阿尔及利亚合作的欧洲商业中心的海军拱门

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指出了圖像訪問阿爾及爾規劃信息

羅伯特·舒曼先生和歐洲的“歐洲不會在一夜之間發生,也順利......”

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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"
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Monday, August 25, 2008

Afrique Environnement



Environnement : peu d'investissement dans les projets africains
Publié le lundi 25 août 2008
La conférence sur la climat de l'ONU qui se déroule en ce moment au Ghana a fait ressortir le peu d'investissements dans des projets respectueux de l'environnement en Afrique, de la part des pays développés.
Dans le cadre du protocole de Kyoto, le mécanisme de développement propre (MDP) permet aux pays développés d'atteindre leurs objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre, en investissant dans des projets "propres" au sein de pays en voie de développement.
Le nombre de projets dans le cadre des MDP reste très faible en Afrique : le continent a bénéficié de 378 millions de dollars d'investissements au cours des dix-sept dernières années, sur 2,4 milliards de dollars au total investis dans le monde.
La Chine ou l'Inde, qui bénéficient d'un taux de développement plus rapide et d'une plus grande stabilité, semblent être privilégiés par les investisseurs.
"De nombreux négociateurs africains ont fait part de leur inquiétude sur le fait que l'actuel système n'apporte que peu de vrais bénéfices pour le continent", a déclaré à l'AFP Yvo de Boer, secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC).
La conférence mondiale sur le climat à Accra, qui représente une des conférence de préparation de l'après-protocole de Kyoto, s'achèvera mercredi, et devra offrir des éléments de réponse aux pays africains.

Thursday, August 21, 2008

Climat Conférence après Kyoto


Info Le point
Nouvelle conférence sur le climat pour définir l'après-Kyoto
Un millier de délégués représentant plus de 150 pays se réunissent à partir de ce jeudi au Ghana pour tenter d'accélérer les négociations sur un traité censé succéder au protocole de Kyoto et relancer la lutte contre le changement climatique. Un millier de délégués représentant plus de 150 pays se réunissent à partir de ce jeudi au Ghana pour tenter d'accélérer les négociations sur un traité censé succéder au protocole de Kyoto et relancer la lutte contre le changement climatique.
Il s'agit de la troisième conférence depuis que 190 pays sont convenus en décembre, à Bali, de définir d'ici la fin 2009 un traité censé prendre la relève du protocole de Kyoto, qui expire en 2012.
Ce texte, signé par tous les pays industrialisés à l'exception des Etats-Unis, prévoyait une réduction de 5% des émissions de gaz à effet de serre (GES) par rapport à leur niveau de 1990.
Les partisans du protocole s'étaient également entendus pour porter cet objectif entre 25% et 40% d'ici 2020, mais celui-ci n'a pas été adopté formellement.
"Bien que des progrès aient été réalisés, il ne fait aucun doute que nous devons avancer rapidement", a souligné Yvo de Boer, responsable à l'Onu de la Convention sur le changement climatique.
Pendant une semaine, les délégués réunis à Accra devront s'attacher à réduire les divergences de vues entre les pays industrialisés et les Etats en développement sur les objectifs de réduction des émissions de GES.
Ils devraient également réfléchir à de nouvelles initiatives, comme la lutte contre la déforestation. Selon des études des Nations unies, la destruction des forêts tropicales compte pour 20% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde.
De nombreux pays sont encore réticents à s'engager, en raison du ralentissement économique, de l'échec des négociations à l'Organisation mondiale du commerce et des incertitudes entourant l'identité du prochain président américain, bien que les candidats démocrate Barack Obama et républicain John McCain aient annoncé leur intention de fixer des objectifs élevés.
Les dirigeants de l'Union européenne ont décidé l'année dernière de réduire leurs émissions de 20% d'ici 2020 par rapport au niveau de 1990, et de porter ce taux à 30% si d'autres Etats faisaient de même, et que le Japon a fixé un objectif de réduction de 60 à 80% d'ici 2050 par rapport à 2005.
Mais les Etats-Unis n'ont pas établi de plan, et le président George Bush a estimé que les émissions de GES connaîtront leur pic en 2025.
SYSTÈME DE CRÉDIT COMPENSATOIRE
La Chine s'est seulement engagée à réduire sa consommation d'énergie par rapport à son Produit intérieur brut, ce qui freinerait mais ne réduirait pas les émissions de GES.
L'Inde entend se consacrer à son développement économique et à la lutte contre la pauvreté, alors que le Brésil poursuit un important programme de développement des biocarburants.
"Le processus politique a souffert d'un retard important et se trouve bien éloigné de là où il devrait en être", estime l'organisation de protection de la nature WWF.
Les discussions d'Accra sont donc une première occasion d'aplanir les tensions suscitées par les déclarations du Groupe des Huit, qui s'était entendu en juillet dernier sur un objectif de réduction de 50% des GES d'ici 2050, mais avait souligné ne pas pouvoir l'atteindre seul.
Les principales puissances industrielles émergentes, dont la Chine et l'Inde, avaient refusé de s'engager sur des objectifs à l'horizon 2050, expliquant que les puissances les plus anciennes, responsables des pollutions depuis la Révolution industrielle, devaient d'abord se fixer des objectifs plus contraignants.
Ce délai d'une quarantaine d'années est également jugé trop éloigné dans le temps pour être efficace par le Norvégien Harald Dovland, qui présidera la conférence d'Accra.
"Cela ne nous donne pas une base réelle pour un accord", a-t-il expliqué. Beaucoup de parties prenantes souhaitent que les objectifs soient d'abord fixés à l'horizon 2020, plus à même d'influencer les investissements en matière énergétique.
Pour convaincre leurs partenaires de s'engager sur des objectifs contraignants, les pays industrialisés pourraient proposer un système de crédit compensatoire aux pays en développement luttant contre la déforestation.
Dans une note adressée aux négociateurs présents à Accra, la Nouvelle-Zélande estime que 10 à 40 milliards de dollars annuels seraient nécessaires pour financer ces mesures incitatives.
Certaines organisations de défense de l'environnement redoutent en outre qu'un projet de ce type ne soit détourné par les pays les plus riches, qui pourraient acheter de vastes surfaces de forêts tropicales afin de faire diminuer leurs taux global d'émissions de gaz à effet de serre.
Version française Grégory Blachier

