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commission européenne 欧盟委员会

Commission européenne: "Commission européenne"

Saturday, August 28, 2010

Mr le premier ministre Michel Rocard Turquie Youtube


Michel Rocard, né le 23 août 1930 à Courbevoie (Seine), est un homme politique français, membre du Parti socialiste.

Militant socialiste depuis 1949, il est le candidat du Parti socialiste unifié (PSU) à l'élection présidentielle de 1969, après quoi il rejoint le Parti socialiste (PS) en 1974.

Premier ministre de 1988 à 1991 sous la présidence de François Mitterrand, il est député (PSE) au Parlement européen de 1994 à 2009.
Implication dans l'Union européenne [modifier]
Il démissionne de son mandat de sénateur en 1997, car le Premier ministre Lionel Jospin lui a demandé de choisir entre le Sénat et le Parlement européen, où il siège depuis 1994, et où il s'illustre par son opposition aux brevets logiciels dans l'Union européenne. Il occupe plusieurs fonctions au Parlement européen en présidant les commissions de la coopération et du développement (1997-1999), puis de l'emploi et des affaires sociales (1999-2002) et enfin de la culture (2002-2004).

En 2005, il conduit la délégation d’observateurs européens pour assurer le bon déroulement de l'élection présidentielle en Palestine.

Au lendemain de la victoire du « non » au référendum européen du 29 mai 2005, alors que le Parti socialiste est en crise, Michel Rocard marque, à travers plusieurs entretiens, son opposition à Laurent Fabius et aux courants les plus à gauche du PS, en fustigeant notamment le « Nouveau Parti socialiste » d'Arnaud Montebourg. Il s'en prend également à l'association altermondialiste ATTAC (« monument de bêtise économique et politique » selon l’ancien Premier ministre). Il marque cependant sa curiosité pour le courant « Utopia »[réf. nécessaire].

Michel Rocard est un fervent défenseur de l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne. Il a d'ailleurs écrit un plaidoyer concernant ce sujet : selon lui, « la Turquie est un enjeu stratégique » et « une vraie chance pour l'Europe ». Il met en avant les arguments liés à l'accès aux routes énergétiques, une plateforme de paix dans le Caucase, les Balkans et le Proche-Orient, une économie de marché en plein essor et une nation démocratique et laïque : « La Turquie représente une démocratie chrétienne à la mode musulmane à la fois économiquement libérale et conservatrice sur le plan des mœurs ».

Toujours engagé dans la construction européenne, il publie, en septembre 2008, Notre Europe, avec Nicole Gnesotto

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