InfoTunisie
Rencontre du Leader Gueddafi avec des personnalités et des cadres féminins tunisiens
Le Leader Mouammar Gueddafi, chef de la grande révolution du 1er septembre a eu, lundi soir, aux Berges du Lac (Banlieue nord de Tunis), une rencontre avec un grand nombre de cadres féminins et de personnalités actives dans le domaine social, notamment, en faveur de la femme, de la famille et l'enfance.
La rencontre a porté notamment sur des questions relatives à l'unité arabe, à l'unité africaine et à l'Union maghrébine ainsi que sur la situation de la femme en Afrique et les défis politiques et de développement auxquels font face les pays africains.
Le chef de la révolution libyenne a affirmé, au cours de cette rencontre, que le continent africain souffre des trois fléaux de l'époque, à savoir, la pauvreté, l'ignorance et les maladies, en dépit des importantes richesses naturelles et humaines qu'il recèle.
Il a relevé que la proclamation de l'Union Africaine lors de la réunion de Syrte en Libye, le 9 septembre 1999, a constitué le point de départ d'une nouvelle étape de coopération et de partenariat entre les Etats africains, mais demeure toutefois insuffisant en l'absence d'une prise de conscience des défis générés par la nouvelle conjoncture politique et économique mondiale.
Il a indiqué que l'inexistence d'une langue commune et la multiplication des dialectes font partie des principaux défis auxquels fait face le continent africain. Ces défis, a-t-il précisé, constituent des entraves à la réalisation d'un développement agissant et efficace, à côté de la prolifération des guerres civiles, de la détérioration des conditions sociales, et du manque de législations qui régissent la vie conjugale et familiale et protègent les droits des femmes et des enfants, générations de demain et avenir du continent.
Il a souligné, dans ce contexte, la volonté de la Libye de promouvoir la situation des catégories sociales, notamment, celle de la femme, à travers "le projet de Gueddafi pour la jeunesse, l'enfant et la femme", qui est parvenu à améliorer les différents indicateurs sociaux et à répondre aux besoins et préoccupations de ces catégories.
Au sujet de l'unité arabe, le leader libyen a fait observer qu'en dépit des efforts consentis, dans le passé, en vue d'instaurer une unité arabe qui s'étend de l'océan jusqu'au Golf, sur la base du nationalisme arabe, il n'en demeure pas moins que ces efforts ont abouti à l'échec pour de multiples causes, ce qui explique la faiblesse et l'impuissance du monde arabe.
Il a indiqué que la nature de l'époque ne nécessite plus l'existence de nations pour se protéger et défendre leurs intérêts, notamment, avec l'émergence du concept de la mondialisation, ajoutant qu'un pays ne peut plus résister, seul, au torrent des défis qui se posent, d'où l'impératif de son intégration dans une union ou un groupement fort.
Il a relevé que l'Union Européenne (UE) qui compte, aujourd'hui, 27 Etats, et qui est dotée d'une monnaie unique, d'un marché commun, d'une force de production unique et d'une position politique unifiée, représente, actuellement, une puissance influente sur la scène mondiale.
Evoquant le projet de l'Union pour la Méditerranée (UPM), il a fait remarquer que le vide posé par l'espace méditerranéen, malgré sa force d'attraction, est à l'origine de l'émergence de l'idée de ce projet. Concernant l'Union du Maghreb Arabe (UMA), le Leader Mouammar Gueddafi a salué la détermination constante du Président Ben Ali à dynamiser cet acquis maghrébin, en dépit des obstacles qui l'empêchent d'accomplir le rôle qui est le sien, comme il se doit.
Dans sa réponse à une proposition d'établir un partenariat actif entre les tissus associatifs tunisien et libyen, le chef de la révolution libyenne a affirmé que les relations bilatérales sont très bonnes, voire excellentes, à tous les niveaux, ce qui est de nature à encourager l'établissement d'une coopération fructueuse et d'un partenariat constructif entre les associations des deux pays frères.
A la fin de cette rencontre, le leader Mouammar Gueddafi a exprimé sa joie personnelle ainsi que du peuple libyen pour la décision prise par son frère, le Président Zine El Abidine Ben Ali, en acceptant de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle de 2009.
Il a déclaré, à ce propos que "La Libye éprouve beaucoup d'estime à l'égard du Président Zine El Abidine Ben Ali, lui fait confiance et souhaite qu'il demeure à la tête de la Tunisie soeur".
Auparavant, Mmes Fawzia Khaldi, secrétaire générale- adjointe du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD) chargée de la femme, Aziza H'tira, présidente de l'Union Nationale de la Femme Tunisienne (UNFT) et Saida Agrebi, présidente de l'Association Tunisienne des mères (ATM) avaient souhaité la bienvenue à l'illustre hôte du Président Ben Ali, dont la visite coïncide avec les festivités de la Tunisie à l'occasion de l'annonce par le chef de l'Etat d'accepter l'appel de son parti et de son peuple de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle.
Elles ont également, salué la détermination constante du Président de la République à renforcer la position de la femme au sein de la famille et de la société et dans la vie publique, dans un cadre d'égalité et de partenariat entiers avec l'homme, ce qui traduit sa profonde conviction que la promotion de la femme est une condition essentielle de l'évolution de la société et de la réalisation du développement global et durable.