Turquie vers le nucléaire





La Turquie avance vers le nucléaire civil
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55709.htm
Un appel d'offres concernant la construction et l'exploitation de la première centrale nucléaire de Turquie, qui doit être construite à Akkuyu, dans la province de Mersin (Sud-Est), sera lancé le 24 septembre prochain.
Le cahier des charges techniques, réalisé par le Conseil Turc à l'Energie Atomique (TAEK), qui devait être rendu public en février dernier et a finalement été rendu disponible à la fin du mois de juin.
A ce jour, huit entreprises ou consortiums ont acheté le document technique afin de participer à l'appel d'offres en septembre prochain :
le groupe turc Sabanci Holding, qui est en pourparlers pour une collaboration avec General Electric, Hitachi Nuclear Energy et la société espagnole d'électricité Iberdrola SA ;
la société chinoise China Nuclear Power Components ;
la société néerlandaise Unit Investment N.V. ;
le canadien AECL (Atomic Energy Of Canada Limited) ;
le japonais Itochu Corporation ;
le français Vinci Construction Grand Projets avec le Franco-belge Suez Tractebel ;
le russe Atostroyexport ;
le turco-sud coréen KEPCO.
Le contrat prévoit la construction et l'exploitation d'une centrale nucléaire d'une capacité comprise entre 3000 et 5000 mégawatts. La Société Nationale Turque de Distribution d'Electricité (TETAS) signera ainsi avec le meilleur offreur un contrat d'approvisionnement en énergie d'une durée de 15 ans.
Le ministre turc de l'énergie, Himli Güler, a par ailleurs annoncé en juin dernier que le site de Inceburun, dans la province de Sinop (Nord du pays, au bord de la mer Noire), a été retenu pour y construire la deuxième centrale nucléaire turque. L'appel d'offres concernant cette centrale devrait être publié avant la fin de l'année.
Un précédent projet de centrale nucléaire en Turquie avait été contraint à l'abandon, et le gouvernement avait retiré son appel d'offre. C'est la cinquième tentative d'Ankara dans ce domaine et de nombreux opposants au nucléaire, comme Greenpeace Turquie, continuent de faire pression sur les entreprises turques qui souhaiteraient s'investir dans le nucléaire.
Dans ce contexte, l'entreprise turque Zorlu Enerji, du groupe Zorlu, a annoncé récemment avoir renoncé à concourir en raison d'un cahier des charges environnemental insuffisant. Le groupe Zorlu, qui n'exploitait pour l'instant que des centrales à gaz, a par ailleurs annoncé de gros investissements pour les cinq années à venir dans l'hydraulique, l'éolien et la géothermique.
[src : BE Turquie numéro 9 (19/08/2008) - Ambassade de France en Turquie / ADIT - http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/55709.htm]

