Développement dans la wilaya de BouiraDes perspectives prometteuses
Il faut dire que le wali de Bouira, Ali Bouguerra, a sillonné le territoire de la wilaya plusieurs fois, plus de 40 visites de travail et d’inspection de projets de différents secteurs d’activité lancés ou à lancer, en plus des 25 visites ministérielles, dont celle du ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Djiar, pour le lancement de plusieurs projets inhérents à son secteur dont le centre de sport d’envergure internationale qui sera installé au niveau du barrage Tilesdit. Le ministre de l’Energie et des Mines Chekib Khellil qui s’est rendu au champ pétrolier Oued Guetrini a Dirah, qui dispose de 188 puits dont seulement 12 sont exploités, il est prévu 30 millions de dollars pour toute la «Hodna est, dont fait partie Oued Guetrini pour l’utilisation de nouvelles technologies d’exploitation pour les besoins de prospection et exploration de nouveaux puits ainsi que le lancement de nouvelles centrales électriques. Le ministre de l’Agriculture, celui de l’Enseignement supérieur qe sont également rensus à Bouira au lancement du nouveau pôle universitaire de 10 000 places pédagogiques qui sera implanté sur un espace de 50 ha, un véritable «pôle scientifique intégré» où seront enseignées les matières relatives à la spécificité et caractéristiques de la région, des spécialités en science de la terre, les sciences de la mer, climatologie, l’agriculture. Le ministre de la Justice a effectué de multiples visites de travail et d’inspection, celui des Travaux publics Amar Ghoul qui suit de près l’un des plus importants projet du pays qu’est l’autoroute Est- Ouest qui traverse le territoire de la wilaya sur 101 km dont 90 sont déjà ouverts à la circulation. Désormais, la wilaya de Bouira est une banlieue d’Alger et un carrefour entre la capitale est les wilayas de l’Est et le sud-est du pays. Cela dit, l’espoir est désormais permis, le citoyen de la wilaya commence à croire en la machine du développement enfin mise sur les rails, l’impact du changement est visible, il suffit de faire un tour au chef-lieu de la wilaya ou les autres daïras et communes pour se rendre compte du changement. Revêtement des routes et trottoirs, le grand boulevard de la ville de Bouira, l’ouverture et l’extension de plusieurs rues, la relance de la zone industrielle de Oued El Berdi, et autres zones d’activités, l’arrivée de plusieurs investisseurs générateurs de postes d’emplois directs et indirects, citant entre autres l’industriel Issad Rebrab, ce dernier a investit dans la réalisation d’un hyper-marché, un dépôt de produits agro-alimentaires, montage de véhicules industriels. Autant de projets pour relancer la machine économique et absorber certainement le taux de chômage qui avoisine les 14%. Le constat est positif, la perspective est prometteuse, optimiste pour la wilaya, pourvu qu’il y ait un suivi rigoureux de la part des pouvoirs publics, la machine du développement ne peut fonctionner par la volonté d’un seul responsable ou d’un secteur. Les différentes réalisations sont là pour faciliter la vie des citoyens qui à leur tour sont appelés à les préserver jalousement. Toutefois, pas moins de cinq projets ont été lancés dans chacun des secteurs, l’objectif, expliquera le wali, est de ne laisser traîner aucun projet inscrit, faire en sorte de réunir toutes les conditions permettant le lancement d’un projet l’année même de son inscription. Pour le plan quinquennale 2010-2014, la wilaya a proposé de bénéficier du double de ce qu’elle avait eu ultérieurement, tout en prenant en considération l’achèvement du programme en cours. Concernant le secteur de l’éducation, la wilaya, qui est dotée de 36 lycées avec les deux ouverts cette année, ambitionne la réception de sept autres pour la rentrée 2010-2011, avec comme perspective d’atteindre un lycée pour chaque commune. Même chose pour les deux autres paliers, avec, bien sûr, le structures d’accompagnement, cantines, demi-pensionnat, stade ou salles de sport. Idem pour le secteur de la santé, qui a tracé comme objectif une salle de soins dans chaque village dotée d’équipement médical, un service radiologique, un fauteuil dentaire, et ce pour rapprocher les structures sanitaires du citoyen. Il y a aussi la dotation des communes d’une ambulance afin de faciliter le transport et l’évacuation des malades. Le secteur vise aussi à doubler le nombre de polycliniques, soit une polyclinique pour 15 000 habitants. Il