des jours différents selon la tradition du pays, mais les résultats des vingt-sept états-membres ne seront dévoilés que le dimanche soir. Ce sera la septième élection européenne. Le Parlement européen ne devant pas comporter plus de 750 membres, sauf temporairement (comme pour la période 2007-09), le nombre de députés par pays, en fonction du nombre d'habitants, sera revu — la plupart du temps à la baisse.
Objectif de la Chine à l'horizon 2020 : devenir une grande puissance commercialeM. SHI Guangshen, ministre du commerce extérieur et de la coopération économique (MOFTEC), s'adressant le lundi 23 décembre aux participants à la Conférence nationale sur le commerce extérieur, a fait remarquer qu'en 2003 la situation sera globalement favorable au développement du commerce extérieur de la Chine, puisque qu'elle disposera encore d'un espace de croissance. Le statut de la Chine en tant que puissance commerciale, a poursuivi M. SHI, est déjà établi, mais il y a encore beaucoup à faire pour qu'à l'horizon 2020, le volume global de l'import-export soit quadruplé par rapport à l'an 2000. Cet objectif atteint, la Chine aura accédé au rang de grande puissance commerciale. Toujours selon M. SHI, confrontée depuis 1998 à une situation des plus complexe dans le domaine du commerce extérieur et de la coopération économique, la Chine n'a pu enregistrer un développement assez rapide qu'en relevant de graves défis et en surmontant des difficultés de toutes sortes. Le volume global de l'import-export est passé, comme prévu, de 325,2 milliards de USD en 1997 à environ 620 milliards cette année, soit en moyenne une progression de 13,8% par an, croissance supérieure tant aux 6,2 points de pourcentage qu'aux 11,8 points enregistrés respectivement, pour la même période, sous le chapitre de la croissance annuelle moyenne de l'économie nationale et sous celui du commerce mondial. Ainsi, en 2001, la Chine se classait à la sixième place dans le monde dans le domaine du commerce extérieur, alors qu'elle se situait au dixième rang en 1997; et la part occupée dans le commerce mondial par son volume commercial global est passée 2,9% en 1997 à 4,3% en 2001, et l'on prévoit une nouvelle avancée pour cette année. Par ailleurs, on note une amélioration sensible tant dans la composition des importations que dans celles des exportations, avec une croissance régulière des exportations d'articles traditionnels à larges débouchés ainsi que de ceux à grand apport de main-d'oeuvre, et une croissance rapide des produits électromécaniques et de ceux relevant des technologies de pointe, les parts occupées respectivement dans le volume national des exportations étant passées à l'heure actuelle à 50,2% et 20,5% contre 32,5% et 8,9% en 1997. Selon l'exigence de quadruplement, a ajouté M. SHI Guangshen, le volume global de l'import-export chinois devra se chiffrer en 2020 à près de 2 000 milliards de USD, envergure équivalente à celle de la plus grande puissance commerciale du monde actuel. Un objectif très ambitieux, puisque le commerce extérieur n'est pas seulement conditionné par le commerce intérieur, mais aussi par l'évolution de la conjoncture politique et économique internationale, les facteurs variables étant donc très nombreux. Toutefois, a-t-il conclu, un tel objectif peut être atteint, si nous faisons notre maximum. Sous Cette Rubrique Développement rapide du secteur d'immobilier en Chine La Chine établit des lois pour protéger davantage les biens privés La Chine baissera davantage les taxes d'importation en 2003 Shanghai va investir 200 milliards de yuans dans la construction d'une base de nouveaux matériaux dans 10 ans à venir De nouveaux gisements de pétrole découverts près du champ pétrolifère de Daqing Shanghai en tête des villes chinoises en ce qui concerne la "capacité réelle de développement" La Chine sera le plus idéal pays d'investissement du monde dans les 20 à 30 ans à venir
Chine/Gansu: ouverture d'un congrès international sur l'énergie solaire Un congrès international sur l'énergie solaire pratique et la " Coopération Sud-Sud" s'est ouvert samedi à Lanzhou, chef-lieu de la province du Gansu, au nord-ouest de la Chine. Des participants en provenance de 41 pays et de l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) y ont assisté. Ils ont partagé leurs expériences et leurs opinions à propos des technologies solaires, du développement des produits concernés, de la vulgarisation et des transferts techniques, parmi d'autres sujets. "Je souhaite que le congrès aide à réduire les écarts techniques dans le monde et offre de nouvelles opportunités commerciales, " a indiqué Liang Dan, directrice de la branche de la promotion et de la technologie industrielle de l'ONUDI. Selon Zhao Yongli, assistant du directeur du Centre international de la Chine pour les échanges techniques et économiques, la Coopération Sud-Sud est une façon importante de vulgariser l'énergie solaire. La loi relative à l'énergie renouvelable a été votée en février 2005 par l'Assemblée populaire nationale, législature suprême de la Chine. La Chine considère depuis lors les énergies renouvelables, dont l'énergie solaire, comme un élément essentiel de sa stratégie énergétique. L'énergie renouvelable représentera plus de 10% de la consommation d'énergie primaire en Chine en 2020, l'énergie solaire devenant la source d'énergie renouvelable la plus importante, suivie de près par l'énergie hydroélectrique. Source: xinhua
Beijing : la restriction sur la circulation permet de diminuer de 20% les émissions
2008-07-25 16:39:10
BEIJING, 25 juillet (Xinhua) -- Les polluants atmosphériques majeurs comme le monoxyde de carbone, le dioxyde de carbone et les particules émises par les véhicules ont chuté de 20% à Beijing grâce à la restriction de la circulation des véhicules de la ville pour les Jeux olympiques (JO), a annoncé Du Shaozhong, directeur adjoint du Bureau municipal de la Protection environnementale de Beijing, lors d'une conférence de presse vendredi à Beijing. 22 de 25 premiers jours de juillet ont atteint le niveau de "ciel bleu" ou jour avec bonne qualité de l'air, a dit Du. Il a ajouté que Beijing était totalement capable de maintenir l'air propre durant les JO. Beijing a retiré 300 000 voitures à haute émission de la circulation début juillet. Depuis le 20 juillet, les voitures privées doivent pratiquer la circulation alternée selon le nombre pair ou impair de leur plaque d'immatriculation en vue d'améliorer la qualité de l'air et d'alléger l'encombrement. La circulation sur les routes principales à Beijing a diminué de 25% du 20 au 24 juillet par rapport à celle avant le 1er juillet. Du 23 juin au 19 juillet, seule la moitié des 22 800 véhicules utilisés par les organes du parti, les gouvernements et les institutions publiques sous l'administration de Beijing avaient l'autorisation de circuler sur les routes. Beijing a eu 145 jours de "ciel bleu" cette année, 15 jours de plus que pendant la même période de l'année dernière, selon Du. Il a reconnu que la qualité de l'air à Beijing pourrait être affectée par les régions voisines, indiquant que les autorités environnementales avaient pris en considération cette possibilité et établi un plan conjoint avec six provinces et villes autour de Beijing pour améliorer la qualité de l'air. Du a révélé que Beijing avait adopté plus de 200 mesures depuis 1998 pour améliorer la qualité de l'air de la ville, parmi lesquelles la plupart resteront en vigueur après les JO.
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