Wednesday, August 20, 2008

Google Energie





Google cherche l'énergie en sous-sol
(src : Google)
Dans le cadre de son programme de recherche pour développer des énergies renouvelables moins chères que le charbon, Google a annoncé hier un investissement de 10 millions d'euros consacré aux Systèmes Géothermiques Renforcés (EGS)
Google annonce par la même occasion le financement de la recherche d'une nouvelle génération de cartographie des ressources géothermiques, des outils d'information sur les EGS et un agenda politique concernant cette énergie.
Les EGS promettent d'exploiter la géothermie à une nouvelle échelle. Les approches traditionnelle pour capter les sources de chaleur souterraines se concentrent sur la recherche de poches naturelles de vapeur et d'eau chaude. Les procédés EGS, eux, reproduisent ces conditions en fracturant les roches chaudes. En faisant circuler de l'eau dans les circuits, on utilise la vapeur produite pour alimenter des turbines conventionnelles.
Une récente étude du MIT estime que 2% de la chaleur contenue dans le sous-sol des Etats-Unis entre 3 et 10 km de profondeur (Une profondeur accessible avec les technologies actuelles) est susceptible de répondre à 2 500 fois les besoins annuels en énergie des Etats-Unis.
"[Les EGS] ont le potentiel de délivrer des vastes quantités d'énergie 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, et peuvent s'appliquer n'importe où dans le monde. Ils peuvent être un complément parfait pour les sources intermittentes que sont le solaire et le vent." explique Dan Reicher, directeur des initiatives Climat et Energie de la fondation Google.org.
A travers son programme de recherche "Energies renouvelables moins chères que le charbon", Google a l'ambition de développer 1 GW de capacité issue d'énergie renouvelable, soit l'équivalent de la consommation d'une ville de la taille de san Francisco. Et le groupe entend atteindre cet objectif dans moins de 10 ans.
L'investissement dans les EGS se concentrera sur 2 entreprises et une université.
AltaRock Energy, Inc. : $6.25 millions d'investissement seront consacrés au développement des technologies innovantes, aifn de réduire les coûts et améliorer les performances des EGS. http://www.altarockenergy.com/ .
Potter Drilling, Inc.: $4 millions de dollars, en deux tranches, serviront à développer de nouvelles approches pour réduire les coûts et élargir la gamme de profondeur de forage des roches dures. Un élément clé pour le déploiement à grande échelle des procédés géothermiques. http://www.potterdrilling.com/.
Southern Methodist University Geothermal Lab: $489,521 subventionneront un programme pour mieux comprendre la répartition et la taille des sources géothermiques, et de mettre à jour la cartographie de l'Amérique du Nord. http://www.smu.edu/geothermal/
"Les Systèmes Géothermiques Renforcés sont essentiels à la production d'une électricité propre, dont nous avons besoin pour résoudre la crise du climat. Mais ils n'ont pas reçu l'attention qu'ils méritent. C'est pourquoi nous faisons pression pour obtenir un meilleur soutien du gouvernement et davantage d'investissements du secteur privé",a déclaré Reicher "Nous croyons fortement en ces technologies, et nous recherchons de nouvelles opportunités" a-t-il ajouté.

