Par : AMMAMI Mohammed
Solidarité avec le peuple palestinien
Pour la seconde fois, en signe de solidarité avec le peuple palestinien, la frontière terrestre algéro-marocaine, fermée depuis 1995, a été ouverte exceptionnellement pour permettre le passage de la 2e caravane humanitaire pour Gaza. Celle-ci, qui se compose de 30 camions transportant les aides internationales, a démarré dimanche de Londres avant que le premier groupe composé de 16 camions ne traverse la frontière, au poste Akid-Lotfi vers 13h.
Une réception a été organisée vers 18h par les autorités locales durant laquelle l’initiateur de ce convoi, Kieran Turner, 38 ans, a offert au maire et au responsable du Croissant-Rouge algérien des écharpes à l’effigie de la Palestine. Le deuxième groupe, qui arrivera vers 1h du matin, était composé de dizaines de personnes de 30 nationalités.
Un peu plus tôt dans la journée, de folles rumeurs avaient circulé quant à une annulation de l’ouverture des frontières et que les membres de cette mission prendront l’avion à destination de la Lybie. L’Algérie avait déjà permis l’ouverture exceptionnelle des frontières pour le passage en 2009 d’un convoi similaire. Cette ouverture des frontières souligne la place qu’occupe la cause palestinienne dans l’agenda du gouvernement algérien et dans le cœur du peuple algérien et s’inscrit dans la continuité logique d’une solidarité à toute épreuve dont la dernière manifestation est la participation algérienne à la flottille humanitaire réprimée dans le sang par l’armée israélienne.
Le différend entre Alger et Rabat avait fait craindre, au départ, l’impossibilité d’une telle action mais George Galloway, ancien député britannique, fervent défenseur de la cause palestinienne et initiateur du convoi “Viva Palestine”, se disait confiant de voir les autorités algériennes ouvrir les frontières comme elles l’avaient fait pour l’Irak et la Palestine en 1999 et 2009. Lors de son récent passage à Alger, il déclarait que la cause palestinienne doit se traduire par des actions et non par des larmes qui “ne coûtent pas cher et sèchent vite”. L’étape la plus délicate sera certainement de convaincre les autorités égyptiennes de bien vouloir laisser passer l’aide à destination de la bande de Gaza.
Solidarité avec le peuple palestinien
Pour la seconde fois, en signe de solidarité avec le peuple palestinien, la frontière terrestre algéro-marocaine, fermée depuis 1995, a été ouverte exceptionnellement pour permettre le passage de la 2e caravane humanitaire pour Gaza. Celle-ci, qui se compose de 30 camions transportant les aides internationales, a démarré dimanche de Londres avant que le premier groupe composé de 16 camions ne traverse la frontière, au poste Akid-Lotfi vers 13h.
Une réception a été organisée vers 18h par les autorités locales durant laquelle l’initiateur de ce convoi, Kieran Turner, 38 ans, a offert au maire et au responsable du Croissant-Rouge algérien des écharpes à l’effigie de la Palestine. Le deuxième groupe, qui arrivera vers 1h du matin, était composé de dizaines de personnes de 30 nationalités.
Un peu plus tôt dans la journée, de folles rumeurs avaient circulé quant à une annulation de l’ouverture des frontières et que les membres de cette mission prendront l’avion à destination de la Lybie. L’Algérie avait déjà permis l’ouverture exceptionnelle des frontières pour le passage en 2009 d’un convoi similaire. Cette ouverture des frontières souligne la place qu’occupe la cause palestinienne dans l’agenda du gouvernement algérien et dans le cœur du peuple algérien et s’inscrit dans la continuité logique d’une solidarité à toute épreuve dont la dernière manifestation est la participation algérienne à la flottille humanitaire réprimée dans le sang par l’armée israélienne.
Le différend entre Alger et Rabat avait fait craindre, au départ, l’impossibilité d’une telle action mais George Galloway, ancien député britannique, fervent défenseur de la cause palestinienne et initiateur du convoi “Viva Palestine”, se disait confiant de voir les autorités algériennes ouvrir les frontières comme elles l’avaient fait pour l’Irak et la Palestine en 1999 et 2009. Lors de son récent passage à Alger, il déclarait que la cause palestinienne doit se traduire par des actions et non par des larmes qui “ne coûtent pas cher et sèchent vite”. L’étape la plus délicate sera certainement de convaincre les autorités égyptiennes de bien vouloir laisser passer l’aide à destination de la bande de Gaza.
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