y avait 6 polycliniques en 2006 pour atteindre 23 en 2007 et 31 cette année. Par ailleurs, le déficit en matière de médecins spécialistes notamment engynécologie et paramédicaux. En l’espace de trois ans, le nombre de spécialistes est passé de 10 en 2006 à 126 en 2009. Des requêtes envoyées à la tutelle au moins deux fois par an, le besoin se fait sentir auprès de la population de plus en plus nombreuse qui se trouve contrainte de recourir aux cliniques privées en deçà de leurs moyens ou de s’adresser à d’autres hôpitaux dans d’autres wilayas du pays. Pour ce faire, le secteur a ouvert 100 postes pédagogiques pour le recrutement de paramédicaux qui sont entrés en formation et préparer les conditions d’accueil (logement) pour recevoir les nouveaux médecins spécialistes. Le secteur de la jeunesse et des sports a lui aussi de nombreux projets en perspective (2010-2014) avec la réalisation de pas moins de 9 piscines olympique et semi-olympiques, des CSP, stades de proximité, la réhabilitation des anciennes infrastructures sportives, le lancement de plusieurs cycles de formation au profit d’entraîneurs de différentes disciplines, l’encouragement et le soutien du sport féminin, les écoles de football, les classes sport. Toutefois, la wilaya, qui est réputée pour sa vocation agricole et rurale, s’est distinguée ces dernières années. En effet, le secteur a connu un saut qualitatif grâce au contrat de performance, le Cyrplac I et II en attendant le lancement tant attendu par les agriculteurs y compris les producteurs de la pomme de terre. La DSA a enregistré des résultats positifs dans la production céréalière avec une récolte record, la production laitière, le miel, l’oléiculture avec comme projet, la labellisation de l’huile d’olive pour son exportation. Avec ses trois barrages, le problème d’irrigation ne devra plus se poser d’ici quelque temps ; les services de la DSA veulent favoriser l’irrigation en goutte-à-goutte, le développement de l’agriculture de montagne et les zones rurales afin de générer des postes d’emploi et freiner l’exode rural, la réhabilitation des produits du terroir à l’instar du pistachier de Bechloul, le cerisier de Saharidj et Aghbalou, la pêche d’Ath Mansour. Il y a aussi la perspective de la réalisation d’une ceinture oléicole au sud de la wilaya afin de ralentir ou de stopper la désertification. Il est prévu la plantation d’oliviers sur 100 km, soit 5 000 ha. En ce qui concerne le gaz et l’électricité, si la couverture en matière de l’électrification est plus que satisfaisante qui frôle les 100%, plusieurs familles vivent encore dans le noir et qui seront branché incessamment. Pour ce qui concerne le gaz naturel, il y a deux ans, la wilaya de Bouira accusait un retard considérable en matière de branchement, il a fallu la venue du président Bouteflika en juillet 2008 pour voir la wilaya bénéficier de l’installation de conduites de gaz. Ainsi, dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux, près de 10 000 foyers ont bénéficié du gaz et 1887 de l’électricité. En revanche, dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, il est prévu le branchement de 11 communes citant entre autres Haizer, Taghzout, Saharidj, Aghbalou, Bouderbala, soit un total de 18 500 foyers en plus de 3 600 groupements d’habitations à Toghza, Choukrane, Aïn Laloui. Le secteur prévoit aussi le lancement des travaux de branchement de gaz naturel dans les 8 communes restantes au profit de 5 800 foyers et 24 grands groupement d’habitations de quelque 10 000 foyers. Le coût global des projets cités est de 5800 milliards de dinars dont 4656 MDA pour le gaz. Cependant, d’autres secteurs tireront profit de ce plan qui propulsera le développement tant attendu de la wilaya de Bouira marquée par le terrorisme durant la décennie noire où personne ne songeait y s’aventurer à cause du problème de sécurité. Aujourd’hui, la donne a complètement changé grâce au travail des uns et des autres, à commencer par les Patriotes et les différents corps de services de sécurité qui se sont sacrifiés pour instaurer la quiétude et la sécurité, le citoyen qui a dit non au projet islamiste, aux élus locaux ainsi que les autorités de la wilaya et à leur tête le wali qui s’est rendu dans les trois quart du territoire de la wilaya pour relancer tous les projets qui étaient en veilleuse. C’est une autre page qui s’ouvre pour cette wilaya qui ne tardera pas à devenir l’une des plus importantes du pays. Mehenna Adjaout