Tuesday, August 19, 2008

Chine création ministère de l' Environnement



Création d'un ministère de l'Environnement en ChineSelon un projet soumis par le gouvernement chinois et qui devait être discuté mardi à l'Assemblée nationale populaire (ANP, Parlement), l'Agence de l'environnement (SEPA) sera élevée au rang de ministère, a annoncé l'agence Chine Nouvelle. Après 30 ans de forte croissance, la protection de l'environnement est l'un des principaux défis à relever pour la Chine, l'un des pays les plus pollueurs de la planète.Outre celui de l'Environnement, les quatre autres "super-ministères" sont l'Industrie et l'Information, les Ressources humaines et la Sécurité sociale, le Logement et la Construction rurale et urbaine et le Transport. Cette réorganisation était attendue, le Parti communiste chinois (PCC) au pouvoir travaillant sur cette réforme depuis plusieurs mois. La Chine cherche à mettre en place un gouvernement et une administration en phase avec son développement économique et social rapide. "L'administration et les services publics sont trop faibles. La structure du gouvernement n'est pas rationnelle", a déclaré le secrétaire du Cabinet, Hua Jianmin, en présentant le projet devant les délégués du Parlement. "Les pouvoirs sont souvent trop concentrés et insuffisamment contrôlés. Les abus d'autorités et la corruption perdurent", a-t-il ajouté, cité par Chine Nouvelle. L'ANP, dont le rôle est essentiellement d'entériner les décisions du PCC, devrait adopter ces réformes avant la fin de sa session annuelle, mardi prochain.

Energie Pétrole News York





Le pétrole en baisse à New York, la tempête Fay a épargné la production
Il y a 4 heures
NEW YORK (AFP) — Les prix du pétrole baissaient mardi à l'ouverture des échanges à New York, les craintes d'un essoufflement de la demande à la suite du ralentissement économique reprenant le dessus alors que la tempête Fay a épargné la production pétrolière du golfe du Mexique.
Vers 13H05 GMT, le baril de "light sweet crude" pour livraison en septembre valait 112,37 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), en baisse de 50 cents par rapport à son cours de clôture lundi.
"Il semble que la tempête qui menaçait le golfe du Mexique n'ait pas perturbé la production de pétrole ni de gaz naturel, facteur qui soutenait les cours auparavant", a expliqué Bart Melek, de BMO Capital Markets.
La tempête tropicale Fay, accompagnée de pluies diluviennes et de vents forts, a touché mardi matin les côtes de la Floride, au sud-est des Etats-Unis, sans se transformer en ouragan, selon le Centre américain des ouragans (NHC).
En se cantonnant à l'est du golfe du Mexique, qui concentre un quart des installations pétrolières américaines, elle a en outre épargné les plate-formes off-shore.
La promesse par Moscou d'un retrait de ses troupes de Géorgie et l'annonce par la Turquie de la réouverture prochaine de l'oléoduc stratégique Bakou-Tbilissi-Ceyhan (BTC) ont également rassuré les investisseurs quant aux acheminements des hydrocarbures de la mer Caspienne vers l'Europe.
"Dans le même temps, l'économie mondiale ralentit, ce qui affecte la demande. Aux Etats-Unis, il est désormais clair que la consommation a baissé", a ajouté M. Melek.
Selon les département américain à l'Energie, la consommation de produits pétroliers, lors des quatre dernières semaines, était de 2,8% inférieure à son niveau de l'année précédente aux Etats-Unis, premier consommateur mondial d'or noir. La consommation d'essence a quant à elle baissé de 1,9%.
Et le marché s'inquiète désormais des conséquences des difficultés économiques de l'Europe et du Japon, au bord de la récession.