Rencontre du Leader Gueddafi avec des personnalités et des cadres féminins tunisiens
Le Leader Mouammar Gueddafi, chef de la grande révolution du 1er septembre a eu, lundi soir, aux Berges du Lac (Banlieue nord de Tunis), une rencontre avec un grand nombre de cadres féminins et de personnalités actives dans le domaine social, notamment, en faveur de la femme, de la famille et l'enfance.
La rencontre a porté notamment sur des questions relatives à l'unité arabe, à l'unité africaine et à l'Union maghrébine ainsi que sur la situation de la femme en Afrique et les défis politiques et de développement auxquels font face les pays africains.
Le chef de la révolution libyenne a affirmé, au cours de cette rencontre, que le continent africain souffre des trois fléaux de l'époque, à savoir, la pauvreté, l'ignorance et les maladies, en dépit des importantes richesses naturelles et humaines qu'il recèle.
Il a relevé que la proclamation de l'Union Africaine lors de la réunion de Syrte en Libye, le 9 septembre 1999, a constitué le point de départ d'une nouvelle étape de coopération et de partenariat entre les Etats africains, mais demeure toutefois insuffisant en l'absence d'une prise de conscience des défis générés par la nouvelle conjoncture politique et économique mondiale.
Il a indiqué que l'inexistence d'une langue commune et la multiplication des dialectes font partie des principaux défis auxquels fait face le continent africain. Ces défis, a-t-il précisé, constituent des entraves à la réalisation d'un développement agissant et efficace, à côté de la prolifération des guerres civiles, de la détérioration des conditions sociales, et du manque de législations qui régissent la vie conjugale et familiale et protègent les droits des femmes et des enfants, générations de demain et avenir du continent.
Il a souligné, dans ce contexte, la volonté de la Libye de promouvoir la situation des catégories sociales, notamment, celle de la femme, à travers "le projet de Gueddafi pour la jeunesse, l'enfant et la femme", qui est parvenu à améliorer les différents indicateurs sociaux et à répondre aux besoins et préoccupations de ces catégories.
Au sujet de l'unité arabe, le leader libyen a fait observer qu'en dépit des efforts consentis, dans le passé, en vue d'instaurer une unité arabe qui s'étend de l'océan jusqu'au Golf, sur la base du nationalisme arabe, il n'en demeure pas moins que ces efforts ont abouti à l'échec pour de multiples causes, ce qui explique la faiblesse et l'impuissance du monde arabe.
Il a indiqué que la nature de l'époque ne nécessite plus l'existence de nations pour se protéger et défendre leurs intérêts, notamment, avec l'émergence du concept de la mondialisation, ajoutant qu'un pays ne peut plus résister, seul, au torrent des défis qui se posent, d'où l'impératif de son intégration dans une union ou un groupement fort.
Il a relevé que l'Union Européenne (UE) qui compte, aujourd'hui, 27 Etats, et qui est dotée d'une monnaie unique, d'un marché commun, d'une force de production unique et d'une position politique unifiée, représente, actuellement, une puissance influente sur la scène mondiale.
Evoquant le projet de l'Union pour la Méditerranée (UPM), il a fait remarquer que le vide posé par l'espace méditerranéen, malgré sa force d'attraction, est à l'origine de l'émergence de l'idée de ce projet. Concernant l'Union du Maghreb Arabe (UMA), le Leader Mouammar Gueddafi a salué la détermination constante du Président Ben Ali à dynamiser cet acquis maghrébin, en dépit des obstacles qui l'empêchent d'accomplir le rôle qui est le sien, comme il se doit.
Dans sa réponse à une proposition d'établir un partenariat actif entre les tissus associatifs tunisien et libyen, le chef de la révolution libyenne a affirmé que les relations bilatérales sont très bonnes, voire excellentes, à tous les niveaux, ce qui est de nature à encourager l'établissement d'une coopération fructueuse et d'un partenariat constructif entre les associations des deux pays frères.
A la fin de cette rencontre, le leader Mouammar Gueddafi a exprimé sa joie personnelle ainsi que du peuple libyen pour la décision prise par son frère, le Président Zine El Abidine Ben Ali, en acceptant de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle de 2009.
Il a déclaré, à ce propos que "La Libye éprouve beaucoup d'estime à l'égard du Président Zine El Abidine Ben Ali, lui fait confiance et souhaite qu'il demeure à la tête de la Tunisie soeur".
Auparavant, Mmes Fawzia Khaldi, secrétaire générale- adjointe du Rassemblement Constitutionnel Démocratique (RCD) chargée de la femme, Aziza H'tira, présidente de l'Union Nationale de la Femme Tunisienne (UNFT) et Saida Agrebi, présidente de l'Association Tunisienne des mères (ATM) avaient souhaité la bienvenue à l'illustre hôte du Président Ben Ali, dont la visite coïncide avec les festivités de la Tunisie à l'occasion de l'annonce par le chef de l'Etat d'accepter l'appel de son parti et de son peuple de se porter candidat à la prochaine élection présidentielle.
Elles ont également, salué la détermination constante du Président de la République à renforcer la position de la femme au sein de la famille et de la société et dans la vie publique, dans un cadre d'égalité et de partenariat entiers avec l'homme, ce qui traduit sa profonde conviction que la promotion de la femme est une condition essentielle de l'évolution de la société et de la réalisation du développement global et durable.
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