11-01-2010
Il faut dire que le wali de Bouira, Ali Bouguerra, a sillonné le territoire de la wilaya plusieurs fois, plus de 40 visites de travail et d’inspection de projets de différents secteurs d’activité lancés ou à lancer, en plus des 25 visites ministérielles, dont celle du ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Djiar, pour le lancement de plusieurs projets inhérents à son secteur dont le centre de sport d’envergure internationale qui sera installé au niveau du barrage Tilesdit. Le ministre de l’Energie et des Mines Chekib Khellil qui s’est rendu au champ pétrolier Oued Guetrini a Dirah, qui dispose de 188 puits dont seulement 12 sont exploités, il est prévu 30 millions de dollars pour toute la «Hodna est, dont fait partie Oued Guetrini pour l’utilisation de nouvelles technologies d’exploitation pour les besoins de prospection et exploration de nouveaux puits ainsi que le lancement de nouvelles centrales électriques. Le ministre de l’Agriculture, celui de l’Enseignement supérieur qe sont également rensus à Bouira au lancement du nouveau pôle universitaire de 10 000 places pédagogiques qui sera implanté sur un espace de 50 ha, un véritable «pôle scientifique intégré» où seront enseignées les matières relatives à la spécificité et caractéristiques de la région, des spécialités en science de la terre, les sciences de la mer, climatologie, l’agriculture. Le ministre de la Justice a effectué de multiples visites de travail et d’inspection, celui des Travaux publics Amar Ghoul qui suit de près l’un des plus importants projet du pays qu’est l’autoroute Est- Ouest qui traverse le territoire de la wilaya sur 101 km dont 90 sont déjà ouverts à la circulation. Désormais, la wilaya de Bouira est une banlieue d’Alger et un carrefour entre la capitale est les wilayas de l’Est et le sud-est du pays. Cela dit, l’espoir est désormais permis, le citoyen de la wilaya commence à croire en la machine du développement enfin mise sur les rails, l’impact du changement est visible, il suffit de faire un tour au chef-lieu de la wilaya ou les autres daïras et communes pour se rendre compte du changement. Revêtement des routes et trottoirs, le grand boulevard de la ville de Bouira, l’ouverture et l’extension de plusieurs rues, la relance de la zone industrielle de Oued El Berdi, et autres zones d’activités, l’arrivée de plusieurs investisseurs générateurs de postes d’emplois directs et indirects, citant entre autres l’industriel Issad Rebrab, ce dernier a investit dans la réalisation d’un hyper-marché, un dépôt de produits agro-alimentaires, montage de véhicules industriels. Autant de projets pour relancer la machine économique et absorber certainement le taux de chômage qui avoisine les 14%. Le constat est positif, la perspective est prometteuse, optimiste pour la wilaya, pourvu qu’il y ait un suivi rigoureux de la part des pouvoirs publics, la machine du développement ne peut fonctionner par la volonté d’un seul responsable ou d’un secteur. Les différentes réalisations sont là pour faciliter la vie des citoyens qui à leur tour sont appelés à les préserver jalousement. Toutefois, pas moins de cinq projets ont été lancés dans chacun des secteurs, l’objectif, expliquera le wali, est de ne laisser traîner aucun projet inscrit, faire en sorte de réunir toutes les conditions permettant le lancement d’un projet l’année même de son inscription. Pour le plan quinquennale 2010-2014, la wilaya a proposé de bénéficier du double de ce qu’elle avait eu ultérieurement, tout en prenant en considération l’achèvement du programme en cours. Concernant le secteur de l’éducation, la wilaya, qui est dotée de 36 lycées avec les deux ouverts cette année, ambitionne la réception de sept autres pour la rentrée 2010-2011, avec comme perspective d’atteindre un lycée pour chaque commune. Même chose pour les deux autres paliers, avec, bien sûr, le structures d’accompagnement, cantines, demi-pensionnat, stade ou salles de sport. Idem pour le secteur de la santé, qui a tracé comme objectif une salle de soins dans chaque village dotée d’équipement médical, un service radiologique, un fauteuil dentaire, et ce pour rapprocher les structures sanitaires du citoyen. Il y a aussi la dotation des communes d’une ambulance afin de faciliter le transport et l’évacuation des malades. Le secteur vise aussi à doubler le nombre de polycliniques, soit une polyclinique pour 15 000 habitants. Il y avait 6 polycliniques en 2006 pour atteindre 23 en 