Youtube Imagine John Lennon


Monday, August 18, 2008

Chine exposition 2010 Shanghai





L’exposition 2010 est une chance pour la Chine »
Xu Bo, diplomate en charge des relations extérieures de l'Expo universelle de Shanghai depuis 2004. Propos recueillis par Anne Garrigue.
Connexions : A-t-il été difficile de remporter la nomination de Shanghai ?Xu Bo : J'ai préparé la campagne avec mon ambassadeur Wu Jiamin. J'étais dans les coulisses au moment de la victoire. Nous avons gagné un combat difficile. Moscou était candidate, le Mexique, la Pologne, la Corée du Sud aussi. Nos alliés ont été les pays du Tiers Monde et un certain nombre de pays européens. La France nous a soutenu via le fameux Club, composés par une dizaine d'entreprises françaises, notamment Carrefour, Veolia, etc. Ce qui nous a permis de gagner, c'est le statut international de la Chine, son économie émergente. Voter pour la Chine, c'était soutenir son ouverture, son internationalisation, favoriser une Chine plus transparente, lui offrir l'occasion de construire une image de Chine nouvelle et moderne.
C. : La Chine a obtenu à la fois les JO et l'exposition universelle. Ce doublon a-t-il posé problème ?X. B. : Non, car il y a des précédents dans le passé. Déjà au Japon, il y avait eu un doublon avec les JO en 1964 et l'exposition universelle d'Osaka en 1970. Même chose pour la Corée avec Séoul et Taejon et l'Espagne avec Séville et Barcelone. L'argument décisif a été l'ouverture de la Chine et le thème retenu — la ville — qui reflète la réalité du monde en développement actuel. D'après l'ONU, en 2007, la moitié de l'humanité vit en ville et l'urbanisation pose des problèmes d'environnement. Shanghai est comme une fenêtre ouverte sur la Chine et illustre bien ce mouvement d'urbanisation. Simple village de pêcheurs en 1843, elle est devenue, en un siècle et demi, une mégalopole de 20 millions d'habitants. Notre Expo est devenue très emblématique, touchant ainsi un défi bien réel de l'humanité.
C. : Combien de pays participent ?X. B : A ce jour, nous avons recruté 173 pays et 33 organisations internationales. C'est du jamais vu dans l'histoire. Hanovre avaient attiré 155 pays et 17 organisations.
C. : L'exposition est–elle destinée avant tout au public chinois ? Attendez-vous beaucoup de visiteurs étrangers ?X. B. : C'est effectivement une Expo chinoise, la majorité des visiteurs seront chinois. Mais nous attendonsquand même entre 5 et 10% de visiteurs étrangers. Tous les ans, 5 millions d'étrangers visitent Shanghai. Avec l'Expo, nous accueillerons en particulier beaucoup de visiteurs asiatiques, notamment les Japonais et les Coréens, très friands d'expositions universelles.
C. : Quel message voulez vous faire passer à travers l'exposition?X. B. : L'exposition est une plate-forme de coopération internationale, à même de véhiculer l'image d'une Chine ouverte et moderne. Nous voulons utiliser cette Expo pour faire un bilan du mouvement d'urbanisation mondiale et essayer de lui donner une sorte d'orientation. Les Chinois vont en bénéficier énormément, et le reste du monde aussi, car nous sommes tous confrontés à ces défis. Par conséquent, le message de cette Expo est simple, il faut modifier notre façon de construire la ville, il faut éduquer nos consommateurs en leur disant que nos ressources planétaires ne sont pas prêtes à soutenir tant de monde en ville…
C. : Les Shanghaïens sont-ils prêts ?X. B. : Oui, ils sont prêts depuis la victoire du 3 décembre 2002. Pour eux, c'est un immense bonheur. A Shanghai, presque toutes les institutions municipales sont partie prenante dans l'organisation de l'Expo, via la Commmision Exécutive de l'Expo 2010. Le 8 septembre prochain démarre le compte à rebours : moins 600 jours. Nous mobiliserons la population pour lui faire comprendre que l'élégance, la politesse et la propreté sont dorénavant l'image de Chine.
C : Pouvez-vous nous parler du site de l'exposition et de son budget ?X. B. : Ce site est en plein centre-ville, de part et d'autre de la rivière Huangpu. 18 000 familles y vivaient. 50 000 ouvriers y travaillaient dans 272 usines d'industries lourdes (aciéries, chantiers navals, des industries polluantes). Ces familles ont été relogées. Elles ont pu passer de logement de 30 m2 à des logements de 80 m2 à moins à 20 km du centre ville. Shanghai se veut une ville de services. Grâce à l'Expo, entre autres, les lignes de métro vont dépasser les 400 kilomètres en 2010, et la capacité d'accueil de l'aéroport de Pudong et de Hongqiao va atteindre 87 millions de personnes par an. Quant au budget de l'Expo, il s'élève grosso modo à 2 milliards d'euros pour le déménagement et la construction et 1 milliard pour l'opération. Si vous comptez les investissement en dehors du parc de l'Expo, notamment dans les infrastructures de la ville, le budget sera 10 fois plus important.
C : Ces pavillons vont-ils subsister après l'exposition ?X. B. : Les règlements internationaux du BIE interdisent de conserver les pavillons. Toutefois un certains nombre de pays (France, Italie…) ont manifesté le souhait que leur pavillon soit pérennisé. Nous avons pris note de ces demandes. L'usage de ces pavilions après l'Expo fera l'objet de négociations bilatérales, dont la compétence relève d'autres autorités que celles en charge de l'organisation de l'Expo. Mais nous pensons qu'il est toujours bon de garder certains pavilions sur le site, en mémoire d'un rendez-vous planétaire à Shanghai. Nous envisageons donc une solution qui consisterait à faire choisir aux visiteurs et à un jury spécial les meilleurs pavillons destinés à rester. Si 70 millions de visiteurs le veulent et si le jury international y est favorable, certains des pavillons primés resteront chez nous. Ces pavillons doivent être fabriqués à partir de matériaux qui respectent l'environnement et avoir un caractère national prononcé. Par ailleurs, ils seront déplacés pour être concentrés autour de la zone A qui abritent les grands pavillons asiatiques. Ce déplacement sera nécessaire pour optimiser l'utilisation de l'espace après l'Expo.
C. : Que deviendra globalement le site après l'exposition ?X. B. : L'exposition universelle est une étape dans une politique globale d'urbanisation. Shanghai sera sans aucun doute une ville culturelle de premier rang. Le Bund, symbole du Shanghai des années 30, la Tour de la Perle d'Orient, symbole de l'ouverture et de la réforme de Shanghai à la fin du XXe siècle, seront remplaçés. Le site de l'Expo deviendra l'emblème du Shanghai du XXIe siècle. Ici, sur 528 hectares, le long le fleuve Huangpu, vous trouverez un tiers d'espaces verts et le plus grand centre artistique de Chine, voire de l'Asie. « Une meilleure ville, pour meilleure vie ».
Pour en savoir plus sur ce dossier, le site de la Chambre de Commerce : http://localsite.ccifc.org/fr/publications/connexions.php