2007 et 31 cette année. Par ailleurs, le déficit en matière de médecins spécialistes notamment engynécologie et paramédicaux. En l’espace de trois ans, le nombre de spécialistes est passé de 10 en 2006 à 126 en 2009. Des requêtes envoyées à la tutelle au moins deux fois par an, le besoin se fait sentir auprès de la population de plus en plus nombreuse qui se trouve contrainte de recourir aux cliniques privées en deçà de leurs moyens ou de s’adresser à d’autres hôpitaux dans d’autres wilayas du pays. Pour ce faire, le secteur a ouvert 100 postes pédagogiques pour le recrutement de paramédicaux qui sont entrés en formation et préparer les conditions d’accueil (logement) pour recevoir les nouveaux médecins spécialistes. Le secteur de la jeunesse et des sports a lui aussi de nombreux projets en perspective (2010-2014) avec la réalisation de pas moins de 9 piscines olympique et semi-olympiques, des CSP, stades de proximité, la réhabilitation des anciennes infrastructures sportives, le lancement de plusieurs cycles de formation au profit d’entraîneurs de différentes disciplines, l’encouragement et le soutien du sport féminin, les écoles de football, les classes sport. Toutefois, la wilaya, qui est réputée pour sa vocation agricole et rurale, s’est distinguée ces dernières années. En effet, le secteur a connu un saut qualitatif grâce au contrat de performance, le Cyrplac I et II en attendant le lancement tant attendu par les agriculteurs y compris les producteurs de la pomme de terre. La DSA a enregistré des résultats positifs dans la production céréalière avec une récolte record, la production laitière, le miel, l’oléiculture avec comme projet, la labellisation de l’huile d’olive pour son exportation. Avec ses trois barrages, le problème d’irrigation ne devra plus se poser d’ici quelque temps ; les services de la DSA veulent favoriser l’irrigation en goutte-à-goutte, le développement de l’agriculture de montagne et les zones rurales afin de générer des postes d’emploi et freiner l’exode rural, la réhabilitation des produits du terroir à l’instar du pistachier de Bechloul, le cerisier de Saharidj et Aghbalou, la pêche d’Ath Mansour. Il y a aussi la perspective de la réalisation d’une ceinture oléicole au sud de la wilaya afin de ralentir ou de stopper la désertification. Il est prévu la plantation d’oliviers sur 100 km, soit 5 000 ha. En ce qui concerne le gaz et l’électricité, si la couverture en matière de l’électrification est plus que satisfaisante qui frôle les 100%, plusieurs familles vivent encore dans le noir et qui seront branché incessamment. Pour ce qui concerne le gaz naturel, il y a deux ans, la wilaya de Bouira accusait un retard considérable en matière de branchement, il a fallu la venue du président Bouteflika en juillet 2008 pour voir la wilaya bénéficier de l’installation de conduites de gaz. Ainsi, dans le cadre du programme des Hauts-Plateaux, près de 10 000 foyers ont bénéficié du gaz et 1887 de l’électricité. En revanche, dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014, il est prévu le branchement de 11 communes citant entre autres Haizer, Taghzout, Saharidj, Aghbalou, Bouderbala, soit un total de 18 500 foyers en plus de 3 600 groupements d’habitations à Toghza, Choukrane, Aïn Laloui. Le secteur prévoit aussi le lancement des travaux de branchement de gaz naturel dans les 8 communes restantes au profit de 5 800 foyers et 24 grands groupement d’habitations de quelque 10 000 foyers. Le coût global des projets cités est de 5800 milliards de dinars dont 4656 MDA pour le gaz. Cependant, d’autres secteurs tireront profit de ce plan qui propulsera le développement tant attendu de la wilaya de Bouira marquée par le terrorisme durant la décennie noire où personne ne songeait y s’aventurer à cause du problème de sécurité. Aujourd’hui, la donne a complètement changé grâce au travail des uns et des autres, à commencer par les Patriotes et les différents corps de services de sécurité qui se sont sacrifiés pour instaurer la quiétude et la sécurité, le citoyen qui a dit non au projet islamiste, aux élus locaux ainsi que les autorités de la wilaya et à leur tête le wali qui s’est rendu dans les trois quart du territoire de la wilaya pour relancer tous les projets qui étaient en veilleuse. C’est une autre page qui s’ouvre pour cette wilaya qui ne tardera pas à devenir l’une des plus importantes du pays. Mehenna Adjaout
11-01-2010
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