2 - L’université de Tongji, laboratoire urbain
Shanghai

International Herald Tribune News


The washington Post wikipedia



This article is about the newspaper. For the John Phillip Sousa march, see The Washington Post (march).

The paper's January 9, 2008 front page
Type
Daily newspaper
Format
Broadsheet
Owner
Washington Post Company
Publisher
Katharine Weymouth
Editor
Leonard Downie, Jr.
Founded
1877
Headquarters
1150 15th Street, N.W.Washington, D.C.,United States
Circulation
673,180 Daily890,163 Sunday[1]
ISSN
0190-8286
Website: washingtonpost.com
The Washington Post is the largest and most circulated newspaper in Washington, D.C. It is also one of the city's oldest papers, having been founded in 1877. It is widely considered to be one of the most important newspapers in the United States due to its particular emphasis on national politics, and international affairs, and being a newspaper of record. Even so, the Washington Post has always been defined as a local paper and does not print any editions for the outside region beyond that of the D.C., Maryland, or Virginia editions for daily circulation.
The newspaper is published as a broadsheet, with photographs printed both in color as well as in black and white. Weekday printings including the main section, which includes the first page, national, international news, politics, and editorials and opinions, followed by the sections on local news (Metro), sports, business, style (feature writing on pop culture, politics, fine and performing arts, film, fashion, and gossip), and classifieds.
The Sunday edition includes the weekday sections as well as several weekly sections: Outlook (opinion and editorials), Style & Arts, Sunday Source, Travel, Bookworld, Comics, TV Week, and the Washington Post Magazine. Beyond the newspaper, the Washington Post under its parent company of The Washington Post Company is involved with the Washingtonpost.Newsweek Interactive and Washingtonpost.com.
In 1889, John Phillip Sousa composed on behalf of the newspaper "The Washington Post March", which later became one of the most famous march music pieces. Perhaps the most notable incident in the Post's history was when, in the early 1970s, reporters Bob Woodward and Carl Bernstein began the media's investigation of Watergate. This contributed greatly to the resignation of President Richard Nixon. In later years, its investigative reporting has led to increased review of the Walter Reed Army Medical Center.
Since Leonard Downie, Jr. was named executive editor in 1991, the Post has won 25 Pulitzer Prizes, more than half of the paper's total collection of 47 Pulitzers awarded. This includes six separate Pulitzers given in 2008, the second-highest record of Pulitzers ever given to a single newspaper in one year.[2] The Post has also received 18 Nieman Fellowships, and 368 White House News Photographers Association awards, among others.

JO Google


Saturday, August 16, 2008

Procol Haroum 1967 Youtube


Euromed Audiovisuel II


Administration Américaine energie solaire





L'administration américaine finance l'intégration du solaire
(src : DOE, Cleantech)
Le Département américain à l'Energie (DOE) compte investir 24 millions de dollars pour améliorer l'intégration de l'énergie solaire photovoltaïque dans les réseaux électriques.
12 partenaires industriels seront subventionnés dans le cadre du Solar Energy Grid Integration Systems (SEGIS). Ils devront notamment se pencher sur des projets de contrôle intelligent des réseaux qui permettront d'adapter les systèmes de contrôles conventionnels aux spécificités de l'énergie solaire. Les systèmes devront mieux prendre en compte les variations de production, pour stabiliser l'impact de l'énergie solaire sur les réseaux.
L'un des projets du programme consiste également à améliorer les interactions entre la production d'énergie solaire et les véhicules hybrides.
Ces projets s'inscrivent dans le programme Solar America Initiative, qui ambitionne de rendre l'énergie solaire compétitive avec les modes de production d'électricité conventionnels d'ici 2015.
La fondation du programme SEGIS a été annoncée en novembre 2007. Depuis, les entreprises participantes se sont attelées à développer des systèmes de contrôle intelligents pour intégrer le solaire aux systèmes de gestion de l'énergie. Le contrôle intelligent de la production d'énergie solaire est présenté comme une étape cruciale pour la mise au point de maisons, de bâtiments et de communautés énergétiquement neutre.
Parmi les entreprises sélectionnées : Bethel, Apollo Solar (Connecticut), Hauppauge, Nextek Power Systems (New York) and SmartSpark Energy Systems in Champaign, Ill. The DOE's Sandia National Laboratories in Albuquerque (Nouveau Mexique).

éoliennes RAF








-U : Les éoliennes dans le collimateur de la RAF
(src : AFP, Business Green)
Depuis le début de l'année, une vingtaine de projets éoliens ont été bloqués par le ministère de la Défense britannique. Les associations dénoncent une contradiction avec les objectifs du gouvernement en matière d'éolien.
Entre janvier et juillet 2008, 17 projets de parcs éoliens se sont vu opposer un veto du ministère de la Défense, soit 4 GW sur 7 GW de projets déposés. Le motif ? La gêne que peuvent représenter les éoliennes pour l'aviation, perturbant les signaux radars.
L'Association BWEA, qui représente les intérêts de l'industrie éolienne britannique dénonce la contradiction entre la multiplication de ces refus et les ambitions du gouvernement en matière de développement éolien. Le Royaume-Uni compte en effet construire 7 000 éoliennes d'ici 2020 : 4 000 sur terre et 3 000 en mer, pour parvenir à un objectif de 15 % de l'énergie consommée provenant de ressources renouvelables. 100 milliards de livres d'investissement sont envisagés.
Or, en 2007, 44 projets ont été refusés, contre 80 menés à terme.
Tous les yeux sont désormais tournés vers le Ministère de la défense, alors qu'un projet de grande envergure a été approuvé par le gouvernement.
Le parc de Sherigham Shoal, qui offrira 315 MW de capacité via 108 turbines fait en effet figure de test de la détermination du ministère de la Défense. La réaction de la Royal Air Force est attendue, alors le gouvernement a jugé acceptables les solutions proposées par le projet.

Friday, August 15, 2008

Wikipedia nouveau wikia Search

Le fondateur de Wikipédia lance un nouveau moteur de recherche

Canoë
Yvon Laporte
15/08/2008 04h00 - Mise à jour 15/08/2008 08h35

Internet - Le fondateur de Wikipédia lance un nouveau moteur de recherche


Jimmy Wales, le fondateur de l’encyclopédie en ligne Wikipédia, vient de lancer un autre projet. Il s’est mis dans la tête d’offrir un nouveau moteur de recherche, le «Wikia Search», afin de donner aux internautes une alternative aux trois géants de ce secteur que sont Google, Yahoo! et Microsoft.

Dans une entrevue à l’AFP, M. Wales explique que 90% des recherches effectuées sur le Web aux États-Unis le sont avec l’un des trois moteurs cités plus haut et que la domination de ces trois sociétés commence à en inquiéter plusieurs.

À son avis, il n’est pas sain de constater que la presque totalité des recherches passe essentiellement par trois voies: «Beaucoup de gens se disent préoccupés par cette situation. Souhaitons-nous vraiment que tout le trafic et tout le contrôle éditorial sur le Net passent par le système d’une, deux ou trois compagnies?»

Le nouveau moteur de recherche de Jimmy Wales est basé sur quatre principes fondamentaux: la transparence, la communauté, la qualité et la protection de la vie privée. Il s’agit des mêmes principes sur lesquels a été construite l’encyclopédie qui compte maintenant 11 millions d’articles dans 200 langues.

«Avec Wikia Search, les gens peuvent collaborer d’une manière active sur un système libre et ouvert. La plupart des moteurs de recherches existants sont des systèmes fermés. Personne n’a aucune idée de la façon dont ils fonctionnent et de la façon dont les réponses aux recherches sont classées».

Le nouvel outil est déjà fonctionnel

Il y a quelques jours, un autre moteur de recherche a été lancé. Il porte le nom de «Cuil». Son équipe de direction est composée de plusieurs ex-employés de Google. Ce moteur de recherche est disponible depuis moins d’un mois que déjà, il se targue d’être le moteur de recherche le plus complet au monde.

Wednesday, August 13, 2008

Eco Electrique Electronique matériels





Conformément au décret N°2005-829 du 20 juillet 2005, inmac wstore Services propose un ensemble de prestations liées aux obligations de ses clients en matière d'élimination de Déchets d'Equipements Electriques et Electroniques (DEEE) en fin de vie.
Concrètement, inmac wstore prend en charge pour vous, la collecte des matériels (PC, écrans, imprimantes...) sur vos différents sites, l'éventuelle fourniture de contenants, la manutention des matériels à détruire, le transport vers les centres de destruction agréés, la fourniture des documents légaux, l'organisation globale de l'opération. Le coût de la destruction est fonction du type de matériel, de son poids, de la distance entre le site de collecte et le site de destruction.
inmac wstore a développé une offre exclusive et innovante pour vous accompagner sur vos obligations de recyclage : la ValoBox. Solution simple et packagée, la ValoBox vous permet rapidement de régulariser la gestion de vos déchets DEEE.